#mangeuse de cerveau
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đŽ Kinnereth : Une autre personne a Ă©tĂ© hospitalisĂ©e pour une dangereuse infection amibe
La troisiĂšme victime de la baignade Ă Kinneret, un jeune homme qui nageait sur la plage de Gai, a Ă©tĂ© hospitalisĂ©e Ă lâhĂŽpital de HaĂŻfa. Un garçon atteint de mĂ©ningo-encĂ©phalite, qui nageait Ă©galement sur cette plage, a Ă©tĂ© hospitalisĂ© Ă lâhĂŽpital Ziv de Safed dans un Ă©tat trĂšs grave. Le ministĂšre de la SantĂ© a fermĂ© mercredi la plage de Kinneret, au sud de TibĂ©riade, pour des testsâŠ
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DoctoVide (sketch théùtre)
Description :
Le lieu est une salle d'attente de clinique ou laboratoire médical. Il y a deux personnages ; un(e) Patient(e) plutÎt détendu(e) et rieur(euse), et un(e) Médecin de trÚs mauvaise humeur. Le Patient a un smartphone, le Médecin possÚde des lunettes (rangées dans une poche au début).
Script :
Patient est assis seul et parle en visio sur son téléphone. (Médecin entre au cours de la derniÚre phrase du monologue.)
P : AprĂšs j'lui ai dit, mon bonhomme, si tu veux mon opinion franchement, j'te la donne. Il m'a dit okĂ©, franchement. Alors j'lui ai dit, eh bĂ©, ta sculpture c'est le fils de Quasimodo et Elephant Man ! Le gars y a cherchĂ© ça sur TerraNet, pour voir de quoi j'parle. Et lĂ il m'a dit, mais c'est nul ton critique, t'es invivable comme personne ! Il m'a insultĂ© un peu pis il m'a raccrochĂ© au nez. (Il se marre ; entrĂ©e de MĂ©decin.) T'imagines le mec, y me demande mon avis et aprĂšs y m'insulte parce que j'lui ai dit ! M : Et encore, je suis sĂ»r qu'il se retenait. P : Ah toi ! Salut, qu'est-ce tu fais ici ? M : Je travaille. Ca se voit comme le nez sur la figure, non ? P : Tu fais des heures sup' ? Tes horaires normales, c'est- M : Il n'y a pas d'horaire normale ici. Je suis mĂ©decin, pas comptable. P : Bwof ! mĂ©decin, banquier, policier, terroriste. Tout le monde a ses heures d'ouverture, non ? (Au tĂ©lĂ©phone : ) Ah, Ă propos d'ouverture. FĂ©lix, comment se passe ton machin ? M : Je remplace une collĂšgue malade. P : Ouais ? Qu'est-ce qui arrive au "mĂ©decin, guĂ©ris-toi toi-mĂȘme" ? (Il fait un clin d'oeil au tĂ©lĂ©phone, puis le tourne vers MĂ©decin.) M : Heureux soit celui qui connaĂźtra jamais quelqu'un comme toi. P : HĂ©, si t'es venu me ruiner le moral, faudra trouver mieux ! M : Alors Ă©coute celle-ci ; c'est moi qui suis ton dossier.
P (au tĂ©lĂ©phone) : J'te rappelle. (Il raccroche et le range.) T'es sĂ©rieux ? M : T'es le clown de service, pas moi. P (se levant) : T'as pris la responsabilitĂ© de mon dossier ? M : Faut bien te surveiller, et personne te connaĂźt mieux que moi. P : Mais c'est gĂ©nial ! Alors, c'est toi et moi ici ? M : Oui, malheureusement oui. P : C'est comme au bon vieux temps, tu te souviens ? M : Je me souviens que t'avais attrapĂ© des amibes mangeuses de cerveau. P : Ah ouais, c'Ă©tait ma vingt-troisiĂšme anniversaire ! M : Les pauvres, elles ont dĂ» crever de faim lĂ -dedans. P : Ah ah ! C'est qui le clown maintenant ? M : Tu passais ton temps Ă faire le malin pendant que je me tuais Ă te sauver les fesses. Oui, je m'en souviens comme si c'Ă©tait hier. Parce que c'Ă©tait hier ! P : Ah ouaiiiii ! J'espĂšre que papy nous en veut pas ? M : Juste toi, et arrĂȘte de l'appeler papy, ça me perturbe. P : Ohh, mais c'est qu'il est soupe au lait, le brillant esprit scientifique !
