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#mandchou
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A city made of ice in Harbin Mandchou Chine 🇨🇳 that's built annually and will melt away after 3 months
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2t2r · 3 years
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Des photographies de la Chine des années 1870 par John Thomson
Nouvel article publié sur https://www.2tout2rien.fr/des-photographies-de-la-chine-des-annees-1870-par-john-thomson/
Des photographies de la Chine des années 1870 par John Thomson
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Terra incognita: Zwierzę rruugee, o skrzydlatych i wygasły gatunek Psephurus sp.
Design odkrywcy: dzienniki naukowe quatla. Artykuł zero w ramach Sheet of instructions. Podtytuł: Własność intelektualna dotyczy odkryć zoologicznych w Państwie Czterech Wynalazków, ale zbyt mało wiemy o tej części świata .......
W lasy ogromnego Qin-lingu nadeszła już jesień. Trwa zrównoważona wycinka drzew. Na polach dobrze prosperuje idée fixe. To orka gleby, gdzie spostrzegamy gatunki udomowione. Podróżując przez hipotetyczny jar Yin and Yang natknąć się można na kopalnie, gdzie pozyskuje się platynę, iridium oraz baryt. Czy działa tam rafineria petroleum (ropy naftowej) ?
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Obfite zasoby naturalne uczyniły Qin-ling domem dla niezliczonej flory i fauny, takiej jak Andrias davidianus. Drwale i myśliwi z wiosek oddalonych od wielkich ośrodków miejskich, opisywali oprócz dobrze nam znanych i rzadkich zwierząt, także gatunki, o których nauka nic nie wie. Jest wśród nich gatunek grzywiastej wiwery, wydającej odgłosy *rruugee- rruugee- rruugee*. Jest to zwierzę, którego futro pokazywał zoologom jeden z krajowców (fake literature ?).
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Żyzny Korytarz Hexi to kraina dobrze spożytkowanej uprawy zbóż oraz warzyw bulwiastych. W tym dystrykcie nasadza się buraki cukrowe, rzepak, ale także soję i różnorodne owoce.
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Przykładowo na zalesionych wzniesieniach Wangwu Montagne (żyjąc chyba w tzw. grottoes) oraz w ostojach ulokowanych w Górach Syczuańskich przetrwał w początkach poprzedniego stulecia rzekomo gatunek dzikiego psa, zwanego niekiedy chien-tigre. Było to zwierzę o bardzo groźnym usposobieniu. Zasięg występowania kolcoszniczki miękkowłosej (Typhlomys cinereus) jest ograniczony, jak nam wiadomo do północno - zachodniego Fukien, zwanego Regionem Kuatuny (napisane w 1933 w Journal de Chine). Alan Owston podróżując jeszcze po południowym Gan-su, odkrył trzy okazy bardzo rzadkiego, pięknego ptaka, żyjącego jakoby w tych górach. Działo się to w 1905 roku. Los wiosłonosa chińskiego (Psephurus gladius) z rzeki Yang-tze został przypieczętowany poprzez nadmierne odłowy oraz fragmentację siedlisk. Zwierzę uznane jest za wygasłe w 2010 roku (wg. opisu z kopalni wiedzy). Czy jakaś populacja przetrwała? Tropieniem tej znacznej ryby interesuje się kryptozoologia.
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*Autorem opracowania jest Tomasz Pietrzak, autor oraz zdyskryminowany polski naukowiec.*
Źródła rycin: 1. Shennongjia hotels - enericTravel at ihg.com 2. Bunting forms on chromolithograph. 3. Chinese Paddlefish, 2007 - CSMonitor.com. 4. Ursine civet by AlexSone on DeviantArt, 2011
Literatura: /// Article about Econymy of Gansu at Britannica: https://www.britannica.com/place/Gansu/Economy (date unknown) /// China Journal, 1933 /// La vie quotidienne en Chine sous les Mandchous de Charles Commeaux, Hachette 1970 ///  The Lost Ark: New and Rediscovered Animals of the Twentieth Century, 1993 /// Wiosłonosa zaczęto intensywniej ratować ..... https:// kopalnia wiedzy.pl/, 2020
Dostępne na standardach licencji Creative Commons, czyli możliwe jest przekazywanie artykułu, ale z podaniem jego autora.
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jakez19 · 1 year
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lignes2frappe · 2 years
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« ENTER THE WU-TANG (36 CHAMBERS) » : LA PALESTINE, LE KUNG-FU ET LE COMMANDANT COUSTEAU
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Mais quelle aventure que de (ré)écouter Enter the Wu-Tang (36 Chambers) !
Quand les neuf pirates de Staten Island ont pris le game par surprise le 9 novembre 1993, ils ont non seulement révolutionné la manière dont sonnait le rap, la manière dont se conduisaient les affaires dans le rap, mais aussi ce dont on parlait dans le rap.
Brassant un cocktail de références inédites, leurs textes formaient une sorte de pot-pourri de la culture bis.
Petit cours de décryptage de cet univers pas comme les autres.
La 36ème chambre de Shaolin
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La Ref’ ? : Le titre de l’album, Enter the Wu-Tang (36 Chambers)
Le premier film de la trilogie phare de la Shaw Brothers, le studio de cinéma hongkongais culte spécialisé dans les arts martiaux.
Sorti en 1978, il conte l’histoire de Liu Yu-te (Gordon Liu, l’acteur qui 25 ans plus tard interprétera à la fois le vieux maître Pai Mei et le chef de gang Johnny Mo dans Kill Bill de Quentin Tarantino), un fils de poissonnier désireux de s’initier au kung-fu afin de résister à l’envahisseur mandchou dans la Chine du 17ème siècle.
Il se convertit alors au bouddhisme et devient moine, seule façon d’intégrer le temple Shaolin, dont les fameuses 35 chambres d’entraînement permettent chacune de développer un talent spécifique (l’équilibre, la force des jambes, l’agilité des yeux, le maniement du sabre…).
Élève particulièrement doué, une fois ses cinq années d'initiation terminées, Liu Yu-te se voit proposer de prendre la tête de la chambre de son choix… ce qu’il refuse, préférant créer une 36eme chambre destinée aux laïcs.
Outre le fait d’avoir vu ce long métrage « 300 fois », RZA n’a jamais caché « la profonde influence de la Shaw Brothers » sur son travail et celui de ses pairs.
« Au sein du Wu-Tang, nous nous identifions aux villageois chinois luttant contre l’oppression mandchoue. Cela faisait écho à nos quotidiens de jeunes noirs dans une banlieue américaine. Nous aimions y voir un message universel : une détermination sans faille pouvait nous conduire à la victoire, peu importe les circonstances. »
Shaolin versus Wu Tang
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La Ref’ ? : Les extraits de dialogue entendus dans Bring Da Ruckus, Da Mystery of Chessboxin’, Wu-Tang: 7th Chamber, Clan in Da Front, Conclusion et Method Man (Remix)
Gordon Liu toujours, ce long métrage qu’il a réalisé en 1983 met en scène l’affrontement entre deux écoles d’arts martiaux rivales : Shaolin et le Wu Tang – « Wu Tong » en français, « Wu Dang » en mandarin.
Tout simplement, le film préféré de RZA.
