#look Philippe Matignon
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Après Macron, Philippe, sort du bois !
Vous voyez qui c’est Philippe ? vous vous rappelez, celui qui a quitté “sa famille politique LR” pour aller profiter de l’aire @macron. En 2017, aussitôt élu, ce dernier débauche trois loustics aussi ambitieux les uns que les autres pour leur coller trois ministères clés. Philippe , barbu à l’époque, chevelure noire , look ENA, haut fonctionnaire, hérite des clés de Matignon. Il y reste…
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“La vie conne et fine de Gustave F.” [épisode 18]
[Lire les épisodes 1, 2, 3, 4, 4 bis, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17] Jour 18 : La barbe ! On était aujourd’hui le mercredi 1er avril, Gustave tenait soigneusement le compte chaque matin pour s’y retrouver, rester humain malgré tout, malgré la barbe qui gratte, la calvitie qui repousse, les ongles de pieds qui commencent de percer le bout des chaussettes et le caleçon qu’on ne change plus tous les jours. Le 1er avril était le jour des blagues, Gustave s’en souvenait qui traquait dans les nouvelles d’Internet comme sur les bandeaux de BFM la bonne farce qu’on allait lui faire. Mais les pigistes qu’on avait fait télétravailler cette nuit n’avaient pas le cœur à la fête, Gustave ne trouvait rien qui lui semblât plus insensé qu’à l’ordinaire. Le miroir que les infos tendaient au réel avait ce même air de continuel Gorafi en pas très drôle. Les éditorialistes qui péroraient sur les plateaux ce même air des « Grosses Têtes » mais en plus collabo. Les gouvernants qui déversaient leurs baquets d’éléments de langage ce même air de faux-jetons bien criminels. Et puis la maladie occupait presque tout l’espace. COVID partout, canulars nulle part. Hormis le virus, une question spécifique occupait quand même ce jour-là une poignée d’organes de presse : celle de la canitie accélérée de la barbe du Premier ministre. La Dépêche.fr, par exemple : ÉDOUARD PHILIPPE : POURQUOI A-T-IL DES TACHES DANS SA BARBE ? Le 01 avril 2020 à 06h06, mis à jour à 07h12, par La Rédaction À chacun de ses passages télé, la barbe d'Édouard Philippe suscite des interrogations. Pourquoi la barbe du Premier sinistre ministre a-t-elle des taches blanches moches ? Depuis quelques temps, Édouard Louis-Philippe affiche une barbe bizarrement décolorée par pièces. Sur sa joue gauche, on constate des parties comme albinos. Ces cercles de poils morts ne sont pas passés inaperçus lors de l’intervention télévisée du Premier ministre de tendance légitimiste. Certains y voient un manque de soins adaptés, de la négligence due au confinement, tandis que d’autres attribuent cette transformation à l’angoisse liée à sa fonction ou à l’âge, voire à une forme de pourrissement sur pieds traduisant les rapports complexes entre le clinique et le somatique. Sur Twitter, les Français n’ont pas mâché leurs mots concernant le nouveau look du chef du gouvernement : « Je vous conseille de vous raser, à chaque fois que je vous vois à la télé j'ai l'impression de regarder Les 101 Dalmatiens », ou encore : « C'est un revival ska la pilosité d’Édouard Philippe », se sont moqués de nombreux internautes. Véritable sujet de plaisanterie, il s’agirait peut-être d��une conséquence de la pression que l’ancien maire du Havre subit au quotidien. C’est notamment l’avis du Parisien. Le quotidien évoque en effet « des moments de tension extrême que Philippe intériorise au point d’en porter tel un saint les stigmates physiques : ainsi de cette dépigmentation de la peau apparue récemment sur un coin de sa barbe ». Une constatation effectuée à la veille du discours de présentation de la réforme des retraites, le 11 décembre 2019, pendant lequel la barbe du locataire de Matignon n’était déjà pas passée inaperçue. Plusieurs sites médicaux, comme Doctissimo ou PourquoiDocteur, évoquent de leur côté un possible vitiligo. Cette piste est également suivie par Laurence Netter, dermatologue esthétique interrogée par Yahoo! Selon la spécialiste, « on ne connaît pas vraiment la cause, ça pourrait être lié au stress mais en partie seulement, c’est plurifactoriel. Mais ce qu’on ne comprend pas du tout, c’est pourquoi le président thaumaturge ne lui impose pas les mains ou quelque chose. » De même, FemmeActuelle.fr : POURQUOI LA BARBE D'ÉDOUARD PHILIPPE A BLANCHI AU FIL DE SON MANDAT ? Le Premier ministre souffre-t-il de quelque chose ? La Rédaction | Mercredi 1er avril 2020 à 07h03 Le blanchiment est un phénomène courant dans la mafia comme chez les responsables politiques au pouvoir, mais la barbe en partie blanche d’Édouard Philippe serait surtout due à une maladie... Depuis le début de son mandat, le Premier ministre qui, à sa prise de fonction, cultivait une belle barbe brune et fleurie, n'en finit plus d’arborer une sorte de bourre qui s’éclaircit sur le côté gauche du visage. En temps de crise sanitaire, les esprits s’échauffent et les hypothèses vont bon train, de la simple conséquence du stress en passant par les symptômes coronaviraux exceptionnels jusqu’à la forme mutante personnalisée. Un dermato fait le point sur la barbe d’Édouard Philippe. Le docteur Halioua, dermatologue, explique : « Le COVID-19 jusqu’à présent ne provoquait pas de maladie de peau, mais c’est une pathologie dont on découvre tout au fur et à mesure et qui peut agir différemment sur les individus. Il est possible aussi que le virus mute, surtout lorsqu’il atteint des personnes protégées en principe par l’aura rebouteuse présidentielle. Et puis il y a le stress lié aux conflits psychiques, ça ne doit pas être facile tous les jours de mentir sans arrêt, on peut imaginer en tout cas que la libération de neuromédiateurs favorise une fragilisation des mélanocites. » Dans le cas d'Édouard Philippe, pour y voir plus clair, il faudrait savoir s’il a d'autres taches dépigmentées sur le corps. Chez des patients, il arrive que ça touche également les mains ou les parties génitales. Parfois même l’anus, mais là en général c’est plutôt un traitement volontaire qu’on s’impose à Los Angeles ou sur la Côte d’Azur. À la télé, c’est vrai qu’on ne filme presque jamais les mains de Philippe. Possible d’ailleurs qu’il n’ait pas de mains, comme chez Sartre. » Enfin, il y a une hypothèse à ne pas négliger, c’est celle que le Premier ministre en fait soit décédé. Il tiendrait debout par la seule force de l’habitude ou un mécanisme d’obéissance occulte aux énergies magnétiques du Marché. On ne sait pas bien encore comment ça fonctionne, c’est un phénomène à l’étude. Les taches seraient les marques du corps faussement en vie et qui se décompose. Ça s’est déjà vu dans d’autres contextes. Regardez Walking Dead. Ou la Bible. » Quoi qu’il en soit, la vie sociale est souvent affectée par la dépigmentation visible, car beaucoup se disent à tort ou à raison qu’il s’agit d'une pathologie contagieuse. Édouard Philippe a du mérite de ne pas avoir cherché à teindre sa barbe et à s’assumer comme revenant. C’est un choix courageux. » (A suivre).
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And hello Golden Lady! This is the 1st time I am trying out this brand which I saw all over Amazon, so I am super excited as to how these wear throughout the day! This is another pair which was kindly gifted as a little birthday treat from one of my superb followers.
Now as this is a new brand to the blog, I would like to add a little bit about the background of them before I start my review:
About Golden Lady
“GOLDEN LADY UK Golden Lady UK is a subsidiary company of the Golden Lady Company http://www.goldenlady.com based in Northern Italy. We import quality hosiery and socks from our parent company in Italy for distribution to the UK market. Established 1989, our Head Office and distribution centre is based in Nottingham, where we run our sales and admin operation. Using the finest yarns and Italian flair for design, quality and innovation are our passion and we bring this to the UK market for the most important customer – YOU!
GOLDEN LADY COMPANY Goldenlady is one of the brands of Golden Lady Company, an international industrial group, worldwide leader and key player in design, manufacture and retail of hosiery and underwear. Founded in 1967 in Castiglione delle Stiviere (Italy, Mantua), the Group’s strategy combines a defined Italian style and continuous product diversification, with the opening of new markets through the acquisition of the best national and international brands of hosiery including Philippe Matignon, Filodoro, SiSi and Omsa, as well as the American brands No-Nonsense and Hue. Golden Lady boasts 12 production sites located in Italy, United States and Serbia, with an overall production of 400 million tights per year, distributed in 70 countries worldwide. Golden Lady Company is the market leader in Italian hosiery with a share of 35% and a key player in all major European markets including France, Germany, Spain and England, through its subsidiaries and sales agencies. In the US market, the Golden Lady Company has been able to achieve a dominant role with the brands Hue and No-Nonsense. Golden Lady employs 7,000 workers, of which 2,900 are in Italy. Nerino Grassi is the Chairman of the Group and the headquartered are located in Italy, Castiglione delle Stiviere (Mantova).
