#mais clairement pas quand il fait-5°C
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Jour 17
Quand aujourd'hui ma voiture était tellement gelée que le système automatique d'ouverture n'a jamais voulu fonctionner.
#cool les voitures sans clés#mais clairement pas quand il fait-5°C#faillit louper mon bus pour la gare#dernier séminaire en vue#paris je suis équipée!#ide#nurse#infirmière#réanimation
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Record Breaking! A few Olympic tipping points… Peter Kuper cartoon
En attendant d'avoir le résultat pour mai, avril 2024 a continué la série de mois les plus chauds depuis le début des relevés de température. Sur les 12 derniers mois, la moyenne planétaire a dépassé de plus de 1,5 °C la moyenne dite préindustrielle, couvrant la période 1850-1900.
Nous étions certes en année El Nino, et il est un peu tôt pour dire que l'objectif de limiter le réchauffement à 1,5 °C est définitivement mort. Mais nous n'en sommes plus très loin.
Le CO2 étant une molécule chimiquement très stable, une fois que l'on a créé un surplus de ce gaz dans l'atmosphère, ce dernier ne se résorbe pas vite même après arrêt des émissions. De ce fait, la hausse de température atteinte en 2100 dépendra essentiellement des émissions cumulées mises dans l'atmosphère jusqu'à 2100.
Ne pas dépasser durablement les 1,5 °C supposerait que les émissions se mettent à baisser de 10% par an environ à partir de maintenant. Sauf à avoir à très bref délai une chute de comète ou une pandémie éradiquant 90% de l'humanité, on peut dire que cela ne va pas arriver.
Les 1,5 °C vont donc être bientôt un souvenir du passé. Et après, diront certains, on a certes de temps en temps une récolte qui souffre un peu et quelques fissures dans les maisons, mais rien de dramatique !
Voir les choses comme cela est malheureusement ne pas raisonner aux bonnes échelles de temps :
- dans les conditions actuelles nous allons quand même perdre une large partie des glaciers des Alpes et des Pyrénées et donc avoir des problèmes d'accès à l'eau fluviale l'été qui vont un jour aller croissant
- les arbres souffrent déjà et peuvent mettre longtemps avant de dépérir dans les nouvelles conditions
- le Groenland a déjà commencé à fondre et ne va plus s'arrêter, et il y a aussi une incertitude sur une partie (heureusement pas énorme) de l'Antarctique, avec pour résultat que le niveau de l'océan va continuer à s'élever pendant des siècles au minimum
- pour le moment l'abondance énergétique nous protège contre les désordres que nous avons créés, mais un jour ce sera moins le cas
Enfin et surtout, au train où vont les choses, nous n'allons pas nous arrêter à 1,5°C, et, quelle que soit l'élévation de température atteinte, elle sera irréversible pour une longue période une fois atteinte.
Il faut aussi comprendre que les dégâts ne vont pas être proportionnels à l'élévation de température : comme pour notre corps, où une hausse de la température interne de 5°C n'est pas "5 fois plus grave" qu'une hausse de 1°C, puisque la première nous tue alors que la seconde nous rend juste un peu patraque, chaque fraction de degré en plus amènera des ennuis bien plus sévères que ceux qui avaient lieu avant.
Très accessoirement, quand les 1,5 °C seront derrière nous, les entreprises qui ont pris des "engagements 1,5 °C" revoir leur communication : cela n'aura plus de sens de déclarer faire sa part pour atteindre un objectif qui n'existe plus ! Mais ça ne sera clairement pas le problème premier... (par Adrien Couzinier) Source : April 2024 Global Climate Report
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26 November 2023
Eh bien c'est bientôt la fin d'une année très très remplie enfaite. J'ai appris beaucoup de choses sur blender et niveau dessin. J'ai vraiment fait beaucoup et je peux être fière de moi. Même si j'aimerais apprendre un peu plus de choses enfaite et où je me dis bon j'ai pas appris tannnt que ça mais quand même un peu ??? Je sais pas. En vrai si !! Beaucoup de petites choses et puis on oublie que je viens seulement de commencer à apprendre hard surface modelling quoi.
Bref les choses vont mieux à mon travail depuis que je fais genre que je sais ce que je fais. Et ça fonctionne en vrai.
Mais chaque dimanche soir je suis quand même stressé d'aller travailler le lendemain. Mais le fais d'en parler ça va mieux? Je crois.
J'ai écris à Léa que je devais lui parler. Je fais des reucs cool sur Minecraft qui mok m'amuse mais j'aimerais encore construire mais jsp trop quoi une maison c si boring non? idkkk lol.
Nils et moi je trouve que ça se passe toujours extrêmement bien. Et c'est assez fou. Mais apres j'ai toujours peur ici et là. Et là ce soir je sais pas il me saoul genre pas vraiment mais il s'est beaucoup plaint et je crois que ça m'a saoulé ? Je sais pas trop. Parfois je suis un peu perdu. Mais je sais que j'aurais pas ces sentiments si ont habitait ensemble. On s'amuserait beaucoup je pense. Mais il est pas prêt. Moi j'avoue que je le suis. Genre j'ai plus autant envie d'une WG même si ça serait pas si mal. J'ai envie de vivre avec lui comme ça je peux mieux organiser m'a vie!! Si on est ensemble le soir on peut se planifier un jour dans la semaine où on fait un vrai truc et puis le reste ça suffit le soir/matin. Je sais pas si ça se trouve c'est pas bien moi je ne sais pas. J'ai jamais été dans cette situation. Mais j'aime être avec lui j'aime qu'on grandisse ensemble j'aime être là pour lui et j'aime qu'il soit là pour moi. Je sais pas mais ça me paraît juste parfait quoi. C'est pour moi aujourd'hui l'homme de m'a vie, je sais qu'on pourrait être très heureux ensemble. Avoir des enfants je sais pas? J'aimerais bien mais clairement pas maintenant. Après les choses changent vite en 5ans. J'aurais 31ans dans 5 ans et je me dis je serais vieux lol. Mais y'a 5 ans j'avais 21ans et j'étais pas du tout mature donc!!!! C'est surtout depuis mes 24ans où j'évolue depuis que je travaille. Et ensuite mon stage aussi et les relations que j'ai pu avoir.
Bref je me fais toujours beaucoup de soucis mais je pense que je peux arriver à vivre avec et à changer ma manière de penser un peu oui. Plasticité cérébrale et genre de la beuh c'est certain! Il faut que je tente oui
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#PhotoMcf
Vous êtes-vous déjà retrouvé à devoir aller aux toilettes la nuit dans une maison où vous êtes invité et que vous ne connaissez pas, sans lumière pour vous guider ?
C'est une mission très complexe à réaliser. Nous tâtonnons incertains de la direction à prendre, nous nous cognons aux objets qui nous entourent et nous pouvons même casser certains objets par inadvertance en les poussant de notre main.
Le trajet qui aurait dû prendre 30 secondes en plein jour prend finalement 5 mins, au prix de grands efforts et peut-être même, d'un peu de casse chez votre hôte...
Cette situation reflète l'état d'aveuglement que nous pouvons avoir sans Jésus. Une vie de tâtonnement, d'erreurs commises apportant de la "casse" autour de nous et de cheminements interminables pour arriver à accomplir des projets au prix de beaucoup d'efforts.
"Jésus leur parla de nouveau, et dit: Je suis la lumière du monde; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie." Jean 8:12
Quand nous avons Jésus en nous, nous avons sa lumière qui brille en nous et qui éclaire notre chemin. Nous marchons d'un pas ferme en sachant où nous devons aller et en discernant très clairement les obstacles qui se trouvent autour de nous.
Notre cœur est en permanence remplit d'une parfaite confiance qu'importe le chemin que nous emprunterons, qu'importe le contexte dans lequel nous évoluerons, notre Seigneur sera toujours là pour nous éclairer et nous guider à bon port.
Mais ce n'est pas tout : cette lumière qui brille en nous éclaire également les personnes qui se trouvent autour de nous pour les conduire dans le droit chemin qu'est Jésus. Nous sommes des canaux de lumière à ne pas négliger !
Brillez de tout votre éclat chaque jour que Dieu fait !
Soyez béni(e).
Nous aimerions être en contact avec vous.
Notre site internet : https://www.lamcf.fr/
Notre chaine YouTube : https://www.youtube.com/c/MCFTV_Live
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Alors.
-0,05% de la population française (j'ai pris 65 millions) ça ferait 32 500 personnes.
Selon le centre ressource John's Hopkins, qui est notre référence mondiale pour nous on est au 20 juillet en France à 5 934 122 cas diagnostiqués et 111 682 morts confirmés. Je vois pas d'où le chiffre de 0,05% sort. Et la on parle que des malades, on peut pas dire que le reste de la population a pas été tres fortement impacté alors qu'il y a eu confinement.
Pour mettre en perspective la grippe espagnole en France c'était 240 000 mort en 4 ans. C'est complètement possible qu'on atteigne le même chiffre.
-Pour le fait "de pas vouloir choper une merde pour le plaisir des gens intéressé par l'argent et le pouvoir" il y a dans ce que tu dis clairement un soupson de dangerosité du vaccin et des intentions cachés dernière la vaccination, pour quelqu'un qui ne se dit pas anti vaccin c'est bizarre.
- vaccin en cours d'étude : non.
Il n'est pas possible de faire de la recherche sur quelqu'un sans son consentement. Il y a même des groupes de personnes (femme enceinte, enfants, sous protection, détenus) ou il n'est pas possible du tout de faire d'étude sauf cas très particulier.
Ici il y a une ambiguïté quand au terme "étude", ça ne veut pas dire du tout que le vaccin est en test.
Il y a 3 phases lorsqu'on fabrique un médoc :
Phase 1 : sur des volontaires sains, pour déterminer la dose maximal tolérable et la pharmacocinetique de la molécule.
Phase 2 : sur un petit groupe de patients malades volontaires dans le cadre de protocoles, pour déterminer la poso minimale efficace, la posologie optimale, la tolérance. On continu aussi parfois de regarder la pharmacocinetique.
Phase 3 : comparaison du traitement contre un placebo ou contre le médicaments de référence, étude faite sur des milliers ou des dizaines de milliers de patients.
Ce n'est que lorsque la phase 3 d'un médoc est terminé qu'il peut recevoir ou non son autorisation de mise sur le marché.
Lorsqu'on a des preuves solides d'une efficacité importante et / ou en l'absence d'alternative une autorisation de mise sur le marché temporaire peut être délivré, cela se fait surtout en cancérologie.
Enfin, et c'est la que ça nous intéresse c'est la phase 4 : les études sont terminés, le médicaments est commercialisé. On surveille et on collecte toutes les informations en conditions réelles sur la tolérance et l'efficacité. Ça permet nottament de détecter des effets secondaires très rare.
Ce n'est donc que la surveillance post mise sur le marché, ça concerne tout les médoc et c'est complètement normal, et cette phase là on peut la faire durer 30 ans si on veut. (surtout si on veut detecter les formes rares de complications et qu'on a pas beaucoup de patients).
-N'empêche pas de choper ou filler le covid: oui.
Absolument.
Le vaccin n'est pas une protection à 100% c'est tout à fait vrai. Tout comme la ceinture ne sauve pas tout le temps la vie.
Aucun médoc ne marche à 100%.
En infectiologie la "bible" s'appelle Le Pilly, c'est l'ouvrage de référence pour apprendre l'infectiologie et les traitement. Pour chaque maladie pour aurez un traitement ET le traitement en cas d'échec. Parce que ça marche jamais tout le temps.
Pour ce qui est du vaccin.
Selon une étude anglaise pas encore publiée par Stowe and all. Effectiveness of covid 19 vaccines against hospital admission with the delta (b. 1.617.2) variant, on est à 96% d'hospitalisation en moins (donc de forme grave) avec Pfizer et 92% de moins avec astrazeneca, 94% de moins tout vaccins confondu.
Pour la transmission, selon l'étude de l'insitut Pasteur de Paolo and all. Epidemiology and control of Sars cov 2 epidemics in partially vaccinated population : a modeling study applied in France, la transmission du virus est divisé par 12 lorsqu'on est vacciné par rapport à une personne non vacciné.
Alors oui 94% d'efficacité et diviser la contamination par 12 c'est pas du 100% efficace. Mais franchement il faut être de mauvaise fois pour refuser au prétexte que c'est pas 100%.
-au niveau médecine ils ne sont pas d'accord.
On a un putain de consensus scientifique. Les études sont sans ambiguïtées. Que Jean michmuche explique sur tf1 que ça va rendre les gens malade n'est pas une remise en question du consensus des chercheurs sur la questions.
- si dans 2, 5 ou 10 ans des problèmes de santé touchent la population.
Pour l'instant les effets indésirables, bénins ou grave, fréquents ou rares on eu lieux de manière très rapprochée avec la vaccination, ce qui est logique.
Il n'y a aucune raison de penser qu'il pourrait y avoir des effets indésirables à long terme. La vaccination est un phénomène bien connu et ancien (le dtp à eu 100 ans en juin).
Et l'argument du "mais on sait pas" c'est pas un argument très intéressant. .. On ne sais pas si en sortant de chez soi on va pas se faire agresser par un dindon sauvage, pourtant on ne reste pas chez soi "par précaution". Il faut plutôt se demander "à t'on des raisons de penser que", et la réponse est aucune.