« ‘Mystery of Chess Boxing’ a longtemps été mon numéro un. Et puis ‘Shaolin versus Wu Tang’ est sorti et a complètement changé ma perception des arts martiaux. À ce jour, c’est toujours mon film préféré, à égalité avec ‘Les Huit Diagrammes de Wu-Lang’. »
Précisons si besoin est que, si le Wu-Tang s’appelle le Wu-Tang, c’est dû à Shaolin versus Wu Tang.
« Des deux clans, c’est pour moi le Wu Tang qui avait le meilleur style en combat de sabres. La langue étant une forme de sabre et nos lyrics étant les meilleurs, nous étions de ce fait le Wu Tang. »
L’Organisation de libération de la Palestine
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La Ref’ ? : «��P.L.O. style, hazardous, ’cause I wreck this dangerous » de Ghostface Killah sur Bring da Ruckus
Organisation politique paramilitaire fondée en 1964, l’O.L.P. se veut à ses débuts un mouvement de révolte. Suite à la débâcle des armées arabes lors de la guerre des Six Jours de 1976, elle se mue sous l’impulsion de Yasser Arafat en groupe terroriste (8 000 attaques perpétrées de 1969 à 1985, 650 morts israéliens).
L’O.L.P. fait toutefois évoluer sa stratégie dans les années 80, d’une part en abandonnant publiquement la lutte armée, et de l’autre, en reconnaissant le droit d’Israël à vivre « en paix et en sécurité ».
Interlocuteur privilégié de la communauté internationale à compter de ce tournant, l’O.L.P. n’en conserve pas moins une odeur de soufre aux États-Unis, à tel point que RZA est revenu sur cette rime dix ans plus tard dans son Manuel du Wu-Tang publié en 2004.
« Nous ne supportions pas le terrorisme. Nous aimions leur style de guérilleros. Les mitraillettes, les cagoules, les bandanas… »
À sa décharge, Ghostface a longtemps porté le keffieh comme personne.
Steven Seagal dans Justice Sauvage
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La Ref’ ? : « I’m kickin’ like Seagal: Out for Justice » d’Inspectah Deck sur Bring da Ruckus
Croyez-le ou non, mais l’ami Steven n’a pas toujours été cette baderne prétentieuse star de série Z de treizième zone. Tenez-vous bien, il fut un temps, au début des années 90, où il était ce svelte jeune premier au cheveu lisse et huilé promis à la A list hollywoodienne.
Tourné entre Nico et Piège en haute mer, Justice Sauvage le voyait endosser le rôle de l’éternel flic en butte avec sa hiérarchie devant venger la mort de son coéquipier. Considéré comme un sommet de sa filmographie (ce qui équivaut à un actionner nanardesque mais sans plus), il a marqué les esprits des seagalophiles par l’usage répété de coups de pieds de la part Christ, là où traditionnellement ce dernier était plus enclin au cassage de bras – ce que le Rebel INS relève ici astucieusement en jouant du double sens du mot « kick » en anglais.
Thelonious Monk
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La Ref’ ? : Clan in Da Front qui sample Ba-Lue Bolivar Ba-Lues-Are, Shame on a Nigga qui sample Black and Tan Fantasy
Pianiste jazz de génie, il passe avec Charlie Parker et Dizzy Gillespie pour l’un des pères fondateurs du be-bop, cette forme de jazz au tempo rapide qui se caractérise par son aspect désordonné.
Reconnaissable pour son style de jeu bien à lui (dissonance harmonique, discontinuité rythmique…), Thelonious Monk a pendant la première partie de sa carrière été relativement incompris, d’autant plus que pour ne rien arranger, sa personnalité, mélange d’excentricité et d’introversion, était délicate à saisir.
Très populaire chez les rappeurs, il a notamment été samplé par DJ Premier, Madlib et Skee-Lo.
Du côté de Shaolin, outre Enter the Wu-Tang, Monk peut être entendu sur la toute première démo du groupe, Cuttin Headz, ainsi que sur le morceau du même nom d’Ol’Dirty Bastard sorti en 1995.
La Nike Air Flight 89
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La Ref’ ? : « I kick it like a Nike Flight » de Raekwon sur Wu-Tang: 7th Chamber
Commercialisé en 1989, si elle ressemble comme deux gouttes d’eau à la Air Jordan IV sortie quelques mois plus tôt, ce n’est absolument pas une coïncidence : Nike, qui depuis toujours a pour habitude de recycler les éléments de ses modèles à succès, a ici dupliqué sa silhouette, sa semelle et sa bulle d’air.
Tout comme sa grande sœur, la Air Flight est rapidement devenue un hit, se faisant voir aux pieds des rappeurs (Dr. Dre tape la pose avec, les EPMD la portent sur la pochette de leur album Unfinished Business…) et sur les parquets de la NBA (Scottie Pippen, Charles Barkley, Chris Mullin, Shawn Kemp, Reggie Miller…).
Très régulièrement rééditée dans sa version haute comme dans sa version basse, elle pâtit néanmoins de l’aura de l’AJ IV, faisant plus figure de modèle de substitution qu’autre chose pour qui a manqué la raffle.
La tribu perdue de Shabazz
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La Ref’ ? : « My rap style has the force to leave ya lost like the Tribe of Shabazz » d’Inspectah Deck sur Wu-Tang: 7th Chamber
Les textes de Enter the Wu-Tang sont parsemés de références à la doctrine des Five Percenters, cette organisation née dans les années 60 d’une scission avec la Nation of Islam dont la plupart des membres du groupe sont adeptes.
C’est par exemple U-God sur Da Mystery of Chessboxin’ qui enjoint « les diables blancs » à regagner sans ménagement les montagnes du Caucase, ou Inspectah Deck qui évoque ici l’un des mythes développés par Wallace Fard Muhammad et Elijah Muhammad, les fondateurs de la N.O.I..
Auteurs d’une relecture de l’histoire à lueur d’un mélange d’islam et d’afrocentrisme de bandes dessinées, ces derniers avancent que l’humanité descend de treize tribus originelles, toutes composées d’hommes noirs apparus il y a 66 millions d’années – avant ça, il y avait les dinosaures la Terre et la Lune ne formaient qu’une seule entité.
Shabazz, scientifique autoproclamé et chef de ladite tribu, aurait ensuite décidé de s’installer avec les siens en Afrique centrale afin de se frotter à l’inimité du climat et créer une race supérieure (?!).
Bref, vous l’aurez compris, à moins d’être une bille en météorologie et amateur de complotisme pour les nuls, ce folklore prête au mieux à sourire.
Le Thrilla in Manilla
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La Ref’ ? : « C’était moi le thriller entre Ali et Frazier à Manille » de GZA sur Wu-Tang: 7th Chamber
Peut-être le combat le plus brutal de l’histoire de la boxe.
Après s’être précédemment affronté deux reprises (une victoire chacun), Mohammed Ali, 33 ans, et Joe Frazier, 31 ans, se retrouvent à l’Araneta Coliseum de Quezón City aux Philippines, le 1er octobre 1975 à 10 heures du matin heure locale.
Sous une température qui avoisine les 50 degrés (!), les deux hommes se livrent alors à une guerre d’une violence et d’une intensité telles qu’Ali confiera qu’il s’est ce jour-là « approché au plus près de la mort ».
Dominé à l’entame du combat, Frazier lui a en effet décroché « des crochets du gauche à faire tomber les murs de la ville ».
