#lowell fulson
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nofatclips · 1 year ago
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Tramp (Lowell Fulson cover) by Otis Redding and Carla Thomas
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jazzdailyblog · 8 months ago
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Stanley Turrentine: The Soulful Saxophonist of Jazz
Introduction: Stanley Turrentine was a prominent saxophonist whose soulful sound and melodic improvisations made him a beloved figure in the world of jazz. With a career spanning over four decades, Turrentine left an indelible mark on the genre, collaborating with some of the biggest names in jazz and recording numerous critically acclaimed albums. In this blog post, we will delve into the life,…
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radiophd · 11 months ago
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lowell fulsom -- i'm a drifter
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meme-streets · 1 year ago
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il brutto.
01 lungs – townes van zandt 02 wanted dead or alive – warren zevon 03 do it again – steely dan 04 black widow blues – townes van zandt 05 ventilator blues – the rolling stones 06 goin' out west – tom waits 07 highway chile – jimi hendrix 08 born under a bad sign – albert king 09 laundromat – rory gallagher 10 who do you love – townes van zandt 11 brown eyed handsome man – chuck berry 12 hate street dialogue – rodríguez 13 snake mountain blues – townes van zandt 14 should've learnt my lesson – rory gallagher 15 just a bum – michael hurley 16 paper mountain man – linda perhacs 17 spoonful – howlin' wolf 18 driftin' blues – lowell fulson 19 get behind the mule – tom waits 20 dirge – bob dylan 21 rake – townes van zandt
if you work for a living, why do you kill yourself working?
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doyourememberrocknrollradio · 3 months ago
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Lowell Fulson - Guitar Shuffle
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jpbjazz · 2 months ago
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LÉGENDES DU JAZZ
JOHN HANDY, UN MULTI-INSTRUMENTISTE MÉCONNU
“John just sounded so good. He’ll give you that old-school authentic thing, and when he plays a ballad, it’s hard to replicate if you don’t come from that era. But he’s also very modern and can be abstract in his thinking. A lot of his music is very free and open and forward-thinking.” 
- Joe Warner
Né le 3 février 1933 à Dallas, au Texas, John Richard Handy III a d’abord fréquenté la St. Peter’s Academy de Dallas avant de déménager à Oakland avec sa famille à l’âge de quinze ans. À Oakland, Handy avait étudié au McClymonds High School. À l’époque, Handy avait déjà appris à jouer de la clarinette. Amateur de boxe, Handy était aussi champion poids plume, même s’il était aveugle d’une oeil et avait disloqué un de ses pouces dans un combat.
Également passionné de jazz, Handy avait l’habitude de s’endormir sur la musique de Charlie Parker pour étouffer le bruit des soirées que son beau-père organisait pour faire la promotion de son commerce illégal d’alcool. Parmi les camarades de classes de Handy à l’époque, on remarquait des membres de la famille Escovedo ainsi que le violoniste Michael White. Dans le cadre de ses études, Handy avait également fait la rencontre du futur athlète étoile Bill Russell, qui l’avait convié à participer à un tournoi de basketball. “I won the first game — of 15’’, avait expliqué plus tard Handy en riant.
Après avoir découvert que l’école possédait un excellent groupe musical, Handy s’était procuré une anche et une embouchure et avait appris à jouer du saxophone alto. De fait, Handy était tellement talentueux qu’il avait participé à sa première performance une semaine plus tard. Il précisait: “That was $5, and that became my way of making money.’’ Il avait ajouté:  “Most of my gigs were in the East Bay. I was 17 before I went to San Francisco and discovered Bop City.”
À l’époque, Handy ne savait pas lire la musique et avait appris à jouer du saxophone alto en autodidacte à partir de 1949. Il poursuivait: “I taught myself how to read music, and if I heard something on the radio, I could play it,When Louis Jordan was popular, I learned some of his solos.”
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Particulièrement influencé par le haut registre du saxophoniste Earl Bostic, Handy était encore adolescent lorsqu’il avait participé à une jam session à Bop City avec des membres de l’orchestre de Duke Ellington et du groupe de Gerald Wilson. Il avait aussi joué avec les saxophonistes Teddy Edwards et Frank Morgan. Après s’être inscrit au San Francisco State College, Handy avait fait ses débuts sur disque en 1953 avec le guitariste Lowell Fulson. Mobilisé et envoyé en Corée où la guerre venait tout juste de se terminer, Handy avait passé deux ans dans l’armée. Sa dernière affectation était au Presidio de San Francisco.