DYNAMIC, SENSUAL, PASSIONATE. Women are by nature one step ahead. And as always, at every step they take they can count on a special ally: Golden Lady, the female fashion brand which is, and always was, a point of reference for women all over the world. Golden Lady is always there to enhance women’s sensuality and femininity, without ever forgetting quality. We believe in research and we are constantly looking for new yarns and new technologies, shaping style in new, trendy ways. This innovative spirit, constantly monitoring the evolution of the market and of consumers’ tastes, has helped us become the undisputed leaders of the hosiery market. A constant growth, with higher and higher targets. Yet there’s one thing that never changes in Golden Lady: we are always close to women, by providing innovative, trendy – but at the same time affordable – products. Golden Lady wants to continue expressing a unique style by presenting a strongly personal, recognizable image, immediately noticeable and increasingly able to convey the modern, feminine spirit which has always been Golden Lady’s trademark.”
– taken from their website
The Spec
Colour: Black
Size: 2 – Small
Denier: 40
Materials: 50% Cotton, 50% Viscose
Price: £5.50
Website: Amazon – Goldenlady Women’s Hold-Up Stockings, 40 DEN
My Outfit
I decided to dress these up a bit, and I felt like doing monochrome (nothing new there) paired with my Timberland heeled boots and oversized jackets. I wanted to be slightly dressy but still keeping it casual.
My Deets
Cami Top: New Look
Skirt: H&M
Oversized Jacket: Zara
Tights: Golden Lady
Choker: Independent Brand
Boots: Timberland
The Review
From The Website: The tights you will forget you are wearing thanks to the body without central seam. Semi-sheer tights, with the innovative comfortable seamless body, they stay in place, enhance your shape, perfect fit and comfort.
Adjustable waist and comfortable band Leg massaging effect 50% Cotton, 50% Viscose Machine washable – low temperature (30 ° max) Hold-Up Stockings 24MMM
The Packaging: now this was interesting when I got it out the plastic packaging it came in. My first though:-
“There is so much information on the front and even more on the back about the tights”
Don’t get me wrong, this is certainly not a bad thing as clearly they have so many unique selling points to them that they wish to expand on, and to be honest that made me want to get into them even more. There is so much about them that seem amazing, I literally had to rush through my pictures so I could get these on the legs to try out.
If you check out the bottom 2 images in this section, you will see how short the waist is on this. I swear I am even more intrigued to see what they’re gonna be like on now!
Getting Them On: I took my time getting these on the legs as I wanted to see how well they roll up. And I gotta say they glided so nicely up without no issues. I thought I would have to push and pull them in places to make sure I get an even finish with no lighter or darker patches on the legs, but I didn’t have to faff around like that.
I am loving these already!
On The Legs: I have no words…
Okay well I need words to write this review, so let me start off with the denier. Now I do like a good 40 denier when it starts becoming cooler, and I have to say these did my legs some justice. They look so smooth and so gorgeous and they actually help to slim them down slightly too.
The quality of these are spot on. I thought I would end up snagging them at some point, but I can honestly say that I had no issues whatsoever. If anything they were kept looking flawless all day long!
The fit of these are true to size and they were perfect. I had enough stretch for my legs to get good even coverage, but I would recommend going a size up if you’re unsure just so you don’t end up with patches of sheer and opaque on the legs.
The feel of them are so soft. They’re not a horrible rough feel that you can get with some pairs which aren’t nice. These are super soft and really are great. They treated so well all day and I cannot thank them enough to be honest.
One of the best 40 denier pairs I have come across in a long time!
The Toes & Ankle: the toes have some reinforcement to them, as you can see in some of the images below. It becomes slightly darker around the toes, which isn’t a bad thing as it’s not too noticeable until you look up close.
The toes have plenty of wiggle room to them and can breathe without feeling pressure added on during the day too. As you can see, it does shade slightly darker around the feet as when you start moving, the tights end up setting themselves into position and this can mean a little more material is covering the feet than the rest of the legs.
Around the ankles, these are a lovely fitted finish with no wrinkles.
The Waistband & Gusset: I gotta say this waistband is so damn good! This sits a lot lower than tights I have worn before, and it is so comfortable. They are seamless so you won’t get any bumpy lines found anywhere when wear bodycon clothing. The band is nice and thick, and moves with you without you realising you’re wearing one. I gotta say I can rave on and on about these – they are one of the best seamless bands I have come across!
The gusset as you can see is stitched in and is a darker patch of material – once again they made it seamless so it sits all nice and flush against the skin without any raised parts.
My Thoughts?
Seriously I cannot recommend these enough. I am so glad I got my hands on a pair and had the chance to review them. I will certainly be buying this brand in future and trying out some of their other styles if their 40 denier is this good!
Goldenlady 40D Hold-Up Stocking Tights And hello Golden Lady! This is the 1st time I am trying out this brand which I saw all over Amazon, so I am super excited as to how these wear throughout the day!
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Grandfather-Inspired
While we were in Madrid, we had the opportunity to commemorate the 200th anniversary of the Prado Museum. On inauguration day, we enjoyed fireworks and an interactive history projected on its walls. It was truly spectacular!
The following day, we visited the museum, and this is what I wore: a masculine-inspired, preppy look, that I mentally dedicated to my grandfather. According to my mom, I inherited my love for traditional, preppy fashion style from my grandpa. He loved a good tweed blazer or hacking jacket on women, hats, long hair, updos, brogues for women, and overall a pretty British look. Things my mom did not quite like. And then I was born, and I embraced all of that compulsively! (Yes, I admit to having an "issue" with blazers, even though I live in South Florida.) Although he may have not thought of tweed shorts, I'm sure he would have whole-heartedly approved of this look. So this one is for you, grandaddy!
WHAT I WORE:
Blazer: Plaid wool; Ralph Lauren (similar here, here, here)
Bow Blouse: Wool; Ralph Lauren (similar here, here, here, here)
Shorts: Wool Tweed; Brooks Brothers (here, similar here, here, here)
Belt: Leather and Damier canvas; Louis Vuitton (similar here, here, here)
Hosiery: Philippe Matignon (similar here, here, here)
Headband: Knit cashmere (here, similar here)
Shoes: Leather; Ralph Lauren Collection (here)
Bag: Leather; Mark Cross (here in navy blue; similar here, here)
Bag Charm: Fox fur; Adrienne Landau (similar here, here)
Earrings: Faux tortoise; Lauren by Ralph Lauren (similar here, here, here, here)
Ring: Gold
Bracelet: Gold (similar here, here)
Brooch/Pin: Handpainted Russian lacquered wood; Antique (similar here, here, here, here)
Watch: Gold and diamonds; Cartier Le Panthère (similar here)
Sunglasses: Banana Republic, Satya (here)
You can see how I styled this blazer before here, here.
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Mientras estuvimos en Madrid, tuvimos la oportunidad de conmemorar el bicentenario del Museo del Prado. El dia de la inauguración, disfrutamos de un espectáculo de fuegos artificiales y de una historia interactiva proyectada sobre la fachada. Fue realmente espectacular!
Al dia siguiente, visitamos el museo, y esto fue lo que me puse: un look "preppy" y de inspiración masculina que, mentalmente, dediqué a mi abuelo. Según mi mamá, mi afinidad por la moda tradicional y "preppy" la heredé de mi abuelito. A el le encataba que las mujeres lucieran una buena chaqueta sastre en "tweed", los sombreros, el cabello largo, los moños, los zapatos tipo mocasin o de hebilla de hombre, y en general, el estilo mas bien británico. Todo ello, un estilo que a mi mamá no le gustaba demasiado. Pero después nací yo, y abracé ese estilo de manera compulsival! (Si, admito que tengo un "asunto" con las chaquetas sastre, aún cuando vivo en el sur de la Florida.) Aunque seguramente no se le hubieran ocurrido los shorts en "tweed", estoy segura de que hubiera aprobado este conjunto de todo corazón. Asi que va por ti, abuelito!
LO QUE ME PUSE:
Chaqueta: De lana a cuadros; Ralph Lauren (similar aqui, aqui, aqui)
Camisa: De lana con lazo; Ralph Lauren (similar aqui, aqui, aqui, aqui)
Shorts: De tweed de lana; Brooks Brothers (aqui, similar aqui, aqui, aqui)
Cinturón: De piel y lona Damier; Louis Vuitton (similar aqui, aqui, aqui)
Medias: Philippe Matignon (similar aqui, aqui, aqui)
Cintillo: De cashmere tejido (aqui, similar aqui)
Zapatos: De piel; Ralph Lauren Collection (aqui)
Bolso/Cartera: De piel; Mark Cross (aqui in navy blue; similar aqui, aqui)
Bola de Piel: Adrienne Landau (similar aqui, aqui)
Zarcillos/Pendientes: De falso carey; Lauren by Ralph Lauren (similar aqui, aqui, aqui, aqui)
Anillo/Sortija: De oro
Pulsera/Braceletes: De oro (similar aqui, aqui)
Broche: Antiguo, de madera pintada a mano en Rusia; (similar aqui, aqui, aqui, aqui)
Reloj: De oro y diamantes; Cartier Le Panthère (similar aqui)
Lentes/Gafas de Sol: Banana Republic, Satya (aqui)
Pueden ver como combiné esta chaqueta anteriormente aqui, aqui.