M (sortant ses lunettes) : Je disais donc, ton dossier⊠(Il les met et commence Ă tapoter une des branches.) P : Ah ça y est, c'est l'esprit analytique qui revient. M : Bon, Fleury-Michon et Charal et compagnie, passe la pub. Ah ! (Il cesse d'appuyer et se concentre.) Ils ont pas encore tout terminĂ©. HĂ©maties normal, densitĂ© normale, taux de stress - bon, je sais bien que tu prends jamais rien au sĂ©rieux, alors⊠P : Ouais, ça s'appelle ĂȘtre calme. Tu devrais essayer aussi, un de ces jours. M : Tiens, il y a encore des traces de trypanosine. T'aurais pas refait une sortie spatiale la semaine derniĂšre ? P : Une sortie ? Meuh non, pas du tout. M (retirant les lunettes et pointant vers ses yeux) : Regarde-moi, lĂ . LĂ , dans les pupilles. P : Ouais. M : On t'a proscrit les sorties. P : Ouais. M : Les vols et missions en station, c'est permis. Mais pas la sortie en scaphandre. P : Beh, j'suis pas sorti en scaphandre. M : Ni la tĂ©lĂ©portation ! Pas de sortie et pas de zap, pendant trois semaines au moins. P : J'te dis que j'ai pas fait ! M : Alors, cette trypanosine ? Elle pousse dans ton jardin, peut-ĂȘtre ? P : P'tĂȘt ben qu'oui, p'tĂȘt ben qu'non.
M : Toi, je te jure⊠(Il remet les lunettes, et tapote.) Raaah, j'm'en tape de tes Pfizer et tes Comme J'aime et tes extensions phalliques ! P : Faudrait quand mĂȘme que ton service, y s'abonne au premium. Toutes ces pubs, ça te- M : Ah voilà ⊠Hah ! De l'iridium dans ta peau, je le savais ! (Il retire sĂšchement les lunettes.) T'es sorti, et sans aucune scaphandre, j'en Ă©tais sĂ»r ! Et tu joues l'innocent ? P : Ah, mais pas du tout. M : Tu mens Ă ton mĂ©decin ! P : T'avais bien dit, en scaphandre. Et j'avais pas fait ça. M : Joue pas au con avec moi ! T'es sorti dans l'espace, sans protection. Alors qu'un nexus traverse le systĂšme solaire ! P : Ben, et alors ? M : Un nexus d'un dĂ©calage temporel jamais vu, qui laisse les chrono-enquĂȘteurs sans voix ! P : Bwof, c'est rien ça. Au pire, ça fait vivre une semaine ou deux Ă l'envers, puis on s'en remet.
M (remettant les lunettes) : Je dĂ©clenche la procĂ©dure de quarantaine organo-causale. (Il saisit Patient.) Suis-moi bien gentiment, et surtout ne touche Ă rien ! P : T'exagĂšres, je vais bien. T'as vu mes tests, non ? M : Justement, il faut un examen pour syncope cardiaque et test d'intoxication chronogĂ©nique. Je te jure, si tu t'es fourrĂ© dans une dĂ©chirure temporelle, je te bute ! P : Eh, tu vas me taper dessus ? Ca va pas Ă l'encontre de ton truc, lĂ ? Comment s'appelle, le machin d'Hippocrate ? M : Oui eh ben, c'est soit ça soit je te laisse te foutre dans un paradoxe de plusieurs mois. Et Ă ta sortie, ce sera Ă moi de resynchroniser toutes tes cellules, une par une ! Je veux bien te voir aussi misĂ©rable que les gens qui t'aiment, mais avoue qu'il vaut mieux te cogner que- P : Oh attends ! M : Quoi encore !? P : T'as dit que tu m'aimes ? Oh, t'es tellement sympa, j'ai toujours dit- M (poussant Patient) : Tu la fermes et tu te laisses gentiment- P : âŠgentiment emmener en quarantaine. Ouais j'connais le refrain. M : Comme si c'Ă©tait une bonne choseâŠ
Les deux sortent.
