#mickael fortes
Explore tagged Tumblr posts
Text
Palmarès concours 2022 - 4ème
Palmarès concours 2022 – 4ème
A été classée 4ème avec 65 points la photo n°28, de Mickaël Fortes, étonnant saut du toro “Colombiano”, de Victorino Martin, le 7 août aux Saintes-Marie-de-la-Mer.
View On WordPress
#7 août 2022#colombiano#concours de photographies taurines#domaine des romarins#domazan#mickael fortes#saintes marie de la mer#toro#victorino martin
0 notes
Text
AGUENTA CORAÇÃO!
Essa frase ressoa em minha cabeça, na consciência que começa a retornar a mim, depois de muitos anos vivendo sob um controle maligno, que agora está perdendo terreno, pela ação dos Seres Superiores de Amor e Luz, pela ação dos Aliados, e pela luta incansável dos Mostradores do Caminho.
AGUENTA CORAÇÃO!
Tudo virá a tona, toda verdade escondida, toda inocência roubada, para serem curados, abençoados e liberados, para que os novos sonhos, novas realidades, que se aproximam com o Novo Amanhecer, repletas de Amor e Esperança, e ocupem o espaço que se apresenta vazio, e que agora é tomado por uma grande felicidade e alegria.
AGUENTA CORAÇÃO! ESPERA E CONFIA! Sem ansiedade, porque tudo se encaminha para um final feliz, que todos nós sonhamos a tantos tempo, vida após vida, viemos aqui para mostrar que o único caminho é o Amor que temos em nossos corações desde a nossa criação à éons atrás. O Amor de nosso Pai Mickael, é o caminho e é a solução, tentaram apagar este Amor, tentaram manchar seu nome e apagar de nossa história, mas não conseguiram, estamos aqui mais fortes que nunca, juntamos a nossa inocência com nossa sabedoria, e assim ficamos invencíveis.
AGUENTA CORAÇÃO! Tantos sonhos construídos e adiados, que neste agora vamos viver, sem correntes, sem mentiras.
SOMENTE O AMOR PARA TI! PARA MIM! PARA TODOS NÓS! SOMOS TODOS UM!
EU SOU! Thara, filha de Mickael de Nebadon, e te dou toda honra e glória. Gratidão!💎🥷🌎🥷💎
2 notes
·
View notes
Text
Lundi 18.03.24, 11h24
J’ai déménagé hier officiellement. J’ai passé ma première nuit dans mon nouveau chez moi. Ces derniers jours ont été atroces, je n’ai fait que de pleurer. Hier dès que mon ex conjoint est parti, j’ai failli avoir une crise d’angoisse. Le fait de me retrouver toute seule dans un nouvel endroit, même cosy et accueillant, m’a terriblement angoissée. Heureusement que j’ai une amie qui a passé la soirée avec moi.
J’ai réussi à dormir un peu, mais depuis le réveil ce matin je ne suis pas bien. Tremblements des membres, angoisse profonde, mal au ventre, envie de vomir, j’ai du me faire violence pour avaler mon petit déjeuner ce matin. Là, ça ne passe pas. J’ai besoin d’anxiolytiques mais j’ai pas d’ordonnance. Je viens d’en trafiquer une ancienne, j’espère que ça va passer en pharmacie. Je sens que j’en ai besoin là, c’est trop fort. Je suis trop mal.
Et bien sûr, Mickael qui m’écrivait tous les jours depuis des semaines, là j’en ai plus rien depuis samedi. Rien hier, rien depuis ce matin. Ne va même pas voir mon statut whatsapp. Je me demande s’il fait exprès, j’en suis quasi certaine. Je ne sais pas si je m’y attendais, mais ça m’énerve. Je lui avais dit samedi que je passerai ma première nuit ce soir, finalement ça s’est fait hier. Je ne lui ai pas écrit car les deux derniers fois c’est moi qui ai pris de ses nouvelles, alors que c’est moi qui traverse un moment difficile où j’aurais besoin d’être soutenue, même s’il la fait encore samedi.
C’est à lui de venir prendre de mes nouvelles, je verrai bien s’il se pointe ce soir, mais s’il ne vient pas, ce qui me ferait certes de la peine mais me mettrait aussi en agacement profond, je crois bien qu’il pourra aller se faire foutre.
0 notes
Text
Sous la glace
Durant les hivers de mon enfance, j’allais régulièrement avec la famille et les copains à la patinoire. C’est quelque-chose de paradoxal ; C’est l’hiver et on va dans un lieu fermé faire du patin à glace. Enfin, on passait nos mercredis après-midis à patiner, s’amuser et parfois draguer. C’était surtout Ludo mon cousin qui flirtait facilement avec les filles. Il faut dire qu’il a très vite eu la technique, la démarche facile. Il peut regretter de ne pas avoir fait carrière dans ce sport.
Après, en vieillissant, j’ai continué d’aller à la patinoire avec quelques amis. On se divertissait tout en faisant une activité comme on aurait pu aller faire un bowling ou voir un film. On profitait aussi du bar pour se voir et discuter. C’est au cours d’une de ces soirées qu’eut lieu un événement étrange dont j’ai été témoin.
Comme tous les samedis soirs, la patinoire était bondée. Nous attendîmes un peu avant de faire quelques tours, sirotant un cocktail sans alcool car nous étions encore mineurs. Petit-à-petit la piste se vidait et nous pûmes enfin aller glisser un peu avant minuit. C’était sympa et je me souviens que c’était peu avant Halloween puisque quelques étudiants américains étaient venus déguisés. L’un en Freddy, l’autre en mort-vivant version Mickael Jackson ou inversement, une fille en infirmière défigurée et d’autres en je ne sais plus quoi.
Je faisais mon quatrième huit en tenant les mains d’Elisabeth lorsqu’une fille cria brusquement. Elle fut surprise par des traces visibles au sol. Effectivement, on pouvait percevoir quatre visages sur la glace de la patinoire. Moi, Elizabeth et deux amis qui étaient présents, David et Chloé. Cela amusa tout le monde en pensant que nous avions accepté de participer à la déco de la salle. Cependant, il n’en était rien. Mais nous ne dîmes rien ni ne fîmes de scandale car Elisabeth et Chloé trouvèrent cela plaisant voire prestigieux sur le moment.
La soirée continua, nous dansâmes jouâmes sur la patinoire jusqu’à la fermeture, cependant, je ne me sentais jamais à l’aise en passant au-dessus de nos visage dessinés sur la glace. Ils semblaient si vrai, si réels que je crus me voir bouger, hurler, taper dessus afin de m’extirper. C’était si effrayant que cette nuit, je fis un cauchemar et me vis coincé sous une épaisse couche de glace dans l’Antarctique. Par la suite, nous parlâmes avec le patron ou des employés de nos visages sur la patinoire, seulement personne ne put répondre à leur présence.
Enfin, avec le temps, nous oubliâmes cette anecdote. Notre groupe continua de se fréquenter régulièrement, nous profitâmes encore de la patinoire pendant quelques années. Et puis, vint le moment de nous séparer pour les études universitaires. Cependant nous gardions contact et nous fréquentâmes souvent pendant les weekends ou les vacances. D’ailleurs, on partait en vacances ensemble. D’abord en prenant le train puis en profitant de nos premières voitures. On allait un peu partout en France et en Europe, la campagne, la mer, la montagne.
C’est dans le Haut-Doubs qu’eurent lieu nos dernières vacances. Nous étions huit répartis en deux voitures. J’étais dans celle de David avec Elisabeth et Chloé. Dès Dijon, nous eûmes de la neige et la route fut compliquée. Nous nous relayâmes car la neige tombait abondamment. Durant une pause, certains proposèrent de faire une halte dans la prochaine ville. Hélas, aucun hôtel n’avait de place disponible, alors, nous continuâmes jusqu’à destination, un gite près de la frontière suisse.