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Un nouvel article a été publié sur http://www.rollingstone.fr/benoit-hamon-un-candidat-dans-rolling-stone/
Benoît Hamon, son interview dans Rolling Stone
Benoît Hamon, grand gagnant de la primaire socialiste, s’était confié, il y a quelques semaines, à Rolling Stone et nous a dévoilé sa culture rock. Amateur de cold-wave dans sa jeunesse brestoise, il nous livre son patrimoine rock où Status Quo côtoie Cure, U2, The Sisters Of Mercy et Téléphone. Nous vous proposons l’intégralité de son interview
Par Philippe Langlest
Depuis déjà plusieurs mois, il y a de la friture sur la ligne PS, entre les pros-Valls et les frondeurs qui rejettent ouvertement la politique mise en place par le Premier ministre. Proche de Michel Rocard au début des années 1990, il se rapproche de Martine Aubry dans les années 2000 puis fini par se rallier à François Hollande en 2011. Incarnant la gauche du PS, il est nommé ministre délégué chargé de l’Économie sociale et solidaire en mai 2012 sous le gouvernement Ayrault. Avec Manuel Valls, il prend du grade et hérite du poste de ministre de l’Education nationale où il restera 147 jours. Plus vraiment sur la même longueur d’onde, il est débarqué du gouvernement fin août 2014. Aujourd’hui, libre comme l’air, le Breton est redevenu député. Boudé par l’Elysée et peu apprécié par Matignon, il compte bien faire entendre sa voix aux primaires socialistes début 2017.
Fils d’un père ingénieur des Arsenaux de Brest, le petit Benoît se martèle les tympans sur le boogie-rock de Status Quo. Il a 13 ans. Dans sa chambre d’adolescent, punaisée de poster d’AC-DC et de Motörhead, l’album Overkill lui souffle dans les bronches. Ses goûts musicaux s’affirment au lycée, il change de braquet et découvre la new-wave anglaise avec Depeche Mode. Attiré par un son plus dark, il est séduit par la cold-wave de The Cure puis passe de Joy Division aux riffs noir corbeau des Sisters Of Mercy. Au début des années 80, le rock made in France reprend des couleurs. Ses groupes préférés savent cracher du riff : ils ont pour noms Téléphone, Starshooter, Bijou.
7 juillet 2016. Installé dans un modeste bureau à l’Assemblée Nationale, il nous reçoit chaleureusement les bras chargés de 33-tours. Allure de jeune homme et coupe de douilles à la Ian Curtis, le député frondeur desserre la cravate.
Adolescent, comment avez-vous fait votre éducation musicale ?
A la maison, mes parents écoutaient religieusement Joe Dassin. Il ne se passait pas une semaine sans que la voix du grand Joe résonne dans les enceintes (sourire). Bien qu’à 12 ans, je n’écoutais pas vraiment sa musique dans ma chambre. J’ai commencé à me mettre au rock avec les Anglais de Status Quo, mon groupe fétiche à cette époque. Pour moi, il n’y avait pas mieux : ils avaient des putains de bonnes chansons qui faisaient battre du pied, un son de guitares qui allait bien et ce look total jean délavé, que je trouvais très tendance à l’époque (rires).
https://www.youtube.com/watch?v=z7-z4Dz5ZU4
Avec quel album découvrez-vous le groupe Status Quo ?
En achetant mon premier 45 tours, « Whatever You Want ». Pendant des semaines, le single a tourné sur ma platine : ce refrain ne me lâchait pas (Hamon fredonne NDLR). Entre-temps, j’avais bien entendu acheté l’album du même nom. Ce groupe avait la réputation de tenir la scène. J’en ai eu la confirmation en me procurant leur disque Live, enregistré à Glasgow en 1976. Le son du disque est volcanique et les guitares de Parfitt/Rossi sont remontées comme des coucous, enquillant à la chaine leurs meilleurs titres, avec entre autres « Caroline », « Down Down » et l’incontournable « Whatever You Want ».
De 12 à 14 ans, j’étais à fond dans le hard-rock. J’avais un gros poster d’AC-DC dans ma chambre.
A part Status Quo, vous vous intéressiez à d’autres groupes de rock ?
De 12 à 14 ans, j’étais à fond dans le hard-rock. J’avais un gros poster d’AC-DC dans ma chambre. Let The Be Rock et Highway To Hell squattaient ma platine. Les riffs d’Angus Young ont accompagné mes années de collège. Pour me décrasser les oreilles, j’utilisais assez souvent l’artillerie lourde de Motörhead avec les albums Overkill ou Ace Of Spades. J’éprouvais aussi une vraie sympathie pour les seconds couteaux du heavy-metal comme le groupe Saxon. Ils venaient d’un bled du côté de Sheffield ; de solides gaillards qui avaient fait un peu tous les métiers avant de se lancer dans le heavy-metal. Je me souviens encore de ces longues intros de guitares et ces solos qui surgissaient de tous les coins de l’album Wheels Of Steel. Un morceau de Saxon sans solo, c’était impensable, ça n’existait pas en fait !
Pas de Beatles ? de Stones ?
Non, je suis complètement passé à côté. J’ai écouté les Beatles sur le tard et les Stones n’ont jamais été mon truc. J’aime la gouaille de Jagger sur certains albums comme Tattoo You mais ça s’arrête là.
Après le heavy-metal de Saxon, vous changez de cap et vous passez de la new wave à la cold wave…
Au lycée à Brest, j’ai changé de look et surtout de style musical. Mes copains étaient des fans hardcore des Smiths. Ils achetaient tout ce que faisaient Morrissey et sa bande. A cette époque, la tendance était très Manchester à Brest. Cette même année, je suis tombé sur Unknown Pleasures de Joy Division et la voix glacée et glaciale de Ian Curtis. J’écoutais aussi Depeche Mode mais c’est surtout la période cold wave de The Cure qui m’a attiré avec l’album Seventeen Seconds. Mélodiquement, j’ai toujours trouvé que The Cure était au-dessus du lot et que Robert Smith reste l’un des meilleurs songwriters anglais encore en activité. Pourtant, j’avais un sentiment très ambivalent sur eux. J’adorais leur musique mais j’avais du mal à encadrer leurs gueules. Je dois avouer que le côté androgyne maquillé de Robert Smith me gavait un peu. Même si à cette époque, j’avais un look un peu dark qui se résumait à porter un imper marine très long qui traînait un peu sur mes bottes (rires).
https://www.youtube.com/watch?v=wVvoQIdD80U
Par la suite, vous devenez fan de The Sisters Of Mercy. Comment vous initiez-vous à leur musique ?
La musique, c’est souvent une histoire de potes, on me passait souvent des lives en K7. Et à un moment donné, je suis tombé sur The Sisters Of Mercy. Leur musique dégageait une grande puissance, c’était un mélange entre le gothique et la dark wave. Mais derrière cet épais rideau noir, il y avait de bonnes mélodies comme Mary Ann ou Alice. Je me rappelle que la formation d’Andrew Eldritch changeait souvent de personnel, suite au caractère versatile du taulier. En fait, si vous observez le line-up du groupe sur toute leur carrière, il y a plus de contrats précaires que de CDI (sourire).
Il y a un album en particulier que vous recommandez ?
Je conseillerais le premier First and Last And Always, sorti en 85. C’est une tuerie, avec Eldritch et Wayne Hussey à la guitare, futur leader The Mission. J’ai passé de nombreuses soirées à Brest à écouter à fond « Marian » et « Black Planet ». Leur musique me donnait envie de bouger, de larguer les amarres sur le dance floor brestois.
A ce propos, quand vous sortiez à Brest pour écouter de la bonne musique, c’était où votre QG ?
On allait tous au Mélo. Cette boite était le point de rendez-vous pour tous les amateurs de cold-wave. C’était le club rock incontournable de la ville. Au moins, là-bas on savait qu’on n’allait pas se retrouver encerclé par Michel Sardou ou François Valéry, la programmation musicale affichait clairement les couleurs.
Vous étiez quel genre de client, plutôt à rester tranquillement au bar ? Ou à pogoter sur la piste de danse ?
Je ne refusais jamais un petit pogo. Par exemple, quand le DJ envoyait « This Is Love Song » de PIL, je filais inexorablement me dégourdir les jambes.
