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Comment Récolter de l'Argent pour Votre Association : Idées de Campagne de Financement et Exemple de Plan de Communication
Récolter de l'argent pour une association est une tâche essentielle pour assurer la continuité de ses activités et la réalisation de ses objectifs. Cependant, organiser une campagne de financement efficace nécessite une planification minutieuse et une stratégie claire. Dans cet article, nous allons explorer quelques idées innovantes pour votre campagne de financement, tout en vous présentant un exemple de plan de communication pour maximiser l'impact de vos actions. Nous aborderons également l'importance de la promesse de don dans le processus de collecte de fonds.
1. Idées Innovantes pour une Campagne de Financement
Il existe de nombreuses façons de mener une campagne de financement idée réussie. Voici quelques idées créatives qui peuvent aider votre association à récolter de l'argent :
Ventes de produits personnalisés : Proposez à vos supporters d'acheter des produits personnalisés portant le logo ou le message de votre association. Cela peut inclure des t-shirts, des mugs, ou des sacs réutilisables.
Événements sportifs ou culturels : Organisez un événement sportif comme une course de charité, ou un spectacle culturel avec des artistes locaux. Les participants paient une inscription ou un billet, et les fonds sont reversés à votre association.
Crowdfunding : Utilisez des plateformes de financement participatif pour atteindre un public plus large. Le crowdfunding permet à chacun de contribuer selon ses moyens, tout en participant à la diffusion de votre cause.
Dons mensuels récurrents : Incitez vos donateurs à s'engager dans un programme de dons mensuels. Cela garantit un flux de trésorerie constant et facilite la planification à long terme de votre association.
2. Exemple de Plan de Communication pour une Campagne de Financement
Un plan de communication association exemple bien conçu est essentiel pour le succès de votre campagne de financement. Voici un exemple de plan de communication que vous pouvez adapter à vos besoins :
Objectif : Sensibiliser et mobiliser 500 donateurs pour récolter 10 000 euros en trois mois.
Public cible : Anciens donateurs, sympathisants de la cause, et grand public.
Message clé : « Ensemble, nous pouvons faire une différence. Soutenez notre campagne et aidez-nous à atteindre notre objectif de 10 000 euros ! »
Canaux de communication :
Emailing : Envoyez des newsletters régulières avec des mises à jour sur la campagne, des témoignages de bénéficiaires, et des appels à l'action.
Réseaux sociaux : Utilisez Facebook, Twitter, et Instagram pour partager des visuels attrayants, des vidéos de remerciement, et des stories engageantes.
Site web : Créez une page dédiée à la campagne sur votre site, avec un compteur de dons en temps réel et un formulaire de don facile à utiliser.
Calendrier :
Semaine 1 : Lancement de la campagne avec une vidéo introductive sur les réseaux sociaux et un email d'annonce.
Semaine 2-8 : Partage régulier de contenu sur les réseaux sociaux, y compris des témoignages, des mises à jour sur l'avancement des dons, et des rappels pour donner.
Semaine 9-12 : Poussée finale avec un appel urgent aux dons, ciblant les donateurs potentiels qui n'ont pas encore contribué.
3. L'Importance de la Promesse de Don
La promesse de don est un engagement pris par un donateur de contribuer à une cause à une date ultérieure. Bien qu'il ne s'agisse pas d'un paiement immédiat, la promesse de don joue un rôle crucial dans la planification de votre budget.
En obtenant des promesses de don, vous pouvez mieux estimer les fonds à venir et ajuster vos activités en conséquence. Il est également possible de transformer ces promesses en dons effectifs en rappelant régulièrement aux donateurs leur engagement, via des emails personnalisés ou des appels téléphoniques.
Comment rédiger une lettre de remerciement pour un don d'argent et créer un refuge pour animaux grâce aux dons en ligne
Lorsqu'il s'agit de collecter des fonds pour des projets importants, comme créer un refuge pour animaux, il est essentiel de reconnaître la générosité de vos donateurs. Rédiger une lettre de remerciement pour un don d'argent est un excellent moyen de montrer votre gratitude tout en renforçant la relation avec vos contributeurs. Mais comment faire en sorte que cette reconnaissance soit à la hauteur de leur contribution ?
Lettre de remerciement pour un don d'argent : un geste essentiel
La lettre de remerciement pour un don d'argent doit être sincère et personnalisée. Elle doit refléter la gratitude que vous ressentez pour le soutien financier apporté à votre cause. Voici quelques éléments clés à inclure dans votre lettre :
Introduction chaleureuse : Commencez par remercier le donateur pour sa générosité.
Impact du don : Expliquez comment l'argent sera utilisé pour votre projet, que ce soit pour créer un refuge animaux ou pour une autre cause noble.
Invitation à rester connecté : Encouragez le donateur à suivre l'évolution de votre projet et à rester impliqué dans vos futures initiatives.
Créer un refuge pour animaux : comment les dons peuvent faire la différence
Créer un refuge pour animaux est un projet ambitieux qui nécessite des ressources importantes. Grâce aux dons, vous pouvez financer l'achat de nourriture, les soins vétérinaires, et l'aménagement des installations nécessaires pour accueillir les animaux dans les meilleures conditions possibles.
Les dons en ligne jouent un rôle crucial dans le financement de ce type de projet. En facilitant les contributions via des plateformes de crowdfunding et des systèmes de paiement en ligne, vous pouvez atteindre un public plus large et recueillir des fonds plus rapidement.
Comment faire des dons sur Twitch : une nouvelle façon de soutenir les causes
Twitch, la célèbre plateforme de streaming, offre une opportunité unique de recueillir des fonds pour diverses causes, y compris la création d'un refuge pour animaux. Les streamers peuvent encourager leurs spectateurs à faire des dons directement via la plateforme.
Pour effectuer un don sur Twitch, les spectateurs peuvent utiliser différentes méthodes, y compris des liens de donation intégrés, des extensions ou des boutons de don. Certains streamers utilisent également des incentives, comme des sessions de questions-réponses ou des événements spéciaux, pour inciter leur communauté à contribuer.
Codes QR pour les paiements : une solution moderne et efficace
Les codes QR pour les paiements sont devenus une méthode populaire pour faciliter les transactions rapides et sécurisées. Que ce soit pour un don via Twitch ou pour financer la création d'un refuge pour animaux, les codes QR simplifient le processus de don en permettant aux contributeurs de scanner un code avec leur smartphone et de procéder immédiatement au paiement.
Pour les organisations, l'intégration de codes QR dans leurs campagnes de collecte de fonds peut augmenter la conversion en rendant le processus de don plus accessible, surtout pour les utilisateurs mobiles.
Comment recueillir des fonds pour un mouvement de jeunesse : Guide pratique pour associations
Les mouvements de jeunesse jouent un rôle essentiel dans la formation et l'épanouissement des jeunes. Cependant, pour mener à bien leurs activités, ces mouvements nécessitent souvent des fonds. Dans cet article, nous allons explorer comment recueillir des fonds pour mouvement de jeunesse de manière efficace, tout en respectant la charte d'une association à but non lucratif. Nous aborderons également l'importance des dons en ligne, l'utilisation d'un logo pour bio Instagram pour attirer des donateurs, et comment gérer une Cagnotte pour des causes spécifiques comme une cagnotte policier.
Recueillir des fonds pour un mouvement de jeunesse
Recueillir des fonds pour un mouvement de jeunesse peut sembler être un défi, mais avec les bonnes stratégies, cela devient tout à fait réalisable. Les mouvements de jeunesse peuvent organiser diverses activités telles que des ventes de gâteaux, des événements sportifs ou des concerts pour amasser des fonds. L’utilisation des plateformes de dons en ligne est également un excellent moyen de toucher un public plus large et de faciliter les contributions.
L'importance de la charte d'une association à but non lucratif
Pour qu'une association à but non lucratif soit prise au sérieux par les donateurs potentiels, il est crucial d’avoir une charte bien définie. Cette charte doit clarifier les objectifs de l'association, les règles de gouvernance, et les procédures de gestion des fonds. Une charte bien rédigée inspire confiance et peut encourager davantage de dons.
Utiliser les dons en ligne pour atteindre un large public
Les dons en ligne sont devenus un moyen incontournable de financement pour les associations. Grâce à des plateformes spécialisées, les mouvements de jeunesse peuvent créer des campagnes de financement, suivre les contributions en temps réel, et offrir une expérience de don simplifiée. Les réseaux sociaux, en particulier Instagram, jouent un rôle crucial pour attirer l’attention sur ces campagnes.
Maximiser l'impact avec un logo pour bio Instagram
Un logo pour bio Instagram est plus qu'une simple image ; c'est une représentation visuelle de votre mouvement de jeunesse. Un logo attrayant et professionnel peut attirer l'attention des donateurs potentiels et renforcer l'identité de votre association. Il est important de choisir un logo qui reflète les valeurs et la mission de votre mouvement.
Gérer une cagnotte pour des besoins spécifiques
La création d'une Cagnotte est une méthode simple et efficace pour collecter des fonds pour un projet spécifique. Que ce soit pour financer un voyage éducatif, acheter du matériel ou organiser un événement, une cagnotte permet de centraliser les dons. Par exemple, une cagnotte policier peut être mise en place pour soutenir une initiative en lien avec les forces de l'ordre ou la sécurité des jeunes.
Attestation de donation modèle : un outil essentiel
Pour maintenir la transparence et la confiance avec vos donateurs, il est essentiel de fournir une attestation de donation modèle. Ce document officiel confirme la réception du don et peut être utilisé par les donateurs pour des déductions fiscales. Une attestation bien rédigée contribue à renforcer la crédibilité de votre mouvement de jeunesse.
Conclusion
Recueillir des fonds pour un mouvement de jeunesse peut sembler complexe, mais avec les bonnes stratégies et outils, cela devient une tâche beaucoup plus simple. En respectant la charte d'une association à but non lucratif, en utilisant des dons en ligne, en optimisant votre présence sur les réseaux sociaux avec un logo pour bio Instagram, et en gérant efficacement une Cagnotte, votre mouvement peut atteindre ses objectifs financiers tout en restant fidèle à ses valeurs. N’oubliez pas d’utiliser une attestation de donation modèle pour garantir la transparence de vos actions et renforcer la confiance des donateurs.
