#mère noêl
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Jour 24: Tenue de mère Noêl portée.
Joyeux Noël !
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NE TUONS PAS SAINT-MICHEL
Fr Fillon
Le Figaro
Pas con
Noêl dans la tradition
Le Père la Mère
Et moi l'enfant l'Etudiant
Je ne suis plus un rejeton
Casino Pierre Gattaz
Ne me prendra plus pour un con
Dimanche 24 décembre 2023
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C'est Noël😁La saison du don.
C'est la saison de Noël et c'est presque le jour spécial.L'année derniére,comme d'habitude,j'ai fêté Noêl en famille.
La veille de Noël, on s'est offert des cadeaux. Mais cette année, j'ai commencé à planifiet mes préparatifs plus tôt et de faire mes achats habituels de cadeaux parce que j'y vais au Canada avec ma mère , ma marraine et mes cousins.Nous Somme's restés au Hyatt Regence au Québec.
C'était être une grande expérience.
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Petit conte de Noël
Une mère de famille acheta un jeu pour ses enfants. Il s’agissait de deux téléphones reliés par un fil et communiquant seulement l’un avec l’autre contrairement aux talkies walkies, dont les ondes pouvaient être utilisées par différents émetteurs.
Ses enfants décidèrent de jouer immédiatement avec. D’autant qu’à cette époque, la famille n’avait pas de téléphone. L’ainé âgé de cinq ans, s’installa dans sa chambre tandis que la mère assistait la petite sœur de trois ans dans la cuisine. Ils jouèrent plusieurs fois sans problème, ravissant la famille de pouvoir se parler grâce aux appareils, de s’amuser à tourner le cadran pour faire un numéro et ainsi faire marcher la sonnerie. Les enfants s’accordèrent sur un petit scénario, la sœur devait appeler son frère toujours dans la chambre. Le téléphone sonna, il décrocha mais quelle fut sa surprise d’entendre la voix d’un homme. Il répondit et demanda s’il était son père qu’il pensait être au travail. L’inconnu répondit que non et lui demanda son nom. Le garçon, toujours étonné, questionna de nouveau cet homme sur son identité. Il répondit qu’il était le père noël. D’abord apeuré, le garçon ne le crut pas et lui dit : « Non, c’est toi papa ? ». « Bien sûr que je suis le père Noël, affirma-t-il avant d’ajouter : As-tu été sage cette année avec tes parents et toute ta famille ? ». Il répondit oui. L’homme ajouta que s’il était toujours sage, il aurait ses cadeaux pour Noël puis il souhaita une bonne journée et raccrocha.
Le jeune garçon courut de suite voir sa mère et sa sœur qui semblaient tristes. La maman avoua qu’elle était désolée pour son attente car le téléphone ne fonctionnait plus. Le garçon ne comprit pas, réclama de voir son père mais il constata son absence. « J’ai parlé avec quelqu’un et il a dit qu’il était le père Noêl. Si papa n’est pas là, qui est ce ? » Sa maman resta muette quelques secondes puis assura qu’aucun homme n’est venu lui parler au téléphone.
Depuis l’enfant a grandi. Il est devenu adulte, père de famille et célèbre toujours Noël avec, au fond de lui, l’âme d’un enfant troublé mais heureux d’avoir un jour discuté avec le père Noël.
Joyeux Noël.
Alex@r60 – décembre 2018
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Il était déjà minuit passé, Docteur Schweitzer. Juste avant… ( I )
On le redoutait : les idéologies perverses se faufilent partout… et ce ne devrait donc pas être une surprise : le Nouveau Testament, déjà, nous avait avertis que l'ivraie se répand plus facilement que le bon grain… Et ce ne sont pas les tentatives désespérées de ministres plus serviles que compétents qui vont faire que ce qui est mal devienne bien, comme par miracle. Or, ô ministres allègres d'un gouvernement discrédité, vous vous surpassez dans l'ignominie avec votre soi-disant “Pacte pour l'immigration” une autre de vos folies pour la France (et pour d'autres, bien sûr… mais “c'est pas mon problème” !) : la répétition de gros mensonges ne créera jamais la vérité, et vos dénégations ne feront pas une bonne idée d'une mauvaise.