Il y avait aussi Starshooter que j’aimais bien. Musicalement, leurs chansons sonnaient entre le punk et la new-wave ; entre les Damned et B-52’s pour les initiés.
Quel est votre premier vrai choc musical ?
Probablement le premier live de Cure qui sort en 1984. Ce disque avec aux commandes le trio Smith, Gallup, Tolhurt avait été enregistré entre Londres et Oxford. Je l’ai écouté des centaines de fois ! Le vinyle est rayé de partout. A l’intérieur, il y a le meilleur de Cure en live : de « Charlotte Sometimes » qui est d’une beauté magnifique, à l’hypnotique « A Forest » ou encore « Killing An Arab », un authentique bijou signé Robert Smith.
https://www.youtube.com/watch?v=SdbLqOXmJ04
En 2010, vous avez rencontré les membres du groupe anglais Gang Of Four dont le leader Jon King a été adhérent au Labour Party. Qu’est-ce qui vous plait dans leur musique ?
On s’était rencontrés pour le magazine Vox Pop. Pour moi, Gang Of Four, c’était tout d’abord du bon post punk. Par exemple, dans l’album Songs Of The Free qui paraît en 1982, il y a tout le discours des années Thatcher. Leurs chansons ont de l’épaisseur et restituent bien ce qu’a été l’Angleterre des luttes. Il y a plein d’artistes anglais qui ont su résister et qui ont mené des batailles exemplaires contre le cynisme des tories et les excès du libéralisme, comme Jon King de Gang Of Four en musique ou encore Ken Loach au cinéma.
Quelques mots sur le groupe U2 ?
Au début des 80’s, j’étais très fan. L’album « War » est sans aucun doute l’un de leurs meilleurs. Il faut se rappeler qu’en 1983, il existait une grosse tension entre les autorités britanniques, l’Irlande du Nord et l’IRA. Quand Bono écrit la chanson « Sunday Bloody Sunday », son texte s’inscrit dans le cours de l’Histoire. Aujourd’hui, le groupe enchaine les disques et les tournées mais je ne retrouve plus la même fièvre dans leurs nouvelles compositions.
Si je vous dis rock français, ça vous évoque quoi ?
Téléphone !!! Le premier album de Téléphone est exceptionnel. Les titres comme « Hygiaphone », « Sur La Route », « Métro (C’est Trop) », « Anna » ou « Flipper » étaient monstrueux d’efficacité. J’aimais les guitares de Bertignac mais je préférais le charisme naturel d’Aubert. En plus, Kolinka à la batterie, c’était un peu le Stewart Copeland version Téléphone. J’ai eu l’occasion de les voir en concert à Brest. En live, ils dominaient de très haut la scène rock hexagonale de cette époque. Il fallait être très costaud pour rivaliser avec eux. Bijou avait un truc différent, leur répertoire avait une sonorité sixities qu’on ne retrouvait pas chez les autres. Sur l’album Jamais Domptés, il y a des titres très percutant comme « Rock à la Radio » ou « Pas Comme Vous ». Il y avait aussi Starshooter que j’aimais bien. Musicalement, leurs chansons sonnaient entre le punk et la new-wave ; entre les Damned et B-52’s pour les initiés. Le quatuor lyonnais avait une patate d’enfer, ça jouait vite et fort ! En mai 1981, Starshoot a sorti son single « Quel Bel Avenir » avec ce couplet annonçant la couleur : « Dans les eighties, j’y suis né, y-avait des roses au mois de Mai…». Plus tard, il y a eu Noir Désir avec « Tostaky » notamment qui, soit-dit en passant, reste encore aujourd’hui, comme l’un des plus beaux cuirassés du rock français. Et puis, dans un autre registre, il y a eu Miossec …
https://www.youtube.com/watch?v=XPy7fhvBG6A
Comment découvrez-vous les chansons du brestois ?
Miossec n’est pas de Brest mais d’Ouessant. J’ai découvert son univers artistique avec l’album « Boire » ou figure la chanson « Brest ». Chez lui, il y a comme une langue instinctive de cette ville. L’émotion qui se dégage de son texte est un peu moche, il faut le dire, mais je trouve ça d’une beauté magistrale. Dans cette forme de pudeur qu’ont les Bretons, il est excellent. Je suis également très fan d’une reprise d’un morceau de Joe Dassin « Salut Les amoureux » où Miossec me file la chair de poule à chaque fois que je l’écoute.
Vous avez écouté « Mammifères », son dernier album ?
Non, pas encore.
En 2012, vous tweetiez le morceau « Beautiful Day » de U2, dès le premier tour des Présidentielles. Et aujourd’hui ?
J’avais oublié ça… Là c’est difficile. Quatre ans plus tard, je m’excuserais peut-être… Non, on avait le droit d’y croire et je n’ai pas envie de m’abandonner au désespoir. Donc, j’irais chercher des choses légères, plus insouciantes. Je n’ai pas envie d’être dans la gravité, je tweeterais un truc un peu féminin, doux, entre jazz et blues, genre Melody Gardot ou Alela Diane.
[La musique] c’est un vrai sujet car dans les meetings, il va falloir qu’on sorte un truc un truc joyeux, positif. J’ai bien aimé l’album de Jain avec notamment le titre « Come » que je trouve très fédérateur.
En tant que futur probable candidat à la primaire socialiste, quel morceau choisiriez-vous pour lancer votre campagne ?
C’est un vrai sujet car dans les meetings, il va falloir qu’on sorte un truc un truc joyeux, positif. J’ai bien aimé l’album de Jain avec notamment le titre « Come » que je trouve très fédérateur. C’est une jeune chanteuse qui fait du reggae blanc que j’ai découvert sur France Inter lorsqu’elle a fait une reprise très convaincante de « Mercedes Benz » de Janis Joplin.
Si vous n’aviez pas été homme politique, vous seriez-vous vu dans la peau d’une rock star, si oui laquelle ?
Je dois confesser que j’ai eu la chance de faire des meetings devant des milliers de personnes. Mais je pense qu’il y a quelque chose de plus incroyable encore, c’est de faire bouger les gens sur de la musique. Le 29 septembre 2007, j’étais au concert de Police au Stade de France et j’avoue que j’aurais adoré me retrouvé ce soir-là, sur scène, dans la peau des trois musiciens du groupe. Il y avait une vraie communion entre le public et eux, c’était magique.
Retrouvez cet interview de Benoît Hamon dans vos kiosques ou en ligne
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French PM Edouard Philippe resigns as Macron plans new team
Image copyright Getty Images
Image caption President Macron and Mr Philippe have worked together in government for the past three years
French Prime Minister Edouard Philippe has tendered his resignation after heading President Emmanuel Macron’s government for three years.
Although Mr Philippe is considered more popular than the president, the ruling La République En Marche (Republic on the Move) had poor local election results at the weekend.
Mr Philippe met the president and they agreed the government would resign.
President Macron promised a “new path” in an interview published on Friday.
A reshuffle has been expected for some time, and it is common practice for a French president to replace a prime minister during the five-year term in office known as the “quinquennat”.
The Elysée palace said in a statement that Edouard Philippe had “today handed in the government’s resignation to the president of the republic, who accepted it”, adding that he would stay in place until a new government was appointed.
Why Macron is changing his team
Mr Macron came to power three years ago but now faces an economic crisis after the coronavirus pandemic.
In the interview with regional newspapers, he spoke of a “very tough” recovery for France, and focused on the immediate priority of saving jobs, as well as economic, social and environmental reconstruction.
Greens score gains in French local election
Macron loses majority as defectors form new party
Mr Philippe’s future as prime minister had been in doubt for several weeks and he won the mayoral election in Le Havre on Sunday.
A new prime minister will be appointed in the coming hours, and theoretically Mr Philippe could be asked to stay in place.
However, a removal van and cardboard boxes were seen arriving at his Matignon residence on Friday indicating he was preparing to move out.
Speculation mounted in Paris over who would replace Mr Philippe. Among the names circulating in French media were Armed Forces Minister Florence Parly and Jean Castex, a mayor from the Pyrenees given the role of overseeing France’s strategy of ending the coronavirus lockdown.
Why Macron faces difficult choice
Amid the chaos of coronavirus, President Macron talked of “reinvention” and a “new path”. Few here doubted that it would mean a new government.
Edouard Philippe was a good fit for Mr Macron during this crisis: a technocrat from the centre right who was seen as a steady pair of hands during the coronavirus epidemic, but he had started to outshine the president – a dangerous place to be at any time, let alone a time that calls for change.
Mr Macron is facing a complex set of demands. On one hand, he wants to “reinvent” himself for the last two years of his mandate, and has been projecting a softer version of himself; more open to listening and admitting mistakes, more focused on green issues and social justice. That might call for a prime minister with more left-wing appeal.
On the other hand, centre-right votes are likely to be key to any re-election bid and, after several years of pushing hard for his liberal economic reforms, a blatant change of tack at this stage could look less like reinvention and more like confusion.
