#merci la toux
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ernestinee · 1 year ago
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T'façons c'est surfait de dormir.
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sofya-fanfics · 4 months ago
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La fièvre de Tohru
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Fandom : Fruits Basket
Relationship : Kyo x Tohru
Voici ma participation pour le Sicktember 2024 pour le prompt : Tu es en train de cracher tes poumons.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Kyo retira ses chaussures, la maison semblait vide. Il monta à l'étage lorsqu’il entendit du bruit. Apparemment, il n’était pas seul dans la maison. Quelqu’un toussait. Il se dirigea vers la chambre de Tohru. La porte était ouverte. Elle rangeait du linge et toussa à nouveau. Kyo fronça les sourcils.
Disclaimer : Fruits Basket appartient à Natsuki Takaya.
@sicktember
AO3 / FF.NET
Kyo entra dans la maison. Il avait passé la journée au dojo de Kazuma. Il était impatient de prendre une bonne douche et de se reposer. Il était parti très tôt dans la matinée, Tohru, Yuki et Shigure dormaient encore. Il savait que Tohru devait passer la journée avec Uo et Hana, Yuki avait une réunion avec le BDE, quant-à Shigure, Dieu seul sait ce qu’il avait fait de sa journée.
Kyo retira ses chaussures, la maison semblait vide. Il devait être le premier à être rentré. Il monta à l'étage lorsqu’il entendit du bruit. Apparemment, il n’était pas seul dans la maison. Arrivé en haut de l’escalier, un nouveau bruit se fit entendre. Quelqu’un toussait. Il se dirigea vers la chambre de Tohru. La porte était ouverte. Elle rangeait du linge et toussa à nouveau. Kyo fronça les sourcils.
« Tohru ? »
Elle sursauta, ne l’ayant pas entendu arriver.
« Kyo-kun ! Tu es rentré depuis longtemps ? »
Il la regarda avec inquiétude. Elle avait les joues rouges, les yeux brillants. Et malgré son sourire, il voyait qu’elle avait de la fièvre.
« Est-ce que tu te sens bien ? Demanda-t-il. »
Elle acquiesça, toujours souriante.
« Je vais bien. »
Elle se mit à tousser de nouveau. Une toux incontrôlable qu’elle ne pouvait pas arrêter. Kyo paniqua. Comment pouvait-elle dire qu’elle allait bien ?
« Tu ne vas pas bien, dit Kyo. Tu es en train de cracher tes poumons.
-Je suis désolée, répondit Tohru une fois sa toux calmée.
-Pourquoi tu t’excuses ? Ce n’est pas de ta faute si tu es malade. »
C’était bien Tohru pensa-t-il. Il fallait qu’elle s’excuse pour quelque chose dont elle n’était pas responsable. Elle n’allait vraiment pas bien. Elle avait les yeux mi-clos et penchait vers l’avant. Elle penchait de plus en plus et s’il ne faisait rien, elle allait se retrouver par terre. Il la rattrapa par les bras, faisant attention à ne pas qu’elle tombe sur lui. Il ne voulait pas se transformer en chat alors qu’elle avait besoin de lui. Il la fit s’asseoir sur le lit.
« Ta journée est finie pour aujourd’hui, dit-il. Repose-toi. Je vais te préparer quelque chose à manger.
-Merci Kyo-kun. »
Il sortit de la chambre et alla dans la cuisine pour lui préparer du bouillon. C’était ce que Kazuma lui cuisinait lorsqu’il était malade. Il prépara un plateau, versa le bouillon dans un bol et monta dans la chambre. Tohru s’était allongée dans son lit. Elle avait mis son pyjama et dormait profondément. Kyo posa le plateau sur le bureau et s’assit sur la chaise qu’il avait placé à côté du lit. Il allait attendre quelques instant pour être sûr qu’elle aille bien. Il mit sa tête entre ses mains. Il était épuisé à cause de son entraînement, mais pour le moment, tout ce qui comptait, c’était que Tohru guérisse.
******
Tohru se réveilla lentement. La nuit était tombée. Les rideaux n’avaient pas été tirés et la lune éclairait la chambre. Dormir lui avait fait du bien. Elle tourna la tête et vit Kyo. Il était assit sur la chaise de bureau. Sa tête et ses bras étaient posés sur les bords du lit. Cette position ne devait pas être confortable. Pourtant, il dormait profondément. Tohru approcha doucement sa main de la sienne, mais n’osa pas la toucher. Kyo était resté près d’elle. Il avait veillé sur elle. Une douce chaleur envahie son cœur. Elle était heureuse. La fatigue l’envahit. Elle ferma les yeux et s’endormit avec un immense sourire aux lèvres.
Fin
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philoursmars · 2 years ago
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4000 reblogs?! Je n'y crois pas ! Alors je vais faire ma Miss France: merci à tous ceux et celles qui m'aident ainsi , un simple reblog fait ma journée !( et merci à Luigi Zus, comme l'aurait traduit Nelson Monfort !).
Entre autres merci à @lauduc min copin de ch'Nord et ami de la troupe de l'Atelier du Tigre, à @cicer1 qui m'a fait joyeusement passer cette barre des 4000 , à @gwydionmisha avec qui j'ai souvent échangé, entre autres, étrangement, sur l'Auvergne, à @eopederson3 amoureux des voyages et des deudeuches, et puis aussi @vincentreproches fan d'affiches , @cosihantutti , toux ceux et celles de passage sur mon blog et je suis désolé d'omettre les autres!
Merci, thank you, gracias, grazie et tutti quanti !
Bises
Philippe
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wittylittle · 2 years ago
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J’avais choppé un virus de toux grasse dégoûtant
Mais il y a du réconfort
Le Patron me met de la pommade dans le dos quand je me réveille
Daddy me texte pour me demander si Princess is doing better today
Merci mes amours, thank you very much indeed
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notesjournalieres · 1 year ago
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6 janvier 1824
Mon cahier pour 1824 n’est pas fait : il faut que je me serve encore de 1823.
Je me suis dispensé cette année d’aller à la cour, le jour de l’an. Pourquoi aurais-je été présenter mon visage au milieu de cette ridicule ovation du Trocadéro. Je me suis dispensé d’envoyer des cartes quelle que part que ce soit. J’en ai aussi moins reçu que les autres années.
J’ai dîné vendredi, 2 Janvier, chez Etienne avec le colonel Jacqueminot et Saunier. On veut me porter au collège départemental de la Meuse, si j’échoue à Vervins. La chance est loin de présenter une certitude. Il y a là une intrigue ministérielle qui porte des Bassins, le beau-frère de Villèle, et au secours de laquelle viennent des libéraux assez prononcés.
Réunion le Dimanche 4, chez Cas. Périer. Chauvelin y pérorait. Transporté du calme de Pithon dans le mouvement de Paris, j’éprouve malgré moi le contact des autres, et je crois davantage à un succès d’élection très improbable. Je vais presque tous les jours chez Laffitte. Jeudi, jour de l’an, j’y ai conduit ma femme et mes trois aînés entendre une petite pièce jouée par les acteurs des Variétés. Ils se sont fort amusés. Ma Lise toussait et chaque fois que j’entendais sa toux, mon cœur était déchiré.
Le bon Hartmann a comblé mes enfants d’étrennes. C’est le seul bonheur de ce genre qu’ils aient reçu des étrangers. M. Hartmann n’y sera pas l’an prochain. Je veux en dédommager alors mes enfants. Lundi 5 janvier, je lis le fouillis emphatique de Salvandy. Mme de Duras l’appelle le solitaire en voyage. — Je ne fais rien, occupé que je suis à courir pour mes impositions. On m’a donné l’alarme en disant et répétant de toute part à Paris que je ne paie pas le cens d’éligibilité. J’ai peur que les ultras ne m’aient joué quelque mauvais tour. M. Clavier a été tracassé pour m’avoir délivré un certificat de contributions dans le mois de septembre.
J’ai dîné chez le duc de Vicence. Lui est bien maigre, bien attristé, ne rêvant que le tombeau. St-Aignan est d’une vive exaltation contre les ultras. Il y avait à dîner le Cte de Mercy-Argenteau, sa femme et sa fille. Le comte dit que le royaume des Pays-Bas est absurde. Il s’y trouve une seule administration et deux cours. Il faudrait une cour et deux administrations. Lady Parke, la femme de Bruce. Lord John Russel qui a fait la fameuse motion au dernier parlement relativement aux Bourbons. M. et Mme de Souza. Forbin qui met bien bas le roman de Salvandy. On ne parlait que du mariage de Mlle Gabrielle de Beauvau avec M. Talon, frère de Mme du Cayla. C’est Turenne qui a fait le mariage. On a cru être transporté au siècle de Louis XIV lorsque, ces jours derniers, le roi a dit : « M. de Turenne, je suis content de vous.»
J’ai été au soir chez Mme de Rumford. L’abbé de Pradt a bavardé le sacre de Napoléon. Il y avait aussi M. de Tracy, M. Gallois et M. Jamard. Il paraît que Léon XII est un grand chasseur et un homme de plaisirs. Aujourd’hui, Milleret m’a mené à Brie avec Nègre. Colot y est venu aussi. Beau temps et amicale réception. Le colonel Alexandre de Rigny va épouser Mlle Zéa. Si je n’étais pas un maladroit, moi aussi je marierais mes neveux.
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avlewis · 1 year ago
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1h du matin, je dors toujours pas, merci la toux qui m'a fait rendre mon estomac 2x on adore. J'aimerai bien dormir. Mais bon apparemment mon asthme a pas l'air de connaître. J'ai déjà des certes de 10km sous les yeux ça va être comique cette journée je le sens.
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Ah bha ça n'a pas manqué, j'ai vomis pour la 3eme fois, et j'ai enchaîné avec une crise d'asthme qui commence à se calmer, il est 5h35 du matin, j'ai pas beaucoup dormi peu être 1h? Aucune idée, mais des que la crise est passé je vais pioncer.
Alors petites update, j'ai pas dormir avant 7h du matin...voilà voilà. J'avais vraiment une sale tête,blanche comme un cachet d'aspirine les lèvres bleus/blanches, des cernes de 10km, l'impression de me noyer, je déteste vraiment ses crises, où je cherche mon air et où je suis à deux doigts de pleurer et de paniquer, mais que je peux pas me le permettre sinon j'agrave la situation. Au final on m'a ouvert la fenêtre pour aéré et on m'a mis la télé pour me changer les idées de toute façon y a que ça qui peu m'aider à rester sur autres choses que la crise. J'ai également appelé le pneumologue pour l'informer de ma crise, j'ai le feu vert pour 10doses de ventoline pendant une crises et 2 doses de pipettes pour mettre dans l'aerosol électrique.
Maintenant repos et dodo.
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reussir-a-tout-prix · 1 year ago
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Voici la boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes. Vous cherchez une boisson saine et délicieuse pour vous réchauffer cet hiver ? Essayez cette recette de boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes, inspirée de la médecine traditionnelle marocaine. Cette boisson est riche en antioxydants, en vitamines et en minéraux, et elle a des propriétés anti-inflammatoires, expectorantes et digestives. Elle peut vous aider à combattre le rhume, la toux, les maux de gorge et les infections respiratoires. Boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes Boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes 0 Cette boisson est fantastique pour la désintoxication et vous aidera à vous sentir rafraîchi et énergique. C'est aussi une excellente recette pour une vie saine, car elle est pleine de vitamines et de minéraux. Si vous cherchez une boisson à la fois savoureuse et saine, assurez-vous d'essayer cette boisson ! Voici comment la préparer : Boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes OK Ingrédients : - 1 litre d'eau - 1 morceau de gingembre frais (environ 5 cm) pelé et coupé en fines tranches - 1 oignon moyen pelé et coupé en quatre - 10 dattes séchées dénoyautées - Miel (facultatif) Préparation : - Dans une casserole, portez l'eau à ébullition. - Ajoutez le gingembre, l'oignon et les dattes, et laissez mijoter à feu doux pendant environ 30 minutes, jusqu'à ce que l'oignon soit tendre. - Filtrez la boisson et versez-la dans des tasses. - Si vous le souhaitez, vous pouvez ajouter un peu de miel pour sucrer. - Buvez cette boisson chaude deux fois par jour, le matin et le soir. Vidéo de préparation de la boisson la plus recherchée à base de gingembre, d'oignon et de dattes https://youtu.be/3fRFYAntylg Dans cette vidéo, nous allons préparer la boisson la plus recherchée à base de gingembre, d'oignon et de dattes ! Cette boisson est une excellente recette pour se détoxifier et regorge de bienfaits pour la santé ! Dans cette boisson saine, le gingembre, l'oignon et les dattes travaillent ensemble pour vous offrir tous les bienfaits de chaque ingrédient. Avec des vitamines, des minéraux et des fibres, cette boisson est une excellente façon de commencer votre journée ou de faire une collation rapide. Boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes 3 Boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes 4 Boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes 1 Boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes OK Boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes 2 Boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes 0 Boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes Boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes 5 Boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes 6 A lire aussi L’ail + citron + miel : une boisson magique qui combat plus de 10 maladies Si vous cherchez une recette de boisson saine et pleine de saveurs, essayez cette recette de boisson au gingembre, oignon et dattes. Vous aimerez le mélange unique d'épices qui donne à cette boisson son goût délicieux. Sans oublier que les bienfaits pour la santé de cette boisson sont légendaires. Cette recette est tirée du site web Kafunel.com, qui vous propose chaque semaine des conseils santé, beauté, cuisine, mode et bien-être. Abonnez-vous dès maintenant pour recevoir chez vous le meilleur de l'actualité féminine ! Merci d'avoir lu et regardé!