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"Un habitant de GĂ©orgie est dĂ©cĂ©dĂ© des suites d'une infection Ă Naegleria fowleri, une infection rare qui dĂ©truit les tissus cĂ©rĂ©braux, provoquant un gonflement du cerveau et gĂ©nĂ©ralement le dĂ©cĂšs", a annoncĂ© vendredi le dĂ©partement de la SantĂ© dans une dĂ©claration de presse."L'individu a certainement Ă©tĂ© infectĂ© alors qu'il nageait dans un lac ou un Ă©tang d'eau douce en GĂ©orgie."L'amibe peut provoquer une infection rare du cerveau potentiellement mortelle. (Centres amĂ©ricains de contrĂŽle des maladies)Naegleria fowleri est une amibe qui vit dans le sol et les lacs d'eau douce chaude, les riviĂšres, les Ă©tangs et les sources chaudes. On ne le trouve pas dans l'eau salĂ©e, l'eau potable correctement traitĂ©e ou les piscines, d'aprĂšs le dĂ©claration."Avant ce nouveau cas confirmĂ© d'infection Ă Naegleria fowleri, cinq autres cas ont Ă©tĂ© signalĂ©s en GĂ©orgie depuis 1962", indique le dĂ©claration.De 1962 Ă 2021, seules quatre personnes sur 154 aux Ătats-Unis ont survĂ©cu Ă une infection par amibe mangeuse de cerveau, ont rapportĂ© les Centers for Disease Control and Prevention des Ătats-Unis.Plus tĂŽt ce mois-ci, la Division de la santĂ© publique et comportementale du Nevada a annoncĂ© qu'un garçon de deux ans Ă©tait dĂ©cĂ©dĂ© d'une infection Ă l'amibe mangeuse de cerveau, certainement contractĂ©e dans une source chaude naturelle.En fĂ©vrier, des responsables de la Floride ont annoncĂ© qu'un rĂ©sident Ă©tait mort de l'amibe aprĂšs un rinçage des sinus Ă l'eau du robinet.Les signes et symptĂŽmes d'infection sont initialement des maux de tĂȘte sĂ©vĂšres, de la fiĂšvre, des nausĂ©es et des vomissements et ils peuvent Ă©voluer vers une raideur de la nuque, des convulsions, des hallucinations et un coma.L'infection est traitĂ©e avec une combinaison de mĂ©dicaments, y compris l'antibiotique azithromycine, le fluconazole antifongique, le mĂ©dicament antimicrobien miltĂ©fosine et le corticostĂ©roĂŻde dexamĂ©thasone.Inscrivez-vous ici pour recevoir nos newsletters quotidiennes et nos alertes d'actualitĂ©s, envoyĂ©es directement dans votre boĂźte de rĂ©ception.
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Jâai retrouvĂ© dans un coin au fond de ma mĂ©moire, une petite fille avec qui jâaimais voyager.
Elle ne portait jamais le mĂȘme prĂ©nom mais avait toujours ce cĂŽtĂ© pĂ©tillant, curieux et intelligent formant sa force, nous poussant aussi Ă la suivre dans les histoires les plus folles.
En vieillissant, la petite boucle dâor mangeuse de soupe devenait ainsi Alice visitant le pays des merveilles puis Alice droguĂ©e Ă lâherbe bleue. Plus tard, elle sâappelait entre autre Susie Salmon, lâange nostalgique. Dans ce recoin de mon cerveau, jâai de nouveau ressenti cet air Ă©trange qui envahissait mes poumons quand jâangoissais pour elle ou encore cette sensation de dĂ©coller sur un tapis volant afin dâoublier mon entourage. Il y avait aussi un parfum nostalgique venu des annĂ©es 70s, une odeur de pantalon patte dâeph velours, de sous-pull marron et dâhuile de moteur de CitroĂ«n 2CV.
Maintenant, la petite fille a encore grandi et je suis décidé à écrire la suite de ses aventures, ou au moins, une histoire de plus dans sa vie.
Alex@r60 â Novembre 2018
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Comment le changement climatique favorise l'amibe "mangeuse de cerveau" aux Ătats-Unis
La hausse des températures favoriserait la prolifération d'une amibe "mangeuse de cerveau", qui se forme dans les source
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đșđž Un enfant succombe Ă lâaction dâune amibe âmangeuse de cerveauâ aprĂšs une baignade
đșđž Un enfant succombe Ă lâaction dâune amibe âmangeuse de cerveauâ aprĂšs une baignade
Lâamibe âmangeuse de cerveauâ a encore frappĂ©. Un enfant a en effet succombĂ© Ă lâinfiltration de lâorganisme unicellulaire quelques jours Ă peine aprĂšs une baignade dans une riviĂšre du Nebraska, aux Ătats-Unis. Le drame a eu lieu dans le comtĂ© de Douglas, le 8 aoĂ»t dernier. La victime, dont lâĂąge nâa pas Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ©, se baignait dans la riviĂšre Elkhorn. Quelques jours plus tard, lâenfant aâŠ
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Ce matin ma petite de 7 ans insistait pour savoir comment câĂ©tait un cerveau.