Image copyright AFP
Image caption The president praised his “unique” relationship with Mr Philippe
Having already promised massive investment in France’s health service, committed to pursuing pension reforms – at least in some form, and facing the worst recession in France since World War Two, Mr Macron will need someone he can rely on, someone who can take the flak if needed.
That’s what prime ministers are meant to do. Edouard Philippe broke the rules. As he heads towards the next presidential race, Mr Macron won’t want to be outshone again.
“For three years he’s been by my side… we’ve carried out important, historic reform often in very difficult circumstances. We have a relationship of trust that’s in a way unique in terms of the French Republic,” the president said of Mr Philippe in his interview published late on Thursday.
Under France’s constitution, the prime minister is appointed by the president to run the government an co-ordinate its actions under policies set out by the president.
Mr Macron’s young LREM party has struggled to maintain the initial support it won from voters after his presidential victory in 2017. Dogged by ministerial resignations, it has also seen a number of defections in the National Assembly, losing its outright majority in May.
The party failed to win any major city in Sunday’s local elections, in which Green candidates and their left-wing allies made significant gains.
An opinion poll for Le Figaro and France Info on Thursday suggested three quarters of French voters were looking for political change from the president.
Although many of those surveyed wanted greater focus on social and environmental change, 59% were happy for Mr Philippe to stay in his job.
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MSC Cruises Extends Fleet Expansion Plan With Focus On Next-Generation Environmental Technology
MSC Cruises and Chantiers de l’Atlantique sign firm contracts for the construction of third and fourth LNG-powered MSC World Class ships
The partnership further reinforced with two additional newbuild projects that will focus on the development and utilization of next-generation environmental technologies
MSC Cruises and Chantiers de l’Atlantique further extended their long-term partnership by making a number of strategic announcements at a ceremony held at the Matignon Palace, the French Prime Minister’s official residence.
Image Credits: wartsila.com
The ceremony was attended by Édouard Philippe, Prime Minister of France; Gianluigi Aponte, MSC Group’s Founder and Executive Chairman; Pierfrancesco Vago, MSC Cruises’ Executive Chairman; and, Laurent Castaing, Chantiers de l’Atlantique’s General Manager.
First, the two companies announced the signing of firm contracts for the construction of MSC Cruises’ third and fourth LNG-powered MSC World Class ships, to be delivered in 2025 and 2027.
The first of the initial two ships in the class is currently under construction at the Chantiers de l’Atlantique shipyard in Saint-Nazaire and is due to enter service in 2022. With 205,000 GT, she will become the biggest vessel operated by a European cruise line as well as the first LNG-powered cruise ship built in France. Compared to standard marine fuel, LNG decreases sulphur emissions and particulate matter by 99%, NOx emissions by 85%, and CO2 emissions by 20%.
These contracts represent a capital investment by MSC Cruises exceeding EUR 2 billion and are expected to generate 14 million additional working hours, amounting to over 2,400 full-time equivalent jobs for the next three and a half years directly supported by those orders.
Today’s signature also allows the shipyard to start working with the hundreds of suppliers and subcontractors involved in the projects, setting in motion a new cycle that will greatly benefit the French economy.
Today MSC Cruises and Chantiers de l’Atlantique also extended their partnership over the next decade with two additional projects. First, the companies signed a memorandum of understanding (MoU) for the development of yet a new prototype class of LNG-powered cruise ships to operate under the MSC Cruises brand.
For this project, MSC Cruises, the shipyard and other partners will focus on developing emerging environmental technologies in line with IMO’s vision for 2030 and 2050. The four vessels in this new class would represent a capital investment exceeding EUR 4 billion and an extra 30 million working hours for the yard, the suppliers and subcontractors involved in the project.
A second MoU sees MSC Cruises partnering with Chantiers de l’Atlantique in the development of yet another innovative prototype ship class concept with which they will explore opportunities that wind power and other advanced technologies could bring to passenger shipping.
The three agreements signed today represent an investment in excess of EUR 6.5 billion in the French economy.
Pierfrancesco Vago, Executive Chairman, MSC Cruises, said: “The three agreements signed today extend our investment plan up to 2030. They stem from an exceptional partnership, with Chantiers de l’Atlantique, that has already delivered 15 highly-innovative innovative cruise ships over the past two decades and will see many more vessels come to life at Saint-Nazaire’s docks in the next ten years. They also confirm this industry’s commitment to environmental sustainability, in this case helping the French national industry further position itself as a world leader in the development of next-generation technologies and other solutions.”
Laurent Castaing, General Manager, Chantiers de l’Atlantique, said: “We are really proud and happy to have built such an outstanding relationship with MSC Cruises, based on mutual trust and driven by the spirit of innovation. We are both committed to shaping the cruise of tomorrow and to developing ship concepts which go far beyond current environmental standards. Our companies have already been working together for twenty years and these new projects allow us to look enthusiastically to the future.”
MSC Cruises is strongly committed to achieving a zero-impact future by investing in the accelerated development of new energy solutions and environmental technologies that will allow that. On 1 January 2020 MSC Cruises became the first major cruise line to achieve carbon neutral fleet operations. As today’s most advanced environmental technology alone is insufficient to reach that, while it works to minimize and continuously reduce its environmental footprint MSC Cruises is offsetting all CO2 emissions from its fleet that it is not be possible to abate through such technology through a blend of high standard carbon offset projects.
MSC Cruises’ MSC World Class ships specifications:
• Gross tonnage: 205,700 GT
• Lower berth capacity: 5,264
• Maximum number of passengers: 6,761
• Crew members: 2,139
Number of cabins: 2,632
Length / Beam / Height: 333.3m / 47m / 68m
Reference: MSC Cruises
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from Storage Containers https://www.marineinsight.com/shipping-news/msc-cruises-extends-fleet-expansion-plan-with-focus-on-next-generation-environmental-technology/ via http://www.rssmix.com/
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50 tech CEOs come to Paris to talk about tech for good
Ahead of VivaTech, 50 tech CEOs came to Paris to have lunch with French President Emmanuel Macron. Then, they all worked together on “tech for good”. The event was all about leveraging tech around three topics — education, labor and diversity.
At the end of the day, French Prime Minister Édouard Philippe invited everyone for a speech in Matignon. It wasn’t a groundbreaking speech as Macron is also speaking at VivaTech tomorrow morning. “We’re trying to pivot France,” Philippe said.
Maurice Lévy, the former CEO of Publicis, one of the two companies behind VivaTech with Les Échos, first introduced the event, as well as Eric Hazan from McKinsey. McKinsey worked on the data that was used to start those discussions. So let’s see what they talked about.
“As McKinsey showed, there's no question that technology overall is a net creator of job and GDP. It's a positive force,” Uber CEO Dara Khosrowshahi said. “At the same time, AI and automation, while driving the economy and productivity, […] will lead to large groups being disadvantaged.”
He then listed a few important points to make sure that nobody is going to be left behind, such as coaching and mentorship programs.
“This is not just the government's job but it is also the job of private companies,” Khosrowshahi added.
He wanted to remain hopeful and it felt a bit like a lobbying effort. “It's easy to see the lost of jobs because of automation. But it's much more difficult to dream about the possibilities of the future,” he said. In other words, don’t worry about the on-demand economy, don’t worry about self-driving cars.
IBM CEO Ginni Rometty was in charge of the discussions around education. “We also had a lot of engineers and pragmatic people there. And we ended up with five recommendations,” she said.
It sounds like these recommendations would be really favorable for IBM and other tech companies. So here are these recommendations:
Focus and segment this problem. Focus on the quarter of the population the most at risk.
Align the skills that businesses need with the education system (hard skills and soft skills).
There should be an open partnership with governments to reposition vocational education, learn by doing, foster internships, apprenticeships, simulations and redirect tax to incentivize.
Work with teachers to pilot, get hard evidence and then scale.
Retraining employees is the responsibility of all employers.
Finally, SAP CEO Bill McDermott talked about diversity. “As we looked at the facts, there are 33 percent more revenue, more profit for companies that got the memo on companies more inclusive and more diverse,” he said.
Culture, gender and geography were the main themes. But they also talked about differently able people. SAP will make an announcement around autism in France.
“Dara, Ginni and Bill, thank you for your introduction, that was brilliant, in English and concise,” French Prime Minister Édouard Philippe said.
He then listed three ideas that sum up his thinking about the tech industry.
“I truly believe in freedom, in that fundamental ability that you need to be able to take good decisions and bad decisions,” he said. The second idea is the consequence of that first one.
“With great power comes great responsibility. I think a modern philosopher called Peter Parker said that for the first time. And I really think it’s true.”
“While you don’t have to regulate on everything, when something isn’t regulated, it’s possible that it gets out of your control. And when it comes to the digital revolution and the data revolution, that freedom needs some boundaries. You know that Europe worked on some regulation — GDPR. What looked like regulation against innovation now appears as desirable and useful,” he said.
