#muggsy spanier
Explore tagged Tumblr posts
tejedac · 1 year ago
Text
Tumblr media
Les harmonies vintage · Playlist
Cab Calloway & his Orchestra · Ted Lewis · Scott Joplin ·The Ink Spots · Muggsy Spanier · Sister Rosetta Tharpe · Jelly Roll Morton · Rose Murphy · Leo Monosson · Kid Ory · Vera Lynn · Comedian Harmonist · Al Bowlly · Mezz Mezzrow · Carroll Gibbons · Elizabeth Cotten · Barnabas von Geczy · The Mills Brothers · The Firehouse Five Plus Two · Mississippi Sheiks · Sippie Wallace · Walter Barnes & his Royal Creolians · Cannon's Jug Stompers · Savannah Churchill · Frank Stokes · The Andrews Sisters · Bunny Berigan · Blind Boy Fuller · Gus Viseur · Barbecue Bob · Harry Roy and his Bat Club Boys · Robert Wilkins · Marek Weber · Tino Rossi · Django Reinhardt · Coleman Hawkins · Red Nichols · Tiny Parham · Mamie Smith her Jazz Hounds · Paul Specht · Ma Rainey · Robert Pete Williams · Sam Morgan's Jazz Band · Bernie Moten · King Oliver's Creole Jazz Band · Sam Lanin and his Orchestra · Tony Murena · Original Dixieland Jazz Band · Helen Kane · Ray Ventura · etc,
6 notes · View notes
jazzrestoration · 1 year ago
Video
youtube
What do you think about this Muggsy Spanier restoration ?
5 notes · View notes
projazznet · 10 months ago
Text
Tumblr media
Muggsy Spanier – Muggsy Spanier 1939-1942
The Total J.J. Johnson is an album by jazz trombonist and arranger J. J. Johnson and Big Band recorded in 1966 for the RCA Victor label. The Allmusic review by Scott Yanow observed “the emphasis is on the arranged ensembles, making this project an excellent example of Johnson’s often-overlooked writing talents”. J. J. Johnson – trombone, arranger, conductor Art Farmer, Danny Stiles, Snooky Young – trumpet Paul Faulise, Benny Powell – trombone Jerome Richardson – alto saxophone, clarinet, flute Phil Bodner – tenor saxophone, clarinet, flute, oboe Tommy Newsom – baritone saxophone, bass clarinet, flute Hank Jones – piano Ron Carter – bass Grady Tate – drums
7 notes · View notes
thriftstorerecords · 2 years ago
Photo
Tumblr media
The Great 16! Muggsy Spanier's Ragtime Band RCA Victor Records/USA (1956)
28 notes · View notes
jpbjazz · 10 months ago
Text
Tumblr media
Muggsy Spanier
2 notes · View notes
mycosylivingroom · 2 years ago
Text
2 notes · View notes
hmr-project-1 · 2 years ago
Text
Special issue Early Jazz No.31 Muggsy Spanier.
Tumblr media
0 notes
leonardcohenofficial · 2 years ago
Audio
4 notes · View notes
bungitonthen · 4 years ago
Photo
Tumblr media Tumblr media
THE GREAT 16! - MUGGSY SPANIER’S RAGTIME BAND
0 notes
gregpoppleton · 5 years ago
Text
International Sweethearts of Rhythm - Phantom Dancer 5 November 2019
International Sweethearts of Rhythm – Phantom Dancer 5 November 2019
Tumblr media
INTERNATIONAL
This week’s Phantom Dancer feature artist with Greg Poppleton is The International Sweethearts of Rhythm, the first integrated all women band in the United States. Latina, Asian, Caucasian, Black, Indian and Puerto Rican members gave the band an ‘international’ flavour, hence the name. You’ll hear them today from 1944-45 AFRS airchecks.
ONLINE
This week’s Phantom Dancer will be…
View On WordPress
0 notes
itsnothingbutluck · 3 years ago
Link
1 note · View note
Photo
Tumblr media
Muggsy Spanier (1946)
2 notes · View notes
kvetchlandia · 4 years ago
Photo
Tumblr media
Dennis Stock     Pianist Earl “Fatha” Hines, Cornet Player Muggsy Spanier and Drummer Earl Watkins Playing a Gig, San Francisco     1958
88 notes · View notes
projazznet · 10 months ago
Text
Tumblr media
Muggsy Spanier – Muggsy Spanier 1939-1942
“…The most important ingredient, of course, is the wonderful cornet of Muggsy Spanier, who Lester Young gently christened “Muddy Spaniels.” – AllMusic.