La route devenait de plus en plus glissante. David emp��cha la voiture de déraper à plusieurs reprises. De plus, la neige tombait tellement qu’on ne voyait plus rien du paysage. Il avançait lentement. L’autre voiture nous fit des appels de phares signalant qu’ils ne pouvaient pas continuer. Et sans comprendre la raison, David ne s’arrêta pas. Il continua de rouler, persuadé que nous étions très bientôt arrivés.
L’angoisse, l’inquiétude monta tout à coup dans nos esprits. Elisabeth, de plus en plus effrayée, demanda à David de s’arrêter. « Mais, on y est !» assura-t-il. Chloé essaya de le dissuader. De mon côté, ne connaissant pas l’endroit, je faisais confiance à mon pote. Nous roulâmes encore un peu puis, soudain, nous fîmes des huit, David avait perdu le contrôle de la voiture. On glissait sans savoir où cela nous mènerait. Mon ami avait beau tirer sur le frein à main, il ne se passait rien, on continuait à avancer. Les filles hurlèrent de peur, elles commencèrent à pleurer. Enfin, la voiture s’arrêta !
La neige continuait de tomber. On ne savait pas où nous étions, certainement dans un champ pensai-je. Je sortis de la voiture et après deux pas, je compris à quel point nous étions en danger. David et Elisabeth s’effrayèrent en réalisant que nous étions au milieu d’un lac gelé. Autour de nous, il n’y avait aucune lumière en dehors des étoiles et de la lune au-dessus de notre tête. Toutefois, la blancheur de la neige permettait de voir assez loin. Nous remarquâmes les limites du lac et plusieurs habitations. Il était assez petit et nous pouvions y accéder avec un peu d’effort.
Alors que je commençai à glisser avec Elisabeth, David nous interpela parce qu’il ne voulait pas laisser la voiture à cet endroit. C’était sa seule possession. Chloé resta avec lui. Nous fîmes demi-tour pour trouver une solution. Je commençai à râler lorsque j’entendis tout-à-coup un énorme craquement. La glace se fissurait sous notre poids.
En un instant la voiture s’enfonça dans l’eau entrainant Chloé et David. Elisabeth voulut s’enfuir je la vis à son tour disparaitre. Quant à moi, paralysé, choqué de voir mes amis engloutis aussi vite, je ne réalisai pas que ce fut mon tour. L’eau glacée du lac permit à mes esprits de réagir. Je cherchai à remonter à la surface, seulement des énormes bris de glace m’empêchaient de sortir la tête hors de l’eau. Je me voyais déjà mort noyé, coincé comme un poisson dans un filet de pêche. Je me voyais déjà étouffé par l’eau si froide qu’elle brûlait ma peau.
Tout en essayant de nager, je tentai de frapper le plus fort possible la glace tellement solide qu’elle ne brisait pas. Pire, elle se ressoudait ! J’avalai de l’eau en cherchant à crier à l’aide. Je frappai vainement, du mieux que possible. Puis, je me suis souvenu de nos visages sur la patinoire, comme une alerte, une prémonition…une sale prémonition. Fatigué, exténué de chercher à m’extirper à mon triste sort, je restai au plus près de la glace observant la neige qui continuait de tomber. Déjà elle commençait à recouvrir la glace faisant disparaître totalement le visage de la lune. Il était beau ce visage, si calme si paisible comme le mien sur la glace de la patinoire.
J’ai été sorti brutalement par des riverains. Les cris des filles les avaient alertés. Mes poumons se remplirent d’air. A peine sur la glace, je crachai le goût du lac pour l’éjecter hors de ma gorge. Je vomis aussi cette eau saumâtre et terriblement glaciale. Je ne sais pas combien de temps je suis resté allongé avant qu’un vieil homme ne m’aide à quitter cet endroit sinistre. Un vieux qui aide physiquement un jeune, je me suis senti pitoyable.
La vie reprit son cours, pourtant, je ne revis pas mes amis. Ils restèrent coincés dans la glace comme mon esprit et mes souvenirs. Chloé et David furent coincés par la glace basculée en même temps que la voiture. Quant à Elizabeth, elle ne savait pas nager. Leurs corps furent retrouvés trois jours plus tard. Ils étaient remontés, gonflés par l’eau ; leur visage reflétait derrière la couche de glace. On m’a dit qu’ils semblaient paisibles.
Depuis, je passe mes vacances d’hiver dans ce lieu et je vais patiner. Là-bas, tout le monde me connait comme étant le miraculeux rescapé. Ils me laissent tranquilles. De temps en temps, il y a quelqu’un qui demande si j’ai besoin de quelque-chose, prétexte pour discuter. Alors, je réponds : « oui, tout va bien » puis, j’enfile mes patins pour faire quelques glissades en riant et en m’amusant avec les fantômes de mes amis. Et j’attends que la glace se brise enfin pour les rejoindre.
Alex@r60 – octobre 2020
12 notes
·
View notes
Text
Criteo estende la partnership con Lengow
New Post has been published on https://is.gd/jxlrdW
Criteo estende la partnership con Lengow
Criteo, l’azienda tecnologica globale che offre ai marketer di tutto il mondo soluzioni di advertising, ha annunciato l’estensione della sua partnership con Lengow, la piattaforma per gli e-trader per sviluppare la visibilità e la redditività dei loro cataloghi di prodotti.
Partner di lunga data di Criteo dal 2013, Lengow gestisce ogni giorno oltre 87.000 flussi indicizzati e lavora al fianco di oltre 4.600 brand e retailer.
La partnership trasformerà la capacità dei retailer di rivolgersi ai clienti offline aiutandoli a fornire raccomandazioni sui prodotti più significative e pertinenti, grazie alle inventory disponibili nei negozi locali.
La partnership riflette il grande cambiamento delle abitudini di consumo sulla scia del Covid-19. Con l’emergere di nuove sfide e priorità, i consumatori trascorrono più tempo online, ovunque si trovino e con qualsiasi modalità di acquisto. Il risultato? I retailer stanno lottando per soddisfare la domanda e i clienti stanno diventando sempre più scontenti della loro esperienza online.
In Francia, per esempio, nel periodo precedente l’inizio della stagione dei saldi estivi, il 61% dei consumatori ha dichiarato di essere insoddisfatto della propria esperienza online.
Per rispondere a questa sfida, la società ha lanciato una nuova offerta in collaborazione con Lengow, per esplorare nuove e più efficaci strategie omnichannel in grado di offrire un’esperienza utente online ottimale.
Rappresenta una opportunità per i retailer tradizionali di rimanere in contatto con i propri clienti offrendo loro raccomandazioni significative basate sulla disponibilità delle loro scorte in tempo reale. In un momento in cui i consumatori sono sempre più preoccupati per la propria salute e i contatti fisici, i retailer possono anche contribuire a ridurre il tempo trascorso a navigare e acquistare in negozio, con le opzioni click-and-collect disponibili.
Len Ostroff, SVP, Strategic Partnerships & Alliances di Criteo, ha dichiarato: “Il Covid-19 ha cambiato per sempre il panorama commerciale. In questo nuovo mondo, vediamo i retailer omnichannel più smart combinare la convenienza, l’ispirazione e il servizio disponibili nei luoghi fisici con le caratteristiche di facilità, rilevabilità e personalizzazione del digitale. La nostra partnership con Lengow sfrutta la disponibilità delle sue inventory di dati locali, migliorando la customer experience e la personalizzazione delle raccomandazioni sui prodotti.”
Con i saldi estivi e il protrarsi di un panorama sempre più complesso per i retailer e i brand nell’economia post-Covid, questa partnership offre la possibilità di migliorare l’impatto delle campagne pubblicitarie e della personalizzazione. Ciò si traduce in una maggiore capacità di intercettare i clienti offline e creare connessioni più significative con gli utenti.