Le soucis c'est que pour dire des choses qui ne se basent pas sur le réel ça prend une minute, pour écrire tout ça et mettre les sources ça m'en a pris 40.
Bref en deux mots : non il n'y a pas de volonté caché de gagner "du pouvoir" avec les vaccins, non ils ne sont pas en test, oui ils sont très efficaces, oui il n'y a rien qui laissent à penser à des effets indésirables à long terme et oui le covid ça touche pleins de monde.
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Les candidats (potenciels) aux présidentiels as membres de ta famille a Noël :
Ricard:
- pas invité mais est là car la famille l'a laissé venir
- "alors les femmes..."
- incroyablement raciste et misogyne
- tu souhaites qu'il s'étouffe avec sa bûche
- essayes de te refiler son bouquin mal emballé
- a une femme plus jeune que lui et une brochette de gamins foutrement effrayants
- pourquoi tout le monde le laisse parler en fait ????
Nat :
- vient d'un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître
- essaye de mettre à tout prix l'Internationale durant la soirée
- plutôt hors sol sur certaines questions mais sans mauvais esprit
- "le vrai problème écologique c'est la chasse à courre >:c"
- tu as une sincèrement de l'affection pour elle
- appelle les gens qu'elle apprécie "camarade"
- "oh tata Le Capital comme l'an dernier vraiment fallait pas"
JEAN :
- boit beaucoup de gros rouge
- conseiller municipal de Florent sur René
- il aime le terroir
- tu pourrais être attendri.e si il n'harcelait pas sexuellement sa secrétaire
Patrick :
- il n'a pas de chemise mais plein de répartie
- n'est pas là pour sauver Noël mais te le rendra supportable
- comment ne pas l'apprécier c'est probablement ton seul soutient moral ?
- ne voulait pas venir cette année mais n'a pas trop eut le choix
Hélène :
- t'offres des produits non testés sur les animaux mais qui ont exploités des gens sans trop de soucis
- tu la défends quand elle parle du foi gras quand même
- ????
OMICRON :
- il a lancé sa startup y'a 5 ans et passe son temps à t'expliquer la vie
- tête de jeune premier à qui tu voudrais coller deux baffes
- "tout le monde peut réussir, encore faut il faire des efforts ;)"
- "on peut débattre avec tout le monde"
- persuadé de juste être "réaliste"
- avant plus de gens croyait en sa bonne foi mais depuis le Noël pourri qu'il a organisé où tout le monde est tombé malade, les gens l'aiment moins
- bien fait pour lui
Jaquot :
- a vu "Seul sur Mars" 93 fois exactement
- il croit aux petits hommes verts
- il le place dans vraiment toutes les discussions
- comme personne ne l'écoutes il te fait un peu de peine
- après tu sais pas si tu aurais trop envie de l'écouter
- cette année il ne vient peut être pas et tu te dis que ça va peut être te manquer un peu
Annie :
- très probablement fan de Pierre Rabhi
- elle se fait basher par tout le monde
- tu serait triste pour elle si elle avait pas des positions douteuses
- elle pense avoir sauvé Noël en étant venue en vélo
- elle aime le respect (et la police aussi)
- tout le monde se moquait de son ex mais il était moins nul quand même
Christie :
- a dit qu'elle boudait et qu'elle viendrait pas
- elle est venue quand même
- elle a plus de charisme qu'Annie mais en vrai elle dira la même soupe
Arnoldo :
- veut faire copain avec pleins de gens qui l'apprécient pas du tout
- offre son propre miel que tout le monde trouve dégueu
- il est assez pathétique
- personne réponds à ses sms
- veut tout remonter mais tu veux juste lui remonter les bretelles
- comme Christie il pars souvent bouder
Anasse :
- de base, il devait faire une contresoirée avec Patrick mais y'a eut des complications
- trop sympa mais personne ne l'écoute
Jean Luche :
- sa femme et ses enfants ont un discours plus intéressant que lui mais il parle plus fort.......
- dit qu'il est pour l'égalité des droits avec un ton patriarche
- il dit pas que des conneries mais si il pouvait arrêter de hurler
- tu arrives pas trop à savoir ce qu'il pense vraiment ou ce qu'il fait pour avoir la vedette
- tu finis par le défendre quand même des fois (à contrecœur car il t'énerve)
Valoche :
- GATEKEEP GASHLIGHT GIRLBOSS
- adore Margaret Thatcher
- a réussit face à ses comparses masculins dans son entreprise
- dit que c'est grâce à son "instinct féminin"
- son "instinct féminin" a viré une bonne partie du personnel sans problème en tous cas
- pleins de gens l'admirent et ça te fout la gerbe
Yann :
- offre des jouets en bois à ton neveu de 2 ans
- t'aime bien sa femme mais clairement lui est nul
- t’invites à des vernissage de travail sur bois un peu new age avec un concert de contrebasse
- te parle à chaque fois pendant des plombes de banalités
FRANCIS :
- "ça si vous ne le saviez pas, c'est un complot"
- il te saoule et en plus lui aussi harcèle sa secrétaire
- "EST CE QUE VOUS CONNAISSEZ FRANCIS ?????" - ses neveux, partout
- probablement en train d'écrie un livre "arrêtez d'être un mouton : les questions qui fâchent (sur les états-unis)"
Fabien :
- c'est la version infernale de Nat
- n'était pas venu pendant un paquet de Noëls et réapparait comme par magie
- il avait manqué à personne
- lui est pas seulement hors sol il est quand même raciste aussi
Marie La Peine :
- d'habitude on entends qu'elle mais depuis que Ricard est là elle se fait plus discrète
- toujours là pour être raciste cependant
- potentiellement accompagnée de sa nièce démoniaque
- son rire te glace le sang
- "oh moi je suis une femme simple, j'aime les livres, m'occuper de chats et être xénophobe c'est tout"
- Daddy issues
Dupont :
- son discours est infâme mais comme il est ridicule tu te moque surtout de lui
- il te fait peur quand même
(courage à vous par ces temps troublés et bonnes fêtes)
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Walking on (thin?) ice
Que faire quand c'est la Saint-Valentin mais que vous êtes à plus de 2 000 km de votre Amorcito ? La meilleure chose à faire est d'espérer un début d'hiver extrême et d'aller se promener avec ses copines ! Après un hiver peu spectaculaire, avec pratiquement rien d'autre que de la pluie et de la tristesse, les températures à Berlin sont soudainement tombées bien en dessous de zéro à la mi-février. Pendant toute une semaine, le thermomètre n'a pas dépassé les -5°C, même en journée, et il a neigé sans s'arrêter.
Was tun wenn Valentinstag ist, man aber über 2.000 km weit weg von seinem Amorcito ist? Am besten man hofft auf einen extremen Wintereinbruch und geht dann mit seinen Freundinnen spazieren! Nach einem eher unspektakulären Winter mit praktisch nur Regen und Traurigkeit fielen Mitte Februar die Temperaturen in Berlin aus heiterem Himmel plötzlich weit unter Null. Eine ganze Woche lang kletterte das Thermometer auch tagsüber nicht über -5°C und es schneite ununterbrochen.
¿Qué hacer cuando es San Valentín pero estás a más de 2.000 km de tu amorcito? Lo mejor es esperar una llegada extrema del invierno y luego salir a pasear con tus amigas. Después de un invierno poco espectacular en el que prácticamente no ha habido más que lluvia y tristeza, a mediados de febrero las temperaturas en Berlín cayeron de repente muy por debajo de cero. Durante toda una semana el termómetro no subió más allá de los -5°C incluso durante el día y nevó continuamente.
Cette semaine extraordinaire au pays des merveilles hivernales a été couronnée par un week-end ensoleillé, mais il faisait toujours aussi froid. Berlin, comme je l’ai déjà mentionné, est entourée et criblée de lacs. En fait, le nom de Berlin vient du polabe (ancienne langue slave) et signifie quelque chose comme "ville près/dans le marais". Qui aurait l'idée de construire une ville ici ? Et pendant que nous y sommes, les tuyaux colorés (rose vif) que l'on voit souvent sur les chantiers de la ville sont utilisés pour pomper toute l'eau qui s’accumule. Il est trop coûteux de l'évacuer par le système d'égouts existant, c'est pourquoi elle est déversée dans la Spree par cette voie. Encore appris quelque chose !
Gekrönt wurde diese außergewöhnliche Winterwunderlandwoche mit einem strahlend sonnigen Wochenende, das aber immer noch eiskalt war. Berlin ist, wie bereits erwähnt, von Seen umgeben und durchlöchert. Tatsächlich kommt der Name Berlin aus dem Polabischen (alte slawische Sprache) und heißt soviel wie “Stadt am/im Sumpf”. Wer kommt denn auf die Idee, hier eine Stadt zu bauen?? Und weil wir grad am Klugscheißen sind, die bunten (knallrosa) Rohre die man oft bei Baustellen in der Stadt sind, dienen zum Abpumpen des ganzen Wassers, das bei diesen Arbeiten halt ein bisschen im Weg ist. Es über die bereits vorhandene Kanalisation zu entsorgen ist zu teuer, deswegen wird es über diesen Weg in die Spree entsorgt. Wieder was gelernt!
Esta extraordinaria semana en el país de las maravillas invernales fue rematada con un soleado fin de semana, con un frío todavía glacial. Berlín, como ya os he dicho, está rodeada y agujereada de lagos. De hecho, el nombre de Berlín procede del polabio (antigua lengua eslava) y significa algo así como "ciudad junto/en al/el pantano". ¿A quién se le ocurrió construir una ciudad aquí? Y ya que estamos, las tuberías de colores (rosa chillón) que se ven a menudo en las obras de la ciudad se utilizan para bombear toda el agua que se interpone. Es demasiado caro eliminarlo a través del sistema de alcantarillado existente, por lo que se vierte al Spree por esta vía. ¡Aprendida otra cosa!
Juste à l'entrée du lac, il y avait un petit panneau qui indiquait clairement qu'il était interdit de pénétrer sur la surface glacée, mais personne ne semblait s'en soucier. Et comme nous sommes les humains - si les autres le font, ce ne sera pas dangereux. Après quelques hésitations, nous sommes également entrés dans le lac. C'était la première fois de ma vie que je me tenais sur un lac complètement gelé ! Les gens jouaient au hockey, patinaient (les deux patinoires de Berlin étaient fermées à cause de Corona) ou étaient simplement... heureux. Après tant de semaines d'obscurité, j'ai retrouvé une certaine normalité en voyant tous ces gens contents.
Gleich am Eingang des Sees stand ein kleines Schild auf dem deutlich gemacht wurde, dass das Betreten der Eisfläche verboten war, allerdings schien sich niemand besonders darum zu scheren. Und wie wir Menschen halt sind - wenns die anderen machen wird’s schon nicht gefährlich sein. Nach anfänglichem Zögern betraten also auch wir den See. Es war das erste Mal in meinem Leben, dass ich auf einem komplett zugefrorenen See stand! Die Leute spielten Hockey oder liefen Schlittschuh (beide Eislaufhallen in Berlin waren wegen Corona geschlossen) oder waren einfach … glücklich. Nach so vielen Wochen Dunkelheit fühlte ich beim Anblick all dieser fröhlichen Menschen wieder sowas wie Normalität.
Justo a la entrada del lago había un pequeño cartel que dejaba claro que estaba prohibido subirse a la superficie de hielo, pero a nadie parecía importarle mucho. Y como somos humanos, si los demás lo hacen, no será peligroso. Después de algunas dudas, también entramos en el lago. Era la primera vez en mi vida que me paraba en un lago completamente congelado. La gente jugaba al hockey o patinaba (las dos pistas de Berlín estaban cerradas por culpa de Corona) o simplemente estaba... feliz. Después de tantas semanas de oscuridad, volví a sentir algo parecido a la normalidad al ver a toda esa gente contenta.
A Russian, An Italian, An Austrian and an Israeli meet on a German lake...
Plus tard, alors que le froid entrait lentement dans nos os, nous avons vu des voitures de police arriver et nous sommes rapidement partis. D'un côté, bien sûr, je comprends parfaitement qu'il est dangereux d'avoir autant de personnes sur une plaque de glace d’une épaisseur inconnue, mais d'un autre côté, que faire un jour pareil ?
Später, als uns die Kälte dann doch langsam in die Knochen fuhr, sahen wir einige Polizeiwägen kommen und machten uns schnell aus dem Staub. Einerseits hab ich natürlich vollstes Verständnis, dass soviele Leute auf einer unbekannt dicken Eisplatte gefährlich sind, aber andererseits, was hätte man an so einem Tag auch tun sollen?
Más tarde, cuando el frío se fue metiendo poco a poco en nuestros huesos, vimos llegar unos coches de policía y nos fuimos rápidamente. Por un lado, por supuesto, comprendo perfectamente que tanta gente en una placa de hielo de grosor desconocido sea peligrosa, pero por otro lado, ¿qué hay que hacer en un día así?
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Ethalia - Chapitre 11
Ethalia - Jongin
Paire : Jongin x OC (Yo Jeong)
Genre : Fantasy AU, Surnaturelle AU, Academy AU
Nombre de mots : 3015 mots.