He then indirectly called out Facebook for its half-baked GDPR changes. “Some of you, and I believe it’s the case of Microsoft, decided to enforce GDPR everywhere. And I encourage everyone to do the same.”
The fact that 50 CEOs came to Paris is interesting by itself. It’s a sign that tech companies want to have an open discussion with governments. They want to make sure that regulation is favorable. On the other end, governments want to make sure that tech innovations aren’t going to divide society.
But it’s just starting.
Some companies announced a few things in Paris. Uber expanded its accident insurance to contractors across Europe, when they’re working and also when they’re not on the road. IBM plans to hire 1,800 people in France. Deliveroo is going to invest $117 million (€100 million) over the next few years.
Let’s see if Macron has more to say tomorrow.
Here’s the full list of tech CEOs in Paris for the Tech for Good Summit:
Kevin Sneader, CEO, Mckinsey
Audrey Azoulay, Director, UNESCO
Mark Zuckerberg, Founder and CEO, Facebook
John Kerry, Senior Fellow, Carnegie Foundation
Satya Nadella , CEO, Microsoft
Pierre Louette, CEO, Les Echos
Tony Elumelu, President, United Bank for Africa
Maurice Lévy, Co-Founder, Viva Technology
Charlotte Hogg, CEO, Europe Visa
Jean-Paul Agon, CEO, L'Oréal
Tristan Harris, Executive Director, Center for Human technology
Alexandre Dayon, CEO, Salesforce
Brian Krzanich, CEO, Intel
Mitchell Baker, President, Mozilla Foundation
Yves Meignié, CEO, Vinci Energies
Gilles Pelisson, CEO, TF1
Bill McDermott, CEO, SAP
Young Sohn, CEO, Samsung
Gillian Tans, CEO, Booking.com
Niklas Zennstrom, Founder and CEO, Atomico
Will Shu, CEO, Deliveroo
Sunil Bharti Mittal, President, Bharti enterprises
Joe Schoendorf, Partner, Accel
Nick Bostrom, Director, Future of Humanity Institute
Julie Ranty, Director, VivaTech
Eric Leandri, CEO, Qwant
Olivier Brandicourt, CEO, Sanofi
Mo Ibrahim, President, Mo Ibrahim Foundation
Yossi Vardi, Entrepreneur
Philippe Wahl, CEO, Groupe La Poste
Pierre Nanterme, CEO, Accenture
Tom Enders, CEO, Airbus
Tim Hwang, Director, Harvard-MIT Ethics & Governance of AI Initiative
Octave Klaba, Founder and CEO, OVH
Ginni Rometty, CEO, IBM
Pierre Dubuc, CEO, OpenClassrooms
Isabelle Kocher, CEO, Engie
Sy Lau, CEO, Tencent
Xavier Niel, Founder, Iliad/Free
Jimmy Wales, Founder, Wikimedia Foundation
Jean-Laurent Bonnafé, CEO, BNP Paribas
Angela Ahrendts, Vice President Retail, Apple
Frédéric Mazella, Co-Founder and President, BlaBlaCar
Stewart Butterfield, CEO, Slack
Alex Karp, CEO, Palantir
Guillaume Pepy, CEO, SNCF
Jacquelline Fuller, President, Google.org
Stéphane Richard, CEO, Orange
Clare Akamanzi, CEO, Rwanda Development Board
Paul Hermelin, CEO, CapGemini
Eric Hazan, Senior Partner, McKinsey
Ludovic Le Moan, Co-Founder and CEO, Sigfox
Dara Khosrowshahi, CEO, Uber
Catherine Guillouard, CEO, RATP
Tim Collins, CEO, Ripplewood
Bernard Liautaud, Partner, Balderton
Alain Roumilhac, CEO, Manpower Group France
Hiroshi Mikitani, CEO, Rakuten
John Collison, Co-Founder and CEO, Stripe
Maxime Baffert, Director, VivaTech
Thomas Buberl, CEO, Axa
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Ahead of VivaTech, 50 tech CEOs came to Paris to have lunch with French President Emmanuel Macron. Then, they all worked together on “tech for good”. The event was all about leveraging tech around three topics — education, labor and diversity.
At the end of the day, French Prime Minister Édouard Philippe invited everyone for a speech in Matignon. It wasn’t a groundbreaking speech as Macron is also speaking at VivaTech tomorrow morning. “We’re trying to pivot France,” Philippe said.
With great power comes great responsibility Édouard Philippe
Maurice Lévy, the former CEO of Publicis, one of the two companies behind VivaTech with Les Échos, first introduced the event, as well as Eric Hazan from McKinsey. McKinsey worked on the data that was used to start those discussions. So let’s see what they talked about.
“As McKinsey showed, there’s no question that technology overall is a net creator of job and GDP. It’s a positive force,” Uber CEO Dara Khosrowshahi said. “At the same time, AI and automation, while driving the economy and productivity, […] will lead to large groups being disadvantaged.”
He then listed a few important points to make sure that nobody is going to be left behind, such as coaching and mentorship programs.
“This is not just the government’s job but it is also the job of private companies,” Khosrowshahi added.
He wanted to remain hopeful and it felt a bit like a lobbying effort. “It’s easy to see the lost of jobs because of automation. But it’s much more difficult to dream about the possibilities of the future,” he said. In other words, don’t worry about the on-demand economy, don’t worry about self-driving cars.
IBM CEO Ginni Rometty was in charge of the discussions around education. “We also had a lot of engineers and pragmatic people there. And we ended up with five recommendations,” she said.
It sounds like these recommendations would be really favorable for IBM and other tech companies. So here are these recommendations:
Focus and segment this problem. Focus on the quarter of the population the most at risk.
Align the skills that businesses need with the education system (hard skills and soft skills).
There should be an open partnership with governments to reposition vocational education, learn by doing, foster internships, apprenticeships, simulations and redirect tax to incentivize.
Work with teachers to pilot, get hard evidence and then scale.
Retraining employees is the responsibility of all employers.
Finally, SAP CEO Bill McDermott talked about diversity. “As we looked at the facts, there are 33 percent more revenue, more profit for companies that got the memo on companies more inclusive and more diverse,” he said.
Culture, gender and geography were the main themes. But they also talked about differently able people. SAP will make an announcement around autism in France.
“Dara, Ginni and Bill, thank you for your introduction, that was brilliant, in English and concise,” French Prime Minister Édouard Philippe said.
He then listed three ideas that sum up his thinking about the tech industry.
“I truly believe in freedom, in that fundamental ability that you need to be able to take good decisions and bad decisions,” he said. The second idea is the consequence of that first one.
“With great power comes great responsibility. I think a modern philosopher called Peter Parker said that for the first time. And I really think it’s true.”
“While you don’t have to regulate on everything, when something isn’t regulated, it’s possible that it gets out of your control. And when it comes to the digital revolution and the data revolution, that freedom needs some boundaries. You know that Europe worked on some regulation — GDPR. What looked like regulation against innovation now appears as desirable and useful,” he said.
He then indirectly called out Facebook for its half-baked GDPR changes. “Some of you, and I believe it’s the case of Microsoft, decided to enforce GDPR everywhere. And I encourage everyone to do the same.”
The fact that 50 CEOs came to Paris is interesting by itself. It’s a sign that tech companies want to have an open discussion with governments. They want to make sure that regulation is favorable. On the other end, governments want to make sure that tech innovations aren’t going to divide society.
But it’s just starting.
Some companies announced a few things in Paris. Uber expanded its accident insurance to contractors across Europe, when they’re working and also when they’re not on the road. IBM plans to hire 1,800 people in France. Deliveroo is going to invest $117 million (€100 million) over the next few years.
Let’s see if Macron has more to say tomorrow.