Après s’être marié, Handy avait eu un fils, John Handy IV, qui était devenu batteur. Après sa démobilisation, Handy était retourné au San Francisco State College. Même si le jazz ne faisait pas encore partie du programme du département de musique, Handy avait fait partie de groupes aux côtés d’autres passionnés de jazz. Comme l’avait expliqué Handy plus tard, à l’extérieur du campus, “some of the best people in jazz would come to Bop City. But by the mid-’50s, they were letting people in that would ruin it, because they didn’t know crap about music and didn’t care to know.” Handy avait même décliné une invitation de Charles Mingus pour venir jouer avec son groupe en 1958, car le contrebassiste avait une très mauvaise réputation auprès des musiciens qui, selon ses dires, ‘’complained a lot about Charles, but not in his company. They said he was a real asshole.”
Handy se produisait au Five Spot en 1958 avec le saxophoniste Frank Foster et le trompettiste Thad Jones, deux vedettes de l’orchestre de Count Basie, lorsqu’il avait été remarqué par Mingus. Le contrebassiste avait été tellement impressionné par le solo d’Handy sur le standard “There Will Never Be Another You” qu’il était sorti du club en criant “Bird’s back! Bird’s back!” (Charlie Parker était mort trois ans auparavant). Après s’être calmé, Mingus, qui devait se produire au club quelques semaines plus tard, avait fait venir Handy au bar pour lui faire une offre.
En dépit de l’obstruction d’un de ses professeurs particulièrement antipathique, Handy avait finalement décroché son diplôme en 1958 à l’âge de trente ans. Il expliquait: “I had ‘incompletes’ on my transcript that I had already completed and they never gave me the grade. This particular guy said in essence ‘You’re too raw.’ I took every took every course they had to get a B.A. and I finally graduated at 30.”
Après s’être installé à New York, Handy s’était joint au groupe de Mingus. Même s’il n’avait pas fait partie du groupe que durant un an, le séjour de Handy avait contribué à changer l’évolution du jazz, notamment dans le cadre des albums Mingus Ah Um et Mingus Dynasty, dans lesquels il avait participé à l’enregistrement des classiques “Better Git It in Your Soul’’, Goodbye Pork Pie Hat’’ (un éloge au saxophoniste Lester Young qui venait de mourir) et “Fables of Faubus’’, une dénonciation du gouverneur ségrégationniste de l’Arkansas, Orval Faubus. Tout aussi marquant avait été l’album Blues and Roots, dans lequel Handy avait fait équipe avec Jackie McLean au saxophone alto. Même si ces albums avaient été reconnus comme des classiques dès leur parution, Handy avait particulièrement excellé sur l’album Jazz Portraits: Mingus in Wonderland, un enregistrement en concert mettant en vedette le pianiste de San Francisco, Richard Wyands. Après avoir livré une performance au Five Spot, le quintet de Mingus s’était déplacé plus loin sur la même rue pour se produire à la Nonagon Art Gallery où il avait enregistré quatre pièces d’une durée totale de quarante-cinq minutes avec le saxophoniste ténor  Booker Ervin (le seul autre musicien à avoir participé à tous les albums de Handy avec Mingus). Après le concert, le groupe était retourné au Five Spot pour prendre la relève de Sonny Rollins, qui avait fait les frais de l’intermission pendant son absence.
Après avoir enregistré quatre albums en un an avec Mingus, Handy était retourné à San Francisco où il avait fait ses débuts au début des années 1950 au Jimbo’s Bop City et partagé la scène avec de grands noms du jazz comme les saxophonistes Teddy Edwards, Frank Foster et Dexter Gordon. Handy avait aussi commencé à flirter avec le jazz modal, à une époque où très peu de ses pairs commençaient à peine à assimiler ce concept. En 1965, Handy avait présenté les résultats de cette expérimentation dans le cadre d’un concert présenté au Festival de jazz de Monterey, en Californie. L’enregistrement du concert, qui avait été publié par les disques Columbia l’année suivante sous le titre Live at the Monterey Jazz Festival, avait mérité à Handy deux nominations au gala des prix Grammy pour les pièces "Spanish Lady" (dans la catégorie de la meilleure performance de jazz) et pour sa composition "If Only We Knew". Le quintet de Handy était composé à l’époque du violoniste Michael White, du guitariste Jerry Hahn, et d’une section rythmique entièrement canadienne formée du contrebassiste Don Thompson et du batteur Terry Clarke.
Avec l’aide de sa femme, qui était également sa gérante, Handy avait aussi enregistré un premier disque comme leader en 1959. À l’époque, le vibraphoniste Milt Jackson s’était lié d’amitié avec Handy et sa femme et leur avait proposé d’habituer dans un de ses appartements situé près de Harlem. Décrivant ses débuts à cette époque, Handy avait commenté: “Most of my gigs were with Charles, but I played the whole summer of ’59 with Randy Weston at the Five Spot. Though Charles and Randy were both mavericks, Randy was more positive.” Handy avait ajouté: “We played with Randy six nights a week. That’s where my exposure came.’’ 
