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Parc Pinocchio
#affiche#élections législatives#2024#ps#parti socialiste#Faure#Oliver Faure#modem#mouvement démocrate#luquet#aude luquet#NFP#nouveau front populaire#saint Martin#Arnaud Saint Martin
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Pour la défense du terme "réaction (thermidorienne)"
Voici une section d'un article que je suis en train de faire à partir de la 4e partie (encore inédite) de ma thèse, que je viens de rédiger et qui va sans doute finir par être réduite de beaucoup, mais que je pense pouvoir intéresser mes abonnés ici. Il s'agit d'une réflexion sur la pertinence du terme "réaction (thermidorienne)".
Grosso modo, je suis plutôt d'accord avec l'idée qu'utiliser "Réaction thermidorienne" pour désigner la période 9 thermidor an II-4 Brumaire an IV n'est pas génial, parce que cela ignore les mois de flottements et de luttes politiques de la fin de l'an II et du début de l'an III (je préfère parler de la période de la "Convention thermidorienne"), mais je pense qu'il est insensé de prétendre que le projet politique qui a fini par triompher au cours de cette période n'était pas réactionnaire :
À l’instar des critiques de l’usage de « la Terreur », que ce soit comme désignant d’une « politique[1] » cohérente ou simple chrononyme, d’autres termes traditionnels connaissent en ce moment historiographique une remise en question salutaire. Celui de « Réaction thermidorienne » en fait partie. Comme le dit Michel Biard en parlant des désignants des acteurs, « « thermidorien » n’a aucun sens précis, « réacteur » est abusif puisqu’on ne peut réduire la période qui suit Thermidor à une « réaction » au sens politiquement piégé du mot[2] ». On ne peut qu’être d’accord avec Biard sur premier terme. Le problème du mot « thermidorien » — qui peut s’appliquer tant aux personnes ayant participé au coup d’État parlementaire du 9 thermidor ou qui y ont adhéré après, qu’à celles qui en profiteront par la suite pour dénoncer et renverser les politiques adoptées au cours de 1793 et de l’an II — est connu depuis longtemps. Néanmoins, l’usage continué du terme de « réacteur », qui a précisément été adopté pour différencier les individus de la seconde catégorie de ceux du premier, et avec lui de « réaction », me paraît justifié à trois titres. D’abord, comme il s’agit d’un terme d’époque, il peut être utile pour comprendre l’état d’esprit de ceux qui l’employèrent. Mais au-delà de ce premier type d’usage, et sans vouloir englober toute la dernière séquence de la Convention à partir du 9 thermidor dans le terme de « Réaction », ce qui serait effectivement abusif, il y a fondamentalement un processus de « réaction » au premier sens du mot à l’œuvre puisque il y eut chez beaucoup de conventionnels une volonté affichée (quoique sélective) de revenir sur l’œuvre des mois précédents. Ensuite, le terme de « réaction » au sens fort du terme, non comme chrononyme, mais pour désigner la politique d’abandon des mesures et jusqu’aux principes démocratiques, sociaux et jusnaturalistes de 1793-an II, et de « réacteur » pour désigner ceux qui soutenaient un tel projet politique, me paraît adapté. On peut reconnaître la complexité de la « réaction » contre une « terreur » construite de façon à imbriquer aussi étroitement violence et participation populaire, de façon cynique chez les anciens Montagnards et sans doute beaucoup plus sincère, tant le lien leur paraissait naturel (leurs propres expériences semblant confirmer les écrits des auteurs anciens hostiles à la démocratie) chez les « Brissotins » réintégrés. On peut même se demander comment situer par rapport à ce terme les démocrates qui ont participé à la construction de l’épouvantail « terroriste » en croyant ne s’opposer qu’au volet répressif des politiques de 1793-an II mais qui finirent par dénoncer la « réaction ». Néanmoins, on ne peut comprendre une période qui vit l’abandon de la constitution de 1793 en faveur de celle qui fonda le Directoire, qui réprima la gauche et anéantit le mouvement populaire, sans pouvoir nommer le projet politique antidémocratique, antisocial et donc réactionnaire qui fut la cause de ces retournements, et ceux qui en étaient porteurs. [1] Patrice GUENIFFEY, La politique de la Terreur, 2000. [2] Michel BIARD, Les derniers jours de la Montagne, 2023, p. 23.
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«Les bébés que nous mangeons»: la «déesse du transhumanisme» et «cavalière du cheval pâle» veut l’«élimination d’un quart de l'humanité»
«Nous sommes en charge du processus de sélection des Dieux pour la planète Terre», expliquait (https://www.amazon.co.uk/Evolutionary-Testament-Co-Creation-Promise-Will/dp/1612641725) en 2015 Barbara Marx Hubbard.
«Un quart de l'humanité mondiale doit être éliminé du corps social», préconisait la gourou du New Age, mouvement financé (https://thegreatworkdecoded.com/knowledge-base/new-age-rockefellers-and-the-un/) par des Rockefeller.
Nous sommes en charge du processus de sélection des Dieux pour la planète Terre. Il sélectionne, nous détruisons. Nous sommes les cavaliers du Cheval pâle [de l’Apocalypse] celui de la Mort.
Le même que celui qui est apparu (https://x.com/philippeherlin/status/1816933441457242598) lors du «show» des J.0., soit-disant la «déesse Sequana»?
Hubbard n’est pas une marginale: elle a été nominée (https://en.wikipedia.org/wiki/Barbara_Marx_Hubbard) en 1984 sur le ticket du Parti démocrate comme vice-présidente des Etats-Unis.
Surnommée la «déesse du transhumanisme», elle a joué un rôle essentiel dans le développement des valeurs et des croyances de l’élite occidentale.
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Que nous apprend le projet politique qu’on appelle néolibéralisme ? Puisant ses racines idéologiques dans La Route de la servitude de Friedrich Hayek et les développant au sein de l’École de Chicago, le néolibéralisme a atteint l’Europe à la suite des luttes ouvrières des années 1970. Le cadre a été fixé par les représentants politiques du grand capital. En Grande-Bretagne, ce fut le gouvernement de Margaret Thatcher. Liberté et capitalisme, dit-on, sont indissociables. La moindre intervention de l’État pour modérer le « libre » marché serait le premier pas sur la voie de la dictature. En conséquence, le capitalisme doit réussir et les profits doivent être garantis. Cela signifie, inévitablement, un effort constant pour accroître l’exploitation de la classe ouvrière. Thatcher s’est employée à cette tâche avec une précision militaire en menant son attaque sur trois fronts : retirer les subventions de l’État aux industries défaillantes et permettre une augmentation massive du chômage ; promulguer des lois afin de restreindre la capacité des syndicats à résister ; et provoquer des grèves que le gouvernement savait pouvoir briser. Les choses se sont passées comme prévu. Alors que les usines étaient obligées de fermer les unes après les autres et que les industries tombaient en faillite, le chômage augmentait rapidement. La plupart des dirigeants syndicaux, des sociaux-démocrates de droite, ont choisi de ne pas mobiliser les militants alors que beaucoup étaient prêts à se battre. Cet échec, largement passé sous silence dans l’histoire écrite par la classe dominante, a joué un rôle important dans le succès de Thatcher. Avec tant de personnes sans emploi, il était plus difficile de défendre les salaires et les conditions de travail. « Si vous ne voulez pas travailler dans ces conditions, dix autres personnes sont prêtes à prendre votre place. » Les nouvelles lois ont été violentes. Les travailleurs ne pouvaient pas décider la grève lors d’une assemblée générale. On devait voter par correspondance, l’employeur se donnait ainsi le temps de se préparer et la presse pouvait faire campagne contre un éventuel débrayage. Seule une poignée de piquets de grève pouvaient s’opposer aux briseurs de grève lorsqu’ils essayaient de se rendre au travail. Le rapport de force entre classes sociales tournait fortement à l’avantage des employeurs. Les grèves étaient manipulées de telle sorte que les syndicats les plus fragiles étaient entraînés dans des combats qu’ils ne pouvaient pas gagner, à commencer par les sidérurgistes. Le syndicat le plus puissant et le plus politisé a été le dernier à rendre les armes. La grève des mineurs, en 1984, a duré un an et cette bataille a été cruciale. Le mouvement ouvrier a bénéficié d’un grand soutien de la base, mais, là encore, les leaders syndicaux se sont tenus à l’écart. Les dirigeants du parti travailliste, Neil Kinnock et Roy Hattersley, ont refusé d’apporter leur soutien aux grévistes. Ils se sont joints à la longue et honteuse liste de ceux qui ont accédé au pouvoir sur le dos des travailleurs et des travailleuses, mais qui les ont abandonnés quand ceux-ci avaient besoin d’eux. Les mineurs ont été vaincus. Et le néolibéralisme s’est poursuivi sans autre obstacle sur sa route. Les leçons ? Premièrement, le conflit entre les intérêts du capital et ceux du travail est au cœur même du capitalisme. Le grand capital cherchera toujours de nouvelles façons d’exploiter les travailleurs. C’est dans son ADN. La coexistence pacifique est vouée à l’échec. Le marché à vocation sociale est un mythe. Deuxièmement, le peuple se défendra toujours. La pauvreté, l’injustice, l’inégalité et le fait de savoir que l’on vous trompe – tout cela fera l’objet de résistances. Le peuple est courageux et a le sens de ce qui est juste et équitable. Mais cet engagement n’est pas suffisant et conduit à la leçon suivante... Troisièmement, il est essentiel qu’un mouvement de rupture avec le néolibéralisme soit guidé par de solides principes tout en ayant une stratégie politique avisée. Les responsables de ce mouvement doivent comprendre que la classe dominante est impitoyable. Toutes les avancées que les travailleurs peuvent conquérir doivent être consolidées et sécurisées et, en fin de compte, ne peuvent être sauvegardées que par la prise du pouvoir politique. Nos acquis de 1945, à savoir les nationalisations, le service de santé publique, l’éducation gratuite pour tous et bien d’autres choses encore, ont soit disparu soit sont en train d’être balayés à mesure que le capital continue de se développer. Le militantisme sans un puissant mouvement politique de rupture est comme la vapeur d’une bouilloire, il se dissipe dans l’air. Quatrièmement… pourquoi faut-il garder espoir ? Le capital n’est jamais rassasié. Il peut gagner une bataille, trouver de nouveaux modes d’exploitation, mais la concurrence acharnée oblige les gros employeurs à toujours trouver d’autres moyens de tirer des profits. Il faut alors mener une nouvelle lutte. Le cycle se répète sans cesse. Chaque tour de roue est donc une opportunité. Pouvons-nous nous organiser, nous défendre et gagner la prochaine fois ? Et, pour finir, mon avertissement. Il n’est plus possible que cette lutte se poursuive indéfiniment. Le changement climatique et la menace qui pèse sur l’environnement nous mettent en danger de façon imminente et rendent d’autant plus urgente la nécessité d’un changement fondamental. Rosa Luxemburg posait cette question : « Socialisme ou barbarie ? » Aujourd’hui, la question est celle-ci : Le socialisme ou la mort ?