Chapitre : 1 ; 2 ; 3 ; 4 ; 5 ; 6 ; 7 ; 8 ; 9 ; 10 ; 11 ; 12 ; 13
A/N : Salut, alors voici le chapitre 11, ce chapitre est un plus triste que ceux que j’ai pu écrire, je vais pas vous mentir que je n’ai jamais écrit des scènes ou quoi, et c’est d’ailleurs en me relisant que je me suis rendue compte que dans ma propre vie, je n’ai jamais vécu de moments très tristes, comme par exemple la mort d’un proche ou bien la dispute ou ce genre de chose... J’ai en fait une vie de Bisousnours !
Bref j’espre que ce chapitre vous plaira !
Restez en bonne santé !
Chapitre 11 :
Huit jours sont passés depuis le petit accident avec Jongin, depuis il est toujours venu aux études facultatives que nous avons en commun, le lundi à 16 heures, le mardi matin et le tout le mercredi après-midi, au tout début, nous ne restions pas longtemps ensemble, soit à cause de moi, qui en avais marre, soit à cause d’une de ses urgences, mais nous pouvions rester plusieurs heures d’affilées sans trop être gênés, enfin par ‘’nous’’ je voulais dire ‘’je’’ car d’après ce que j’ai pu voir pendant nos moments passés ensemble à la bibliothèque il n’était pas du tout gêné de me fixer pendant plusieurs heures sans s’arrêter ce qui m’a énormément surprise, comment une personne pouvait rester là sans rien faire à juste regarder quelqu’un d’autre, sans détourner le regard ? C’était surhumain…
Pendant ces moments passés ensemble, nous nous sommes beaucoup rapprochés, par exemple, nous pouvions tenir une conversation normale, sans que je m’énerve contre lui, nous nous étions parfois promenés dans les jardins de l’académie avant le déjeuner, après être sortis de la bibliothèque.
Lors des conversations que nous avons tenues ensemble, il m’a étonnamment parlé de son enfance avec son père, sans sa mère, les entraînements avec Mars pourtant qu’il n’avait même pas dix ans, dès son plus jeune âge son père avait énormément d’attentes envers lui, à cause du pouvoir qu’il héritait de celui-ci, d’après ce que j’ai pu comprendre, il pouvait faire apparaître n’importe quelles armes et la manier à la perfection, et il m’a aussi raconté qu’il avait second pouvoir, il pense qu’il proviendrait de sa mère, mais qu’il aurait une vitesse tellement vite qu’on dirait qu’il se téléportait. Il était définitivement le total inverse de moi niveau condition physique, lui pourrait sûrement tenir plusieurs heures à se battre contre quelqu’un, porter des poids faisant deux fois le mien, parcourir l’entièreté de l’académie en courant sans aucun problème, tandis que moi rappelez-vous après quelques mètres à courir, j’étais partie à l’infirmerie !
Les conversations qu’il a tenues avec moi, m’ont énormément choquées, je n’aurai pas pensé qu’il se serait tant ouvert à moi, il m’a révélé son passé, à moi une étudiante lambda, qui voulait juste réussir ses études dans cette académie, ce qui est sûrement le but de tous les élèves dans cette académie. Certes, j’avais un énorme secret à cacher du monde sinon je pouvais mourir dans la seconde qui suit, mais si on enlevait cela, je n’avais rien de trop exceptionnel.
Je fus soudainement sortie de mes pensées par une tape sur mon épaule, je tournai mon regard vers la personne pour découvrir Ilg Da, les sourcils froncés d’inquiétude. Je remarquai qu’il ne restait plus que nous dans la salle, je fis un petit sourire d’excuse soupçonnant qu’elle m’avait attendue tout le long, puis rangeai les quelques affaires que j’avais, enlevai mes lunettes de mon nez en les rangeant dans leur boîte et nous partîmes vers notre prochain cours.
On arpentait les longs couloirs bondés dans l’académie quelques élèves s’inclinant devant moi, depuis quelques jours ça s’était un peu calmé, et j’en étais vraiment contente, ça me dérangeait toujours de voir des personnes plus âgées que moi s’inclinant avec respect soudainement en plein milieu du couloir.
Nous sortions dans la cour extérieure où se trouvait la serre commençant à se remplir des élèves de notre classe, et du terrain d’entraînement de combat toujours en plein dans leur cours, faisant comprendre qu’ils étaient déjà là avant, et en apercevant la transpiration coulant sur tout leur corps, ils y étaient depuis longtemps, me faisant grimacer en m’imaginant à leur place et faire des exercices physiques semblable qu’aux leurs. Cette classe n’était pas n’importe laquelle en niveau combat, ils étaient les secondes années, ils ne rigolaient donc pas du tout.
J’aperçus dans la classe, une touffe de cheveux verts, très familière, c’était la classe Jongin, avec ses trois amis, eux aussi en seconde année : Chanyeol, Kyungsoo et Sehun. Les filles de ma classe bavaient littéralement devant eux, sûrement grâce au fait apercevoir chacun de leurs mouvements sous leur t-shirt, et aussi les muscles de leurs bras. Je roulai des yeux à la vue, des filles de ma classe, et continuai à me diriger vers la serre, quand je sentis une main retenir mon poignet. Je me tournai pour de nouveau voir Ilg Da froncer les sourcils, cette fois-ci un air plutôt déterminé dans ses yeux, je pouvais facilement sentir qu’elle voulait parler avec moi de quelque chose d’important.
‘’ Na Mu, on peut parler de quelque chose ensemble ? ‘’ Bingo. ‘’ C’est important. ‘’ elle déclara, je me tournai vers la serre, pour voir toujours les filles bavaient devant les garçons indiquant que le cours n’avait toujours pas commencé. Je me retournai vers elle, pour lui hocher la tête ; lui indiquant de commencer. ‘’ Eh bien voilà, ça fait quelques jours, que j’ai l’impression que tu t’éloignes de nous, en fait j’ai l’impression que tu passes plus ton temps à travailler dans la bibliothèque ou même dans la chambre. ‘’ elle s’expliqua, puis elle lâcha mon poignet de sa main, et baissa la tête et recommença à parler. ‘’ La preuve, hier par exemple, tu n’es pas venue manger avec nous, le soir, en disant comme excuse que tu devais travailler. ‘’ elle s’arrêta pour lever sa tête vers moi. ‘’ Est-ce-que c’est à cause de nous ? ‘’
‘’ Hein ?! Non pas du tout. Je… euh… Je ne sais pas trop pourquoi en fait. ‘’ lui répondis-je en me grattant l’arrière de ma tête.
‘’ Tu veux dire que tu t’épuises, tu manques du temps avec nous et ne mange pas, et tu ne sais pas pourquoi ? ‘’ demanda-t-elle en commençant à élever la voix.
‘’ C-calme-toi. ‘’ essayai-je de la calmer pour éviter de trop nous faire remarquer par les élèves, et les déranger pendant leur cours. ‘’ ça doit être sûrement parce que j’ai envie de réussir mes études à l’académie. ‘’ supposai-je.
‘’ Et tu penses que c’est en t’épuisant que tu vas réussir ? ‘’ demanda Ilg Da, la colère se lisant clairement sur son visage. J’étais vraiment choquée par sa soudaine explosion, c’était sûrement la première fois que je la vois comme ça.
‘’ J’ai l’impression que tu prends un peu pour une idiote Ilg Da, je suis assez grande pour savoir ce qui m’épuise, je sais comment faire attention à mon corps, je sais comment m’occuper de lui, j’ai vécu presque toute mon enfance sans sûrement les personnes les plus importantes de toute une vie. Ilg Da j’étudie pour devenir médecin, plus tard je veux soigner les gens, je veux les sauver, je veux les aider pour avoir la meilleure santé possible, je veux les aider à avoir un corps sain, et pour ça, un médecin digne de soi doit savoir ce qui est mauvais pour le métabolisme du corps, il doit savoir quand la ligne est atteinte, et quand celle-ci est dépassée il doit savoir comment revenir en arrière. S’il ne comprend pas ça, il sera un meurtrier. ‘’ je me retournai alors pour partir vers la serre, laissant Ilg Da derrière moi, sans lui adresser aucun regard. J’accélérai le pas et arrivai enfin devant la serre je mis les gants de jardinage et les lunettes obligatoires. En entrant dans la serre j’attachai mes cheveux dans une queue de cheval quand je vis Ryujin et Chae Won s’approchaient de moi, les sourcils fronçaient.
‘’ Qu’est-ce qu’il vous est arrivées à Ilg Da et toi ? ‘’ demanda Chae Won. Je soupirai.
‘’ Ne m’en parlez pas, s’il te plaît. ‘’ je la suppliai, ne voulant pas repenser à la scène précédente.
‘’ Vous vous êtes disputées ? ‘’ supposa Ryujin croisant ses bras sur sa poitrine, je me tus baissant ma tête, n’osant regarder personne. Priant pour que le professeur arrive et commence le cours comme d’habitude.
Puis je repensai à cette dispute, pourquoi est-ce-que je suis allée aussi loin, elle ne me voulait aucun mal, elle était juste inquiète pour moi, elle voulait me donner son avis sur ce que je faisais, je suis vraiment stupide ! Je suis une telle conne ! Notre amitié a pris un sérieux coup à cause de toi Yo Jeong ! il allait y avoir des conséquences à cause de toi ! Peut-être qu’elle ne viendra plus me parler, peut-être même qu’elle ne m’approchera plus jamais, je ne verrai plus son sourire, je n’entendrai plus jamais son rire, je ne pourrai plus rigoler avec elle, je n’aurai plus d’autres moments à chérir avec elle. Je ne la verrai plus, je vais perdre son amitié. Pourquoi est-ce-que tu as dû ouvrir ta gueule Yo Jeong ? Pourquoi ? A cause de toi tout était fichu !
Je relevai ma tête, m’insultant toujours mentalement pour voir Ilg Da entrer dans la serre à son tour mettant ses gants, il n’y avait plus de sourire que j’avais l’habitude de voir avant, elle avait un visage triste, ses yeux semblaient être gonflés signifiant qu’elle aurait pleuré, l’étincelle auparavant si brillante était devenue tellement sombre qu’on ne pouvait plus la voir, elle avait disparu. Elle tourna sa tête vers nous mais elle détourna directement son regard quand il tomba sur le mien.
‘’ Je vais aller lui parler. ‘’ déclara Chae Won, se dirigeant vers elle, Ryujin pour l’instant n’arrêtait pas de me fixer mais cela je m’en fichais, je continuai à m’insulter de tous les noms mentalement. Soudain, Ryujin prit la parole :
‘’ Pourquoi vous vous êtes disputées ? ‘’ je soupirai une nouvelle fois en me rappelant la scène.
‘’ C’est pour quelque chose de vraiment futile. ‘’ déclarai-je. ‘’ Elle s’inquiétait pour mon état, elle pensait que je m’épuisais. Je ne sais pas pourquoi mais ça m’a rendu en colère et j’ai explosé. ‘’
‘’ Donc en conclusion c’est toi la fautive. ‘’ cela faisait vraiment mal, mais c’était la vérité, Ilg Da n’a rien à se reprocher, elle était juste inquiète pour moi. ‘’ Bon écoute laisse lui un peu temps juste pour tout atténuer, et pour vous deux et après tu pourras aller t’excuser. ‘’ Je hochai la tête en accord avec ce qu’elle a dit et attendis l’arrivée du professeur de botanique.
Je finis d’arroser la dernière fleur, pour relever mon regard pour apercevoir Ilg Da sortir de la serre en trombe, je la regardai tristement partir sans que je ne puisse rien faire, d’après Ryujin il fallait que je lui laisse un peu d’espace et de temps. Je me dirigeai vers la sortie de la serre, en enlevant mes gants et mes lunettes pour les placer à leur place initiale. Puis je me retournai pour voir Ilg Da s’éloigner de plus en plus, Chae Won sortit elle aussi de la serre en enlevant ses gants, en m’envoyant un regard triste, je lui fis un petit sourire rassurant, puis elle partit tout de suite à la poursuite d’Ilg Da, certainement pour ne pas la laisser seule. Ryujin sortit à son tour de la serre en enlevant ses gants de jardinage. Elle me regarda :
‘’ Tu viens manger ? ‘’ je baissai mon regard par terre. Puis je secouai la tête.
‘’ Non je-je n’ai pas faim, je suis désolée. ‘’ je m’excusai puis m’éloigner vers les jardins de l’académie, en repensant toujours à cette stupide dispute, tout ça à cause de moi et de mon imbécilité.
Je m’arrêtai, sur mon chemin, pour gémir de frustration en attrapant mes cheveux et les serrai dans mes mains. Les personnes passant dans les parages pourraient sûrement me prendre pour une folle mais pour être je m’en fichais complètement.
Je relevai lentement ma tête, en lâchant mes cheveux de mes mains, les laissant à leur place initiale un peu décoiffés à cause de ma prise. Les yeux fermés, je profitai des doux rayons de soleil tapant contre ma peau, l’air frais dû à l’altitude, me faisant un peu frissonner, mais cela me plaisait, cela me calmait, cela faisait vraiment du bien, c’était sûrement le seul moyen de pouvoir me calmer. J’enlevai cette dispute de ma mémoire pour les remplacer, par de beaux souvenirs, ceux que je chérissais : des images de ma mère, de mes meilleures amies, de ma grand-mère, de mon village, de Man Yeo, emplissaient maintenant tout mon corps, un petit sourire apparaissant sur mes lèvres, mais tout à coup, je vis cette image, Ilg Da les yeux rouges et gonflés à cause des larmes, je ne pouvais retenir, je sentais des larmes, j’étais en train de pleurer, pleurer de frustration, pleurer pour la libérer, libérer la tristesse, les regrets, les remords, je laissai tout s’échapper sous forme de larmes espérant que tous ses sentiments soient oubliés à tout jamais.