Handy se produisait au le pianiste Five Spot avec Randy Weston lorsqu’il avait rencontré la baronne Pannonica de Koenigswarter, une mécène qui avait été la protectrice de Charlie Parker et Thelonious Monk. Handy expliquait:
‘’One of the characters who came in to the Five Spot was the Baroness [Kathleen Annie Pannonica de Koenigswarter]; she came in with Thelonious Monk almost every night. She said, ‘Monk would like to speak to you’ as I’m coming off the bandstand, so I follow him into to kitchen, and Monk was a big man, his hat is almost touching the roof, and he kept walking, never turned around. He kind of looks up, not at me, and says, ‘You play your motherfucking ass off. You think,’ or maybe, ‘You play your motherfucking ass off, you think.’ I’m not sure which one he meant. And then he walked around me and out. I’m still scratching my head.” 
Impressionné par le talent d’Handy, Monk lui avait plus tard proposé de faire sa première partie à la Jazz Gallery.
Handy avait également fait une tournée européenne avec son groupe en 1961. Par la suite, il avait travaillé comme soliste en Suède et au Danemark.
Retourné à San Francisco, Handy avait été très impliqué dans le mouvement des droits civiques. Il avait précisé: ‘’I couldn’t sit back, with all I’d gone through, and let somebody fight for me without trying to help my own cause.” À l’époque, des Afro-Américains comme le joueur de baseball Willie Mays des Giants de San Francisco faisaient l’objet d’une discrimination incessante, et Handy avait été arrêté durant une manifestation. Handy expliquait: ‘’I couldn’t sit back, with all I’d gone through, and let somebody fight for me without trying to help my own cause.” Afin de recueillir des fonds pour la cause, Handy avait formé le Freedom Band avec deux jeunes saxophonistes ténor, Mel Martin et Noel Jewkes. Le trompettiste Eddie Henderson faisait également partie du groupe.
À l’époque, Handy se produisait au Both/And Club  sur la rue Divisadero. C’est dans ce club qu’Handy avait entendu pour la première fois la chanteuse Faye Carol. La chanteuse avait rencontré Handy au début des années 1970 alors qu’elle était mariée au professeur de musique Jim Gamble.
Même si le climat social était plutôt tendu à l’époque, Handy ne se rappelle pas que des incidents raciaux se soient produits dans les clubs de San Francisco ou dans le cadre de ses relations avec l’Union des Musiciens. “You don’t see that in jazz’’, avait expliqué Handy. Après avoir divorcé de sa première femme, Handy s’était marié avec une femme qu’il avait rencontrée au Five Spot et qui était devenue plus tard chancelier du San Francisco City College. Le couple s’était éventuellement acheté une maison sur la rue Baker.
En 1963, Handy a travaillé comme soliste sur la Côte Ouest avec des orchestres de musique classique comme le Santa Clara Symphony Orchestra et le San Francisco State College Band. L’année suivante, il avait retrouvé Mingus dans le cadre du Festival de Jazz de Monterey, en Californie. En 1966 et 1967, Handy avait fait une tournée aux États-Unis avec les Monterey All Stars. Il avait également participé à l’opéra The Visitation de Günther Schuller. En 1968, Handy a fondé un nouveau quartet avec Mike Nock, Michael White et Ron McClure.
Par l’entremise d’anciens camarades de classe du San Francisco College State, Handy avait été présenté au virtuose de la cithare Ravi Shankar, qui lui avait donné deux leçons privées sur la musique indienne. Comme Handy l’avait expliqué plus tard, “And I understood, because when I went to St. Peter’s, we sang Gregorian modal music. And African Americans are very modal. Later, I recorded with Ravi in India.’’
À la fin des années 1960, Handy avait également collaboré avec Ali Akbar Khan, un pionnier de la sarod, un instrument à cordes d’origine indienne. Andy poursuivait: “Then I got a call to play with [sarodist] Ali Akbar Khan. I went to his house in Marin County, and it was like I’d been playing with him all my life. I booked several concerts with him and paid him half of the ticket sales, though I realized that Indian musicians don’t do what we do. They don’t change keys and can’t play jazz.” Handy avait enregistré deux albums avec Khan. Zakir Hussain, avec qui il avait joué sur l’album Karuna Supreme en 1975, lui avait également fait cadeau d’un tabla.