Et jâai pu lui indiquer avec prĂ©cision la couleur, la forme, la texture et ... le gout. Oui, le gout ! Parce que dans les annĂ©es 80 on mangeait de la cervelle dâagneau de façon courante.
Donc....
Je suis une mangeuse de cerveau.
#en vrai c'est pas terrible#mais j'en ai quand mĂȘme mangĂ©#cerveau#cuisine#zombie#zombies#80s#recette#degueue#tadaaaaa
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âïžQuelle belle journĂ©e aujourd'hui đ. âïž Pour moi jour de pesĂ©e, ceux et celles qui me suivent depuis un certain temps ont compris que j'ai souvent des hauts et des bas dans mon contrĂŽle de poids car je suis une mangeuse compulsive... đ„€GrĂące au programme de rĂ©Ă©quilibrage alimentaire que je suis depuis 3 ans, j'ai appris Ă©normĂ©ment de choses sur la nutrition et en un an et demi j'ai perdu 28,6kg assez facilement, c'est aprĂšs que les choses se compliquent. đ± Chaque fois que la balance indique le chiffre 6, je replonge dans mes mauvaises habitudes grrr, mon cerveau refuse de me laisser ce bonheur de garder ce chiffre tant convoitĂ© (60kg), parce que ça voudrait dire que je devrais faire face Ă mes soucis quotidiens... đ€·C'est tellement plus simple de les enfuir sous la nourriture compulsive... âĄïžPourtant c'est loin d'ĂȘtre la meilleure solution car cela ne changera pas le fait que comme tout le monde, j'ai des soucis et en plus ce n'est pas en mangeant n'importe quoi qu'ils disparaĂźtront... 0ïžâŁ Donc on reprend tout Ă zĂ©ro avec un poids dont je ne suis pas fiĂšre malgrĂ© qu'en 2 semaines j'ai perdu 900g... (75kg) đObjectif bikini et me rapprocher un maximum des 60kg pour m'y aider je pense 59kg, pour fin juin. DĂ©tox sans fĂ©culents et reprise de myfitnespal. Let's go. #dĂ©toxzĂ©rofĂ©culents #saladescomposĂ©es https://www.instagram.com/p/CLjjy7LJ1UC/?igshid=r8xvgokykkdt
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Ătude des CDC : Les amibes mangeuses de cerveau se rĂ©pandent aux Ătats-Unis Selon une nouvelle Ă©tude des CDC, Naegleria fowleri, ou âlâamibe mangeuse de cerveauâ, se propage aux Ătats-Unis. Selon une nouvelle Ă©tude rĂ©alisĂ©e par des chercheurs des Centers for Disease Control and Prevention (CDC), Naegleria fowleri, ou âlâamibe mangeuse de cerveauâ, se rĂ©pandâŠ
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L'amibe mangeuse de cerveau gagne du terrain aux Ătats-Unis.
Connue comme un «mangeur de cerveau», l'amibe Naegleria fowleri a commencĂ© Ă se propager dans certaines parties du nord des Ătats-Unis, bien qu'elle vive dans de l'eau chaude et douce, ont dĂ©couvert les chercheurs.Chercheurs des Centers for Disease Control and Prevention (Centres pour le ContrĂŽle et la PrĂ©vention des catastrophes) des Ătats-Unis ont dĂ©couvert que l'amibe mortelle «mangeuse de cerveau» avait commencĂ© Ă se propager dans les rĂ©gions du nord du pays, rapporte Livescience. Le micro-organisme Naegleria fowleri, qui vit dans l'eau douce chaude, a causĂ© des infections plus frĂ©quemment dans les Ătats du sud des Ătats-Unis. Il peut constituer une menace lorsqu'il pĂ©nĂštre dans le corps par le nez pour attaquer le cerveau, provoquant une mĂ©ningo-encĂ©phalite amibienne primaire qui dĂ©truit les tissus cĂ©rĂ©braux. Les scientifiques ont analysĂ© les cas de cette mĂ©ningo-encĂ©phalite enregistrĂ©s depuis quatre dĂ©cennies. Bien que le nombre annuel d'infections reste le mĂȘme, leur gĂ©ographie change. Migration vers le nord L'Ă©tude montre que l'habitat de Naegleria fowleri se dĂ©place vers le nord, avec plus de personnes dans le centre des Ătats-Unis souffrant de la maladie. La mĂ©ningo-encĂ©phalite amibienne est presque toujours mortelle, et l'amibe est connue comme un «mangeur de cerveau». Comment l'infection se dĂ©veloppe Le micro-organisme pĂ©nĂštre dans le corps humain si la personne inhale accidentellement l'eau qui le contient. L'am Read the full article
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Une amibe mangeuse de cerveau responsable de la mort dâun enfant au Texas
Une amibe mangeuse de cerveau responsable de la mort dâun enfant au Texas
Une amibe responsable dâune maladie mortelle qui dĂ©truit les tissus cĂ©rĂ©braux a Ă©tĂ© repĂ©rĂ©e dans lâeau courante dâune ville texane. Les autoritĂ©s ont dĂ©tectĂ© cette contamination aprĂšs la mort dâun enfant de six ans qui a succombĂ© Ă cette maladie trĂšs rare.