Soudain, je sentis une étrange chaleur au milieu de mon dos, je ne l’avais jamais ressenti auparavant, mais cela ne me dérangeait pas, au contraire ça me rassurer, ça me réconforter. Je soupirai sous la chaleur, gardant mes yeux fermés, mais les larmes coulant toujours jusqu’en bas de mes joues. La chaleur bougeait dans mon dos, elle traçait parfois des cercles, et parfois juste des dessins indescriptibles.
J’essuyai les dernières larmes coulant sur mes joues, puis me retournai vers la source de chaleur, quand je vis sûrement l’homme dont je suis le plus proche dans cette académie, les mêmes cheveux verts tombant paresseusement sur son front, les mêmes formant une ligne droite se rabaissant un peu sur ses coins, les mêmes yeux vairons impassible, j’aurais pu jurer d’avoir vu une autre émotion cachée au fond de son regard. Je lui fis un faible sourire, puis en reniflant, je lui dis un faible :
‘’ Merci… Jongin… ‘’ il hocha la tête. Je soupirai en regardant mes pieds, en repassant, puis fis un petit sourire. ‘’ Tu dois sûrement me prendre pour une folle, voir quelqu’un comme ça en plein milieu de la journée, sans aucune raison. ‘’
‘’ Tu as une raison. ‘’ il déclara, je pouvais parier que maintenant il avait les sourcils froncés.
‘’ Oui c’est vrai, j’en ai une, mais elle est vraiment stupide, enfin… c’est plutôt moi qui suis stupide… ‘’
‘’ Qu’est-ce-que tu racontes ? ‘’ il demanda.
‘’ J’ai gâché sûrement l’une des amitiés les plus importantes que j’ai jamais eue, juste parce que je ne pensais qu’à moi. ‘’ je déclarai en déversant toute la haine que j’avais pour moi-même. ‘’ A cause de mon égoïsme, j’ai perdu mon amitié avec ma meilleure amie, à cause de moi elle ne m’approche plus, ne me parle plus, elle a même pleuré ! ‘’ s’exclamai-je levant ma tête vers le ciel ensoleillé de l’après-midi, dos à Jongin. ‘’ Tu sais, j’ai appris quelque chose sur moi aujourd’hui. ‘’ je me tournai vers lui pour voir ses sourcils froncés, la colère dans ses yeux mélangé à de la tristesse, ou peut-être de la pitié. ‘’ J’ai appris que je suis une personne égoïste, et complètement idiote, j’ai compris que je ne méritais pas votre amitié à vous tous, vous méritez tellement mieux, vous méritez une personne qui va vous écouter, prendre soin de vous, va vous aider, va vous encouragez dans vos projet, dans vos rêves, dans votre futur et restera toujours avec vous, tu vois je suis tellement pathétique que je ne sais même pas si je vais pouvoir rester avec vous dans le futur. Jongin, je suis désolée d’être comme- ‘’ je fus interrompue, par les bras de Jongin s’enroulant autour de mes épaules, me serrant fermement et me poussant contre son torse musclé, je pouvais sentir son odeur étrangement douce s’infiltrer dans mon nez, mon front collait sur son torse, mes bras pendants à mes côtés, je sentis une des mains de Jongin se mettre derrière ma tête, je ressentis les battements fous de mon cœur à travers tout mon corps, battant dans mes oreilles à une vitesse folle, je pouvais parier qu’il pouvait lui aussi le sentir battre contre ma cage thoracique, c’était la première fois que je ressentais ce genre de réaction de la part de mon corps et mon cœur, peut-être parce que c’était la première fois qu’un homme m’enlaçait ? En tout cas je me sentais tellement bien dans ses bras et je ne voulais pas les quitter.
Je sentis son souffle contre mon oreille la chatouillant, puis je l’entendis chuchoter doucement :
‘’ Je t’interdis de te décrire comme ça, car ce n’est pas toi, tu es tout le contraire. Certes ça ne fait pas longtemps que l’on se connaît, mais avec les jours où j’ai eu la chance d’apprendre à te connaître, j’ai compris que tu es la personne la plus intelligente, la plus gentille, et que tu pourrais donner toute ta vie pour aider tes amis, je te respecte tellement pour ça, alors je ne veux pas que tu te sous-estimes, se traite d’égoïste et d’idiote. Je ne veux pas qu’elle se décrit comme étant une personne qu’elle n’est pas. ‘’ je sentis les larmes couler le long de mes joues, ses mots, ils avaient frappé directement mon cœur, je levai mes bras pour les enrouler autour de sa taille, en me recroquevillant dans son torse, en évitant de lâcher tout sanglots pour éviter qu’il remarque que j’étais en train de pleurer, ce qui était complètement inutile puisque mes épaules tremblaient tellement qu’on pouvait croire qu’il y avait un tremblement de terre.
Nous restions alors enlacer l’un contre l’autre, moi en train de pleurer contre son torse, et lui caressant doucement l’arrière de ma tête comme pour me réconforter, puis j’abandonnai enfin mes sanglots se libérant de ma gorge, et audible par toute personne passant par là. Je serrai plus fermement mes bras autour de lui, me réconfortant dans sa douce odeur et sa chaleur réconfortante, me faisant croire comme qu’il allait pouvoir toujours rester avec moi, à mes côtés, qu’il ne me quitterait jamais, ce que, secrètement au fond de moi, je voulais, mais je le savais, je savais qu’un de nous allions être séparés à cause de ce destin qui n’attendait de pied fermes, ce destin que je ne voulais pas.
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Ma routine à Kobe
Jusqu’ici je ne vous ai que partagé mes voyages et week-end depuis que je suis au Japon mais n’ai toujours pas eu l’occasion de partager d’informations sur ma vie quotidienne. Car oui, je ne fais pas que voyager, loin de là! Comment se passe le travail, les relations avec les Japonais, les choses étonnantes que j’ai remarquées ici, mes horaires, où je vis, ce qui est prévu pour les prochains mois…
Beaucoup de choses à dire donc que je ne pourrai pas résumer sur un seul post Tumblr, ce sera donc en plusieurs fois ! Pour cette fois ci je vais expliquer ce que je fais en semaine et de mes conditions de vie de manière générale, sans rentrer trop dans les détails. Pas beaucoup de photos donc étant donné que pour des raisons de confidentialités je ne veux pas échanger de photos du site sur lequel je travaille.
Reprenons depuis le début : je suis en mission VIE (Volontariat International en Entreprise) pour Exotec, une entreprise qui fait des robots pour les entrepôts logistiques.
Le contrat VIE est particulier car c’est un contrat français dont la rémunération ne se déclare pas sur la déclaration d’impôt (donc bénef pour Anais et moi vu qu’on est PACSés), nous assure une rémunération correcte et nous permet d’avoir notre logement pris en charge par l’entreprise. Je ne suis donc pas à plaindre financièrement.
Le projet sur lequel je travaille est donc à 35 minutes de voiture au nord de Kobe, c’est pourquoi Exotec nous a trouvé des appartements dans une résidence commune pour 5 d’entre nous, pas loin du centre ville.
On a également 2 places de parkings et deux voitures pour tous les 5 ce qui facilite grandement les déplacements. Les appartements sont vraiment bien, pas énormes (environ 35m2) mais suffisants pour s’y sentir chez soi. Le gros avantage est que c’est un meublé et équipé, il n’y avait donc qu’à poser nos valises (petit four et plaques au gaz, frigo, bouilloire, cuit-riz, micro-onde, couverts et ustensiles de cuisines, lave-linge, TV et même une PS3 ! ). Je suis au rez de chaussée donc pas top pour la luminosité mais de toute manière on rentre tellement tard qu’il n’y a pas le temps de voir le soleil chez nous.
Pour le côté moins bien, ma chambre est composée initialement de 2 lits simples, donc un des 2 ne sert à rien. Au final j’ai pris un peu de temps pour réaménager les meubles, démonter un lit, installer un peu de décoration ramenée de France et acheté quelques plantes pour un résultat final qui ressemble à ça :
Tous les matins donc je me réveille à 6h20 pour un départ à 7h. Le matin c’est comme en France : un café, et tartines de beurre de cacahuète confiture.
J’arrive à l’entrepôt autour de 7h30 / 7h45, munis de mon brassard Exotec et saluons le concierge avec un “Ohayou Gozaimasu”, bonjour d’embauche. Toutes les personnes travaillant sur le chantier doivent être en possession du brassard de son entreprise pour pouvoir être identifié facilement, et tous les déplacements au sein de la zone de chantier (donc la moitié du temps) se fait obligatoirement avec un casque de chantier.
La journée commence toujours par une succession de réunions dont certaines sont inutiles, parmi elles la première. A 8h pétantes, TOUS les ouvriers se retrouvent dans l’entrepôt et les responsables de chaque équipe présentent les actions du jour. Nous on ne comprend rien et ne parlons même pas car tout est en Japonais, on est uniquement là pour faire de la figuration et montrer que les français sont là. A la fin de ce rassemblement, tout le monde pointe du doigt un étendard sur lequel des consignes de sécurité sont inscrites et tout le monde les répète à l’unisson. Ca fait vraiment secte dit comme ça...et ça y ressemble beaucoup !
Une fois cette première réunion finie, on fait notre standup Exotec pour lister les tâches du jour, en anglais cette fois. Et une fois fini, à la demande de l’entrepôt on doit faire le kewai. Il s’agit de remplir une feuille tous les jours en notant les tâches à réaliser aujourd’hui (encore), quels sont les risques auxquels on sera exposés et quelles actions mettre en place pour les réduire. Sur le papier c’est une bonne idée mais on tourne très rapidement en rond car chaque jour c’est la même chose. A savoir qu’avant qu’on arrive tout le monde se retrouvait pour une séance de gymnastique de 10 minutes! Je ne l’ai fait qu’une fois (c’était le dernier jour car l’entreprise organisatrice partait) mais ça payait de voir tout le monde en rang d’oignon à sautiller sur place et se secouer au rythme d’une musique très enfantine!
La journée le travail est très varié : mon métier consiste à déployer le système de robotisation d’entrepôt, à partir de la conception des plans de l’entrepôt et des racks, jusqu’à avoir un système installé et qui tourne parfaitement. On récupère donc en entrée le contrat signé par l’équipe commerciale (donc lorsque le projet n’est qu’un accord signé entre le client et Exotec) et on donne en sortie le système à l’équipe de maintenance (tout est donc installé, les techniciens de maintenance n’ont plus qu’à poser les pieds sur la table, faire le travail de maintenance des robots et le client est content parce que son système tourne comme prévu). En fonction des journées je peux donc faire de la gestion de projet (que ce soit projet de Kobe ou le 2è projet Japonais qui commence en février à côté de Osaka), du développement logiciel, de l’installation de programmes informatiques, de la mise en place physique de robots, des vérifications de positionnement de racks, de grillage...des vérifications de branchements électriques, des tests de robustesse du système... bref beaucoup beaucoup de tâches qui sont compliquées à expliquer à l’écrit, mais qui sont toutes super intéressantes !
Les fins de journées trainent un peu car on est en interaction avec les équipes en France qui se réveillent quand il est 16h ici, donc il n’est pas rare de quitter l’entrepôt vers 19h30 / 20h, voir au delà. En plus de ça, les projets au Japon sont très ambitieux et demandent beaucoup d’énergie de notre part pour s’assurer que le client soit satisfait et que les dates soient respectées. Car au Japon, il est hors de question de décaler les dates qui ont été signées, même si cela implique de devoir travailler 24/24. On rentre donc chez nous pas avant 20h, généralement lessivés car les journées à l’entrepôt (qui n’est pas chauffé) sont fatigantes. En hiver il fait autour de 0°C dedans... Dur de se motiver pour sortir le soir mais au moins une fois par semaine je me force à aller courir un peu ou aller faire un nomikai (verre après le travail) avec mes collègues.
Pour résumer un peu l’état d’esprit dans lequel je suis : mieux vaut clairement être au Japon plutôt qu’en France en ce moment, ça ne fait pas de doute. C’est pas facile de se faire des amis ici en raison des horaires costauds, mais aussi du Covid qui rend les villes un peu moins animées que d’habitude. Le plus gros point noir là dedans est l’absence de ma chérie qui n’est pas tous les jours facile à vivre, mais le moral est là : il y a encore plein de choses à visiter, et je passe énormément de temps à apprendre le Japonais grâce à des applications sur téléphone. Je suis loin de pouvoir avoir une conversation et de faire des phrases correctes, mais avec mon peu de grammaire, de vocabulaire et grâce aux gestes j’arrive de mieux en mieux à me faire comprendre (mais pas encore à comprendre ce qu’on me répond..). Par exemple à l’entrepôt j’ai réussi à demander à un ouvrier de descendre une palette! (je lui ai pointé du doigt la palette en disant “sore o sageru” ce qui veut dire “descendre ça”). La langue est d’ailleurs largement facilitée par le fait que beaucoup de mots se disent en Japonais de la même manière qu’en anglais. C’est le cas de tous les mots importés d’Europe et des USA. Par exemple couteau = knife en anglais = nifu en japonais.