Grâce à ces conseils, votre mouvement de jeunesse sera bien équipé pour relever les défis du financement et continuer à inspirer les jeunes à travers des initiatives significatives et impactantes.
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SUPPERBLUE
Identité du restaurant Supperblue, cuisine franco-asiatique par le chef Yoni Saada.
Identité
Si un leopard à la crinière d'un bleu profond arborant un collier doré vous invitait à un voyage culinaire, le suivriez-vous ?
Logo principal
Menu
Cartes de visite
3 rectos aléatoires ont été imprimés : avec fond, sans fond et fond dans le rectangle doré
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As famosas fotos de Enzo Vogrincic.
Warning: Traição, sexo, uso de palavrões e citação de nudez.
O membro de Enzo batia certo no seu ponto G.
Enquanto gemia perdida no prazer, o uruguaio mordia seu pescoço e apertava sua coxa.
Ambos sentiam que não iriam durar muito.
"Enzo..." Com a voz manhosa gemeu no ouvido dele, que começou a meter mais forte ainda em você.
A cama batia na parede, e a música que tocava no rádio já nem era mais escutada por seus ouvidos.
Com mais algumas estocadas, Enzo gozou dentro de ti, e usou os dedos para que você gozasse também. Gemendo mais alto ainda, apertando o pau dele ainda dentro de você.
Quando os peitos se acalmaram, e as respirações ficaram normais, Vogrincic te abraçou e ficou deitado com você na cama.
"Sofia pegou a senha do meu Instagram" Ele disse em um sussuro
"O que?!"
Se levantou e olhou sério para ele. Que merda era aquela?
"Você não disse que ela já queria terminar?! Que porra é essa Enzo?!"
"Ela quer, eu sei que ela quer! Mas o ego dela não deixa, porque ela sabe que assim que eu terminar eu corro pra ti (seu nome)" Enzo se levantou e ficou sentando, olhando para você "E o diretor do filme deixou explícito, que a nossa relação é importante pro marketing do filme. Não da pra estragar tudo comigo..."
"Trepando com a cantora da trilha sonora.." Se levantou e começou a pegar suas roupas "Eu já não falo com você por ligação, não tem WhatsApp e agora nem Instagram! É o que? Pombo correio?"
Enzo riu do que você falou, mas sabia que tinha razão. Sofia aproveitava o poder que tinha sobre Enzo, para segurar ele na relação. Mas nem com ela apontando uma arma na cabeça dele, ele deixaria de te ver...
"Eu tive uma idéia pra resolver isso" Disse te segurando e a fazendo parar de colocar as roupas de volta no corpo.
"O que?"
E então Enzo contou a idéia dele. Sua primeira reação foi rir.
Era quase ridícula a idéia, mas de tão engraçada chegava a ser instigante.
Por que não tentar?
@vogrincicenzo postou um story
Assim que viu a foto de Enzo, pegou suas coisas e dirigiu para o apartamento que ele morava.
Entrou rápido no prédio e apertou o botão do andar dele.
Chegou lá e assim que a porta abriu, um Enzo suado, apenas com uma calça preta sendo usada.
O moletom da foto estava no chão, e a bicicleta na varanda.
"Foi andar de bicicleta com ela?" Questinou entrando no local, e já roubando inúmeros beijos dele.
"Ela pediu para que eu acompanhasse ela na ida pra casa"
Logo suas roupas estavam no chão da casa de Enzo, e vocês dois se encontravam transando no chuveiro dele, com a água caindo sob seus corpos e deixando toda aquela foda, ainda mais deliciosa.
@vogrincicenzo postou uma foto
O sofá de Enzo já estava uma bagunça. O moletom preto com detalhes de chamas de fogo agora se encontrava no seu corpo.
Enquanto você sentava no uruguaio e sentia o pau dele indo cada vez mais fundo em você, Enzo gemia e batia na sua bunda. Perdido no próprio prazer, e se deliciando com a sensação da sua buceta apertando o pau dele.
"Isso minha gatita! Geme vai, geme..."
@vogrincicenzo postou um story
O seu brigadeiro era com toda a certeza o doce favorito dele. Quase sempre que você ia na casa dele, Enzo chegava todo manhoso pedindo pra você fazer.
"E então, vocês vão juntos nessa viagem?" Você perguntou séria para Enzo, enquanto ele se devidia em comer o brigadeiro, e arrumar a mala da viagem.
"Vamos" Bufou jogando uma camiseta na mala e se deitando na cama ao seu lado "Não acredito que vou ficar uma semana sem você minha vida"
Assim se encontravam os dois. Deitados na cama, se olhando. Ambos semi-nus após mais uma transa escondida da "namorada" dele.
"Passa rápido. No primeiro story eu tô aqui de novo"
Riram os dois juntos, e se beijaram sentindo o gosto do brigadeiro e do desejo na boca um do outro.
@vogrincicenzo postou um story
Sua bunda ardia com a força dos tapas de Enzo.
Não sabia se após essa transa, conseguria andar normalmente.
Maldita e bendita seja Sofia que deixou ele louco após uma discussão, e deixou ele assim.
"Fala vai... geme meu nome sua putinha"
Enzo metia em você com força. Não sabia se era desejo que sentia por você, ou raiva dela.
Mas amava aquilo.
"Enzo... por favor não para" Sua voz chegou a falhar. Ele já tinha a feito gozar naquela noite.
Antes mesmo de tirar toda aquela roupa que fazia ele parece um stalker psicótico, já te deitou na mesa da cozinha dele, e te chupou até sentia você gozar na boca dele.
"Eu te amo tanto" Puxou seu cabelo e te trouxe para perto dele, apenas para que ouvisse mais de perto ele dizer aquilo "Te amo"
@vogrincicenzo postou um story
@vogrincicenzo postou um story
"Por que é que você não veio?!" Foi a primeira coisa que Enzo disse assim que abriu a porta pra você.
"Boa tarde pra você também!"
Deixou suas coisas no sofá e foi levar as compras para a cozinha.
"Eu postei uma foto, e você não veio"
"Você mudou o ângulo! Achei que não era uma foto indireta" Se defendeu enquanto tirava o macarrão da sacola, mas logo olhou para Enzo que segurava o riso "Que foi?
"Por que você é assim mulher?"
Antes que você pudesse responder, Enzo foi até você e começou a te beijar.
Podemos dizer que aquele beijo levou a algo mais, e o jantar de vocês atrasou bem naquela noite.
@vogrincicenzo postou um story
"Hoje termina a gravação?" Vogrincic perguntou enquanto te via colocar sua roupa, apressada para ir para o estúdio.
"Sim" Respondeu sorrindo "Logo, seu filme e da Sofia vai ter uma linda e amorasa trilha sonora cantada por mim"
Se sentou no sofá ao lado (de um ainda pelado Enzo Vogrincic) e começou a calçar seu sapato.
"Enzo?"
"Sim amor"
"Eu vim de sutiã?"
Olhou em volta da sala, e tentou se lembrar.
Lembra de Enzo chupando seus peitos, de vocês transando no sofá. Dos dois rindo enquanto assistiam vídeos aleatórios no celular, mas nada de sutiã...
"Acho que não princesa"
Assim que terminou de se arrumar se despediu de Enzo com um beijo, e foi para o estúdio.
Te doía estar lá, porque sabia que Sofia estaria naquela noite no apartamento do seu homem.
Tentando e lutando em sentir prazer vindo dele. Por mais que odiasse, vocês combinaram que por enquanto transariam com outras pessoas.
Enzo porque não podia deixar Sofia nem desconfiar que ele se satisfazia com outra mulher. E você... talvez vingança ou carência...
As horas se passaram e logo terminou a última música.
Todos no estúdio celembraram e resolveram pedir uma pizza para comemorar o fim desse tão árduo, mas gratificante trabalho.
@vogrincicenzo postou um story
Assim que viu isso, se despediu de todos e foi correndo para o apartamento de Enzo.
O elevador parecia demorar mais naquele dia. Os segundos viraram minutos, que pareciam horas.
Quando chegou no andar dele, bateu na porta e logo viu Vogrincic com um curativo mal colocado na sobrancelha.
"Enzo..."
"Ela achou seu sutiã" Foi a única coisa que ele disse, sorrindo e segurando a peça.
Não é preciso dizer que depois daquilo, Enzo continuou a postar as famosas fotos no elevador.
Mas com uma frequência menor. Sem muito significado, apenas uma velha tradição...
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COMO EU CONHECI SEU PAI - JAEHYUN!EXMARIDO
you're my favorite girl.
ex!marido jaehyun x leitor feminino.
CONTEUDO: namorado!jaehyun (passado), menções de johnny, smut, dirtytalk, romacezinho de leve, algo meio fofo.
parte 1.
leiam também: melhoramigo!jay (enhypen)
Os raios de sol batiam em seu rosto, indicando que mais uma manhã estava chegando e a cama parecia te segurar, seu corpo estava super relaxado, porém, era necessário levantar e começar sua rotina em mais um sábado.
Ao coçar seus olhos, sua visão ficou limitada para ver a silhueta de um homem alto e bonito ao seu lado, só era possível sentir ele se mexendo pela cama e resmungando baixinho.
"Amor, volte a deitar por favor, não é necessário acordar tão cedo em um fim de semana."
Você não se esqueceu da sua noite maravilhosa com seu ex marido, mas uma única noite não podia mudar tudo que aconteceu entre vocês. "Jae, você precisa levantar." Ele olhou para seu rosto, um feição engraçada de uma pessoa que acabou de acordar.
"Como pode você pesar o clima tão rápido? Pensei que nossa noite tinha sido especial." Jaehyun dramaqueen era a última coisa que você queria aturar nessa manhã, então simplesmente você se levantou da cama e andou até o banheiro enquanto falava com ele. "Só não quero passar pelo momento constrangedor de explicar para seu filho o motivo do papai e mamãe estarem dormindo na mesma cama. Não depois do trabalhão que tivemos para explicar o término."
