#musée de la mode
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philoursmars · 4 months ago
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Marseille, la Bastide Borély , musée des Arts Décoratifs, de la Faïence et de la Mode. Cet été, une expo : "Le Grand Bain".
BWL, Duck Brand, etc… - maillots masculins (trop peu dans cette expo!...) 1965
maillots de bain : anonyme 1965 ; Ariella 1965 ; Jantzen 1967 ; Christine Thomass années 80 et...
...Sunny Girl années 50 ; Vahiné L.Libron 1955 ; anonyme 1955 ; Vahiné L.Libron années 50 ; Dior 1965
Hom - combinaison en lycra effet hologramme, 1996
Corinne Cobson - maillot deux-pièces en... fourrure!??!, 1994
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fashionbooksmilano · 1 year ago
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Jacques Estérel Couturier d'avant-garde
Julien Loussarian
Les Arts Decoratifs, Paris 2023, 192 pages, 17,2x24,5cm, ISBN 9782383140191
euro 45,00
Troisième numéro de la collection "L'Oil de la mode" éditée par la musée des Arts décoratifs en partenariat avec l'école du Louvre, ce livre propose de découvrir l'univers du couturier Jacques Estérel.
Aujourd’hui injustement tombé dans l’oubli, le parcours fascinant de Jacques Estérel, couturier né en 1917, a pourtant marqué les années 1950 à 1970. Cet ingénieur, auteur-compositeur et interprète à succès se lance dans la mode en 1953 en proposant des lignes qui séduisent rapidement la jeunesse de l’époque. Six ans plus tard, alors qu’il habille déjà des personnalités en vogue, il conçoit l’iconoclaste robe de mariée de Brigitte Bardot. Questionnant la représentation des genres, il introduit la jupe dans le vestiaire masculin dès la fin des années 1960, puis crée ses premières collections unisexes. Son approche singulière l’amène à reconsidérer la fonctionnalité du vêtement, imaginant notamment des tenues transformables, ou encore à personnaliser la consommation vestimentaire en diffusant ses pièces par l’intermédiaire de patrons. Cette étude approfondie dévoile l’univers d’un couturier polymorphe, dont le style a accompagné les évolutions sociétales de son temps.
24/11/23
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the-wandering-temperance · 1 year ago
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Heilung in Paris
18 novembre 2022 - Le célèbre Musée Grévin avec les Géniales ❤️
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omgthatdress · 1 month ago
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Dress
1802-1805
Musée Galliera de la Mode de la Ville de Paris
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look-at-my-dresses · 1 year ago
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Jean Paul Gaultier pour le Cinquième élément, Luc Besson
Exposition Fashion Big Bang au Palais Galiera, musée de la mode de la ville de Paris
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jewellery-box · 4 months ago
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Corsage de robe, c. 1885-1895
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Corsage de robe by House of Worth - Palais Galliera - Musée de la Mode de la Ville de Paris, France - CC0.
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fripperiesandfobs · 1 year ago
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Court train, 1815-25
From the Palais Galliera, Musée de la Mode de la Ville de Paris
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nancydrewwouldnever · 2 months ago
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Elsa Schiaparelli, 'Phoebus' Cape, 'Cosmic' Collection - Haute Couture Winter 1938-1939 (Musée de la Mode de la Ville de Paris, Paris)
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milksockets · 2 months ago
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'crinoline from the musée de la mode et du costume, paris, shot by david seidner, 1985' in unmentionables: a brief history of underwear - elaine benson + john esten (1996)
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chic-a-gigot · 4 months ago
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Les Modes : revue mensuelle illustrée des arts décoratifs appliqués à la femme, no. 163, juillet 1914, Paris. "Lettre sur la mode: La silhouette actuelle et l'attitude-tango." Francis de Miomandre. Bibliothèque nationale de France
English translation by Google Translate (and edited for relative clarity).