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katakaal · 1 year ago
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Voici la boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes. Vous cherchez une boisson saine et délicieuse pour vous réchauffer cet hiver ? Essayez cette recette de boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes, inspirée de la médecine traditionnelle marocaine. Cette boisson est riche en antioxydants, en vitamines et en minéraux, et elle a des propriétés anti-inflammatoires, expectorantes et digestives. Elle peut vous aider à combattre le rhume, la toux, les maux de gorge et les infections respiratoires. Boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes Boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes 0 Cette boisson est fantastique pour la désintoxication et vous aidera à vous sentir rafraîchi et énergique. C'est aussi une excellente recette pour une vie saine, car elle est pleine de vitamines et de minéraux. Si vous cherchez une boisson à la fois savoureuse et saine, assurez-vous d'essayer cette boisson ! Voici comment la préparer : Boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes OK Ingrédients : - 1 litre d'eau - 1 morceau de gingembre frais (environ 5 cm) pelé et coupé en fines tranches - 1 oignon moyen pelé et coupé en quatre - 10 dattes séchées dénoyautées - Miel (facultatif) Préparation : - Dans une casserole, portez l'eau à ébullition. - Ajoutez le gingembre, l'oignon et les dattes, et laissez mijoter à feu doux pendant environ 30 minutes, jusqu'à ce que l'oignon soit tendre. - Filtrez la boisson et versez-la dans des tasses. - Si vous le souhaitez, vous pouvez ajouter un peu de miel pour sucrer. - Buvez cette boisson chaude deux fois par jour, le matin et le soir. Vidéo de préparation de la boisson la plus recherchée à base de gingembre, d'oignon et de dattes https://youtu.be/3fRFYAntylg Dans cette vidéo, nous allons préparer la boisson la plus recherchée à base de gingembre, d'oignon et de dattes ! Cette boisson est une excellente recette pour se détoxifier et regorge de bienfaits pour la santé ! Dans cette boisson saine, le gingembre, l'oignon et les dattes travaillent ensemble pour vous offrir tous les bienfaits de chaque ingrédient. Avec des vitamines, des minéraux et des fibres, cette boisson est une excellente façon de commencer votre journée ou de faire une collation rapide. Boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes 3 Boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes 4 Boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes 1 Boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes OK Boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes 2 Boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes 0 Boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes Boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes 5 Boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes 6 A lire aussi L’ail + citron + miel : une boisson magique qui combat plus de 10 maladies Si vous cherchez une recette de boisson saine et pleine de saveurs, essayez cette recette de boisson au gingembre, oignon et dattes. Vous aimerez le mélange unique d'épices qui donne à cette boisson son goût délicieux. Sans oublier que les bienfaits pour la santé de cette boisson sont légendaires. Cette recette est tirée du site web Kafunel.com, qui vous propose chaque semaine des conseils santé, beauté, cuisine, mode et bien-être. Abonnez-vous dès maintenant pour recevoir chez vous le meilleur de l'actualité féminine ! Merci d'avoir lu et regardé!
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baitibindja · 1 year ago
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Voici la boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes. Vous cherchez une boisson saine et délicieuse pour vous réchauffer cet hiver ? Essayez cette recette de boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes, inspirée de la médecine traditionnelle marocaine. Cette boisson est riche en antioxydants, en vitamines et en minéraux, et elle a des propriétés anti-inflammatoires, expectorantes et digestives. Elle peut vous aider à combattre le rhume, la toux, les maux de gorge et les infections respiratoires. Boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes Boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes 0 Cette boisson est fantastique pour la désintoxication et vous aidera à vous sentir rafraîchi et énergique. C'est aussi une excellente recette pour une vie saine, car elle est pleine de vitamines et de minéraux. Si vous cherchez une boisson à la fois savoureuse et saine, assurez-vous d'essayer cette boisson ! Voici comment la préparer : Boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes OK Ingrédients : - 1 litre d'eau - 1 morceau de gingembre frais (environ 5 cm) pelé et coupé en fines tranches - 1 oignon moyen pelé et coupé en quatre - 10 dattes séchées dénoyautées - Miel (facultatif) Préparation : - Dans une casserole, portez l'eau à ébullition. - Ajoutez le gingembre, l'oignon et les dattes, et laissez mijoter à feu doux pendant environ 30 minutes, jusqu'à ce que l'oignon soit tendre. - Filtrez la boisson et versez-la dans des tasses. - Si vous le souhaitez, vous pouvez ajouter un peu de miel pour sucrer. - Buvez cette boisson chaude deux fois par jour, le matin et le soir. Vidéo de préparation de la boisson la plus recherchée à base de gingembre, d'oignon et de dattes https://youtu.be/3fRFYAntylg Dans cette vidéo, nous allons préparer la boisson la plus recherchée à base de gingembre, d'oignon et de dattes ! Cette boisson est une excellente recette pour se détoxifier et regorge de bienfaits pour la santé ! Dans cette boisson saine, le gingembre, l'oignon et les dattes travaillent ensemble pour vous offrir tous les bienfaits de chaque ingrédient. Avec des vitamines, des minéraux et des fibres, cette boisson est une excellente façon de commencer votre journée ou de faire une collation rapide. Boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes 3 Boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes 4 Boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes 1 Boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes OK Boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes 2 Boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes 0 Boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes Boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes 5 Boisson à base de gingembre, d'oignon et de dattes 6 A lire aussi L’ail + citron + miel : une boisson magique qui combat plus de 10 maladies Si vous cherchez une recette de boisson saine et pleine de saveurs, essayez cette recette de boisson au gingembre, oignon et dattes. Vous aimerez le mélange unique d'épices qui donne à cette boisson son goût délicieux. Sans oublier que les bienfaits pour la santé de cette boisson sont légendaires. Cette recette est tirée du site web Kafunel.com, qui vous propose chaque semaine des conseils santé, beauté, cuisine, mode et bien-être. Abonnez-vous dès maintenant pour recevoir chez vous le meilleur de l'actualité féminine ! Merci d'avoir lu et regardé!
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oblqs · 2 years ago
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boite noire
Alexandre Dupont <[email protected]>  25 déc. 2016 19:27
Vive les fêtes qui réunissent, où il fait bon vivre autour d'une table ou près du feu ! At..choum ! (Sorte de "at home ") Noël, jour des chaumières ! Noël ! Jour chômé ? Nous saurons tirer de la langue celtique choum qui signifie chômer. Dérivé du latin cauma, ardeur du soleil, canicule. En occitan on dit caumar, la sieste est facultative... Si on éternue au sortir de la sieste, mieux vaut se recoucher. Je vous souhaite beaucoup de chaleur à venir, avec une motion spéciale tout de même pour les hypocondriaques, les climatosceptiques, les reptiliens de toute espèce, etc. Jingle : Joyeux noël, meilleurs vœux et bonne année grand-mère !
Aude Van Wyller <[email protected]>  25 déc. 2016 22:03
Dupont ton verbe m'empapaoutera toujours. Bientôt l'académie! Il faut au moins une bonne toux pour passer l'exam: il est grabataire, il doit s'asseoir! Manque de pot d'chambre des députés, tu es sur le qui-vive, perché sur la cuvette, protégeant la fatale évacuation de belles paroles à tire l'argot. La chaire à patte d'oie ça te connait, autant se fourrer du collagène direct dans les oreilles et se titiller le lobe gonflant jusqu'à éclatement du privilège, baudruche fumante à la zonzon. Et non, je ne sais pas si la chôme c'est ton toit ou alors un onomat qui exécute les tâches quotidiennes de ton esprit pendant que tu es au chant. Je reste en ligne, par la bande passante traversante fulgurante jusqu'au prochain signe que tu lanceras.
fanfan Demeulenaere <[email protected]> 25 déc. 2016 23:31
Ah merci pour les nouvelles et nous avons bien pensé à toi ici à  saint Arnoult.Mardi je vais voir pépé et je te recontacte en fin de semaine pour la nouvelle année Gros bisous..mon petit breton
Cristof poull <[email protected]> 26 déc. 2016 09:30 salut alexandre il y a une soirée de prévue chez jean bernard a pen prat alors je ne sais pas si tu descend du rocher autrement il va nous dire mais il est ou pelouze. biensur c'est pour le grand bal? donne moi j'espere une réponse positive pour une fois que je t'invite juste a faire la fete et pas pour travailler .je peut meme venir te chercher  au rocher  un soir dans la semaine avec rieg . kenavo
[email protected] 27 déc. 2016 09:53
Chers auditrices, chers auditeurs, Noël au balcon ! 20 degrés aujourd'hui et une lumière magique sur la mer. Beaucoup de photos prises et un grand bol d'air. Ce soir c'est réveillon local dans l'appartement loué pour la semaine. Nous avons fait les courses dans une supérette où tout est écrit en hébreu, donc surprise culinaire ! Demain départ pour Jérusalem. Tel aviv est vraiment un ovni en terre d'israël, elle est bordélique, bouillonnante, curieuse, très tolérante et c'est un hymne à la vie ! C'est une ville qui fait du rentre-dedans à la liberté d'être et de penser, elle accepte toutes les manières d'être et de vivre et c'est vraiment étonnant compte tenu de sa délicate situation. Très culturelle, très jeune et totalement improbable ! Pour le Noël des commerçants, je ne le fête pas puisque j'entends la révolution gronder. (D'ailleurs le Père Noël est rouge : il me l'apportera sans traîneau ainsi que, sûrement, à chacun dans sa hotte !) J'écris "sans traîneau", car après sa tournée à Jérusalem, il s'apprêtait pour une tournée en Palestine (où il y a aussi des enfants), mais au poste frontière la police israélienne, après l'avoir tabassé en le laissant pour mort, lui a réquisitionné vingt-trois de ses vingt-quatre rennes (un avis de recherche a été lancé pour celui qui s'est échappé, et deux tanks sont à sa poursuite) qui sont désormais à croupir dans les prisons de Tel Aviv... Tout au long de ces sept jours je n’ai cessé de penser aux milliers de Palestiniens qui croupissent depuis parfois plus de 30 ans dans ces geôles israéliennes et qui n’ont que peu de chances d’en sortir. Le vingt-quatrième renne a été retrouvé ! Il se terrait dans les environs de Rafah. (Le Hamas refuse de se prononcer au sujet de sa présence sur la bande de Gaza.) Nous savons seulement que ce renne a « dûment été ramené à Tel Aviv ». De par le témoignage d'une source sûre, qu'il ne nous est pas possible de dévoiler, nous savons également que, après être passé de planque en planque, il a pu être assisté de plusieurs complicités entre la mer Méditerranée et Israël. (Ces hébergements, qui mettent en risque la sécurité de l'État d'Israël, seront très durement sanctionnés.) Il semblerait que ce renne, Dodo de son prénom, fut lié par des liens familiaux à ses compagnons de traîneau. Dodo tentait-il de rejoindre l'Égypte ? La question reste posée. Une vidéo, prise par un touriste au moyen de son Ipad, circule sur les réseaux sociaux. (Ce document a été supprimé dans la nuit du 24 au 25 décembre, et Internet n'est plus le moyen qui permet de la visionner, mais ce sont les pièces-jointes aux courriels que s'envoient les abonnés du nouveau bouche-à-oreille électronique qui ont permis à l'AFD d'en prendre fait.) Il y est vu menotté, quasi écartelé entre deux tanks. La presse parisienne vient d'apprendre à l'instant que le renne, emprisonné après une longue cavale, puis « échappé » de la prison de Givon, laquelle est située à environ 20 km de l’aéroport de Tel Aviv, a été retrouvé à Bethléem, les quatre sabots cloués sur un gigantesque crucifix. Selon l'AFD, il s'agirait d'une action d'intimidation lancée à la population palestinienne : ce renne avait délibérément été relâché par les agents secrets du Mossad et attelé à un traîneau transportant treize oliviers. Il avait dû effectuer le trajet de jour, sans eau (ce qui le laissa mou), mais chargé à dos, en plus des arbres qu'il devait traîner, de huit larges amphores remplies d'huile d'olive. Selon ses dernières paroles, recueillies par un groupe d'enfants palestiniens (une source qui reste à vérifier), il espérait que, en obéissant aux consignes qui lui avaient été données, quelques-uns des vingt-trois camarades, toujours emprisonnés dans les geôles de Tel Aviv, soient libérés. Des manifestations, sévèrement réprimées, ont eu lieu à  Bethléem, dont le mot d'ordre traduit était : « Que le Mossad ait emprisonné vingt-huit rennes, passons ; qu'il se prenne pour la police de la bande de Gaza, passons ; que l'État d' Israël se croit tout puissant, passons ; mais nous, le peuple Palestinien, nous ne tolérerons pas l'incarcération du Père Noël, retrouvé plutôt mort que vif dans une geôle de Givon, et demandons aux Nations Unies des étrennes et un avocat pour payer les oliviers des rennes ! » Votre correspondant pour l'AFD. À vous l'antenne. * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * Chers auditrices, chers auditeurs, Nous avons une brève d'une extrême importance pour tous les enfants du monde. Sauvé in extremis par l'ONU, le Père Noël a été retrouvé aux États-Unis. Il a démissionné de ses fonctions et est désormais pompiste. Il semblerait que ce soit chez lui un MO (mode opératoire) assez connu, car l'Histoire déjà l'avait mis dans cette situation, du temps où c'était la CIA qui faisait la pluie et le beau temps. On se souviendra notamment qu'en 1940, il avait été peint par Edward Hopper devant une crèche où se tenaient également debout les trois Rois mages. Il semblait que l'un de ces trois Rois lui permettait que circulent les cadeaux destinés aux petits américains, ainsi que les marchandises aux adultes ; c'est l'illustration, d'après un expert en histoire de l'art, après Coca-Cola, du Père Noël en pompiste du plan Marshall. Ce tabelau à pour titre Station-servive, Gas en langage vernaculaire. Malheureusement, les vingt-trois rennes restés vivants sont toujours à croupir dans la prison de Givon (leur état de santé physique et mentale est grave, voire très grave). Il nous semble bien que, malgré les efforts diplomatiques entre les Pays du monde arabo-musulman et l'État d'Israël, ils y resteront. Pour l'AFD, votre envoyé spécial à Tel Aviv. El Fiel'ouz
veuve alvilda <[email protected]> mar. 27 déc. 2016 23:05
porté perdu
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Bourotte <[email protected]> jeu. 29 déc. 2016 16:38 Très cher Dupont, ne seriez vous pas Pelouze lorsque neige fond ? J'ai failli supprimer ce mail dont La provenance me semblait douteuse. Mais ayant encore des doutes sur la provenance du père Noël je laissais une chance à ce mail de m'informer sur cette réalité qui me semble devenir un mythe au fur et à mesure des années qui passe. Les postillons de Bretagne mon interpelé.Il est vrai quand cette période hivernal la peau sèche et toute forme de miasme hydratant est absorbé par la peau comme le sucre du père fouettard par les enfants grassouillet . Si j'éternue 2 fois après la sieste que dois je faire ? Joie yeux Noël et bonne à nez grand mer si c'est bien toi. N'oublie pas de rester soullier, moche et propre.   Envoyé de mon iPhone
Jedrzej Cichosz <[email protected]> sam. 31 déc. 2016 20:50
Merci !Alexander Dupont?