Ele riu da sua frase, ele realmente não estava preocupado com isso, ele sabe que o filho de vocês é uma criança inteligente e entenderia muito bem que os pais se amam. Jae se aproximou de você, te pressionando contra a pia e beijando seu pescoço. "Sabe, nosso casamento ainda não acabou. Eu ainda te amo tanto e sei que você me ama."
"Podemos conversar isso depois?" Era difícil para você falar sobre 'reatar o casamento'. Fodas rápidas era bom, mas você não sabe se aguentaria passar por todas as brigas e crises de ciúmes de novo, Vocês são duas pessoas explosivas, brigam atoa e não era um ambiente saudável para o pequeno.
Graças aos céus o seu menino entrou pela porta de seu quarto e se deparou com a cena de vocês dois no banheiro, agarrados como um casal.
"Mamãe." Ele disse, com seus olhos escuros vidrados em seu pai. "Papai, você dormiu aqui em casa essa noite?"
Vocês dois se olharam, o nervosismo atacou seu corpo pois aquela não era uma situação legal. "Sim garotão, papai estava cansado para ir para casa e sua mãe me convidou para tirar uma soneca por aqui." Jaehyun era bem melhor nisso do que você.
Vocês três caminharam juntos até a cama, seu menino sentando no colo do pai enquanto você se então ao lado de Jaehyun e acaba reparando o quanto os dois são bem parecidos, quase gêmeos. "Podemos ir ao parque hoje? Todos juntos?"
"Claro baby, vamos adorar passar um tempo juntos. Em família."
"Você adorava parque, principalmente aquele que tinha perto da faculdade." Jaehyun falou enquanto passava os dedos por seu cabelo.
Seu filho viu essa ação e sorriu, ele estava com cinco anos e estava no auge da curiosidade e entao olhou para você e perguntou: "Mamãe, como você conheceu o papai?"
"Você precisa falar com ele logo, se depender desse cara, vocês não vão trocar uma palavra se quer." Sua amiga disse, e você sabia que era verdade, mas coragem faltava em você. "É o último ano da faculdade, você precisa tomar uma atitude."
"Ela tem razão, se você nao chegar nele, alguém vai." Sua outra amiga disse.
"Então eu vou agarrar esse homem pra mim."
"Você fala isso, mas não tem coragem de falar com ele. Fala sobre qualquer coisa, ele é bom em álgebra e você é péssima, pede ajuda a ele."
Suas amigas não eram as melhores nesse quesito, mas aquilo era melhor do que nada.
Chegar em Jaehyun e falar com ele não foi uma tarefa fácil. No inicio você teve medo, nao sabia como falar com o gato e inteligente Jaehyun, ele parecia ser super sociável, com o ciclo dele.
Você resolveu seguir ele no Instagram, una conversa online seria bem menos vergonhosa do que gaguejar em público. Era o que você imaginou.
"Olá, sou da sua turma de álgebra e queria saber se você poderia me ajudar? estou com um pouco de dificuldade nessa nova matéria."
Seus dedos freneticamente abria e fechava o aplicativo, esperando um retorno dele. Jaehyun não era cronicamente online.
Na verdade, ele tinha visto sua mensagem pela barra de notificações e não sabia como responder, a garota gostosa da faculdade tinha mandado mensagem e ele não sabia o que falar.
O Jaehyun mulherengo não sabia o que falar, aquilo era completamente novo, mesmo sendo bem sem vergonha, ele ainda não sabia como abordar garotas bonitas.
E com você não seria diferente, é claro que ele já tinha reparado em você, a garota que Johnny vive falando que é 'gostosa' e bonita.
Ele bisbilhotava suas fotos antes de responder sua mensagem e Johnny tinha razão, você era realmente isso tudo.
"Oi, claro, talvez amanhã podemos marcar um horário bom para que eu possa te ajudar."
Vocês marcaram e agora vocês estão sentados na biblioteca enquanto ele te ensina, você não queria aprender álgebra, odiava essa matéria, porém passar um tempo com ele era tão bom.
Tão bom que vocês começaram a marcar mais sessões de estudos, que da biblioteca passou para cafeterias, depois as sessões viraram pequenos encontros e no fim terminou com uma tarde de estudos na sua casa.
"Então você pega esse resultado, ele será a sua determinante." Mas um fim de tutoria tinha acabado, sua cabeça estava explodindo com tanta informação. "Acho que você está pronta para a prova."
"Será? As vezes acho que não sou capaz, mesmo estudando muito."
"Você é inteligente, minha favorita." Aquela foi a primeira vez que ele tinha te chamado por esse apelido.
Na hora você ficou parada, olhando nos olhos dele e ele percebeu o que disse. "Quis dizer, você é minha aluna favorita."
"E você já teve outras?"
"Você é a primeira então, acho que é minha favorita."
E você escutaria aquele apelido milhares de vezes, durante os encontros, durante as aulas, quando ele se sentava em uma cadeira atrás de vode e ficava sussurrando em seus ouvidos e até durante o sexo.
"Você sabe que é minha favorita, não sabe amor?" A voz dele deixava você cada vez mais molhada, o tesão eletrificava seu corpo, te deixando com sede de mais.
Mesmo antes do pedido de namoro, vocês começaram a sair, se tornaram ficantes e o sexo era regular e em todo lugar possível. Você se lembrou da vez que ele te comeu no carro de Johnny durante uma festa da faculdade.
Ele cobriu sua boca enquanto ia fundo em você, os dedos fazendo pressão em sua cintura e o cabelo grudado na testa por conta do suor. "Gata, você geme tão gostoso mas eu preciso que você faça isso baixinho pra mim, não quero ninguém atrapalhando nosso momento."
Os dedos dele foi para seu clitóris e foi a melhor sensação do mundo, ele masturbava enquanto te fodia. Suas mãos estavam puxando os lindos cabelos loiros de Jaehyun.
A sensação de adrenalina de transar em um carro era a melhor.
Jae estava vidrado em você, ele jura que poderia gozar só de olhar para você, a garota mais linda que ele já teve, a mulher perfeita para ele. "Eu juro.." quase sem fôlego, ele tenta falar em seu ouvido. "Eu juro que te comeria todos os dias sem cansar, olha para você."
"Minha linda garota fica ainda mais bonita quando está levando pau." Ele te deixava envergonhada, mas tão excitada. "Cara, tô tão apaixonado por você."
"Eu te amo." Você disse.
Dias depois ele te pediu em namoro, vocês estavam apaixonados.
"Eu ainda não acredito que Jung Jaehyun me pediu em namoro. Sério, o que eu mereci para ser a escolhida?"
"É porque você é minha favorita!"
É claro que você não contou tudo isso para seu filho, então você apenas riu depois de pensar em tudo que vocês passaram e respondeu: "éramos amigos na faculdade, eu me apaixonei por um príncipe encatando inteligente e acho que ainda estou apaixonada por ele."
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VASCO DA GAMA E NADA MAIS! - LEE JENO
casal: jeno x fem!leitora gênero: fake date; friends to lovers sinopse: Seu amigo pede para você fingir ser namorada dele como parte de uma plano louco e o seu “date falso” é no jogo do Vasco em São Januário. Talvez você descubra que o plano não era bem o que você imaginava e que seu amigo também ame algo além do gigante da colina. nota da autora: tenham em mente que tudo o que sei de futebol e do vasco, aprendi com o povo que estudava comigo na época do ensino médio e com casimiro miguel. também nunca fui no rj e conheço muito pouco de lá kkkkkkkkkk essa ideia veio do nada e to num bloqueio criativo enorme, então me desculpem por essa história não ter ficado tão boa e não ter sido revisada.
obrigada @moonlezn pela foto do jeno vascaíno kkkk
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“Você tá louco!? Quem colocou essa ideia na sua cabecinha?”
“O Hyuck…”
“Tinha que ser esse idiota.”
Ainda estava tentando raciocinar o pedido do seu amigo. Jeno estava na sua frente pedindo (para não dizer implorando) para você aceitar o plano louco e sem o menor sentido para o ajudar a fazer ciúmes em uma menina que ele estava gostando. O plano era o seguinte: vocês iriam para um jogo do Vasco, time do coração de Jeno, tirariam uma foto na frente do São Januário, ele iria postar no instagram para a garota de alguma forma perceber que ele estava acompanhado e sentir ciúmes dele.
“Sei se isso vai dar certo não…Não seria mais fácil você sei lá… falar com ela?”
“Eu já tentei, mas não deu certo. Vai, aceita. Essa é a sua grande chance de me ajudar e assistir um jogo do gigante, pô.”
Tudo que fez foi revirar os olhos. Muita coisa nesse “plano mirabolante” não fazia sentido, mas, depois dele insistir muito, você aceitou.
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Era domingo, dia do clássico Vasco x Botafogo pelo Campeonato Carioca. Tinham combinado de se encontrarem em um local perto de São Januário, estádio do Vasco da Gama. De longe, Jeno te avistou e ele achou que ia perder todos os sentidos. Para Jeno, você era a mulher mais linda do mundo usando o manto sagrado, também conhecida como a camisa do Vasco de Jeno, com direito a um “L. Jeno” estampado na parte de trás. Teve que conter um sorrisinho quando você se aproximou dele.
“E aí, como estou?”
“Linda.” Foi a sua vez de conter um sorriso. “Usando o manto do gigante, ia ficar linda mesmo.”
Levou um tapa da garota que foi logo te puxando para entrar no estádio, mas foi interrompida com Jeno pedindo para que ela esperasse. Ele entregou o celular para um conhecido vascaíno dele e sussurrou no seu ouvido. “Hora da foto”
Não teve tempo de raciocinar quando Jeno te puxou pela cintura, te fazendo arrepiar por conta do toque na sua pele que estava exposta por causa do jeito que você tinha arrumado da blusa e encostou o nariz no seu. Viu que ele estava sorrindo, olhando no fundo do seus olhos, fazendo com que, por um segundo, você esquecesse que era tudo fingimento. Retribuiu o sorriso e fez até uma pose, levantando um pezinho. Jeno postou no story do instagram com a seguinte legenda: “Jogo do gigante com minha garota ♥” para que aquela farsa parecesse ser totalmente real.