À l’entame du dixième round, Ali réussit néanmoins à trouver la parade pour se dégager des cordes. Maintenant Frazier à distance, il le bombarde ensuite tellement de gnons au visage que ses arcades gonflent au point de l’aveugler.
C’est ainsi qu’au quatorzième round, l’entraîneur de ‘Smokin’ Joe’, Eddie Futch, décide contre l’avis de son poulain d’arrêter le combat pour le sauver de séquelles irrémédiables.
« C’est terminé. Personne n’oubliera jamais ce que tu as accompli aujourd’hui » lui glisse-t-il alors à l’oreille.
Couverts d’une gloire qui ne se dément pas depuis plus de quarante ans, Ali et Frazier en ont payé le prix fort, eux qui, aussi bien physiquement que mentalement, n’ont plus jamais été les mêmes après le Thrilla à Manilla.
Le constructeur automobile japonais Lexus
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La Ref’ ? : Raekwon qui rappe « Rap from, yo, Cali to Texas/Smoother than a Lexus » sur Shame on a Nigga, Raekwon qui rappe devant une LS 400 dans le clip de Can It Be All So Simple
Presque inconnue dans nos contrées, cette marque filiale de Toyota née en 1989 s’est très vite imposé sur le marché nord-américain des berlines premium, son modèle GS allant même jusqu’à concurrencer les sportives allemandes BMW et Mercedes sur le terrain de l’ostentation – Biggie et 2Pac en avaient fait l’une de leur caisse de prédilection.
Toute première voiture commercialisée par Lexus, la LS 400 a quant à elle nécessité la participation 60 designers, 1 400 ingénieurs et 2 300 techniciens, coûté un milliard de dollars et entraîné la création de 450 prototypes.
Fiable, confortable et silencieuse, elle a très vite rencontré un joli succès grâce à son prix de vente particulièrement attractif : 38 000 petits dollars, là où une BMW 735i en coûte 55 000 et une Mercedes 420 SEL 68 000.
[Ça, plus son caméo dans Street Fighter 2.]
Toujours en production à l’heure actuelle, elle en est depuis 2017 à sa cinquième génération.
Le commandant Cousteau
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La Ref’ ? : « Mon flow est tellement profond que même Jacques Cousteau ne peut pas descendre aussi bas » de ODB sur Da Mystery of Chessboxin’
Celle-là, il fallait la voir venir.
Le Sal’Vieux Bâtard est-il tombé sur Le Monde du silence qui en 1956 a remporté la Palme d’Or, avant d’être couronné l’année suivante meilleur film aux Oscars ? Ou a-t-il repris la rime de Biz Markie sur We Writre Songs en 1988 (« Now I’ma get deep like Jacques Cousteau ») ?
Personne n’en saura jamais rien.
Longtemps symbole de l’explorateur voguant sur les flots pour prévenir les foules du péril écologique, Jacques-Yves Cousteau a vu son héritage révisé à la baisse depuis quelques années.
En cause, son film Le Monde du silence justement, qui propose une vision toute particulière de l’écologie : la fine équipe de la Calypso y est vue surfer sur une tortue marine, achever un requin à coup de pelle, tirer au fusil sur des cachalots blessés par l’hélice du bateau, ou encore faire exploser à la dynamite un tronçon de corail (!).
Ça, et puis le financement de ses expéditions par des industriels et des compagnies pétrolières, sa complaisance à l’égard des essais nucléaires français dans le Pacifique ou son passé par forcément très net sous l’Occupation.
Évidemment, dans une époque qui ne rate jamais une occasion de juger le passé, cela fait tâche.
À la décharge du commandant au bonnet rouge, on lui doit malgré tout d’avoir été l’un des premiers à sensibiliser le grand public à la protection des fonds marins.
Le jeu d’échecs
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La Ref’ ? : La citation « Une partie d’échec est comme un combat de sabres, il est nécessaire de penser avant d’agir » qui ouvre Da Mystery of Chessboxin’
Sérieux, quand il s’agit de dropper du knowledge, personne n’arrive à la cheville du Wu.
Et le clip de Da Mystery of Chessboxin’ est au diapason, mettant en scène nos Killa Beez sur un échiquier grandeur nature.
Dr. Doom
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La Ref’ ? : « Yo, there’s no place to hide once I step inside the room/Dr. Doom, prepare for the boom » de RZA sur Wu-Tang Clan Ain’t Nuthing ta Fuck Wit
Parce qu’il n’y a pas que le kung-fu et les 5% dans la vie, les textes du Wu-Tang puisent également leur inspiration dans les comic books de chez Marvel.
Juillet 1962, cinquième numéro des Quatre Fantastiques. Un méchant recouvert d’une combinaison de fer capture la Torche humaine, la Chose et Monsieur Fantastique, et parvient à les priver de leurs pouvoirs.
Son nom ? Victor Von Fatalis, alias Dr. Doom (Docteur Fatalis en VF).
Monarque de Latvérie, un pays frontalier de la Sokovie, il est doté d’une intelligence sans commune mesure (scientifique de génie, il s’est créé une armée de cyborgs à son image, les Fatalibots) qu’il combine à des dons de sorcellerie glanés auprès de moines tibétains (genre transférer son esprit), ainsi qu’à une force surhumaine.
Super villain iconique s’il en est, son retour sur grand écran est imminent depuis que le MCU s’est payé les droits des Quatre Fantastiques.
Ne reste plus qu’à croiser les doigts bien fort pour que les débâcles de 2005 et 2015 ne se reproduisent pas, d’autant que certaines rumeurs prédisent que Doom pourrait être le Thanos de la phase 6.
Mary Poppins
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La Ref’ ? : Le « Chim-chimney, chim-chim, cher-ee » de Method Man sur Method Man
Parce que le Wu-Tang c’est pour le monde, et même « pour les enfants », quoi de plus naturel pour l’homme de la méthode que de détourner le célèbre gimmick « Chim Chim Cher-ee » de la comédie musicale de 1964 ?
Notez qu��au couplet précédent il en a fait de même en transformant le « Bow-wow-wow-yippie-yo-yippie-yeah » de George Clinton en « Yippy-yippy-yay, yippy-yah, yippy-yo ».
Publié initialement sur Booska-p.com le 6 janvier 2023.
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divebyshantime · 2 years
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“Le poisson ne voit pas l’hameçon, il ne voit que l’appât ; l’homme ne voit pas le péril, il ne voit que le profit.” Proverbe mandchou #divebyshantime #diving #dive #divers #scubalove #plongee #plongéesousmarine🐟🐙🐠🐡🐚 #environment #ecologie #ecology #protecttheworld #protectocean (à The World) https://www.instagram.com/p/Ck7_co5LNLE/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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grandboute · 7 years
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Cruelle est la terre des frontières, Michel Jan #livre #lecture #instabook #instalivre #PBP #collection #voyageurs #payot #editeur #cosaque #mandchou #photo #guimet #asie #extremeOrient #voyage #noBorders #frontieres
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eacbooks · 4 years
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Manchu Grammar
https://www.abebooks.com/servlet/BookDetailsPL?bi=30761405161&searchurl=sortby%3D0%26vci%3D65071755&cm_sp=snippet-_-srp1-_-title1
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olderthannetfic · 3 years
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Okay but now I’m dying to know what you learned about eunuch sex and stereotypes.
