#lynx ibérique
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athenenoctua9 · 5 months ago
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zehub · 5 months ago
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Les cinq bonnes nouvelles du mois de juillet
Oui à la consigne du verre, le lynx ibérique est sauvé... C'est une pluie de bonnes nouvelles. Novethic vous en a sélectionné 5 pour juillet
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aigle-suisse · 10 months ago
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Lynx-6 par VILAGINES Ramon Via Flickr : Lynx ibérique
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curiositarte · 3 years ago
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Réduction du lynx ibérique et les tentatives se sauvegarde
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The slow but sure recuperation of the Iberian Lynx.
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reseau-actu · 6 years ago
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Plus d’un quart des espèces présentes sur le territoire métropolitain et ultramarin sont menacées de disparition.
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Le vison d’Europe, le lynx boréal, le bouquetin ibérique, le mouflon d’Arménie, la grande noctule (chauve-souris), le cachalot, le globicéphale noir, la bécassine des marais, le bruant ortolan, la pie-grièche à poitrine rose, le gypaète barbu, la grenouille des champs, la tortue d’Hermann… Ce sont quelques exemples, parmi beaucoup d’autres, d’animaux menacés de disparition en France. Au total, plus d’un quart (26 %) des espèces évaluées risquent d’être purement et simplement rayées de la carte, notamment dans les outre-mer.
C’est le tragique constat dressé par l’édition 2018 des « chiffres-clés de la biodiversité » que viennent de publier le Commissariat général au développement durable, l’Agence française pour la biodiversité et l’Observatoire national de la biodiversité.
Le tableau, qui réunit une trentaine d’indicateurs de l’état de la vie sauvage et des écosystèmes, n’est malheureusement pas neuf. Mais les données actualisées qu’il fournit montrent que la situation d’ensemble, loin de s’améliorer, se dégrade au contraire.
Article réservé à nos abonnés Lire aussi Le déclin ininterrompu de la faune sauvage
Avec ses territoires ultramarins et ses près de 11 millions de kilomètres carrés d’espace océanique placés sous sa juridiction, la France abrite environ 10 % de la biodiversité de la planète. Elle recèle en particulier plus de 19 000 espèces endémiques (que l’on ne trouve nulle part ailleurs dans le monde), dont 80 % outre-mer.
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La Tortue verte (nom latin Chelonia mydasil), est sur la « Liste rouge nationale des espèces menacées de l’UICN France et du MNHN ». STEPHAN CICCIONE KELONIA
Péril plus élevé dans les outre-mer
Et, si l’on cherche une lueur d’espoir, on retiendra, que chaque jour, deux espèces nouvelles sont découvertes par les naturalistes, des insectes pour un plus de la moitié d’entre eux, et dans les régions ultramarines neuf fois sur dix.
Mais la France figure aussi parmi les dix pays hébergeant le plus grand nombre d’espèces menacées au niveau mondial. Le péril est plus élevé dans les outre-mer (40 % des espèces en danger d’extinction) qu’en métropole (22 %), mais, y compris dans l’Hexagone, le risque s’est accru de 15 %, entre les années 2008-2009 et 2015-2017, pour les quatre groupes majeurs des mammifères, des oiseaux nicheurs, des reptiles et des amphibiens.
Les listes rouges des espèces menacées publiées périodiquement par l’Union internationale pour la conservation de la nature et le Museum national d’histoire naturelle montrent ainsi qu’un tiers des espèces de mammifères, terrestres ou marins, est aujourd’hui menacé ou quasi menacé d’extinction en France métropolitaine, contre un quart en 2009. C’est le cas du putois d’Europe, du Desman des Pyrénées (mammifère semi-aquatique), de la crocidure leucode (musaraigne), ou du phoque veau marin.
La situation n’est pas meilleure pour les oiseaux nicheurs, dont un tiers également se trouve aujourd’hui en sursis, contre un quart en 2008. Parmi eux, l’outarde canepetière, le milan royal, l’alouette des champs ou la macreuse brune. Au cours des deux dernières décennies, les populations d’oiseaux des milieux agricoles ont chuté de 33 % et celles des milieux bâtis de 30 %, les espèces des milieux forestiers résistant mieux (– 3 %).