Entraram no estádio e Jeno foi pegar uma cerveja para você, já que ele não bebia e estava responsável em te levar para casa. O jogo começou e você surpreendeu Jeno. Gritava, xingava o juiz, batia palmas até cantava alguns cantos da torcida, principalmente o famoso “Vou torcer pro Vasco ser campeão”, que você tinha feito questão de aprender e cantar juto com Jeno, que não cansava de te olhar maravilhado, mesmo que isso tirasse a atenção dele do jogo. Mas você também se pegava olhando para ele e ficava feliz por ver que Jeno tinha te levado para algo que ele tanto gostava, mesmo que lhe desse algumas dores de cabeça.
Mas não foi o que aconteceu naquele dia. O Vasco tinha ganhado com um gol no final do jogo. Jeno fico tão feliz que te abraçou, ao ponto de te tirar no chão e até deu um beijo na sua bochecha, coisa que raramente ele fazia.
Desde aquele dia, Jeno te chamava de “amuleto da sorte” pois, sempre que vocês assistiam um jogo do Vasco juntos, o time ganhava. Ainda não entendia o porquê de Jeno ainda querer que vocês assistissem jogos juntos, seja presencialmente seja no estádio, porque todo mundo sabia que Jeno não gostava de assistir jogo acompanhado e isso estava te perturbando por alguns dias, então decidiu “investigar” algumas coisas.
Primeiro, foi ver o instagram da menina que Jeno estava querendo “provocar”, viu que a última postagem dela era uma foto comemorando 3 meses de namoro e ainda por cima, não seguia Jeno. Conferiu para ver se Jeno a seguia e, para a sua surpresa, ele também não a seguia. Um grande ponto de interrogação se formou na sua cabeça.
Depois, decidiu falar com o Hyuck, afinal, ele que tinha sugerido todo esse plano para Jeno.
“Vou logo ao ponto. Por que você deu aquela ideia para o Jeno?”
“Que ideia?”
“Não se faz de sonso. Dele fingir um namoro comigo.”
“Olha, já dei muita ideia ruim pra ele, mas essa não foi minha”
“Papo reto?”
“Papo reto. Foi isso que ele inventou pra finalmente te levar para um encontro?”
“Como assim finalmente?”
Hyuck deu um sorrisinho que te deixou intrigada.
“Me diz uma coisa, você é idiota assim mesmo ou se faz?” Ele deu um risada com a cara de indignada que você tinha feito. “Ele tá louco por você há muito tempo!”
Se você tivesse bebendo algo com certeza tinha cuspido tudo na cara do Hyuck. Como assim Jeno estava louco por mim?
“Raciocina aqui comigo: por que ele te chamaria para o jogo do vasco se ele odeia assistir jogo acompanhado? Você sabe o quanto os jogos, principalmente clássicos, são importantes para ele, então ele só iria dividir esse momento com alguém especial.”
Foi aí que tudo foi se encaixando. Ele e a suposta crush não se seguiam, te chamou para um lugar “sagrado” para ele, os olhares e sorrisinhos bobos que ele sempre dava para você, o jeito que ele te abraçava a cada gol e, principalmente, a legenda que ele colocou na foto. Tudo indicava que Jeno realmente estava caidinho por você, mas precisava ouvir da boca dele. Por isso, estava na porta do apartamento e foi recepcionada por Jaemin, um dos melhores amigos de Jeno, que te disse que o homem estava no quarto, jogando alguma coisa online. Assim que ouviu um “ta aberto”, após de bater na porta, entrou no quarto de Jeno, que se assustou quando te viu ali. Não pôde deixar de ficar nervoso quando você falou um “precisamos conversar”.
“Tá, deixa eu terminar essa partida…”
“Não Jeno, tem que ser agora.”
No mesmo momento, se despediu de alguém que parecia ser Hyuck e ficou a cadeira gamer dele em sua direção, que estava sentada na cama dele.
“Jeno, quer me explicar porque você me levou para o jogo do Vasco?”
Ele engoliu seco, as mãos começaram a suar, mas tentou manter a tranquilidade.
“P-para fazer ciúmes a-”
“Não mente pra mim, Jeno.” Passou a mão nos cabelos e estava prestes a falar para ele que a farsa tinha acabado. “Ela tá namorando há mais de 3 meses, vocês não se seguem no instagram e…” Respirou fundo e continuou. “Hyuck me falou que ele nunca te deu essa ideia”
“Aquele filho da p-”
“Jeno, vou te perguntar mais uma vez: por que você me levou para o jogo do Vasco, sendo que você odeia assistir jogo acompanhado?”
“Porque eu queria sair com você” Jeno disse, quase que fazendo um bico, tirando um sorrisinho seu.
“Mas você poderia ter me chamado normalmente.”
“Não é isso.” Jeno começou a balançar a perna, um sinal claro que estava nervoso. “É que eu queria sair tipo… eu e você.. juntos… lugar especial”
‘Calma Jeno.” Disse, colocando a mão na coxa dele para que ele parasse de balançar a perna. “Você queria que a gente fosse em um encontro em um lugar especial?” Jeno apenas afirmou com a cabeça. “Era só ter me chamado que eu iria para qualquer lugar com você” Disse fazendo um carinho no rosto do homem, que deu um sorriso que era contagiante.
“Até para um jogo do Vasco?”
Riu do jeito inocente que Jeno tinha falado aquela frase. “Se é especial para você, claro que sim”
Então, Jeno te puxou para que você sentasse no colo dele, fazendo com que você desse um gritinho, seguido por uma risada que Jeno amava. “Então, vamos domingo para São Januário? Tipo, um encontro de verdade?”
“Claro que sim e vamos ver o gigante jogar. Acho que vou ter que comprar uma camisa pra não ficar roubando as suas.”
“Você fica a mulher mais linda do mundo com elas, mas você sabe que cuido muito das minhas bebês.” Mais uma vez, você riu e deu um beijinho na bochecha de Jeno e juntou a testa com a dele. “Não vou ganhar beijinho?”
“Hmmm… só se o Vasco ganhar domingo”
Jeno coçou a cabeça, sabia que, mesmo com algumas vitórias, o time não tava em uma boa fase. “Então vou ter que rezar muito para o tio Ramón acertar na escalação.”
#nct#nct scenarios#nct br au#nct fanfic#nct fluff#nct drabbles#nct dream fluff#nct dream au#nct dream imagines#nct dream#nct dream br au#jeno x y/n#jeno fluff#jeno x reader#nct jeno#lee jeno
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. ˚⁺↷ reneé rapp como sua namorada .
𝐍𝐎𝐓𝐀𝐒 𝐃𝐀 𝐀𝐔𝐓𝐎𝐑𝐀:
olha só, surtei surtei surtei. não tem o que falar, eu surtei. isso aqui é só um headcanon porque não tô aguentando mais olhar pra essa mulher explodindo de gostosa e saber que não posso sentar na cara dela, juro. me aturem nessa! não especifiquei se a mc é famosa ou não, apenas que ela conhece a sabrina carpenter! essa vai pra minha companheira de surtos por essa mulher, @imninahchan !
Você e Reneé se conheceram por meio de uma amiga em comum, Sabrina Carpenter. A loira apresentou vocês duas durante uma festa privada, Reneé tinha acabado de lançar seu EP em meados de 2022.
A conversa fluiu bastante, não é difícil com Rapp já que ela se mostra genuinamente interessada em tudo que você fala.
Talvez fosse coisa da sua cabeça, mas pra cada característica sua que citava, Reneé parecia ter um elogio na ponta de sua língua.
Naquela noite, vocês cantaram One Less Lonely Girl no karaokê de Sabrina. Era a música favorita de Reneé para esse tipo de ocasião.
Depois dali, era óbvio que sairiam de lá com seus respectivos números.
Reneé adorou você, seu jeitinho de ser e a forma como ria sempre que ela flertava com você. Saíram muitas vezes juntas.
Até o ponto em que eram inseparáveis.
Os fãs de Reneé te adoram, sabem o quanto você faz bem para a cantora e, por isso mesmo, não acreditam quando ela insiste que vocês duas são amigas.
Vocês duas andam de mãos dadas.
Quando não conseguem, os mindinhos se cruzam, pelo menos.
É a primeira pessoa para quem ela mostra suas músicas, óbvio.
Reneé adora ficar abraçada com você, principalmente quando está bêbada. Foi assim que vocês tiveram o quase primeiro beijo de vocês.
Até que ela dormiu no seu colo e acordou ao teu lado no dia seguinte.
Reneé é bem direta, logo, te chamou pra sair depois de acordar.
Vocês nunca oficializaram as coisas entre vocês, era muito claro que estavam juntas. Não houve um pedido.
Quando viram, já se chamavam de namoradas.
Espere ser a musa da maioria das músicas dela, inclusive das mais sacanas onde ela diz tudo o que gosta de fazer com você. A família de vocês que lute.
Ser a primeira na fila de todos os seus shows, inclusive ser a que ela vai puxar para o palco para cantar One Less Lonely Girl.
Os fãs idolatram a relação de vocês.
Muitas fotos. Muitas mesmo. Uma galeria cheia de fotos de vocês. Poucas delas vão pro Instagram.
Beijinhos preguiçosos porque a Reneé tem cara de malandra que vai segurar seu rostinho e te beijar bem devagar antes de algum compromisso apenas para se afastar e dizer que tá atrasada.
Ela falou que ama primeiro, você falou logo em seguida.
Ser a acompanhante dela em qualquer premiação que ela vá, você tá lá de trophy girlfriend.
Reneé se estressa fácil quando as pessoas ao seu redor são tratadas mal, por isso, pode esperar que algum dia ela vai surtar com alguém que te olhar torto.
