#mais fuck la productivité
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les devoirs le taff le mémoire prendre soin de moi etc merci co star (c’est les vacances)
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je voulais me lever tôt pour être productive et faire plein de choses mais j’ai eu super mal au ventre alors j’ai passé ma matinée dans mon lit à jouer à animal crossing (les petites tenues que je prépare rattrapent toutes celles que je ne porte pas) (en ce moment : des pantalons légers jambes larges et taille élastique, et surtout pas de soutien-gorge ou alors je l’enlève au bout d’une heure)
j’ai regardé un cours skillshare sur le self sabotage quand on est créatif et ça m’a fait vraiment trop du bien. je me suis rendue compte que je n’arrive plus du tout à écrire parce que je passe mon temps à me dire qu’il est vraiment temps que j’écrive un roman parce que j’ai toujours voulu écrire et que je vieillis et qu’il va falloir que je trouve un métier et mon dieu mais qui est-ce qui peut écrire un roman en pensant à ça? j’ai continué un peu l’histoire que j’avais commencé pendant le confinement qui résonne beaucoup avec mes angoisses du moment et oui je veux la finir mais je veux surtout écrire parce que j’aime écrire, parce que ça me fait du bien et que ça me passionne et fuck la productivité qui m’a enlevé tout plaisir à écrire. j’ai écrit dans mon journal et c’est joli, et y a des ratures aussi, mais c’est pas grave.
sinon je me suis prise de passion pour les applications de montage photos avec des jolis fonds, ce qui n’est pas très étonnant quand on connaît mon amour pour les masking tapes et les tampons. un peu kitsch? bien trop mignon. le petit palmier que mes parents ont planté il y a dix ans est devenu grand et mon père l’emballe tous les hivers pour ne pas qu’il gèle, je trouve ça beaucoup trop chou. j’adore ce palmier parce que tout le monde s’est moqué de lui et maintenant il est toujours pas mort et très beau.
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Le couvre-feu c'est quand même mieux que le confinement non? Au moins les sorties en journée restent possibles...
Les sorties en journée c’est pas super-super accessibles aux gens qui bossent, mais passons.
1) Le choix du couvre-feu plutôt que du reconfinement a pour but de donner l’impression que l’Etat met en place des mesures fortes pour lutter contre la deuxième vague du covid tout en plaçant le blame pour la hausse du nombre de cas sur des comportements individuels plutôt que sur les choix du gestion de la crise faits par le gouvernement. Les envolées sur la responsabilité collective, l’esprit citoyen, le choix de ne pas “infantiliser” (lol), etc etc, ont pour but de pointer du doigt ces comportements individuels plutôt que -par exemple- l’état abysmal et la continuation du démantèlement de notre système de santé (et ce, en pleine pandémie et malgré les cris d’alarmes des professionels de la santé).
2) La seule considération derrière le choix du gouvernement de ne pas reconfiner c’est la primauté de l’économie. Je cite: “l’objectif c’est de pouvoir continuer à avoir une vie économique; on a besoin que les entreprises fonctionnent, elles ont besoin d’avoir de la présence au travail”. Si on ne limite pas les déplacements cette fois-ci, c’est d’ailleurs pour ça: on peut continuer à aller en vacances (de façon Responsable TM) histoire de sauver le tourisme - ‘on veut quand même pas infantiliser les gens’, nous dit le guignol en chef pour justifier de ne pas limiter les déplacements entre régions, comme si un couvre-feu ciblé sur la vie sociale privée n’était pas déjà de l’infantilisation, comme s’il ne nous avait pas prévu 45 minutes de sous-entendus sur l’irresponsibilité, le manque de solidarité et de soutien au collectif yadda yadda du citoyen lambda prêt à risquer la vie de ses grand-parents pour aller voir Un pays qui se tient sage au cinéma (tjrs en salle! dsl je fais mon petit coup promo lol) ou se rendre à une fête alors que la seule chose en ce monde qui vaille le coup de risquer la vie de ses grand-parents c’est la sacro-sainte économie, genre c’est pas infantilisant ça peut-être?
Soit dit en passant, il faut travailler pour “financer le reste du modèle” (de même qu’on finance la protection de l’environnement en taxant des commodités essentielles plutôt que les gros pollueurs, on finance la lutte contre covid sur le dos des travailleurs pendant que le CAC40 s’en mets plein les poches sur notre dos) et pour “garder le moral” (le travail c’est la vie, la productivité l’aune à partir de laquelle la valeur d’une vie est mesurée, god fucking forbid qu’on soit déprivés de notre droit à travailler, encore moins qu’un confinement nous forçant à un certain degré d’inactivité nous laisse le temps de réconsidérer le paradigme pro-travail et à qui exactement il bénéficie, manquerait plus que la plèbe commence à demander l’UBI plutôt que le droit d’être exploité tiens).