La collaboration d’Handy avec Khan avait éventuellement donné lieu à l’enregistrement de l’album Karuna Supreme en 1975. À l’époque, Handy tentait de réaliser une symbiose entre la musique du Nord de l’Inde et les airs de Gospel qui avaient marqués son enfance avec sa grand-mère. Il expliquait: “I could relate it to the stuff I’d been exposed to in the African American church. At the first rehearsal with Ali Akbar Khan he said ‘Let’s just play,’ and I just understood it. I had met Ravi Shankar. He invited me to a concert in LA and gave me a couple of lessons. I did learn something from it, but I could always play it with my background in the blues.” Handy avait aussi travaillé en 1980 avec Lakshminarayana Subramaniam dans le cadre du groupe Rainbow.
Retourné au San Francisco State College (devenu l’Université de San Francisco State) en 1968, Handy avait repris sa carrière de professeur et avait pris la direction des études de jazz. Conscient d’être l’objet d’une certaine jalousie de la part des professeurs de musique classique, Handy avait commenté: “I know they were jealous of me because I could do what they did but they couldn’t do what I did.”
Comme mentor, Handy avait encouragé la carrière de plusieurs générations de jeunes musiciens. Lorsque le saxophoniste Hafez Modirzadeh était venu enseigner à San Francisco State, Handy l’avait pris sous son aile et l’avait initié à la musique non-occidentale. Ne tarissant pas d’éloges sur les compositions et les arrangements innovateurs d’Handy, Modirzadeh avait ajouté:
“It’s something that really connects him to jazz history, to Buddy Bolden and Louis Armstrong. You had to be there to see these people play. There won’t be a technical book by John Handy describing how he does what he does, that fingering and embouchure. It’s mystical, completely John Handy’s, and we’ll never know how he did it.I’ve asked him once or twice, ‘Can I come over and you show me how to do something?’ Very graciously, he’ll say, ‘I’m still working out some things that Charlie Parker did.’”
À l’époque, Handy avait aussi reçu une commande pour composer un Concerto for Jazz Soloist and Orchestra, qui avait éventuellement été interprétée par la San Francisco Symphony en 1970. Handy avait également enseigné à l’Université de Californie à Berkeley, à l’Université Stanford, au San Francisco Conservatory of Music et au City College de San Francisco. 
La pièce-titre de l’album Hard Work (1976) était devenue le plus grand succès de la carrière d’Handy. En plus de s’être classée sur le palmarès Billboard, la pièce avait fait partie du répertoire des juke box à travers le monde. Toujours en 1976, Handy avait enregistré un album de jazz-fusion avec le guitariste Lee Ritenour. L’album intitulé Carnival est paru en 1977.
ÉVOLUTION RÉCENTE
Dans les années 1980, Handy s’était joint au groupe Bebop and Beyond. Basé à San Francisco, le groupe avait rendu hommage à des pionniers du bebop comme Dizzy Gillespie et Thelonious Monk. Gillespie s’était même joint au groupe comme artiste-invité dans le cadre de l’album qui lui était consacré. Au milieu des années 1980, Handy avait également participé à une tournée avec le groupe Mingus Dynasty.
À la fin des années 1980, Handy avait formé le groupe John Handy With Class qui le mettait en vedette aux côtés de trois chanteuses-violonistes.
Retiré dans sa résidence de Hillside après avoir été victime d’une légère attaque, Handy avait continué se consacrer à la musique. Comme l’avait expliqué sa partenaire de longue date, la chanteuse Faye Carol: “Before Jazz on the Hill, I hadn´t heard anything from John lately, so I was so happy when he said he’d do our [Aug. 13] show.’’ Un autre membre du groupe, le pianiste Joe Warner, avait ajouté: “I’ve been trying to get the opportunity to work with John since that Yoshi’s gig. And we have a great band for him, with Tarus Mateen on bass, who plays with [pianist] Jason Moran, and Jaz Sawyer, a great drummer I worked with when he was living up here, who’s been in Southern California.”
Multi-instrumentiste souvent sous-estimé, Handy joue à la fois du saxophone alto et ténor, du saxello, du saxophone baryton, de la clarinette et du hautbois. Il chante également à l’occasion. Très impliqué dans les musiques du monde, Handy avait consacré sa vie à transformer l’esprit humain par l’entremise de sa musique. Utilisant une instrumentation souvent inusitée, Handy avait toujours été un musicien et compositeur sans compromis qui échappait à toute étiquette. Principalement connu pour sa participation à des petits groupes comme les quintets et les quartets, Handy s’était également produit avec de grandes formations allant des big bands aux orchestres symphoniques, aux ensembles vocaux et aux chorales.