Ma chère amie,
Vous me demandez mon avis sur la mode actuelle, comme ça, simplement?… Voilà bien une idée de femme!… Comme si Fou pouvait professer une opinion sur un pareil sujet, si ondoyant! Tout ce que peut faire un homme de goût, c'est d'admirer ses contemporaines qui passent, et de respecter cet effort martyrisant qu'elles t'imposent pour diversifier à l'infini leur séduisante figure. Je sais que cet effort n'est pas toujours heureux. Mais n'allez pas en incriminer la mode, qui n'y est pour rien. Il y a deux sortes de femmes, celles qui ont du goût… et les autres. Ces dernières ont le génie d'élire parmi les accoutrements du jour celui précisément qui les rendra ridicules.
Il arrive un moment où nous ne remarquons plus combien sont gracieuses les femmes de goût qui portent encore les choses à la mode le mois dernier, mais nous n'avons plus d'yeux que pour leurs malheureuses imitatrices. C'est à ce moment-là qu'une mode est démodée. Il faut la changer.
La question de changer ne se pose pas pour la mode actuelle, puisque sa caractéristique est d'etre au contraire en perpétuelle évolution. Une évolution! que dis-je? un vertige… On n'a pas le temps s'y reconnaitre… Il semble que toutes les les pays soient conviés à nous fournir des motifs d'inspiration sans cesse renouvelés. Et c'est la Perse et bientôt l'Inde, et c'est la Grèce, la Grèce de M. Pierre Loüys, la Grèce à demi orientale d'Alexandrie, et c'est la Turquie et demain ce sera la Chine. Et puis après, on remontera dans le moyen âge. On pillera les musées. La mode actuelle? Ah! bien quinaud celui qui essaierait de s'en moquer! Car il n'aurait pas plutôt achevé sa petite diatribe, si vaine ! que déjà on pourrait lui répondre: « Mais, Monsieur, vous datez, vous vous raillez d'une très vieille chose. Ce que vous trouvez ridicule, il y a au moins quinze jours que nous en avons assez nous-mêmes… » Consultez les caricatures des journaux amusants, et vous serez édifiée. La mode actuelle, qui a le désavantage de coûter très cher à celles qui veulent la suivre, et de les ahurir un peu, a au moins la supériorit�� d'échapper au ridicule. Elle court si vite!…
Et cependant, me direz-vous, elle existe. On s'habille, que diable ! A vous d'extraire de tout cela la ligne générale, je ne sais pas moi, la synthèse…
Je veux bien. Voyons. Cherchons ensemble. Est-ce la tunique ? Mais non, puisque la bonne moitié des toilettes ne comporte pas de tunique. Est-ce la cape? La cape donne une jolie silhouette, mais que de femmes restent fidèles à des manteaux d'une tout autre forme, et cependant demeurent très dans le train! La note serait-elle donnée par le chapeau? Je veux bien, mais alors lequel? Le petit, le grand, le plat, le large, l'immense, le rond, le roulé en cornet, le lourd ou l'aérien?… Ne cherchez pas plus avant et reconnaissez avec moi que ce qui caractérise la mode actuelle n'est pas tant une ligne plus ou moins souple et gracieuse du vêtement qu'une attitude de la femme qui porte ce vêtement, cette attitude molle, hanchée, abandonnée, douce, passive, un peu veule et que, pour tout dire, j'appellerai l'attitude-tango.
On a souvent dit: « Le ventre s'est beaucoup porté cette année. » Quelle impropriété fâcheuse d'expression! Vous le savez bien, vous qui vous habillez à ravir et vous tenez de même, qu'il n'a jamais été question de ventre, mais qu'il a été énormément question de tango. Or, dans l'exercice de cette danse charmante, et qui, malgré de retentissantes interdictions ecclésiastiques, n'est pas près de disparaître, on se trouve fort souvent le bras en l'air et le talon relevé, portant tout le poids du corps sur un seul côté, ce qui donne aussitôt aux dames un petit air langoureux et vide, une attitude molle et déjetée.