Seus beijos deixam ela calma e você tira proveito disso.
Uma relação muito melosa, no bom sentido. Você ama ficar penduradinha na sua namorada, enchendo ela de beijos e abraços.
Ela te chama de “bebê” porque esse é o apelido favorito dela pra vida.
NSFW abaixo.
Reneé adora ficar de amassos contigo, é o passatempo favorito dela. Encontrou um cantinho quieto e que ninguém vai perturbar vocês, ela tá te deitando.
Os beijos de vocês são lentos, não só pela preguiça citada acima, mas porque ela gosta de saborear seu gostinho. Passar a língua nos seus lábios e chupar eles pra dentro dos dela, meter os dentes ali até você gemer baixinho.
Se prepara pra usar uma tonelada de base no pescoço, se você já não usa, porque Reneé Rapp só falta sugar sua alma pra fora.
Ela é o tipo de namorada que acha as mordidinhas de amor fofas, ver a marca suave dos dentes dela na sua traqueia. A forma como suas pernas pressionam o quadril dela, tentando se fechar pelo tesão que sente.
Ela ama teus peitinhos, apertar eles enquanto mói a intimidade contra a sua. Ela sente como se estivesse no paraíso com isso. Aperta, gira os biquinhos endurecidos de prazer pra te escutar lamuriar, puxa de levinho.
Mas o que ela gosta mesmo é de enfiar a boca neles.
Beija eles como se fossem tua boca, trava uma batalha ganha com seus mamilos como se estivesse chupando sua língua. A auréola sofrendo na boca faminta da Rapp. Pode ter certeza que ela vai chupar eles até eles ficarem vermelhinhos e você estiver choramingando que vai gozar.
Mas do mesmo jeito que ela gosta de você deitadinha feito boneca enquanto ela te usa de picolé, ela também gosta de ser cuidada.
Fica deitada enquanto sente você chupar ela, é o que ela mais espera do sexo. Vai do céu ao inferno ao te ver entre as coxas dela, abusando do nervinho que deixa ela toda molinha pra você.
A posição favorita de vocês, com certeza, é o 69. Assim, ela te come e você come ela. É o trato perfeito.
Reneé me passa uma vibe de quem não gosta de muita sujeira não, o sexo com ela é mais romântico, erótico. Parece que vocês tão pintando juntas. Ela é o tipo que te chama de “amor” na cama.
A tesourada come solta quando vocês tão juntas, vou apenas deixar isso aqui. Mas imaginem, vocês cobrindo a boca uma da outra e rastejando pelo ápice. Isso acontece muitas vezes.
O tipo que deita com você e dedilha tuas curvas, sorrindo bobinha porque te tem do lado dela. Passando “inocentemente” um dedo por um bico durinho ou enfiando a mão entre as suas pernas.
É isso, quero uma Reneé Rapp.
toriverso ©️
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Imagine Harry Styles
Eu sei que não apareço aqui há quase um ano. Mas senti falta de vocês.
Originalmente, esse imagine foi postado no meu instagram com um membro do BTS e adaptei pra trazer pra cá. Espero que gostem ^^
Contagem de palavras: +8k
Encaro o relógio na tela do meu celular pela quarta vez, suspirando e lutando contra as malditas lágrimas que insistem em se formar nos meus olhos.
Ouço o barulho da porta se abrindo, e logo o som de passos desajeitados preenchem todo o lugar.
Eu permaneço no sofá, sequer me mexo.
— Querida? — Fecho os olhos ao ouvir a voz do meu marido.
Eu me viro, encarando o homem com o terno amarrotado e a gravata torta. Harry me oferece um sorriso bêbado enquanto tenta empurrar os sapatos para fora dos pés, quase caindo no processo. Eu suspiro e me aproximo dele.
Apoio seu corpo alto e pesado no meu. Seu braço longo fica sobre os meus ombros e nós caminhamos em direção à suíte.
— Me desculpa. — Ele fala baixo, as palavras emboladas como se a língua fosse maior que o normal. — Eu precisei ir para um jantar da empresa e perdi o seu aniversário. — Harry lamenta.
Um sorriso bobo se forma em meus lábios.
Bom, pelo menos ele havia se lembrado.
— Não tem problema. — Eu digo, terminando de desatar o nó de sua gravata. — Por quê bebeu tanto? — Bufo, fingindo estar brava.
Eu sabia como Styles era fraco para bebida. Uma taça de vinho era o suficiente para deixá-lo com as bochechas vermelhas e o sorriso solto. Mas o cheiro forte de álcool deixava claro que ele havia bebido muito mais do que uma taça de vinho.
— Vou recompensar você. — Ele diz, depois que eu retiro seu paletó. Harry ergue as mãos grandes, segurando minhas duas bochechas. Seus olhos estão quase fechados, as bochechas muito vermelhas. — Feliz aniversário, querida.
— Obrigado, H.
O meu coração bate forte.
E, para a minha surpresa, Harry puxa o meu rosto em direção ao seu.
Seus lábios cheios e macios tocam os meus, me fazendo arregalar os olhos antes de fechar.
O primeiro e último beijo que trocamos fora a dois anos, no dia em que dissemos sim em frente ao juiz de paz.
Nosso casamento não passava de um contrato, benéfico para nós dois. Harry precisava do dinheiro da minha família, eu precisava de liberdade.
Depois de uma longa e sincera conversa durante o jantar de noivado, decidimos seguir em frente.
Começamos com uma amizade. Harry era educado, gentil e sensível. Sempre me tratando com muito respeito.
O grande problema foi quando meu coração começou a confundir as coisas. E eu acabei irremediavelmente apaixonada pelo meu marido.
Me contentei com a amizade de Styles. Fazendo o meu melhor para esconder os sentimentos que cada vez mais se tornavam mais fortes.
A cada sorriso que ele me dirigia, cada mínimo elogio educado. Meu coração batia como louco. O frio na barriga me atingia e eu conseguia ficar ainda mais boba por ele.
Solto um suspiro quando a língua quente toca meu lábio inferior.
Harry me puxa para mais perto, seus dedos se perdem no meu cabelo.
Nosso primeiro beijo foi apenas um selar. E foram incontáveis as vezes que eu me perguntei como seria beijá-lo de verdade.
Mesmo que o sabor alcoólico fosse forte, ainda era bom. Mesmo que o beijo demonstrasse desejo, ainda era delicado.
Seus lábios eram quentes e macios, sua língua afoita e curiosa, explorando cada partezinha da minha boca.
Meu coração batia tão forte que eu podia senti-lo retumbando em meus ouvidos. Minha pele inteira estava arrepiada.
O beijo foi quebrado com dezenas de selinhos e eu sorri como uma boba.
Harry sorriu de volta, passando o polegar em minha bochecha.
E então disse as palavras que acabaram completamente com a minha ilusão e o fio de esperança ao qual me agarrei.
— Minha Helena…
O meu sorriso se fechou, e quase pude ouvir o som do meu coração virando um amontoado de estilhaços.
Harry caiu para trás na cama, em um sono profundo.
Segurei o soluço que tentou escapar, mas as lágrimas já haviam começado a escorrer de forma vergonhosa.
Humilhada, ergui suas pernas até que estivessem sobre o colchão.Puxei sua coberta, estendendo sobre o corpo adormecido.
Olhei para ele uma última vez antes de sair do quarto, atravessando para a porta ao outro lado, que inicialmente seria um quarto de hóspedes, mas há dois anos, é o meu.
Deitei na minha cama, abraçando com força um dos meus travesseiros e deixei meu choro dolorido escapar, tentando aliviar a dor em meu peito.
Harry não havia me beijado.
Em sua ilusão de bêbado era a ela quem estava beijando.
Helena, sua primeira esposa. Aquela que há três anos foi arrancada dos seus braços por um câncer agressivo.
Sequer consegui dormir.
Quando o celular despertou, tomei um banho rápido e usei maquiagem para esconder as olheiras e o nariz avermelhado pelo choro.
Desci para a cozinha, começando a minha rotina.
Fazer o café da manhã para Harry era algo que me deixava feliz. Ele nunca poupava elogios, mesmo que o sabor da comida não fosse tão gostoso assim.
Mas hoje, me limitei ao café preto e uma sopa de algas para ajudar com a provável ressaca dele.
Servi o meu próprio café, fechando meus olhos ao beber o primeiro gole da bebida quente.
Ouvi os passos desajeitados na escadaria, assim como os resmungos que o homem soltava.
— Bom dia. — Murmurou.
— Bom dia, Harry. — Continuei de costas, querendo ao máximo evitar de olhar para ele. Mesmo com a maquiagem, sabia que ainda era possível ver os rastros do choro e da noite mal dormida. Além disso, Styles parecia ter o dom de me ler como se fosse um livro. Era observador e conseguia enxergar tranquilamente tudo que quisesse.
— Fiz ou falei alguma besteira ontem? — Pude ouvir quando ele pegou uma xícara, pronto para servir seu café.
Como uma idiota, me virei, segurando seu braço.
Harry precisava se hidratar, comer alguma coisa antes de beber café ou acabaria passando mal.
Seus olhos ficaram levemente arregalados, já que eu pouco interferia em qualquer coisa que ele fizesse. Assim como ele comigo.
— Tome a sopa de algas primeiro. — Sugiro, soltando o seu braço e voltando a encarar a janela.
— Tem certeza de que nada aconteceu ontem? — Ele questiona, passando por trás do meu corpo para se servir da sopa no fogão ao meu lado.
— Uhum.
— Hm, isso está uma delícia. — Ele fala, mesmo acabado da ressaca, com animação.
Não digo nada. Bebo mais um gole do meu café e jogo o restante na pia, deixando a xícara por ali para lavar depois.
Ouço quando Harry solta um longo suspiro. Encostado na mesa, ele toma a sopa com calma, me olhando por cima da tigela.
— Está com muita dor? — Não consigo segurar em perguntar, preocupada com ele.
— Um pouco. — Faz uma careta.