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Stereotypes I found fairly little about, probably because the kind of info I want is in Chinese, not English. I eventually found a few comments on how overly powerful eunuchs were treated by official historians after their deaths. But it was very general stuff about greed, not people throwing shade over sex-related stuff. I flat out do not believe nobody did that. I just couldn't find any explicit mention of it.
For actual sex, what I most wanted was the answer to what it's like to be a eunuch, which is obviously the hardest question to answer. I found mountains of academic asses in the modern day saying things like "The prostate must be underdeveloped because of hormones, so they wouldn't be able to get off".
I eventually found a few tantalizing comments on yahoo answers or somewhere where a Chinese speaker was talking about commonplace stereotypes and scandals involving eunuchs beating the snot out of female prostitutes because sexual frustration leads to sadism or something. It sounded like they were referencing specific things, but nothing in English.
The actually useful info I found came from three places:
The first was some medical researchers examining the last living eunuchs some time in the mid-20thC. They mostly confirmed that the exact physical effects varied, including things like many of them being tall or having an underdeveloped prostate, but not all. That didn't tell me anything about what it was like to be those guys, but it did confirm that the "X must be true because hormones!" crowd hadn't even bothered to try to find out if the most verifiable of their assumptions held water.
The second was Décadence Mandchoue. This is a sexually explicit "memoir" by an elderly white guy about his younger years fucking half of China. It's basically a long Penthouse Forum letter and peak r/thathappened. The thing is, I wanted this for writing trashy fic about people's porn stereotypes about eunuchs. I don't care if Sir Edmund Trelawny Backhouse was lying. I care that he was lying in a much more culturally informed way than the other Europeans who fantasized about getting their dicks wet in China. This dude had definitely been there and was definitely horny for men, including eunuchs, and he was there in an era when there were still plenty of eunuchs around.
I didn't read the whole thing, but with some judicious text searching of the ebook, I found relevant passages. It wasn't easy though. He uses all kinds of wacky euphemisms and likes to drop into French and Latin, all of this peppered with Chinese and direct translations of Chinese expressions. But he does describe eunuchs' sexual appetites and some very specific encounters and how some dude did or didn't like to be touched. A lot of his claims about encounters with the rich and famous are likely to be lies, and "All the hookers fell in love with me" type comments are worth exactly as much as usual from rich guys fucking the socially disadvantaged, but the very specific sex details strike me as plausible—or at least the best we're going to get. I suspect his general ideas about how other dudes viewed eunuchs as sex partners are accurate too.
The third, and best, source was The Last Eunuch of China: The Life of Sun Yaoting. This thing is the holy grail: a description of what it's like from a eunuch. Sure, he's not from the historical period I was writing about, and he's just one guy, but it's the kind of first person account I wanted and that you're not generally going to find historically for any type of person, let alone a eunuch. There's no ebook, and I didn't have time to read the whole thing. I skimmed and found a bunch of relevant passages. Sadly for me, the book's subject was aggressively heterosexual and has all these tantalizing mentions of bathhouses he disliked because they were gay eunuch hookup spots. The bits I found useful were his comments about his own response to pornography and the anecdotes about eunuchs, prostitutes, and sadism, which overlapped with the yahoo answers type stuff to a degree. He gives one the sense that plenty of eunuchs were plenty horny and very frustrated, but it's less like "Poor them, literally no one ever experienced pleasure" than the yahoo answers. Sadly for me, this is not tell-all confessional sleaze like Backhouse's, so he doesn't go into tons of explicit detail about his own sexual experiences (well, that I found by skimming anyway), but it's an amazing resource.
I also found some pics of dildos from a eunuch museum and other entertaining things like that, and various sources told me about Chinese brothels, which are relevant because the fictional character I was writing about bankrolls one.
I also looked at various tales purporting to be history that were about dudes being made eunuchs in revenge or whatever. They were more focused on the revenge part and didn't make it into a weird kink thing, but they were interesting.
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claudehenrion · 3 years
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Zeugma (et autres figures de style)
  Les moins jeunes d'entre nous se souviennent de l'importance qu'avaient, en d'autres temps que les moins de 70 ou 75 ans n'ont pas pu connaître, les ''cartes postales'' : en envoyer était incontournable, et elles faisaient partie du fait de voyager. Il ne serait venu à l'idée de personne de se déplacer sans acheter ces figurines rarement de bon goût et sans faire un crochet par ''les PTT'' pour acheter des timbres au tarif réduit ''cartes'' ! Que d'heures, passées à écrire à des proches, à des amis, à des relations, même, qui, allaient rendre éternelles chacune de ces ''pensées'' fugaces, dans des cartons dont leurs héritiers ne sauraient quoi faire...
Dans un de ces raccourcis inexplicables que nous connaissons tous (''Mais où ai-je été chercher cette idée --cette chanson, ce souvenir... ?''), a soudain resurgi, du tréfonds de ma mémoire une formule idiote (mais que je continue à trouver drôle, en la redécouvrant) : depuis l'âge de dix ou douze ans, j'ai recopié mille fois, à l'intention des destinataires de mes nombreuses cartes postales, la phrase ''De cet endroit merveilleux ainsi que le soleil, je vous envoie mes sentiments les plus nombreux, en espérant que cette carte vous trouvera de même'', formule grammaticalement cauchemardesque que je trouvais géniale et qui a dû amener pas mal de gens à me classer à jamais, preuve à l'appui, parmi les analphabètes.
En classe de seconde, l'étude des ''figures de style de la langue française'' figurait au programme, et j'ai découvert, pour mon plus grand bonheur, que je m'étais adonné sans le savoir à l'art complexe du ''zeugma'', cet ''attelage'' (son autre nom) qui ne vient pas du ''neuf-trois'' ni de Trappes, mais du grec ancien  ζεῦγμα (zeûgma), veut dire le joug, le lien. Cette tournure consiste à faire dépendre d'un même mot référent deux termes disparates qui entretiennent avec lui des rapports différents, un peu comme le ferait une ellipse. (NDLR -- Une remarque qui, je suis sûr, va vous passionner, amis lecteurs : pour les grammairiens, le zeugma est proche de la syllepse, de la concaténation, de l'anacoluthe, chère au Capitaine Haddock, et de l'hendiadys... qui vient elle-même, bien entendu, de la locution grecque ''ἓν διὰ δυοῖν'' (hèn dià duoîn -- traduction assez libre : ''deux pour le prix d'un''). Vous le saviez, bien sûr, mais je suppose que vous êtes rassurés de le lire !
Un zeugma, c'est donc un lien factice entre deux éléments qui ne peuvent être mis sur le même plan, sémantiquement ou logiquement, tels que : ''Midi arriva, ainsi que ma mère''... ou bien ''Il la serra dans ses bras et la main de son intelligence''... ou ''Retenez cette date et une place au théâtre'', ou (de Raimbaud, celui-là) :''L'aube et l'enfant tombèrent''... La figure ainsi obtenue provoque chez le lecteur un effet de surprise, souvent comique, parfois poétique. Il faut et il suffit donc que les deux éléments rattachés n'entretiennent normalement aucun lien entre eux et n'aient rien à faire ensemble dans la même phrase, et c'est le contraste entre cette construction syntaxique identique et l'écart sémantique des mots qui donne à la phrase sa spécificité. Le plus connu est le vers de Victor Hugo ''Vêtu de probité candide et de lin blanc'' (dans Booz endormi, tiré de ''La Légende des siècles'' d’où vient le célèbre ''Tout reposait dans Ur et dans Jérimadeth'', cette gourmandise pour cruciverbistes).