Alexandre Dupont <[email protected]> 1 janv. 2017 15:36
Oui, nom très répandu dans l'hexagone, je ne sais pas exactement pourquoi cela a changé, c'est sûrement qu'à un moment la modification a été possible dans les options de boîte mail, alors j'ai laissé libre cours à mon désir d'anonymat, même si cela reste aisé de filer les pistes de ce crime contre l'identité, et de remonter au coupable.... Ce vieux Pelouze ! Comment va ?
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plaidetchocolatchaud · 3 years ago
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J'ai attrapé la crève (pas le covid j'ai fait un test) et c'est impossible de bosser. Je suis épuisée j'ai mal de partout, et ma journée est planifiée en fonction de tel tisane à prendre, puis quel bonbon au miel/à l'eucalyptus, me moucher, les comprimés de doliprane, le sirop pour la toux, là mon boulot c'est d'être malade à temps plein. J'espère juste que ça ne va durer que 2-3 jours, sinon ça va m'énerver, je préfère travailler, même si c'est rédiger mon mémoire, merci bien.
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ekhap · 3 years ago
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Barrière de la langue
Donc, euh. Salut!
Je veux dire que j'ai étudié le Francais pour, uh, quatre années. Je peux avoir un conversation des politiques et de l'environnement et quoi le liberte semble dans un société moderne, mais pour quelque raison, mon écriture sent très... gauche. Donc, avec ce démenti, je voudrais vous presenter mon histoire pour l'événement par les modérateurs à @dualrainbow, Barrière de la langue. Merci pour me laisser avoir un endroit dans cet événement !
Buck/Jackal, 1k mots, Les problèmes qu'arise quand vous avez un force qui vient de tout le monde. (évalué T/M)
« Je pense qu’il veut me tuer. »
« Maintenant, pourquoi est-ce que vous direz ça ? »
« Parce qu’il m’a dit que ‘Je vais vous prendre s’il est le dernier chose que je fais, Cote.’ Et, il avait son couteau de combat. »
« Ouais, enfin, il pouvait être très effronté, non ? »
~*~
Buck se rappelais quand il s’est inscrit Rainbow. Comment calme il était. Il était les combines normales par Bandit et Smoke, mais autre que ça, puisque Buck et Frost n’étaient pas membres de le cinq forces spéciales originales, Buck était libre être bas et seulement faire conversation avec les habitués de l’atelier.
Alors Jackal s’est inscrit.
L’Espagnol, qui s’est avéré gentil à tout les autres il a rejoint, a décidé que pour quelque raison, Buck serait son ennemi principal. Il n’était pas comment mauvais si, dis, Bandit a décidé harceler pour tout son temps en Rainbow, mais il est gauche quand même quand ils sont prévus pour la même mission.
Ou les simulations de combat omniprésent.
Avec les deux hommes classés comme « Capturer et Contrôler » agents, mais avec des très différents rôles spécifiques, Buck a trouvé souvent des commentaires sarcastiques lui jeter. Il était, vraiment, ridicule. Comment, pour l’amour de Dieu, pourrait camouflage blanc faire les cuissesde quelqu’un voit gros ?
Avec les remarques sarcastiques et le mal prononciation de son nom, (C’est Côté, pas Coute) il y a un plus problème. Un problème que rejet Buck seulement un petit peu.
Jackal est un beau gosse.
~*~
« T'es fous. » Buck s’assoit de l’autre côté de Glaz, la personne de choix pour des conseils rationnels, mais il semble de détester cet honneur. »
« Es-tu sûr qu’il n’est pas une perversion d’humiliation ? »
Glaz aussi semble être fini avec cette conversation. Un petit peu. Mais Buck vraiment a besoin de ses conseils. Principalement comment réparer sa relation avec Jackal, mais, peut-être-
« J’ai plusieurs des doutes qu’un historie d’ennemis aux amants va passer, Bastien. »
« Enfin, oui, bon, Je ne t’avais jamais demandé ce que tu pensais de cela mais bon, maintenant, comment est-ce que je peux faire un espagnol vouloir pas me tuer ? »
« Vous savez, » Pour l’amour de dieu, « Maxim me voulait mort quand on s’est reconnus premier. »
C’est nouveau. « Qu’est ce que tu veux dire ? »
« J’étais terrible combattre corps à corps. Il ne pouvait pas comprendre comment ils me laissent dans Spetznaz. » Pour la première fois que Buck s’est assoit ici, Glaz regarde à Buck. « Il m’a dit que si je ne pouvais pas de faire lui tomber, il voudrait me tuer lui-même. »
« J’assume que tu lui as démonté ? «
Son enquête est rencontrée avec du rire bruyant. « Non, mais avec un couteau contre votre cou, vous allez faire des choses désespère. »
« Incroyable. Bon, Considérer que la dernière fois que c’est passés il voulait me tuer, et il a dit autant que, comment est-ce que ça m’aide ? »
« Laissez-lui parler. » :
« J’étais seulement gentil avec lui ? Je ne pense - »
« Vous savez l’Espagnol ? Je vais dire il est plus cohérent dans sa langue native que le Français. »
Et oh. Attendez.
~*~
Jackal, s’il était plus de malveillant, poserait une figure très imposante. Grand, musculaire environ ses épaules et bras, et des yeux qui toujours semble un petit peu plus vif. Dans quel qu’autre domaine, s’il était dans une histoire, il serait le méchant principal.
Et c’est pourquoi c’est très difficile lui approche quand il glousse avec Rook. L’homme plus jeune tient son téléphone, et il semble qu’ils regardent des vidéos de chats. Mais Buck doit le faire. Il doit.
« Podemos, euh, hablar ? »
Et c’est un mixe d’expressions très bizarre sur le tète de l’espagnol. Du bonheur léger, à surprise, à confusion, avant retourner au petit sourire suffisant il portait quand Buck a démarché.
« Sí. »
Cela ira être difficile.
~*~
Ils s’assoient à une table près un mur – Jackal s’appuie contre lui et croise ses bras pendant que Buck essaie produire son téléphone et dit ce qu’il pense qu’il doit dire.
« OK, donc, pour les deux, enfin, dernières semaines, probablement, il semble que tu m’avais menacé avec, euh, des coups et blessures. Mais alors j’ai réalisé que, euh, le Français n’a pas probablement l’inflexion même que l’Espagnol, particulièrement pas le Français que je sais, donc, » Il arrive enfin à l’app correct – une application de traduction qui peut marcher aussi avec l’audio. « Donc. Qu’est-ce que tu penses de moi ? »
Son téléphone répète – « ¿Qué piensas de mí? »
Et Jackal sourit. « Creo que eres muy hermosa – como el cielo antes la puesta del sol, o las montañas después un incendio, tosco y duro. »
Buck jette un coup d’œil à son téléphone, espérer qu’il a attrapé tout qu’il a dit. Dans son voix monocorde, il dit « Je pense que vous êtes très belle. Comme le ciel avant le coucher du soleil, ou les montagnes après un feu. Toux et dur. »
« Ce, euh. Ce n’était pas un menace de mort. Euhm. » Il tape l’écran de son téléphone. L’app change des couleurs. « Pourquoi le couteau ? »
« ¿Por qué el cuchillo?”
« Solo yo puedo matarte. No algun terrorista. »
« Moi seul peux te tuer. Pas un terroriste. »
« Oh. »
~*~
Et Buck a trouvé plus tard, seulement un ou deux heures, que oui, le barbe de plusieurs jours est plus doux qu’il voit. Particulièrement entre ses cuisses grosses. Et, l’homme espagnol a le combination très rare d’un tète beau – une mâchoire dure et un nez royal – un sourire gentil, et une bite très belle.
C’est après leur deuxième ou troisième manche (peut-être le troisième de Buck et le deuxième pour Jackal ? Buck a perdu le compte.) que Buck réalise un petit chose. Juste – quelque chose qu’il ne devait pas considéré, mais –
« L’Espagnol n’est pas très dissemblable de Français, non ? »
Buck s’est pressé contre la poitrine de Jackal, mais il peut sentir le main qui trainait contre sa colonne arrête au pied de son dos.
« Non. Vraiment, ils sont très similaires. »
« Alors pourquoi - »
« Regarde d’où on est, Cielo. »
Et Buck vraiment veut disputer avec lui.
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baggycrown · 4 years ago
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Alec n’a plus de pier
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Ce week-end, les parents de mon meilleur ami (Nathan) seront partis alors je vais m'écraser chez lui pendant les prochains jours. Demain, c'est samedi et Nathan et moi allons nous détendre chez lui, jouer à des jeux vidéo et manger de la malbouffe toute la journée. Mais ce soir, nous allons à une grande fête à la maison animée par une fille riche de notre classe. Je marche jusqu'à la maison de Nathan mais au lieu de me diriger vers la porte d’entrée, je me dirige vers le côté de la maison et je commence à grimper jusqu’à la fenêtre de Nathan. Je fais ça depuis que j'ai 10 ans et je ne vais pas m'arrêter maintenant. Mec, ça va être bon de voir mon meilleur frère; Je ne l’ai pas vu depuis près d’une semaine. Tout ce qu’il m’a dit, c’est que ses parents et lui étaient occupés à faire face à un petit remaniement familial. Quand j'atteins la fenêtre de Nathan, je passe la tête dedans et regarde autour de moi avec confusion. Je remarque à quel point la chambre de Nathan est différente. Les affiches de joueurs de football qu'il avait sur ses murs sont remplacées par des affiches avec des étoiles de baseball dessus, et la pièce est encombrée de matériel de baseball au lieu de matériel de football. Ce que je remarque vraiment, c'est le gars qui se tient devant le placard, qui range les choses. Même si je ne peux le voir que de dos, je suis certain que ce n’est pas Nathan. Nathan est un peu maigre avec un cul plat tandis que ce mec est assez large et porte un cul bombé impressionnant. Le pantalon du mec est affaissé juste sous son cul alors je regarde bien ses grosses joues pétillantes recouvertes d'une fine couche de matière grâce à son boxer gris. Mec, ce mec a l'air d'avoir deux ballons de volley dans le dos de son boxer. Je peux me sentir dur à la vue. J'ai dû faire du bruit parce que le gars se retourne et me repère. Putain de merde, c'est le cousin de Nathan, Alec. Alec a toujours eu un cul énorme alors j'aurais dû réaliser que c'était lui; mais pour ma défense, le cul d'Alec a l'air deux fois plus gros depuis que je l'ai vu la dernière fois, il y a plus d'un an. Un large sourire apparaît sur le visage d'Alec alors qu'il s'avance rapidement vers moi. Il se tient devant moi dans la seconde qui suit. Ma tête est la seule partie de moi dans la pièce; Je n'ai pas eu le temps de tirer tout mon corps à l'intérieur. Alec se retourne et je suis face à face avec son énorme cul pétillant. Je laisse échapper un gémissement pitoyable alors que je réalise que je suis sur le point d’être bombardé. J'ai eu raison lorsque mon visage est rencontré… BBBBBFFFFFFFFMMMMMMMPPPPPTTTTTT L'un des pets bestiaux brevetés d'Alec m'est déchiré au visage. Le pet massif dure 8 secondes et fait sonner mes oreilles. De plus, la puanteur des œufs pourris et du musc signature d’Alec assaille mon nez. C'est exactement pourquoi les pets d'Alec sont appelés bombes A, ils ne laissent rien d'autre que de la destruction. Et Alec adore les distribuer. Le pet d'Alec fait vraiment un certain nombre sur moi et je sens mon emprise sur le rebord de la fenêtre commencer à diminuer. Au début, je crains d’être sur le point de tomber deux histoires au sol, mais je suis heureusement saisi par les épaules et tiré à l’intérieur. Je grogne en tombant par terre sur le dos. Quand j'ouvre les yeux, je vois Alec se tenir au-dessus de moi avec ses deux pieds plantés de chaque côté de mes épaules, me regardant avec un petit sourire espiègle. «Hey Alec, depuis longtemps pas de voir l'homme.» Je dis se sentir un peu nerveux. Le sourire espiègle d'Alec s'agrandit alors qu'il acquiesce. «Ouais, ça fait trop longtemps Vince. Tu m'as manqué. Et tu sais quoi? Quelqu'un d'autre vous a manqué aussi. " Dit Alec malicieusement. Il se retourne alors et fait maintenant face à mes pieds avec son énorme cul dominant ma tête. «Alec» dis-je timidement en sachant ce qui va se passer ensuite. Alec ricane, "Ha-ha, ce gros gars vous a manqué aussi Vin" dit-il en tendant la main et en attrapant deux grosses poignées de son gros cul, "Alors je pense qu'il est temps que vous et lui fassiez connaissance" avec Alec s'accroupit rapidement et plante son cul rond sur mon visage. Mon visage est soudainement piégé sous le cul bulbeux d'Alec avec seulement une fine paire de boxeurs me protégeant de son trou du cul toxique. Il commence alors à faire pivoter ses hanches enfouissant mon visage plus profondément entre ses globes pétillants. J'entends la voix d'Alec venir au-dessus de moi. "NGH ... Cela fait trop longtemps que je n'ai pas largué une bombe A sur vous Vin, mais je suis sur le point de rectifier ça ... UGHH" RRRRRRRRWWWWWWWWWFFFFFPPPPPP Alec déchire un pet de 7 secondes dans mon visage. La puanteur de la viande rance et des oignons coule dans mon nez, me mettant dans une quinte de toux. Alec soupire de soulagement alors qu'il commence à frotter son gros