Mickael Froger, CEO di Lengow, ha affermato: “Negli ultimi mesi abbiamo osservato da parte dei retailer non solo europei un forte interesse nei confronti delle strategie web to store. La copertura online, le capacità di targeting e i dati precisi sui prodotti sono fattori chiave per il successo e la società si trova in una posizione unica sul mercato per generare un impatto sui clienti. Per noi è stata quindi una scelta naturale estendere la partnership con Criteo e siamo lieti di attivare i dati di inventory locali dei nostri retailer omnicanale sulla sua piattaforma”.
2 notes
·
View notes
Note
❛ Feeling all right? ❜ - from mickael ..... lowkey .......
* ( 𝐓𝐇𝐄 𝐆𝐎𝐎𝐃 𝐏𝐋𝐀𝐂𝐄 / 𝐒𝐄𝐍𝐓𝐄𝐍𝐂𝐄 𝐏𝐑𝐎𝐌𝐏𝐓𝐒. ) ( ACCEPTING ) @alterlovetm / mickael ( meme. )
❝ Je vais bien ❞ she turns her neck a bit to give mika a look —- maybe to stop worrying ? But Mika has always worried about Manon, ever since she’s lived there ( and lisa too ) it’s just who he is and she loves him for it. But she’s just spoken with Lucas in his room and naturally, he seems a little pressed that he has to move out ( for tonight ) but he’s doing it, because … he feels like he has to, and there’s always a residual bad feeling that comes accompanied with that. Especially knowing that he has no other place to go. ❝ le vol était un peu cahoteux et je ne me suis pas endormi ❞ the flight was less than favorable, and it’s probably because she doesn’t technically like to travel alone ( even though she’s used to it, it was nice to have someone with her when she went to London in the first place ) it felt less methodical. ❝ Euh .. mika, tu sais quand j'ai dit que je prendrais le canapé? Je peux encore. —– ❞ her things are still stacked neatly by the door, untouched, yet looking a bit out of place. ❝ Nos émotions sont fortes et je sens que ce matin aurait pu aller mieux. Je ne veux pas que Lucas ait l'impression que nous le poussons, je ne veux pas lui faire ça. ❞ manon isn’t exactly scolding mika ( because she’s also about to talk to Lisa as well ) but she made a promise to Lucas that he could come to her for anything, that he wasn’t alone —— the little display this morning more than likely made him feel the opposite.
❝ Tu me manques encore, mika, tu sais? ❞ with that, she carries herself over to him and opens her arms for a hug. This, is how she wants to show him that she’s feeling OK. It might not be what everyone’s used to ( always put together, always smiling about something ) but right now, it’s the best she can do.
#alterlovetm#// im kinda sad what the fuck : (#( --- my parents didn’t want kids .. not really ➺ answered. )#( — tu n'es pas seul ➺ saison trois ➺ verse three. )
3 notes
·
View notes
Text
Un photographe et une triste fin
William Klein s’est éteint le 10 septembre à l’âge de 96 ans. Considéré comme l’un des pionniers de la streetphotographie, maitre du noir et blanc, cette figure iconique était tout à la fois peintre, graphiste, cinéaste, documentariste. Ses images ont profondément marqué et bousculé l’histoire de la photographie. Avec son « journal photographique » Life Is Good and Good For You in New York: Trance Witness Revels (1956), il a inventé un style coup de poing de reportage pulsé au grain et au contraste fort et flou, faisant sienne la devise de Capa « si votre photo n’est pas assez bonne, c’est que vous n’êtes pas assez près ». Au même titre que The Americans de Robert Frank, il fait parti de ces livres que j’ai pris à leur lecture en pleine figure, créant un choc, une rupture radicale avec l’idée même de photographie. Cette énergie incroyable, cette violence de la foule, cette brutalité insolente, allait libérer en moi un élan d’inspiration d’une force inouïe. Alors quelle tristesse de tomber dans le lot d’hagiographies de circonstance sur cette chronique de Benoit Baume, directeur de Fisheye dans laquelle, il rappelle que William Klein a déjà peloté plusieurs femmes qui passaient près de lui, sans leur consentement, ces dix dernières années. Il a lui même assisté à une de ces scènes lors d’un vernissage.
“Voilà ce que je sais de William Klein et des femmes. Rien de dramatique ? Ce n’est pas à moi d’en juger, mais ce qui est sûr c’est que je connais peu de femmes heureuses de subir des attouchements non consentis, d’autant plus quand l’auteur à plus de 80 ans. William Klein reste un artiste capital de l’histoire de la photographie. Peut-être que durant quatre-vingts ans il a été irréprochable avec les femmes, et que le fait de devenir octogénaire lui a faire perdre ses repères. C’est peut-être le cas. Quoi qu’il en soit, je n’enverrai jamais une journaliste de la rédaction, une amie ou n’importe qui d’autre d’ailleurs passer du temps avec ce monsieur. Je ne juge pas une vie, mais son épilogue qui n’est pas acceptable. Et dans la mesure où je peux en parler, je le fais pour ne pas en devenir le complice.”
Ces lignes sont implacables, comme ses actes inacceptables et peu importe l’âge ou l’histoire idéologique qui veut nous faire croire que l’on ne peut séparer l’artiste de l’homme, je suis amer et je ne regarderai plus les photographies de William Klein de la même manière.
Mickael STIBLING
Photographie : William Klein, photographe américain, à son domicile parisien, en 2011. © Jane Evelyn Atwood.
1 note
·
View note
Photo
Bonjour, Hier après-midi le rendez-vous à l’examen plateau a fait beaucoup d’heureux. Laura, Brice K., Vale, Mathieu, Brice C., Mickael, Théo, Seb, Youssef, Loris, Attilio (A1) ont réussi de fort belle manière l’examen plateau. Nous avons eu les compliments de l’inspecteur. Assez rare pour le dire surtout que ce dernier a collaboré à l’actuel examen. Cela bonifie notre travail. Les élèves ont rendez-vous lundi pour une ultime montée d’adrénaline avec la circulation. Éric qui n’est pas présent sur la photo, s’est battu mais devra éviter de confondre les parcours. Dommage!!! À suivre…👊👍✌️ • • • • •🏍 Marques : @hondamotofr @honda @dafy_moto @nakedengines @moto_journal @ducati @motomadlove @motoetmotards @revuemoto @moto_magazine_france @circuit_de_ledenon • • •🔧 : #igers #pics #moto #circuit #picoftheday #love #work #fun #sport #instagood #amazing #ride #motard #motardmafia #roadtrip #road #motogpnews #motolife #motorsport #life #speedmaster #picture #pilote #13 #suzuki #suzukigsxr #motogp #gsxr125 #champion #championnat (à CFM Ledenon) https://www.instagram.com/p/CdMQPd_s8KP/?igshid=NGJjMDIxMWI=
#igers#pics#moto#circuit#picoftheday#love#work#fun#sport#instagood#amazing#ride#motard#motardmafia#roadtrip#road#motogpnews#motolife#motorsport#life#speedmaster#picture#pilote#13#suzuki#suzukigsxr#motogp#gsxr125#champion#championnat
0 notes
Text
La chambre est triste et petite. Les murs écaillés et jaunis. Deux lits, une table, une chaise, deux placards, des barreaux aux fenêtres. Je me réveille. Mais il va falloir attendre une demi-heure que le petit déjeuner soit servi dans la salle du réfectoire. J’ai la bouche pâteuse à cause des médicaments qu’ils me donnent.Je vais dans la salle de bain et boit de l’eau au robinet en faisant un verre avec mes deux mains. Dans cette chambre nous sommes deux. Mon collègue s’appelle Michael, il a 38 ans et ressemble vaguement à Bob Dylan. Lui, il roupille encore. Pourtant il s’est couché à 21h. Mais la dose très forte de neuroleptiques qu’il doit prendre le fait dormir énormément. Tiens ça y est, il bouge un peu dans son lit. Il ouvre les yeux et… éclate de rire. « Cette nuit j’ai parlé au radiateur » me dit-il. Et puis il éclate encore de rire. J’essaye de comprendre ce qu’il veut dire par là mais je pige rien. Et pourquoi ? Je lui demande. « Bah y avait la voiture à Johnny qu’était garé en face de la fenêtre et j’ai pas pu dormir ».