Fasciné par cette tournure --qui me semblait alors irrésistible... et pour laquelle j'avoue avoir encore conservé, 75 ans plus tard, une immense faiblesse-- j'ai passé des heures à fabriquer ou à rechercher des exemples de ''zeugmas'' remarquables, ce qui m'a permis de découvrir que tous les grands auteurs se sont bêtement laissé piéger, ce qui peut paraître surprenant. D'André Gide, par exemple, voici deux pépites  : ''Il croyait à son étoile et qu’un certain bonheur lui était dû'' (les Faux-monnayeurs), et ''En achevant ces mots, Damoclès tira de sa poitrine un soupir et de sa redingote une enveloppe jaune et salie''... ou d'Alfred de Musset : ''Ils savent compter l’heure et que leur terre est ronde'' (Namouna), sans parler du fameux ''Sous le pont Mirabeau coule la Seine Et nos amours...'' d'Appolinaire (Alcools) : si on lit bien ce qui est écrit, cela n'a aucun sens... et c'est ce qui fait leur beauté !
Mais n'ont pas davantage de sens réel ''Mme Massot tricote, enfermée dans sa chambre et dans sa surdité'', (Roger Martin du Gard), pas plus que ''Il n’est pas très prudent d’avoir des dieux  et des légumes trop dorés'' (Giraudoux --La Guerre de Troie n’aura pas lieu), ''Le ciel s’est couvert de rage et de plumes'' (R. Queneau), ou encore cette perle --qui a disparu de Domrémy-la-Pucelle, hélas : ''Hôtel Sainte Jeanne d'Arc et de la Gare réunis'' (d'après moi, il s'agissait avant tout d'empêcher quiconque d'utiliser un seul de ces noms, réputés ''commercialement porteurs'' !). J'en ai même trouvé... en latin, sous le stylet (ou le calame) de Virgile : ''oculos dextramque precantem protendens…(levant les yeux et une main implorante'' --Enéide, XII)... ce qui, en le rapprochant de ''un vaste complexe commercial et hôtelier dresse son architecture mandchoue au bord du fleuve et de la faillite'' (Je m'en vais - Jean Echenoz, prix Goncourt 1999), lui confère un intérêt éternel.
Mais c'est évidemment auprès de ceux qui les ont très soigneusement ciselés volontairement que vont se trouver les meilleurs ‘’zeugmas’’.  Pierre Desproges, d'abord : ''Après avoir sauté sa belle-sœur et son repas de midi, le Petit Prince reprit enfin ses esprits et une banane''...et : ''Prenant son courage à deux mains et sa winchester dans l’autre, John se tira une balle dans la bouche''. Un autre grand maître est Pierre Dac : ''Ils s'enfoncèrent l'un dans la nuit et l'autre un clou dans la fesse gauche''. Jacques Prévert a aussi sa place dans cette étude onomastique, syntaxique et dialectologique qui n'a d'autre prétention que de parler d'autres choses que du satané covid et de la grisaille environnante dont tout le monde a ''ras le bol'' : ''Tout jeune, Napoléon était très maigre et officier d’artillerie. Plus tard, il devint empereur et prit du ventre et beaucoup de pays'' (dans ‘’Paroles’’--1946)...
Mais c'est un ''communicant'' (dégotté par Alain Rémond) qui mérite de remporter la palme (ce qui est une preuve --s'il en fallait-- qu'il n'y a pas qu'à l'Elysée que cette engeance fait des ravages)  en vantant une crème de douche super-écolo, ''aux ingrédients naturels et bio qui respecte votre peau et vos convictions''. Et pourquoi pas ''des shampoings pour vos cheveux et le fond de votre âme'', tant qu'on y est !  La conclusion s’impose : ‘’J'espère que vous avez souri et une belle journée ainsi que votre famille et la levée de la limite de 10 kilomètres en remplissant votre déclaration d'impôt et le brin de muguet : en mai, fais ce qu'il te plaît...’’
H-Cl.
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girlflapper · 4 years
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Affiche de Shanghaï des années 30 (Musée des arts d'Afrique et d'Asie, Vichy)
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Affiche de Shanghaï des années 30 (Musée des arts d'Afrique et d'Asie, Vichy) by Jean-Pierre Dalbéra
Affiche publicitaire pour le lait maternisé Lactogen Collection A. Depigny
C'est Henri Nestlé qui a introduit en Chine le lait en poudre en 1920. Il a rencontré un grand succès auprès des femmes des classes aisées, qui étaient soucieuses d'émancipation et de nouveautés.
La jeune femme, choisie pour la publicité, porte le quipao, une robe moulante et fendue, à col scindé. Ce vêtement féminin à la mode dans les années 20-30, à Shanghaï, alliait tradition et modernité dans une ville qui, avec la présence des concessions étrangères, était sensible aux progrès de l'Occident. Le parti communiste qui a pris le pouvoir quelques années plus tard a interdit ce vêtement synonyme selon lui de décadence occidentale.
Affiche présentée dans l'exposition "Double bonheur" au musée des arts d'Afrique et d'Asie, Vichy musee-aaa.com/?page_id=1772
A travers l’histoire d’un mariage dans le milieu de l’élite han ou mandchoue, "Double bonheur" raconte la place des femmes en Chine, du 18ème siècle à aujourd’hui. Extrait du site du musée
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muskming · 4 years
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Décadence Mandchoue: The China Memoirs of Sir Edmund Trelawny Backhouse   太后與我(穢亂清宮)
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sebchevalier · 4 years
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La princesse mandchoue est là, qui dort près de moi (P. Bergounioux)
Sa 21.7.1984
Lorsque j’ouvre les yeux à six heures, la princesse mandchoue est là, qui dort près de moi, et je reste émerveillé, comme au premier jour, comme à quatorze ans, devant le visage que les dieux ont donné à la loi morale, rien de moins, pour mon ravissement infini et ma rédemption. Qu’elle veuille bien souffrir un type de ma sorte dans son voisinage est la preuve que l’affaire nous dépasse, elle et moi, que nous avons exécuté un décret promulgué par des forces occultes. Elle n’a pas eu à s’en soucier puisqu’il l’avait faite aussi belle que bonne, parfaite d’emblée, en paix avec elle-même, rayonnante, tandis que la triste part qui me revient dans l’histoire et dont je suis conscient, parce que malheureux, m’a contraint à réfléchir, à tenter de percer ce qui fut et demeure le grand mystère de mon adolescence et de toute mon existence.
(Carnet de notes 1980-1990)
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lemoustachuvolant · 5 years
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Chapitre 4 : "Si nous avons à faire à des Chinois de Chine ça ne marche plus.."
Quatrième étape : la Chine, de Hong-Kong à Pékin. Alors oui, la formule peut prêter à confusion et le débat est ouvert : "Honk-Kong est-elle à proprement parler une ville chinoise?" La cité-état de plus de 7 millons d'habitants possède une certaine indépendance, notamment économique (propre monnaie, le dollar hong-kongais) et politique (élections locales et propres, dans tous les sens du terme d'ailleurs), qui en font une ville tout à fait unique, et si l'on demande a ses habitants, ils ne se sentent pas chinois. Mais tout de même, depuis la fin de la concession britannique en 1997, la ville est belle et bien chinoise, juridiquement en tout cas (une région administrative spéciale de la République populaire de Chine pour être tout à fait exact).