Article réservé à nos abonnés Lire aussi Près de 80 % des espèces d’oiseaux migrateurs menacées d’ici à 2050 par le changement climatique
« Pressions exercées par les activités humaines »
De leur côté, les chauves-souris métropolitaines ont perdu globalement 38 % de leurs effectifs en seulement dix ans, avec toutefois de fortes disparités entre les espèces, la population de noctules communes reculant de 51 %, quand celle de la pipistrelle pygmée progressait de 15 %.
Les grands prédateurs, loup, lynx et ours, même s’ils restent tous trois menacés, élargissent en revanche leur aire géographique, ce dont se réjouiront les défenseurs de la faune sauvage et sans doute moins ceux du pastoralisme. Leur présence régulière est désormais observée sur 5,5 % de l’Hexagone. Le loup, revenu naturellement en France en 1992 depuis l’Italie, connaît la plus forte expansion spatiale, dans les massifs alpins et provençaux ainsi que vers le Grand Est, la Franche-Comté et l’Occitanie. Le lynx progresse également, surtout dans le Jura, tandis que l’ours reste cantonné aux Pyrénées.
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Le lynx boréal  (nom latin: Lynxil) espèce qui figure sur « Liste rouge nationale des espèces menacées de l’UICN France et du MNHN ». ROLAND CLERC
Au-delà de ces animaux emblématiques, le déclin continu de la biodiversité tient « principalement aux pressions exercées par les activités humaines », rappelle le rapport. A commencer par l’artificialisation des sols : en moyenne, 65 000 hectares ont été grignotés chaque année, entre 2006 et 2015, par des habitations, des bâtiments agricoles, des routes, des parkings, des carrières et autres décharges. Les espaces prélevés à la nature représentent aujourd’hui plus de 5 millions d’hectares, soit près de 10 % du territoire métropolitain.
Autre indicateur : sur la période 2007-2012, seuls 22 % des habitats naturels d’intérêt communautaire – des milieux tels que prairies, marais, falaises, dunes ou chênaies dont une directive européenne exige le maintien et l’amélioration – étaient dans un état de conservation jugé favorable. Les surfaces toujours en herbe, ou prairies permanentes, qui sont riches en insectes, en faune vivant sur le sol et en flore, ont rétréci de près de 8 % entre 2000 et 2010.
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Le damier du frène ( Euphydryas maturna), espèce de papillon qui figure sur la « Liste rouge nationale des espèces menacées de l’UICN France et du MNHN ». DANIEL MOREL
Espèces exotiques envahissantes
L’état écologique des eaux de surface (rivières, plans d’eau, lagunes, estuaires…) est en revanche en légère amélioration : 44,2 % étaient considérées en 2015 comme en bon ou très bon état, soit un gain de 0,8 % par rapport à 2010. Mais le résultat reste loin du niveau de 64 % fixé, pour 2015, par la directive-cadre européenne sur l’eau, l’objectif étant d’approcher 90 % d’ici à 2021.
A la détérioration des habitats s’ajoute la pollution, en particulier chimique. Les ventes de pesticides à usage agricole continuent d’augmenter (de 12 % sur la période 2014-2016 par rapport à 2009-2011). Toutefois, la contamination des cours d’eau par les nitrates et les produits phosphatés est en nette diminution, de respectivement 11 % et 50 % sur les deux dernières décennies.
Les espèces exotiques envahissantes, enfin, sont l’une des menaces les plus directes pour la flore et la faune autochtones. Or, soixante des cent espèces les plus invasives au monde ont été identifiées en 2018 dans les outre-mer, parmi lesquelles la liane papillon à La Réunion, l’iguane vert en Martinique et en Guadeloupe, ou le rat noir sur plusieurs îles.
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Pour ne pas désespérer de l’espèce humaine, on relèvera que les citoyens sont de plus en plus nombreux à s’impliquer dans les sciences participatives liées à la biodiversité : plus de 50 000 d’entre eux ont participé, en 2017, à un programme de collecte de données, un chiffre multiplié par 2,5 en six ans. A l’opposé, on notera que l’effort financier national en faveur de la biodiversité (gestion des milieux, réduction des pressions et travaux scientifiques), après avoir progressé de 75 % entre 2000 et 2013, pour atteindre 2,1 milliards d’euros, a ensuite légèrement régressé.