cul sur mon visage, frottant ses fesses puantes dans mes pores. «Ah respire cette nostalgie Vin. Ma bombe fessière ne vous ramène-t-elle pas à une époque où moi, vous et Nate passions du temps toute la journée. Sinon, peut-être que cela vous rafraîchira la mémoire… HGGH » FFFFFFFHHHHHHMMMMMMRRRRRRR Alec laisse tomber un 6 secondes, un pet grognon sur moi qui pue pire que le précédent. Je bâillonne sur ses viles fumées de fesses qui dévastent mes poumons. "Ugh Alec vos pets sentent aussi mauvais que je me souvienne" Je me plains d'une voix étouffée grâce à mon visage coincé sous le gros cul d'Alec. Cela semble être la mauvaise chose à dire à Alec. «Maintenant, accrochez-vous juste un second Vin. Je suis sur un nouveau régime riche en protéines depuis la dernière fois que nous avons accroché et mes bombes A sont devenues beaucoup plus mortelles à cause de cela. Mais si vous ne pouvez pas dire à quel point mon gaz a empiré, cela signifie que je dois arrêter de me retenir. " Alec travaille son cul rond sur mon visage, se préparant à quelque chose de grand. Et d'une voix tendue dit: «NGH… j'espère que tu es prêt pour ce Vin, je ne te montre plus de pitié… GGHHH» Je commence à paniquer en entendant les paroles d’Alec. «Allez Alec» J'essaye de plaider mais cela s'avère être une grosse erreur de ma part. Il laisse ma bouche grande ouverte alors qu'Alec procède à transformer mon visage en zone de guerre avec ses bombes bout à bout. PPPPPPPFFFFFFFHHHHHHHHBBBBBBBBB «J'espère que vous avez apprécié ce chiot car voici son jumeau… HGHH» RRRRRRRWWWWWWWWWBBBBBBTTTT "Ah pas d'échappatoire pour toi Vin accepte juste ton destin et mes fesses puent… GHH" FFFFFFFFFMMMMMMVVVVVVVPPPPPPPP «Tu cries dans mon cul doit signifier que tu veux plus de pets. Eh bien, je suis plus qu'heureux d'obliger… NGH » BBBBBBBBPPPPPPPPPPMMMMMMMFFFFFFF «Arrête de te battre tellement là-bas Vin tu aides juste mes tripes à préparer plus de bombes bout à bout. Oh voyez, j'ai essayé de vous prévenir, BOMBS AWAY… FFGH » RRRRRRRRRRHHHHHHHHHFFFFFFFFFTTTTTTTTT RRRRRRRRRRVVVVVVVVVVVMMMMMMMPPPPP BBBBBBBBBBFFFFFFFFFFFFFFUUUUUUUUUUTTTTTT Alec déchire un barrage de pets de monstre sur mon visage et dans ma bouche ouverte. Tout ce que je peux respirer, ce sont ses fumées sulfuriques qui me font tousser et mes yeux pleurent. Une fois l’agression gazeuse d’Alec terminée, j’entends la voix de Nate venir pour sauver la situation. «Gross Alec, éloigne-toi du visage de Vic», avertit Nate Alec. Alec répond: «Non, Vic aime que je sois assis sur son visage et que je pète. Ici, je vais le prouver. Hé Vin, si tu veux que je reste sur ton visage et que je continue de péter, prends une grande respiration. Avec cela, Alec se penche sur le côté, soulevant une de ses joues de cul charnues de mon visage. La moitié de mon visage est accueillie par de l'air frais et légèrement frais, alors je prends instinctivement une profonde inspiration. Pas même une seconde plus tard, Alec me scelle sous son énorme cul et ma bouche ouverte est rencontrée ... FFFFFFFFFFRRRRRRRRRRBBBBBTTTTTTTT Alec lance un pet de 6 secondes au son humide dans ma bouche qui résonne dans ma gorge. Je suis sec sur la puanteur des œufs pourris et de l’ail qui recouvre le fond de ma gorge. Alec soupire de soulagement. «Ah voyez Nate, je vous ai dit qu'il aimait ça. Merci de m'aider à prouver mon point Vic. Ici, vous avez gagné cette friandise… HGGH » BBBBBBBBFFFFFFFFFWWWWWWRRRRRRR Alec déchire un 5 secondes, grondant pet pointblank dans mon visage. La puanteur vile est presque trop et je me sens commencer à glisser lentement dans l'obscurité. Juste avant que je m'évanouisse, Nate donne une forte poussée à Alec et l'éloigne de mon visage. Nate m'aide à me relever, pendant que je bâillonne encore la puanteur des fesses d'Alec, et m'assied sur le bord du lit. Quand je reprends mes repères, je remarque Nate assis à côté de moi et regardant Alec, qui est assis sur le sol et nous regarde avec un sourire suffisant. Nous commençons alors à parler et j'apprends qu'Alec vit ici maintenant. Apparemment, le travail de sa mère est de la transférer en Angleterre et au lieu de partir avec elle; Alec a décidé de se déplacer à travers le pays et de rester avec Nate et ses parents. Alors maintenant, nous allons tous assister à notre dernière année ensemble. Nous étions tous les trois inséparables il y a cinq ans avant que sa mère ne déménage pour la première fois. Mais maintenant nous sommes de retour ensemble et je verrai Alec presque tous les jours, et c'est à la fois bon et mauvais. C’est bien de le retrouver dans ma vie, mais c’est aussi mauvais à cause de notre attirance mutuelle les uns pour les autres. A plusieurs reprises, Alec a flirté avec moi mais je n’ai pas agi en conséquence à cause du code de frère que j’ai avec Nate. Avec le code bro, nous ne pouvons rien commencer avec les parents les uns des autres. Je ne peux donc pas frapper Alec et Nate ne peut pas frapper ma sœur Chelsea qui a un an de moins. Ma pensée change et je me demande maintenant quelque chose. Je regarde Nate et lui demande: «Pourquoi as-tu emménagé dans la chambre d'amis vide et donné ta chambre à Alec?» Alec entre de sa place sur le sol. «Nous avons pensé que ce serait mieux si je prends cette pièce car elle a plus de fenêtres. Plus de ventilation, vous savez. »Pour élaborer davantage, Alec se penche légèrement sur le côté et grogne. BBBBBBWWWWWUUUUUUURRRRRRR Alec déchire un pet de 5 secondes qui gronde contre le plancher de bois franc. Alec soupire de soulagement en nous regardant avec un petit sourire effronté. Nate et moi grinçons alors que sa puanteur nocive atteint notre nez et se répand dans toute la pièce. L'odeur se dissipe après quelques secondes et je me souviens pourquoi je suis ici en premier lieu. «Nate, tu veux toujours aller à cette fête?» Nate se claque légèrement le front. «Oh ouais, j'ai presque oublié. Eh bien, je suis prêt et j’ai invité Alec à venir avec nous. J'espère que ça ne vous dérange pas » "Aucun homme, je ne l'aurais invité si vous ne l'aviez pas fait" je réponds et souris à Alec. «Tu es prêt à partir Alec? Je demande. Alec hoche la tête et dit: "Ouais, oubliant presque une dernière chose." Alec saute et se dirige vers l'endroit où Nate et moi sommes assis. Quand il est à moins d'un pied de moi, il fait volte-face, se penche en avant et projette son cul charnu dans mon visage. Mes yeux s'écarquillent alors que je trouve mon visage à quelques centimètres du gros cul pétillant d'Alec couvert fine paire de boxers. Avant que je puisse réagir… FFFFFFFFRRRRRRWWWWWWWWBBBBBBBTTTTTT Un pet massif de 11 secondes jaillit du cul d'Alec et entre dans mon visage. À mi-chemin, Alec fait pivoter ses hanches, la fin est un énorme pet dans le visage de Nate. Nate et moi sommes tous les deux à sec sur la bombe A vicieuse d'Alec. "Tu es une telle bite" Nate sort avant de donner un coup de poing au gros cul d'Alec. Alec fait quelques pas en avant pour échapper à l'attaque de Nate. Alec recule et commence à envoyer ses fesses persistantes vers nous. «Ah quel est le problème cousin? Je suis juste en train de vous montrer mon appréciation pour l'invitation à la fête, ha-ha. " Je roule des yeux tandis que Nate marmonne avec colère pour lui-même. 10 minutes plus tard, nous embarquons tous les trois dans la berline d’occasion de Nate. Je prends le siège passager tandis qu'Alec monte à l'arrière. Alors que Nate démarre la voiture, Alec se penche en avant au-dessus de la console centrale pour parler à Nate. «Hey Nate, je meurs de faim, pouvons-nous nous arrêter à Taco Bell avant d'aller à la fête?» Demande Alec. «Ça n'arrive pas mec; nous prendrons des hamburgers ou quelque chose comme ça, mais pas de Taco Bell. Votre gaz est assez mauvais Alec, pas besoin de lui donner un coup de pouce avec de la nourriture mexicaine merdique. Je ne vais pas te faire bombarder ma voiture et la fête. Dit Nate avec un air renfrogné. Alec regarde Nate avant de se reculer dans son siège et hors de vue. «Mauvais coup de ta part Nate tu sais que j'obtiens toujours ce que je veux. Non seulement tu as apporté ça à toi-même, mais Vin doit maintenant souffrir avec toi. Dit Alec de façon inquiétante. Une seconde plus tard, le cul bulbeux d'Alec plane au-dessus de la console centrale et entre moi et Nate. Son pantalon est toujours affaissé à profusion, alors ses globes recouverts de boxer sont tous à l'air libre. Nate essaie de paraître fort mais j'entends de la nervosité dans sa voix alors qu'il dit: "Alec ne te fous pas-" est tout ce qu'Alec lui laisse dire avant de grogner et ... RRRRRRRPPPPPPPPPPHHHHHHHHFFFFFFFFF Alec déchire un pet pétillant de 6 secondes qui imprègne à la hâte toute la voiture. Nate et moi commençons à bâillonner alors que nous nous retrouvons rapidement enveloppés dans l’un des nuages ​​de pet toxiques d’Alec. Et Alec ne semble pas avoir terminé. «Tu me fais juste savoir quand tu as décidé de nous emmener à Taco Bell et je m'arrêterai. Jusque-là, ayez un peu plus de ça… GGH » BBBBBBBBBMMMMMMMMMMFFFFFFFFRRRRRRRR «Cousin idiot, tu crois que j'ai besoin de Taco Bell pour bombarder ta voiture. Je peux bombarder ta voiture quand je veux. Comme maintenant par exemple… FGGH » RRRRRRRRRRVVVVVVVVVVVUUUUUUUPPPPPPPP "Tu ferais mieux de changer d'avis bientôt Nate ou mes fesses puantes vont être piégées dans tes sièges d'auto en tissu pendant les prochains mois… NGGH" FFFFFFFFFHHHHHHWWWWWWWTTTTTTTTT Alec n'arrête pas de déchirer un pet monstre après l'autre, transformant l'intérieur de cette voiture en un environnement dangereux. L'air chaud et fétide qui circule dans la voiture fait tousser Nate et moi et nos yeux larmoyants. Je ne peux plus gérer ça. «S'il te plaît, Nate accepte juste de l'emmener à Taco Bell» je supplie Nate. Nate ferme les yeux et secoue vigoureusement la tête pour non. Alec recule et manœuvre son cul pour qu'il soit dirigé vers le côté du visage de Nate. D'une voix tendue, Alec dit: «HGH… Ne t'inquiète pas Vic, cette bombe A que je suis sur le point de larguer va lui faire voir les choses à ma façon. Préparez-vous pour cousin d'impact… NGH » BBBBBBBBRRRRRRRRAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHPPPPPPPPPTTTTTTTTT A 20 secondes, le monstre d'un pet sort du cul d'Alec et frappe Nate mort au visage. Sa bombe crosse est si puissante que je vois les cheveux de Nate battre comme s’il était dans une tornade. Le cul d'Alec ne vise peut-être pas mon visage mais je respire toujours sa puanteur fessière et c'est horrible. Cela sent la viande rance échouée dans une mer d'œufs pourris; complètement inhumain. Nate est gelé pendant quelques secondes après la fin du pet d’Alec. Il déchire soudain la portière de sa voiture, se penche et vomit. Je ne peux pas lui en vouloir, je me surprends presque à vomir sur les fumées des fesses d’Alec qui persistent encore dans la voiture. Nate se rétracte et ferme la porte une fois qu'il a terminé. "Très bien, nous allons nous arrêter à Taco Bell." Dit Nate d'une voix irrégulière. Alec se retourne et s'assoit sur son siège, l'air absolument fier de lui. Nous avons frappé au volant de Taco Bell et commandé une boîte de 12 tacos. Ils sont tous pour Alec; Nate et moi n’avons pas faim avec la puanteur des fesses d’Alec encore gravée dans nos nez. Il nous faut 10 minutes pour conduire de Taco Bell à la fête, et Alec termine la boîte entière de tacos en moins de 4 minutes. Alec est autre chose. Heureusement, il ne péte pas pendant tout le trajet. La fête qui se déroule dans une immense maison se déroule bien à notre arrivée. Dès que nous sommes garés, Nate est parti en un éclair. Probablement pour échapper aux pets d'Alec et retrouver cette pom-pom girl avec laquelle il a flirté tout l'été. Alec et moi nous rendons à la fête ensemble. J'ai l'intention de rester à ses côtés et de le présenter. Alors que nous nous dirigeons vers la porte d'entrée, Alec sautille devant moi, ouvrant la voie. Pendant qu'il marche… ppfft, ffhrr, bbhhhpp, rrwwwbb, bbbfffttt, ffffrrrbbb, bbbvvvoppp. Alec publie une série de poots d'une seconde, dos à dos, me saupoudrant en cours de route. A quelques pas de la porte Alec s'arrête complètement, se penche en avant certains, sortant son cul bulbeux. Avant de pouvoir m'arrêter, je rentre dans Alec. Dès que son boxer-vêtu, des globes charnus entre en contact avec mon abdomen… FFFFFFRRRRRUUUUUUUUUUUPPPPPPPP Alec me déchire un pet de 5 secondes. C'est vil et ça sent l'oignon, mais ce n'est pas aussi mauvais que ses pets précédents depuis l'intérieur de la voiture. Alec soupire de soulagement alors qu'il commence à frotter son cul contre le bas de mon ventre. «Ah, je me sentais égoïste de manger moi-même tous ces tacos, alors j'ai décidé de vous offrir les restes. Ne suis-je pas généreux Vic ha-ha »dit Alec effrontément. Je pousse légèrement Alec