— Tem remédio para dor de cabeça no armário do banheiro. — Tento sorrir.
A conversa me faz sentir ainda pior. Mas, pelo menos, ele não se lembra de ontem.
Decido sair da cozinha, mas antes que eu faça isso, sua mão grande segura o meu pulso, me mantendo no cômodo.
— Eu fiz algo que magoou você, não foi? — Seus olhos castanhos me encaravam cheios de culpa, mesmo que sequer soubesse o motivo. — Pode me dizer. — Incentiva.
— Não é nada, Harry. — Garanto, forçando um sorriso.
O inglês não parece acreditar nas minhas palavras, mas não sobram alternativas além de soltar o meu braço e me deixar sair da cozinha.
Pelo resto da manhã, me mantenho dentro do meu quarto. Deito na cama novamente e finalmente o cansaço me vence.
Acabo caindo em um sono pesado, tão cansada que sequer sonho.
Acordo com uma mão grande balançando de leve o meu ombro.
— S\N. — A voz de Harry soa baixinha. Abro meus olhos, resmungando por ser acordada. Ele me dá um sorriso de lado. — Venha almoçar.
Arregalo os olhos.
Harry cozinhou?
Olho para o relógio do meu celular, sem conseguir entender como uma soneca acabou durando quase 5 horas.
— Você não deveria estar no escritório? — Pergunto ainda um pouco perdida.
— Decidi tirar folga hoje. — Ele sorri mais uma vez, se levantando.
Coloco a mão sobre a boca, tentando segurar a risada.
Como Harry estava abaixado ao lado da cama, não consegui prestar atenção em sua roupa. Mas agora, é quase impossível não rir ao ver o homem de quase 1,80 usando meu avental de cozinha. Decorado com coraçõezinhos e adornado por um babado embaixo.
— Não ria. — Ele coloca a mão sobre o peito, como se estivesse mortalmente ofendido. O que, obviamente, me faz rir alto. — Vem. — Estende a mão, praticamente me arrastando para fora da cama.
Suas mãos vão para os meus ombros, me empurrando para fora do quarto.
Ainda estou sonolenta, mas meu estômago revira de fome e minha boca saliva assim que chegamos no andar de baixo e o cheiro da comida perfuma o lugar inteiro.
— Você fez tudo isso? — Falo surpresa com a quantidade de pratos disposta na mesa.
— Duvidando dos meus dotes culinários, senhora Styles? — Ele pergunta erguendo uma sobrancelha, puxando uma cadeira e me fazendo sentar.
Senhora Styles.
Não é a primeira vez que ele me chama assim, sempre com a entonação de brincadeira.
— Estou faminta. — Mudo de assunto.
Harry senta à minha frente, sem tirar o avental. Olho para todos aqueles pratos, tentando decidir o que comer primeiro.
Na verdade, eu estava apenas provocando ele. Sabia muito bem do talento de Harry na cozinha.
Porém, com a rotina cansativa no escritório, eu acabei ficando com a responsabilidade da comida e da arrumação da casa.
Não era algo que me incomodava, mais de uma vez o inglês ofereceu contratar alguém para me ajudar.
Mas eu gostava de manter as coisas do meu jeito.
— Estou pensando em voltar para a faculdade. — Falo de repente. Harry ergue os olhos, a boca tão cheia de comida que suas bochechas ficam infladas.
— Sério? — Pergunta colocando a mão na frente da boca.
— Acha uma ideia ruim? — Pergunto.
Eu precisei trancar a faculdade de design por conta do casamento. Mais uma das exigências do meu pai.
— De forma alguma. — Ele nega com a cabeça. — Eu acho ótimo, S/N. — Sorri. — Está gostando da comida?
— Está tudo uma delícia. — Falo com sinceridade. — Por quê decidiu cozinhar tanto?
— Queria me desculpar com você… — Meu corpo trava. — Ontem acabei me esquecendo do seu aniversário. — Harry suspira. — Me desculpe por isso, S/N.
— Está tudo bem. — Eu afirmo, mesmo que não seja 100% verdade.
Nos dias em que se seguiram, eu me concentrei em voltar para a faculdade. Consegui destravar minha matrícula e voltei às aulas.
A primeira semana passou voando e por dias inteiros quase não vi o meu marido.
O que era bom.
Esse era o primeiro passo para esquecer esse amor unilateral.
Eu precisava me dedicar a esquecê-lo, e enfiar a cabeça nos livros, correr atrás de prazos de trabalhos e provas seria o ideal para tirá-lo da minha cabeça e do meu coração.
Preciso me convencer de que a amizade que temos é tudo que Harry pode me oferecer.
Mesmo que eu me lembre de seus lábios contra os meus cada vez que feche os olhos.
Harry
Solto um suspiro baixo, sentindo meus olhos arderem depois de revisar mais de cinquenta relatórios. Encaro a foto de Helena sobre a minha mesa, sentindo o mesmo sentimento de melancolia de sempre.
Era difícil saber que voltaria para casa agora e não seria recebido por seu sorriso ou suas piadas ruins.
Por mais que morar com S/N não fosse necessariamente ruim, ela não era Helena.
A minha Helena.
— Já vai? — Brad pergunta quando eu saio da minha sala.
Além de amigo de longa data, ele é meu secretário.
Está comigo há anos e é um dos poucos em quem confio plenamente.
— Sim. — Resmungo. — Você pode ir também.
— Pensou sobre o que conversamos? — Ele diz quando entramos no elevador.
— Eu não preciso de terapia, Brad. — Reclamo, revirando os olhos. Há dias ele vem falando nesse mesmo assunto.
— É óbvio que precisa, Harry. Você precisa superar.
— Isso não vai acontecer nunca. — Bufo. — Helena é a minha esposa!
— Era. — Brad segura o meu braço, me fazendo olhar para o seu rosto calmo. — Me desculpe, irmão. Mas, pessoas morrem o tempo inteiro.
— Não diga isso. — Eu viro o rosto, evitando encará-lo.
— É a verdade. E você está perdendo uma oportunidade incrível, sabe disso, não sabe?
A tal oportunidade incrível é o fato de eu ser casado com S/N.
Desde que confessei a ele que tive um sonho estranho onde beijava a minha esposa, o mais novo insiste que eu estou me apaixonando por ela.
O que não é verdade.
Eu estava bêbado, S/N cuidou de mim e o sonho se misturou com a realidade.
Apenas isso.
Me despeço do mais novo, entrando no meu carro.
Dirijo com calma pelas ruas de Seul, soltando alguns suspiros.
Eu não queria dar o braço a torcer e recorrer à terapia para conseguir viver a minha vida. Mas, Brad estava certo em alguns pontos.
Eu não aproveitava mais nada. Tudo de bom que me aconteceu nos últimos anos, cada conquista. Simplesmente não consegui me sentir feliz por isso.
Me sentia, de certa forma, culpado por seguir vivendo quando Helena não estava mais aqui.
E por mais que eu soubesse que essa não era a vida que ela queria para mim, perder o amor da minha vida matou algo no meu coração.
Quando Helena se foi, ela levou uma grande parte do homem que um dia eu fui.
Estaciono na garagem espaçosa.
Assim que coloco os pés em casa, me livro da gravata irritante.
— S\N? — Chamo baixinho ao ver a garota na sala, sem querer assustá-la.
Mas, ela sequer se mexeu.
Me aproximei com cautela.
S\N estava com os braços sobre a mesinha de centro, o rosto apoiado em um deles e os olhos fechados em um sono profundo. Seus livros e cadernos estavam espalhados por todo o lado e ela parecia realmente cansada.
Quase não a vi desde que voltou a vida acadêmica. Os nossos horários não batiam, e para falar a verdade, eu não me esforçava para encontrá-la.
Mesmo que não quisesse admitir, desde aquele maldito sonho, eu venho me perguntando como seria beijá-la de verdade.
Me pego admirando seus traços.
Mesmo adormecida naquela posição desconfortável, com os lábios levemente entreabertos, e olheiras fundas, ela é bonita.
Nunca neguei a beleza de S\N. Precisaria ser cego para tal ato.
— S\N? — Chamo baixo. Ela franze as sobrancelhas, mas segue dormindo.
Deve realmente estar exausta.
Com cuidado, pego seu corpo no colo.
A garota deita a cabeça em meu ombro, respira pesado e abre um sorriso quase mínimo. Carrego minha esposa até seu quarto, a coloco de forma confortável na cama e pego uma das cobertas dobradas no armário para cobrí-la.
A olho mais um momento antes de sair, fechando a porta atrás de mim.
Deixo seus livros e cadernos exatamente onde estão, temendo guardá-los em algum lugar errado e estragando sua linha de raciocínio durante os estudos.
Vou para a cozinha, sentindo meu estômago reclamar.
Grudado no microondas há um bilhete, um post-it igual aos que estavam grudados nos livros de S\N.
“Seu jantar está pronto! Aqueça por dois minutos e depois descanse! Está trabalhando demais ;)”
Eu sorrio, guardando o papelzinho em meu bolso e apertando os botões de tempo do eletrodoméstico.
Mesmo com a rotina cansativa de estudos, S\N ainda se preocupava com a minha alimentação.
O que me deixa ainda mais culpado.
Ela merece mais do que um casamento por conveniência.
É uma mulher incrível e uma ótima amiga.
Merece alguém que a ame e cuide dela.
Eu não sou esse homem. E saber que ela estará presa a mim pelos próximos três anos de contrato me deixa cada vez mais culpado.
Depois de comer a comida deliciosa, tomo um banho e vou para meu quarto.
Desejando sonhar com minha Helena antes de dormir.
Fazia muito tempo que ela já não povoava mais os meus pensamentos.
Acordo ao ouvir barulho vindo da cozinha.
Saio da cama, desço as escadas e sinto meu corpo travar ao ver S\N. Ela está de costas, colocando água no filtro de café. Veste apenas uma camisa grande como pijama, seus cabelos presos em um coque desajeitado.
Eu já a vi assim antes.
Mas nunca teve tanto efeito em mim.