Quoiqu'il en soit, c'est par cette ville que j'allais effectuer mon entrée en Chine, et c'était mon premier contact avec l'Asie de l'Est. Et la différence avec l'Inde se faisait sentir dès les premiers instants! L'architecture tout d'abord, Hong-Kong ayant deux facettes bien différentes : la traditionnelle (pagodes, palais et temples chinois) et la moderne (des gratte-ciels partout!). C'est la dernière surtout qui m'a frappé par rapport à l'Inde où tous les bâtiments restaient à hauteur humaine et où les tours se faisaient rares. A Hong-Kong il n'y a que des immeubles, et tous ont au moins 60 étages ! On perd également la pollution sonore, plus de klaxons et de brouhaha omniprésents : les rues sont si calmes en comparaison que j'ai failli m'endormir sur un banc. Cependant, on y trouve une pollution lumineuse qu'il n'y avait pas en Inde : là où les rues étaient éclairées parfois par une seule ampoule, on trouve ici des néons, des panneaux et des écrans publicitaires à chaque rue.
Comme d'habitude, et malgré la pluie qui ne m'a pas quitté, c'est à pied que je découvrais les rues et lieux importants de la ville, me frottant au passage à la population locale moins chaleureuse qu'en Inde : porte du marché aux oiseaux, lanternes du temple Men Mo (de Men dieu de la guerre et Mo de l'écriture), balade nocturne dans le Night Market et rues du quartier de Yau Ma Tei de jour et de nuit.
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En dépit de la météo capricieuse, j'ai eu suffisamment de temps au sec pour découvrir ce que cette immense ville avait à m'offrir, notamment (et ça je ne m'y attendais pas!) quelques randonnées très sympas offrant de superbes paysages, urbains et champêtres (oui j'ai utilisé le mot champêtre) : skyline vu du Peak, la colline au centre de l'île et point de vue de la ballade du Dragon's Back.
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Hong-Kong est également très riche culinairement parlant, et la différence avec l'Inde était encore frappante.. adieu les currys, et bonjour les noodles! Je ne résiste pas à l'envie de vous montrer mon premier repas, qui se commande via un bon à remplir soi-même.
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On sent tout de même l'influence anglaise sur la ville : la plupart des commerçants parlent plus ou moins correctement l'anglais, les noms des rues sonnent souvent britanniques (dont certains aussi stupides qu'à Londres..), des bâtiments administratifs sont plus du style victorien que mandchoue et on retrouve certaines aberrations comme la sens de la circulation et les marques au sol pour prévenir où regarder, en anglais et en mandarin!
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Trois jours donc pour découvrir la ville, de surcroît sous la pluie, je vous avoue que je n'ai pas chômé et que les jambes étaient lourdes au moment de prendre le train qui allait m'amener à Guilin, au cœur de la Chine, la vraie, où plus personne ne parle anglais et où la nationalité ne fait pas débat !
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reseau-actu · 5 years
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Voilà plus d'un siècle qu'il tend un fil de civilisation entre l'océan Pacifique et l'Europe. En six jours, sa locomotive et ses wagons desservent près de 70 villes souvent figées dans le froid. À l'intérieur se reconstitue toute une vie typiquement russe que nous avons partagée à travers l'immense et énigmatique Sibérie.
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Vladivostok - Novossibirsk - Moscou
Ce sont deux larges traits d'acier parallèles destinés, quand ils furent dessinés, à étirer un fil de civilisation au cœur de l'Asie. Ils s'élancent du Pacifique, piquent vers le nord glacé avant de bifurquer à angle droit vers l'ouest, le long du fleuve Amour, coupent les grands fleuves russes qui dégringolent sur des milliers de kilomètres vers l'océan Arctique, ondulent paresseusement autour de la rive sud du lac Baïkal, puis s'enfoncent avec panache dans des forêts de résineux et transpercent l'Oural pour entrer dans Moscou, 9288 kilomètres plus tard. Ils forment depuis plus d'un siècle la mythique ligne ferroviaire du Transsibérien, traversant notamment les villes de Khabarovsk, Birobidjan, Chita, Oulan-Oudé, Irkoutsk, Taïchet, Krasnoïarsk, Taïga, Novossibirsk, Tioumen, Ekaterinbourg. Des villes dont les noms sonnent comme des appels à l'évasion et au rêve. Ou au cauchemar? Les statues de Lénine et de Soljenitsyne qui, à respectable distance l'une de l'autre, trônent à Vladivostok, d'où part, un jour sur deux, le Transsibérien, sont là pour rappeler que la Sibérie fut une terre de bagnards, d'exilés et de proscrits autant que d'aventuriers, de marchands et de cosaques.
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Sous Alexandre II vivaient à Vladivostok 300 âmes, pour la plupart mandchoues ; elles seraient 50 fois plus nombreuses en 1891, lors de l'inauguration par le tsarévitch (futur Nicolas II) des premiers kilomètres du tronçon oriental du Transsibérien. Un quart de siècle plus tard, comme le raconte Joseph Kessel dans Les Nuits de Sibérie, la capitale du Primorye grouillerait de bandits et de soldats japonais, tchèques, américains, français, italiens ou russes blancs se battant pour un diamant, un drapeau, une femme, quelques grammes de petite eau («vodka») ou de poudre blanche. Plus de 500.000 habitants peuplent désormais ce port dont les rues plongent vers l'océan Pacifique qui y pénètre par une baie traversée par un immense pont - «notre Golden Gate Bridge!», a souri la jeune vendeuse de pelmenis officiant à son entrée avant de nous présenter sa ville comme «le plus grand carrefour de l'Asie: au nord, la Russie ; à l'est, le Japon ; à l'ouest, la Chine ; au sud, la Corée du nord». La cité a grandi, sa gare, non. Elle est aussi modeste que le voyage auquel le Transsibérien nous invite est immense: 99 heures jusqu'à Novossibirsk, capitale de la Sibérie occidentale où nous avons prévu de le quitter en y laissant les fantômes des trois sœurs de Tchekhov clamer «Moscou! Moscou!»