Il éclate encore de rire. Un rire d’enfant. Ça va faire deux jours que je suis là à trainer en pyjama sans le droit d’utiliser mes propres vêtements et je commence à trouver le temps très long. Mickael lui semble s’en foutre. Je crois qu’il réalise pas trop la situation. Je sors de la chambre pour aller me fumer une cigarette dans le patio. Je croise des grappes de zombies en pyjama comme le mien et allume mon clope dehors. Les zombies s’approchent et me demandent des clopes, je refuse. Ils insistent. Ici taxer des cigarettes est un sport national. Mais n’ayant pas le loisir de sortir à l’extérieur pour en acheter je dois la jouer serré avec mon stock. Je retourne dans ma turne. Mickael est assis sur son lit en train de mener à la baguette un orchestre imaginaire. Il me dit qu’Herbert Von Karajan est en train de lui parler dans sa tête. Je lui demande si Herbert va bien ? Mickael me répond qu’il est aux sports d’hiver. Bon tant mieux, je me recouche dans mon lit déjà épuisé par toutes ces visions matinales. Mickael entend des voix dans sa tête ; et Mickael a deux marottes : la musique et les QI. Allez pas me demander pourquoi ? J’en sais rien du tout. Pour être plus précis Mickael entend 8 voix dans son crâne. Ça doit être assez encombré tout ce truc ; une vraie radio FM qui déconne et grésille. Mais c’est un garçon très joyeux. Il passe du coq à l’âne tout le temps et il est assez dur à suivre, mais il est de bonne composition et de bonne compagnie. En arrivant dans cette chambre il y a deux jours je l’ai vu assis par terre en train de faire du Air Guitar. Et le premier truc qu’il m’ait dit, et ceci très sérieusement, c’est qu’il vivait dans la quatrième dimension. Et là, je voulais bien le croire. Tout de suite après il a posé « sa guitare » et a commencé à me parler un brin confusément d’Einstein, des extra terrestres, de Mylène Farmer, de Joe Satriani, de Nietzsche, de Jésus, d’ Herbert Von Karajan, et de Mozart. J’ai tout de suite eu assez mal à la tête en l’écoutant ainsi et me suis vite rendu compte que tous ces personnages l’habitaient réellement à l’intérieur de son cerveau. Ça en faisait huit en tout. Une belle brochette de stars. Un vrai panthéon. Pour son cas, je suis assez partagé. J’imagine que Mickael est en souffrance. Mais ce qu’il montre en surface : c’est de la joie de vivre. Son petit monde si particulier semble lui convenir. Ce qu’il y a d‘étrange, c’est qu’il a l’air lucide. Oui, à moitié délirant et à moitié lucide. Il me dit qu’il a eu son bac mais que c’est ensuite que les choses se sont gâtées puisqu’il n’a jamais pu décoller de la première année de musicologie à la fac. Il aurait même totalisé huit inscriptions en première année. Un joli score… Maintenant il évolue entre l’HP et un studiopayé par sa mère. D’ailleurs, heureusement qu’elle est là sa mère. Elle semble essayer de lui offrir ce qu’il désire et n’hésite jamais à lui faire plaisir en lui achetant un synthé ou une 125 car Mickael est aussi dingue de motos. Il me demande souvent si plus tard, je voudrais bien venir avec lui avenue de la Grande Armée pour voir les bécanes. Mickael me dit qu’il a composé une symphonie sur son synthé. J’ai hâte de voir ça. En attendant, je suis allongé sur mon lit et essaye de faire un peu le vide. L’heure du p’tit dej arrive. Je me dirige vers le réfectoire. Un groupe est déjà agglutiné devant la porte de verre blindée. Il y a là Alain en tête qui est sourd et muet. Lui est enfermé à vie ici. Il aurait foutu le feu dans une cage d’escalier quand il était ado en tuant une personne et les multiples essais de le replonger dans la « société » auraient échoués. Alors il est bon pour trainer ses pantoufles dans les couloirs de l’asile en poussant des petits cris sur aigus pendant toute sa vie.
Mickael boit son café avec son Walkman sur les oreilles. Des effluves d’Highway To Hell sortent de ses écouteurs. Bienvenue en enfer Mickael… et oui t’as pas vraiment tort sur ce coup là. Too much for my body…Too much for my brain…Quand soudain Mickael éclate de rire et déclame : « Je serai moi ! » Je relève la tête de mon bol de chocolat et fixe Mickael. Des nuages noirs passent dans le ciel à toute vitesse au dessus de la maison des dingues. Orage. Mickael se lève de son siège et file vers la chambre. Je termine tranquillement mon p’tit déj. On verra bien, je me dis. A côté de moi, il y a un type avec une tête énorme qui se balance en avant, en arrière. Qu’est-ce que je fous là ? Tout ça parce que ma copine m’a largué… Je découvre l’autre côté, l’autre surface des choses, ceux, tout ceux que l’on cache de la « normalité ».Je retourne dans la chambre après m’en être grillé une dans le patio. Le plus dur ici c’est la répétition des pseudo évènements qui rythment la journée. Toujours pareil. Le même quotidien qui se répète en boucle. Ici tout est circulaire : le patio, les couloirs, le bâtiment. Le bâtiment, les couloirs, le patio. On tourne littéralement en rond. C’est à se flinguer. Drôle de thérapie que d’être là. Je pige pas vraiment ceux qui siègent dans les hautes instances de la psychiatrie. Mickael est sur son lit. Je rejoins le mien. Que va t-il encore me raconter comme truc ? J’attends. Mais il reste silencieux. Quant à moi, je n’ai même pas envie de lire ou d’écouter de la musique. J’aimerai juste être loin de ce non-lieu, mis au ban, reclu contrôlé, surveillé et puni.
Je regarde ma montre et calcule le temps jusqu’au déjeuner : 3 heures à tirer et à partir de là 4 heures jusqu’au dîner. J’essaie de fixer un point fixe dans le mur d’en face et de ne penser à rien. J’ai bien essayé de discuter avec des gens ici mais peine perdue. Non seulement c’était sans issue mais en plus c’était triste. A part ce type qui me répétait à mon arrivée sans arrêt qu’il ne voulait pas mourir : « j’veux pas mourir, j’veux pas mourir, j’veux pas mourir » qu’il me disait sans cesse depuis 8 heures du matin. A 23 heures, il continuait. Alors pour en finir, je lui ai demandé s’il était pas mort maintenant. Il me dévisagea soudain et me dit « Toi ! tu me croiras jamais ! Bah si, dit ? « J’ai ressuscité ! »
Alors, il ne me restait plus qu’à entrer dans le monde délirant de Mickael. Il ne me restait plus qu’à l’écouter enchaîner des phrases sans queues ni têtes où il était question du QI de Mozart, des extra-terrestres qui l’avaient kidnappés, de la voiture à Johnny et j’en passe. Au moins c’était drôle, quoique pathétique peut être pour un témoin extérieur mais je m’en foutais. Mickael est toujours sur son lit, la main sur le coeur. Oui, il écoute battre son coeur. Et puis il répète sans cesse : « JE serai moi ! ». Je lui demande ce que cela veut bien dire. Il me répond sans sourciller que cette fois il arrête ses conneries. Que la voix qu’il entend désormais sera la sienne.