3) L’argumentaire pro couvre-feu repose sur l’idée que covid se transmet principalement dans le cadre d’interractions de type privé (je cite: ”les contacts privés, qui sont les contacts les plus dangereux”) - contacts qui c’est bien connu n’ont lieu qu’entre 21H et 6H. Un graphique en dit plus long qu’un discours quand à la véracité de l’argument:
[tl;dr] le but du couvre-feu c’est de donner l’impression qu’on prend des mesures fortes contre la deuxième vague covid, de placer la responsiblité de la recrudescence de cas sur les comportements individuels plutôt que sur la gestion de la crise au niveau du gouvernement - une gestion qui a été mauvaise en partie parce que nous sommes dirigés par des incompétents, mais avant tout parce que l’objectif du gouvernement a toujours été de préserver la santé de l’économie et des grosses entreprises au prix de celle des citoyens.
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À propos de « No More Work. Why Full Employment Is a Bad Idea » de James Livingston, par Madeleine Théodore
Billet invité. Ouvert aux commentaires.
Le livre de James Livingston, No More Work * – mais dont il explique dans les premières pages qu’il aurait voulu l’appeler « Fuck Work » – agit sur le lecteur comme une psychanalyse, la question qu’il nous soumet sans ambages étant la raison de notre attachement plein de persévérance à la « valeur travail », alors que nous pourrions et surtout devrions nous tourner vers une autre voie, actuellement, pour répondre à nos aspirations les plus profondes, les emplois disparaissant chaque jour davantage « grâce » à l’automation.
Cette manière qui nous est propre de concevoir notre existence « à la sueur de notre front », elle est enracinée en nous depuis des millénaires, et c’est pourquoi Hegel y percevait une notion « transhistorique », donnant à la succession des générations une impression de continuité.
Parcourant à travers l’histoire les différentes approches du travail, l’auteur nous montre bien le caractère tout aussi particulier que relatif du capitalisme, échouant à créer de l’égalité, et réussissant néanmoins à créer un premier espace de liberté grâce au salaire, pour disparaître finalement en même temps que la classe des prolétaires qu’il avait engendrée.
Le travail reste un pilier incontournable de notre vie, à la source de plus de mal que de bien si nous prenons enfin en compte la destruction de notre habitat, celle de la faune et de la flore, suite au grand nombre de déchets et à la surexploitation que notre consommation entraîne, et pourtant, alors qu’il détruit notre existence, nous percevons toujours son principe comme salutaire et vivifiant, dans un aveuglement dénué de tout esprit critique.
Certains passages du livre nous tirent cependant de notre nostalgie pour nous réveiller, par exemple lorsque Livingston nous fait remarquer « qu’une activité mal payée crée une situation plus intolérable que l’acceptation d’un revenu procuré par l’État » ou encore pointe du doigt le fait que le capitalisme s’est détruit lui-même en confiant à des gestionnaires non impliqués dans la capitalisation de l’entreprise des rôles de contrôle de la production, résultat ironique de l’absence de travail réellement productif, comme l’est l’investissement des actionnaires.
Le livre est également parsemé de paradoxes, tel celui concernant le renoncement dans les années 1970 au Plan d’Assistance élaboré par Nixon, pour la raison principale que les sommes versées aux citoyens défavorisés étaient associées à une incitation à chercher du travail, aspect déplaisant et problématique pour une bonne partie de la gauche.
Il y aurait par ailleurs correspondance entre notre désir de sublimer notre désir de liberté par le travail, cette sublimation s’incarnant dans notre propension à « créer un surplus », et l’évolution de notre société dépassée par l’impossibilité de gérer celui-ci. L’éthique protestante s’est ainsi imposée et opposée à l’idéal aristocratique du loisir tout autant qu’à la croyance du monde chrétien à une vie bonne dans l’au-delà.