Emmanuel Macron, “auto-investi à l'insu de notre plein gré” d'un fantasmagorique droit à bousiller notre pays, continue à refuser d'entendre les cris de rage des “Gilets jaunes” (et des autres, si nombreux). Le peuple de France, maltraité, insulté, appauvri, dans la peine, réduit à passer des nuits sur nos ronds points, le supplie de supprimer l'abominable AME, cette subvention justement sans aucune “âme”, qui coûte 1 milliard par an et soigne les “sans-papiers”, qui sont couverts à 100 %, alors que plus d’un tiers des Français reportent ces mêmes soins, faute de moyens. Et ils lui demandent à cor et à cris d'arrêter d’offrir des retraites indues de 830 euros/mois (1 300 pour un couple) à des étrangers qui n’ont jamais travaillé ni cotisé en France : sans que cela ne creuse encore davantage notre dette monstrueuse, Ces deux mesures, simples mais si justes, permettraient d’annuler à la fois la scandaleuse hausse de la CSG sur les retraites et le gel des mises à niveau techniques (qui sont désignées par “revalorisations” pour faire croire que l'Etat ferait un cadeau -ce dont il est bien incapable !). Nos retraités, saignés à blanc depuis 18 mois, ont travaillé, en majorité, pendant 45 ans, sans connaître ni les 35 heures ni les 5 semaines de congés payés, et ont ‘’cotisé’’ autant d’années. Leur “retraite’’ est un ’‘dû” pour tous, le résultat de ce qu’ils ont cotisé en leur temps… et en aucun cas une aumône, un cadeau pour un tel contre tel autre, au caprice ou au bon vouloir de l’Etat-Léviathan et de ses sbires (prébendiers, eux !).
Une fois ces mesures élémentaires de salubrité publique prises, il ne resterait plus qu'à s'engager à ne pas réparer les radars qui ont été vandalisés -car leur mise hors d'état de nuire est une démonstration que le peuple, les citoyens, (les électeurs, pour parler un jargon que comprennent les politicards) n'en veulent pas, n'en veulent plus, les rejettent avec tout ce qu'ils représentent de vol en bande, de mépris automatisé (le plus insupportable) et d'injustice… Car maintenant que les cartes sont sur la table, il est permis de se demander où les gens qui soutiennent de tels abus (et de telles fautes contre l'intelligence) trouvent des arguments pour étayer leur absence d'empathie envers leur ‘’prochain’’, leur semblable (qui est leur voisin, avant et au lieu d'être “tout le reste de l'humanité, sauf leurs voisins��').
Que peut-on raisonnablement penser du droit qu'aurait un Président à imposer ses fantasmes multipolaires et multiculturels à sa Nation, quand il est rejeté, selon les semaines, par 60 à 80 % de son peuple, quand il a été élu, contrairement à ce qu'il fait semblant de croire, par… 23 % à peine, quand son pays est à feu et à sang et quand le cri hurlé sur tous les ’'ronds-points’' est : ’'Macron, démission” ? (NDLR : “les ronds-points” sont devenus le nouveau (et unique) lieu où s'exprime le peu qui reste de liberté en France, après des décennies d’idées de Gauche qui ont tout pollué et dévoyé, où une Droite aussi pusillanime que servile suivait ces assassins de la Liberté, qu’ils ont remplacée par un ‘’égalitarisme inégalisateur’’ qui est à l'Egalité ce que “ridiculement trop” est à “juste ce qu'il faut” : une caricature). Les quelques observateurs qui non-contaminés par la pandémie hautement transmissible du “prêt-à-penser-de-traviole à la mode politiquement correcte”perçoivent lucidement que la crise actuelle des “gilets jaunes” est une révolte du pays réel contre des élites qui se croient idéologues et ne sont que des idéocrates.