Ken Loach - Socialisme ou la mort ?
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Et le fautif est...
Nous vivons tout de même une époque fantastique : toute seule et sans que personne ne lui ait rien demandé, elle arrive à endosser et à sublimer la totalité des défauts qui ont empêché, à travers les âges, l'humanité de trouver sa place, son équilibre, son identité... donc son bonheur ! Notre monde est peuplé --et il en meurt, d'ailleurs-- de surdiplômés qui prétendent se rêver paysans, de gens assis qui se veulent aventuriers, de donneurs de leçons qui croient se substituer aux écoliers, et –ce sont les mêmes !-- de nuls qui se pensent intelligents ! (''J'ai les noms''... ajoutait Coluche !).
Combien de fois l'avons-nous entendu, ce fabricant de poncifs qui pollue nos petits écrans en discourant avec autorité sur absolument tout ce qu'il ignore tout aussi absolument ? Il est là, poussah assis comme sur un trône, faisant l'éloge conjoint (à écrire en deux mots, ici !) de la marche et du mouvement. Il est bouffi de son savoir ès-toutes choses, au point de se sentir investi du devoir de nous expliquer les charmes de la table rase, du retour aux sources, de la naïveté baptisée vertu cardinale, de la décroissance, s'autorisant même un éloge du farniente, du télé-travail et de la RTT réunis... voire de la guerre préventive contre un ennemi qui pourrait menacer notre long terme, un jour : ''autant --dit-il-- lui déclarer la guerre, là, et mourir tout de suite''...
Les plus malhonnêtes ont poussé le bouchon jusqu'à voter la semaine de 35 heures comme susceptible d'être ''une conquête sociale'' et une victoire du genre humain sur la société... qui 25 ans plus tard, est incapable de se remettre de ce coup fatal... D'autres re-baptisent ''fraternité'' le fait d'assassiner ceux qui ne produisent plus rien pour la société, et ''dignité'' l'abandon de la vie... Jamais autant qu'aujourd'hui n'a-t-on eu le droit d'affirmer que ''les mots tuent''. On se demande même s'il ne faudrait pas dire : ''Les mots, seuls, tuent vraiment...''.
Nos apprentis sorciers imaginent leur savoir si encyclopédique qu'ils se paient le luxe de vanter les bienfaits (?) de l'ignorance et les avantages douteux de ''la page blanche''.... d'où ils vont tirer que le comble du bonheur futur sera dans la grossièreté, la vulgarité promue ''distinction'', la mauvaise éducation devenue agression et récrimination permanente, l'inculture caricaturale... et l'assistanat, incontournable pour les enfants des autres (qu'ils désignent par ''nos enfants'', ceux qu'ils n'ont pas eus, sans qu'il soit possible d'établir le moindre rapport entre les prémisses et la conclusion : leurs syllogismes sont illogiques, et eux, trop bouffis de leur importance auto-proclamée pour pouvoir s'en rendre compte !)
Moins ils comprennent le monde, et plus ils plastronnent : rien de tel qu'un orateur pour expliquer le silence... qu'une pensée architecturée pour décrire l'anarchie... qu'un haut fonctionnaire-à-vie pour expliquer les avantages de l'allocation-chômage... qu'un ex-prix de thème pour vanter les qualités poétiques ou autres du dernier de la classe... qu'un énarque, qui a tout et n'en tire rien, pour déclarer ''bonne'' l'étoile de celui qui n'a rien et en tire ce qu'il peut... ou qu'un démocrate ''façon Science-Po'' pour excuser les dérives survenues très loin de là, ou tout près de lui mais à des gens qui ne sont pas ''du même monde que lui''... ou qu'un exempté de tout service militaire pour rêver d'en découdre avec l'armée russe... Mais la contradiction n'a-t-elle pas toujours fait partie des ''impedimenta'' que l'homme, cet éternel nomade, traînait avec lui ?
Dimanche dernier, sortant de ma messe dominicale chez ''mes'' petites sœurs de Bethléem, je suis tombé sur un ami (une vague ''relation'', plutôt) qui passait par là, par pur hasard, et qui m'a susurré que lui n'entrait plus dans des endroits aussi peu fréquentables qu'une église (sous-entendu : pas comme les idiots qui n'ont pas encore trouvé les bienfaits du ''Non'' –que moi, je ne veux pas connaître : ''à chacun selon ses mérites'', disait Étienne-Gabriel Morelly, ''le philosophe oublié'', dans son ''Code de la Nature'' (1755, donc ''une lumière''), idée reprise en 1840 dans ''Voyage en Icarie'' par Etienne Cabet, théoricien du ''communisme chrétien''(sic ! Le nom, seul, me donne envie de pouffer de tristesse ! Car il y en a eu aussi, des cons, avant nous ! Ça rassure !).
Bref cette autorité morale uniformément reconnue par lui-même m'a abreuvé des poncifs mille fois entendus : notre civilisation est trop hypocrite... notre vieux continent, fichu... le christianisme n'est qu'un souvenir en Europe... qui, elle-même n'est plus qu'un mot, une enveloppe vide. Ne pensant qu'à fuir, je n'ai pas éprouvé le besoin de lui expliquer que pendant qu'il psittacisait ses lieux communs, je pensais à ma joie d'être né dans un lieu où les sagesses gréco-latines (comme lui et moi) et judéo-chrétiennes (pour moi seul l) s'étaient mêlées pour donner naissance à cette idée folle qu'on appelle ''Liberté'', ce concept qui, précisément, lui permet le choix d'entrer ou non dans une église, et –pour moi-- de revisiter avec extase Saint Etienne du Mont et son jubé, Saint Séverin et son pilier-palmier improbable ou Saint Sulpice et les 106 jeux de son orgue, en espérant qu'un organiste viendra répéter à ce moment-là...