Comme chanteur, Handy excelle tant dans le blues que le scat et les ballades. Au cours de sa carrière, Handy s’était produit dans les plus grandes salles de concert d’un peu partout sur la planète, dont Carnegie Hall, le Lincoln Center, le Berlin Philharmonic Auditorium et le San Francisco Opera House. Il avait aussi livré des performances dans les plus importants festivals de jazz du monde, dont le Monterey Jazz Festival, le Newport Jazz Festival, le Playboy Jazz Festival, le Chicago Jazz Festival, le Pacific Coast Jazz Festival et les festivals de Montreux, d’Antibe, de Cannes, de Berlin et de Yubari et Miyasaki au Japon. Tout en continuant de se produire régulièrement dans les universités et les collèges, Handy fait également de nombreuses lectures sur les aspects techniques, académiques, spirituels et créatifs de la musique.
Parmi les plus récents enregistrements d’Handy, on remarque "Centerpiece" (1989), "Excursion in Blue" (1988), ‘’John Handy Live at Yoshi’s Nightspot" (1996) et "John Handy’s Musical Dreamland" (1996). Certains des premiers albums d’Handy ont été réédités sur CD, dont "John Handy: Live at the Monterey Jazz Festival" (1966), "The Second John Handy Album" (1966), "New View" (1967) et "Projections’’ (1968). En plus d’avoir enregistré avec Sonny Stitt, Handy a enregistré neuf albums avec le Charles Mingus Jazz Workshop.
Le pianiste Joe Warner, qui avait joué avec Handy pour la première fois au club Yoshi’s de San Francisco une décennie plus tôt, avait perdu contact avec le saxophoniste jusqu’à ce qu’il l’entende jouer en juin 2023 au Festival Jazz on the Hill avec le Akira Tana Quartet. On avait aussi remis un Jazz Icon Award à Handy dans le cadre de l’événement. Warner poursuivait: “John just sounded so good. He’ll give you that old-school authentic thing, and when he plays a ballad, it’s hard to replicate if you don’t come from that era. But he’s also very modern and can be abstract in his thinking. A lot of his music is very free and open and forward-thinking.” En 2009, l’organisme SF JAZZ a décerné à Handy un Beacon Award.
Le fils de Handy, John Richard Handy IV, est devenu batteur, et se produit avec son père à l’occasion. Handy est également le père du saxophoniste Craig Handy.
©-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique
SOURCES:
GILBERT, Andrew. ‘’At 90, Bay Area Sax Great John Handy Is Still Composing His Legacy.’’ KQED Inc., 2 février 2023.
‘’John Handy.’’ All About Jazz, 2024.  
‘’John Handy.’’ Wikipedia, 2024.
KALISS, Jeff. ‘’At 90, Saxophonist John Handy Still Puts In the Hard Work.’’ Classical Voice, 1er août 2023.
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sgokie2024 · 5 months ago
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"The T-Birds weren’t the only band building on the long tradition of playing the blues as a kind of dance music. This was a common approach not only in Texas, but also in the neighboring states of Oklahoma and Louisiana, where audiences were more likely to step to the dance floor than on the East Coast or in the Midwest. The guitarists who perfected this style included not only T-Bone Walker in Dallas, Barbara Lynn in Beaumont and Albert Collins in Houston, but also Lowell Fulson in Tulsa and Earl King in New Orleans. Call it Gulf Coast Groove Blues.
These giants were always acknowledged by their disciples. Most of Jimmie Vaughan’s solo recordings featured Freddie King’s organist Bill Willis, and many of Sahm’s solo recordings featured Tejano saxophonist Rocky Morales. McClinton, who got his start backing up Sonny Boy Williamson, passed on the latter’s harmonica tips to a young John Lennon.
These apostles updated the sound with a dose of ’60s rock ‘n’ roll and brought that Gulf Coast sound into the national pop charts. San Antonio’s Sir Douglas Quartet, led by Doug Sahm and Augie Meyers, had a #13 pop single with “She’s About a Mover” in 1965. Tulsa’s J.J. Cale had a #22 hit with “Crazy Mama” in 1971. Fort Worth’s Delbert McClinton went to #8 in 1980 with “Giving It Up for Your Love.” The Fabulous Thunderbirds had a #10 pop single, “Tuff Enuff,” in 1986. They all proved that the blues could connect with a big audience if one could hum the tune and dance to it.
- Paste Magazine
Jimmie Vaughan remains rooted in mid-century. "The '40s, '50s and early '60s, that's just what I like," he says. "The clothes, the cars, everything. I'm not trying to be nostalgic, it's just what I like. I just kind of ignore everything and pretend this is going on."
Photo by Ebet Roberts/Redferns
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randomvarious · 1 year ago
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California Blues Playlist
Yep, I've got the blues, folks; and this week, they happen to come from a place that you might not normally associate them with: California. See, a lot of blues scenes first popped up in the south and midwest in the early half of the 20th century, but as black southerners were packing their bags and leaving the Jim Crow south to find better opportunities, a lot of them would end up either heading straight for California or finding their way there, eventually. So, here's a little, off-the-beaten path playlist of some superb Cali-made gems, spanning from the mid-60s to the mid-90s.