loin de moi et l'appelle une bite, le faisant rire à nouveau. Nous entrons dans la fête et je commence à présenter Alec. Quand il n’est pas une bite gazeuse, Alec peut être assez drôle et charmant (et sexy). Il entre facilement dans les bonnes grâces de tous ceux qu'il rencontre. Nous passons un bon moment ensemble, sortons avec les autres et buvons. Nous sortons même avec quelques gars de l'équipe de baseball. Alec leur dit qu’il essaiera pour l’équipe cette année et qu’ils sont très accueillants. Quelques heures après le début de la fête, Alec me prend par la main, nous conduit dans un salon vide à l'arrière et verrouille la porte. Il dispose d'un grand canapé et d'un fauteuil en cuir marron et d'une immense télévision à écran plat fixée au mur. Avant que je puisse demander à Alec ce qui se passe, il me soutient déjà dans le fauteuil rembourré. L'arrière de mes jambes se cogne contre la chaise et je pousse un petit grognement en tombant dessus. Alec se place entre mes jambes et se retourne en mettant son cul charnu sur mon visage. Je me presse contre le dossier de la chaise, essayant de m'échapper du cul destructeur d'Alec qui est pointé droit dans mon visage. «Que diable Alec?» Je demande en tremblant. «Très bien Vin, je suis sur le point de vous poser une question et vous allez me répondre honnêtement. Et si je pense même que vous me mentez, vous devrez faire face aux conséquences de mes fesses… HNGH » BBBBBBRRRRRRPPPPPFFFFFFFF Alec me déchire un pet de 4 secondes qui ressemble à un canard et qui sent l'enfer absolu. Cela me fait tousser et mes yeux me piquent. «Est-ce que j'ai compris Vin? Je suis trop occupé à tousser pour répondre à Alec, ce qui ne lui plaît pas. FFFFFRRRRRRHHHHHTTTTTTT Alec me déchire un autre pet infernal au visage qui me fait pleurer les yeux. «J'ai dit que je comprenais Vin?» «Oui-Oui, je comprends» je réponds au hasard. "Ok alors Vin, pourquoi tu ne veux pas sortir avec moi?" «Quoi» je demande complètement abasourdi. Alec répond en soulevant légèrement sa jambe droite et en grognant. PPPPPPPUUUUUUFFFFFFFFBBBBBBB Alec me déchire un autre pet vicieux au visage qui me détruit. «Ah, tu as entendu ce que j'ai demandé à Vin pour que je ne me répète pas. Mais je vais le répéter… GGH » FFFFFFFFFHHHHHHBBBBBBBBRRRRRRRRR «Et ça… FHGH» BBBBBBBBBVVVVVVVVVMMMMMMMPPPPPPP «Et ça… HGGH» RRRRRRRRRRWWWWWWWWPPPPPPPTTTTTTT «Je peux faire ça toute la nuit Vin… GHH» PPPPPPPPPAAAAAAAAVVVVVVVVVRRRRRRRR "Et je serais plus qu'heureux de vous le prouver… FHH" BBBBBBBRRRRRRRUUUUUUUUUUUFFFFFFFFF Le barrage d’alec de bombes bout à bout rebelles me brise facilement. «Le code bro, le code bro» je crie. Alec me regarde, par-dessus son épaule, confus alors j'élabore. «Nate et moi avons mis en place une sorte de code bro. Nous ne pouvons pas nous rencontrer ni sortir avec des parents. Pour être plus précis: je ne peux pas être avec toi et Nate ne peut pas être avec ma sœur. " Alec a l'air encore plus confus pendant quelques instants, puis il sort de la pièce. Je ne sais pas ce que ressent Alec, ni si je devrais le poursuivre ou non. Heureusement, il revient quelques minutes plus tard mais il n’est pas seul. Il arrive avec ma sœur Chelsea à la remorque. Je regarde entre eux avec confusion tandis que ma sœur regarde Alec avec suspicion. Alec sourit à Chelsea et lui demande: «Hé Chelsea, je me demandais juste si Nathan t'a déjà frappé?» Chelsea roule des yeux et dit: "Ugh, putain de tout le temps" mes yeux s'écarquillent à cette information, "chaque fois que Vince n'est pas là, il flirte toujours avec moi. Il est tellement ennuyeux »avec ça, elle tourne sur les talons et sort de la pièce. Comme avant, Alec repart sans dire un mot. Je remarque à peine que ma colère contre Nate ne cesse de monter. Alec revient mais cette fois avec un Nate qui a l'air ennuyé. Alec pousse Nate vers moi alors qu'il verrouille la porte derrière lui. Je bondis de ma chaise enragée. «C'est quoi ce bordel Nate? Vous avez frappé ma sœur tout ce temps. Qu'en est-il du code bro que VOUS avez mis en place! " Je crie après Nate. Nate ressemble à un cerf pris dans les phares. Il commence alors à trouver des excuses comme «il ne voulait pas que nous nous réunissions et qu’il se sente comme une troisième roue» et cela ne fait rien pour apaiser ma colère. Nate semble également s'en rendre compte. Ses épaules s'affaissent dans la défaite et il a une expression maussade. «Je suis désolé Vin, je sais que je suis un âne. Je ferai tout ce que tu veux, s'il te plaît, pardonne-moi. " Je regarde Nate longuement et durement pendant que je réfléchis. Après quelques instants, je l’ai enfin compris. «Premièrement, ce stupide code bro sur les rendez-vous est parti» Nate accepte immédiatement cela, «Et deuxièmement, vous avez cassé le code avant que nous ne nous en débarrassions donc vous méritez d'être puni. Après quelques secondes, Nate acquiesce. Je montre du doigt le sol. «Allongez-vous sur le dos, par terre» lui ordonne-t-il. Nate fait lentement ce qu’il lui a dit tout en me regardant nerveusement. Une fois que Nate est allongé sur le sol, j'établis un contact visuel avec Alec et il sourit comme le chat du Cheshire. Il comprend ce que je veux et qu'il est temps de briller. Alec s'avance jusqu'à ce qu'il se tienne sur la poitrine de Nate, face à ses pieds. Nate halète d'horreur quand Alec se tient au-dessus de lui. Avant que Nate ne puisse s’échapper, Alec tombe à genoux, chevauchant la poitrine de Nate. Nate siffle alors que l'énorme cul d'Alec s'écrase sur sa poitrine, comprimant tout l'air de ses poumons. Alec est assis sur la poitrine de Nate, le dos lui faisant face. Alec commence à reculer, rapprochant son cul rond de plus en plus du visage de Nate. Nate commence à se tortiller et à paniquer. «Alec Vin, pardonne-moi, je suis désolé. Ne faisons rien de radical ici. " Nate supplie en vain. Alec ne s'arrête que lorsque son gros cul gris vêtu d'un boxer plane sur le visage de Nate. L'énorme cul d'Alec éclipse complètement la tête de Nate, je ne peux pas en voir un peu. Nate laisse échapper un cri peu viril alors que le cul d'Alec commence à descendre sur son visage, mais je place une main sur l'épaule d'Alec pour l'arrêter. Il me regarde d'un air interrogateur. «Non Alec» Nate soupire de soulagement en m'entendant dire ça. Penser tout cela n'était qu'une tactique effrayante. Il a tort. «Faites-le cul nu. Je ne veux rien qui filtre vos bombes A. » Je lui ai dit. Le sourire d'Alec est carrément diabolique. "Oh Vinny, tu es si cruel ha-ha" Alec tend la main et commence à tirer son boxer le long de son gros cul pétillant. Les globes épais et charnus d'Alec sortent de la prison de ses boxeurs serrés et vacillent de manière menaçante sur le visage terrifié de Nate. «S'il vous plaît Alec ne faites pas ça. Vous et Vin pouvez sortir ensemble maintenant, vous avez ma bénédiction. Nate plaide désespérément. "Désolé parce que, tu as entendu ce que le patron a dit, mes mains sont liées" Alec tend la main et écarte ses joues charnues, donnant à Nate un bon regard à l'intérieur de sa tranchée toxique. "Et c'est parti." "Non, s'il te plaît, ne-mmmmm" Alec laisse tomber son cul sur la tête de Nate, engloutissant son visage entre ses globes épais et charnus. Alec commence à se tortiller d'un côté à l'autre en travaillant le visage de Nate plus profondément dans son cul. Je regarde les joues pétillantes d'Alec se répandre sur les côtés du visage de Nate et je ne m'arrête pas avant qu'elles n'entrent en contact avec le sol. Incroyable, le cul colossal d'Alec a entièrement consumé la tête de Nate. Après une minute entière de tortillement, Alec s'arrête enfin et affiche un sourire effronté. «Je sens son nez effleurer mon trou du cul, il est temps de commencer cette fête. Alec serre ses mains en poings et se gratte le visage avec concentration. «NNGHH… Mauvaise nouvelle Nate, mon cul est armé et j'ai un réservoir plein de bombes A prêtes à être déployées. Bonne chance car tu vas en avoir besoin… FGGHH » BBBBBBBBFFFFFFFFFFFFMMMMMMPPPPPPPPP "J'espère que vous êtes toujours en vie là-bas parce que nous ne faisons que commencer ... HGH" FFFFFFFFFFWWWWWWWWBBBBBBBBTTTTTTTT "Tu sais Nate, je serais désolé pour toi si ça ne me faisait pas si bien de déchirer le cul ... GGH" PPPPPPPPPPRRRRRRRRHHHHHHHHHHBBBBBBB «Luttez autant que vous voulez, vous ne vous échapperez pas de sitôt. Tu vas servir ton temps sous mon cul gazeux… NFGH » RRRRRRRRHHHHHHHHTTTTTTTTTTFFFFFFFFFFF «Je te laisserais partir Nate mais ce mec sexy veut que je te fasse souffrir avec mes pets. Vous allez devoir en prendre un pour le copain de l’équipe… FHH » BBBBBBBBBPPPPPPPPPPPPMMMMMMMMMRRRRRRRRR «Oh, je suis désolé Nate mais je sens la mère de toutes les bombes A venir. C’est bien de vous connaître parce que… UGGH » FFFFFFFFFFFRRRRRRRRRUUUUUUUUUUUUWWWWWWWWWBBBBBBPPPPPPPPPP J'ai l'air satisfait alors qu'Alec illumine le visage piégé de Nate avec un barrage de bombes monstrueuses. Ma colère contre Nate s'apaise de plus en plus à chaque pet qu'Alec déchire. Alec termine son petit fartathon par un anormalement long qui dure près de 50 secondes. Je regarde le corps immobile de Nate sous Alec et je sais qu’il est assommé. Alec se lève du visage de Nate avec un silencieux mouillé. Le visage de Nate se révèle mouillé par les larmes, la morve et la sueur des fesses d'Alec. Alec se tient à côté de moi, pantalon et boxer toujours affaissés sous son cul bulbeux. Après d'innombrables années de torture, j'ai finalement demandé à Alec: «Puis-je vous emmener à un rendez-vous un jour?» Alec hausse les épaules et dit «Peut-être» me faisant tourner la tête. Je tourne la tête pour regarder Alec si vite que j'en ai presque un coup de fouet. Alec me regarde avec un petit sourire espiègle. Alec fait un pas pour qu'il soit debout devant moi et pose ses mains sur mes épaules. Il me pousse brutalement sur mes genoux, puis il se retourne. Je me retrouve maintenant face à face avec les fesses nues, charnues et bulles d’Alec. Alec me regarde, par-dessus son épaule, avec un grand sourire. «Avant de faire le prochain pas en avant, je pense que vous devriez savoir quelque chose Vin. Même si nous sommes ensemble, cela ne veut pas dire que je vais arrêter de péter sur vous; en fait, cela signifie tout le contraire. Si nous devenons une chose, vous pouvez être sûr que vous serez bombardé A plusieurs fois par jour. Maintenant, après que je vous ai donné un aperçu de ce que vous faites si nous devenons un couple, vous pouvez décider si vous voulez toujours emmène-moi à un rendez-vous. Alec tend la main, attrape l'arrière de ma tête et enfonce rapidement mon visage dans son gros cul. Mon visage est immédiatement immergé entre les globes charnus d'Alec. Mes yeux arrosent du gaz de cul persistant emprisonné entre ses joues. Alec commence à tourner ses hanches, tirant mon visage plus profondément dans son cul bulbeux. Il ne s'arrête que lorsque son trou du cul clignant de l'œil embrasse le bout de mon nez. J'entends alors la voix d'Alec venant au-dessus de moi. "Très bien Vin voici la première de nombreuses bombes A intimes si vous devenez mon petit ami ... HGH" PPPPPPPPFFFFFFFFFUUUUUUUUBBBBBBB «Chaque fois que nous dormirons ensemble, je ne manquerai pas de vous ranger avec une belle et longue cocotte… GGH» RRRRRRRRRVVVVVVVVAAAAAAPPPPPP "Et je ne manquerai pas de vous réveiller le lendemain matin avec mon puissant tonnerre du matin… FGH" FFFFFFFFFPPPPPPPPPWWWWWWWRRRRR "Non seulement tu verras les lèvres avec moi, mais tu le feras aussi avec mes lèvres de cul ... NGH" RRRRRRRRBBBBBBBBBBPPPPPPPPFFFFFFFFF «En fait, vous devriez le faire maintenant. Pucker up Vin… UGH » Alec repositionne mon visage pour que ma bouche soit sur son trou du cul. BBBBBBBBRRRRRRRRWWWWWWWWWUUUUUUUUHHHHHHHHHHHPPPPPPPSSSSSSS Pour la troisième fois aujourd'hui, Alec me déchire une volée de pets massifs. Je me sens assez étourdi surtout après son dernier qui dure une minute entière. Les œufs et les oignons pourris sont tout ce que je peux sentir et goûter. Alec sort mon visage de son cul et m'aide à me lever. Je dois avoir l'air en désordre avec des larmes et de la sueur des fesses couvrant mon visage, mais Alec ne semble pas s'en soucier. «Alors Vin, tu veux toujours m'emmener à un rendez-vous? Demande Alec avec un sourcil levé. Je regarde Alec dans les yeux et je dis: «Je viendrai vous chercher demain soir à 6 heures» Alec sourit et rit de ma réponse. «Ha-ha c'est mon garçon. Je vais avoir tellement de plaisir à te gazer ce week-end Vinny. " Dit Alec et me fait un clin d'œil.
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mamaasawriter · 4 years ago
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"Vous désirez autre chose ?" L'enfant pensa "tout" Mais il dit "non merci". Le serveur, s'armant d'une toux, lui indiqua la sortie.