0 notes
thriftstorerecords · 4 years ago
Photo
Tumblr media
Muggsy Spanier Plays Dixieland Jazz Craftsmen Records/USA
8 notes · View notes
jpbjazz · 7 months ago
Text
LÉGENDES DU JAZZ
LES DÉBUTS DU JAZZ ‘’BLANC’’: FRANK TESCHEMACHER
Né le 13 mars 1906 à Kansas City, au Missouri, Frank Teschemacher était le plus jeune des trois enfants de Charles Teschemacher et Charlotte McCorkell. Charles Teschemacher s’était installé à Chicago avec sa famille en 1912 après avoir été transféré par son employeur, une compagnie de chemin de fer.
Teschemacher avait d’abord pris des cours de piano, mais il était rapidement passé au banjo qu’il avait appris essentiellement en autodidacte. Préférant qu’il étudie un instrument plus conventionnel, les parents de Teschemacher lui avaient fait suivre des cours de violon à l’âge de dix ans. Teschemacher s’était plutôt bien débrouillé et avait même appris à lire la musique. Préférant la musique populaire, Teschemacher avait été initié au saxophone alto par un ami peu avant d’avoir amorcé ses études au Austin High School. Teschemacher n’avait d’ailleurs pas tardé à s’acheter son propre saxophone quelque temps plus tard.
Il n’avait pas été facile pour Teschemacher de s’adapter à son nouvel environnement. Plutôt mince, timide, renfermé et sujet à l’acné, Teschemacher était souvent au-dessous de la moyenne comme étudiant, mais il excellait dans ses cours de musique. La vie sociale de Teschemacher se limitait souvent à ses intérêts musicaux et il passait la majeure partie de son temps avec un groupe d’amis qui comprenait les frères Jimmy et Dick McPartland,Jim Lanigan et Bud Freeman, et qui s’était éventuellement fait connaître sous le nom de Austin High School Gang.
Le groupe se passionnait particulièrement pour les enregistrements des New Orleans Rhythm Kings, un groupe de dixieland blanc qui était bâti autour des musiciens George Brunies, Leon Roppolo et Paul Mares de La Nouvelle-Orléans. À l’époque, les New Orleans Rhythm Kings avaient décroché une longue période de résidence au Friar’s Inn, un speakeasy qui était la propriété du tenancier de clubs de nuit Mike Fritzel. Le Friar’s Inn était d’autant plus intéressant pour les jeunes garçons qu’il avait la réputation d’être fréquenté par des gangsters...
Après avoir recruté le pianiste Dave North et le batteur Dave Tough (qui fréquentait le Oak Park High School situé à proximité), la Austin High School Gang avait formé un groupe appelé les Blue Friars pour rendre hommage au Friar’s Inn. Peu après, le groupe avait commencé à se produire dans des danses locales tout en jouant à l’occasion à l’extérieur de la ville.
C’est à peu près à la même époque que Teschemacher avait été présenté au clarinettiste et saxophoniste Bud Freeman. Après avoir appris les techniques de base de la clarinette, Teschemacher avait même commencé à la préférer au saxophone, même s’il avait continué de jouer des deux instruments.
En 1923, les membres de la Austin High School Gang étaient devenus suffisamment connus dans la région pour attirer l’attention de Husk O’Hare, un promoteur agressif qui avait de bons contacts dans les clubs. Après avoir changé le nom du groupe pour les Blue Dragons, O’Hare lui avait obtenu des contrats à la radio et dans les salles de danse. O’Hare avait notamment décroché un contrat pour le groupe au populaire White City Amusement Park où il s’était produit sous le nom de “Husk O’Hare’s Wolverines“.