Livingston nous surprend et nous amuse presque lorsqu’il fait l’inventaire de toutes les astuces et justifications dont nous usons, aussi bien à gauche qu’à droite, pour sauver ce qui apparaît bien comme notre dernière planche de salut, porteur de justification et de sens de notre existence : le labeur, dont l’absence définitive est partout déniée, comme si, tels des prisonniers redoutant la lueur du jour, nous ne pouvions nous arracher à une vie basée sur le surplus pour définir les contours d’une autre basée sur celui du besoin. L’information sur laquelle est basée notre société post-industrielle est gratuite et par ailleurs, l’activité économique peut se passer d’un ajout de capital ou de matériel, il nous est donc demandé de revoir les principes de notre économie dans cette perspective pour pallier les dommages à l’environnement que le capitalisme engendre et pour éliminer cette concentration vertigineuse de la richesse à laquelle nous assistons, responsable également d’un fléau tout aussi paralysant pour l’économie, la spéculation, interdite en France et en Belgique jusque dans les années 1870 car elle était reconnue comme un pari où l’un gagne et l’autre perd.
L’auteur insiste sur le fait que la disparition de l’emploi était annoncée par les artistes et intellectuels depuis les années 1920. Beaucoup d’emplois avaient disparu dans les années 1930 suite à l’automatisation, notamment dans le secteur automobile et le Plan prévu dans les années 1970 par Nixon visait à pallier la disparition généralisée de l’emploi, en substituant au principe de la sécurité sociale celui du revenu minimal garanti. Sur ce point, nul doute que cette mesure, même si elle a été par ailleurs avortée, ne puisse être qualifiée de cynique, puisque, dans le but d’empêcher une révolte du peuple, on privait celui-ci de prestations sociales s’adaptant au contexte économique pour lui attribuer une somme dont le montant était fixé, sans tenir compte du fait que le système financier pouvait raboter cette somme à sa guise et selon son bon vouloir.
Car enfin, ce que nous ne voulons pas voir, renforçant ainsi notre cécité, c’est que le travail, s’il a assuré notre subsistance, s’est souvent comporté comme « un maître abusif » : la Révolution industrielle, si elle a fait progresser notre société sur bien des plans, a aussi transformé les paysans en salariés sans qu’ils puissent plus jamais recourir « aux biens communs » fournis par la terre et dont ils pouvaient jouir sans entraves, la notion d’« enclosures » n’existant pas au XVIIIe siècle de la même manière qu’au siècle postérieur. Cette privatisation des biens communs s’est accentuée de manière indue jusqu’à nos jours, par la notion de « personne morale » attribuée aux entreprises, leur laissant le loisir de disposer du patrimoine de l’humanité, des ressources élémentaires nécessaires à tous, à leur propre gré, alors que la planète est à feu et à sang.
De même, c’est au nom du travail que les différences entre les sexes se sont accentuées, reléguant le travail des femmes au foyer au rang des accessoires et dévalorisant le soin apporté aux non-productifs, enfants et vieillards ne relevant pas de cette catégorie. Il serait urgent pourtant qu’hommes et femmes puissent trouver des solutions humaines au problème des mouroirs que sont beaucoup de homes (EHPAD) et à celui de l’accueil de la petite enfance, trop souvent bouleversée dès la première heure au nom de la productivité.
Il est sans doute malheureusement banal de rappeler toute la souffrance subie par les classes laborieuses au moment de la Révolution industrielle, et c’est pourquoi la remarque de Livingston selon laquelle « les luddites voulaient conserver leur travail, et les ouvriers leur dignité dans leur travail » semble sujette à caution.
Le dernier « défaut » du travail pourrait être, au final, ceci : de nous laisser désarmés face à cet avenir enfin possible auquel nous sommes embarrassés de répondre : notre vie nous appartient désormais et il nous apparaît de manière beaucoup plus évidente que nous sommes responsables de notre prochain, de notre frère. En cela, si ce miracle est bien à nos portes, si le règne de la nécessité a bel et bien disparu, pourquoi devrions-nous nous contenter d’une somme compensatoire à la disparition de l’emploi, pourquoi ne pourrions-nous pas profiter de la gratuité pour tout ce qui est nécessaire grâce aux bénéfices de l’automation ? Ainsi, nous pourrions nous occuper réellement de nos frères mais aussi, nous ne serions plus embarrassés par ce surplus encombrant de production et de consommation engorgeant la planète. L’ère du besoin pourrait dès lors coïncider avec celle de l’amour.