Pierre Le Hir
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charlesmartel732 · 6 years ago
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Brève : l’Espagne et l’Allemagne envahies, Merkel et Sanchez discutent de la protection du lynx ibérique
Aujourd’hui, c’est le premier avril en Espagne ! Madame Merckel a été sollicitée à Melilla et Ceuta, invitation qu’elle a bien sûr déclinée. À dire vrai, ce n’est pas son vallet préféré actuel qui lui a fait la proposition, lui avait d’autres projets pour accueillir sa belle/bonne mécène. Sánchez a invité Merkel à passer les […] from Résistance Républicaine https://ift.tt/2vZUGTi via IFTTT
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go-blaise-morand · 7 years ago
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L'ORIGINE DES NOMS
Tout en faisant référence à la destination du produit, nous avons voulu donner des noms qui évoquent la faune et la flore, dont les espèces sont menacées ou en voie d'extinction, ainsi que les phénomènes qui touchent notre biodiversité. LEOPIA
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Evoque « Les Eaux Profondes Indispensables aux Animaux…. et à l’Humanité », ainsi que le Léopard des neiges… Aujourd’hui les espèces animales et notamment l’Homme sont en manque d’eau buvable… dont la réserve principale repose sur les eaux souterraines profondes de la Terre appelées nappes phréatiques, qui proviennent principalement de la fonte des neiges. Cette eau ne représente que 1.5% du total des eaux sur notre planète et diminue fortement compte tenu des besoins artificiels de l’homme, mais en plus, l’être humain la pollue avec toutes ses activités (gaz de schiste pour obtenir du pétrole,…) et en parallèle les rivières et les lacs disparaissent. L’once est aussi appelé le Léopard des neiges. On le rencontre dans les vallées isolées des montagnes d’Asie et de Sibérie centrale, où il monte jusqu’à 5'500 m. On l’appelle le « fantôme des montagnes ». Il possède un pelage très long et épais (jusqu’à 12 cm sur le ventre). Ses couleurs vont du gris pâle au gris crème lui permettant de se fondre dans le paysage. Il a de grosses pattes aux coussinets couverts de poils pour se protéger du froid et des oreilles courtes et arrondies. Son poids se situe à 45 kg. Son corps mesure 1.30. Sa queue mesure au moins 75% de la longueur de son corps (90 cm) et l’aide à garder l’équilibre sur des corniches dangereuses. Il fait partie des dix espèces les plus menacées, mais il est encore chassé pour sa fourrure… Il ne resterait plus que 4000 individus survivants à l’état sauvage. KOALIA
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Le « KOALIA » cendré est un marsupial arboricole endémique de l'Australie. Il se nourrit exclusivement de feuilles d'eucalyptus, ce qui implique un risque de disparition de l'espèce suite à une déforestation de son habitat, liée au développement urbain, ainsi qu'aux sécheresses et feux de forêts gigantesques.       NOURSEA
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L' « OURS » blanc est, avec l'ours kodiak, le plus grand carnivore terrestre vivant. Deux fois plus grand (2.6 m) qu'un Tigre, il pèse deux fois plus lourd (600kg) qu'un Lion. Cependant, son poids est en baisse en moyenne de plus de 30% depuis 1970 (étude : national géographique society). La destruction de son habitat naturel : la banquise, réduit son espace vital et les plaques de glace nécessaires pour chasser sa nourriture principale : le phoque. De plus, les matières toxiques déversées dans la mer sont consommées par le phytoplancton, puis le zooplancton qui sont à leur tour absorbés par les poissons, mangés eux même par les phoques…l'Ours se situe à la fin de la chaîne alimentaire et subit donc cette pollution. LOUPIA
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Le « LOUP » provient de l'espèce des Tomarctus (15 millions d'années). C’est un animal craintif qui vit en meute avec une structure sociale. Chassé par l'homme jusqu'à son éradication dans la majeure partie de l'occident, il resterait aujourd’hui seulement  270 loups rouges (Canis Rufus) en Amérique du Nord.   PANDIANE