Killian Provost, Le Contredit des Villes
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obsidianbunny · 4 years ago
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Cette journée d’automne s’était travestie en jour de canicule estivale. Derrière les épaisses toiles de la tente de la baronne, Octavia peinait à garder sa concentration sur son travail. De lourdes gouttes de sueur roulaient sur ses pommettes dont les angles marqués rappelaient l’ascendant elfique de la magistère, avant de venir s’écraser sur le bureau qu’elle s’était improvisée en empilant quelques planches en pin. Elle avait attaché son épaisse tignasse rousse à l’aide d’un curieux anneau élastique que lui avait donné Jubilost : une de ses récentes découvertes alchimiques. Cela n’empêchait pas les charmantes boucles de quelques mèches de cheveux indisciplinées de venir chahuter devant ses yeux ; agacée, elle passait son temps à les ranger derrière ses oreilles pour les maintenir en place, sans succès. Ses mains impeccablement entretenues s’affairaient à tisser un charmant sortilège. Elle brodait dans les air des runes avec finesse, puis les mêlait aux mailles très concrètes d’une paire de gants de soie. C’était ses sortilèges préférés, ceux qui étaient aussi beaux qu’utiles. La chaleur mettait sa concentration à rude épreuve, mais elle parvenait à la maintenir tout juste assez pour continuer à travailler efficacement. Les yeux fixés sur son ouvrage, elle ne laisserait rien la perturber.
Le voile d’entrée de la tente se souleva soudain, faisant sursauter la magicienne. Les runes s’envolèrent et se mélangèrent dans un son dissonant de verre brisé.
« Dame Octavia ! », lança une voix de jeune homme un peu tremblotante. « Je souhaiterais m’entretenir avec vous, sauriez-vous m’accorder quelques minutes ? »
Octavia contempla le gâchis de son travail : son sursaut lui avait fait emmêler tous ses glyphes dans une pelote éthérée indébrouillable. Tout son ouvrage était à refaire. Elle poussa un soupir agacé et se retourna pour contempler la source de sa surprise. Elle ne fut que davantage étonnée lorsqu’elle découvrit Tristian devant elle, lui qui d’habitude ne quittait jamais sa tente de guérisseur. Il semblait tout penaud de son entrée maladroite, et rougissait de honte. Peut être même semblait-il intimidé par le regard courroucé que lui avait porté la magicienne.
« Je… je suis navré, je ne voulais pas vous déranger ! Je vous dérange n’est-ce pas ? Oh, pardonnez-moi…
– Calmez-vous, Tristian », le rassura Octavia avec un sourire attendri par sa candeur, « je ne vais pas vous manger. C’est ma faute, si j’ai perdu le fil de mon travail. »
À ces mots, Tristian sembla se détendre un peu. Il continuait cependant à jouer nerveusement avec ses mains, comme s’il ne savait pas quoi en faire.
« C’est rare de vous voir sortir de votre antre », reprit la magistère. « Le travail vous manquerait-il ?
– Oui. Enfin ! Non, je veux dire… J’ai bien assez à faire, j’ai même abandonné une jambe cassée pour venir vous voir. Enfin elle va bien, rassurez-vous ! Vous êtes plus intéressante qu’une jambe cassée. Enfin ça n’a rien à voir, et par ça je veux dire vous. Oh… Pardonnez mon inconséquence... »
Tristian rougissait de plus en plus à mesure qu’il se perdait en bafouilles. Octavia continuait de le regarder avec un sourire aux lèvres, partagée entre la compassion et l’amusement. Le garçon, si candide fut-il, restait très agréable à regarder. Malgré sa nature innocente et son jeune âge manifeste, sa carrure était celle d’un homme, avec de larges épaules et une poitrine puissante. Les traits de son visage, tout comme ses mains, étaient d’une finesse presque artistique. Ses yeux d’un bleu très clair étaient proprement captivants, et ses cheveux blonds brillaient comme d’une lumière divine. Il dissimulait constamment sa tête d’une capuche, comme s’il était conscient d’attirer les regards et qu’il voulait s’en garder. Sa capuche, d’un blanc immaculé, tombait le long de son dos en une cape qui, quand elle s’envolait sous le vent, semblaient le doter de grandes ailes d’ange. Octavia songea que si Sarenrae avait voulu s’incarner sur terre, elle n’aurait peut être pas été plus belle que son humble serviteur.
« Reprenez vous Tristian », lui répondit-elle d’un rire attendri. « Il y a quelque chose dont vous vouliez me parler ?
– En effet, excusez moi. » Le jeune prêtre semblait gêné d’aborder le sujet dont il semblait si pressé de parler en entrant. « Je voulais vous parler du comportement que vous avez à mon égard. Vous prononcez souvent des paroles qui m’interrogent, au sujet de… de nous. C’est comme si vous attendiez quelque chose de moi, et je vous avoue que j’ai de la peine à en saisir la nature.
– Ah, ça ! », lança Octavia dans un éclat de rire assez franc. « Je vous taquine Tristian, vous êtes amusant à embêter. Vous virez au rouge pivoine à l’instant où j’ouvre la bouche, c’est terriblement divertissant.
– Oui mais… Quel en est le but, où souhaitez vous en venir ? » La naïveté de la question prit la magicienne au dépourvu.
« Eh bien… Je vous aime bien Tristian, voilà tout. J’aimerais simplement que nous apprenions à mieux nous connaître. »
Octavia n’était guère habituée à tenir ce genre de discours. Souvent, ses relations avec les hommes tenaient en quelques mots et à beaucoup de langage corporel. Tristian semblait se calmer, peu à peu. Il prit un instant pour réfléchir à ces quelques mots, puis sembla en réaliser le sens. Il fut pris d’une curieuse toux, avant de reprendre :
« Je crains de vous décevoir, Octavia. Les sentiments mortels me sont bien méconnus : toute ma vie est dévouée à Sarenrae. Je ne voudrait pas que mon… ignorance, ne vous fasse défaut.
– Je vois. Mais finalement, qu’en savez-vous ? Peut-être est-ce cette ignorance qui me plaît, chez vous », répondit Octavia, un peu décontenancée.
Tristian souleva un sourcil. Il semblait confus. « C’est… amusant. J’ai l’habitude d’être apprécié pour mon savoir plutôt que pour mon inexpérience », répond-il en souriant. Il reste pensif un instant, avant d’ajouter : « Vous continuez de me surprendre, Octavia. Encore et toujours. »
Les magnifiques yeux de Tristian ne semblaient pas vouloir se détacher de ceux de la magicienne. Octavia se surprit elle-même à rougir, si bien que ce fut-elle qui détourna le regard la première.
« Je… J’en suis ravie. Je suis navrée, j’ai du travail à reprendre, et assez peu de temps…
– Oh, oui ! Naturellement, veuillez m’excuser. Je vous laisse à votre œuvre, je ne voudrais pas vous distraire davantage.
– Merci. » Elle le rappela alors qu’il s’apprêtait à quitter la tente. « Tristian ?
– Oui ?
– J’ai apprécié notre échange. J’aimerais que nous discutions ainsi de nouveau, si le cœur vous en dit. »
Un sourire radieux illumina le visage du jeune prêtre. « Cela me ferait très plaisir. »
Octavia se réveilla lorsque les premiers rayons du soleil vinrent lui percer les paupières. Parfait, pensa-t-elle, maussade. Les derniers jours avaient été longs et douloureux, passés entre attaques de loup-garous et de trolls enchantés. Pour une fois, elle avait voulu s’accorder une grasse matinée bien méritée mais manifestement, un certain astre céleste semblait en avoir décidé autrement. En grommelant, elle se hissa hors de son lit puis de sa tente où tous ses camarades dormaient encore. Quitte à être réveillée, autant mettre à profit les précieuses prochaines heures. Elle se dirigea vers le gué, le point de jonction des trois rivières, au cœur de la future cité de Kandrakhar. Encore habillée légèrement pour la nuit, elle procéda à ses ablutions matinale : elle ne pouvait se sentir correctement réveillée qu’après avoir rincé son visage à l’eau claire. L’eau lui fit un bien fou et le vent frais qui lui battit les joues la réconcilia avec ce début de matinée. Après quelque étirements, Octavia tourna les talons prête à commencer une journée de travail. Elle s’arrêta nette cependant car elle s’aperçut qu’à quelques mètres d’elle, Tristian était en train de prier sur la berge. Il était si calme que la rouquine ne l’avait pas remarqué, ses murmures étaient couverts par le bruit de l’eau. Elle s’assit un peu derrière lui, et le regarda terminer sa prière. Il tenait entre ses mains un chapelet blanc et or, au bout duquel pendait son symbole sacré : un petite statuette de Sarenrae en bois. Octavia l’avait vu la tailler lui même, lors de leur périple à travers les Terres Volées.
À la fin de son rituel, Tristian ne releva pas. Elle resta au bord de l’eau, le regard perdu dans le vide. Ses yeux portaient une émotion carrément sinistre ; même ses cheveux, d’habitude si beaux, semblait à ce moment rêches et grisâtres. Octavia fut prise d’inquiétude.
« Tristian… Vous allez bien ? »
Lentement, comme s’il s’éveillait d’un rêve, Tristian prit la parole faiblement. « Toute ma vie est vouée à la grande déesse, la radieuse Sarenrae. C’est ce que je suis, une part d’elle. Ma vie ne m’appartient pas, parce qu’elle ne compte pas. Ma vie sans elle serait comme une vie sans soleil. Je n’ai pas choisi de l’aimer ou pas : mon amour pour elle est dans ma nature profonde. Et je sais que je serai à jamais auprès de mon véritable amour, même au-delà de la mort. Pourtant ici, parmi les autres mortels... » Il secoua la tête. Il prit une courte pause, avant de poursuivre d’une voix presque distante : « Je ne cesse d’entendre parler d’une autre sorte d’amour. Un amour qui se donne, comme n’importe quelle possession matérielle, pour être repris ensuite. Tout cela semble si… éphémère ? Factice ? Je peine à trouver le mot juste. Quel courage démesuré faut-il, pour tomber amoureux d’un personne que l’on peut perdre ? Que l’on finira inévitablement par perdre ? ».
Octavia se sentait attendrie par les interrogations du jeune homme. Il était si naïf qu’elle aurait pu le prendre pour un enfant dans un corps adulte. Lui qui n’avait vécu que cloîtré dans une église ou livré à lui même dans les étendues sauvages semblait bien perdu, confronté aux réalités de la vie auprès de ses semblables.
« Votre vision de l’amour souffre de votre manque de recul », lui dit-elle d’une voix douce. « Un amour que vous auriez donné de votre plein gré, aurait-il moins de valeur que celui sur lequel vous n’avez aucun contrôle ? »
Tristian garda le silence un instant, puis se tourna vers Octavia. « Je ne pense pas, non. Je ne l’ai simplement jamais rencontré. Loin de moi la présomption de juger quelque chose dont la nature m’échappe. » Sur ses mots, le prêtre se mit à regarder attentivement, intensément la magicienne. La pureté de ses yeux semblait sonder son âme. « Octavia, avez-vous déjà éprouvé tel amour ?
– Ça m’est arrivé, en effet. C’est le genre de sentiment dont on se souvient toute sa vie tant il nous change, même bien après qu’il nous ait été repris. Quand on a vécu dans la souffrance et la haine pendant de nombreuses années, comme j’en ai eu le malheur, on prend pleinement conscience de la valeur de l’amour entre deux mortels. »
Tristian inspira profondément. Il semblait choisir ses mots avec minutie. « Dites-moi. Comment choisissez vous la personne à qui vous confierez votre… confiance ? Écoutez-vous plutôt votre cœur, ou bien votre raison ? Je vous navré de vous infliger des questions si personnelles, mais… je brûle de comprendre. »
C’est avec un sourire amusé que répondit Octavia, presque sans y penser. « J’écoute mon cœur. Il ne fait jamais d’erreur. »
Tristian hocha la tête, comme s’il s’attendait à cette réponse. « Évidemment. Je ne sais pourquoi, mais ça ne me surprend pas. Vous êtes toujours si sincère, dans tout ce que vous faites. C’est ce qui se passe quand les actions d’une personne lui viennent de son cœur. »
Tristian se lève enfin, et Octavia fit de même. Mais à sa grande surprise, le jeune homme s’approcha d’elle tout près, si près qu’elle cru qu’il allait la prendre au creux de ses bras. Il s’arrêta au dernier moment, puis comme s’il avait subitement pris conscience de ses actes, fit un pas en arrière.
« Merci beaucoup pour ces conversations, Octavia. Je chéris chaque moment que j’ai la chance de passer avec vous. J’espère que vous ne me voyez pas trop comme un fardeau. »
Avant même que la magistère puisque rétorquer quoi que ce soit, Tristian s’excusa et prit le chemin de la ville sans attendre. Octavia se demanda ce qu’il venait de se passer, abasourdie. Jamais elle n’avait vu Tristian si tourmenté, si direct aussi. Cela coupait totalement avec son caractère de jeune homme maladroit. Pantoise, Octavia prit un instant pour réunir ses esprits. Tristian avait disparu. Elle décida qu’elle retournerait le voir sous peu. Cette matinée n’avait pas été totalement perdue, en fin de compte.
Octavia attendit dans le froid un bon quart d’heure devant la tente de son ami. Le ciel abandonnait le rose du crépuscule pour le mauve du début de nuit, le soleil était depuis longtemps parti pour d’autres contrées. Elle guettait le départ de Jhod, le vieux soigneur, pour avoir l’occasion de parler seule à seule avec Tristian. Lorsque enfin le voile d’entrée se souleva, elle fut ravie de voir Jhod raccompagner son dernier patient à son lit. Elle le salua d’un signe de tête, il lui sourit en retour. La rouquine attendit quelques instants encore, puis pénétra silencieusement dans l’antre des guérisseurs. Assis sur l’un des lits des patients, éclairé par la faible lueur d’une lanterne à huile, Tristian tournait le dos à l’entrée de la tente. Il tenait un livre dans ses mains, dont Octavia ne parvenait pas à voir la couverture. Le jeune homme semblait absorbé dans sa lecture, tant qu’il ne remarqua pas la magicienne qui se glissait subrepticement dans son dos. Octavia tenta de jeter un œil au livre du jeune prêtre. Si elle ne parvint pas à saisir la nature précise de cet ouvrage, ses yeux rencontrèrent quelques lignes intrigantes qui semblait traiter du « feu sous sa peau » ou encore d’un « puissant désir dans sa voix ». Octavia tendit le cou pour en saisir davantage mais une mèche de ses boucles rousses tomba sur le cou de Tristian, qui sursauta sur le champ. Il referma son livre avec hâte avant de s’écrier :
« Octavia ! Que faites-vous là ? Je ne vous ai pas entendue rentrer.
– Qu’est-ce que vous lisez ? », demanda la magicienne avec un sourire taquin.
Tristian écartait le livre du bout de la main, d’un geste plein de malaise. « Il s’agit de quelque traité sur les relations humaines. C’est Dame Kanerah qui me l’a recommandé. Je lui ai demandé conseil, et elle m’a suggéré de lire ceci. Elle m’a dit que c’était l’ouvrage le plus approprié à traiter… des passions. » Le jeune homme semblait très embarrassé. « Je pense que je ne saisis rien à la littérature.