C’est tout pour aujourd’hui, suite au prochain épisode :)
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juste si tu veuuuux : #18, 20, 21, 36, 52, 72, 100 (+ évidemment la permission de skiper les questions, c'est personnel quand même!!!)
18 - describe your relationship using only emoticons : 🧸❤️😙🎼🐻🌧🧑🍳🐨⌚️🌸💫🐮😴👌
20 - top 5 fav things about your partner : déjà répondu mais en voici d’autres !! 1. j’aime qu’il soit l’opposé de moi physiquement parce que c drôl et ça fait de meilleurs câlins (on s’emboîte) 2. il s’intéresse à mes intérêts même s’ils sont différents des siens 3. il respecte les limites des autres à 100% 4. ses jeux de mots sont top tier (ben bottom tier mais c’est ce qui les rend top tier) 5. son ouverture d’esprit ;___; défend ceux qui en ont besoin ;___;
21 - your partner’s top 5 fav things about you : je lui ai pas demandé mais voici quelques guesses ?? 1. il me trouve attentionnée :3 2. il a déjà dit qu’on avait une belle synergie ? genre on pense souvent aux mêmes choses, on a le même humour, on se comprend 3. il complimente souvent mes outfits 4. je pense le fait que je sois douce et discrète comme lui 5. mes fesses ?? lol jsp
36. how does your partner impress you? how do you impress them? : il m’impressionne par comment chill et laid back il est souvent malgré ses horaires de fou et ses responsabilités !! aussi il m’impressionne par sa capacité à être honnête et vulnérable... j’ai souvent 1 peu de misère là-dessus... et il m’impressionne par sa patience ET il m’impressionne par toutes ses habiletés musicales il est excellent percussionniste ET excellent guitariste ET excellent bassiste et il cherche toujours à s’améliorer (et je sais po ce qui l’impressionne chez moi c’est pas le genre de question qu’on s’est posé)
52. what’s “your song”? on a pas vrm encore une chanson en particulier je pense ? on écoute souvent du jazz ou du lofi comme musique ambiante mais rien de précis. mais l’autre fois il m’a envoyé une chanson de loathe (is it really you) parce qu’il pensait à moi en l’écoutant alors ?? i guess ça pour l’instant
72 - have you both influenced each other in any way? : il me redonne confiance en moi et c’est déjà beaucoup... il m’a aussi influencé à commencer la guitare à être potêt un peu plus gentille avec moi-même. je pense que de la même façon je lui redonne aussi un peu plus confiance en lui et je lui ouvre les yeux sur des réalités avec lesquelles il était moins familier avant
100 - if were both animals what would you be? would you be the same animal ? : il serait clairement un gros ours parce que dans ma tête c’est calme et doux et chaleureux et ça donne des méga-câlins >:) et moi un poti lapin parce que c’est plutôt stressé et plus agité mais c’est aussi tout doux hihi
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Suite du replay
J’ai rejoué les épisodes 22, 23 et 24. Alors déjà je tiens à dire que j’ai fait le 22 en dépensant 1760 maanas, j’ai vérifié plusieurs fois mes chiffres parce que je croyais que j’avais la berlue mdr. Peut-être que j’avais mal noté mon nombre de départ, mais ça m’étonnerait au vu des nombres que j’avais, ça collerait pas. Bon je vais pas me plaindre :’)
La plus grosse remarque que j’ai à faire, c’est que des scènes que je croyais qu’on avait uniquement dans la route de Leiftan se retrouvent aussi dans les autres routes (genre quand on a “la chance” d’être sa binôme à Mémoria quand on cherche Ezarel, ou bien la scène du combat contre Marie-Jeanne dans laquelle on se bat en symbiose avec lui). C’est intéressant parce que ça veut dire qu’on a quand même un certain nombre d’interactions avec lui, donc plus de chances de faire le lien avec le daemon. Je crois que dans le 23 il y a une scène où Erika croise le daemon qui se transforme ensuite en Leiftan que je n’ai pas eue, mais il reste la scène au bord de la falaise à la fin du 23, en plus de la scène avec Naytili où Leiftan est clairement associé au daemon, elle s’en fait même la réflexion, comme dans la route de Leiftan.
Je tiens à préciser qu’ici je prends toutes les mauvaises réponses avec Leiftan, mon Lov’o’Meter est descendu à 5 x) Donc bon il réagit souvent de manière désagréable à ce qu’elle dit, il l’envoie bouler de façon parfois agressive, genre j’ai été choquée sur Mémoria à un moment elle veut juste lui parler et lui dit qu’à chaque fois qu’elle veut discuter avec lui il lui dit qu’on verra plus tard et ça se fait jamais, et il fait “Je n’ai simplement pas de temps à t’accorder”, la violence XD. Mis à part le scénario qui nous dit qu’on le trouve méga bienveillant, dans les faits, les répliques, Erika est quand même beaucoup moins attachée que dans mon premier playthrough, d’un point de vue logique elle devrait avoir beaucoup moins de mal à accepter l’idée qu’il est le daemon. Là elle se fait DEUX FOIS la réflexion qu’il pourrait être lié au daemon (sur la falaise et avec Naytili), mais c’est vraiment comme si elle l’oubliait littéralement 5 minutes après, même pas elle se fait la réflexion qu’elle devrait en parler à Miiko (je note d’ailleurs que, dans le 23, le CDC est toujours le nom que Miiko donne en premier dans sa liste de suspects pour la taupe au QG). Elle le mentionne plus comme si ça avait disparu de son système cérébral.
Notons aussi, et c’est valable du coup pour la route de Leiftan, qu’elle se fait la réflexion que Valkyon pourrait bien être un dragon vu le Fenrisulfr de Naytili qui se transforme en Draflayels. Elle en a la confirmation juste après, mais il lui vient pas à l’idée que si ça se vérifie pour Valkyon... Y’a pas de raison que ça ne se vérifie pas pour Leiftan.
J’ai continué mon enquête sur le Gouffre de Mémoria mais ça mériterait un post à lui tout seul, tout le monde s’en fiche mais ça me permettrait de mettre mes idées en ordre mdr
Des trucs en vrac :
- Dans l’épisode 22 on apprend que Shaitan va pas pouvoir retrouver Ezarel en reniflant une de ses affaires, par contre dans le 24 elle retrouve une stèle random au fin fond de la montagne en reniflant une stèle qui a passé des décennies, voire des siècles dans l’eau de mer :’)
- J’ai remarqué un teasing de l’énigme des constellations, lorsqu’Erika explore l’Académie pour la première fois pour chercher la planque de MJ. J’ai trouvé ça sympa, c’est pour ça que ça sert de relire/rejouer des trucs des fois. Après du coup comme y’a eu 4 mois entre ça et le 24 pour beaucoup de monde, c’est le genre de détails qu’on oublie entre temps.
- Je sais qu’on a dit qu’on parlait plus de la bouffe mais à un moment Erika parle des “vertus des aliments de ce monde” mais CHE KOMPRON PA
- Dans le 23 j’ai assisté à l’entraînement de Kero avec Valkyky et ça m’a fait rire parce qu’on dirait Bohort et le maître d’armes dans Kaamelott alors je m’attendais presque à voir Kero gueuler “MECREAAAAAAAAAAAAAANT !!!” mdr
- J’ai aussi vu la scène où Ykhar se confie à son familier sur le chantage de Leiftan.
- Alors c’est confus mais après la première vision d’Erika quand il lui faut “au moins une bonne semaine de repos” parce que pfiou c éreintant, la timeline est bizarre, on nous parle d’une période assez floue où Valkyon nous évite, un jour il est tendre, le lendemain il est distant etc, après il nous annonce qu’il part pour le sommet à Balenvia et revient “quelques jours plus tard”, sachant que déjà de base le voyage à Balenvia dure “quelques jours” j’ai quand même l’impression que la semaine de repos elle a duré vachement longtemps x)
- Y’a aussi la scène où on incarne Leif, il part sans raison de la chambre d’Erika ?_?
- Et enfin j’ai juste envie de reproduire cette magnifique phrase au début du 24 : “Comme les aigrettes d'un pissenlit balayées par le souffle d'un enfant, le dragon disparut.” Astuce, ajouter des enfants dans les métaphores et comparaisons lyriques ça rend pas forcément le truc plus poétique, surtout quand ça va pas avec le reste du texte :’) Je trouve ça plus gênant qu’autre chose.
Le prochain épisode à refaire est donc le 25 et j’ai un peu peur car d’une part, mes notes disent que j’en avais eu pour 4100 maanas, et d’autre part il m’avait mise super mal avec la scène où Mery parle du comportement suicidaire de sa mère.
#eldarya#eldarya épisode 22#eldarya épisode 23#eldarya épisode 24#mes avis#ptn j'ai pas de hashtag débile à mettre cette fois#c'est scandaleux#eldarya the origins
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Un final haut en couleur
Qu’est-ce que l’Indonésie ? Si vous faites une rapide recherche sur googlemonami.com vous découvrirez sans doute un tas d’informations toutes plus intéressantes les unes que les autres et ressortirez de cette simple expérience numérique bien plus cultivés que vous ne l’étiez auparavant. Mais pas de bol, vous êtes sur le blog des petits pédestres d’où nul n’est jamais ressorti débordant de connaissances poussées sur les pays abordés dans chaque article. Je n’ai donc aucune raison de vous inciter à lire les lignes qui vont suivre. J’irai même jusqu’à dire que cela pourrait vous être préjudiciable dans le sens où certains événements étranges, voir dramatiques y sont relatés. Non décidément, dans votre intérêt à tous, je recommande vivement de ne pas aller jusque-là. Peut-être serait-il plus judicieux de ne faire que regarder les images…
Si vous lisez cette première ligne, c’est que vous n’avez, semble-t-il, pas écouté mon conseil. Je ne puis que vous admirer pour votre courage car vous vous apprêtez à effectuer une plongée en eau trouble dans l’univers tantôt féerique, tantôt horrifique mais toujours plein de surprise des petits pedestres.
Nos aventures débutent sur l´ile de Sulawesie.
La Sulawesie est l’une des plus grandes iles d’Indonésie, mais aussi l’une des moins connue du grand public. Vous vous en doutez, cela à en partie motivé notre décision de nous rendre sur place, car c’est le rôle de vos serviteurs de vous faire découvrir des lieux reculés aux confins de la terre et ce, malgré les dangers. Coups de soleil, Tourista, moustiques, rien ne nous arrêtera. Quoi qu’il en soit, la Sulawesie s’avérera être l’un des gros coups de cœur de notre périple. Une ile où flotte un parfum d’authenticité et de poisson plus ou moins frais que nous ne rencontrerons nulle part ailleurs.
Pour rejoindre ce territoire si particulier, nous devons prendre un vol d’une heure et demi depuis Bali. Bien entendu, ce trajet s’effectue sur la compagnie indonésienne Lion air, laquelle se trouve sur la liste noire des compagnies aériennes. La roulette russe de l’aviation. Et ça passe.
Nous posons donc le pied à Makassar, la « capitale » de la Sulawesie. Chloé a eu l’idée de génie de mettre un pantalon au lieu de son habituel short. Bonne idée puisque nous débarquons au beau milieu d’une foule de femmes portant la quasi burka. Hé oui, la Sulawesie comprend une majorité de musulmans et, si nous allons voir par la suite que ce n’est pas le cas sur l’ensemble de l’ile, à Makassar, les femmes portent le voile. Nous ne resterons que quelques heures à Makassar, car nous devons embarquer à bord d’un bus de nuit direction Rantepao, la « capitale » du pays Toraja.
C’est donc quelques heures (une nuit) plus tard que nous parvenons à destination. Au cours du voyage, nous rencontrons Adrien, un jeune français de la Loire partit voyager seul. Nous resterons avec lui jusqu’à la fin de notre périple en Sulawesie.
La découverte du pays Toraja fût une expérience assez particulière. Ici, les gens sont en grande majorité chrétiens et pratiquent des rites funéraires un peu particuliers : Lorsqu’une personne décéde, les membres de sa famille conservent le corps dans leur maison jusqu’à avoir les moyens de payer un enterrement digne de ce nom. Mais qu’est-ce qu’une cérémonie funéraire chez les Toraja ?
Il s’agit d’une fête durant laquelle les amis et les membres de la famille sacrifient des buffles, des cochons et des poulets. Nous avons assisté à l’une de ces cérémonies, et franchement, il faut avoir le cœur bien accroché.
Le principe est assez simple et malheureusement, assez proche des principes de base de notre société. Plus tu es riche, plus tu peux acheter de bêtes à sacrifier, et plus tu sacrifies, plus tu te rapproches du paradis. La « qualité » des bêtes sacrifiées a également son importance. Un buffle gris de taille moyenne, c’est 5 points et 500 euros. Un buffle albinos de belle taille c’est 20 points et 10000 euros. Vu le nombre de bêtes sacrifiées, je ne sais pas combien de points il faut totaliser pour rejoindre le paradis. Sûrement plusieurs centaines.Les familles peuvent parfois s’endetter ou conserver le corps en attendant d’être en mesure de payer pendant des années. Au cours de cette journée quelque peu macabre, nous étions accompagnés de deux guides. L’un parlant presque couramment français, et l’autre, son neveu, apprenant le métier.