Les grands esprits microscopiques qui nous dirigent ont tué en eux l'enfant qu'ils n'ont peut être même jamais été : ce sont des comptables (dont une définition est : ''ce sont des tables avec des gens autour...''!), des gestionnaires ou des contrôleurs de gestion, des régisseurs ou des administrateurs, des préposés aux normes et aux formulaires qui ne voient leurs semblables que comme derrière un guichet, entre deux classeurs... mais ont oublié ce que c'était qu'un sourire. Et lorsqu'ils parlent de ''nos enfants'' (ceux qu'ils n'auront jamais : il est bien trop tard, et ils ne savent plus en faire !) et de ''leur futur'' (qui fait peur aux êtres vivants, qu'ils ne sont plus), on a l'impression de lire une norme en pleine élaboration... Là où les hommes, assurés du minimum vital, ont besoin de dignité, de reconnaissance, de tendresse, (merci, Maslow !), de vérité et de mots simples, ils ne proposent que des chiffres triturés, de leur morale amorale, et d'une anti-économie dépensière... sous couvert de ''concret'', ce premier stade de la chute vers la mort...
Pourtant, paysans de tous les pays ou pas, un vent de fraîcheur semble s'être levé sur le monde... Ici, là, un peu partout, les structures bureaucratiques craquent, les normes se fissurent, les gens –je veux dire : ''les vrais gens'', ni nos politiciens retardataires (dont il est urgent de se débarrasser), ni les collaborationnistes ''fans'' de ces idéologies sans idées qui ont rendu les hommes fous et malheureux depuis le XVIIIème siècle et ont engendré tant de monstres indésirables en ''--isme'', pas plus que ceux qui tentent de s'inventer une nouvelle jeunesse (déjà vieille) mais qui sont au moins ''aussi pires'' (car drogués à tout ce qui assassine l'Humanité depuis 6 ou 7 ans : le faux écologisme, le wokisme, l'indigénisme, le décolonialisme pathologique, le racisme-à-toutes-les-sauces, le faux féminisme dément, le ''cancel-culture'' qui est un authentique ''cancel l'Humanité'', etc... il y en a trop, disent les réseaux sociaux, de ces psychotropes pour psychopathes très haut placés... ou très haut consommés).
Les hommes se révoltent, dans tous les pays, à commencer par ceux qui sont les plus soumis à l'ordre désordonné actuel... Redressons la tête : tout n'est pas perdu ! Ça ne va pas être facile, mais au moins, l'espoir renaît. Comme il nous manquait !
H-Cl.
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Les conséquences de l’élection de Trump chez nous
Nous avons interrogé Jean-Frédéric Poisson, ancien député, Président de VIA – Parti Chrétien démocrate et administrateur du Mouvement européen des partis chrétiens, à propos de l’élection de Trump et de ses conséquences pour nous: Si on en croit vos déclarations de la semaine dernière, l’élection de Donald Trump aux États-Unis vous a réjoui ? Oui. je dois avouer que voir les têtes déconfites,…
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Rappelons ici qu’un électeur sur deux qui se déplacent pour aller voter est un retraité et que cette réalité ne va faire que s’aggraver, démographie oblige.
Bonne nouvelle toutefois, cela n’importe qu’en démocratie.
La solution est donc sous nos yeux : abolir la démocratie !
Il est plus facile d’abolir la démocratie d’un bloc que de chercher à circonvenir le problème en réduisant le corps électoral. On pourrait bien sûr interdire aux retraités de voter au motif très légitime qu’ils ne contribuent plus à la production nationale ou quasiment, mais nous verrions alors toutes les autres catégories d’assistés – de parasites – se mobiliser pour s’y opposer après avoir senti le vent du boulet.
En somme, ce serait encore trop démocratique.
Abolir la démocratie suppose d’écraser violemment les démocrates de toutes les saveurs et dispense le fasciste de se perdre en conjectures. Mieux vaut donc en finir avec cette expérience désastreuse qui, en 150 ans, a fait de la France un pays d’Afrique de 44 ans de moyenne d’âge dirigé par des juifs, des homosexuels et des femmes blanches.
Hélas, l’opium démocratique est la drogue favorite de l’homme blanc. Il flatte son égo et lui épargne de se confronter à la stupidité de ses semblables. Par déni, conviction ou lâcheté, très nombreux sont ceux qui croient que la solution sera électorale en dépit du mur de verre démographique.
Il serait temps de faire de la destruction de la démocratie un mouvement de société.
Démocratie Participative
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Je suis aussi française et ça fait grave peur les états unis. Trump vient à l'instant de gagner et c'est désespérant. Heureusement que notre pays ne va pas suivre les US au niveau des droits des femmes je pense (quand roe v wade est arrivé la France à codifié l'avortement même si c'était plus pour se la péter qu'autre chose). Mais bon. Ça fait bien peur niveau changement climatique et 3eme guerre mondiale tout ça avec la Russie et tout le reste. Je trouve les jeunes américains qui ont appelé à ne pas voter extrêmement cons mais à un point qui m'énerve.
Oui heureusement que le droit à l'avortement est rentré dans la constitution. Mais il y a aussi tellement d'autres lois notamment anti lgbt (et en particulier anti trans), anti immigration qui vont passer (sont déjà passées) et vont inspirer les autres pays. Malheureusement cette élection va encore plus donner de voix aux mouvements fascistes en France, et ailleurs, et on ne va pas continuer à échapper de justesse à ce fléau nous non plus. Et puis en soi on n'est pas beaucoup mieux que les US en ce moment...
Pour le climat, on va pas se mentir, peut importe qui est élu j'ai pas l'impression que qui que ce soit en ait quelque chose à faire de ça là-bas... J'ai absolument rien entendu sur le sujet.
Et j'avoue la Russie et la guerre en Ukraine avec Trump ça me fait très peur aussi. Je vois pas comment l'UE va gérer ça alors que personne ne s'entend... Enfin bref je vois pas trop comment être optimiste.
Pour les américains qui n'ont pas voulu voter... En vrai je suis partagée. Il y a quelques années encore j'aurais ragé à chaque fois que quelqu'un me dit qu'il ne vote pas... Et je comprends tout à fait ta colère. Mais honnêtement quand on voit comment on s'est battu aux législatives en France pour faire passer la gauche et qu'au final on se retrouve avec un vieux mec de droite alors qu'ils ont fini quatrièmes aux élections... Franchement je me demande vraiment à quoi ça a servi de voter. Ça me dégoûte. Et pour les US je comprends que c'est énervant tout ces gens qui n'ont pas voté ou ont voté third party, mais beaucoup l'ont fait pour condamner le génocide en Palestine et le parti démocrate n'a jamais condamné Israël et de toute façon ils ne feront pas. Peu importe le parti les US restent les alliés d'Israël. À un moment donné entre deux partis qui supportent un génocide lequel est le mieux, hein ? Et puis contrairement à ce que tous les sondages ont fait croire, l'écart entre les deux est beaucoup trop grand pour que cela soit uniquement dû aux non votants/ceux qui ont voté third party. La vérité c'est qu'il y a de plus en plus de fascistes, aux US, mais aussi en France et globalement partout dans le monde.
Enfin voilà, déso c'est la dépression totale comme réponse mais j'ai pas la foi ce soir...
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La secte Moon
« La secte Moon, appelée officiellement fédération des familles pour la paix mondiale et l’unification (en anglais Family Federation for World Peace and Unification, FFWPU), est une organisation religieuse à caractère sectaire fondée en Corée du Sud en 1954 par Sun Myung Moon.
Jusqu’en 1996, l’organisation était officiellement connue en tant qu’Église de l’unification ou encore association de l’esprit saint pour l’unification du christianisme mondial. »
« En 1938, Sun Myung Moon quitte son village pour suivre ses études à Séoul. En 1941, il se rend à Tokyo où il fréquente l'université Waseda. En 1943, de retour en Corée, tout en travaillant dans une entreprise de construction, il est actif au sein d'un mouvement nationaliste coréen de lutte contre l'occupation japonaise, ce qui lui vaut d'être arrêté et emprisonné pendant 4 mois par la police japonaise.