L’immigrationnisme est une de ces idéologies “apocalyptiques” (cf notre billet d'hier), sans doute parmi les plus dangereuses, et les sympathiques Gilets Jaunes (je veux dire, évidemment, “tout, sauf” les casseurs d'hyper gauche -que Tonton Cristobal Castaner, dont le rapport à la Vérité est un gag, ose qualifier mensongèrement de “ultra droite”) ne savent plus que faire pour enfin obtenir que l’Etat utilise nos impôts pour la modernisation des services publics plutôt que pour l’accueil d’ immigrés économiques (et surnuméraires), ou encore pour le maintien du niveau de vie des nationaux plutôt qu'à celui d'étrangers qui, en plus, ne veulent pas que du bien à la France, le plus souvent. Cette prise de position, à la fois sage dans l'immédiat et prudente pour l'avenir, est partagée par de plus en plus de nations, notamment européennes qui, après des années d’omertà contrainte et forcée, disent tout fort ce que la morale approuve et la connerie ne connaît pas.
C'est dans ce contexte (d'une évolution des mentalités d'une violence qui ressemble à une forme d’électrochoc) qu'explose un “Pacte mondial sur les migrations” que notre gouvernement vient de signer. Ce document doit être vu pour ce qu'il est : une catastrophe qui va exacerber le désarroi des français et éloigner encore plus les “gens normaux” des élites qui les ont trahis. On sait où ça conduit !
La version finale d’un document intitulé “Pacte mondial des Nations unies pour des migrations sûres, ordonnées et régulières” a donc été adoptée les 10 et 11 décembre derniers, lors de la Conférence intergouvernementale qui s'est tenue à Marrakech. Cette “grand messe’’ qui était, pour les anglophones, un ’'grand mess” a été boudée par tous les pays dans lesquels la lucidité l'emporte sur la servilité aux pires idées du “politiquement correct”. Du côté français, ce mauvais document a été paraphé par un obscur scribouillard qui, me dit-on, aurait été sous-ministrisé par un nul pris au hasard dans la grande sélection “en Marche” des plus nuls parmi les nuls, ce jeu de roulette belge qui se nomme en Macronie “la constitution d’un gouvernement’' ! Mais la preuve que tout cet ensemble d'idées est une mauvaise chose est confirmée par le fait que, du côté allemand, c'est la mère Merkel qui a été le parapher, elle qui a réussi à détruire l'Europe en un peu moins de 2 ans !
Nous verrons dans un ’'billet” suivant le détail des mesures qui font : (a)- qu'il faut condamner la philosophie de ce “Pacte”, (b)- et surtout… que la seule décision intelligente à prendre était, bien sûr... de ne pas le parapher, il y a 48 heures.
H-Cl
PS : Ce ‘‘Billet’‘ était pratiquement terminé lorsque est ‘’tombée’’ la nouvelle de la fusillade du Marché de Noêl à Strasbourg. Il faut hurler de rage et dire à quel point de tels actes sont choquants… Mais les cris d’orfraie du Pouvoir devant la moindre critique de son laisser-aller et de sa pusillanimité sont intolérables : la mort atroce de braves gens innocents interdirait de dire que les fichés’‘S’‘ devraient être expulsés lorsqu’ils sont étrangers et mis hors d’état de nuire s’ils sont ‘’français’’, même administrativement ? Et puis quoi, encore ? Pour que ça continue et qu’il y en ait d’autres ? Non, merci. Tristesse, oui, Peine et compassion aussi, et émotion pour les familles des victimes plongées dans l’horreur. Mais chagrin et partage n’ont jamais été synonymes de ‘‘complicité’‘ ! Le ‘‘silence des pantoufles’‘ est un crime.
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Mondes engloutis
Lundi 17 décembre 2018
Akira Horikawa dessine tous les jours. "1000 drawings project"
Beau temps beau soleil.
Période de fatigue. Grosse période de fatigue. Tout me pèse, tout est vain, lourd pénible. Impression que rien n'avance, ne bouge.
Vraiment failli prendre mon téléphone et envoyer un message à ma mère.
