#lp remise en doutes
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vanilaloo · 1 year ago
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hey ! je vous présente en quelques photos Ariana (en rouge) et Aretha sa sœur, sans oublier les animaux quand même !
Aretha est venue rendre visite au ranch d'Ariana à Chestnut Ridge, après sa séparation avec son mari, le père de ses enfants.
Ariana, quant à elle, vit seule avec ses chevaux, ses moutons et ses chèvres et est la propriétaire du ranch.
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rollingstonemag · 8 years ago
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Un nouvel article a été publié sur http://www.rollingstone.fr/cure-7-choses-que-vous-ne-saviez-pas-sur-friday-im-love/
The Cure : 7 choses que vous ne savez pas sur « Friday I'm in Love »
Le changement de tonalité, la peur du plagiat et les autres facteurs qui ont joué un rôle dans ce succès de Robert Smith et de son groupe
Le chant funèbre semble presque plein d’énergie comparé à Disintegration du groupe The Cure, un album gothique sorti en 1989. Les circonstances de son enregistrement ont été telles que le chanteur Robert Smith s’est sérieusement demandé si ce n’était pas le dernier album du groupe. Après avoir traversé tout un tas de changements professionnels, Smith et Co. se sont attaqués à leur nouveau projet avec des yeux plus optimistes.
Sorti en 1992, Wish est l’apogée commercial du groupe, une collection de chansons tout de suite accessibles qui combinent le talent qu’a Smith pour créer des paroles denses et les musiques les plus mélodieuses que le groupe n’a jamais enregistrées. Même si quelques nuages sont apparus à l’horizon (comme la ballade d��chirante « Apart » et « From the Edge of the Deep Green Sea »), l’album revêt un ton optimiste. « High » est une friandise musicale et « Doing the Unstuck » nous offre les paroles « Kick out the gloom!/Kick out the blues!/Tear out the pages with all the bad news! ».
« Friday I’m in Love » fait partie des succès de l’album, une chanson pop entraînante pleine d’exubérance. Elle est devenue l’une des meilleures chansons du groupe The Cure mais aussi l’un des singles les plus identifiables en plus de 40 ans de carrière.
Malgré l’insouciance de l’album, Smith se dérobait quand on lui disait qu’il était heureux. « Disons « plus heureux ». Je suis toujours globalement malheureux, a-t-il insisté dans le magazine Spin juste après la sortie de Wish. Je crois qu’il n’y a que deux chansons sur l’album qui sont tristes, alors j’imagine que je ne dois pas être si triste que ça en ce moment, mais je le suis, vraiment. Cette sensation de désespoir qui ne me quitte jamais ». Ce n’est peut-être pas une coïncidence si le prochain album du groupe s’intitule Wild Mood Swings.
Le LP le plus pop de The Cure jusqu’à aujourd’hui est aussi l’un des albums les plus vendus. Il s’est hissé à la deuxième place du classement Billboard. Aujourd’hui, Wish reste un élément fondamental du catalogue du groupe et l’une de leurs œuvres les plus appréciées. Pour fêter son 25e anniversaire, voici 7 anecdotes fascinantes sur le single à succès de l’album : « Friday I’m in Love ».
https://www.youtube.com/watch?v=mGgMZpGYiy8
1. La chanson a été enregistrée dans le manoir Tudor de Richard Branson
Le magnat de Virgin Records, Richard Branson, a acheté ce vaste manoir Shipton Manor en 1970 et y a installé un studio d’enregistrement dernier cri pour les artistes en devenir de sa maison de disques. Situé près d’Oxford, à une heure de Londres, les studios Manor sont devenus célèbres en accueillant Queen, Van Morrison, John Cale et Gene Simmons, parmi tant d’autres.
Ironiquement, ce pedigree rock & roll impressionnant a fait réfléchir Robert Smith. « Cet endroit symbolise tout ce qu’il y avait de mauvais dans la musique du milieu des années 1970, a déclaré Smith au magazine Spin lorsque le groupe eut terminé l’enregistrement au début de l’année 1992. C’est genre « Oh non, vous allez au manoir. Vous serez maudits et vous y resterez pendant un an », mais lorsque vous y êtes, vous réalisez que c’est la mentalité des gens qui y enregistraient qui lui donnait cette réputation. Nous avons visité 12 ou 13 studios à travers le pays. Ce n’était pas le meilleur mais il avait la meilleure atmosphère. C’est celui qui nous correspondait le mieux ».