Now, a rather large chunk of this thing happens to be taken up by a pair of guys who both shared the same prefix of "Little" in their stage name: Little Joe Blue and Little Johnny Taylor. And I don't know what either of their physical statures truly were, but nothing about their music would suggest to me that they were small 😅. Little Joe Blue was often derided as a copycat of B.B. King, but I think that criticism really misses the forest for the trees, because if you can sound like B.B. King, then that means that you are one hell of a talented blues musician yourself. So, on this playlist, Joe opens up with "Standing on the Threshold," a song with about 2,100 plays on YouTube, and then later follows up with "Gonna Walk On" and "Encourage Me Baby," which have about 4,000 and 6,600 plays, respectively.
And, by far, the two most popular tunes on this playlist are both by Little Johnny Taylor, whose "Everybody Knows About My Good Thing" ended up being more famously covered by both The Rolling Stones and Texas soul-blues legend Z.Z. Hill; but the "Part 2" version of the song that I'm supplying here only has about 1,400 plays in total. And Taylor's other big tune, "Open House at My House," which also has a play count that numbers well past 100K, was more famously covered by Z.Z. Hill too. I like Taylor's renditions of both songs better, though.
The most impressive performance of all, though, comes from its lone woman, Ledisi, who delivered an incredibly soulful and live, five-and-a-half-minute rendition of an old torch song called "Stormy Weather" at San Francisco's Cafe du Nord back around 1996. She's a pretty popular musician, with songs on YouTube that have racked up over millions of plays each, but this stunning tune of hers only has about 4,200.
And following her is another performance from that same Cafe du Nord, by a guy named Lee E. White, whose brand of blues-gospel flew way under the radar, as his quiet tune here, "You're Gonna Miss Me," only currently has four YouTube plays.
And not to be missed, either, are a couple tunes from the guy who was quite possibly the second most important force in west coast blues, behind T-Bone Walker: Lowell Fulson. On this playlist, he contributes "Sleeper" and "My Baby," both sweet and smooth late 60s-early 70s cuts, with ~24.5K and ~5.5K plays, respectively.
This playlist is ordered as chronologically as possible and links are provided below to songs that have been posted about previously in order to give them more context:
Little Joe Blue - "Standing on the Threshold" Lowell Fulson - "Sleeper" Lowell Fulson - "My Baby" Little Johnny Taylor - "Everybody Knows About My Good Thing" Little Joe Blue - "Gonna Walk On" Little Joe Blue - "Encourage Me Baby" Little Johnny Taylor - "Open House at My House, Part 1" Little Johnny Taylor - "When the Deal Goes Down" Ledisi feat. The Rob Rhodes Trio - "Stormy Weather" Lee E. White - "You're Going to Miss Me"
(Wow, everybody's name starts with the letter L!)
This playlist is also on YouTube Music.
So, I'll be adding more songs to this sometime in the future, but for now, we start with ten very good songs that end up totaling a little over half an hour.
Enjoy!
More to come, eventually. Stay tuned!
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savage-kult-of-gorthaur · 2 years ago
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ROSY-CHEEKED KING OF THE BLUES.
PIC INFO: Spotlight on the late, great B.B. King (1925-2015), American blues guitarist/vocalist/singer-songwriter and all around legendary bluesman, artwork by William Stout for his "Legends of the Blues" (2013) portrait series.
MINI-BIO: "Riley B. King was born on September 16, 1925 in Itta Bena, Mississippi. After his father left the family, Riley grew up in his mother’s and grandmother’s homes. He worked as a sharecropper and sang gospel, then moved to Indianola, Mississippi, in 1943. Country and gospel were his first influences, followed by the music of T-Bone Walker, Lonnie Johnson, Charlie Christian and Django Reinhardt. In 1946, he studied guitar for ten months in Memphis under his cousin, bluesman Bukka White. After months of hardship, Riley returned to Indianola.
King came back to Memphis in 1948, working at radio station WDIA as a singer and disc jockey, gaining the nickname “Beale Street Blues Boy,” (hence, “B.B.”; not “B. B.”, by the way). Upon first hearing T-Bone Walker, he promptly purchased an electric guitar. King cut tracks for Bullet, then began recording for RPM with (famed Elvis Presley) producer Sam Phillips. King’s first R&B #1 was Lowell Fulson’s “Three O’Clock Blues” (1951).