1 note
·
View note
Text
2022年 アルファヒディフォート(G2) レース結果と動画
アルファヒディフォートAl Fahidi Fort G2 2022/01/21 メイダン競馬場 5R 芝1400 14頭立て 馬場状態:Good 3歳以上 2022年 アルファヒディフォート(G2) レース結果 着順 枠番 馬番 馬名 性齢 斤量 騎手 調教師 オッズ 人気 タイム着差 1 12 5 ナバルクラウンNaval Crown セ4 57 W.ビュイックWilliam Buick C.アップルビーCharlie Appleby 1.7 1 1:22.02 2 1 12 story of light セ5 57 M.バルザローナMickael Barzalona A.ビン・ハルマシュA bin Harmash 41.0 7 1 3 7 14 ザインホムZainhom セ8 57 A.フレスAntonio Fresu M.アル・ムハイリM Al…
View On WordPress
0 notes
Text
Les Copains
A Ambert, le 4 juillet 2021
Nouveau week-end de course en ce début juillet, pratiquement à domicile, à Ambert pour la célèbre cyclo des Copains (33eme édition) qui va rassembler plus de 3000 participants. Si la météo avait été favorable sur les courses des 4 dernières semaines, il en est tout autre ici ; depuis 2-3 jours les prévisions sont mauvaises et c’est confirmé puisqu’à 15 minutes du départ, la pluie s’invite. Habituellement je fais le grand parcours de 156km mais voyant cela la tentation est très grande pour effectuer le nouveau « Copains Light » version entre le grand et moyen parcours qui évite juste le sommet du col du Béal.
8h pile départ sous la flotte donc avec des circuits renouvelés cette année. On part en direction de Tonvic. En première ligne, j’y reste facilement emmenant l’imposant peloton qui n’est pas très nerveux. Rien à signaler sur ce début de course où même la facile première montée de Grenier s’effectue gentiment malgré quelques tentatives d’attaques. J’imprime le petit tempo et tout le monde se dirige dans la descente sur Arlanc, parfois rapide mais sans risque sur une chaussé bien détrempée.
Peu après Arlanc je tente une petite échappée à 2 qui ne fait pas long feu et on attaque la seconde difficulté, plus sérieuse cette fois ; la côte de Montravel (5,7km @ 7.7%). Avec un début de 3,4km @ 9,1%, j’impose immédiatement mon rythme dans cette côte pour faire la sélection. Ça monte fort et nous nous retrouvons qu’une petite vingtaine de coureurs au sommet. La suite est plus vallonnée, la pluie cesse et j’en profite pour rester dans les roues. Un petit groupe revient même, signe que ça ne roule pas et le mur de St Martin-des-Olmes va secouer le cocotier ! Mickael Bérard y va avec un équipier d’Ambert Thomas Vincent, je saute sur l’occasion. Ça explose un peu et je me trouve dans le bon coup avec aussi David De Vecchi. Malheureusement, ça revient pour la montée sur Bunangues (7,9km @ 5%), où je reste de nouveau tranquille dans les roues alors que nous sommes une grosse quinzaine d’éléments. Peut avant le sommet Remi Saillard, déjà attaquant en début de course, parviens à sortir puis la course s’emballe sur la partie en faux plat descendant pour rejoindre Valcivières.
On est plusieurs à accélérer, et je m’arrache pour suivre 2 hommes dont Thomas Vincent. C’est à bloc sur une chaussé trempée et les virages sont quelques peu tendus ! Puis la pluie s’abat sur nous ; un véritable déluge entre Valcivières et Job. La route est inondée, on n’y voit plus rien et je reste concentré sur la roue de Thomas. Il y en a de partout, 2 nous doublent, c’est le mode survie jusqu’à Job où la pente reprend à l’amorce du col du Chansert (8,7km @ 6,6%).
Nous sommes moins d’une dizaine, et dans ces conditions mon choix est conforté ; ce sera les Copains Light ! Immédiatement je reprends la tête et imprime un rythme, que j’espère, dévastateur ! Ce col est le dernier gros morceau, alors je donne tout et reviens sur 2-3 gars qui avaient pris de l’avance dans la tempête. Bientôt nous ne sommes plus que trois en tête avec Béranger Brossel et Maxence Janodet. Je fais le job jusqu’au sommet pour creuser l’écart au max. Pendant ce temps la pluie cesse et je laisse faire mes 2 compagnons dans la descente ; bien guidé, ça va vite malgré la route mouillée et les lacets. Surmotivé dans la petite remontée sur St Pierre-La-Bourlhonne, je laisse mes 2 camarades d’échappée se diriger sur le col du Béal et on s’encourage mutuellement. Ils ne le savent pas encore mais l’avance prise conjuguée avec une bonne fin de course feront qu’ils se disputerons la victoire un peu plus tard !
A présent seul, il me reste une petite trentaine de bornes avec d’abord la descente sur Vertolaye ; sans repère, je n’y prends aucun risque et relance fort en bas pour attaquer les 6 km de la montée sur Bertignat (6,3km @ 3,7%). Cette difficulté est très roulante, je n’y tombe pas la plaque et maintient ce qui me semble être un bon gros tempo rattrapant quelques concurrents des plus petits parcours pour casser la monotonie. Au sommet encore une dizaine de kms, descendants mais bien exigeants en fin de course avec une faible pente. Ne connaissant pas les écarts avec mes poursuivants j’appuie fort jusqu’au dernier km pour éviter toute mauvaise surprise et savoure cette victoire sur la ligne d’arrivée où personne d’autre n’est présent ; je lève les bras et le speaker m’annonce vainqueur de ce parcours des Copains Light avant de faire l’interview à chaud sitôt la ligne franchie !
Après coup pas de regrets sur mon choix ; j’ai pu faire de gros efforts qui ont payés et malgré ça je termine plutôt bien. Bien sûr la météo a joué un rôle essentiel puisque sous des conditions plus clémentes je serais resté sur « les Copains » pour une course qui aurait été bien différente.
Un mot sur le challenge Cyclo Tour Rotor, puisque cette épreuve était finalement la 1ere manche. Les 2 parcours des Copains étaient classés même coefficient, je marque donc le maximum de points pour un bon départ sur ce challenge qui sera le fil rouge de l’été. Mais si je me suis bien acclimaté à ces mauvaises conditions, j’espère vivement retrouver le soleil pour les prochaines courses à commencer par la Trilogie de Maurienne en fin de semaine.
Résultats :
https://www.cyclolescopains.fr/ ou en cliquant ici
#les copains cyfac#ambert#Monts du Forez#cédric richard#roue des grands bois#specialized elite shop#résultat#challenge cyclo tour rotor#LVO
0 notes
Text
8 ans - La Nueva Frida
Cette journée, comme chaque année, cela fait trois mois que tu la prépares, bien décidée que tu es à en faire une fête nationale. Ces histoires de COVID, de confinement, de tests naso-pharyngés n'arrêteront pas ton élan. Tu as exigé de ta mère et moi que nous prenions un jour de congé — c'est ton anniversaire. Tu as imposé à la nounou et au Nuevo Che de t'organiser une surprise pour ton retour du stage de vacances, surprise de laquelle tu ne veux rien savoir si ce n'est qu'elle doit avoir lieu, avec des ballons et des cadeaux. Tu nous mènes au doigt et à la baguette et nous dansons sur ta partition, avec entrain.
Tu ne portes plus que des survêtements, tu prétends que les jeans et les pantalons te serrent trop, et chaque fois que je te demande de réaliser l'inventaire de ta garde-robe, tu te défiles. Tu acceptes à la rigueur de troquer un de ces joggings infâmes et informes contre un short. En novembre. Cette année, tu pratiques le break dance. Tu as laissé tomber le tennis, la guitare et tes envies de hockey sur gazon. Tu aimes trop tourner sur la tête et te donner en spectacle sur des musiques urbaines. De temps à autre, on te surprend à chanter, le casque sur les oreilles, rivée à l'écran de ton iPad. Tu chantes juste, tu es toujours la seule de la famille, d'ailleurs.