– J’ai cru voir que ce traité proposait des descriptions plutôt explicites », continua de le taquiner son amie.
Tristian rougit légèrement. « C’est ce qu’il semble, oui. Mais ce qui est décrit là dedans semble tellement… peu naturel, voire prétentieux ! On pourrait croire qu’il s’agit non pas d’une communion entre mortels, mais de vénérer un dieu.
– Pour les avoir vécus, ce genre de moments peut donner quelques aspirations célestes.
– C’est ce dont je veux parler ! », s’agaça Tristian. « Je pensais pouvoir calmer mon esprit, trouver des réponses à ces sujets – non, à ces problèmes, qui me tourmentent. Je pensais trouver des mots à placer sur que je suis incapable d’exprimer. À la place, je n’en suis qu’encore plus confus. »
Octavia et Tristian se regardèrent quelques secondes, l’une tentant d’envelopper de tendresse la détresse de l’autre. Puis soudain ils se mirent à rire, gagnés par l’absurde de la situation.
« Souvent, j’admire la facilité que vous avez à choisir les mots justes pour exprimer ce que vous ressentez », dit joyeusement Tristian.
« Vous vous tourmentez. Vous essayez toujours de trouver les mots justes pour ce qui ne saurait être décrit.
– Que voulez vous dire ? » L’incompréhension sur le visage de Tristian était si lisible qu’Octavia dû se mordre la joue pour ne pas repartir dans un éclat de rire. « Les mots sont les mots, toute la sagesse du monde peut se lire dans les pages de nombreux livres. Même la miséricorde de Sarenrae trouve son reflet dans les textes sacrés... »
Avec une grande délicatesse, Octavia glissa sa main sur celle de Tristian. Rien n’aurait pu trancher le lien invisible qui joignait le regard de ces deux jeunes gens à cet instant. Le temps semblait se figer, ils en oubliaient le son de leurs cœurs dans leurs tempes qui battaient à tout rompre.
« Pourtant, les réponses que vous cherchez ne se trouvent pas dans les livres. »
Les doigts de Tristian venaient s’emmêler avec ceux de la rouquine, dans une caresse qui fit courir un flot de frissons le long de son échine. La chaleur la gagnait, partait de son cœur et empourprait son visage entier. Elle porta son autre main à la joue du jeune prêtre avec une délicatesse infinie. Le temps semblait se suspendre dans cet instant de tendresse.
« Vos mains sont si chaudes. C’est comme si elles étaient vos rayons et vous, le soleil... », lui glissa-t-il dans un souffle. Il lui adressa un sourire désolé avant d’ajouter : « Je ne suis finalement pas plus doué avec les mots que le livre.
– Pas du tout, vous êtes adorable. C’est votre cœur qui parle, et si vous le laissez faire ce sera toujours avec justesse. »
Tristian sembla se figer. Entre deux battements de cœur, il ferma les yeux et couvrit la main d’Octavia de la sienne. Il tourna la tête, et vint poser ses lèvres sur la paume de la magicienne qui sentit une vague de chaleur se propager dans tout son corps.
« Comme les rayons du soleil... », murmura-t-il.
Il restèrent ainsi quelques secondes suspendus dans l’instant. Tristian ouvrit alors de nouveau les yeux, et réalisant la position dans laquelle il se trouvait, jeta un regard effrayé vers la magistère et repoussa doucement sa main.
« Pardonnez-moi ! Pardonnez-moi, j’ai outrepassé tout ce qui m’était permis.
– Quoi ? Ne vous en faites pas, il n’y a pas de... », tenta d’objecter Octavia.
« C’était inconvenant, je prie Sarenrae que je ne vous ai pas mise en colère. Veuillez m’excuser, je dois… aller retrouver Jhod. » Il jeta un dernier regard timide à la magicienne abasourdie par l’inattendu de cette réaction, et lui dit avant de quitter la tente : « Croyez moi, je tiens beaucoup à vous. »
Octavia se retrouva seule dans la demi-pénombre de cette tente. Elle ne revenait pas de ce qu’elle venait de vivre. Jamais un homme n’avait été pour elle un tel mystère. Elle sortit pour tenter de le rattraper, mais elle ne distinguait plus rien d’autre dehors que la lumière des torches des patrouilles de gardes. Le lendemain, ses compagnons et elle partiraient de nouveau hors de la ville, elle ne pourrait pas revoir Tristian. Elle jura de frustration. Les explications devraient encore attendre.
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freeezingrain · 5 years ago
Text
L’eau fait fondre la glace.
Gruvia fanfic.
Read it on ff.net : https://www.fanfiction.net/s/13307689/1/L-eau-fait-fondre-la-glace
***
L'hémoglobine en grande quantité faisait pâlir l'homme. Il ne pouvait pas bouger tant la douleur autant physique que mentale paralysait ses muscles. Il avait l'impression que ses os étaient glacés, et il commençait déjà à ne plus sentir ses muscles correctement. Chaque cellule de son corps semblait être en ébullition, et il avait envie de hurler. Il hurlerait si la vue devant lui ne lui faisait pas encore plus mal que sa douleur physique.
Juvia Lockser venait de se poignarder pour le sauver ; Gray Fullbuster venait de se poignarder pour la sauver.
Leur suicide avait été ridiculement coordonné, et ils se retrouvaient tous les deux blessés gravement. Leur pronostic vital était engagé, et il n'y avait pas besoin d'examen médical pour le comprendre : ils s'étaient transpercé le ventre avec leurs magies. L'épée de glace de Gray était toujours figée dans son estomac, et la lame d'eau de Juvia était clouée dans sa chair maintenant écarlate de son propre sang.
Même l'eau autrefois si douce et bleue de Juvia était cramoisie et inquiétante quant à la quantité de sang qui y était.
Elle avait souri avant de se tuer, et elle souriait encore alors qu'elle était aux portes de la mort. Gray avait envie de lui arracher ce sourire de son visage, qu'elle arrête de faire comme tout allait bien parce que tout n'allait pas bien. Ils allaient mourir ! Si jeunes, terrassés par la guerre, il y aurait bientôt une sépulture avec les combattants qui ont laissé leur vie dans cette bataille, et leurs noms y figureraient.
Pourquoi ? Elle n'avait que dix-neuf ans, et il en avait vingt. Était-ce vraiment un âge pour mourir ? Ne devaient-ils pas attendre d'être plus vieux, plus sages ; d'avoir vécu plus de choses ?
Le rictus de douleur sur le visage de Gray se mua en une grimace tandis qu'il empêchait ardemment les larmes de couler sur ses joues. Ses yeux étaient sûrement vitreux, et peut-être quelques larmes étaient-elles tombées même s'il s'évertuait à les retenir, il ne savait pas. Tout ce qu'il savait, c'était qu'il tremblait comme une feuille, la faiblesse s'emparant de son corps alors que son sang continuait de couler en grande quantités sur le sol, créant une flaque rouge et écœurante à ses pieds. Son pantalon devait être maculé d'hématies ; il devait lui-même être pathétique et repoussant.
Mais il devait lui dire. Il devait lui avouer avant que ça ne soit trop tard, fatalement.
– Je ne pouvais pas... Blesser un compagnon, surtout pas toi...
Ses poumons brûlèrent, et sa respiration se fit plus sifflante. Son appareil respiratoire devait sûrement être touché lui aussi ; les bronches brûlaient.
Pour la première fois, Gray avait froid. Alors qu'il était connu pour être un mage glacé, contrôlant le gel à la perfection, il se sentait frissonner et trembler à la brise froide qui soufflait sur eux.
Sa fin était proche, il le sentait.
– Alors, j'ai choisi cette solution, finit le garçon avant d'être interrompu par une quinte de toux violente qui lui fit cracher un peu de sang. Pendant un moment, il faillit tomber à cause de sa toux mais il se reprit en se stabilisant un peu plus sur ses jambes.
Sans qu'il ne s'y attende, quelque chose de magnifique se produisit.
Les lèvres de Juvia s'étirèrent doucement dans un sourire éreinté. Alors qu'elle avait cessé de lui sourire après avoir vu qu'il avait reproduit le même geste que le sien, elle lui offrait cette belle vision à nouveau.
Le sang qui souillait ses lèvres faisait mal à Gray, quelque part dans sa poitrine. Elles étaient roses, ses lippes, et toutes tremblantes. Si fines et délicates, et maintenant salies par cette bataille.
Juvia avait l'air si petite, au milieu de ces atrocités. Si innocente, et pourtant, tellement impliquée dans le massacre.
– Gray-sama...
Ces mots n'étaient qu'un souffle. Quelque chose qui aurait pu réchauffer le coeur du concerné dans d'autres circonstances, mais qui le glaçait à ce moment précis. Son esprit voulait fuir loin, quelque part où il n'aurait pas à accepter la vérité.
Mais comme depuis sa plus tendre enfance, il devait accepter la vérité. Comme ce jour affreux où on lui avait arraché son innocence.
Il ne voulait pas se conformer à cette idée ; à cet avenir où Juvia et lui seraient morts.
Mais leurs blessures étaient mortelles.
Il ne voulait pas l'entendre dire ses derniers mots.
Tout cela était si prématuré.
– Merci, ça me touche, murmura la prêtresse des eaux, et Gray eut presque du mal à entendre ce qu'elle lui disait.
Gray voulut faire un pas mais le sol se déroba sous ses pieds, l'épée de glace se dématérialisa ; sa dernière création rejoint les limbes au même moment que la conscience le quittait doucement. La lame d'eau de Juvia disparut dans un écran de fumée éphémère. Gray voulut la rattraper, il ne voulait pas qu'elle puisse se blesser en tombant. Il voulait la préserver de cette horrible réalité.
Quelle ironie ! Il avait peur qu'elle ne se blesse alors qu'elle était en train de mourir.
Ça ne devait pas se passer comme ça.
C'était si injuste.
Gray plongea dans l'inconscience. Sa lucidité s'évanouit, et il eut le temps de sentir le sol froid sous son corps avant de perdre le toucher.
Il ne sentait plus rien.
Alors ça y est, il allait rejoindre Ur ? Sa mère ? Son père ?
Tout cela semblait si étrange, comme s'il ne devait pas encore les rejoindre. Il avait tant de choses à faire avant de mourir. Tant de projets à réaliser, tant de lieux à explorer. Il voulait accueillir un disciple comme Ur l'avait fait avec lui pour lui inculquer son savoir avec la passion qu'il avait pour la magie de fabrication de glace. Il voulait avoir une grande maison avec un jardin, il voulait visiter d'autres contrées pour tester tous les arts culinaires possibles. Il voulait connaître d'autres saveurs, d'autres paysages, d'autres cultures.
Il voulait encore rire avec ses amis. Il voulait boire avec Cana, discuter de magie avec Lucy, se battre avec Natsu, se faire sermonner par Erza. Il voulait discuter d'Ur avec Lyon, partager de bons souvenirs et songer à une chose essentielle.
L'avenir.
Il n'aurait pas d'avenir.
Rien.
Le néant.
Gray avait toujours été effrayé par le fait de fonder une famille. Il n'avait pas eu le temps de profiter de la vie de famille étant petit, celle-ci lui avait été arrachée avec sadisme, en même temps que son innocence. Alors, le jeune homme s'était toujours demandé s'il en serait digne, d'avoir une famille. Pourrait-il être un bon père ? Un bon mari ? Serait-il capable de porter un être aussi fragile qu'un bébé ?
De toute façons, il n'avait plus à se poser ce genre de questions. Il était mort.
Mort.
Et puis soudainement, au bout du néant.
Une pulsation dans sa poitrine.
La sensation fit frémir Gray et il grogna. Il bougea, mal à l'aise dans la position dans laquelle il était.
Attendez. Comment pouvait-il encore ressentir des choses ?
Une seconde pulsation.
Gray ouvrit les yeux et ceux-ci piquèrent de manière désagréable lorsque le froid s'attaqua à la pupille, méchamment. L'homme bougea un peu, dégageant son bras de dessous son corps où celui commençait à être ankylosé.
Son cœur battait.
Pourquoi son cœur battait-il ?
L'horrible douleur qui le prit à la poitrine lui prouva bien qu'il était vivant. L'homme se tordit de douleur, se cambra et amena son corps dans des positions qu'il ne pouvait même pas imaginer.
Il était en vie.
L'homme vit un peu trouble pendant quelques instants. A cause de quelques larmes, ou du froid qui régnait autour de lui ? Il n'en savait rien. Et il ne parviendrait à élucider aucun mystère si la migraine qui lui prenait le cerveau persistait. C'était insupportable, et malgré la douleur de ses muscles et de chaque parcelle de son corps éreinté, le garçon parvint à se mettre sur les genoux, nonobstant chancelant. La bile lui monta à la gorge lorsqu'il remarqua la flaque de sang dans laquelle il gisait jadis, mais il se retint de rendre le contenu de son estomac avec une déglutition forte.
Puis, il y eut cette sensation.
Le souffle de Gray se coinça dans sa gorge et une intense impression de chaleur s'empara de tout son être. Comme si le plus bienveillant des êtres de ce monde venait de s'emparer de lui et de son corps. Pendant quelques instants, il resta figé à l'étrange impression, et il apprécia simplement le fait d'être submergé par cette vague de douceur qui déferla en lui.
Et, il y eut la réalité.
Water make : blood.
Cette sensation, Gray la connaissait. Cette chaleur qui parcourait ses veines était familière, et il se maudit pour ne pas l'avoir compris avant. Il avait l'impression qu'il était poussé par une force soudaine, et bientôt, il se sentit beaucoup mieux.
C'est alors qu'il remarqua l'étrange liaison magique qui venait se planter dans son bras gauche, juste au niveau d'une veine palpitante. Le maître de la glace se retint de toucher cet étrange fil qui semblait lui apporter du sang, et c'est en suivant sa provenance qu'il découvrit son propriétaire.
Sa propriétaire.
Utilisant ses dernières forces, Juvia usait de sa magie pour le sauver. Elle lui donnait son sang sans réserve ni regret. Allongée sur le sol, la tête face à la glace qui recouvrait le macadam, elle ne respirait déjà plus alors que le plasma qu'elle donnait à Gray quittait son corps.
Comme une balle frappant son adversaire, Gray prit la réalité en pleine face, d'un coup. Comme une gifle qu'on lui aurait asséné et qui crierait : Allez, accepte la vérité !