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On a longtemps cru que le « PANDA » appartenait à la famille des ratons laveurs. Aujourd'hui, les scientifiques s'accordent à dire que c'est un ours. Le Panda mesure 1,40 m., pèse entre 75 et 160 kg et a une espérance de vie de 30 ans. C'est un omnivore : il se nourrit essentiellement de feuilles et de bambous. Il  possède un sixième doigt sur les pattes de devant qui lui permet de saisir les pousses de bambous comme s'il avait une main. Il a 40 puissantes dents qui lui permettent de mastiquer le bambou et a les pupilles fendues comme un chat. Ses larges molaires lui permettent de broyer les pousses de bambous. Les cinq orteils du Panda géant portent chacun une griffe acérée et courbée qui lui permet de grimper aux arbres. Il resterait 800 Pandas à l'état sauvage et une centaine dans les parcs zoologiques. LYNXIA
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L'ancêtre des félins, serait le Proailurus (un petit carnassier européen et arboricole apparut il y a 40 millions d'années) puis Pseudaelurus qui vivait il y a 9 à 20 millions d'années en Europe et en Asie. Apparut ensuite un carnivore aux dents en forme de sabre le smilodon, l'ancêtre des félidés modernes et dont les félins actuels ont divergé il y a 10,8 millions d'années.] Il y a neuf millions d'années, les félins d'Asie se répandirent en Afrique et en Amérique à la faveur d'une baisse du niveau des océans et les félidés se sont divisés en deux familles distinctes : les félinés (les petits félins) et les panthérinés (grands félins). Ces deux familles apparurent en Asie et ensuite se disséminèrent partout dans le monde sauf en Australie et à Madagascar. Vivaient donc alors en Europe des Panthères et des Lions, différents des espèces modernes, un Guépard géant et un petit félin le « LYNX » ancêtre du Lynx Boréal. Son nom : Lynx  lui vient d'un héros grec : Lyncée, pilote des argonautes partis à la recherche de la toison d'or et doté selon la légende d'une vue perçante. Quant à la profondeur de son regard, elle semble due aux bandes noires et blanches qui cerclent ses yeux. Le Lynx ibérique, ou Lynx Pardelle, est en voie d'extinction. L'Homme l'a longuement chassé et il réduit son habitat naturel par ses multiples constructions et autoroutes. Alors que plusieurs milliers de ces animaux étaient présents il y a moins d'un siècle, il ne reste plus que 150 à 200 individus dans 2 massifs montagneux au sud-est de l'Espagne. ELEFIA
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Tout le monde connaît l'« Eléphant » Africain de la savane. Après avoir été longtemps chassé pour son ivoire le « Loxodonta Africana » a été ajouté à la liste des espèces menacées d'extinction. Aujourd'hui, après 20 ans d'efforts l'espèce se repeuple dans quelques pays qui ont pris des mesures pour sa protection. Cependant, d'autres espèces sont particulièrement menacées car moins connues en raison des obstacles écologiques et politiques, également plus difficile à étudier et à protéger. L'éléphant Africain des forêts, le «Loxondonta Cyclotis », avec des oreilles circulaires plus petites est présent en Afrique centrale et de l'ouest, est particulièrement menacé car sans programme de protection. De la même façon, l'éléphant d'Asie « Elephas Maximus » vit principalement en Inde, au Sri Lanka et dans quelques pays d'Asie du Sud Est. La relation unique entre l'Homme et l'Eléphant en Asie remonte à 5000 ans, lorsque les Eléphants commencèrent à être capturés et dressés pour être utilisés dans des cérémonies, des guerres, la chasse et comme animal de trait ou de somme. Les textes Hindous anciens font référence à l'Eléphant et Ganesha : « le dieu de la sagesse, de l'intelligence et de l'éducation » est vénéré dans toute l'Inde. L'Eléphant blanc est réputé magique et les bouddhistes de toute l'Asie le considèrent comme une réincarnation de Bouddha. A la différence de l'Eléphant d'Afrique, dont le déclin est dû au braconnage pour l'ivoire, l'Eléphant d'Asie subit des menaces multiples liées au fait de sa présence dans les régions les plus peuplées du monde. C'est un herbivore qui a besoin de 100 à 200 kg de nourriture par jour qu'il trouve dans la forêt. La population humaine exerce des défrichages sauvages pour l'exploitation du bois et l'extension de l'agriculture, réduisant ainsi son habitat de façon drastique. 70% des Eléphants d'Asie ont disparu en 3 générations et on estime qu'il n'existe plus que 40 000 Eléphants, dont seulement 25 000 à l'état sauvage et uniquement 300 en Chine. KAMELON