Ela parece notar minha presença, vira o rosto e me oferece um sorriso.
— Bom dia, H.
Eu respiro fundo, sem conseguir entender o que está acontecendo comigo.
Minha pele inteira está arrepiada, um calor insuportável me deixa inquieto.
Em passos largos atravesso a cozinha, sem conseguir mais segurar essa vontade.
Seguro sua cintura com as minhas mãos. S\N arregala os olhos, mas não me afasta.
Encaro seus lábios avermelhados, sentindo a minha própria boca formigar.
Curvo o pescoço, fecho os olhos e solto um suspiro quando sinto o contato de seus lábios nos meus.
S\N solta um gemido baixo, suas mãos tocam o meu peito e eu aprofundo ainda mais o contato.
Passo um dos braços por baixo do seu corpo, erguendo-a e colocando-a sobre a bancada.
Desço minha boca, marcando sua pele cheirosa.
Ela geme baixinho, joga a cabeça para trás.
Enlouquecido.
É assim que eu me sinto.
Completamente entorpecido por essa mulher.
Infiltro as mãos por baixo da camisa enorme, apertando suas coxas entre os meus dedos.
Meu corpo inteiro pede por ela, implora por ela.
— H… — Ela geme, e me enlouquece ainda mais.
— Eu quero tanto você. — Sussurro aquela verdade. S\N sorri para mim, com os lábios inchados pelos nossos beijos.
— Eu sou sua. — Ela sussurra.
Sua mão acaricia meu pau por cima da calça de moletom, me fazendo gemer.
Porra, eu preciso dessa mulher. Agora.
Puxo minha camiseta para fora, e como se estivesse tão ansiosa por esse momento como eu, S\N empurra minha calça para baixo, junto da cueca.
Eu suspiro, hipnotizado quando ela puxa a barra da própria camiseta para fora.
Enrolo o braço em sua cintura, puxado-a mais para a beirada da bancada. Ataco sua boca gostosa, arrasto a calcinha fina para o lado e encaixo meu pau em sua entrada quente e úmida.
Ela solta um gemido alto contra meus lábios quando embalo o corpo para a frente.
A sensação é indescritível.
Eu gemo, aperto sua pele em minhas mãos e começo a me mover cada vez mais rápido.
S\N geme o meu nome, joga a cabeça para trás e segura meus ombros.
Subo uma das mãos, apertado um dos seus seios.
Ela geme mais, aperta as pernas em volta da minha cintura e eu tenho certeza de que estou perto de gozar.
Sua boceta quente me aperta, e eu meto com ainda mais força.
O barulho do choque dos nossos corpos preenche a cozinha.
Minha pele se arrepia, a sensação do orgasmo próximo me enlouquece e eu grudo sua boca na minha mais uma vez.
Perto. Muito perto.
Me sento na cama.
Assustado.
Respirando de forma desregulada.
Totalmente suado.
Olho ao redor do meu quarto vazio, tentando entender o que está acontecendo.
Ergo a coberta, encarando a minha cueca completamente suja e o meu pau ainda endurecido como pedra.
Não. Não. Não. Não.
Isso não pode estar acontecendo.
Eu tive a porra de um sonho erótico com S\N?
Ainda assustado e me sentindo um completo maníaco, saio da cama.
Entro embaixo do chuveiro gelado, fechando meus olhos com forço e fazendo o meu melhor para esquecer esse maldito sonho.
Já estou atrasado para chegar no escritório quando finalmente a água fria consegue acabar com a minha ereção.
Me visto com um terno e desço as escadas. Decido pegar uma fruta para comer no caminho e meu corpo trava na porta da cozinha.
S\N está na frente da bancada, fazendo café. Vestida exatamente como o meu sonho.
— Bom dia, H. — Sorri.
Meu coração dá um salto.
E a minha calça fica mais apertada de repente.
Eu me viro, praticamente fugindo daquela casa.
— Bom dia, H. — Brad fala assim que eu saio do elevador. — Bom dia. — Falo rápido, passando pela sua mesa como um foguete e entrando na minha sala.
Me sinto um adolescente na puberdade, não um homem de 30 anos de idade.
Sento na minha mesa, esfrego as mãos no rosto e tento afastar aqueles pensamentos de mim.
Duas batidas na porta me fazem suspirar e eu mando que Brad entre.
— Tudo bem? — Ele pergunta com uma sobrancelha erguida. Eu assinto com a cabeça, sem encará-lo, até ouvir a risadinha que o mais novo soltou. — Sonhou com ela de novo, não foi? — Debocha.
— Brad…
— Qual é, H. Não tem nada de errado em desejar a sua esposa. — Ele senta na cadeira do outro lado da mesa, cruzando as pernas.
— Eu não desejo ela! — Minto. — Helena é a minha esposa. A única mulher que eu vou desejar nessa vida.
— Você é um cabeça dura. — Ele suspira. — Já pensou sobre a terapia?
— De novo isso?
— Sim, de novo. Eu estou preocupado com você, Harry.
— Está tudo bem comigo. — Argumento.
— Não, não está. — Ele nega com a cabeça. — Por favor, pelo menos tente. Se não gostar da experiência, não vou mais insistir.
— Me dá a sua palavra?
— Sabe que sim.
— Marque a maldita sessão. — Resmungo.
Brad abre um sorriso grande e sai da minha sala.
Durante o resto do dia me pego perdido em pensamentos, sem conseguir me concentrar em mais nada.
Minha mente fica passando e repassando as cenas em meu sonhos.
Eu me sinto um lixo.
S\N nunca me deu entrada alguma. Ter esse tipo de sonho com ela é algo nojento. E eu me sinto sujo.
Além de me sentir a porra de um traidor, desejando outra mulher que não a minha Helena.
Passo a fugir ainda mais de S\N.
Saindo mais cedo e voltando ainda mais tarde.
Sem encontrá-la por alguns dias.
Nosso contato é basicamente algumas mensagens e nada mais.
O que em nada acalma a porra da confusão que se forma em mim.
Além de seguir tendo sonhos cada vez mais sujos com ela, eu me pego sentindo sua falta.
Sentindo falta dos nossos cafés da manhã tranquilos, dos jantares divertidos e principalmente da companhia dela.
Dois meses depois…
— Como está hoje, Harry? — Kwan, meu terapeuta, pergunta.
Eu acabei gostando da experiência depois da primeira sessão. Ter alguém, que não me julgava, para desabafar era bom.
Por quase várias horas contei a ele toda a minha história. Como minha infância foi solitária e meus pais trabalhavam demais para prestar atenção em mim e no meu irmão mais velho. Como a adolescência foi ainda pior e eu não passava de um garoto confuso e carente de atenção. Como eu conheci, me apaixonei e perdi Helena.
E então, como S\N entrou na minha vida.
Nos primeiros dias, me senti receoso de contar a ele sobre o contrato. Não era exatamente uma coisa legal.
Mas, depois de algumas sessões, me senti mais confortável para dizer.
Para a minha surpresa, essa prática ainda era comum entre as famílias ricas da Coreia. Algo horrível, na minha opinião.
Com certeza, não eram todos que tinham a sorte de encontrar alguém tão incrível e compreensiva quanto a minha esposa.
Contei também sobre os sonhos.
Kwan, dividia a mesma opinião de Brad. Acreditava que eu estava me apaixonando por S\N.
Mas, eu segui negando.
— Estou bem. — Respondo abrindo um sorriso.
— E então, algum avanço essa semana? — Ele pergunta, cruzando as pernas e ajeitando a posição em sua poltrona.
— O mesmo de sempre. — Dou de ombros.
Kwan se refere ao fato de eu continuar fugindo de S\N dentro da nossa casa.
Por mais que agora eu a veja mais do que no inicio da minha fuga idiota, ainda faço o meu melhor para não acabar trombando com a garota pelas manhãs, quando ela está com pijamas curtos. Ou à noite, quando está linda.
Minha fuga não é tão difícil, já que S\N está se dedicando à faculdade, quase não tendo tempo algum.
Nos últimos dois meses, jantamos juntos apenas duas vezes, ambas em restaurantes, com os meus pais.
Fora isso, combinamos quem faria o jantar e deixaria o suficiente para o outro.
— Ainda sente que está traindo Helena? — Kwan pergunta. Ele fez esse mesmo questionamento há algumas semanas, e a resposta foi positiva.
— Não. — O terapeuta sorri.
— Como chegou a esta conclusão?
— Eu fui ao cemitério. Conversei com Helena. — Cocei meu queixo. — Foi uma conversa difícil.
Deixei as flores no pequeno vaso de plantas, juntei as mãos e fechei os olhos. Fiz uma prece breve antes de suspirar e finalmente encarar a foto de Helena na lápide.
Não tive coragem de voltar aqui desde o dia em que minha Helena começou seu descanso.
Na foto ela sorri, radiante. Antes do câncer que a deixou tão debilitada.
— Faz muito tempo, não é? — Sussurro. Eu suspiro, sabendo que não haverá uma resposta, mas, esperando que de alguma forma, ela me ouça de onde esteja. — Desculpe demorar tanto, meu amor. Eu realmente fiquei perdido sem você, sabia? — Fungo. O meu rosto já está banhado por lágrimas, meu peito pesado pela quantidade de coisas não ditas todos esses anos. — Eu sinto tanto a sua falta, minha Helena. — Tombo a cabeça para a frente, tocando sua foto com a minha testa e liberando todo aquele choro dolorido que guardei. — Eu me casei de novo, sabia? — Soluço. — Era para ser só um contrato. Mas… — Engulo meu choro, encarando o teto. — Mas ela é tão incrível. Você teria adorado a S\N. — Sorrio triste. — Ela é inteligente, é gentil, tem o maior coração que eu já vi. Ela não se importa com o meu coração machucado, me dá espaço para me curar… — Seco o meu rosto. — E eu tentei tanto evitar isso… queria tanto evitar me apaixonar por ela… mas eu não consegui, amor. — Choro. — Eu não consegui.
Fecho os meus olhos, meu choro é alto, sacode o meu corpo inteiro.