Elle était en train de mourir.
Peut-être était-elle déjà morte.
Mais pas lui. La vie rejoignait son corps alors qu'elle quittait celle de Juvia ; le liquide vital s'insufflait dans son corps tel une douce caresse. Tendre, mais mortellement douloureuse alors qu'il regardait la jeune femme se vider de son sang. Pour lui.
Au bout d'un petit instant, la liaison magique disparut. Gray trouva la force de bouger, il la puisa tout au fond de lui même et força ses muscles usés et fatigués à se mouvoir. Avec tout le respect qu'il lui devait, il attrapa la jeune femme décédée de ses mains tremblantes, et l'amena contre sa poitrine comme s'il s'agissait d'un jeune bébé. Ses propres doigts, sales et pleins de sang caressèrent sa peau laiteuse souillée par la bataille. D'un geste tendre, il passa doucement sur les entailles qu'il lui avait lui-même infligées.
Il s'en voulut, et la sensation de culpabilisation tordit son ventre et son cœur.
Elle ne pouvait pas être partie.
Elle n'aurait pas voulu partir maintenant.
Tenant son corps frêle contre le sien, Gray plongea sa tête dans ses cheveux bleus tandis qu'il la berçait, d'avant en arrière. Il avait l'impression qu'on lui déchirait le cœur, qu'on torturait son âme, et que sa vie était terminée. Tout le monde l'avait quitté, il avait toujours été sans famille, et lorsqu'il envisageait enfin un futur, celui-ci lui était arraché.
Gray huma l'odeur de ses cheveux, et il sentit les larmes couler sur ses joues et des sanglots gutturaux sortir de sa gorge alors qu'il comprenait qu'il ne la verrait plus jamais.
Son sourire lumineux s'éteignait pour toujours.
Gray hurla.
***
– Dis maman, c'est quoi aimer ?
Mika Fullbuster mit quelques instants à comprendre que son fils de cinq ans, Gray, venait de lui parler. Mais quand l'information lui monta enfin au cerveau, elle cligna deux fois des yeux et baissa son livre qu'elle posa sur la table à manger, après avoir marqué sa page. Le petit garçon avait ses deux petites mains sur les genoux de sa génitrice, et la regardait de deux grands yeux grisâtres inquisiteurs. La jeune femme sourit en voyant son fils unique la regarder de cette façon, et elle l'attrapa sous les aisselles avant de le placer sur ses genoux.
– Pourquoi cette question, chéri ? le questionna-t-elle de sa voix douce.
– C'est Lia, elle m'a dit "je t'aime", ou un truc du genre, dit-il avec nonchalance. Moi aussi je l'aime, ça veut dire qu'on est amoureux ?
La femme aux cheveux roux rit doucement en entendant son bébé se questionner sur des questions si matures. Gray avait toujours été ainsi. Très silencieux, mais très curieux sur le monde qui l'entourait. Cela lui arrivait parfois de simplement s'installer dans l'herbe du jardin, et de contempler le paysage montagnard pendant de nombreuses minutes, voir de nombreuses heures sans interruption, s'émerveillant simplement du monde qui l'entourait. Et ensuite, il allait questionner ses parents sur toute sorte de choses qu'il avait pu apercevoir.
Lia Alrcric était une petite fille blondinette de sa classe, et elle avait de grands yeux bleus qui faisaient tomber tous les garçons. Les enfants de la classe de Gray se disaient alors tous amoureux de la fillette, au même titre que le Fullbuster lui-même. Cependant, Mika ne pouvait nier que c'était une petite fripouille, et qu'elle se plaisait bien à jouer avec tous les garçons de sa classe en changeant d'amoureux toute les semaines, plongeant son dévolu sur un nouveau petit garçon à chaque fois. Cela devait être bien la cinquième fois qu'elle avouait son amour à Gray depuis le début de l'année scolaire.
Gray fronça les sourcils en constatant que sa mère ne lui répondait pas. Le petit garçon gonfla les joues, et il essaya de capter le regard rêveur de sa mère qui regardait ailleurs. Il rouspéta en croisant les bras sous son petit torse, et c'est à ce moment là que Mika se rendit compte qu'elle le faisait patienter depuis qu'il lui avait posé sa question.
Il ressemblait à Silver, en fronçant les sourcils ainsi.
– Désolé mon cœur, je pensais à ton papa, expliqua-t-elle avec son sourire rieur.
Le petit garçon sembla réfléchir un instant. Comme son géniteur, il mit sa main sous son menton, fouillant activement ses méninges. Puis, il sembla avoir une révélation, et il s'exclama :
– Papa et maman sont amoureux, n'est-ce pas ?
– Bien sûr, assura Mika.
– Ça veut dire que vous resterez ensemble pour toujours ?
Comme toujours lorsqu'elle parlait avec son fils, Mika hocha la tête tout en abordant un joli sourire. Le petit brun sembla satisfait de la réponse, et il s'agita un peu, tout heureux.
– Donc je vais rester avec Lia pour toujours ?
La jeune femme aux boucles rousses fronça les sourcils, et son regard vert se perdit sur le mur derrière Gray. Après quelques instants de réflexion, elle dit :
– Peut-être que oui, peut-être que non. Tout ce que je peux te dire, c'est qu'un jour, tu trouveras quelqu'un de spécial. Même si la vie est compliquée, cette personne restera avec toi, et elle te soutiendra.
Cela sembla totalement embrouiller le petit qui abordait toujours le même froncement de sourcils.
– Je comprends rien, maman !
Mika répondit simplement par un rire cristallin qui s'éleva dans la pièce.
***
Le sang. Les cris. La douleur renversant l'estomac. Les flammes. La destruction. La désillusion, le désespoir, les larmes. Et puis la mort.
Partout, partout, partout.
La petite main du garçonnet de neuf ans tremblotait. Elle était tâchée de sang aussi, le sien, et celui de la femme devant lui. Ses minuscules doigts enlaçaient ceux de la femme rousse qui lui avait donné la vie, et il enserrait sa main avec désespoir. Comme si avec la pression qu'il exerçait, elle allait se lever et lui dire que tout allait bien. Qu'ils allaient partir de ce champ de bataille horrible, cet affreux patelin autrefois si paisible maintenant jonché de cadavres. Qu'ils allaient trouver son papa et qu'ils partiraient tous les trois très loin, vivre une vie paisible comme ils l'avaient toujours fait.
La poutre de leur maison était tombée sur le dos de Mika qui ne pouvait plus bouger un seul muscle. Elle avait à peine la force de bouger ses yeux et sa bouche, et peut-être ses bras si elle rassemblait toutes les forces qui lui restaient.
C'était fini pour elle, elle devait s'y résoudre.
– Maman ? appela la voix tremblotante de Gray qui semblait essayer de se persuader que tout allait s'arranger. Comme s'il essayait de repousser la fatalité. L'écrasante vérité.
Mika ouvrit les yeux avec un effort colossal et elle regarda son petit garçon qui lui tenait la main, le visage baigné de larmes. Elle toussa, et se força à sourire à la prunelle de ses yeux.
– Mon amour... murmura-t-elle avec douceur. Gray...
Rassuré que sa mère retrouve un peu ses esprits, il serra sa main plus fort et entreprit de dégager la poutre qui l'avait assommée, mais Mika l'en empêcha.
– Gray, tu dois fuir, dit-elle fermement. Va retrouver papa, et partez tous les deux.
Le petit garçon secoua la tête de droite à gauche.
– Tu m'as toujours dit de ne pas dire de bêtises, alors pourquoi t'en dis ? cria le petit garçon en reniflant. Viens avec moi, on va trouver papa et partir ensemble !
Résignée, Mika ferma les yeux dans un geste de négation bien défini. Sa vie prenait fin, elle le sentait dans ses entrailles. Elle était sûrement paralysée au niveau de ses membres inférieurs – si elle les avait encore – et la plaie ouverte par les débris qui lui étaient tombés dessus lui avait fait perdre trop de sang. Elle ne pouvait même pas se lever pour partir avec son fils, et Déliora finirait sûrement par revenir. Elle devait le faire partir pour ne pas qu'il y passe lui aussi.
– Gray, tu vas m'écouter attentivement, fit-elle, haletante. Tu vas courir le plus loin possible d'ici. Si tu trouves ton père sur le chemin, pars avec lui. Sinon, pars seul, mais il faut que tu t'en ailles.
– Mais maman...
– Il n'y a pas de mais, Gray ! Va-t-en je te dis !
Les larmes coulèrent de plus belle sur le visage de Gray qui sanglotait bruyamment, et il amena la main de sa génitrice sur ses yeux. En sentant la fraicheur des larmes de son enfant, Mika sentit ses yeux devenir humides à leur tour.
D'habitude, elle ne pleurait pas. Elle n'était pas comme Silver qui exposait ses émotions et souriait en permanence. Elle était plus renfermée et taciturne. Elle était malheureusement rabat-joie parfois, mais elle était comme ça.
Gray était comme son père, lui. Mais allait-il le rester après ça ?
En voyant que son fils n'avait pas bougé et pleurait toujours sur son corps, Mika releva le visage du garçonnet à l'aide de sa main et se força à lui sourire.
– Je t'aime. Je t'aime tant...
Gray la regarda et enfouit de nouveau sa tête dans la douceur de la main de sa mère. Elle caressa sa joue avec son pouce.
La tendresse d'une mère. L'amour qu'elle lui portait.
– Maman...
– Gray, écoute-moi, lui insuffla-t-elle avec affection. J'ai besoin que tu entendes ce que j'ai à dire.
Alerte, Gray ouvrit ses yeux plus grand et renfila en regardant sa maman.
– Je suis désolée, mon chéri. Désolée de ne pas pouvoir te voir grandir ni t'accompagner dans chaque étape de ta vie comme le devrait une mère. Je vais devoir te quitter ici.
Les sanglots du petit garçon se firent plus fréquent, tandis qu'il assimilait doucement les informations, se murant dans un mutisme douloureux.
– Je suis sûre que tu vas devenir un homme remarquable, je suis juste déçue de ne pas pouvoir te voir grandir. J'aurais tant aimé... Tant aimé... elle renifla et serra la main de son fils. Tu vas te faire des amis, je suis sûre que tu trouveras de vraies personnes qui seront là pour toi et qui t'accompagneront dans les moments difficiles de ta vie. Et surtout, tu trouveras une personne qui t'aimera et que tu aimeras en retour.
Elle caressa une dernière fois la pommette rougie de son fils, puis, sa main tomba. Ses forces étaient épuisées, et elle ne se sentait plus capable de bouger un seul muscle. Avec fatalité, son destin la rattrapait, et elle sentait doucement ses dernières forces la quitter.
– Je suis sûre que tu seras un père remarquable, lui murmura-t-elle avec tendresse. J'en suis persuadée.
Gray l'enlaça et posa sa tête au creux de son cou, la serrant contre son petit corps tremblotant. Il respira une dernière fois son parfum. Celui d'une mère, et celui qui avait toujours constitué un cocon rassurant dans lequel il se nichait toujours lorsqu'il se sentait mal.
Dernier soupçon d'innocence.
Dernière fois qu'il se nichait dans ses bras, au milieu de ce macabre désespoir.
Dernière fois qu'il voyait celle qui lui avait donné la vie.
– Alors je t'en prie, Gray...
Il se redressa un peu pour écouter les dernières paroles de Mika.
Il se sentait déjà seul. Si seul.
Mais il ne devait pas baisser les bras. Malgré cela, il allait devoir avancer. Mais comment continuer à vivre après ce massacre ? Après qu'on lui ait retiré son innocence à seulement neuf ans ?
Allait-il s'en remettre, un jour ? Pourra-t-il vivre une vie normale ?
L'abandon.
Il avait envie de hurler.
– Vis...
Gray se réveilla en sursaut, le corps baigné de sueur. Tout son être fut agité de spasmes quelques instants et il agrippa les draps sous lui. Puis, il se redressa prestement et regarda autour de lui, paniqué.
Était-ce un rêve ?
Non, un souvenir ?
***
– Gray-sama. Gray-sama, revenez à vous.
C'est à ce moment là qu'il remarqua les mains douces de Juvia sur ses joues, et son sourire inquiet devant lui. Uniquement vêtue de sa nuisette, les cheveux en bataille, elle était assise à ses côtés et attendait patiemment qu'il reprenne ses esprits. Sa main caressa l'épiderme des joues imberbes du brun tandis qu'elle l'allongeait doucement sur son propre corps, nichant sa tête entre ses seins. Tout contre son corps, le jeune homme sembla commencer à se calmer progressivement, sa respiration pantelante redevenait calme petit à petit.
Juvia ajusta le drap sur leurs corps, et elle caressa le dos du garçon tandis qu'elle caressait ses cheveux d'une manière apaisante. Gray commença à se souvenir d'où il était, et de ce qu'il faisait avec la jeune femme. Elle était sa petite amie depuis trois ans, et ils avaient tout deux survécu après la bataille d'Alvaress. Même s'ils avaient eu d'horribles blessures, ils s'en étaient sortis.
Mais ce souvenir continuait de le hanter.
– Encore le même cauchemar ? souffla Juvia tout en se blottissant contre lui.
Il acquiesça, et ils se turent un instant, profitant d'un silence agréable et reposant. Gray s'endormait presque, au creux de ses bras, mais la sueur de son corps le faisait frissonner. Juvia ne tarda pas à le remarquer, et elle lui fit signe de se lever, tandis qu'elle faisait de même.
– Allons prendre une douche, ça vous fera du bien, assura-t-elle avec un joli sourire, presque maternel.
– A trois heures du matin ? rétorqua Gray, presque amusé alors qu'il arquait son sourcil.
Il savait que Juvia le trouvait charmant ainsi.
– Bien sûr, répondit la jeune femme tout en se dirigeant vers la salle de bain, faisant onduler ses hanches de manière exagérée alors qu'elle marchait.
Le jeune homme rit un petit peu, et il décida alors de la suivre, bien intéressée par sa petite proposition.
Grâce à elle, sa vie était enfin meilleure. Elle était enfin ce qu'il avait toujours voulu.
Ils pansaient leurs blessures ensemble.
***
Voici un écrit pour lequel j’avais fait de la pub il y a quelques temps de ça, et j’ai finalement décidé de le poster ici ! J’espère que je pourrai écrire quelque chose de sympa dans peu de temps... J’avoue que j’ai un peu de mal avec les cours.
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