Tu aimes les puzzles d'animaux, les coloriages et les dessins. Tu aimes faire les courses, compter ton argent de poche et le dépenser. Ta passion du moment, c'est avant tout Minecraft, le jeu, les bébés, les vêtements, les livres, les Lego. Impossible, pour moi, de comprendre ce qui t'attire tant dans cet univers cubique que je trouve à peu près aussi moche que Fortnite, du temps où ton frère y consacrait l'essentiel de son temps éveillé. Tu aimes aussi discuter, raconter ta journée et poser des questions sur les nôtres, de journées, que nous passons confinés derrière nos écrans.
L'amour de ta vie : Kamitche, le terrier du Tibet qui vit avec nous depuis un peu plus d'un an. Tu la sors dans le parc, seule, régulièrement, tu la brosses quand on te le rappelle, tu refuses avec la toute dernière énergie que nous la lâchions quand nous la promenons. Tu as peur qu'elle se fasse écraser, qu'elle ne revienne pas. Cela te stresse chaque fois que ta mère la sort, un soir sur deux, et tu refuses de t'abandonner au sommeil tant que tu n'es pas assurée que le chien est bien rentré. Tu me demandes régulièrement si Kamitche nous aime, si elle se rappelle de ses frères et sœurs et de ses parents. Lui inventez son nom n'a pas suffit alors les surnoms se multiplient.
Nos moments à nous, entre père et fille, ce sont les promenades du chien, la pâtisserie du week-end que nous réalisons ensemble (tu trouves que pétrir les pâtes est une activité "très satisfaisante"), les câlins que tu exiges sur un ton qui n'admet pas la contradiction, les minutes pendant lesquelles tu te glisses dans mon bureau alors que je suis en visio-conférence, où tu viens t'ennuyer un petit peu avant de quémander l'impression d'une feuille à colorier, un dessin moche de Minecraft que tu exiges ensuite que je punaise sur mon mur.
Tu cries beaucoup, beaucoup trop. Ce n'est pas ta faute, c'est celle du monde, toujours aussi peu enclin à satisfaire la totalité de tes désirs. Le stoïcisme n'est pas ton fort, pas encore. Le ton monte, les murs tremblent. Nous nous y mettons tous, jusqu'à ce que cela retombe. Nous avons encore des bouderies et des réconciliations, des câlins de pardon et des colères de fatigue.
Avoir huit ans en 2020, c'est pas marrant, nous sommes bien d'accord. Nous n'avons pas mis les pieds au pays des Hobbits depuis trop longtemps et tes cousines te manquent. Ta fête d'anniversaire est reportée sine die pour cause de nouveau confinement et de fermeture des plaines de jeux et des parcs de trampoline — ton nouveau loisir préféré. Tu as subis deux tests COVID et refuses d'en passer un autre, préférant prolonger la quarantaine imposée par l'école après l'annonce de deux cas positifs dans ta classe. Nous ne savons pas où nous passerons Noël, si nous verrons tes grands-parents. Tu qualifies mon père de "sacré dur-à-cuire" sur la base des récits de ses derniers accidents, de ses dernières avanies et tu l'enjoins, à quatre-vingt cinq ans, avec sa prothèse de hanche, à reprendre le footing et le vélo.
Tes copains s'appellent Alex (il y en a deux), Mickael, Minka, Emma, Matéo, Evangelos et Clémentine (j'en oublie sans doute). Ton frère reste toutefois ton meilleur ami. Vous vous rouez de coups et vous ne cessez de vous disputer mais vous demeurez inséparables. Tu prends sa défense en toutes circonstances, excepté lorsque tu l'accuses de tous les maux, d'être le préféré de cette famille. Il t'arrive de souhaiter que notre conseil de famille éteigne son flambeau, comme dans Koh Lanta que nous regardons religieusement tous les vendredis soirs. Nous soutenions l'Est et le Sud mais tu gardes un faible pour Brice et Dorian. Il y a une semaine, tu as trouvé un billet de cinquante euros sous un banc du parc et tu as décidé d'en offrir vingt à ton frère. Tu as toujours été possessive, matérialiste et généreuse.
Ce soir, tu es satisfaite de nos efforts. Nous avions gonflé des ballons, emballé tes cadeaux, apporté un gâteau aux chocolats couvert de bougies à étincelles. Toute la famille t'a appelée. Tu t'es sentie appréciée, aimée, reconnue. Tu es heureuse, dans ton pyjama Minecraft.
Le Nuevo Che a eu deux ans, trois ans, quatre ans, cinq ans, six ans, sept ans, huit ans, neuf ans (mais je n’ai rien posté), dix ans.
La Nueva Frida a eu deux ans, trois ans, quatre ans, cinq ans, six ans (mais je n’ai rien posté), sept ans.
Le FILF a eu quarante-cinq ans.
0 notes
Text
Le Noeud Gordien
A l'heure de la Vague scélérate - Conjonction et synergie de toutes les crises en une déferlante globale
Mickael DAMOUR's insight:
un bon article qui résume la situation sur le LIBRA
Une éventualité intrigante est que "Zuck [ne] soit l’idiot utile de Satoshi". C’est-à-dire que le PDG de Facebook Zuckerberg découvre qu’au final son projet ne serve que de marchepied à une cryptomonnaie au sens propre, c’est-à-dire décentralisée et sans intermédiaire, que ce soit le bitcoin créé par Satoshi Nakamoto ou une autre. En effet, ce qui bloque actuellement l’extension du système cryptomonnaie n’est plus la limitation technique du nombre de transactions que le réseau peut prendre en charge par seconde : l’obstacle a été levé en ce qui concerne le bitcoin avec le réseau secondaire Lightning. En dehors d’une stabilisation au moins relative de la valeur du bitcoin - qui pourrait arriver avec le temps - il manque surtout l’extension du nombre de personnes "initiées" au-delà des quelques millions qui y ont déjà "touché" voire qui possèdent des bitcoins ou d’autres cryptos. Or, le libra promet de faire passer le nombre d’initiés de millions... jusqu’à un ou plusieurs milliards ! Rien n’empêchera que ces personnes ne s’intéressent ensuite à un système qui leur procure essentiellement les mêmes bénéfices, mais sans le contrôle par l’intermédiaire privé que serait Facebook - même rejoint par 99 autres N’ayant que l’apparence d’une cryptomonnaie sans intermédiaire recouvrant la réalité d’une monnaie fiduciaire privée, le libra en somme sera au bitcoin ce qu’est le Canada Dry à l’alcool : un succédané. Or, il se pourrait fort bien que la consommation de Canada Dry ne soit que le premier pas vers la consommation d’alcools à proprement parler...
0 notes
Photo
1er match en Europa League et très bonne performance des joueurs Marseillais qui auront fais douter Bournemouth jusqu’au dernier moment et qui donc repartent de l’Angleterre avec un petit point précieux.
6e journée de Ligue 1 et gros Classico. Marseille ouvre le score juste avant la mi-temps et après une grosse domination. Mais derrière Bertrand Traoré surprend les Marseillais et égalise. Le match se termine avec des regrets mais malgré tout l’équipe ramène un bon point de Lyon. A noter la première titularisation de Bouna Sarr, Tyrell Malacia, Mickael Cuisance, Maxime Lopez et Nemanja Radonjic.
7e journée de Ligue 1 avec la réception de Strasbourg. D’entrée Rudi Garcia fait des choix forts et titularise Romagna et Germain. Ce choix s’avéra payant puisque Germain va réaliser un quadruplé. Marseille va écraser Strasbourg et afficher son ambition pour cette saison. A noter que Thorgan Hazard a inscrit son premier but sous ses nouvelles couleurs.
8e journée de Ligue 1 et dernière du mois de septembre. Marseille va faire un non match et encaissé un but de Koné en début de match, retard que les Marseillais seront incapable de récupérer. Dommage car l’OM semblait au dessus de son adversaire du jour.