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Les 85 espèces de « CAMELEON » vivent principalement en Afrique et les 2/3 à Madagascar. Le Caméléon de Jacson avec ses cornes vit à 3000 mètres d'altitude et change de peau 3 fois par an. Le Caméléon Commun est la seule espèce vivant encore en Europe du sud. Le Caméléon Panthère change de couleur très rapidement. Le Caméléon de Parson a la faculté de bouger ses deux yeux indépendamment l'un de l'autre, on dit qu'  « il regarde à la fois le passé et l'avenir… ». Ce pourrait être une vue d'ensemble que l'être humain devrait avoir sur sa planète : « protéger l'héritage du passé, qui nous offre aujourd'hui cette merveilleuse biodiversité, pour pouvoir vivre notre avenir avec toutes les espèces présentes sur notre Terre… ». DOLFINE
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« DAUPHIN » ou dolphin en anglais et « fine » pour la merveilleuse silhouette du Dauphin !... Nous connaissons tous le Dauphin qui, même s'il n'est pas menacé d'extinction pour certaines espèces, est constamment chassé par l'Homme dans certaines régions de notre planète. Cependant, une espèce de Dauphin vient de disparaître dans la plus totale indifférence : le Baïji ou Dauphin de Chine (Lipotes Vexillifer) du fleuve Yangtze. L'extinction est due à l'excès de pêche, à la pollution et aux interventions de l'Homme sur son habitat naturel (barrages…) Devrons-nous également apprendre la disparition d'autres espèces comme le Dauphin Plataniste (Platanista Minor) ou avons-nous encore l'espoir de sauver le Dauphin de l'Irrawaddy (Orcaella Brevioritis) dans le fleuve du Mékong en Thaïlande et au Cambodge ? TONIARA
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Dans l'eau comme dans les airs, la disparition s'accentue. Le « ARA » à gorge bleue (Ara graucogularis) est en danger d'extinction comme la majorité des perroquets Aras. La menace vient du trafic illégal des oisillons et des Aras adultes pour le commerce des volières. Le braconnage a réduit le nombre d'oiseaux à l'état sauvage de 100.000 à 2.000 individus en quelques décennies… et le  Ara bleu ou Ara Glauque est maintenant estimé à  50 individus dans le monde ! Par conséquent, si les personnes n'achetaient plus les oiseaux d'ornement pour leur bon plaisir, le braconnage n'existerait plus et les Aras pourraient retrouver leur quiétude et un véritable avenir… Click to Post
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virginiemeynielblog-blog · 8 years ago
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Les belles rencontres animalières de Virginie Meyniel  au parc zoologique de Paris
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Paris est une ville de découverte de prédilection, séduisant par ses innombrables curiosités, à l’instar de la fameuse tour Eiffel. Les amoureux de grands espaces et de la nature seront également agréablement surpris de découvrir le Parc Zoologique de Paris. Ce lieu très prisé des parisiens est tout simplement LE zoo à visiter pour vivre une expérience inédite. Situé seulement à proximité du métro du 12ème arrondissement, le parc s’étend sur près de 15 hectares. Le long du parcours de quatre kilomètres traversant le zoo, les visiteurs s’autorisent une pause évasion exceptionnelle dans un décor tout simplement unique au monde (en savoir plus sur Virginie).
Un zoo d’un tout nouveau genre
Pour les Français comme pour les touristes de passage à Paris, le Parc Zoologique est un site à découvrir et à redécouvrir absolument. A travers ses multiples voyages, Virginie Meyniel a eu l’occasion de visiter un grand nombre de parcs animaliers, mais celui de la capitale demeure incomparable. Il abrite à lui-seul plus de 1 000 animaux, dont 125 espèces ambassadrices de la faune sauvage faisant toute la particularité du zoo. Il faut noter en effet que le site représente un zoo d’un tout nouveau genre de par ses 14,5 hectares aménagés en cinq biozones bien distinctes, à savoir l’Amazonie-Guyane, Europe, Madagascar, Patagonie et Sahel-Soudan où les animaux évoluent en parfaite harmonie dans leurs environnements respectifs.
Ces espaces ont été conçus en vue de privilégier le bien-être des animaux. Le zoo a été créé dans un concept à part, celui d’intégrer des animaux ambassadeurs des quatre coins de la planète dans des milieux rappelant leurs écosystèmes d’origine. L’animal immerge ainsi dans son milieu naturel en tant que porteur de message sur les menaces d’extinction et de destruction de son milieu. Chaque espèce représentée au Parc Zoologique de Paris a d’ailleurs fait l’objet d’une sélection minutieuse, suivant des critères de conservation et d’intérêt attractif. Restituer l’environnement naturel de ces quelques 180 espèces animalières ouvre aussi droit à une observation et une découverte de leurs comportements sauvages.