====================== * James Livingston, No More Work. Why Full Employment Is a Bad Idea, Chapel Hill : University of North Carolina Press, 2016
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19/10 C et moi on est fuck*** malades ! La loose. J'ai zéro énergie et l'impression qu'on me plante des couteaux dans le ventre tellement j'ai mal à l'estomac. Intoxication alimentaire ? Probable… On passe la matinée à dormir jusqu'à l'heure du départ pour Da Nang (d'où on doit prendre notre vol pour Ho Chi Minh demain). Arrivée à Da Nang, on continue à dormir jusqu'à l'appel de la faim. On opte pour des pizzas du 4P’s (les meilleures pizzas du monde !) Ca s'avère être une fausse bonne idée car je tape un pseudo malaise à la fin du repas. On n'a rien fait de la journée. Certes on n’a pas loupé grand chose car à Da Nang il n’y a quasiment rien à faire, à part quelques plages. Mais comme on n'a pas envie de rester sur un taux de productivité proche du néant, on choisit l'option d'aller prendre un verre sur le rooftop du Novotel, histoire de. 33e étage : la vue est ouf ! Mais, on ne prend finalement pas de verre. Pourquoi ? Pour le prix ? Même pas. En fait, le Novotel de Da Nang a une politique assez étrange qui est de ne pas servir de soft avant 22:00. Du jamais vu. Encore une incitation à l'alcool ! C'est une véritable conspiration. Sauf que vu notre état de maladie avancée, on est dans l'incapacité de boire ne serait-ce qu'une bière. Si si, la vérité. Du coup, on squatte un peu, on profite de la vue, on prend quelques photos et on rentre dormir à… tenez vous bien… 21:00. Journée pas fun. Au moins ça nous aura permis de souffler un peu car c'est quand même bien fatigant un road trip. Mais demain ça repart. 20/10 Après 12h de sommeil, je suis guérie ! Hallelujah ! Par contre on ne peut pas en dire autant de C, qui est dans un piteux état. (Désolée Dim - quand tu liras ça - mais c'est vrai que tu était assez mal en point, qu'on se le dise. You know what I'm mean) 16:55 : avion pour Ho Chi Minh City baby ! H et M nous rejoignent vers 00:45 et on part en soirée. Ca s'avère assez compliqué. Et on se retrouve dans un club assez étrange où il n'y a que des occidentaux accompagnés de viet’. Et en y regardant de plus près, on est quasiment les seules occidentales. En fait, c'est tout simplement un bar à escort girls. Ceci explique cela. Aller ! Toujours plus j'ai envie de vous dire. On change d'endroit. Et c'est encore pire. Ca pu la débauche malsaine. Tous ces pauvres mecs en chiens qui profitent d'être en Asie pour tirer un coup. Et toutes ces filles naïves qui s'imaginent pouvoir rencontrer le prince charmant et vivre l’european dream. En plus les conso sont hors de prix. 100K la bière, on n'est plus habituées à payer un tel prix. Échec de notre soirée. On rentre se coucher. 1er aperçu de Saigon assez médiocre.
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25/9 K.O. + pluie = productivité minimale. On affronte quand même le mauvais temps pour aller manger dans le old quarter. L'appelle de la faim est décidément plus fort que tout. Et c'est fou, je me dis qu'à chaque fois que j'écris je suis obligée de parler de bouffe. Bref, passons. Un proverbe vietnamien dit : "Hêt mua là nang hung lên thôi." - ce qui signifie : "La pluie terminée, le soleil brille." Encore faut-il que la pluie s'arrête. Tous les vietnamiens sont équipés de leur petit K-way (pour eux-mêmes et pour leur scooter). C'est un concept. Combinaison intégrale, de la tête aux pieds : pas une gouttes d'eau ne passera ! Ils nous font bien rire avec leur look coco. On est les seules débiles qui roulons en freestyle. Du coup on est mouillées et on se dit que cette tenue n'est peut être pas très sexy mais c'est quand même plutôt utile. 26/9 Traverser la ville à l'heure de pointe : ok Conduire sous la pluie torrentielle : ok Affronter la jungle urbaine : ok Faire le plein d'essence : ok Rouler la nuit : ok C'est pas que je nous lance des fleurs, mais on a franchi tellement d'étapes ! #fierté J'ai oublié de parler de la panne de scooter. Ca faisait longtemps qu'il n'y avait pas eu de soucis vous trouvez pas ? Ce fuck*** scooter n'a pas voulu démarrer à ma sortie des cours à 21:00. Des vietnamiens essayent de nous venir en aide, en vain. La panique ! Non, je rigole. Avec mes colocs on a bien géré le problème. Enfin, on a surtout appelé l'agence de loc et attendu 1h que les mecs daignent se pointer pour nous dépanner. État de la situation : batterie HS. Début de semaine éprouvant. Time for a break. 5 jours en Malaisie sur l'île de Penang. Aller, ciao, on s'arrache au soleil !
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