A force de s'adonner à cette danse, nos élégantes ont pris l'habitude de se tenir ainsi dans toutes les autres circonstances de la vie. Et c'est en tanguant qu'elles entrent dans un salon, qu'elles y prennent le thé, qu'elles écoutent les hommes d'esprit, qu'elles regagnent leur automobile, qu'elles essaient leurs robes, qu'elles attendent la balle au tennis, enfin qu'elles vivent.
Rappelez-vous comment elles étaient il y a seulement trois ans. Droites, fières, faisant valoir le moindre pouce de leur taille, et minces, si minces ! C'étaient des Florentines, des reines, d'inaccessibles idoles. Le tango a changé tout cela. Le tango les a humanisées, assouplies, le tango les a brisées.
Il y a même là un profond mystère. Car, enfin, le corset, lui, n'a rien abdiqué de son inflexible nature. Il a beau porter des noms de nixes et d'ondines, de fées, de magiciennes ou de déesses, tout ce qu'on peut dire c'est qu'il commence un peu moins haut pour finir beaucoup plus bas. Et certains ressemblent davantage à des culottes baleinées qu'à des corsets proprement dits. Mais le fait est que cet instrument n'a de suave que le nom et qu'il se compose toujours d'un buse rigide comme un principe, d'agrafes solides comme des crampons et de fanons qui rompent parfois, mais ne plient sous aucun prétexte. Comment une femme aussi farouchement maintenue peut-elle trouver le moyen de se pencher avec une langueur si délicieuse? Comment arrive-t-elle à donner l'impression de n'être, en dessous, couverte que de linons impondérables et de souples batistes? Énigme, vous dis-je. Enigme de courage et d'héroïsme. La femme d'aujourd'hui est cent fois plus étonnante que le jeune Spartiate qui souriait tandis qu'il était dévoré par son renard. Cet adolescent, en effet, personne ne lui demandait dé remuer. Mais la femme à la mode, non seulement elle sourit, mais encore elle va et vient, elle penche le buste à droite et à gauche, elle marche, elle danse, cependant qu'un appareil ingénieux et terrible lui froisse les côtes, lui comprime le ventre, lui lacère les jambes, lui meurtrit les genoux. Que lui importe ? Un sourire d'extase illuminant sa figure enivrée, elle s'avance, désarticulée et engageante, suivant toutes les règles de l'attitude, qui lui donne son grand cachet de chic, de l'attitude-tango.
My dear friend,
You ask me my opinion on current fashion, just like that?… That's a woman's idea!… As if Fou could profess an opinion on such a subject, so undulating! All a man of taste can do is admire his passing contemporaries, and respect this tormenting effort that they impose on you to infinitely diversify their seductive figure. I know that this effort is not always successful. But don't blame fashion, which has nothing to do with it. There are two kinds of women, those who have taste… and those who don't. The latter have the genius to choose from among the outfits of the day precisely the one that will make them look ridiculous.
There comes a time when we no longer notice how graceful the women of taste are who still wear fashionable things last month, but we only have eyes for their unfortunate imitators. That’s when a fashion goes out of fashion. It needs to be changed.
The question of changing does not arise for current fashion, since its characteristic is, on the contrary, to be in perpetual evolution. An evolution! what did I say? a dizziness… We don't have time to relate… It seems that all countries are invited to provide us with constantly renewed sources of inspiration. And it is Persia and soon India, and it is Greece, the Greece of Mr. Pierre Loüys, the semi-eastern Greece of Alexandria, and it is Turkey and tomorrow it will be China. And then afterwards, we will go back to the Middle Ages. We will loot the museums. Current fashion? Ah! very stupid anyone who tries to make fun of it! Because he would not have sooner finished his little diatribe, so vain! that one could already reply to him: “But, Sir, you are dating, you are making fun of a very old thing. What you find ridiculous, we have had enough of it ourselves for at least a fortnight…" Look at the caricatures in the amusing newspapers, and you will be edified. Current fashion, which has the disadvantage of being very expensive for those who want to follow it, and of bewildering them a little, at least has the superiority of escaping ridicule. She runs so fast!…
And yet, you will tell me, it exists. Let's get dressed, damn it! It's up to you to extract the general line from all this, I don't know, the synthesis…
I don't mind. Let's see. Let's search together. Is it the tunic? But no, since a good half of the toilets do not have a tunic. Is it the cape? The cape gives a pretty silhouette, but how many women remain faithful to coats of a completely different shape, and yet remain very in tune! Would the score be given by the hat? I'm willing, but which one? The small, the large, the flat, the wide, the immense, the round, the rolled into a cone, the heavy or the airy?… Look no further and agree with me that what characterizes current fashion is not so much a more or less supple and graceful line of the garment as an attitude of the woman who wears this garment, this soft, hip, abandoned, gentle, passive, a little spineless attitude and which, to tell the truth, I'll call it attitude-tango.