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Le Rossiya est composé d'une douzaine de wagons: des «koupeïnye», voitures comportant neuf compartiments de quatre couchettes (2e classe), et des «platskartnye» (3e classe ou «2e classe soviétique»), dans lesquelles de fines cloisons séparent des dizaines de banquettes en dur, sur lesquelles sont jetés des matelas mous mis à disposition à l'entrée du wagon. Aucun touriste, uniquement des passagers qui savent que les conditions de voyage spartiates (deux toilettes-lavabos par wagon, un bruit permanent et un espace vital réduit à 1 ou 2 mètres carrés) sont le prix à payer pour se rendre à l'autre bout de la Sibérie ou de la Russie à moindres frais (quelques milliers de roubles). Rien à voir avec la maquette du train présentée lors de l'Exposition universelle de 1900, à Paris, où paradaient des wagons dotés de salles d'eau en marbre avec baignoires en porcelaine, des salons Louis XIV ou Empire, des cabines mauresques ou chinoises et un salon de coiffure en sycomore blanc…
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L'accueil est à l'aune de la température hivernale. Ses cheveux blonds enfouis sous un béret rouge, Tatiana, la «provodnitsa» en charge de la surveillance de notre voiture, du samovar collectif et de l'escalier qu'elle dépliera et repliera 54 fois entre Vladivostok et Novossibirsk, tend aux occupants de notre compartiment une barquette où cohabitent un gâteau bourratif et une petite bouteille d'eau. Puis explique d'un ton rêche qu'elle préviendra chacun de son débarquement une ou deux heures avant. Et prévient qu'elle ne veut pas voir d'alcool dans les compartiments. Commentaire de Vassili, qui se rend à Mogocha pour travailler dans une compagnie minière: «Cela veut dire ce que cela veut dire: elle ne veut pas VOIR d'alcool. Ce qui ne veut pas dire qu'il ne peut pas y en avoir.» Et de sortir pour ainsi dire de sa manche une bouteille de vodka Toundra.
Le train s'ébranle lourdement à 19h10, à la poursuite d'un soleil rouge qui file vers l'ouest bien plus vite que le train, lequel dépasse rarement 90 km/h. Dans le couloir, des enfants courent en criant tandis que les adultes se serrent le long des fenêtres hermétiquement closes en faisant connaissance. Un ingénieur au regard triste n'en revient pas qu'on vienne en Sibérie si on n'y est pas obligé: «La Sibérie est terne, triste et pauvre. C'est une terre de violence: dans son histoire, sa géographie, son climat! Allez plutôt en Chine!»
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Des paysages sortis d'un conte de Tourgueniev
Dans notre compartiment, un couple affalé regarde sur un écran de téléphone portable Day Watch, blockbuster russe où s'affrontent forces de l'Ombre et forces de la Lumière. Sur la tablette tendue sous la fenêtre, s'empilent déjà des sacs plastique d'où s'échapperont bientôt bocaux de fruits, saucisses séchées épaisses comme des branches de sapin, yaourts et sachets de thé. Peu à peu, chacun se cale sur le rythme du train dont le mouvement de balancier évoque celui d'un bateau en mer. La nuit est tombée.
Soudain, dans un krskrskrskrsk familier à tous ceux ayant emprunté dans les ­années 70 les lignes secondaires de la SNCF, le train s'immobilise. Khabarovsk, trente minutes d'arrêt
Au petit matin, on se réveille dans un conte de Tourgueniev. Par la fenêtre défilent des paysages vierges de toute modernité. Erables, acacias, jasmins et fins arbres à grosses feuilles forment une «mer verte» qui, à mesure qu'on s'éloigne du littoral, vire au blanc. Bientôt surgiront les silhouettes de sapins, de mélèzes et de bouleaux, donnant aux forêts des airs de palais aux portes innombrables. En leur sein, renards, loutres, tigres et ours noirs d'Asie dont on tente en vain de discerner les traces dans la neige. Soudain, dans un krskrskrskrsk familier à tous ceux ayant emprunté dans les années 70 les lignes secondaires de la SNCF, le train s'immobilise. Khabarovsk, trente minutes d'arrêt. La ville porte le nom d'un de ces aventuriers russes (Ierofeï Khabarov) partis à la conquête de l'Est au XVIIe siècle, défiant le froid (- 40 °C à cette époque), la faune, la solitude et les moustiques dont les piqûres rendaient aveugles. Le même esprit habitera ceux qui, deux siècles plus tard, à l'image des pionniers du Far West américain, accompagneront la construction de la ligne du Transsibérien, parfois guidés par quelque naïf Dersou Ouzala peuplant la taïga parmi des vieux-croyants installés depuis le schisme de 1666.
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Moins de trois heures plus tard, voici Birobidjan, capitale de la région autonome juive homonyme créée par Staline en 1934 pour permettre aux Juifs soviétiques d'avoir «leur» nation. Cadeau odieusement empoisonné: ladite nation se trouvait à 8000 kilomètres de Moscou, hostile, glaciale, frontalière avec la Chine, sous la menace du Japon impérial militariste… Quelques milliers de Juifs tentèrent de réaliser ce rêve étrange avant que les persécutions du pouvoir soviétique, la naissance d'Israël (qui a le double avantage de posséder un climat plus accueillant et un territoire correspondant à l'implantation originelle du peuple juif…) et la dislocation de l'URSS ne le réduisent presque à néant: en 2019, il ne reste que quelques centaines de Juifs dans toute la région, mais la radio locale, des journaux, des noms de rues, des sculptures, des bâtiments, des cérémonies et les inscriptions sur le fronton de la gare entretiennent une émouvante survivance de la culture yiddish.
Les heures qui suivent vous rendraient hégélien - le philosophe allemand rejetait la Sibérie hors de l'Histoire, la jugeant trop hostile et empêchant toute existence qui ait du sens. Immensité sans fin des paysages ; absence de trace de vie humaine (fors quelques usines semblant datées de la NEP, quand Lénine définissait le communisme comme «les soviets, plus l'électricité», ou des ombres furtives traversant les cercles de lumière orangée projetés sur le béton gris des quais de gare) ; blancheur d'un ciel uniforme. Avec Vassili, nous grignotons des graines de cèdre en buvant du thé. On appelle cela «une conversation sibérienne» - on ne parle pas.
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De jeunes bouriates aux visages de poupée
A Mogotcha, noyé dans des tourbillons de neige, éclate la nouvelle réalité économique de la région. Créée il y a à peine un siècle grâce au Transsibérien et aux mines d'or à proximité, la ville a perdu un quart de ses habitants depuis la fin de l'URSS. Une foule se presse pourtant sur le quai. A 90 % chinoise. La majorité des entreprises implantées ces dernières années viennent de Pékin, Harbin ou Tchangtchoun.
Le wagon a changé de physionomie. Un groupe de jeunes Bouriates aux visages de poupée ont pris possession d'un compartiment qu'elles photographient sous tous les angles en piaillant. Un étudiant letton, dont l'avant-bras porte le tatouage d'un tigre à la mâchoire démesurée, s'allonge en soupirant sur sa couchette. Une femme entre. Sur son uniforme ferroviaire, une étiquette avec son nom: Natalia Jivago. On hésite à lui demander si elle a épousé un médecin. Elle réclame en souriant au nouveau venu son billet pour voir s'il a droit à un repas. Oui. La SNCF russe sait être généreuse: ce sera saucisses-lentilles. Comme son voisin (lui aussi fraîchement embarqué). Les deux hommes s'attablent. Une fumée odorante s'échappe de leurs barquettes. On s'apprête à fuir: trop tard. La porte est déjà refermée, le verrou mis, la bouteille de vodka sortie. Proposition de toast. Par bonheur, on connaît la science qui préside à cette redoutable cérémonie: graduer les souhaits. Puisque le principe est de ne jamais descendre à l'échelon inférieur, le seul moyen d'écourter le moment et d'éviter un trop rapide «zapoï» est de saluer la Sibérie et les Sibériens: au-dessus, il n'y a que le monde, donc un seul verre supplémentaire. Du moins le croyait-on…
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Le lendemain, tandis que le Transsibérien traverse la Bouriatie à un train de sénateur libéral, exploration du wagon-restaurant. Vide, à l'exception d'un sexagénaire au visage buriné et à l'allure de chaman. Il rentre enterrer sa vieille mère à Oulan-Oudé. L'événement le rend à peine moins triste que le réchauffement climatique: selon lui, des lacs commencent à naître dans la région sous l'effet du dégel du permafrost et le thermomètre ne descend presque plus sous les - 30 °C. «La nature se vengera», assure-t-il d'une voix grave, avant de se lancer dans une ode à la steppe qui, selon lui, permet d'exercer ses cinq sens, le spectacle monotone de ces étendues pétrifiées invitant à une attention redoublée pour pouvoir y discerner mouvements et bruits. Surviennent deux hommes d'affaires: les mots «contrats», «Turquie» et «Ouighours» s'échappent de leurs bouches. Tout ce petit monde descend à Oulan-Oudé, où trône près de la gare une gigantesque sculpture de la tête de Lénine - la plus grande du monde aujourd'hui comme hier. Imposée par Leonid Brejnev, fâché que la ville fût la seule en URSS qui ne possédât point de statue du grand homme, elle mesure 7,7 mètres de haut et pèse 42 tonnes. On dit que les oiseaux dédaignent curieusement de la souiller. Autre particularité: elle le représente avec des traits asiatiques, quasi kalmouks. Les mêmes que ceux des Bouriates qui chevauchaient auprès de Gengis Khan avant d'être convertis au bouddhisme par des missionnaires mongols et tibétains.