Puis j'ai écouté "Merry christmas Mr Lawrence" de Ryuichi Sakamoto et quelque chose s'est déchiré. La beauté et la solitude des notes, la mélodie comme détache de tout, la même impression que quand tu voles au dessus des nuages, que le moment est parfait.
Les moments parfaits ont l'air d’être de plus en plus éloignés. Les découvertes et les émerveillements aussi (c'est ça un satori ?). L'impression omniprésente que tu as tout vu et tout fait.
"Ton fluide positif me permet de retrouver des choses"
Montparnasse pour retrouver T. J'achète un sandwich et un café à un barbu avec un pansement carré sur l’œil. Le quartier a changé. Le "trait d'Union" ne fait plus de crêpes deux saucisses fromage. Plus aucune crêperie non plus d'ailleurs. Trouvé une crêperie avec guichet extérieur. Pas très aimable et juste au fromage, la crêpe. Les étudiants dans le coin sont encore plus exécrables. Même si on entend toujours les mêmes prénoms. Toujours c'est depuis la fac à Nanterre, vers 1993. Vu un ancien chanteur, en vitrine dans un café sur le boulevard Montparnasse. J'ai cru que c'était un gars qui avait invité un clochard à prendre un café, et que le clochard c’était le chanteur. "Il revient de loin" me dit T. Pas osé entrer dans la boutique de livres très étroite et aux deux niveaux en sous sol. Pas trouvé le club de sport rue de Rennes ni la boutique de vêtements. Passé devant l'Enfer. Tout m'est apparu comme des bouts de monde englouti. Arrivé au café à 1830. T m'a rejoint à 2030. Beaucoup de gens seuls qui cherchent la chaleur, donnée généreusement pas les serveurs de café. Dessiné la vue par la fenêtre et un jeune gars brun entrain de fumer. Épié, regardé deux jeunes femmes. Je pensais qu'elle étaient entrain de se séparer. C'était le contraire. Elle venaient de se déclarer l'une à l'autre. Un type, Patrick (même voix que le collègue bourguignon) parle des boules qu'il a sur les mains. De sa peur d'aller à l’hôpital "Je suis tout seul. Si j'y vais ils me gardent jusqu'à la nouvelle année.pour l'instant on comprend pas pourquoi ça fait du pus et un trou. C'est tout. Mais j'ai pas mal. Tu me vois passer Noêl avec une perfusion dans le bras ? Et puis j'ai acheté plein de bouffe moi. Et la viande ? Et les fruits ?" Je suis mal à l'aise parce que ça me rappelle d'autres urgences. Puis T arrive et on part prendre le métro. Les gens se parlent. Me rappellent un peu l'ambiance des derniers métros à Tokyo. T me parle dans le métro de sac à dos "j'ai le mien, vous avez le votre, je vais vous apprendre à mieux le porter mais je ne le ferai pas pour vous."
En rentrant on mange du tzatziki sur des blinis.
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Voilà, j’ai 32 ans et je suis en train de bouffer de la glace à même le pot dans ma chambre. Dans l’appartement de ma mère. Sur le clic clac auquel il manque deux lattes qu’on a ramassé dans les poubelles. On est à 5 jours de Noêl. A priori ça sent la lose. Pas tant que ça ? Si quand même. Ma mère me gueule dessus comme si j’avais treize ans et demi. Je suis un peu attardée je sais mais quand même. A ce point ?
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Les amitiés brisés
Ce soir je lève mon verres aux amitiés brisé, aux exs pas facile à oublié pis à toutes les fois que t’en avais assez.