It has often been said: “The stomach has worn a lot this year." What an unfortunate impropriety of expression! You know well, you who dress beautifully and carry yourself the same, that it was never a question of stomach, but that it was very much a question of tango. Now, in the exercise of this charming dance, which, despite resounding ecclesiastical prohibitions, is not about to disappear, one very often finds oneself with one's arm in the air and one's heel raised, carrying the entire weight of one's body, on one side only, which immediately gives the ladies a little languorous and empty air, a limp and lopsided attitude.
By devoting themselves to this dance, our elegant ladies have gotten into the habit of holding themselves like this in all other circumstances of life. And it is while swaying that they enter a salon, that they take tea there, that they listen to men of wit, that they return to their car, that they try on their dresses, that they wait the tennis ball, finally let them live.
Remember how they were just three years ago. Straight, proud, showing off every inch of their waist, and thin, so thin! They were Florentines, queens, inaccessible idols. Tango changed all that. Tango humanized them, softened them, tango broke them.
There is even a deep mystery there. Because, finally, the corset has not abdicated any of its inflexible nature. It may bear the names of nixes and undines, fairies, magicians or goddesses, all we can say is that it starts a little lower and ends much lower. And some look more like boned panties than actual corsets. But the fact is that this instrument is sweet only in name and that it always consists of a nozzle as rigid as a principle, of solid staples like crampons and of baleen which sometimes break, but do not bend under any circumstances. Pretext. How can such a fiercely held woman find a way to bend over with such delicious languor? How does it manage to give the impression of being, underneath, covered only with imponderable lawns and soft cambric? Enigma, I tell you. Riddle of courage and heroism. The woman of today is a hundred times more astonishing than the young Spartan who smiled as he was devoured by his fox. This teenager, in fact, no one asked him to move. But the fashionable woman not only smiles, but also comes and goes, she leans her bust to the right and to the left, she walks, she dances, while an ingenious and terrible device crumples her ribs, compresses her stomach, lacerates his legs, bruises his knees. What does it matter to him? A smile of ecstasy illuminating her intoxicated face, she advances, disjointed and engaging, following all the rules of attitude, which gives her her great stamp of chic, of the tango attitude.
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paletapessoal · 2 months ago
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Négligée by Madeleine Vionnet, 1936 or 1937, Crepe-backed silk satin
Collection of the Palais Galliera, Musée de la Mode de la Ville de Paris.
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philoursmars · 4 months ago
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Marseille, la Bastide Borély , musée des Arts Décoratifs, de la Faïence et de la Mode. Cet été, une expo : "Le Grand Bain".
Rasurel - maillots une-pièce en laine années 40
Jean-Rémy Daumas - maillot une-pièce et maillot "Ali Baba", 1986
vue d'ensemble
Inès de la Fressange - maillot deux-pièces années 90
Jantzen - maillot une-pièce 1950
Corinne Cobson - maillot deux-pièces en maille 1994
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fredomotophoto · 6 months ago
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Basilique Sainte-Thérèse de Lisieux
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Visite de la Basilique Sainte Thérèse de Lisieux
in English below
La Basilique Sainte-Thérèse de Lisieux est un édifice religieux catholique situé à Lisieux, dans le département du Calvados, en Normandie (France). Elle est dédiée à Sainte Thérèse de Lisieux, une religieuse française canonisée en 1925.