La fin de la guerre voit l'apparition en Corée d'une grande ferveur religieuse et d'une quête intense du sacré. Des douzaines de religions nouvelles et d'églises évangéliques indépendantes se constituent pendant cette période, annonçant le retour de Jésus à cette époque en Corée. Sun Myung Moon décide alors de se consacrer à la prédication à temps complet. »
« Les Principes divins se présentent comme la suite inspirée des écrits sacrés judéo-chrétiens. Ils affirment que Dieu, en créant l'homme et la femme, avait pour but de s'incarner en eux et de vivre avec eux une relation d'amour parent-enfants, que la chute d'Adam et Ève a été un drame absolu puisque l'amour dans ce premier couple a été vécu centré sur Satan, au lieu d'être centré sur Dieu, puis transmis à ses descendants ; dès cet instant, Dieu a travaillé avec toutes les grandes figures de l'Ancien Testament pour réunir les conditions lui permettant d'envoyer un nouvel Adam et une nouvelle Ève. Il a ainsi préparé le peuple juif pendant quatre mille ans, pour recevoir et accueillir le Christ ou le Messie, ce nouvel Adam, venu pour vivre et non pas pour mourir, mais celui-ci a été tué au lieu d'être accueilli. Selon les Principes, il a ressuscité spirituellement ; Dieu a dû alors préparer un autre peuple, le peuple coréen, pour envoyer, deux mille ans plus tard, un troisième Adam, avec ce même but d'épouser une nouvelle Ève, réalisant ainsi les noces de l'Agneau dont parle l'Apocalypse. Cela passerait nécessairement par le déclenchement d'une Troisième Guerre mondiale, que les disciples de la secte sont censés provoquer ou encourager. »
« Au Japon, dans les années 1980, l’Église est critiquée pour ses techniques de collecte de fonds, les « ventes spirituelles » : les fidèles sont convaincus que leurs problèmes proviennent d'un « karma ancestral » et que l'achat d'objets sacrés, qui leur sont vendus chers, peut les résoudre. En 2009, plusieurs personnes liées à ces pratiques sont arrêtées. En outre, selon l’Église, le Japon a causé de nombreux maux envers la Corée, maux pour lesquels les Japonais doivent se repentir. Paradoxalement, l’Église entretient de nombreux liens avec l'aile la plus conservatrice et nationaliste du Parti libéral-démocrate, à cause de leur anticommunisme commun, ce qui est difficile à comprendre pour l'opinion publique. L’Église est également critiquée pour avoir encouragé la pratique d'adoptions d'enfants entre membres de l'organisation. »
« La secte Moon est également impliquée indirectement dans l'assassinat du Premier ministre japonais Shinzo Abe. Lors de son interrogatoire, Yamagami, l'auteur de l'assassinat, déclare aux enquêteurs qu'« il était mécontent de l'ancien Premier ministre et avait l'intention de le tuer » avant d'ajouter que « ce n'était pas une rancune contre les convictions politiques de l'ancien Premier ministre ». Il précise qu'il a consulté l'agenda détaillé de sa journée sur son site internet. Il affirme en outre qu'il en veut à un « groupe religieux particulier » et qu'il a tiré sur Abe parce qu'il le pense lié à ce groupe et non pas en raison des convictions politiques de l'homme d'État. Les médias rapportent que l'homme était en colère contre l'Église de l'Unification (mieux connue sous le nom de secte Moon), à laquelle sa mère avait donné de larges sommes d'argent, et qu'il s'en est pris à Shinzō Abe en raison de ses liens avec l'organisation religieuse. Bien que la police n'ait pas révélé le nom de l'organisation religieuse, l'Église de l'Unification a confirmé que la mère de Yamagami en était membre. »
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Corse : deux Nationalismes en concurrence. Le régional et le national
Le 30 Juin 2024, pour la 1ère fois, la Corse porte des candidats d’Extrême-Droite au second tour des Législatives. Le RN est en tête dans deux circonscriptions sur quatre. Un coup pour les « nationalistes » corses. Les « natios » nationaux chassent-ils sur les terres des « natios » régionaux ? Concurrence ou changement de paradigme politique ?
Samedi 06 Juillet 2024 Alain VERDI
Une progression, très forte, de l’Extrême-Droite
Comme sur l’ensemble de la France métropolitaine, les observateurs s’attendaient en Corse à une progression de l’Extrême-Droite, pour les élections législatives anticipées de Juin-Juillet 2024, consécutives à la dissolution décidée par le Président de la République, le 9 juin, suite au score du RN aux élections européennes ce même jour.
Pour ce scrutin européen, les électeurs français avaient placé la liste de Jordan Bardella (Rassemblement National) en pole position, avec 31, 36% des suffrages.
Le RN était arrivé en tête dans l’île, avec un score encore plus élevé, de 40,8%. S’il on ajoute les 8, 4% de l’autre liste d’Extrême-Droite Reconquête, les suffrages insulaires se sont portés pour moitié sur l’Extrême Droite.
Ce résultat, des européennes, vient confirmer la poussée de ce mouvement dans l’île. Au second tour des présidentielles (24/04/2022) Marine Le Pen arrivait en tête, en Corse, avec 58, 08% (41, 45% au niveau national).
L’ampleur des résultats surprend observateurs et monde politique. Les conséquences électorales sont fortes :
-Dans la 1ère circonscription de Corse du Sud, « une inconnue du public », Ariane Quarena (RN) arrive en tête (31,2%), devant le député sortant (Horizon) Laurent Marcangeli (30, 7%), avec 1466 voix d’avance. Romain Colonna, le candidat nationaliste (Femu a Corsica) est éliminé.
-2ème circonscription de C. du Sud : François Filoni (RN) vire en tête (35,1%), avec 3352 voix d’avance sur le député sortant, Paul-André Colombani (Partitu di a Nazione Corsa).
-1ère circonscription de Haute Corse : le député sortant Michel Castellani (Femu) est en tête (31,74%) devant un autre RN « inconnu du public », Jean-Michel Marchal (28,8%), avec 1107 voix d’avance.
-2ème circonscription de Hte Corse : le sortant Jean-Félix Acquaviva (Femu) est second (28,63%), derrière François-Xavier Ciccoli (DVD) qui obtient 34,05%, une autre « inconnue du public », Sylvie Jouart (RN) est qualifiée avec 25,42%.
Cette circonscription ne connaîtra pas, finalement, de triangulaire. S. Jouart se retire et apporte son soutien à F. X. Ciccoli. Les accusations « d’entente » fusent. Le candidat Divers Droite dément et dit vouloir siéger avec Les Républicains, en cas de victoire le 7 Juillet. Affaire à suivre.
Poussée de l’Extrême Droite en Corse, premiers enseignements
Au moins deux des trois députés « nationalistes » sortants sont en difficulté, à l’aube du second tour. Le Président de l’Exécutif de l’Assemblée de Corse, Gilles Simeoni, ne s’y trompe pas : « En tant que nationaliste et démocrate, c’est une défaite » (Corse Matin 1er Juillet). G. Simeoni ajoute : « En Corse (…) nous soutenons ceux qui se présentent contre le RN : Laurent Marcangeli et P. André Colombani ». A ma connaissance, c’est la première fois qu’une personnalité « nationaliste » soutient une personnalité candidate de la classe politique dite « traditionnelle ».
L’un des constats est que les « nationalistes » corses sont passés d’une position offensive, à une situation sur la défensive. Jusqu’au milieu des années 90, les observateurs politiques considéraient que les « natios » régionaux fixaient le vote d’Extrême-Droite et constituaient ainsi un barrage contre le Front National. Les scores de ce parti restaient limités, dans l’île, à l’exception des élections européennes. Les scrutins européens étaient souvent vus comme des votes « défouloirs ». Considérées, à tort ou à raison, comme sans enjeux locaux, les européennes voyaient une partie de l’électorat se « défouler », luxe qui lui était quasiment interdit dans des élections à enjeux importants au niveau insulaire (Législatives, Conseils Généraux, municipales et même Présidentielles).
Ainsi, en 1984, J. Marie Le Pen fait une percée aux européennes en frôlant les 11% au niveau national et atteint les 22% à Ajaccio, « record national ».
Le « barrage » des nationalistes corses, face au FN, est aussi constitué en amont. Ainsi, en 1992, J. M. Le Pen est quasiment interdit de territoire en Corse. Voir, plus-loin « De 1992 à 2012 : de l’interdiction du père, à la compréhension pour la fille ».
[1]Incidents 1992 contre la venue de J. Marie Le Pen - 1992
[2] Libération Marine Le Pen fait corps avec «l'âme corse »
On peut considérer qu’il existe un « tournant » dans la position du FN, face au thème de l’identité nationaliste corse, en 2007, sous l’impulsion d’un responsable de ce parti, Olivier Martinelli. Dans ses positions idéologiques, le FN passe d’un antinationalisme corse à une « fusion » entre identité nationale et identité locale. Le résultat est rapidement visible : un sondage, paru dans le magazine Corsica, le 4 Avril 2007, montre qu’un sympathisant nationaliste sur trois se déclare prêt à voter en faveur de J. M. Le Pen, au 1er tour des Présidentielles. Déjà les prémices des scrutins suivants.
La concurrence électorale, dans une région économiquement pauvre
Pour les observateurs, il existe plusieurs lectures à l’opposition entre « natios » régionaux et « natios » nationaux.