0 notes
Text
Retour sur un week-end de masterclass photographie documentaire avec Anthony Micallef
Si pour tout à chacun 2020 aura été vécu comme une année particulièrement rude, la photographie n’a jamais manqué l’occasion d’enchanter nos quotidiens. Alors même que la crise sanitaire rendait subitement tout compliqué au point de chambouler la vie dans tous les sens, le photoklatsch nous a offert réflexion et respiration durant cette période sans pareil et notamment grâce à la forte implication de ses membres. Ce blog depuis son origine s’en veut la trace, retour donc ici sur un week-end de “masterclass photographie documentaire” resté gravé dans les mémoires.
Le week-end de “masterclass photographie documentaire” c’est LE rendez-vous du Photoklatsch. Organisé par le Centre “Le Lierre” et ses bénévoles dans le cadre du festival “le Réel en vue”, il représente en tout et pour tout presque an de préparation et combine une exposition collective, une soirée rencontre et un workshop.
L’un des éléments déterminants dans la préparation de ces journées se rapporte au choix du photographe invité, puisque c’est ce dernier qui donne le ton du workshop. Pendant plusieurs semaines, les bénévoles identifient, proposent, décortiquent différents corpus d’images documentaires d’hommes et de femmes photographes français.e.s.
Les critères de sélection sont parfaitement subjectifs. Ils reposent sur les visions du monde, les sensibilités, l’expérience propre à chacun.e à la croisé du social, du culturel, du documentaire et de l’artistique.
Après quelques semaines d’échanges, l’équipe du Photoklatsch se met d’accord et choisit d’inviter le photographe marseillais Anthony Micallef. Un photo-reporter au long court qui aime raconter les failles, les espaces clos. Il a travaillé entre autre sur la jeunesse des militants du Front National, les urgences de Créteil, le mal-logement à Marseille avec le projet “Indigne toit”. Ce travail photographique parle et séduit immédiatement l’équipe du Festival.
Le projet de workshop documentaire, quant à lui, s’articule au fur et à mesure des concertations avec les bénévoles, l’animateur et le photographe lui-même. Rapidement, le choix se porte sur le quartier de l’île de la Gare. Un territoire entouré par les eaux de la Moselle qui connait depuis plusieurs années de profondes mutations urbanistiques dont le symbole est la création d’une passerelle reliant les deux rives de la rivière traversant Thionville. Une continuité intéressante après le travail développé lors de la précédente masterclass sur le quartier de la Côte des Roses. Avec toutefois, une différence importante, la faible densité de population du Quartier Gare. En effet, s’il est un carrefour pour la mobilité urbaine, avec les travailleurs transfrontaliers notamment, l’île de la Gare compte peu d’habitants. L’approche photographique se devra d’être forcement différente donc, mais l’idée convainc son petit monde.
Le week-end de masterclass, c’est aussi l’occasion de monter l’exposition annuelle. 7 photographes du Photoklatsch se retrouvent en ouverture du week-end exposés sur les murs de l'espace In Vitro. Pas de thème imposé, mais des approches et des vues bien distinctes.
On pouvait apercevoir ce week-end de septembre des images d’Alain Dodeler, Annie Hackenheimer, Abel Mayer, Michel Muller, Laurent Renault, Roger Richard et Mickael Stibling. Puis le soir même, la masterclass d’Anthony Micallef commence.
Dans la salle d’exposition, nous sommes une vingtaine de personnes à écouter le photographe. Il évoque successivement son parcours, son approche de photo-reporter, ses visions de la photographie, son rapport à l’image et aux gens. Anthony parle facilement, en plus de ça souvent avec humour, les anecdotes abondent au même rythme que ses images défilent au mur. Deux heures plus tard, la soirée se termine. Nous nous retrouverons le lendemain matin pour le début des deux jours de workshop.
Tout au long du week-end, les échanges autour de la photographie auront été particulièrement généreux, vivaces et nourrissant. Le projet d’édition à venir avait même déjà trouvé son nom : “Ceux qui sont allés tout au bout de l’île”. Nous n’en espérions décidément pas tant.
Le podcast de la rencontre avec Anthony Micallef est à retrouver ici : https://soundcloud.com/user-128597753/masterclass-anthony-micallef-photoklatsch
Site d’Anthony Micallef : http://www.anthonymicallef.com
Site du projet Indigne Toit : https://indignetoit.com
Mickael STIBLING
0 notes
Photo
We were all waiting in apprehension to finally know our history, their history …
Rafael: Since the dawn of time, a battle has raged between the angels and the fallen, those who give birth to the nephilim … To calm things down we had only one solution grouped the nephilim and teach them to master their power … There is different height of power in nephilims, as there are several ranks at the level of angels. The strongest are so much more to watch, and each had a role to play … We also had to establish a system of hierarchy within their community under our control archangels! Dana represented the nephilims that have the abilities of creatures such as fairies, hence its appearance here on this earth. Sitael you will understand represents the geniuses, so on …
Hardin: Geniuses are not supposed to be in lamps?
Sitael: Well my dear half vampire, know that geniuses and lamps do not mix, you would like to live in such a small place, can I show you if you want so much ?! … take care a little about your words and who you are talking to!
Hardin: Wait, so my father is a nephilim too?
Rafael: Well, so not all creatures are not representing, especially vampires are out of the shadows it’s your father Emilien who by opening the portal to this species of creatures and enslaved Jasper! But wait for the continuation you will understand it!
So Emilien had much more power than a simple nephilim, he was an archangel, his power was immense and he was indomitable, he thought only of rebelling, to take power over others, to challenge authority! It was the day of his encounter with the first key that upset all of our world and yours, the first of all … the first key, another nephilim with great power too, the power to open or close portals between worlds … a protector was appointed to him, Jasper, he had to protect the key and close the gate … but Emilien was much more cunning and he managed to control his mind. The evil was done, the worlds were open, the archangel Mickael had the task of looking for this nephilim and destroy it, bring back the key in our mode, and make sure that it never opens again. It took years to get his hands on the nephilim, because he had found a ploy, he managed to thwart the plans by changing appearance. So we used the help of a medium to find and capture his aura!
Hardin: A medium, why do?
Rafael: yes the psychics see the lost souls, they hear their request, see them too, they have control over his minds stuck here, the medium helps them find peace and so to join their place of transition .. but not that the medium also sees the auras among the living, it is a more advanced form of the gift, it distinguishes the colors the intensities of the people, it is of this gift that we needed.
Lealys: And? you find it thanks to the medium?
Rafel: When we finally spotted him, he ended up destroying his precious key, Jasper under the control of the nephilim fought with the archangel, he had no choice but to retreat and find a solution. The open gate we had to find a way to close it, it is there that Sitael intervened, he succeeded thanks to his powers to make sure that Emilien has in addition to his first daughter already born, two other girls who will be the nymphs, one to close the gate, one to keep the creatures, and the last one to be the key again, it was also necessary to make sure that a protector is assigned to him and that a medium can guide them again! The first born was sacrificed to close the gate and prevent the world from sinking. So I was sent to earth before closing by Nymphea. We did not think it would turn out differently, but if Emilien is much smarter because her first daughter was actually connected to the bridge, she has the duty to stay there and make sure everything stays in her place, but that’s it. he managed with the help of some kind of creature to make a sort that Livy and Nymphea were linked, if you die Nymphea takes your place, before the return of another key, he also managed to put the medium out by manipulating him to prevent him from controlling his gift, your father never managed to manage this gift.
Josh: my father was the medium?
Rafael: Yes, initially, but at the opening of the portal, the magic is released, your father can not perform his duties we had to find a way to succeed, and there we noticed that you were linked to the guardian , I do not know why but it’s like that, sometimes two souls get together and do no more than one that’s what happened with you two, and so Sitael took the opportunity to give you the medium power.
Josh: Is empathy too?