Here’s the full list of tech CEOs in Paris for the Tech for Good Summit:
Kevin Sneader, CEO, Mckinsey
Audrey Azoulay, Director, UNESCO
Mark Zuckerberg, Founder and CEO, Facebook
John Kerry, Senior Fellow, Carnegie Foundation
Satya Nadella , CEO, Microsoft
Pierre Louette, CEO, Les Echos
Tony Elumelu, President, United Bank for Africa
Maurice Lévy, Co-Founder, Viva Technology
Charlotte Hogg, CEO, Europe Visa
Jean-Paul Agon, CEO, L’Oréal
Tristan Harris, Executive Director, Center for Human technology
Alexandre Dayon, CEO, Salesforce
Brian Krzanich, CEO, Intel
Mitchell Baker, President, Mozilla Foundation
Yves Meignié, CEO, Vinci Energies
Gilles Pelisson, CEO, TF1
Bill McDermott, CEO, SAP
Young Sohn, CEO, Samsung
Gillian Tans, CEO, Booking.com
Niklas Zennstrom, Founder and CEO, Atomico
Will Shu, CEO, Deliveroo
Sunil Bharti Mittal, President, Bharti enterprises
Joe Schoendorf, Partner, Accel
Nick Bostrom, Director, Future of Humanity Institute
Julie Ranty, Director, VivaTech
Eric Leandri, CEO, Qwant
Olivier Brandicourt, CEO, Sanofi
Mo Ibrahim, President, Mo Ibrahim Foundation
Yossi Vardi, Entrepreneur
Philippe Wahl, CEO, Groupe La Poste
Pierre Nanterme, CEO, Accenture
Tom Enders, CEO, Airbus
Tim Hwang, Director, Harvard-MIT Ethics & Governance of AI Initiative
Octave Klaba, Founder and CEO, OVH
Ginni Rometty, CEO, IBM
Pierre Dubuc, CEO, OpenClassrooms
Isabelle Kocher, CEO, Engie
Sy Lau, CEO, Tencent
Xavier Niel, Founder, Iliad/Free
Jimmy Wales, Founder, Wikimedia Foundation
Jean-Laurent Bonnafé, CEO, BNP Paribas
Angela Ahrendts, Vice President Retail, Apple
Frédéric Mazella, Co-Founder and President, BlaBlaCar
Stewart Butterfield, CEO, Slack
Alex Karp, CEO, Palantir
Guillaume Pepy, CEO, SNCF
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Stéphane Richard, CEO, Orange
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Paul Hermelin, CEO, CapGemini
Eric Hazan, Senior Partner, McKinsey
Ludovic Le Moan, Co-Founder and CEO, Sigfox
Dara Khosrowshahi, CEO, Uber
Catherine Guillouard, CEO, RATP
Tim Collins, CEO, Ripplewood
Bernard Liautaud, Partner, Balderton
Alain Roumilhac, CEO, Manpower Group France
Hiroshi Mikitani, CEO, Rakuten
John Collison, Co-Founder and CEO, Stripe
Maxime Baffert, Director, VivaTech
Thomas Buberl, CEO, Axa
via TechCrunch
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Vous l’avez peut-être remarqué, la semaine 5 a surtout été rythmée par le Prix de Lausanne, ce concours international de danse dont je ne loupe pas une miette. Petite visite imprévue de la grippe qui s’est bien installée, cela a quelque peu modifié mon planning de publication. Je ne pouvais tout de même pas ne pas vous faire un retour sur ces talentueux jeunes danseurs.
Se rajoute à ma crève, le non enregistrement de ma splendide prose du dimanche 5, lors de la rédaction du “recap de la semaine 5/2018” – merci ce cher WordPress – tout était à refaire. Alors foutu pour foutu, je me suis dit autant mixer les semaines 5 et 6, de toute façon c’est pas comme si cette chronique était attendue…
Semaine 5
N’ayant jamais loupé une finale du Prix de Lausanne depuis que j’ai l’âge d’y aller, j’ai donc quand même trainé ma vieille carcasse à microbes jusqu’à Beaulieu, samedi après-midi 4 février. Navrée pour ceux que j’aurais pu contaminer… ou pas. Cette finale est toujours le clou d’une semaine chargée en émotions et extrêmement enrichissante pour les candidats.
Mais qui sont ces petits rats en herbe participant me direz-vous? Ils étaient plus de 400, entre 14 et 19 ans, à envoyer leur candidatures, des 4 coins du monde. Après visionnage par un jury de professionnels (pas le même que celui présent durant la semaine), 74 ont été sélectionnés.
Arrivés le dimanche 28 janvier, les candidats sont accueillis chaleureusement au Palais de Beaulieu, en coulisses, pour faire connaissance avec la team et leur présenter le programme du lendemain.
Commence donc lundi une série de cours et de coaching. Divisés “filles/garçons” et “junior/senior” (senior étant donc les 17-19 ans…. nous sommes donc dans la catégorie antiquité), c’est dans les 2 salles de cours aménagées, dont une qui reproduit à l’identique la scène de Beaulieu avec sa fameuse pente qui peut en déstabiliser plus d’un lorsqu’on doit faire une diagonale de déboulés ou de fouettés…, que commencent les festivités sous l’œil du jury aguerri, déjà.
Le plus intéressant, le coaching. Donné, pour le classique, par Monique Loudières, étoile de l’Opéra de Paris et Patrick Armand, ancien lauréat du Prix de Lausanne, les candidats présentent et révisent leur variation classique et contemporaine, attentifs à chaque précieux conseils donnés par les “coaches”. (vous pouvez les retrouver dans mes stories à la une!)
Tout au long de la semaine, le jury, composé de directeurs de compagnie, d’écoles ou encore de chorégraphes, assiste à certains cours, “jugeant” non pas une seule performance scénique mais l’entier du potentiel du jeune danseur. Pour ma part, j’avais déjà pu voir deux ou trois petites pépites en assistant aux coachings et cours (ouverts au public, moyennant 10.-). Le lauréat du 1er prix et certains finalistes se démarquaient déjà…
Ce n’est que le vendredi qu’ont lieu les sélections pour la grande finale du samedi. Ouvertes au public également, les 74 candidats présentent leur variation classique et contemporaine, comme lors d’une finale. Ces sélections sont même retransmises en live sur le site du prix.
Vers 19h le verdict tombe, 20 finalistes sont sélectionnés, dont mes 2 chouchous.
Samedi, le grand jour
La tension monte, en coulisses tout le monde répète une dernière fois. Le public arrive et s’installe gentiment. Petit récapitulatif de la semaine sur les deux grands écrans encadrant la scène. On y découvre les 20 finalistes. Le rideau s’ouvre, Deborah Bull, fidèle au poste, ouvre la cérémonie. On comment par les variations classiques, l’ordre est aléatoire, fille, garçon, junior, senior et on enchaîne avec les contemporains.
Un petit entracte pour laisser place à l’intermède qui, comme chaque année, propose un mini spectacle classique et contemporain. Cette année c’est une nouvelle création de Goyo Montero, directeur et chorégraphe du Ballet de Nüremberg. En 8 jours, 50 élèves choisis dans les écoles partenaires, on répété ce projet chorégraphique: Pulse. 50 danseurs sur scène… une merveille! Place ensuite à du beaucoup plus classique… avec deux solistes du Marinski… on en arrive presque à préférer le contemporain. Magnifiquement exécuté certes mais un peu… soporifique (navrée).
Pendant ce temps le jury délibère. Voilà, le verdict tombe. Ma petite brésilienne, Carolyne Galvao reçoit la 7e place et le prix du public, pour une fois qu’on est tous d’accord.
Le grand gagnant Shale Wagman obtient le prix Noureev et le 1er prix. Le contraire aurait tout de même été étonnant. Une maîtrise, une présence sur scène en classique comme en contemporain, une précision dans la technique sans pour autant que cela soit au dépend des émotions. Sa prestation en contemporain, choisie par beaucoup d’autres candidats, sort du lot, tout est fluide et calé. 17 ans… il n’a commencé la danse qu’à 13 ans… Danse avec la plume a eu la chance de l’interviewer une fois le rideau tombé, si vous voulez en savoir plus sur ce jeune phénomène.
Sa variation classique
Sa variation contemporaine
Mes coups de ❤
Sur le blog
1er février oblige, l’agenda du mois est sorti. Et c’était donc tout…
Semaine 6
Vécue comme dans un scaphandre avec un rhume à décoller du papier peint, elle est passée relativement vite, heureusement, pour que je puisse enfin profiter du weekend en pleine santé ou presque, le rhume persiste.
Ce n’est peut-être pas si mal d’avoir regroupé ces deux semaines, celle-ci ayant été particulièrement calme avec juste “le fric” des deux Vincents, très très drôle et relativement fidèles à eux-mêmes, je vous le conseille. Il reste des places à Lausanne pour le mois de juin ou sinon… octobre.
Et sinon samedi c’était shooting express, faisait beaucoup trop froid, pour ensuite découvrir le dernier Woody Allen, Wonder Wheel et terminer par quelques ravioli à la truffe de chez Mauro à la BM.
Quelques mots sur le film, si cela vous intéresse. Peut-être pas l’une de ses meilleures productions, avec des longueurs et un scénario vite compris, mais Kate Winslet porte tout le film, comme d’habitude. Se déroulant dans les années 50 à Coney Island, son jeu de lumière est, comme d’habitude, un régal pour les yeux et donne envie de s’y télétransporter. Personnellement je l’ai trouvé extrêmement inspiré de Streetcar named desire avec une Blanche…
Mes coups de ❤
Oui j’ai un peu une période rouge en ce moment… je vais essayer de ne pas tout porter en même temps.
https://www.stradivarius.com/fr/femme/accessoires/sacs/afficher-tout/sac-banane-matelassé-c1020047079p300551017.html?colorId=100
https://fr.zalando.ch/violeta-by-mango-panter-bottines-nude-vm411n00x-j11.html
https://www.stradivarius.com/fr/femme/chaussures/nouveau/escarpin-talon-midi-bijoux-c1020047011p300518501.html?colorId=020
La semaine à venir
Bon c’est la semaine de mon anniversaire, âge dont je me passerais bien, alors on ne va pas s’épancher sur la question. Ce n’est sûrement pas pour rien que je vais me faire faire un petit peeling Instant glow à la Clinique Matignon (qui sait, je vais peut-être en profiter pour faire une ou deux injections de botox…) pour accessoirement vous présenter la part 2 de mon précédent article, soit la mise en situation. Jeudi je vous emmène à la Fondation de l’Hermitage et son exposition sur les pastels au travers d’une conférence par un ponte, Philippe Saunier.