Quand t’es en couple, c’est assez simple, habituellement tu es avec une personne que tu aimes, t’as passé à travers d’innombrables mois de fréquentations un peu compliqué, tu t’es demandé quoi répondre à matante Brigitte à Noêl qui te demande si t’as un p’tit chum. Coudonc j’ai tu un chum moi? Vous avez finis par vous demandez maladroitement vous étiez quoi. Rendu là pourquoi pas le rendre instagram officiel, parce que Facebook c’est pu si hot que ça finalement. Un couple dans le fond c’est deux personnes en amour, qui partagent une amitié et deux trois becs, des fois des plus passionnés que d’autres, mais en amour t’as une période d’essaie. Des fois après 6 mois ou même 7 ans, tu réalises que c’est peut-être pas sa l’amour. T’as un trip que t’as envie de partir dans l’Ouest Canadien pour mieux te connaître, seul à seul. En amour, si ça marche pas tu te dis que c’était pas le bon, tu te dis que tu vaux mieux que ça, que dans l’fond la personne te traitait pas si bien que ça, des fois vous décidez que vous allez pas si bien ensemble finalement, c’est rough un peu mais c’était pas de sa faute c’était de la tienne. T’enlève les photos instagram, vous vous suivez encore parce que c’est plus subtiles de même et tu peux toujours stalker si un soir la nostalgie s’empare de toi en regardant vos polaroids que t’as retrouvé dans ton tiroirs bien caché. C’est normal, on en parle dans les séries télés, on fait des films là-dessus.
En amitié c’est un peu différent, personne m’a appris quoi faire quand ça marche pas en amitié, quand finalement vous étiez pas fait l’un pour l’autre. Y’a pas de films iconiques là-dessus, y’a pas de ligne directrice. Est-ce que j’suis la seule?
Je sais pas c’est quand ce moment là que t’as le déclic, que tu te demande si votre amitié en vaut vraiment la peine. Parce qu’on avait pas de bracelet de bff du magazine cool, mais j’me sentais tout comme. On était dans la même technique au cégep, les deux ont faisait du snow, ont chantaient même les chansons de Bob Bissonnette à l’unissons, écoute on partageait le même amour pour les hot-dogs avec juste ben du ketchup. J’me suis jamais demandé si ça allait duré, j’te racontait tout, je t’écoutais, on écoutait OD ensemble. Quand j’parlais de ma futur condo j’me disais que tu aurais ta chambre pour que tu puisse venir quand tu veux. Je sais pas c’est quoi j’ai fait, en fait je sais même pas si j’ai fait quelques choses, mais toi tu l’as eux ce déclic là. Ok t’as pas eu envie de partir dans l’Ouest Canadien, mais tu t’es dis que tu serais mieux ailleurs, l’affaire c’est que moi tu me l’as pas dis. J’me suis levé un matin, juste de même et t’étais partie, pu là, partie avec quelqu’un d’autre. La fille que tu me disais de pas m’inquiété. Celle avec qui je m’entendais pas tant bien, celle que j’te parlais un peu trop souvent peut-être. C’est tu moi qui t’as donné envie de partir avec? Au nouvel an c’est elle qui est venu chez toi, quand t’as eu ton nouveau p’tit chien c’est avec elle que t’as été le chercher et elle est même amie avec ta mère sur facebook, elle se tag dans des choses. J’ai pas enlever nos photos instagram, mais toi oui, avant quand je voyais tes stories ça me faisait d’la peine, fak maintenant j’les regarde pu, sauf des fois, pas trop souvent là. T’as dis mes secrets à ta meilleure amie, je t’en veux pas, parce que je sais qu’entre meilleures amies on se dit toujours tout, même si c’est top secret.
Maintenant je réalise que des fois des amis c’est comme des couples, il faut plus que de l’amour pour que ça fonctionne et nous deux ça fonctionnait juste pas. On s’est dit qu’on allait rester amie, mais c’était juste polie, on le sait qu’on restera probablement pas amie. Des fois j’ai encore le réflexe de vouloir t’appeler quand j’me sens tout croche en dedans, j’ai envie de t’écrire quand j’ai quelques choses d’excitant, je sais que je pourrais le faire, mais à quoi bon? C’est comme texter ton ex pour avoir de ses nouvelles, entre toi pi moi, tu cherche juste une raison de lui parler pour rien dire.
À soir je lève mon verre à notre amitié brisé, à nos beaux moments passés ensemble, inquiète toi pas un jour je vais peut-être ressortir les vieux bracelet de bff et j’vais trouver une personne avec qui manger des hot-dogs et faire du snow. J’te lève mon verre parce que tu m’as tant apporté et je te souhaite du bonheur.
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