À la grande déception de ses parents, Teschemacher avait commencé à consacrer de moins en moins de temps à ses études et avait éventuellement abandonné complètement l’école durant son année senior. À l’époque, Teschemacher avait commencé à se tenir avec un groupe de jeunes musiciens blancs de Chicago comprenant Eddie Condon, Gene Krupa, Joe Sullivan, Muggsy Spanier, Benny Goodman et Floyd O’Brien. Passionnés par la scène du jazz à Chicago, ces musiciens avaient en commun d’être fascinés par le style et la technique des musiciens de jazz de couleur. L’un des favoris de Teschemacher à cette époque était le clarinettiste Johnny Dodds, un partenaire de Louis Armstrong avec qui il s’était fait connaître pour son jeu imitant le son du cornet. Teschemacher avait également été très influencé par Bix Beiderbecke, avec qui il avait d’ailleurs enregistré plus tard.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
En raison de sa passion pour la musique, de sa polyvalence (il jouait du banjo, du violon, de la clarinette, du saxophone et du piano) et de son désir de prendre tout contrat qui se présentait, Teschemacher avait commencé à travailler régulièrement, contribuant notamment avec Wingy Manone, Sig Meyers, Charley Straight, Floyd Town et Art Kassel. Même s’il avait participé à plusieurs tournées, les principaux contrats de Teschemacher avaient lieu dans les salles de danse et les parcs d’amusement qui avaient commencé à se multiplier dans la région de Chicago entre les années 1900 et 1920.
Teschemacher avait fait ses débuts sur disque avec les Chicagoans de Red McKenzie et Eddie Condon le 9 décembre 1927 avec qui il avait enregistré les pièces “Sugar” et “China Boy“. Une autre session avait eu lieu une semaine plus tard et avait permis d’enregistrer deux autres pièces: “Nobody’s Sweetheart” et “Liza“. Avaient également participé aux sessions des membres du Austin High School Gang comme Jimmy McPartland, Bud Freeman et Jim Lanigan, ainsi que les membres des  Chicagoans Eddie Condon, Gene Krupa et Joe Sullivan. La session était dirigée par l’ancien disc-jockey Red McKenzie.
Au printemps 1928, Teschemacher avait enregistré avec deux autres groupes de McKenzie et Condon, les Chicago Rhythm Kings et les Jungle Kings. Le 28 avril de la même année, Teschemacher avait fait ses premiers enregistrements comme leader pour les disques Brunswick avec un groupe appelé les Frank Teschmacher’s Chicagoans. Les pièces enregistrées étaient “Jazz Me Blues” et “Singing the Blues”. Même si les bandes maîtresses de la session avaient été rejetées et détruites, une version test de la pièce “Jazz Me Blues” avait été découverte plus tard avant d’être publiée en 1939 sur l’étiquette  United Hot Clubs of America (UHCA) et d’être rééditée par les disques Decca.
Au milieu de l’année 1928, avec le déplacement de la scène du jazz de Chicago à New York, Teschemacher s’était joint à Eddie Condon, Joe Sullivan, Gene Krupa, Bud Freeman, Jimmy McPartland et Red McKenzie pour découvrir de nouvelles opportunités de se produire dans le Big Apple. Même s’ils avaient obtenu peu d’occasions de jouer comme groupe, les membres de la formation avaient décroché quelques engagements à titre individuel. Teschmacher avait d’ailleurs obtenu plus que sa part de ces contrats et avait joué avec les orchestres de Sam Lanin, Ben Pollack, Red Nichols, Miff Mole, Don Redman et les Dorsey Brothers.
Après avoir passé cinq mois à New York, Teschmacher  avait finalement eu le mal du pays et était retourné à Chicago. Il faut dire que Teschmacher était marié depuis huit mois à une jeune femme de Chicago, Helen, et était anxieux de la retrouver. Malheureusement, le mariage s’était conclu par un divorce à l’amiable le 7 novembre 1930. La famille de Teschemacher n’avait jamais apprécié Helen. Sa mère l’avait même qualifiée de ‘’unfortunate thing”.
De 1929 à 1930, Teschemacher s’était surtout produit dans la région de Chicago, mais il avait enregistré de façon beaucoup plus occasionnelle. Il avait aussi fait une brève tournée avec le Jan Garber Orchestra pour qui il avait écrit des arrangements et joué du violon et des instruments à vent. Durant cette période, Teschemacher avait également enregistré avec le Club Royale Orchestra de Wingy Manone, Ted Lewis et le Friar’s Society Orchestra d’Elmer Schoebel, qui avait pris la relève des New Orleans Rhythm Kings.