Les manchots des côtes rocheuses
Parmi les plus belles rencontres de Virginie Meyniel au parc lors de sa visite, les manchots de Humboldt sont des animaux exceptionnels. Evoluant dans la biozone Patagonie, cette espèce originaire du Pérou et du Chili offre un véritable spectacle en allant et venant dans un bassin des côtes rocheuses. Il s’agit effectivement d’une espèce erratique de par la destruction de son habitat par l’homme ainsi que du phénomène El Niño, une espèce en voie de disparition en somme. Ces oiseaux au plumage blanc et noir incapables de voler vont faire profiter les visiteurs de leur séance de plongée tout simplement extraordinaire, grâce à leur corps fuselé.
Des parois vitrées séparent alors le bassin des manchots à celui des otaries à crinière, une espèce de mammifère également appelée « lion de mer ». Originaire des côtes occidentales du Pérou et de la côte orientale du Brésil, l’otarie se caractérise par sa crinière ainsi que son aboiement. En poursuivant la visite de la biozone de 16 500 m², il est permis d’observer les pumas ainsi que les pudus des Andes au cœur de la forêt andine, dans une végétation dense. Du côté de la steppe patagonienne ou la pampa sont accueillis les guanacos cousins du lama, les lièvres de Patagonie ou maras ainsi que les nandous de Darwin de la même famille que les autruches.
Le troupeau de girafes au cœur de la savane africaine
Pour une immersion au cœur de la savane africaine, la biozone Sahel-Soudan est un passage obligé. Il s’agit d’ailleurs du plus grand espace aménagé du parc, abritant de grands mammifères comme les zèbres de Grévy, les rhinocéros blancs ou encore les lions d’Afrique de l’ouest. Tout au long de sa progression, Virginie Meyniel est immédiatement émerveillée par la succession des différents milieux naturels, de la savane arbustive, en passant par la savane rase et la savane arborée au delta. Dans cette ambiance de savane africaine aux couleurs chaudes, ponctuée d’enrochements et d’arbustes épineux évoluent plusieurs groupes de grands mammifères, dont les girafes.
Les 16 girafes représentent en effet des pensionnaires emblématiques du Parc Zoologique de Paris, un troupeau habitant dans un spacieux paysage doré ayant récemment fait l’objet de travaux de rénovation. Il s’agit en effet  du plus grand animal terrestre du monde, mesurant jusqu’à 5,5 mètres. La population se compose d’un mâle baptisé Benny, de neuf femelles et de quatre jeunes girafes. A la démarche majestueuse de la girafe, cette espèce animalière offre aussi aux visiteurs une attraction particulière, notamment lorsque l’animal attrape les feuilles au sommet des arbres pour se nourrir. C’est effectivement à cet endroit que se trouvent les pousses d’acacias les plus tendres. La girafe évite alors les épines en tendant sa langue faisant 45 cm.
Les impressionnants loups ibériques
En poursuivant la visite dans la biozone Europe, c’est un tout autre regard que Virginie Meyniel a posé sur le vieux continent. De la forêt de conifères au vivarium, les visiteurs vont plonger dans une ambiance forestière typique de l’Europe pour aller à la rencontre de la petite faune constituée de tortues, de lézards ou encore de serpents. La biozone invite également à l’observation de mammifères impressionnants, à l’instar du loup ibérique, plus connu en tant que loup d’Espagne. Cette espèce menacée évolue au sein du parc sous le couvert de grands chênes et pins noirs aux côtés des gloutons et des lynx. A lui seul cet environnement constitue une curiosité à part entière, entre la cascade et le Grand Rocher.
La biozone Europe intègre également un vivarium reconstituant la montagne, la garrigue et le marais faisant office de refuges à une population de crapauds, grenouilles et bien d’autres espèces européennes rares, comme le crapaud sonneur ou encore la vipère péliade. Le vivarium couvre plus de 200 m², un parcours particulièrement fascinant pour les visiteurs. C’est également dans cette biozone qu’il est possible d’admirer le vautour fauve, ce rapace pouvant atteindre plus de deux mètres d’envergure. Le charognard imposant compte d’ailleurs parmi les plus grands rapaces de France.