L’unique touche du groupe The Cure fut de décorer le studio pendant l’enregistrement. Des citations de Wordsworth, de Dickinson et d’autres figures littéraires ainsi que des coupures de magazines représentant des objets et des dessins quasi pornographiques recouvraient les murs. « Mary’s Manor Mad Chart » était une décoration remarquable : une liste du personnel et des résidents du manoir, classés « par ordre d’instabilité », rédigée par Mary Poole, la femme de Smith. « On a tous voté et on a eu le droit à une cérémonie de remise de prix, a déclaré Smith à Q en 1992. C’était très émouvant ».
La touche décorative la plus unique fut sans aucun doute une énorme peinture murale que Branson avait commandée. Elle représentait Boy George, Bono, Phil Collins et d’autres membres de la royauté pop britannique, affublés de vêtements tapageurs datant de la période néo-Renaissance. The Cure trouva cette peinture « grotesque », et la dégrada joyeusement en remplaçant les longs cheveux de Collins par un crâne chauve plus approprié.
2. Robert Smith était paranoïaque et croyait qu’il avait volé la progression d’accords à quelqu’un d’autre
Smith a traversé une période difficile lorsqu’il a cru que, comme pour l’écriture apparemment facile de « Yesterday » par Paul McCartney, il avait apparemment sorti la musique de « Friday I’m in Love » de nulle part. « « Friday I’m in Love » n’est pas le travail d’un génie, c’est presque une chanson calculée, a-t-il admis au magazine NME en 2008. C’est une très bonne progression d’accords. Je ne pouvais pas croire que personne d’autre ne l’avait utilisée et j’ai posé la question à beaucoup de monde à l’époque. Je devenais parano : « J’ai dû la voler à quelqu’un, je n’ai pas pu créer ça » ».
Comme McCartney, il a demandé à ses amis musiciens de voir s’ils pouvaient reconnaître la mélodie. « J’ai demandé à tous ceux que je connaissais. Tout le monde. Je leur ai téléphoné, je la leur ai chantée et je leur ai demandé « Vous l’avez déjà entendue ? Comment elle s’appelle ? ». Ils me répondaient « Non non, je ne l’ai jamais entendue ». Sur le même album, il y avait quelques chansons sur lesquelles j’avais travaillé dur et je me disais à l’époque qu’elles étaient vraiment mieux, mais « Friday » est probablement la meilleure chanson de l’album Wish ».
3. Smith a trouvé les paroles « idiotes » plus difficiles à écrire que les paroles émouvantes
Robert Smith n’est pas connu pour avoir une vision particulièrement joyeuse, ce qui rend une chanson explicitement optimiste comme « Friday I’m In Love » unique dans le catalogue du groupe. « « Friday I’m in Love » est une chanson pop idiote, mais elle est excellente parce qu’elle est absurde, a-t-il déclaré à Spin. Elle ne me ressemble tellement pas, elle est très optimiste. C’est cool d’avoir cette compensation ».
Ironiquement, les « chansons pop idiotes » étaient plus difficiles à écrire pour Smith. « Les paroles pop vraiment idiotes sont beaucoup plus difficiles à écrire que les effusions qui me viennent d’habitude. J’ai écrit des centaines de brouillons en essayant de trouver les mots. Vous devez trouver quelque chose qui n’est pas obséquieux. Une simplicité et une naïveté qui communiquent. On a toujours fait des chansons pop. C’est juste que parfois, elles sont bien trop tristes, désespérées en quelques sortes ».
Le concept des paroles, comme beaucoup de très bonnes choses, lui est venu dans un bar. « J’ai rencontré les autres membres du groupe à l’extérieur d’un pub près des studios. C’était un vendredi après-midi, a-t-il déclaré en 1997. Je me suis demandé « Est-ce que quelqu’un a déjà fait une chanson sur les jours de la semaine ? ». J’aimais beaucoup [l’idée] et j’ai écrit cette chanson ».
Certaines paroles lui sont venues du plus profond de son cœur : on dit que « Spinning round and round/Always take a big bite/It’s such a gorgeous sight/To see you in the middle of the night » fait référence à la rencontre avec sa femme Mary dans la cuisine en plein milieu de la nuit.
4. La chanson a été accélérée sur l’album à cause d’un incident technique
A l’origine, « Friday I’m in Love » est une chanson enregistrée en ré majeur, mais la version qui figure sur l’album a été accidentellement accélérée d’un quart de ton. « C’était un accident, a admis Smith à Guitar Player en septembre 1992. Je jouais en varispeed et j’ai oublié de l’éteindre ». Heureusement, il a aimé l’effet. « Ça a tout changé, et le fait que ce soit la seule chanson sur Wish qui ne soit pas jouée comme en concert la rend différente. Après avoir travaillé sur l’album pendant des mois, entendre quelque chose d’accéléré d’un quart de ton fait faire un pas en arrière à votre cerveau ».