In the mid-1950s, while B.B. was performing at an Arkansas dance, a kerosene stove got knocked over during a fight, setting the place ablaze. B.B. raced outdoors with the crowd. Realizing he had left his beloved $30 acoustic guitar inside, he rushed back in to retrieve it, narrowly escaping death. After finding out the brawl had been over a woman named Lucille, he named his guitar “Lucille” as a reminder never to be so crazy as to fight over a woman. Since then, each of his Gibson guitars has been named Lucille. The original Lucille was stolen from his car’s trunk in Brooklyn. He offered a $20,000 reward but no one ever came forward. He eventually had an open offer of $100,000 for the return of that beloved guitar."
-- WILLIAM STOUT, slightly revised B.B. bio from WS's "Legends of the Blues" book
Sources: www.comicsgrinder.com/2013/06/14/review-legends-of-the-blues-by-william-stout and www.williamstout.com/news/journal/2015/05/15/b-b-king-1925-2015.
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severingt · 2 months ago
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SoulPM Playlist 9th December 2011
Fire – Pointer Sisters
When The Going Gets Tough – Billy Ocean
Tramp – Lowell Fulson
These Arms of Mine – Otis Redding
The Heartache Is Gone – Bettye Swann
First Cut Is the Deepest – P P Arnold
Tap Turns on the Water – Ccs
Pounds of Soul – Betty Bibs
Mojo Hannah – Little Esther Phillips
Lucretia Mac Evil – Blood Sweat and Tears
Lean Lanky Daddy – Little Annie
It’s Your Thing – Isley Brothers
Itch And Scratch – Rufus Thomas
If You Need Me – Wilson Pickett
Home In Your Heart – Solomon Burke
He’s the One – Ike And Tina Turner
Gotta Get Away – Flaming Ember
Get Out Of My Life Woman – Lee Dorsey
Baby Cakes – Maxine Brown
Walk Out the Door If You Wanna – Yvonne Fair
Was That All It Was – Jean Carne
Too Much For You – Bobby Angelle
The Love I Lost – Harold Melvin and the Blue Notes
The Grunt Parts 1 and 2 – The JBs
The Adventures of Grandmaster Flash on the Wheels of Steel – Grandmaster Flash
Slip And Dip – Coffee
NT – Kool and the Gang
Me and Mrs Jones – Billy Paul
Love on Love – Leroy Hutson
Lady Love – Lou Rawls
It’s Just Begun – Jimmy Castor Bunch
In The Whole – Bar Keys
I Can Feel Your Love – Felice Taylor
Baby I’ll Come – Mary Love
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altroottv · 3 months ago
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'Hamp's Hump' - Jimmy Vivino from The Extended Play Sessions on Vimeo.
The Extended Play Sessions - March 9, 2024
Jimmy Vivino and Friends perform the song "Hamp's Hump" on The Extended Play Sessions. Jimmy Vivino (aka Jimmy V) has always considered himself “a blues man with a job”. Although best known for serving 26 years as Conan O’Brien’s musical director, guitarist and bandleader, his experience in the music business predates that by 20 plus years. Jimmy V has produced, lead bands and recorded with a countless number rock and roll and blues artists for five decades including the likes of Hubert Sumlin, Warren Haynes, Bob Weir, Keith Richards, Elvis Costello, Johnnie Johnson, Son Seals, Shemekia Copeland, Levon Helm, Phoebe Snow, Dion, Laura Nyro, Bob Margolin, Lowell Fulson, John Sebastian, Joe Louis Walker and Al Kooper to name a few.
The Band: Jimmy Vivino - guitar, vocals, Hammond Organ Jesse Williams - bass Jerry Vivino - tenor sax, vocals, soprano sax, flute Mark Texeira - drums
Guests Tyler Morris - guitar on 'Feelin' Good' Dwayne Haggins - vocals on 'Inner City Blues'
Production Staff Maribeth Arena - Camera 2 Bill Hurley - Boom Camera John McBreen - Boom Camera Joanne Craig - Camera 3 H Nat Stevens - Cam 1 Remote Connor Quigley - Sound Engineer, Livestream Producer Eric Nordstrom - Front Of House Photographer - Dan Busler Connor Quigley - Post Audio Mix Engineer
The Fallout Shelter is an all ages 100-seat performance venue and state-of-the-art broadcast and recording studio, offering one of the most unique live music experiences in New England. Located in Norwood, MA, just 15 miles from Boston, The Fallout Shelter is run under the auspices of the Grass Roots Cultural and Performing Arts Center, a non-profit organization dedicated to preserving, promoting and advocating for traditional American Roots music.
Youtube: youtube.com/@thefalloutshelternorwood Website: extendedplaysessions.com Facebook: facebook.com/epsfalloutshelter Instagram: instagram.com/thefalloutshelternorwood
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lboogie1906 · 8 months ago
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Stanley William Turrentine (April 5, 1934 – September 12, 2000) was a jazz tenor saxophonist. He began his career playing R&B for Earl Bostic and later soul-jazz recording for the Blue Note label in 1960, touched on jazz fusion during a stint on CTI in the 1970s. He was described by critic Steve Huey as “renowned for his distinctively thick, rippling tone [and] earthy grounding in the blues.”