.D’abord, les attaques « contre le fascisme » émanent, principalement de la branche indépendantiste du « nationalisme » insulaire. Les indépendantistes sont souvent classés plus à gauche. Sur les subtilités au sein de la mouvance « nationaliste » insulaire, on peut lire « Le nationalisme dans la Corse contemporaine » de Thierry Dominici (enseignant université de Bordeaux. Revue Pôle Sud (2004).
.Ensuite, il y a la question de la concurrence politique dans un même « panel » sociologique. La Corse est petite et sa population limitée, autour de 350 000 habitants. L’analyse de la population (démographie, économie…), aide à comprendre les comportements électoraux.
-L’observation de la démographie est significative. « La population augmente en moyenne de 1,0 % par an, soit la croissance la plus dynamique des régions métropolitaines (+0,3 % en moyenne nationale) » [INSEE données 2015-2021].
Cette évolution est due exclusivement au solde migratoire, le solde naturel étant très légèrement négatif sur l’île entre 2015 et 2021. En Corse, la fécondité est la plus faible de France métropolitaine (1,37 enfant par femme en 2022) et la population est la plus vieillissante (117 personnes de 65 ans ou plus pour 100 jeunes de moins de 20 ans en 2020), 3 hab. sur 10 ont 60 ans ou plus. Le vieillissement rejoint une autre donnée, la pauvreté : en Corse, « un tiers des revenus des ménages pauvres est composé des pensions et des retraites » [INSEE].
Le niveau de vie insulaire présente un certain nombre de particularités : l’île est la région la plus pauvre de France métropolitaine. C’est également une région où se trouvent les revenus parmi les plus faibles. A cela, il faut ajouter un haut niveau d’inégalité de revenus et d’inégalités selon les régions de l’île.
L’observation de ces données socio-économiques peut expliquer la nature de la concurrence politique sur une population faible démographiquement et socialement. Ces données peuvent aussi aider à comprendre un certain « glissement » d’une partie de la population vers l’offre politique d’Extrême-Droite, par peur d’un déclassement. Nous reviendrons, en fin d’article, sur cette notion de « déclassement » qui semble avoir une importance plus grande que celle accordée par les médias.
De l’identité au racisme, il n’y a qu’un pas
Les actions et incidents racistes qui touchent la Corse, comme d’autres régions de France métropolitaine, sont-ils à mettre en lien avec l’identité exprimée par le « nationalisme » corse ? La sociologue Marie Peretti-Ndiaye de l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS) répond par une autre question : « Le racisme présent en Corse peut-il être perçu comme découlant en grande partie d’une histoire socio-politique tourmentée, très liée aux évolutions contemporaines de la nation française et aux discours portés par ses institutions ?».
En 2003, la Commission Nationale Consultative des Droits de l’Homme présente un chapitre sévère sur les actes racistes, commis en Corse, dans son rapport national : « La lutte contre le racisme et la xénophobie. 2002 ». In Rapport de la commission nationale consultative des droits de l’homme. Chapitre « Les actions en Corse » P. 42 à P. 49. Ce rapport déclenche une levée de boucliers dans l’île. Pour sa part, la sociologue Marie Peretti-Ndiaye estime que : « Un certain nombre d’acteurs politiques de l’île, évoqu��s dans le débat public sous le qualificatif « nationalistes », ont été cités, nous l’avons vu, par différents rapports de la Commission Nationale Consultative des Droits de l’Hommes. Mais le racisme présent en Corse ne peut pas être imputé de façon aussi systématique à l’idéologie véhiculée par ces acteurs ». Pour réfléchir aux thèmes : racisme en Corse et nationalisme, nous pouvons nous référer au travail de la sociologue Marie Peretti-Ndiaye, intitulé « La Corse, une figure rhétorique du racisme ».
Sans rentrer dans des exemples, il faut comprendre ici le terme racisme comme un rejet des personnes « exogènes », quelles que soient leurs provenances. L’île est la 3ème région de France métropolitaine accueillant le plus d’immigrés (33 600), soit 9,9% de la population globale (INSSE 2018). La communauté marocaine demeure majoritaire (29,1%), chez les immigrés, soit environ 10 000 personnes. Une part qui régresse, elle était de 42% en 1999. Aujourd’hui les nouveaux flux d’immigration sont, majoritairement, d’origine européenne. Principalement du Portugal (23%) et d’Italie (12%), pour ce qui concerne les personnes d’origine étrangère.
La majorité des personnes arrivant en Corse, sont d’origine française. Les données 2020 du recensement, nous apprennent que 12% des personnes arrivées sont étrangères. Parmi elles, 3,5% vivaient sur le continent français, 4,5% dans l’UE et 4% hors UE. Donc 88% des nouveaux arrivants, en 2020, sont de nationalité française.
Nous avons vu, dans un chapitre plus haut, «la concurrence électorale dans une région économiquement pauvre » que la progression de la population de l’île tient au solde migratoire positif. Marie Peretti-Ndiaye peut affirmer, sans crainte de se tromper : « L’idée selon laquelle le départ des Corses et l’arrivée de nouveaux venus engendre une perte en termes de culture et d’identité est ici d’importance ».
La mise en avant permanente de l’identité par les « natios » régionaux, peut-elle expliquer un glissement vers les « natios » nationaux et leur thème de « l’immigration zéro » omniprésent?
"Le nationalisme corse revendique une forme identitaire" c’est ce qu’explique le géographe Joseph Martinetti, suite au score de Marine Le Pen, aux Présidentielles en Corse. In Challenges 26/04/2022. Ce journal en déduit que le nationalisme corse : « (…) partage donc parfois des références avec l'extrême-droite ».
Plusieurs fois, les responsables des partis « nationalistes » insulaires se sont expliqués sur ce thème. Notamment lors des manifestations racistes qui ont touché l’île en Décembre 2015. « Le nationalisme corse est totalement aux antipodes de tous les phénomènes de racisme, de xénophobie ou d'exclusion » (Le Point 28/12/2015).
Un écart semble se dessiner entre les positions des leaders « nationalistes » insulaires et une partie de l’électorat des « natios » régionaux. A la lecture des résultats de différents scrutins, commune par commune, il est évident qu’une partie de l’électorat « natios » régional, vote Extrême-Droite, lors de scrutins nationaux. Suite aux scores élevés du RN aux Présidentielles de 2022, Le site Le Grand Continent s’interroge : « D’où vient le vote Le Pen en Corse » (15 Mai 2022), mais aucune réponse définitive n’émerge.
Sur le « double vote » d’une partie de l’électorat « natios » régional, l’universitaire André Fazi pense que : « Quelques milliers usent de ce double vote parce qu’ils ont des préoccupations identitaires très fortes, qui pensent que ces préoccupations sont mieux défendues par les nationalistes au niveau local et plus par la Droite radicale au niveau national ». (RCFM 11 Juin 2024). Oui, seulement voilà, les Législatives anticipées ont confirmé et renforcé les résultats des Présidentielles (2022) et des Européennes (Juin 2024). Des candidats RN, inconnus, ont dépassé des élus sortants. Est-ce un « coup de chaud » conjoncturel où un glissement structurel d’une partie importante du corps électoral ? L’île semble n’avoir jamais connu un tel scénario. Il est encore trop tôt pour répondre avec certitude. Cependant, d’autres éléments de réponse apparaissent. Notamment, avec l’arrivée d’une nouvelle donne dans le paysage politique côté nationalistes insulaires, le mouvement Palatinu, dont le dirigeant Nicolas Battini estime que : « Les nationalistes corses arrivent à la fin d’un cycle ». De fait, Palatinu, qui se veut une association portée sur « l’Histoire et « l’identitaire », a présenté des candidats au Législatives, dans trois circonscriptions. Ce nouveau mouvement fait, indéniablement, le lien entre les « natios » régionaux et les « natios » nationaux du moins au niveau de certaines déclarations. A propos du vote RN de Juin dernier et des consignes de vote pour le second tour, N. Battini n’a pas de tabous : « Nous laissons ainsi nos électeurs libres de leur choix et dénonçons vivement les discours totalitaires qui tendent à culpabiliser les Corses en raison de leur comportement électoral. Nos compatriotes qui ont décidé de soutenir le Rassemblement National n'ont pas à être criminalisés ou vilipendés, mais compris et considérés. ». In site Corse Net Info (4 Juillet 2024). Toujours l’obsession identitaire, au niveau régional et national. Et pourtant.
Le poids de l’identitaire dans le discours politique national et régional
« D’où vient l’obsession identitaire de la politique française ? » C’est la question que pose l’historien Mathias Bernard (Université de Clermont Auvergne) ? InThe conversation en ligne (31 Janv. 2022). Il observe que la Gauche n’échappe pas à l’attraction de l’identité même si, ces derniers temps, c’est un thème qui est presque entièrement pris en compte par les partis d’Extrême-Droite. Cette dimension identitaire du débat politique peut expliquer, en partie, les résultats du scrutin du 30 Juin 2024.