Nous quittons ensuite le pays Toraja et, au terme de quelques heures de voyage supplémentaires, nous parvenons à la ville de Tentana ou nous demeurons deux jours. Le bus nous depose a 4km de la ville et aussitot, les taxis scooter fondent sur nous et proposent de nous emmener en ville pour un prix qui nous parait exorbitant. Résultat, les chauffeurs ne voulant pas appliquer des tarifs convenables à la suites de negociations mouvementés, nous rejoignons la ville à pieds, de nuit. Après une journée dans un bus inconfortable, ça tire un peu sur les guiboles mais bon : il est interdit d´arnaquer des auvergnats. Tant pis pour eux, d´autant que les autres voyageurs nous emboitent le pas.
Les deux jours que nous passons sur place nous permettent d´aller admirer les cascades environnantes et d´arpenter les rives du lac à la découverte de scenes de vies.
À l’issue de ces deux jours, nous reprenons la route direction Ampana. Nous ne passons qu'une seule nuit dans cette ville côtière sans grand intérêt, et embarquons le lendemain matin sur le bateau direction le Saint Graal : les îles Togian. Et oui, vous ne pensiez tout de même pas que nous on enchainions les longs trajets pour le simple plaisir de faire de la route.
Toute description de ce paradis terrestre que sont les îles Togian serait sans doute superflue et ne rendrait pas justice à la beauté des lieux. Voici donc quelques photos.
Entre lecture, pêche et snorkeling, nos journées en ces lieux furent bien remplies. Ajoutez à cela une soirée guitare et arak (alcool local pas très très legal) avec les locaux et une balade dans le village de pêcheurs voisin, et vous êtes vraiment au paradis. Nous restons sur place un peu plus d'une semaine. Mine de rien, une semaine sans wifi ni réseau téléphonique, ça fait du bien. De plus, le voyage étant extrêmement long pour parvenir jusqu’ici, le nombre de touristes reste très restreint et le site ainsi que la gentillesse des habitants n'en sont que mieux préservés. Des fonds marins splendides, des supers rencontres et une ambiance particulièrement apaisante font clairement de ce lieux notre gros coup de cœurs du voyage !
Nous serions bien restés un peu plus longtemps ici tant il y fait bon vivre, mais nous avons encore les iles de Lombok et Bali a visiter.
Commençons par Kuta Lombok. Durant les premiers jours sur cette nouvelle île, nous avons principalement fait des balades à scooter et un peu de surf. Chloé est même parvenue à prendre une vague de belle taille sur un spot clairement inadapté aux débutants que nous sommes. La classe !
Au bout de quelques jours, nous traversons l’île pour rejoindre le point de départ du trek du Mont Rinjani. Pour ma part, n’étant pas très adapté aux longues marches par grande chaleur, je décide de ne pas me lancer dans l'aventure, et attend le retour de Chloé et Félix durant les trois jours de la randonnée. Paradoxalement Félix et Chloé n'ont jamais eu aussi froid de leur vie ! Si effectivement la première partie de la randonnée s effectue sous un soleil de plomb, l'ascension au sommet du volcan pour le lever de soleil sous un vent glacé est extrêmement éprouvante. D'ailleurs de nombreuses personnes ont du rebrousser chemin. Mais c’était sans compter le courage des frangins qui ont bravé les épreuves pour assister in extrémis au lever du soleil.
Le repos est bien mérité et nous filons glander sur les iles Gili, paradis des tortues. Pas besoin de vous le dire, vous vous en doutez le programme ne varie pas beaucoup : plage snorkeling plage snorkeling….
Sur le chemin entre Lombok et Bali, nous prenons une petite semaine pour visiter l'ile de Nusa Penida. Ici, pas vraiment de route pour aller admirer les falaises qui se jettent dans l'eau un peu partout sur l’île, mais plutôt des pistes assez peu entretenues. Le cœur bien accroché, les mains vissés sur les freins, les virées à scooter ne sont pas de tout repos ! Mais autant vous dire que le jeu en vaut la chandelle.
Nusa Penida nous offre aussi l’occasion de prendre part à une sortie en mer pour aller observer les raies manta. Malheureusement, seule Chloé aura l'occasion d'observer réellement l'une de ces magnifiques créatures, avant de la faire fuir. Comment a-t-elle réussi cet incroyable tour de force ? Simplement en sautant sur le dos de la bestiole depuis le bateau. Merci Chloé et sa légendaire délicatesse (après c'est moi que l'on traite de bourrin). Heureusement les magnifiques fonds marins sur le chemin du retour nous consolent.
Enfin, nous prenons la route (ou plutôt la mer) direction la légendaire Bali. Il s'agit là de la dernière étape de notre voyage et je ne pourrais, pour le coup, pas vous raconter grand-chose à ce sujet puisque je contracte dans la foulée une violente otite qui me contraindra à rester tranquillement à l’hôtel durant toute la semaine précédant notre retour en France. Félix et Chloé en profitent néanmoins pour aller admirer les rizières et les temples hindouistes de la région. Clairement la fin du voyage se fait sentir et l'envie de découvrir Bali n'est pas à son maximum ! Il faudra revenir...
La suite vous la connaissez. Retour en France, recherche d'emploi, recherche de logement, retrouvailles avec la famille, les copains et bien sur, la nourriture.
Avant de vous laisser, je tiens a m´excuser car cet article me fait un tantinet penser à un film français de base. Super intro bourrée de suspense et qui incite à voir la suite, mais finalement, un gros relachement sur la suite du scènario. A peine 2 étoiles sur allociné . Mais bon, si vous etes encore là, c´est que cela à quand meme fonctionné. Un bon teaser bien vendeur.
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Ça se passe en juin 2019
JUSQU’AU 16 JUIN AU 4E LIEU JEAN-C. DENIS - LA COULEUR DES ANTIPODES EXPOSITION ÉTONNANTS VOYAGEURS
Quand on se penche sur l’œuvre de Jean-C. Denis, il est frappant de voir combien la couleur, sa couleur, est une composante fondamentale de son œuvre. Ses accords, ses gammes, ses tons rompus captent la lumière des instants fragiles, et distillent des harmonies pleines de douceur et de sensibilité.
Qu’il crée une bande dessinée, qu’il dessine sur le motif, ou qu’il travaille en atelier des souvenirs de voyages, une petite musique récurrente imprègne le papier…
À travers une cinquantaine d’originaux, l’exposition explore les différentes facettes du travail de Jean-C. Denis, son travail d’auteur de bande dessinée inscrit dans la ligne claire, ses voyages, ses aquarelles sur le motif… autant de pratiques différentes qui se nourrissent les unes des autres.
Écrits à vingt-cinq ans d’intervalle, deux albums évoquent des peintres, qui ont fait de la peinture toute leur vie, mais n’ont pas eu de succès de leur vivant. Quand L’ombre aux tableaux, Albin Michel 1991, se penche sur les difficultés liées à la condition d’artiste et les leurres du marché de l’art, Plutôt plus tard, Futuropolis 2016, bouscule les siècles et imagine une rencontre réjouissante entre Luc Leroi, le double fétiche de Jean-C. Denis, et Gauguin dans un album où la grisaille parisienne cède à l’explosion des couleurs tahitiennes. Chaque ville, chaque paysage a sa lumière. Du soleil intense du désert, Les rameaux de Jéricho, éditions DS 1994, aux rivages de Belém, un mirage à l’envers, Futuropolis, 2005, Jean-C. Denis saisit à merveille les couleurs d’ailleurs, les horizons lointains. Mais il sait aussi s’immerger dans la campagne, Bois brut et herbes folles, éditions PLG Obliques 2014, à l’écoute du vent dans les graminées, attentif aux variations lumineuses de chaque heure du jour jusqu’à cet instant particulier entre chien et loup.
Du trait au lavis, de la plume au pinceau, de la pénombre à la lumière, de la table à dessin au motif, Jean-C. Denis nous offre une partition sensible au cœur de son travail.
Accès libre
LE FESTIVAL ÉTONNANTS VOYAGEURS À LA GRANDE PASSERELLE !
Cette année est une année exceptionnelle pour la ville et le festival qui ont dû mobiliser des ressources inédites pour délocaliser les rencontres et expositions traditionnellement hébergées au Palais du Grand Large, le temps que ce dernier se refasse une beauté.
Ainsi, la Grande Passerelle qui accompagne la vie culturelle malouine depuis près de 5 ans, sait également s’adapter et va donc se transformer pour accueillir les festivaliers :
- Le cinéma Le Vauban 2 accueillera des projections et des rencontres conformément aux années précédentes
- 15 jours avant le festival, les malouins pourront profiter d'un point de vente anticipée à La Grande Passerelle : Rendez-vous dès le mardi 28 mai à 14h au Guichet culture et évitez ainsi les files d'attente !
- La Médiathèque se transforme pour accueillir un espace rencontres de 300 places et une partie des équipes du festival.
Zoom sur la Médiathèque :
Cette transformation des espaces va mobiliser des moyens et du temps pour accueillir près de 4500 personnes en 3 jours. La Médiathèque sera donc fermée du lundi 3 au jeudi 13 juin.
- Outre les 4 jours dédiés au festival, 3 jours seront nécessaires pour vider la Médiathèque de la moitié de son mobilier et installer une scène adaptée. 3 autres seront également nécessaires au démontage et à la remise en place des mobiliers et outils de la Médiathèque.
La Médiathèque – Infos pratiques :
- La Médiathèque est ouverte jusqu’au dimanche 2 juin, 18h - Réouverture le 14 juin, à 14h - Les boîtes retours seront également fermées du 3 au 13 juin, mais pas d’inquiétude pour vos emprunts : dès aujourd’hui, lorsque vous empruntez un document, sa date de retour est automatiquement allongée de 10 jours, vous ne risquez donc pas d’être en retard !
Côté programmation, vous serez séduits par des invités tels que Dany Laferrière, Valérie Zenatti, Erik Orsenna, Gaëlle Josse, Titi Robin, ou encore Mona Ozouf et la liste est loin d’être exhaustive !
Cette année, goûtez au plaisir de découvrir votre Médiathèque autrement !
VENDREDI 14 JUIN À 17 H 30 À LA MÉDIATHÈQUE SAX’ORCHESTRA
Le Sax’Orchestra, c’est un orchestre de saxophone, bien sûr ! Mais c’est aussi une variété de formats, de niveaux, d’instrumentations qui permettent à la plupart des élèves de la classe de saxophone du conservatoire de Saint-Malo de se produire régulièrement sur le territoire malouin.
Didier Momo et Jonathan Vinolo, les professeurs, vous préparent cette année quelques savoureuses surprises qui mettront au mieux en valeur les élèves et la famille des saxophones. Alors rendez-vous avec cette nouvelle édition pour partager de nouvelles couleurs de saxe !
SAMEDI 15 JUIN À 10 H 30 À LA MÉDIATHÈQUE LES PETITES OREILLES DE LA PASSERELLE
Le rendez-vous des tout-petits et des adultes les accompagnant : parents, grands-parents…
Un bain de lecture et de partage en quelques mots, quelques notes et une petite pause tout en douceur dans le monde de l’imaginaire…
Accessible aux enfants âgés de 0 à 3 ans, accompagnés d’un adulte.
Gratuit, sur inscription à la médiathèque (02 99 40 78 00).
JEUDI 20 JUIN À 18 H AU VAUBAN 2 LES JEUDIS DE LA GRANDE PASSERELLE L’ENCRE MALOUINE : RENCONTRE AVEC MARC DUGAIN
On ne présente plus Marc Dugain, auteur dont la carrière littéraire est couronnée de nombreux succès. Son œuvre ne quitte jamais vraiment un coin de votre tête, et huit ans plus tard, on ne regarde plus jamais le ciel de la même manière en contemplant depuis la terre l’insomnie des étoiles. La chambre des officiers, Une exécution ordinaire, Ils vont tuer Robert Kennedy... Une trentaine de prix, littéraires et cinématographiques, ont salué son travail. En 2018, il publie Intérieur jour, réflexion sur la création artistique, mais aussi confidence où l’on passe du cinéma à l’écran intime où défile notre histoire secrète, surgie de l’enfance. Comme il le dit, l’âge adulte, c’est quand même en grande partie consacré à comprendre ce qui s’est passé pendant notre enfance. Pendant notre enfance, les choses se passent, sans qu’on n’y comprenne rien, c’est tout le problème du traumatisme. On peut compter sur Marc Dugain pour qu’affleure une émotion qui n’appartient qu’à lui.
JEUDI 20 JUIN À 18 H 30 AU 4E LIEU LES CONFÉRENCES ARTISTIQUES DU CONSERVATOIRE : OPÉRETTE CHEZ OFFENBACH Par Laurent Ronzon, directeur du Conservatoire Claude Debussy
Toute l’histoire du théâtre musical démontre qu’il n’y a pas de frontière clairement définie entre le grave et le gai. Peut-on résumer le Théâtre à la Tragédie ou à la Comédie ? Comment naît l’opérette ? Qu’est-ce qui fit son succès ? Comment se positionne Offenbach ? L’homme a deux visages. Au cours de cette conférence, on redécouvre son répertoire, impossible à classer, tant cet homme, à la vie trépidante, aura déguisé sa musique. Dans cette France qui entre dans l’ère industrielle, il s’agit d’inspirer confiance !