He was born in Pittsburgh into a musical family. His father, Thomas Turrentine Sr., was a saxophonist with Al Cooper’s Savoy Sultans, his mother played stride piano, and his older brother Tommy Turrentine was a trumpet player. He was married to organist Shirley Scott in the 1960s, with whom he recorded.
He began his prolific career with blues and rhythm and blues bands and was at first greatly influenced by Illinois Jacquet. He went on to play with the groups of Lowell Fulson and Earl Bostic. In Bostic’s group, he replaced John Coltrane and played in groups led by the pianist and composer Tadd Dameron.
He received his formal musical training during his military stint in the mid-1950s. He left the military and went straight into the band of the drummer Max Roach.
He started working with organist Jimmy Smith and made many soul-jazz recordings both with Smith and as a leader. #africanhistory365 #africanexcellence
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whatilistenedtoatwork · 10 months ago
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From January 29th to February 9th, 2024
29-01-2024
JOHN CARPENTER & ALAN HOWARTH “Halloween II Original Soundtrack”; BOYS OF THE LOUGH “In The Tradition”; CHIC “C'est Chic”; SPARKS “Interior Design”; ABNER JAY “The Backbone Of America Is A Mule & Cotton”; THE NATACHA ATLAS & MARC EAGLETON PROJECT “Foretold In The Language Of Dreams”; TIM BUCKLEY “Happy Sad”; CORNERSHOP FEATURING BUBBLEY KAUR “Cornershop And The Double “O” Groove Of...”; EDDIE VINSON “Cleanhead Blues”; GRUFF RHYS “Yr Atal Gedhedlaeth”; LEONARD COHEN “Dear Heather”; ELMORE JAMES “Dust My Broom”; GERSHON KINGSLEY “Music To Moog”; EUROS CHILDS “Gingerbread House Explosion”; GUIDED BY VOICES “Universal Truths & Cycles”
06-02-2024
GROOVE ARMADA “Vertigo”; CATATONIA “International Velvet”; EUROS CHILDS “Chops”; MILES KANE “Change The Show”; BLAKE BABIES “Nicely, Nicely”; EARL HOOKER & JUNIOR WELLS “Earl Hooker & Junior Wells”; ABBA “Ring Ring”; LOWELL FULSON “West Coast Blues”; KROKODIL “Swamp”; GRUFF RHYS Candylion”; PRIMAL SCREAM “Riot City Blues”; MILEY CYRUS “Bangerz”; SPARKS “Angst In My Pants”; THE POLICE “Ghost In The Machine”; LINDISFARNE “Dingly Dell”; PROFESSOR LONGHAIR “New Orleans Piano”
07-02-2024
BUKKA WHITE “Parchman Farm Blues”; AMON DUUL II “Yeti”; JENS LEKMAN “When I Said I Wanted To Be Your Dog”; MEMPHIS JUG BAND “Walk Right In”; SONIC YOUTH “Rather Ripped”; J.B. LENOIR “Eisenhower Blues”; SALTY DOG “Every Dog Has It's Day”; GUIDED BY VOICES “Let's Go Eat The Factory”; SQUAREPUSHER “Hello Everything”; BMX BANDITS “C86”; TAKE THAT “Beautiful World”
08-02-2024
LEON ROSSELSON “Wo Sind Die Elefanten?”; KRISTIN HERSH “Possible Dust Clouds”; NATACHA ATLAS “Gedida”; CATHY DAVEY “Tales Of Silversleeve”; EMMYLOU HARRIS “Luxury Liner”; ZERO 7 “Simple Things”; GOLDIE “Timeless”; ERIC BOGLE “Voices In The Wilderness”; EELS “Souljacker”; THE CARDIGANS “First Band On The Moon”; GUIDED BY VOICES “Vampire On Titus”
09-02-2024
SPARKS “Balls”; RICHARD THOMPSON “Live At Crawley, 1993”; STAN ROGERS “From Coffee House To Concert Hall”; THE SPIN DOCTORS “Homebelly Groove... Live”; STEELY DAN “Can't Buy A Thrill”
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ridenwithbiden · 10 months ago
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Lowell Fulson - Reconsider Baby
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meme-streets · 2 years ago
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if it tells you anything about my level of beatles knowledge, for a while i was absolutely convinced lowell fulson wrote "why don't we do it in the road"
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romanlightman001 · 11 months ago
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Tramp - Lowell Fulson (1966) (HD Quality)
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