Visiblement, la Corse n’échappe pas à cette « obsession identitaire ». Mais, dans ce cas, on peut parler de double identité.
Ce qui est notable, c’est la contradiction apparente, entre un vote «natio » national aux législatives et aux Présidentielles et un vote « natio » régional aux élections territoriales et dans certaines municipales. L’attitude de l’électorat, au prochain scrutin territorial nous dira si ce dédoublement se confirme ou bien si nous assistons à une « fusion ». C’est la grande question des prochains mois.
Comment comprendre cette fusion/confusion entre « natios » régionaux et nationaux ? Thierry Dominici, chercheur à l’université de Bordeaux estime que : « Le nationalisme corse pendant des années a été le moteur de la mobilisation sur l’île. Et depuis qu’il est aux manettes du pouvoir -c'est-à-dire depuis qu’il est passé dans le nationalisme majoritaire- il ne pouvait pas occuper l’espace public ». Toujours selon T. Dominici : ce constat a permis au « nationalisme banal français (…), de s’insérer dans le jeu politique ». Entretien à RCFM (Radio France) 3 Juillet 2024.
Du coup, quid du processus de discussion, avec l’État, autour du thème de l’autonomie de la Corse ? T. Dominici ne croit pas que ces résultats des Législatives puissent stopper le processus de décentralisation. « Sauf si le RN obtient une majorité absolue à l’Assemblé Nationale », entretien avec l’auteur le 5 Juillet 2024. L’universitaire poursuit : « En fait, l’obstacle c’est la politisation d’un problème qui est autant administratif qu’institutionnel (le débat sur le « processus » NDLR). Le gouvernement peut faire que la Corse ait plus d’autonomie, sans reconnaître le peuple et la langue ou la culture corse. Ce serait un échec du nationalisme, mais ce peut être une réussite du processus de décentralisation ».
Une forte décentralisation sans obsession identitaire. Est-ce vraiment possible ? Pour l’instant cette solution émane d’un certain nombre d’intellectuels, mais il ne se trouve aucun mouvement politique pour la mettre en avant. Le climat politique actuel semble plutôt tourné vers l’exacerbation des identités.
Un dernier aspect et non des moindres, occupe les esprits. Il s’agit de la peur des déclassements sociaux, économiques, géographiques… Ces différentes craintes sont soudées par un ciment : l’identité. Du coup, il est plus facile pour les observateurs (médias, universitaires…) et pour les acteurs (politiques, et entrepreneurs) de parler du concept d’identité que d’aborder le contenu de ces peurs.
Le ciment : la peur du déclassement. La Corse, une région… périphérique
Que ce soit dans l’ensemble de la France ou bien en Corse, un sentiment semble dominer dans une partie de la population : la peur d’être « largué ».
Au niveau national, les articles, recherches et autres rapports se multiplient autour du thème des « zones périphériques ». Cette « périphérie » peut être géographique et/ou sociale. (Zones rurales, quartiers « défavorisés »…). Les débats sur les « clivages » se multiplient : villes contre campagnes, quartiers « riches », contre banlieues pauvres, métropoles riches contre territoires oubliés.
Toute une novlangue se développe autour d’un thème pourtant ancien : favorisés contre défavorisés. Une redécouverte des fractures sociales à l’intérieur des fractures territoriales. Ce regard entre un « centre » développé et une « périphérie » délaissée par des choix étatiques est présenté par le géographe Christophe Guilly, dans son livre « La France périphérique. Comment on a sacrifié les classes populaires » 2014 (Flammarion). Cette façon de présenter les déséquilibres sociaux/géographiques est remise en question par Laurent Davezies, spécialiste de l’économie et du développement des territoires au CNAM (Conservatoire National des Arts et Métiers), dans son ouvrage « L’État a toujours soutenu ses territoires » 2021 (Seuil).
Un tel débat mérite une enquête faisant la synthèse entre les réalités « périphériques » et le travail de l’État. Pour notre part, il serait déjà bien de comprendre si la Corse est une « périphérie » ou bien encore une « banlieue défavorisée », avec les symptômes, connus, de ce genre de zone.
Une série d’éléments, en Corse, nous entraine vers la théorie de la « banlieue » : pauvreté, faible niveau de formation, zone de « non droit », isolement géographique à l’interne et vers l’extérieur… liste non exhaustive. Pour Stéphane Guilly « la question qui obsède les Corses est celle qui hante la France périphérique ». In Le Figaro 14 Décembre 2017. Cette peur d’un déclassement explique-t-elle la prégnance d’un vote « nationaliste » ? Pour C. Guilly la « question identitaire » est réelle, mais il ne faut pas oublier « les fondamentaux démographiques ». Le géographe poursuit, en estimant : « qu’il y a aujourd’hui, partout dans le monde occidental, un problème de représentation politique. Les électeurs se servent des indépendantismes (…) pour dire autre chose ».
La Corse, une « périphérie » économique et sociale, les indicateurs nous le rappellent depuis très longtemps. L’île est-elle en train de devenir une « périphérie » politique ? Il est trop tôt pour répondre avec certitude. En tout cas les états-majors des partis politiques, notamment chez les « natios » régionaux, se la posent.
Désormais, « La société corse s’est alignée sur la France » c’était l’avis du sociologue insulaire, Georges Ravis-Giordani (Corse Matin 30 Janvier 2017). Il s’interrogeait sur les revendications identitaires : « «Elles sont cependant plus idéologiques que sociologiques. Parce que sur le plan des mœurs, de l'alimentation, de l'��ducation, il n'y a finalement pas tellement de différences ». Encore faut-il que l’accès à cette « sociologie » soit accessible au plus grand nombre. Au niveau national et international, l’avenir est à un monde plus inégalitaire, c’est un ancien banquier d’origine corse, Charles Henri Filippi, qui le dit. Il a siégé à la première assemblée de Corse, en 1982 et son père a été sénateur (MRG) de la Corse (1955-1958).
La Corse colle bien au tableau, c’est une des régions les plus inégalitaires sur le plan des revenus. Cette inégalité est également géographique, entre différentes micro-régions de l’île.
Le 30 Juin dernier, les électeurs insulaires ont-ils exprimé la volonté de défendre une identité ou bien une demande de mise à niveau ? Ces deux points peuvent-ils « fusionner » ou bien sont-ils incompatibles ? Les hommes politiques insulaires et l’État ont eu des décennies pour trouver la réponse, pour l’instant en vain.
Les électeurs ont, désormais, peu de temps pour répondre à des questions aussi difficiles.
Ajaccio le 6 Juillet 2024
Liens vers articles et revues
"Absolument fou de penser que tous les nationalistes corses votent pour le RN aux élections nationales", André Fazi. RCFM (Radio France) 11 Juin 2024
La Corse, une figure rhétorique du racisme. Marie Peretti-Ndiaye. .Revue Terra-HN (Mai 2008)
Entretien Christophe Guilly, géographe : « La question qui obsède les corses est celle qui hante la France périphérique » . Le Figaro 14 Dec. 2017
Corse: quelle économie pour une autonomie? Alain Verdi Blog Mediapart (5 Avril 2022)
Corse : données INSEE « l’essentiel »
Le même article peut être lu sur le blog de mediapart
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Lady Gaga prend une position active sur les droits du mouvement LGBT, fait du travail caritatif et participe à divers événements
Le chanteur lutte contre la propagation du sida en informant les jeunes des dangers de cette maladie.
Elle s'est associée à Cyndi Lauper et MAC Cosmetics pour lancer le rouge à lèvres Viva Glam, dont les bénéfices sont reversés à des projets sur le VIH.
En 2010, Lady Gaga devient administratrice et coordinatrice du réseau social Littlemonsters. Les utilisateurs ont eu l'opportunité de discuter avec la reine scandaleuse dans un chat local.
Depuis 2017, Gaga collabore avec Joe Biden. L'artiste soutient l'homme politique lors de la campagne d'information des citoyens sur les faits de violence domestique It's On Us. Plus tard, le chanteur a souvent donné des concerts lors d'événements publics organisés par le Parti démocrate. En 2020, la star a soutenu le candidat à la présidentielle.
L'amour de la chanteuse pour le spectacle s'exprime non seulement dans les effets spéciaux lors des apparitions en solo sur scène, mais aussi dans les vêtements.