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Soudain une apparition: sa majesté le Baïkal
Une agitation s'empare soudain de tout le Transsibérien, qui se met à pencher légèrement vers la droite: du côté où se sont agglutinés hommes, femmes et enfants devant qui est apparue Sa Majesté Le Baïkal. Le roi des lacs. 630 kilomètres de long et jusqu'à 80 kilomètres de large. Né il y a vingt-cinq millions d'années, plus grande réserve d'eau douce du monde alimentée par plus de 300 rivières, il repose sur 2 kilomètres (!) d'épaisseur formée de sédiments d'organismes décomposés. Sous la solide glace aux reflets bleus sur laquelle évoluent piétons, animaux, motos et camions, il abrite 250 plantes aquatiques n'existant qu'ici et 2000 espèces animales parmi lesquelles des esturgeons à caviar de 200 kilos, le cisco, l'omoul, cousin charnu du saumon qui ne se pêche que la nuit et pousse un cri déchirant quand on le sort de l'eau, et un crustacé minuscule qui vit avec des cailloux coincés dans ses pinces. C'est sur les rives du Baïkal qu'avait vécu en ermite Sylvain Tesson pour y écrire son sublime récit Dans les forêts de Sibérie. «Il y a là-dessous tellement de bêtes voraces, nous glisse Igor, qui se rend à Krasnoïarsk pour suivre des études de géologie, que les noyés ne remontent jamais à la surface, ils se font intégralement avaler.» Charmant.
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Dans la «2e classe soviétique», où se mêlent des effluves aux origines diverses, tout est calme. Dans l'étroit couloir séparant les rangées de banquettes trop courtes pendent des pieds, des bras, des jambes. Un chat roulé en boule ronronne au pied de sa maîtresse endormie, tandis qu'un homme au visage sévère observe par-dessus son livre le manège bruyant de Chinois en pleine crise de selfies. Dans le wagon-restaurant où l'horloge indique invariablement l'heure de Moscou, les menus attendent désespérément qu'on s'intéresse à eux: même si le prix des plats proposés (bortsch sibérien, soupe de viande «style marchand», saumon grillé «style tsar», poulet grillé «style géorgien», bœuf Stroganoff…) oscille entre 5 et 10 euros, les clients sont rares. Avec cette somme, on peut s'offrir sur les quais des gares - dans les magasins ouverts nuitamment ou auprès de babouchkas obligeantes qui ont installé à la hâte leur petit étal - quantité de poissons séchés, de sachets de noisettes ou de baies sauvages, de biscuits, de bières, de briques de lait ou de yaourt, de cornichons, de fromages, de salamis rose pétard. Et toujours ces fichues saucisses trop grosses pour ne pas être des prétextes à boire.
A Irkoutsk, jadis baptisée “le Paris de la Sibérie”
On approche d'Irkoutsk, qu'on rejoint par l'est, à l'inverse de Michel Strogoff. Outre le roman de Jules Verne plein de Cosaques hardis et de Tatars pervers, la ville joliment restaurée après le grand incendie de 1879 charrie mille images: marchands intrépides, chercheurs d'or, bagnards polonais ou décembristes dont les femmes portaient une alliance forgée dans le fer des chaînes de leurs maris, aristocrates faisant de la ville «le Paris de la Sibérie», héros imaginaires d'Hugo Pratt à la poursuite de l'or impérial que transporte justement le Transsibérien, volontaires Blancs refluant pendant la guerre civile devant les hordes bolcheviques, et dont le chef, l'amiral Koltchak, finirait fusillé près d'une rivière, là même où se dresse aujourd'hui une usine électrique qu'on tente d'apercevoir du train. Comme Charette en Vendée, l'officier tsariste avait refusé qu'on lui bande les yeux au moment de son exécution. Mourir, oui, mais dans l'honneur.
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A peine sort-on de ces rêveries historiques que se dressent des dizaines d'immeubles staliniens annonçant Krasnoïarsk, ville natale d'Andreï Makine arrrosée par l'Ienisseï, qui coupe, tel un sabre cosaque, la taïga en deux: à l'est, désormais dans notre dos, des montagnes recouvertes de mélèzes et de sapins ; à l'ouest, devant nous, des plaines argileuses que la raspoutitsa printanière transformera en marécages. Bientôt, apparaîtront un autre fleuve immense - l'Ob -, une autre rangée d'immeubles staliniens, une autre cité sibérienne jadis fierté industrielle de l'URSS: Novossibirsk - 1500 habitants en 1900 ; 1,5 million de nos jours.
Après 99 heures en son ventre chaleureux, nous abandonnons là le Transsibérien à son destin désormais européen. Direction Moscou. A la bonne heure.
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Le Transsibérien à la carte
Voyager en Transsibérien est un rêve qu'il est bien sûr aussi possible d'accomplir dans d'excellentes conditions de confort (il existe deux classes supérieures à celles décrites dans le reportage). L'agence Maisons du Voyage *, qui compte une équipe de spécialistes passionnés par ce train mythique, organise des périples sur demande, adaptés à l'emploi du temps et au budget de chacun… et inoubliables. Que vous souhaitiez emprunter la ligne dans son intégralité, de Vladivostok à Moscou (dans un sens ou l'autre), ou sur un tronçon plus court, vous pourrez agrémenter votre voyage d'arrêts aux étapes incontournables de ce parcours. Durée: 1 à 3 semaines.
* Maisonsduvoyage.com et 01.56.81.38.30.
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Année 1912 (Mai)
Evénements   Hongrie: grève générale et émeutes à Budapest organisées par les sociaux-démocrates. La répression par la police fait six morts, 182 blessés et 300 arrestations.   Mongolie: siège de Kobdo dont le gouverneur mandchou, qui compte sur une aide de la province du Xinjiang, résiste.   1er mai: premier vol de l’Avro F.   3 mai: premier vol de l’Avro 500.   14 mai: début du règne de…
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