Rafael: no you had it in you, we knew that Emilien would do everything to open the portal again, we had to act and our choices were not necessarily the best but he was adapted to this situation, when the last girl When we were born, we knew that we would meet Emilien sooner or later.
Livy: Why did we give up then if I was the key?
Rafael: Because you were of no use to him before your majority, only in adulthood you could open the portal, and as I knew he would seek to find his daughters, I pretended to be a detective.
Josh: Why did not you stop him when you found him?
Rafael: I did not know it was him, he had changed appearance and no medium by my side to see his aura, impossible for me to spot! But once he met you, nothing had happened, I did not think it was him … And here you open the portal Livy, so we all gathered to put a good time for any purpose to all that! We must find him, and you must be careful with you, Emilien is very talented, he will not hesitate to kill his girl rather than lose again the possibility of having the portal open …
Sitael: On the other hand, I’m sorry, but you have to, the key, the protector and the guardian have long life lines, also to make sure that you too can follow them and help them as a medium , I have no choice, I am obliged to prolong your life! ……. so be it!
*********************
Nous attendions tous dans l'appréhension de savoir enfin notre histoire, leur histoire…
Rafael : Voilà depuis la nuit des temps un combat fait rage entre les anges et les déchus, ceux qui ont enfanter les nephilim… Pour calmer les choses nous n'avions qu'une solution regroupés les nephilim et leur apprendre à maitriser leur pouvoir… Il existe différente hauteur de pouvoir chez les néphilims, comme il existent plusieurs grade aux niveaux des anges. Les plus fort sont donc bien plus surveiller, et chacun avait un rôle à jouer… Nous avions aussi instaurer un système de hiérarchie au sein de leur communauté sous notre contrôle à nous les archanges! Dana représentait les néphilims qui ont les capacités des créatures tel que les fées, d'où son apparence ici sur cette terre. Sitael vous l'aurez compris représente les génies, de ainsi de suite…
Hardin : Les génies ne sont pas censé être dans des lampes ?
Sitael : Hé bien mon cher demi vampire, sache que les génies et les lampes ne font pas bon ménage, tu aimerais toi vivre dans endroit si petit, je peux te le montrer si tu le désire autant?! … prend garde un peu à tes propos et à qui tu parles!
Hardin : …. Attendez donc mon père est un néphilim aussi?
Rafael : Bien, donc non toutes les créatures ne sont pas représenter, les vampires notamment sont issu de l'ombre c'est votre père Emilien qui en ouvrant le portail à fait apparaître cette espèce de créatures et a asservit Jasper! Mais attendez la suite vous le comprendrez!
Donc Emilien avait bien plus de pouvoir qu'un simple néphilim, il était lui issu d'un archange, son pouvoir était immense et il était indomptable, il ne pensait qu'à se rebeller, qu'à prendre le pouvoir sur les autres, à défier l'autorité! C'est le jour de sa rencontre avec la première clé qui bouleversa tout notre monde et le votre, la première de toute,… la première clé, une autre néphilim au grand pouvoir également, le pouvoir d'ouvrir ou de fermer les portails entre les mondes… un protecteur lui a été désigné, Jasper, il devait protéger la clé et refermer le portail… mais Emilien était bien plus rusé et il a réussit à contrôler son esprit. Le mal était fait, les mondes étaient ouvert, l'archange Mickael avait pour tâche de rechercher ce néphilim et le détruire, faire revenir la clé dans notre mode, et s'assurer que celui ne s'ouvre plus jamais. Il en a fallut des années pour mettre la main sur le nephilim, car il avait trouver un stratagème, il réussissait à déjouer les plans en changeant d'apparence. Nous avons donc eu recours à l'aide d'un médium pour trouver et capturer son aura!
Hardin : Un médium, pourquoi faire?
Rafael : oui les médiums vois les âmes perdues, ils entendent leur requête, les voient aussi, ils ont un contrôle sur ses esprits coincés ici, le médium les aide à trouver la paix et ainsi à rejoindre leur lieu de transition.. mais pas que, le médium vois également les auras chez les vivants, c'est une forme plus avancer du don, il distingue les couleurs les intensités des personnes, c'est de ce don que nous avions besoin.
Lealys : Et? vous l'avez retrouver grâce au médium?
Rafel : Lorsque que nous l'avons enfin repéré, il a finit par détruire sa précieuse clé, Jasper sous le contrôle du nephilim s'est battu avec l'archange, celui ci n'avait d'autre choix que de battre en retraite et trouver une solution. Le portail ouvert nous devions trouver un moyen de le refermer, c'est là que Sitael est intervenu, il a réussi grâce à ses pouvoirs à faire en sorte qu’ Emilien ai en plus de sa première fille déjà née, deux autres filles qui seront les nymphes, une pour fermer le portail, une pour garder les créatures, et la dernière qui serait la clé de nouveau, il a aussi fallut faire en sorte qu'un protecteur lui soit attitré et qu'un médium puisse les guider à nouveau! La première née fut sacrifier pour fermer le portail et empêcher le monde de sombrer. Je fus donc envoyer sur terre avant la fermeture par Nymphea. Nous ne pensions pas que ça tournerais différemment mais si, Emilien est bien plus futé, car sa première fille fut effectivement mise en lien avec la passerelle, elle a le devoir de rester là et s'assurer que tout reste à sa place, mais voilà il a réussit avec l'aide de je ne sais quelle créature à faire un sorte que Livy et Nymphea soit liée, si tu meurt Nymphea prend ta place, avant le retour d'une autre clé, il a aussi réussit à mettre le médium hors d'état, en le manipulant pour éviter qu'il ne puisse contrôler son don, ton père n'a jamais réussit à gérer ce don.
Josh : mon père était le médium?
Rafael : Oui, au départ, mais à l'ouverture du portail, la magie s'est libéré, ton père ne pouvant assurer ses fonctions nous avons du trouver un moyen de réussir, et là nous avons remarquer que tu étais lié à la gardienne, je ne sais pas pourquoi mais c'est ainsi, parfois deux âmes se lies ensemble et ne font plus qu'une c'est ce qu'il s'est passé avec vous deux, et donc Sitael en a profiter pour te donner le pouvoir de médium.
Josh: L'empathie aussi?
Rafael : non ça tu l'avait en toi, nous savions qu'Emilien ferait tout pour ouvrir de nouveau le portail, nous devions agir et nos choix n'était pas forcement les meilleurs mais il était adapté à cette situation, lorsque la dernière fille venu au monde, nous savions que nous retrouverons Emilien tôt ou tard.
Livy : Pourquoi nous avoir abandonné alors si j'étais la clé?
Rafael : Car tu lui n'étais d'aucune utilité avant ta majorité, seule à l'âge adulte tu pouvais ouvrir le portail, et comme je savais qu'il chercherait à retrouver ses filles, je me suis fais passer pour un détective.
Josh : Pourquoi ne pas l'avoir arrêter à ce moment quand vous l'avez retrouver?
Rafael :Je ne savais pas que c'était lui, il avait changer d'apparence et sans médium à mes côtés pour voir son aura, impossible pour moi de le repérer! Mais une fois qu'il vous a rencontré, rien ne s'était passé, je pensais pas que c'était lui… Et là tu ouvres le portail Livy, nous nous sommes donc tous rassemblé pour mettre une bonne fois pour toute fin à tout ça! Nous devons le retrouver, et vous vous devez faire attention à vous, Emilien est très doué, il n'hésitera pas à tuer sa fillle plutôt que de perdre à nouveau la possibilité d'avoir le portail ouvert…
Sitael : Par contre, j'en suis déjà désolé mais il le faut, la clé, le protecteur et la gardienne ont des lignes de vie longues, aussi pour s'assurer que toi aussi tu puisse les suivre et les aider en tant que médium, je n'ai pas le choix, je suis obligé de prolonger ta vie! ….
… Ainsi soit-il!
@lealysgrimm
0 notes