VENDREDI 21 JUIN À 18 H - HORS LES MURS FÊTE DE LA MUSIQUE - CONCERT AU CASQUE
avec Electroni(k)
Grâce à un système de casques audio reliés entre eux, prenez part à une forme d’écoute originale où l’artiste joue des morceaux qui ne seront entendus que par ce dispositif, créant un climat de détente et d’évasion qui convient aussi bien aux enfants qu’aux parents.
(replis au 4e lieu en cas de météo défavorable)
Tout public (à partir de 3 ans) - Sur inscription à la médiathèque
SAMEDI 22 JUIN DE 14 H À 18 H À LA MÉDIATHÈQUE GRAINOTHÈQUE - RENCONTRE D’ÉTÉ
Avec Anne By, participez à une création collective et intergénérationnelle autour de plantes réalisées en Pixel Art.
Accès libre
DIMANCHE 23 JUIN DE 14 H 30 À 17 H 30 APRÈS-MIDI JEUX AVEC LE CORSAIRE LUDIQUE
L'univers des nouveaux jeux de société est beaucoup plus vaste, riche et varié que vous ne pouvez l'imaginer. Partant du principe que l'on n'arrête pas de jouer parce qu'on vieillit, mais qu'on vieillit parce qu'on arrête de jouer, les animateurs du Corsaire Ludique vous le confirment 1 fois par mois à La Grande Passerelle ! Entrée libre, dans la limite des places disponibles.
DU MARDI 25 AU DIMANCHE 30 JUIN REGARDS SUR COLETTE
L’Atelier de Reliure de Rochebonne présente les travaux de reliure annuels réalisés par ses adhérents. Cette année, Colette sera mise à l’honneur. Venue passer des vacances dans notre région, elle la regarda avec des yeux de sensuelle amoureuse. Un certain nombre de ses œuvres seront reliées. Des panneaux documentaires éclaireront les divers visages et l’œuvre de cette femme qui savourait les mots comme des bonbons. Accès libre
JEUDI 27 JUIN A 17H15 AU VAUBAN 2 Projection du film "Colette" de Wash Westmoreland, suivie d'un débat animé par Martine Charreyre, secrétaire générale de la Société des amis de Colette.
VENDREDI 28 JUIN A 17H AU 4E LIEU Conférence « Colette, loin des clichés » par Martine Charreyre. Conférence associée à des lectures de textes. Accès libre, dans la limite des places disponibles.
Et découvrez également à la médiathèque, La pépite du mois ! La seconde Par Colette (1873-1954) Chez J. Firenczi et Fils, Editeurs, Paris, 1929. Édition originale. Exemplaire H.C n° 559 sur papier Simili-Japon de couleurs imprimés spécialement pour l'auteur. Demi-cuir à coins et dos à 5 nerfs. Tranche supérieure dorée. Pièce de titre dorée. Ouvrage dédicacé à Théophile Briant (1891-1956), poète malouin et ami de Colette : A Théo Briant ami, ami ! Colette
Pour découvrir cette pépite, rendez-vous au nouveau salon de l’espace littérature !
DU LUNDI 24 JUIN AU DIMANCHE 14 JUILLET DANS LE FOYER EXPOSITION « UNE ANNÉE, DES ANNEAUX » Proposée dans le cadre du festival Folklores du monde. Les dernières modes de costumes de mariés et de leurs parents dans 30 terroirs de Bretagne de 1895 à 1957. Accès libre
MERCREDI 26 JUIN À 15 H 30 À LA MÉDIATHÈQUE QUI LIT RÊVE À LA PASSERELLE
Une plongée dans des histoires à rire, à rêver, mais aussi à frissonner ! Une garantie de menus surprise à partager sans modération, entre petits et grands !
À partir de 3 ans, accompagnés d’un adulte. Entrée libre, dans la limite des places disponibles.
SAMEDI 29 JUIN DE 14 H À 17 H 45 À LA MÉDIATHÈQUE REPAIR CAFÉ, RÉPARONS NOS OBJETS !
Au Repair Café, on y répare de tout : vêtements usagés, meubles cassés, appareils électroménagers abîmés... Ici, vous luttez contre le gaspillage et l'obsolescence programmée. Des aides-réparateurs vous aident à réparer vos objets. Vous y échangez vos savoirs et apprenez à faire par vous-même au maximum, pour un moment de partage et de convivialité. Profitez aussi du stand recyclage accessible aux plus jeunes !
Billetterie disponible au Guichet culture
Saison musicale de la Nouvelle vague Festival Étonnants voyageurs (8 - 10 juin 2019) Festival Folklore du monde (2 - 7 juillet 2019) Revue littéraire L'Hermine et la plume (n°1 et 2) Revue littéraire de L'Encre malouine (n°2 et 3)
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DÉVOTION QUOTIDIENNE D'MFM. LA VIE AU SOMMET DE LA MONTAGNE.
Mardi 25 juillet 2023
SUJET : FAIRE FACE À CET ORGUEIL (𝐈)
BIBLE EN UN AN : Psaumes 132, Psaumes 133, Tite 1, Tite 2.
ÉCRITURE DE FEU : Luc 12:15-21
VERSET À MÉMORISER :
Jacques 4:6 - "Il accorde, au contraire, une grâce plus excellente; c`est pourquoi l`Écriture dit: Dieu résiste aux orgueilleux, Mais il fait grâce aux humbles."
CITATIONS INSPIRANTES :
La fierté produit un ego qui doit être nourri et bientôt vous êtes enfermé dans votre prison privée d'auto-tromperie.
LOUANGE ET ADORATION :
*Prenez des chants de louange et d'adoration sous la conduite du Saint-Esprit.
PAROLE PROPHETIQUE POUR AUJOURD'HUI :
J'ordonne que les habitudes auto-destructrices de votre vie soient détruites avant qu'elles ne vous détruisent, au Nom de Jésus.
LE MESSAGE :
La fierté est une attitude négative dans toutes ses manifestations. L'orgueil est un vice; il n'a rien de bon à offrir à ceux qui l'embrassent. Il fera plutôt plus de mal que de bien à quiconque le possède ou s'y engage. Cela n'ajoute aucune valeur, au contraire, cela diminue et vide progressivement la personne jusqu'à la honte et la disgrâce. Il est capable d'amener une personne d'une position élevée jusqu'au sol. L'orgueil est le maître dans l'art de faire chuter ses victimes de la grâce à l'herbe. En fin de compte, Dieu lui-même déteste les orgueilleux et tout ce qui s'associe à l'orgueil.
La fierté ou l'orgueil, c'est quand une personne est consommée ou envahi par soi-même. C'est-à-dire lorsque vous ne voyez plus ce qui est bon chez aucun autre humain que vous. L'orgueilleux (e) parle de lui-même et se loue, ce qui équivaut à l'auto-glorification. Une personne orgueilleuse n'accorde ni gloire ni honneur à Dieu. Au contraire, il s'attribue le mérite de ce que Dieu a fait. L'orgueil est l'adoration de soi. L'orgueil est trompeur et destructeur. Il n'y a rien de bénéfique dans l'orgueil. Il n'a pas de considération pour les autres mais pour lui-même. L'orgueil est un péché !
Isaiah 14:12-15 parle de l'audace et de l'égoïsme de satan et de son désir d'être à la place de Dieu ! L'orgueil a endurci son cœur jusqu'à ce qu'il soit chassé du ciel et loin de la présence de Dieu. C'est la raison pour laquelle les cœurs de beaucoup de gens s'endurcissent après avoir reçu Christ. D'autres s'engagent dans des habitudes pécheresses en toute impunité, même certains chrétiens supposés qui prétendent être trop familiers avec Dieu. Ce n'est que de la fierté ! Quand l'orgueil s'empare d'un homme, il a les yeux bandés de savoir et d'agir selon la Vérité. Comment alors un homme orgueilleux peut-il accepter Jésus comme Seigneur et Sauveur, sans que son moi ne soit détrôné ?
Êtes-vous fier de vos possessions, de vos réalisations, de votre position, de votre beauté ou de votre statut spirituel ? Vous tombez rapidement dans le péché d'auto-exaltation et d'autosatisfaction. Vous devez vous détacher et être libéré. Ne vous détruirez pas ! Tous vos jugements critiques et hâtifs, votre impatience, votre irritation, votre mauvais tempérament, votre colère, etc., sont tous enracinés dans l'orgueil. L'orgueil fait partie des oeuvres de la chair. La Bible nous dit clairement dans Galates 5:19-21 que ceux qui s'y adonnent n'hériteront pas du royaume de Dieu. Décidez d'être libéré de cet esclavage auto-infligé. Abandonnez-vous à Dieu et il vous enseignera l'humilité et vous libérera.
POINTS DE PRIÈRE :
MATIN
1. Toute graine de fierté dans ma vie, soit déracinée et jetée au feu, au nom de Jésus.
2. Habitudes négatives héritées, je ne suis pas votre candidat, sortez et mourez, au nom de Jésus.
3. Seigneur Jésus, apprends-moi à être humble comme toi.
SOIR
4. Toute mauvaise habitude qui veut me détruire, je vous détruis avant que vous ne me détruisiez au nom de Jésus.
5. Je chasse de ma vie l'esprit hautain, au nom de Jésus.
6. Pouvoir de vaincre les convoitises charnelles, viens sur moi, au nom de Jésus.
7. Le diable n'écrira pas le dernier chapitre de ma vie, au nom de Jésus.
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Un Noël Sans Gluten, Partie 1
Un Noël Sans Gluten devait être une super production cinématographique américaine. Mais, de toute évidence, et malgré mon insistance, Hollywood porte plus facilement plainte pour harcèlement qu’elle ne reconnaît le talent.
Ne supportant pas l’idée de vous priver d’une si belle histoire, je vous la retranscris pêle-mêle sur le papier, la police américaine ayant gardé mon manuscrit comme pièce à conviction.
J’espère que ce conte de Noël vous fera rêver, et vous fera pousser des ailes d’anges, et des canes à sucre dans le derrière.
I.
Il est 8h37, à New York.
On est en septembre. Le temps est radieux, bien qu’il fasse un peu frais le matin. Une météo tout à fait normal pour la saison, car aux Youhéçay, le réchauffement climatique n’existe pas.
Mandy sort de la ligne C du métro pour se rendre à l’agence de comm Big Pub qu’elle a crée il y a six ans. Elle kiff son taff, c’est sa vie. Elle ne s’encombre ni de mec, ni de gosse, encore moins d’animaux de compagnie : elle a pas le temps pour ce genre de connerie.
Quand elle n’est pas au bureau, elle passe du temps avec ses amis, ou à la salle de sport pour ses entraînements de catch hebdomadaires, ça la défoule.
Elle est stylée, comme d’hab. Un trench imprimé léopard, un jean slim noir troué aux genoux laissant apparaître ses tatouages, des baskets blanches, un make-up rose pétant au top, ses longs cheveux blonds comme les blés au vent.
Ah, les blés.
Voilà bien la seule ombre au tableau de Mandy.
Mandy est… Gluten-free.
Mais attention : ce n’est pas un choix de bobo hypster new-yorkaise à la con qui s’invente des problèmes tant sa vie est merdique. Non. Il s’agit plutôt d’une malédiction.
Si Mandy ingère ne serait-ce qu’un milligramme de gluten, alors son cul devient un volcan. Elle chie instantanément partout, avec des douleurs si intenses que Saw, Saw 2, Saw 3, Saw 4, Saw 5, Saw 6, Saw 3D Chapitre Final et Jigsaw, à coté des latrines de Mandy, c’est pour les enfants.
La voilà donc, descendue une station avant pour choppé un food-truck qui délivre une nourriture inestimable à ses yeux : des pâtisseries sans gluten. Ne me demandez pas comment c’est possible. On est à New York, seul the sky is the limit (le ciel est la limite).
Un café latte soja à la main et un cinnamon roll dans l’autre, notre héroïne s’engouffre dans un immense building de verre et de soixante dix huit étages où se trouve son bureau…
II.
La secrétaire de Mandy, Marlène, entre dans son bureau.
Elle a l’air toute excitée. Elle est toujours beaucoup trop enthousiaste pour pas grand-chose…
Marlène exaspère Mandy au plus haut point.
Elle déteste ses fringues de meuf casual à tendances geek, avec ses jeans informes et ses t-shirt bariolés, ses cheveux ébouriffés, son make-up nude genre « ça va j’ai bien dormi merci » et son air guilleret, comme si elle était née hier.
Et pourtant, sans trop savoir pourquoi, elle s’est prise d’affection pour elle.
Et c’est réciproque.
Il faut dire que Marlène est hyper efficace au boulot, et pas de si mauvaise compagnie quand on évite de trop regarder sa tronche ébahie pour rien.
Marlène tend un dossier rouge à Mandy.
Mandy sait parfaitement ce qu’il contient : c’est un dossier spécial Noël.
Marlène n’est que secrétaire, mais il lui arrive d’avoir des idées. Et Mandy, dans sa grande mansuétude, l’autorise a sélectionner un projet spécial Noël une fois par an.