L'artiste invente soigneusement son image à l'avance et reste toujours au top. Avec la main légère des critiques de mode, Lady Gaga est aujourd'hui surnommée le « caméléon de la mode ». Les tenues particulièrement spectaculaires de la chanteuse sont son corset, semblable à une boule disco, parsemée de strass, un costume de cow-boy, des robes ornées de plumes.
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Pour une ville qui nous ressemble (aveuglement)
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Les strip-teaseuses de l'Etat de Washington, au nord-ouest des Etats-Unis, bénéficient désormais d'une protection accrue grâce à une nouvelle loi sur le droit du travail. Cette loi fixe un cadre précis pour l'exercice de leur métier, incluant des mesures telles que la formation à la prévention du harcèlement sexuel, la dénonciation de la traite des êtres humains, la gestion des conflits et les premiers secours. Elle impose également la présence d'agents de sécurité dans les clubs, l'installation de codes dans les vestiaires et de boutons d'alerte dans les endroits où les travailleuses peuvent se retrouver seules avec des clients. De plus, le texte limite les frais que les strip-teaseuses doivent payer pour l'utilisation du club et autorise les clubs à vendre de l'alcool pour financer la mise en place de ce nouveau cadre réglementaire. La parlementaire locale du Parti démocrate, Rebecca Saldana, à l'origine du projet de loi, a souligné l'importance d'accorder aux strip-teaseuses les mêmes droits et protections que toute autre main-d'œuvre. Cette nouvelle législation s'inscrit dans un mouvement plus général aux Etats-Unis pour faire reconnaître les droits des travailleuses du sexe. En effet, l'an dernier, les employées d'un bar de Los Angeles et celles d'un établissement de Portland ont obtenu le droit de se syndiquer, représentant de réelles avancées pour une profession souvent sujette aux abus, tels que des rémunérations incorrectes et des conditions de travail précaires. La stigmatisation entourant le divertissement pour adultes est un défi majeur que les législateurs cherchent à relever en reconnaissant l'humanité de ceux qui travaillent dans ce secteur. En mettant en place des mesures de protection et de réglementation, comme la formation aux risques liés au travail et l'encadrement des conditions de travail, les autorités de l'Etat de Washington espèrent améliorer la situation des strip-teaseuses et garantir leur santé et leur sécurité. Cette initiative vise à changer l'image de la profession et à lutter contre les abus et les injustices auxquels les travailleuses du sexe sont souvent confrontées. La nécessité d'accorder aux strip-teaseuses des droits du travail solides est devenue de plus en plus évidente, en raison des nombreuses lacunes et vulnérabilités auxquelles ces travailleuses sont exposées. Parmi ces préoccupations figurent le non-paiement des salaires, les conditions de travail dangereuses, le harcèlement et la traite des êtres humains. En adoptant une approche axée sur la protection des droits des strip-teaseuses, l'Etat de Washington s'engage à améliorer les conditions de travail et à garantir le respect de la dignité et de l'intégrité de ces travailleuses, souvent marginalisées. Cette nouvelle loi sur le droit du travail pour les strip-teaseuses de l'Etat de Washington constitue une avancée majeure pour une profession souvent mal réglementée et sujette aux abus. En établissant des normes claires et en garantissant des mesures de protection et de soutien, les autorités locales reconnaissent le travail des strip-teaseuses comme une activité professionnelle légitime et méritant les mêmes droits que toute autre forme d'emploi. Cette initiative s'inscrit dans un mouvement plus large aux Etats-Unis pour faire respecter les droits des travailleuses du sexe et lutter contre les injustices et les discriminations auxquelles elles sont confrontées.
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En Californie, les parents baîllonnés
Le Sénat de l'État de Californie vient d'adopter un projet de loi visant à retirer aux parents la garde de leur enfant s'ils s'opposent à une transition médicale transgenre. Les sénateurs démocrates de l'État ont voté à une écrasante majorité en faveur du projet de loi qui poursuivra les parents pour maltraitance de leurs enfants s'ils n'affirment pas l'identité de genre choisie par leur enfant (et soutenue/encouragée par ses enseignants) - sans égard à la responsabilité de ses parents.
La loi AB 957, co-rédigée par les sénateurs démocrates de l'État Scott Wiener et Lori Wilson, est maintenant entre les mains du gouverneur Gavin Newsom qui devrait bientôt l'entériner.
La loi sera utilisée pendant les causes de garde d'enfants entre parents pour encourager les tribunaux à se ranger du côté des parents qui approuvent l'identité sexuelle désirée par l'enfant et punit les parents qui refusent de faire "transgenrer" leur enfant. En outre la Californie vient d'approuver le Mois du Transgenrisme célébré dès août 2024. (source) L'État s'est aussi déclaré le 28 août dernier "État-Refuge" pour tous les transgenrés et leurs parents - suite à une loi du Texas qui lui confère le pouvoir d'enquêter sur cette pratique qui de toute évidence enlève toute responsabilité aux parents de décider pour leur progéniture. (source) "Il est déjà contraire à la loi de soumettre les enfants du Texas à une grande variété de transitions corporelles, y compris les chirurgies de réattribution qui peuvent provoquer la stérilisation, les mastectomies, les absorptions de parties du corps par ailleurs saines, et l'administration de médicaments - GAHT ou Thérapie hormonale d'affirmation de genre - bloquant la puberté (source) ou de doses supraphysiologiques de testostérone ou d'oestrogène" (spironolactone, bicalutamide, flutamide, finasteride), selon une décision du procureur général du Texas.
Derrière ce mouvement exclusivement californien, Honey Mahogany, première drag queen, première Noire et première transgenre à diriger le conseil du Democratic Party de San Francisco. (ci-haut, après et avant).
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En direct La Corée du Sud a accueilli un concert de K-pop pour des milliers d'adolescents scouts, cherchant à sauver le prestige national alors qu'un malheureux Jamboree scout mondial frappé par des conditions météorologiques extrêmes et critiqué pour sa mauvaise organisation tire à sa fin. Environ 40 000 personnes se sont rassemblées pour le concert affiché par NewJeans et IVE au stade de la Coupe du monde de Séoul. "Je suis navré que les membres scouts aient souffert de vagues de chaleur et de typhons sans précédent causés par le changement climatique", a affirmé le Premier ministre Han Duck-soo durant la cérémonie de clôture. Han avait précédemment déclaré que le gouvernement "utiliserait toutes ses ressources pour être sûr que le jamboree puisse se terminer sain et sauf". Les organisateurs cherchent désespérément à éviter tout autre problème lors du jamboree, le premier rassemblement mondial de scouts depuis la pandémie de COVID-19. Depuis le début de l'événement quelques jours auparavant, des centaines de participants sont tombés malades après que les températures ont atteint 35 degrés Celsius à Saemangeum, la zone de terres récupérées sur la côte ouest de la Corée du Sud où les scouts âgés de 14 à 18 ans campaient. Le contingent britannique a choisi de quitter le camping plus tôt, son chef accusant aussi leur départ de mauvaises conditions sanitaires et du manque de nourriture. Des scouts des États-Unis et de Singapour ont emboîté le pas, jetant un coup de projecteur mondial sur les piètres préparatifs de l'événement. Les éclaireurs restants ont par la suite été évacués à cause de problèmes de sécurité avant l'approche d'un typhon, et emmenés par plus d'un millier de bus vers des logements autour de Séoul. Au milieu de l'embarras sur le sort des éclaireurs, certains Sud-Coréens ordinaires ont pris les choses en main - dans un cas, leur proposant des cadeaux dans une station de métro de Séoul, tandis qu'un café de la province du Jeolla du Nord envoyait de la nourriture. Les politiciens de tous les horizons politiques ont appelé à un examen plus précise des raisons pour lesquelles l'événement a été si mal géré. Un porte-parole du principal parti d'opposition, le Parti démocrate de Corée, l'a qualifié quelques jours auparavant de "honte nationale à une échelle épique". L'agence K-pop HYBE et le groupe technologique Kakao ont annoncé qu'ils fournissaient des produits gratuits aux scouts assistant au concert de vendredi. Environ un millier d'employés d'organisations étatiques ont aussi été invités à se porter volontaires pour le concert de K-pop, a affirmé un responsable gouvernemental. Citant les inondations, la canicule et le typhon, un haut responsable scout a évoqué le jamboree, qui a démarré le 1er août, comme l'un des plus difficiles à ce jour. "C'est la première fois en plus de 100 ans d'histoire que les Jamborees scouts mondiaux sont confrontés à des défis aussi compliqués", a affirmé mardi Ahmad Alhendawi, secrétaire général de l'Organisation mondiale du mouvement scout, dans une déclaration. — AAP
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L'Europe n'est plus l'Europe, il s'en faut de beaucoup !