La basilique a été construite entre 1929 et 1954, dans un style romano-byzantin, et mesure 107 mètres de long et 35 mètres de large. Elle est considérée comme l’une des plus grandes églises catholiques du XXe siècle.
La basilique abrite le tombeau de Sainte Thérèse de Lisieux, qui y est enterrée depuis 1925. Elle est également le centre de pèlerinage de la ville de Lisieux, qui attire chaque année plus de 150 000 pèlerins. Les visiteurs peuvent accéder au dôme de la basilique, qui offre une vue panoramique sur la ville de Lisieux et la campagne environnante. La basilique abrite également un musée consacré à la vie de Sainte Thérèse, ainsi qu’un cinéma qui diffuse un film sur sa vie.
Les visiteurs peuvent également visiter la crypte de la basilique, qui est décorée de mosaïques représentant la vie de Sainte Thérèse. La crypte est également le lieu de repos de plusieurs religieux et religieuses de l’ordre carmélite. Pour monter jusqu'en haut il nous a fallu monter 500 marches nous a-t'on dit... Je ne les ai pas compté personnellement mais mes jambes s'en sont rappelé toute la nuit...
Visit to the Basilica of Saint Thérèse of Lisieux
The Basilica of Sainte-Thérèse de Lisieux is a Catholic religious building located in Lisieux, in the Calvados department, in Normandy (France). It is dedicated to Saint Thérèse of Lisieux, a French nun canonized in 1925.
The basilica was built between 1929 and 1954, in a Roman-Byzantine style, and measures 107 meters long and 35 meters wide. It is considered one of the largest Catholic churches of the 20th century.
The basilica houses the tomb of Saint Thérèse of Lisieux, who has been buried there since 1925. It is also the pilgrimage center of the city of Lisieux, which attracts more than 150,000 pilgrims each year. Visitors can access the dome of the basilica, which offers panoramic views of the city of Lisieux and the surrounding countryside. The basilica also houses a museum dedicated to the life of Saint Thérèse, as well as a cinema which shows a film about her life.
Visitors can also tour the basilica's crypt, which is decorated with mosaics depicting the life of Saint Teresa. The crypt is also the resting place of several monks and nuns of the Carmelite order.
To get to the top we had to climb 500 steps, we were told… I didn't count them personally but my legs remembered them all night…
Photo : Frédéric Poirier
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gogmstuff · 2 years ago
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More pre-Victorian 1830s (from top to bottom) -
ca. 1830 Evening or wedding dress (location ?). From tumblr.com/andrayblue 1080X1350.
1831 Marquise Chasseloup-Laubat (probably Marie Augustine Antoinette Le Boucher des Fontaines) by Joseph-Désiré Court (Musée des Beaux-Arts de Rouen - Rouen, Normandie, France). From their Web site' enlarged by half 845X1181.
1830-1832 María Cristina de Borbón, Queen of Spain by José de Madrazo y Aguado (Prado). From their Web site 1280X1745.
1832 Marie Franziska von Freytag by ? (Salzburg Museum  - Salzburg, Salzburgland, Austria). From tumblr.com/history-of-fashion 766X963.
1832 Amalie Klein by Friedrich von Amerling (Österreichische Galerie Belvedere - Wien, Austria). From tumblr.com/history-of-fashion; fixed spots & cracks throughout w Pshop 2893X3508.
1835 Illustration from La Mode by Paul Gavarni. From tumblr.com/clove-pinks 1650X2048.
1836 Marriage Portrait of Charlotte de Rothschild by Moritz Daniel Oppenheim (Israel Museum - Jerusalem, Jerusalem District, Israel). From Google Art Project.
Lady with Pink Sash by Camille Joseph Etienne Roqueplan (Sotheby's - 29Jan22 auction Lot 703) 1583X2000.
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omgthatdress · 1 month ago
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Evening Dress
1805
Musée Galliera de la Mode de la Ville de Paris
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look-at-my-dresses · 8 months ago
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Mugler, printemps été 1997
Exposition Fashion Big Bang au Palais Galiera, musée de la mode de la ville de Paris
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