En fait, ça arrange bien Mandy : elle ne peut pas saquer cette fête de merde.
Marlène, elle… elle adore.
« Un concours de pâtisserie !!! »
Et merde. C’est objectivement une super idée.
En vrai, pas du tout. Mais en tant que spectateur, vous devez accepter le monde qu’on vous impose pour pouvoir croire en notre merveilleuse histoire. Ça fait partie du jeu. Désolée. C’est donnant-donnant.
« - Avec des bonhommes d’épices et leurs petits yeux en sucre glace, des puddings dégoulinants, des cakes en forme de Rudolph, DES CAKES EN FORME DE RUDOLPH !!! s’enflamma Marlène, les yeux injectés de sang et les orifices fumants…
-Et des montagnes de gluten. » Répondit Mandy sans même relever ses yeux du dossier dont chaque page est ornée de candy cane et autre connerie du folklore consumériste de cette fête à la con.
Mais elle est au top de sa carrière, et rien ne pourra la stopper, pas même du gluten.
« - Ok choupette. Au vu des circonstances, on va bosser autrement. Histoire qu’il se passe un truc rocambolesque dans ce conte de Noël à deux balles dont je n’ai jamais demandé à être l’héroïne, il nous faut créer une situation… cocasse… »
III.
Marlène est anxieuse. Elle ramène moins sa gueule de meuf contente pour un oui ou pour un non. Elle n’aime pas du tout l’idée de Mandy. Mais elle l’aime tellement : elle est si indépendante, drôle et vive d’esprit !!! Tout ce qu’elle ne sera jamais… Comment lui dire non ?
Et avec ses problèmes de santé… Elle ne peut pas prendre le risque de laisser sa patronne littéralement dans son caca au beau milieu du Plus Grand Concours de Pâtisseries de New York de Tous Les Temps.
Alors elle est là, dans le fauteuil de Mandy, à attendre le client.
Mandy, elle, est à coté, en mode secrétaire.
Son plan est nul à chier, et on n’est pas sûr que ça serve à un moment donné, mais au moins il se passe un truc.
Étant gluten-free, elle ne pourra pas s’investir physiquement dans cette vaste mascarade sans tâcher sa petite culotte : un seul contact avec un unique grain de farine et le Vésuve ne sera plus qu’un détail de l’Histoire.
Alors elle a proposé à Marlène d’échanger leur rôle !!!
Comme ça, Marlène se fait la main avec le client, et Mandy chapote le tout en mode secrétaire, loin de toute source de problème gastrique.
Comme dirait notre incroyable héroïne : « c’est de la merde, on la garde ».
Voilà le client : Monsieur Gihayla.
Il est grand, grisonnant, plutôt sexy pour un mec de son âge. Il a bien la soixantaine, et il est pété de pognon. Il incarne parfaitement le père de substitution, atout charme indispensable pour espérer chopper la minette d’une génération au fort taux d’absentéisme paternel. Il n’en faut pas plus à Marlène : c’est le coup de foutre foudre.
Il est accompagné de son fils : Tristan, la trentaine, quelconque.
En fait, il est tellement lambda et insipide que si on ne vous avez pas signalé sa présence, vous n’auriez jamais su qu’il était là.
Tristan est pâtissier. Depuis pas longtemps, mais c’est une étoile montante. Il a un passé sombre et beaucoup de talent. Il aimerait évoluer ailleurs que dans l’ombre de son père. Mais Monsieur Gihayla, magnat du cake à échelle internationale, voit là l’occasion de montrer à son fils unique qu’il l’aime, malgré ses absences injustifiées, malgré leurs différences… malgré tout.
En fait, il organise tout ça pour son mioche.
C’est beau putain. La magie de Noël quoi.
IV.
Une fois les présentations faites (scène longue et chiante dans laquelle Marlène inverse absolument tous les prénoms, le tout ponctué par les rires enregistrés les plus dissonants du monde), Marlène se rassoit dans son fauteuil de boss.
Elle est clairement en flippe.
Elle jette un œil à Mandy qui lui répond par un regard malicieux et empli de confiance.
Ça ne veut rien dire, mais ça fait 27 caractères en plus, sans compter les espaces.
Rassurée, Marlène de lance.
« Monsieur Gihayla. Avec mon assistante, nous avons développé un projet parfait pour relancer vos cakes sur le marché des bobos new yorkais de merde. Haha, nul besoin de respecter les clients pour leur vendre vos produits haha ! »
Fou rire général.
Marlène enchaîne, on ne l’arrête plus…
« … Le Plus Grand Concours de Pâtisserie de New York de Tous Les Temps se déroulera sur deux semaines, avec un Grand Final grandiose la veille de Noël. On fera ça dans le plus grand hôtel de la ville, bien sûr. Avec des guests de fou comme jurés, genre mannequin sur le déclin, acteur déchu, comique en herbe… »
Pendant que Marlène soliloque de façon plutôt convaincante pour une petite secrétaire, Mandy remarque que Tristan n’écoute pas. Le jeune homme fade semble perdu dans ses pensées, ou sous substances illicites.
Il est rapidement extirpé de ses rêveries par son géniteur :
« Tout me parait absolument parfait. Ma seule et unique condition est que mon fils ici présent participe. Il est doté d’un incroyable don et il gagnera le concours, quoi qu’il arrive ! Haha ! » En prononçant ces inepties, il lance un clin d’œil complice à Marlène…
Elle s’empresse de chercher les petits yeux sur-maquillés et réconfortants de sa patronne, mais celle-ci est trop occupée à fusiller Monsieur Gihayla du regard.
Mandy n’aime pas les tricheurs.
« - Si je puis me permettre Monsieur, lança t’elle avec le plus grand calme, si Tristan est si doué, ce dont je ne doute pas, je pense qu’il s’en sortira sans l’aide de personne. Elle conclu par un petit sourire adressé à Tristan.
- Madame, répond Monsieur Gihayla en s’adressant à Marlène, vous avez ici une assistante peu banale !
- Elle a simplement l’incroyable faculté de voir très clairement en chaque individu le talent qui l’anime, Monsieur Gihayla. Si elle voit cela en votre fils, je me porte garante de son succès. »
Waouh, Marlène, tu gères.
Situation gênante avortée.
Un peu plus et Monsieur Gihayla faisait capoté le conte de Noël !
Pour la première fois, Tristan prend vie et rend timidement son sourire à Mandy, les yeux plein de cœurs et de crème pâtissière dégoulinante aromatisée à la fraise, comme ça c’est bien rose, bien niais, le tout saupoudré de sucre glace, ou de coke, on sait pas trop.
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Interlude : jour 11
Samedi 20 avril
Bon, on en était où ?
A l’avertissement : “si je vous embête, vous pouvez retourner à votre Sudoku, je vous appellerai quand j’aurai fini”
Et aux rencontres avec les bonnes Soeurs, que je prenais pour des ballottes illuminées (Au passage, quelques unes d’entre elles me suivent, et le portrait de Soeur Marie-Thérèse des Batignolles les a bien fait marrer. C’est pour ceux qui pensent qu’elles savent pas rigoler ...).
Donc, j’en étais à “Elles, elles sont idiotes, moi, j’ai tout compris”. Et, pendant quelques jours, semaines, mois, j’ai tenté d’étayer cette théorie.
Il y a quand même un truc qui me titillait, c’est un des points forts de la religion Catholique : l’inversion des valeurs. “Les derniers seront les premiers”, e tutti quanti.
Un autre truc me gênait : Certaines, incontestablement, réfléchissaient plus vite que moi. Beaucoup plus vite. Certaines avaient une culture et une ouverture d’esprit qui mettaient les miennes au niveau “Picsou Magazine”. Certaines auraient fait des “executive women” hors pair, des mamans géniales, des femmes qui auraient rayonné dans la société “normale”.
D’où la question : Qu’est-ce qu’elles foutent là ?
D’autant qu’elles semblent parfaitement épanouies, parfaitement à leur place ... sachant que (j’en ai connu) si elles veulent s’en aller, personne ne les retient. Dans les 5 minutes, elles chopent le jean et le t-shirt dans le placard et salut la compagnie.
J’en connais qui ont fait ce choix (peut-être pas aussi caricatural, mais bon ...). Non seulement le monastère n’a rien fait pour les retenir, mais en plus il les a aidées à se réinsérer dans la société civile, en faisant jouer ses réseaux, en aidant financièrement, etc.
Je rappelle quand même qu’entre le moment où une gamine (ou pas) entre pour la première fois dans un monastère, après avoir prouvé qu’elle a un métier (ou un vrai diplôme) dans le civil, et le moment où elle prononce ses voeux (où elle devient une vraie bonne soeur cloîtrée), il y a pas loin d’une dizaine d’années. Alors si sa motivation, c’est le chagrin d’amour, ou le coup de tête post-adolescence, c’est pathologique. Le remède, c’est pas le monastère, c’est l’hôpital psychiatrique !
J’ai entendu aussi que parfois, les parents se débarrassaient d’une fille encombrante en la mettant au couvent. Sûrement. En même temps, on brûlait les sorcières, on saignait les malades, et on payait la gabelle au Seigneur.
J’ai un scoop : Dans quelques monastères, aujourd’hui, il y a le téléphone ! Sisi ! C’est une Soeur agrégée en informatique qui me l’a dit !
Sans rire, à ce qu’elles m’ont dit, quand une fille annonce à sa famille qu’elle veut entrer dans les ordres, c’est toujours un drame. Un déchirement.
Pire que si elle annonçait qu’elle vote Mélenchon.
Mais je m’égare.
Résumé des hypothèses :
1. Elles sont stupides, je suis un génie
2. Il y en a un paquet qui sont clairement plus fufutes que moi.
3. Inversion des valeurs.
Et à partir de là, tout a commencé pour moi.
Supposons, je dis bien supposons, que ce ne soit pas moi qui vois clair, et elles qui sont bornées, mais le contraire.
Et, partant, si, au lieu de chercher à convaincre, j’essayais de me laisser convaincre ? Si je partais du principe qu’elles ont compris quelque chose que moi, je n’ai pas compris ?
J’ai fait ce choix-là. Ca fait pas de moi un catho, peut-être pas encore, mais ça a tout changé dans ma façon de voir les choses.
Et petit à petit, j’ai décidé que cette famille (disons plutôt “cette Communauté”) était la mienne. Je vais à la messe avec plaisir. J’aime l’idée de “Communion”, j’aime l’idée de faire corps avec les autres. J’aime ce que raconte le petit Jésus, même si je comprends pas tout.
“Tendre l’autre joue” Une fois, pas deux. Surtout si c’est moi qui tiens la kalashnikov !
“La parabole du jeune homme riche” me semble une aberration sans nom
Saint Martin qui partage son manteau avec les pauvres, comme ça tout le monde a un timbre-poste sur le dos et tout le monde caille ...
L’immaculée Conception, à d’autres !
Quant aux miracles, j’en rigole encore.
Mais bon, je n’en suis qu’au tout début du chemin. Peut-être ça va s’éclairer.
Ou pas.
Toujours est-il que la Communauté Catholique, avec tous ses travers, elle me va plutôt bien.
Quand un catho se conduit mal, ca me blesse. Plus que si c’est quelqu’un d’extérieur. Comme si quelqu’un de ma famille ou de mes amis avait fait une saloperie. Comme si j’avais une petite part de responsabilité.
Je me sens concerné par les scandales dans l’église, et, comme la quasi-totalité des Catholiques, j’ai besoin qu’on lave ça au plus vite (même si je trouve qu’on attaque drôlement plus fort ceux qui ne se défendent pas, ou qui se défendent mal).
Comme la quasi-totalité des Catholiques, j’ai été outré par ce que j’ai vu dans le reportage d’Arte sur les exactions commises par des prêtres sur des religieuses.
Comme la quasi-totalité des Catholiques, je sais que ça va faire mal, que je vais apprendre des tas d’horreurs sur mes “frères en Christ”, mais que c’est nécessaire, et que ça ira mieux après.
Je ne cache pas que je me marre en voyant les cathos purs et durs, calvitie, mal rasés, les dents sales et l’haleine qui va avec, pull qui gratte, froc en velours côtelé, pieds nus dans des sandales par -5°C, les ongles sales et pas coupés (bon appétit !), qui sont à toutes les réunions cathos, toutes les veillées de prière, qui chantent fort (et faux) pendant la messe, et qui vous collent des Bénédicités avant l’apéro.
Mais je suis heureux que les seules actions terroristes que mes “frères en Christ” commettent devant “Golgotha Picnic” est une veillée de prière devant le théâtre du Rond Point, et une plainte au Tribunal contre “Piss Christ”. On peut ne pas être d’accord, on peut trouver ça ridicule (je suis pas loin d’en être), mais enfin, ils n’ont fait de mal à personne.
Ca me rend fier.
Allez, pour finir, je ne cache pas que j’aime bien les vannes, y compris méchantes, sur la religion.
Celle que je préfère, je crois, c’est celle-là
Mais je trouve rigolote celle-là aussi :
ou çelle-là :
Celle-là n’est pas mal non plus :
Allez, juste une petite dernière :
Ca y est, vous pouvez revenir. Je dis pas que j’y reviendrai pas, au petit Jésus, mais je préviendrai.
Bonne nuit
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