Une amibe âmangeuse de cerveauâ responsable de la mort dâun enfant au Texas
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Autre cas suspect d'amibe « mangeuse de cerveau » : un garçon israélien de 10 ans dans un état grave
Câest le deuxiĂšme cas dâinfection par une amibe Ă Naegleria fowleri ces derniĂšres semaines en IsraĂ«l. Un garçon de 10 ans est hospitalisĂ© dans un Ă©tat grave. Un homme de 25 ans a contractĂ©Â lâamibe aprĂšs avoir nagĂ© dans le Kinneret en juin. Lâamibe, que lâon trouve dans lâeau douce et chaude, pĂ©nĂštre dans le cerveau par les voies nasales, aprĂšs quoi elle commence littĂ©ralement Ă se nourrir duâŠ
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Une Américaine de 10 ans succombe à une amibe "mangeuse de cerveau" https://ift.tt/2O9ee2f
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USA: Lily Mae Avant, une fillette de 10 ans, contracte une amibe mangeuse de cerveau en nageant dans la riviĂšre Brazos
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france : Une Américaine de 10 ans succombe à une amibe « mangeuse de cerveau » info247
france : Une Américaine de 10 ans succombe à une amibe « mangeuse de cerveau » info247
Une petite AmĂ©ricaine qui sâĂ©tait baignĂ©e dans un cours dâeau au Texas est morte ce lundi aprĂšs avoir contractĂ© une infection due Ă une amibe âmangeuse de cerveauâ, ont annoncĂ© sa famille et plusieurs mĂ©dias.
Lily Mae Avant, 10 ans, avait commencĂ© Ă avoir des maux de tĂȘte le 8 septembre, rapidement suivis dâune fiĂšvre. AprĂšs son hospitalisation dâurgence, les mĂ©decins avaient dĂ©couvert laâŠ
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Commentaires : Pourquoi il ne faut pas avoir peur de l'amibe « mangeuse de cerveau » dont tout le monde parle
@numerama a Ă©crit :
Un homme se baignait paisiblement, en juillet, dans la piscine dâun parc aquatique en Caroline du Nord (Ătats-Unis). Il en est mort dix jours plus tard aprĂšs avoir Ă©tĂ© infectĂ© par une Naegleria fowleri, une amibe « mangeuse de cerveau ». Avec ce scĂ©nario entre la SF et lâhorreur, il nâen fallait pas plus pour crĂ©er une vague dâinquiĂ©tude. Mais ne paniquez pas, la probabilitĂ© de subir le mĂȘme sort est particuliĂšrement infime. Ce micro-organisme provoque une pathologie nommĂ©e MĂ©ningo-encĂ©phalite amibienne primitive.âŠ.
Par Marcus Dupont-Besnard Revenir Ă lâarticle
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from Sur Numerama - Numerama
@numerama a Ă©crit :
Un homme se baignait paisiblement, en juillet, dans la piscine dâun parc aquatique en Caroline du Nord (Ătats-Unis). Il en est mort dix jours plus tard aprĂšs avoir Ă©tĂ© infectĂ© par une Naegleria fowleri, une amibe « mangeuse de cerveau ». Avec ce scĂ©nario entre la SF et lâhorreur, il nâen fallait pas plus pour crĂ©er une vague dâinquiĂ©tude. Mais ne paniquez pas, la probabilitĂ© de subir le mĂȘme sort est particuliĂšrement infime. Ce micro-organisme provoque une pathologie nommĂ©e MĂ©ningo-encĂ©phalite amibienne primitive.âŠ.
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