5. La chanson a été l’une des premières sur lesquelles a joué Perry Bamonte, passé de roadie à membre du groupe
Le statut du batteur, claviériste et membre fondateur Laurence « Lol » Tolhurst au sein du groupe commençait à s’affaiblir au milieu des années 1980 à cause de son problème de drogue de plus en plus important. Lorsque le groupe a sorti Disintegration, il n’était crédité que dans la partie « autres instruments ». Roger O’Donnell a temporairement pris sa place au clavier avant que le groupe n’engage Perry Bamonte, leur technicien à la guitare, pour le remplacer définitivement. En plus de ses parties au clavier, le nouveau membre du groupe joue également de la guitare sur Wish, ce qui donne à l’album ce son si caractéristique.
« Friday I’m in Love » est remplie de son de guitare semblable à celui des Byrds. « J’ai mis du temps à accepter que l’on ait des solos de guitare dans nos chansons. Avant, je les détestais, a avoué Smith à Guitar Player en 1992. Je n’aimais pas aller sur le devant de la scène et dire « Regardez-moi ! ». Aujourd’hui, ça ne me dérange pas parce que ça va avec ce qu’on fait sur le plan musical. Ça aurait été bête dans le passé de mettre un solo de guitare simplement parce que quelqu’un avait envie d’en jouer un, mais ce serait tout aussi bête aujourd’hui d’empêcher quelqu’un de le faire si c’est ce dont la chanson a besoin pour être plus excitante ».
6. Le clip a été tourné en deux heures. Il rend hommage aux pionniers des films muets
The Cure a longtemps travaillé avec le réalisateur Tim Pope. Leur collaboration a été productive : il a réalisé plus de 35 clips innovants pour le groupe en commençant par « Let’s Go to Bed » en 1982. « Le travail de Pope sur « Friday I’m in Love » est une joyeuse expression du chaos contrôlé. Des images du groupe jouant avec des jouets surdimensionnés sont entrecoupées par des images de représentations à mesure que des décors de théâtre vintages changent derrière eux. « On avait des caméras qui tournaient sans arrêt et on faisait l’imbécile, raconte Bamonte dans une interview pour MTV en 1992 lors du tournage du clip. Il y a beaucoup d’accessoires, de décors qui changent. On s’amuse ». D’après Pope, certains des accessoires étranges ont été empruntés aux parents de Smith.
Le travail de Pope était la plupart du temps soumis à de longues heures de tournage, mais pas pour « Friday I’m in Love ». Lorsque Smith a déclaré dans une interview en 1997 que le clip était l’un de ses « trois préférés » du groupe, Pope a proclamé qu’il n’avait fallu que deux heures pour le filmer : « Et c’est pour ça que vous l’aimez ! ». La durée mise à part, la fantaisie du clip reflète l’extase de la musique. « C’était drôle à tourner et il capture parfaitement la chanson, » a déclaré Smith.
Le clip de « Friday I’m in Love » comprend quelques clins d’œil subtils aux réalisateurs pionniers des films muets. On y voit une silhouette habillée comme Oliver Hardy (du duo comique Laurel et Hardy) et les accessoires planétaires sont un hommage au court-métrage de Georges Méliès intitulé L’Éclipse du soleil en pleine lune sorti en 1907. Pope lui-même fait un caméo dans le clip : il apparaît sur le dos d’un cheval à bascule et hurle « Cut ! » dans un porte-voix.
7. Robert Smith a eu une relation conflictuelle avec la chanson et, de temps en temps, il la déteste
La popularité de « Friday I’m in Love » était à double tranchant pour The Cure. De nombreuses personnes qui ont connu le groupe par MTV, où le clip tournait en boucle, croyaient à tort que c’était un groupe de New Wave pop, ce qui a mené Smith a condamner ses nouveaux fans. « Les gens qui aiment « Friday I’m in Love » ne sont pas vraiment fans de The Cure, a-t-il déclaré à Musikexpress en 2000. Ce n’est pas eux qui achètent mes albums ».
La célébrité sera particulièrement difficile à vivre pour Smith, tellement méfiant à l’idée de partir en tournée qu’il a convaincu la maison de disques qu’il souffrait d’une phobie de l’avion (ce qui était faux) afin de limiter ses engagements. « On avait passé tellement de temps à se faire connaître, alors [quand] c’est arrivé, j’ai trouvé ça très gênant, a-t-il avoué à EW en 2007. Pendant longtemps, je n’aimais pas certaines chansons parce que je me disais « C’est de ta faute connasse. Tu m’as rendu célèbre ». « Friday I’m in Love » est un exemple parfait ». Malgré cette relation complexe, il y a souvent fait référence comme « l’un de mes trois singles préférés de The Cure ».
Par Jordan Runtagh / Traduit et adapté par Mélanie Geffroy
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