En 1931, Teschemacher travaillait toujours dans le circuit des salles de danse. Lors d’une prestation avec le Benny Meroff Orchestra au Granada Ballroom, Teschemacher s’était lié d’amitié avec le trompettiste ‘’Wild Bill’’ Davison. Le duo avait éventuellement formé son propre big band. À l’hiver de 1931-32, le groupe avait d’ailleurs tenu des auditions afin de sélectionner les meilleurs musiciens disponibles. Même si le big band avait décroché peu de contrats, il avait récolté d’excellentes critiques. Finalement, le groupe avait décroché un engagement à long terme au Guyon’s Paradise Ballroom dans le West Side à partir de mars 1932. Propriété de J. Louis Guyon, un promoteur impliqué dans les salles de danse depuis 1909, le club avait ouvert ses portes en 1914. Située sur le côté ouest de l’Avenue Crawford Nord (aujourd’hui la route Pulaski), à environ un bloc au nord de la rue Madison Nord, la salle était éloignée de seulement deux miles du Austin High School que Teschemacher avait fréquenté avec les autres membres du groupe.
UNE MORT TRAGIQUE
Le soir du 29 février 1932, Teschemacher avait invité Davison à passer la nuit à son appartement afin de se préparer à la pratique du groupe prévue pour le lendemain. Après avoir fait escale dans un speakeasy pour visiter un confrère musicien, le duo se dirigeait vers l’appartement de Teschemacher dans la décapotable Packard de Davison lorsque celle-ci était entrée en collision avec une voiture de taxi de couleur jaune dont les lumières étaient éteintes. La voiture de Davison avait terminé sa course contre un arbre, projetant les deux occupants à travers le pare-prise. Victime d’une fracture du crâne, Teschemacher avait été transporté au Ravenswood Hospital situé à environ un mille à l’ouest du site de l’incident. C’est là qu’il était mort quatre heures plus tard. Les médecins avaient déclaré par la suite que Teschemacher aurait eu de meilleures chances de survivre à l’incident s’il avait pu se protéger la tête avec ses mains.
Brièvement détenus par la police pour négligence, Davison et le chauffeur de taxi avaient éventuellement été disculpés par l’enquête du coroner. La mort de Teschemacher avait cependant tourmenté Davison pendant des années et l’avait même forcé à quitter Chicago et à abandonner la direction du groupe à Toasty Paul.
Teschemacher avait été enterré, peu avant son 26e anniversaire de naissance, au Woodlawn Cemetery à Forest Park, dans les Illinois, non loin du Austin High School. Son ex-épouse Helen avait assisté aux obsèques. Parmi les porteurs du cerceuil, on remarquait le chef d’orchestre Floyd Town, le pianiste pianist Jess Stacy et le batteur George Wettling. Même si Kensel C. “Toasty” Paul avait assuré la relève de Teschemacher au Paradise Ballroom, le groupe n’avait plus été le même sans lui. Selon le pianiste remplaçant du groupe Oro “Tut” Soper, la mort de Teschemacher avait emporté un peu l’âme de la formation.
En raison de la brièveté de sa carrière, Teschemacher était toujours resté un peu controversé. Même si la technique de Teschemacher avait souvent été critiquée pour son caractère primitif et peu conventionnel, certains critiques avaient fait remarquer que ces déficiences étaient simplement attribuables au fait qu’il avait continué de se développer et qu’il n’avait pas encore atteint le sommet de son potentiel. D’autres critiques avaient ajouté que le style de Teschemacher n’aurait pas tardé à être imité et qu’il serait sûrement devenu un grand innovateur s’il avait vécu plus longtemps. Mais même si certains avaient critiqué le talent de Teschemacher comme clarinettiste, il avait toujours ignoré ces critiques de son vivant.
Le travail de Teschemacher comme leader avait exercé une influence considérable sur de futurs grands noms du jazz comme Benny Goodman et Pee Wee Russell. Outre son jeu à la clarinette, Teschemacher avait également enregistré au saxophone. Le réalisateur Ken Burns a rendu hommage à Teschemacher dans le cadre du deuxième épisode de sa série sur le Jazz diffusée sur le réseau PBS en 2001.
©-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique
SOURCES:
‘’Frank Teschemacher.’’ Wikipedia, 2024.
‘’Frank Teschemacher (1906-1932).’’ The Syncopated Times, avril 2024.
1 note · View note