Une faune sauvage diversifiée
En pénétrant dans l’espace Amazonie-Guyane, c’est une contrée tropicale à l’ambiance sauvage qui accueille Virginie Meyniel. Flâner entre les enrochements, les bassins et la grande serre est une expérience à vivre absolument pour aller à la découverte d’une faune sauvage d’une grande diversité. Cette biozone se décompose en trois parties bien distinctes, dont un parcours sous les tropiques au cœur d’une forêt équatoriale. A détour de la crique ou en passant du côté du fleuve, cet espace tropical abrite de nombreuses espèces animales telles que les chiens des buissons, les jaguars ou encore les tapirs. En poursuivant le parcours, difficile de ne pas se laisser exalter par la Grande Serre qui se veut tout simplement monumentale.
La cascade, les lianes et toutes ces plantes tropicales font de ce lieu un endroit à part. C’est l’endroit idéal pour observer les tamarins ou de petits primates accrochés aux branchages. Ce décor luxuriant sert également de refuge à de nombreuses espèces d’oiseaux qui volent en toute liberté. Au pied de la cascade, se sont les lamantins qui se donnent en spectacle, une espèce représentative de la Guyane, mais menacée également. En se rapprochant un peu plus près de l’eau, il est possible d’observer des poissons osseux géants.
Les célèbres lémuriens de Madagascar
Enfin, le Parc Zoologique de Paris est certainement l’unique endroit au monde où il est possible d’apprécier les principaux écosystèmes représentatifs de Madagascar, qui n’est autre que la quatrième plus grande île au monde. Il faut noter effectivement que la plupart des espèces animalières malgaches sont menacées, notamment avec un taux d’endémisme de 80 %. Grâce à un programme de conservation, le parc est en mesure de faire profiter les visiteurs d’un décor à part, principalement avec la Grande Serre faisant office d’habitat pour quelques espèces de lémuriens, ces animaux emblématiques du pays. A l’extérieur de la serre, d’autres populations de lémuriens évoluent en toute liberté dans une végétation dense, auprès du mystérieux fossa.
Madagascar se caractérise également par un écosystème tropical sec. La forêt sèche se dévoile alors au détour d’une butte avec un vallon habillé d’une végétation de plantes rases, d’arbrisseaux épieux et de plantes graminées. Cette partie de la biozone Madagascar sert de refuge à la tortue rayonnée, ayant la capacité à vivre en captivité pendant près d’une centaine d’années. C’est aussi dans cette partie du parc que Virginie Meyniel a pu admirer le lézard aux couleurs éclatantes de Madagascar plus connu sous l’appellation de phelsuma de Madagascar. Cette espèce de rompant se caractérise par sa capacité à se déplacer et à dormir sur des supports verticaux, faisant preuve d’une parfaite adhérence. Le caméléon  panthère s’avère tout aussi fascinant, pouvant atteindre les 55 cm de long pour les mâles. En fonction de son état émotionnel, l’animal a la perspective de changer de couleur, un mode de communication visuel. La couleur du caméléon permet aussi de distinguer le mâle de la femelle, de même que son origine géographique.
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zehub · 5 months ago
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Le sauvetage spectaculaire du lynx ibérique, quasiment éteint
Cette espèce presque éteinte est passée de la catégorie « en danger » à celle de « vulnérable ». Une victoire de la science et une preuve de plus que le travail de préservation fonctionne. Madrid (Espagne), correspondance Nous ne sommes pas condamnés à regarder les espèces s’éteindre, emportées par l’inertie de nos sociétés. Après avoir frôlé l’extinction au début des années 2000, le lynx ibérique vient de sortir de la catégorie « en danger » de la liste rouge de l’Union internationale pour la conservation de la (...)
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zehub · 6 years ago
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Europe : sur les traces des derniers lynx ibériques
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Le lynx ibérique ainsi que le pocheteau gris (la plus grosse espèce de raie du monde) sont deux espèces connues pour être visibles en Europe. Problème : elles sont toutes les deux au bord de l'extinction.
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zehub · 7 years ago
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Espagne: 50 000 lapins relâchés pour sauver le lynx ibérique
L'Espagne a mis en place un vaste programme de reproduction et de relocalisation du lynx alors qu'il était menacé d'extinction depuis plusieurs années.
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zehub · 7 years ago
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VIDEO. Feux de forêt en Espagne : deux lynx ibériques apeurés trouvent un refuge
Les deux félins n'avaient pas pu être évacués du parc alors que le feu ravageait le parc dans lequel ils sont gardés.
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