Le blog devrait être un peu plus actif avec des “activités à la neige” pour ceux qui seront en vacances et un look rouge pour la saint-Valentin mais n’attendez aucune lingerie ou autre cadeau ridicule…, simple concours de circonstances.
A ne pas manquer cette semaine
les Fashion Weeks de New York et Londres
La conférence “Le pastel aux 18 et 19e siècles: l’aventure d’un art” par Philippe Saunier, conservateur en chef du patrimoine à Paris, à la Fondation de l’Hermitage, jeudi 15 février à 18h30 sur inscription
La conversation à propos de l’art contemporain /J. Poget + M. Agron au Musée de l’Atelier De Grandi, jeudi 15 février à 20h, n’oubliez pas de vous y inscrire!
Bonne semaine! Sabine
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Weekly recap 5-6/2018: spécial Prix de Lausanne Vous l'avez peut-être remarqué, la semaine 5 a surtout été rythmée par le Prix de Lausanne, ce concours international de danse dont je ne loupe pas une miette.
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Back into sheers we go, but today isn’t mainly about the tights, it’s about this bargain skirt I found on eBay!
I was casually scrolling through finding some key pieces to add to my wardrobe, and I came across this little treasure. It was going for like £3 brand new as it didn’t fit someone… And BOOM! It was mine! Retail price you’re looking around £20 minimum!
So I’m happy!
The Spec
Colour: 1501 – Black
Size: 2 / Small
Materials: 89% polyamide, 11% elastane
Denier: 20
Price: Unknown
Website: NUDITÉ D’OR 20
My Outfit
My skirt was my statement piece today. I went for a polo neck t-shirt (bodycon of course), paired with a bold skirt, and added some cute bow shoes! Any type of formal heel would work, but I wanted to make it more playful with the bold!
I left my hair all curly and frizzy for a change and just added studs. I did wear a long necklace with this, but took it off in the end as it just kept annoying me!
My Deets
Top: New Look
Skirt: Marks & Spencers
Tights: Philippe Matignon
Shoes: Gifted via Amazon
The Review
From The Website: 20 denim veiled tights. Innovative body-seamless, non-stitched cuff-shaped design with a personalized anatomic strap with Philippe Matignon logo on the back for a perfect fit. The presence of silver ions provides a pleasant feeling of well-being throughout the day.
The Packaging: once again it’s simple but effective enough making it look luxurious. The front showed the model wearing it with a window next to her showing the colour inside the pack. The back showed the following:
“Sheer 20 den tights, with innovative culotte effect seamless bodice to make it invisible. Waistband with Philippe Matignon logo.“
Getting Them On: I would advise hosiery gloves to begin with babes – because these are delicate as anything! They were fine over anklets, but when it comes to sheers like this, I would be extra vigilant not to get a snag! – So I managed to roll these up fine without any issues and they say comfortably on me.
On The Legs: they look fab! I love how they’re an even denier all around – you may need to push up or down to smooth out any little crease bits but otherwise you’re good to go here! I seriously am loving the way they make my legs look and feel too! They are super smooth, where your legs glide off each other and the denier is just a perfect coating on the legs not making it too dark (depending on the lighting as seen in the two contrast pics below!)
Perfect for day or night I say!
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The Toes: sheer pleasure right here! I opted for closed shoes, but damn I should have done peeps (if my nail varnish wasn’t chipping away!)
There is enough wiggle room in these and I was actually surprised that my nails didn’t manage to rip right through! I was so worried that they would because they are quite long, but the tights SURVIVED!!!!
The Waistband: one of the most comfortable I have been in for a while! I do love seamless because it’s all about comfort (in my eyes). A lot of people don’t normally wear underwear in these (not telling what I do here by the way!) – which I can understand (each to their own) – but these are perfect for those tight fitting dresses where you don’t want seams popping out!
The band is dead comfortable and it stays put – no rolling down, no curling in, no nothing! It does exactly what it’s supposed to do!
Now there is a slight knicker design on these; nothing fancy, but it’s just an imitation like you’re wearing a pair 😉
My Thoughts?
Can you tell just how much i am in love with them? Even though they’re on standard black sheers, they just felt so nice and looked so good with the outfit! It was perfect coverage and the perfect shade if you’re still wanting to show off those pins in A/W!
Philippe Matignon Nudite D’or 20 Tights Back into sheers we go, but today isn't mainly about the tights, it's about this bargain skirt I found on eBay!
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Royal Stewart Style
Happy New Year! I know I'm a bit behind, but it's never too late for good wishes!
I realize that I have not posted the looks I wore while in Spain, so here they come. Some may think this is a very Christmas-y look, but it can actually be worn anytime during Winter. After all, Royal Stewart tartan has been around forever. To balance the overload of color, I have mixed it with neutral solids, such as black and green, to let it be the centerpiece of this outfit. Everything I am wearing has been in my closet for a long time, yet I had never styled it this way. I am particularly fond of the beaded Ralph Lauren cashmere scarf and beret. Even though the beret is Calvin Klein, the beading is exactly the same, so they match perfectly!
You can see how I styled this pleated tartan skirt previously, here and here.
WHAT I WORE:
Blazer: Cotton velvet; Ralph Lauren (similar here, here, here)
Turtleneck Sweater: Cashmere; Neiman Marcus Cashmere (similar here, here, here, here)
Skirt: Pleated wool Royal Stewart Tartan; Talbots (similar here, here, here, here)
Opaque Tights: Philippe Matignon (similar here)
Scarf: Beaded Cashmere; Ralph Lauren (similar here)
Beret: Embroidered wool; Calvin Klein (similar here, here)
Shoes: Embroidered velvet slippers; POLO Ralph Lauren (similar here, here, here, here)
Bag: Leather; Gucci, Sylvie (here)
Belt: Cotton velvet ribbon
Earrings: Gold and acetate; Gas Bijoux (here, similar here, here)
Ring: Gold and diamond bands; Carved crystal by Baccarat (here in purple; similar here)
Bracelet: Gold (similar here, here)
Brooch: Vintage celluloid lace from the 40s (similar here, here)
Watch: Gold and diamonds; Cartier Le Panthère (similar here)
Sunglasses: Gucci (here)
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Feliz Año! Ya se que estoy un poquito retrasada, pero nunca es tarde para los buenos deseos!
Me doy cuenta que todavía no he puesto los conjuntos que me puse mientras estuve en España, asi que aqui los comienzo a poner. Algunos pensaran que este conjunto es un poco navideño, pero en realidad es apropriado para cualquier dia de invierno. Después de todo, el tartán Royal Stewart es un clásico de toda la vida. Para balancear el gran colorido de la falda, lo combiné con piezas neutras en colores sólidos, como lo son el verde y el negro, para dejar que la falda fuera el centro de atención. Todo lo que llevo puesto ha estado en mi armario por mucho tiempo, pero nunca lo había combinado de esta forma. Le tengo particular cariño a la bufanda de cashmere bordada de Ralph Lauren y a la boina. Aunque la boina es de Calvin Klein, el bordado es el mismo, y combinan maravillosamente!
Pueden ver como lucí esta falda plisada de tartán anteriormente aqui y aqui.
LO QUE ME PUSE:
Chaqueta: De terciopelo de algodón; Ralph Lauren (similar aqui, aqui, aqui)
Suéter Cuello Cisne o Tortuga: De cashmere; Neiman Marcus Cashmere (similar aqui, aqui, aqui, aqui)
Falda: Plisada, de tartán de lana Royal Stewart; Talbots (similar aqui, aqui, aqui, aqui)
Medias Tupidas: Philippe Matignon (similar aqui)
Bufanda: De cashmere bordado; Ralph Lauren (similar aqui)
Boína: De lana bordada; Calvin Klein (similar aqui, aqui)
Zapatos: De terciopelo bordado; POLO Ralph Lauren (similar aqui, aqui, aqui, aqui)
Bolso/Cartera: De piel; Gucci, Sylvie (aqui)
Cinturón: Cinta de terciopelo
Zarcillos/Pendientes: Aros de oro y acetato; Gas Bijoux (aqui, similar aqui, aqui)
Anillo/Sortija: Bandas de oro y diamantes; Cristal tallado de Baccarat (aqui en morado/violeta; similar aqui)
Pulsera/Braceletes: De oro (similar aqui, aqui)
Reloj: De oro y diamantes; Cartier Le Panthère (similar aqui)
Lentes/Gafas de Sol: Gucci (aqui)
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