Les nuls endoctrinés qui sont aux manettes ont baptisé "populistes" tous ceux qui sont pour la souveraineté des peuples et la civilisation occidentale et contre les folies de Bruxelles et l'immigration incontrôlée. Les partis qui gouvernent l'Europe depuis 30 ou 40 ans ont obtenu des résultats objectivement ''même pas médiocres'' (mais ne jetons pas d'huile sur le feu : les paysans nous donnent de jolies leçons de modération). Pour notre malheur, ces néfastes continuent de dominer l'Union européenne, ce qui est un drame et... la cause de tous nos drames..
Les programmes prétendus ''verts'' sont en vérité rouges, mais cachés sous des masques verts, d'où leur nom (comme ''les gilets jaunes'' ou ''les bonnets rouges'' !). Les Verts, d'une manière inexplicable compte tenu de leur vacuité propre et de celle et de leurs programmes, exercent sur les instances dites européennes (qui ne sont que mondialistes, ce qui a l'air idiot, puisque, à l'expérience, ''ça ne marche pas du tout !) une influence disproportionnée dont les conséquences ne peuvent être que néfastes. Ils soutiennent tous l'immigration sans restriction jusqu'au remplacement (mot dont ils interdisent l'usage, car cela révélerait leurs intentions profondes) et prônent le multiculturalisme (dont la définition est secrète : elle exige une extinction de la race blanche --qu'ils haïssent).
Ils sont tous résolument hostiles à toute défense de la civilisation occidentale, à la libre entreprise, au libre marché... et, de manière plus générale, à tout ce qui ressemble à de la liberté. Ils sont en faveur d'une croissance zéro (sans dire ce que cela peut bien vouloir dire !), et ils se sont laissé fourguer une vision apocalyptique du changement climatique : pour eux, la survie de l'humanité est en jeu si l'Europe ne s'autodétruit pas dans une croisade suicidaire pour "sauver la planète"... ''quoi qu'il (lui) en coûte''. Tous se disent démocrates ''au point d'être favorables à des décisions autoritaires imposées depuis Bruxelles à toute l'Europe''.
Un parlement européen qui s'est soumis à l'influence des Verts a accéléré dangereusement le glissement vers le pouvoir sans limite, sans droit, sans textes et sans justification et vraiment sans raison autre que mortelle, que se sont attribués les membres de la Commission européenne (NDLR - vous avez remarqué, édito après édito, que pour moi, seul le nom de ''grosse commission'' décrit les performances mortifères permanentes de cet organisme cancériforme), provoquant la farce interminable (un peu ''inter'' et surtout ''minable''), honteuse, humiliante, et indigne, que des politicards sans envergure ni colonne vertébrale nous ont forcés à ingurgiter, jour après jour, en parlant d'une pandémie de covid --qui n'était ni l'une ni l'autre, mais une invention diabolique que des scientifiques véreux ont prétendue vraie.
Ces folies coûteuses ont escorté un ridicule renoncement progressif à l'énergie nucléaire et aux énergies fossiles, au nom d'un besoin d'énergies soi-disant ''renouvelables'', qui ne sont et seront jamais capables que de répondre, au mieux, qu'à une petite fraction de nos besoins déjà connus.... Il en va de même pour tout ce qui concerne les politiques favorables à davantage d'immigration, sensées (de manière insensée !) remplacer des naissances rendues problématiques par le même système mortifère : nos ''instances suprêmes'' semblent n'être capables d'être intéressées que et exclusivement que par … tout ce qui est catastrophique. Mais où vont-ils chercher un tel masochisme ?
l'Europe est probablement tout au bord d'un déclin irréversible. L'écrivain Renaud Camus écrit dans son journal que ''les Européens semblent choisir l'euthanasie''. Dans les premiers paragraphes de L'étrange suicide de l'Europe, Douglas Murray précise : "quand disparaîtront les gens actuellement en vie, l'Europe ne sera plus l'Europe". Les poussées éventuelles des mouvements "populistes" aux élections à venir suffiront-ils à arrêter le déclin de l'Europe ? Si rien ne change, la doctrine d'un ''mondialisme-seule-solution'' (cf. les bobards tels que ''la France est trop petite pour etc...'') pourrait tuer tout ce que nous aimons, devant des inepties non-désirées : vaut-il mieux ''ramer'' pour obtenir ce qui nous était offert gratuitement au temps de la grandeur française … ou disparaître en se faisant attribuer des tas de faux avantages dont on ne veut pas, dont on n'a pas besoin, et qui, en dernier ressort, ne sont pas des avantages ? (exemple : 9 milliards de vaccins covid, qui ne soignent ni ne protègent, pour 450 millions d'européens !)
J'ai été très frappé, ce matin, en lisant le mail d'une fidèle lectrice et amie qui répondait à mon éditorial d'hier (''Et la France, dans tout ça ?'') en ces termes : ''Tu peux être sévère et même dur avec ceux qui méritent si fort d'être condamnés (et même damnés !) : tous ceux qui ont été et sont au pouvoir n'ont jamais été à la hauteur, ils n'ont jamais su construire quoi que ce soit ni ''avoir une vista'', comme tu le dis souvent. Ils signent sans relire –pour que de soi-disant ''Sages'' (MDR !) retoquent tout ce qui ne va pas dans leur mauvais sens à eux--, ils nous dirigent vers des lendemains garantis sans espoir, et surtout ils font tout ce ''n'importe quoi''... sans se soucier, dans la poursuite de leurs rêves cauchemardesques, des conséquences de leurs mauvaises décisions... A force d'être mauvais, ils sont désespérants !
''Et en face de cette nullité infinie, on trouve soudain nos pauvres agriculteurs, qui dressent leur courage, leur abnégation, leur allocentrisme et leur foi en leur mission (nourrir, malgré les textes, les interdits et les normes pourries). La réalité qui vient de surgir devant nos yeux qui la voyaient sans la voir est terrible : si tous les nuisibles se mettaient à leur ressembler, à être aussi courageux, travailleurs, passionnés, fonceurs, et entrepreneurs qu'eux, la France se remettrait à tourner rond dans la seconde, de l'école aux hôpitaux.. Tout irait mieux, tout marcherait...
''Nos paysans sont des seigneurs : ce sont les nouveaux aristocrates ! Pour eux, comme me le répétait mon père (NB - Son père était un paysan, vrai, authentique, à l'ancienne... comme il en faudrait des millions dans les ministères, dans la fonction publique, dans l'enseignement), on n'arrête de travailler que parce qu'on a parfaitement terminé tout ce qu'on avait à faire. Mais pas parce qu'on est fatigué (ou parce qu'on a droit à un congé négocié par des syndicats qui se fichent pas mal de l'intérêt commun et de la Nation)''. (Rappel : et le mien disait ''Je dois'' est toujours prioritaire sur ''j'ai envie''. C'est la même chose !)
Le face-à-face dont nos petits écrans nous rendent témoins obligatoires est à la fois terrifiant et … à l'image du temps : un combat à mort entre une armée de Goliaths qui n'ont jamais su produire quoi que ce soit en dehors de ''tonnes d'emmerdes'' pour leurs malheureux ''administrés'', et de rouleaux de papier (que je ne qualifierai pas ici : c'est ''limite hors-sujet'' !), normatifs, tatillons, redondants, tatasses… et inutiles, d'une part,... et, d'autre part, la fine-fleur de l'Humanité, de vrais ''Hommes'' au sens plein du terme, qui luttent pour une survie que les malfaisants ont décidé, sans la moindre raison valable et défendable, de leur interdire, au nom de leurs théories assassines --qui n'ont jamais marche, nulle part.
Puisse David l'emporter, dans cette lutte millénaire entre le Mal et le Bien, comme il l'a souvent fait dans l'Histoire, dit-on... Mais c'était en des temps où Dieu, aimé, craint et respecté, protégeait Sa Créature. Dans le cas présent, le Mal (c'est-à-dire l'idéologie perverse de la mondialisation, qui préfère importer des raisins du Chili par avion (Bonjour, leur ridicule ''bilan carbone''!) que de remercier nos paysans, a eu le temps de préparer ses armes, et la victoire du Bien est plus incertaine : il y a de quoi ''avoir les boules'' ! Il nous reste l'espoir : il fait vivre, affirme la sagesse des Nations ! On peut toutefois redouter que le dialogue entre un ''condamné-à-mort par un système a-humain'' et un technocrate pour qui le comble de l'action se résume à ''pondre une n-ième norme perverse ou à réunir un n-ième comité inutile'' ne mène pas à grand chose ! Et dans ce cas... Les jours à venir vont être passionnants à suivre !
H-Cl.
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