Ao mesmo tempo, é libertador.
— Eu sei que você não gostaria de me ver triste… foi o que você disse antes de partir, não foi? Que seria o meu anjo. — Seco um pouco meu rosto com a manga da camisa. — Eu nem sei se ela sente algo por mim. — Rio sem muito humor. — Eu tenho agido como um idiota com ela. Quando nos conhecemos, foi você quem me conquistou. Dessa vez, vou tentar ganhar o coração dela. Me ajude, sim? — Fungo. — Me ajude a ser feliz, por favor. — Respiro fundo. — Sempre vou amar você, Helena. Mas, acho que o meu coração pertence à S\N agora.
— Isso é ótimo, Harry. — Kwan fala, enquanto me oferece uma caixa de lenços, que eu aceito. — Então, acha que está apaixonado por S\N?
— Acho que sim. — Admito em voz alta pela primeira vez.
— E qual o seu próximo passo?
— Conquistá-la. — Afirmo.
Caminho em círculos pela sala de estar.
Cheguei antes do horário antes, preparei um jantar gostoso e esperava poder jantar com S\N.
Mas, já eram quase duas da manhã e nada da minha esposa chegar.
Já havia ligado, mandado dezenas de mensagens. Nada. Nem uma resposta.
Será que ela está com alguém?
Quando tivemos a primeira conversa do contrato, eu não me opus que ela tivesse relacionamentos amorosos, desde que discretos.
Fake chat
E agora, estava me remoendo com as minhas próprias palavras.
O som da fechadura chama a minha atenção e eu dou passos largos até a porta.
S\N está com um braço apoiado nos ombros de um cara que eu nunca vi.
— O que aconteceu? — Pergunto preocupado, me aproximado para tirá-la dos braços dele.
— Nós saímos para beber, comemorar o final das provas. Mas, S\N acabou exagerando. — O homem diz, de forma culpada.
— Certo, obrigado por trazê-la. Eu posso cuidar disso agora.
Não quero ser ignorante com o garoto. Mas ainda me sinto incomodado em saber que S\N esteve perto dele estando tão alterada.
O desconhecido faz uma reverência, saindo pelo corredor e eu fecho a porta.
S\N abre os olhos de leve, suas bochechas estão muito vermelhas. Um sorriso preguiçoso se forma em sua boca.
— Oi, H. Você está em casa. — Fala toda embolada, segurando o meu rosto dos dois lados.
— Por quê bebeu tanto? — Reclamo, me abaixando para passar um braço por baixo de seus joelhos, pegando-a no colo.
— Estava comemorando. — Ela passa os braços em meus ombros e começa a balançar os pés enquanto eu a carrego até seu quarto. — Por quê chegou cedo? — Largo seu corpo sobre a cama e ela tomba a cabeça para o lado, me encarando com os olhos pesados.
— Queria jantar com você. — Bufo.
— Jantar comigo? — Ela ergue as sobrancelhas. — Você não janta em casa há uns dois meses. — Ela diz, fazendo um beicinho triste.
Eu quero rir.
Nunca havia visto S\N tão bêbada. E por mais que estivesse bravo pelo perigo que ela correu, precisava admitir que estava uma gracinha.
— Eu sei. — Suspiro e me ajoelho à sua frente, começando a desamarrar o cadarço dos seus tênis. — Você me desculpa?
— Eu sempre desculpo você. — Ela revira os olhos, me deixando levemente confuso. Tiro seus tênis e as meias, colocando no chão ao lado da cama.
— Acha que consegue tomar um banho?
— Não quero tomar banho, quero dormir. — Reclama, parecendo uma criança birrenta.
— Vamos pelo menos tirar a maquiagem, hum? — Ofereço e ela afirma com a cabeça. Pego em sua mesa um pacote de lencinhos umedecidos e me sento ao seu lado na cama.
S\N fecha os olhos quando eu começo a passar o lenço com a maior delicadeza em sua pele.
Meu coração acelera quando passo sobre seus lábios, sentindo minha boca secar por um momento.
Ela abre os olhos lentamente, encara o meu rosto e suspira.
— Haz?
— Sim?
Os olhinhos pequenos pela bebedeira fitam o meu rosto com atenção, ela solta um suspiro longo e um beicinho se forma em sua boca quando lágrimas grossas começam a se formar. Exatamente como uma criança pequena.
Mas S/N não é uma criança.
E eu definitivamente não sei lidar com uma mulher bêbada e chorona.
— Ei, o que aconteceu? — Pergunto, usando meus polegares para afastar as lágrimas quentes que começam a escorrer.
— Você pode — Soluça. — Me devolver?
— Devolver o quê? — Digo ainda mais confuso. Não me lembro de ter pego nada que seja de S/N.
— Ou pelo menos cuidar. — Ela continua, ignorando totalmente a minha confusão. — Eu sei que você não quer, então… — Ela suspira e olha para cima, tentando evitar o choro. — Então, devolve. — Me olha séria.
— Eu não sei do que está falando, S/N. — Falo baixo, afastando mais lágrimas, o que só dá mais espaço para as novas que deslizam em sua pele.
— Do meu coração. — Ela soluça. Eu arregalo os olhos. — Eu não quero mais amar você, Harry. Por favor, me devolve ele. — Ela joga a cabeça para a frente, seus ombros balançam com o choro e eu me desespero.
— S/N… — Eu chamo, mas seu choro se torna mais alto. Mais sentido.
Eu não vejo seu rosto, mas posso ver as lágrimas pingando em seu colo.
O meu coração dói.
Engulo o nó que se formou em minha garganta e ergo seu rosto pelo queixo.
— Você me ama? — Sussurro. Ela balança a cabeça positivamente. — Por quê não me disse antes? — Com dois dedos afasto os fios insistentes do seu cabelo para trás da orelha, depois tento, mais uma vez, afastar as suas lágrimas.
— Porque eu sei que você não me ama, Harry. — Lamenta. O meu coração aperta no peito e eu abro a boca para falar, mas uma das mãos pequenas me pega de surpresa, esmagando os meus lábios. — Você não sabe quantas vezes eu já quis ser a sua S/N. — Eu pisco algumas vezes. As duas palavras me atingem como socos. — Helena foi tão sortuda em ser sua. — Ela sussurra.
Com cuidado, eu seguro a mão que está sobre a minha boca, tirando-a. S/N baixa a cabeça mais uma vez, mas eu não permito.
Me aproximo mais na cama, me sentindo o ser mais desprezível que existe.
Esse tempo todo, enquanto eu fugia dos meus próprios sentimentos. Não pensei nos dela. Não pensei que poderia estar machucando o seu coração.
Seguro uma das suas bochechas, fazendo com que ela me olhe.
Nossos olhos se encontram e o meu coração acelera em uma velocidade preocupante.
Ela está bêbada.
Está sensível.
E eu sou um idiota por pensar em beijá-la nessa situação.
Como um ímã, eu me aproximo, fecho os olhos e toco meu nariz com o seu. Espero que ela me empurre, me xingue. Mas isso não acontece.
S/N ergue o queixo, deixando um selar leve e salgado pelas lágrimas. E então se afasta, colocando os dedos na minha boca mais uma vez.
— S/N. — Ela diz, e eu ergo uma sobrancelha. — Não me chame pelo nome dela mais uma vez, Harry.
Eu engasgo.
S/N abre um sorriso triste e puxa as pernas para cima da cama, se deita de costas para mim.
— Pode sair do meu quarto, por favor? — Murmura baixinho.
— Nós precisamos conversar. — É tudo que eu consigo dizer.
— Não agora.
Eu respeito a decisão dela.
Além de estar atordoado demais para lidar com os meus próprios sentimentos.
A minha boca arde pelo contato mínimo, meu coração segue batendo forte e eu sinto meu corpo pesado.
Ignoro todo o jantar que preparei e vou diretamente para o meu quarto, me deitando na cama e encarando o teto branco.
S/N me ajuda a chegar até a cama. Minha visão está turva por toda a bebida.
Eu inalo o cheiro do cabelo dela e fecho os olhos.
É gostoso.
Ela me ajuda com a gravata e com o paletó.
Suas bochechas estão vermelhas pelo esforço, e provavelmente pela irritação. Mas, mesmo assim, me trata com carinho.
Ela é uma gracinha.
— Feliz aniversário, querida. — Eu digo, olhando para os olhos tão bonitos da minha esposa.
— Obrigado, H. — S/N sorri.
Eu gosto do sorriso dela. Gosto muito.
Puxo sua nuca, fazendo algo que apenas a bebida me dá coragem o suficiente de fazer. E beijo ela.
S/N parece surpresa, mas retribui.
Seu gosto é doce, o beijo é calmo e delicioso. E eu me perco nessa sensação.
Nos separamos com sorrisos.
Meu coração acelera, o álcool corre ainda mais solto, faz ainda mais efeito.
As borboletas que eu pensei que nunca mais apareceriam, voam pela minha barriga.
A sensação de estar apaixonado.
Que eu achei que nunca mais sentiria.
Uma pontinha de culpa me atinge. Eu não deveria fazer isso. Eu sou casado. Eu amo a…
— Minha Helena.
O sorriso de S/N se fecha. Mas antes que eu possa dizer qualquer coisa, o sono me atinge e eu caio na cama.
Sonhando com ela.
Com a minha S/N.
Abro meus olhos, sentindo meu corpo inteiro suado e meu coração batendo em uma velocidade descomunal.
Não foi um sonho.
Meu beijo com S\N foi real. E eu fiz a maior das besteiras, chamando-a pelo nome de outra mulher.
Olha para o relógio na mesa de cabeceira, quase nove da manhã.
Será que ela já levantou?
Saio do quarto, notando que a porta do quarto de S\N está entreaberta. Bato, mas não obtenho resposta. Empurro a porta de leve, ouvindo o barulho de seu chuveiro.
Decido fazer o café da manhã.
Precisamos urgentemente conversar, colocar todas as cartas na mesa pela primeira vez esses dois anos de casamento. Mas eu sei que, se ela lembrar o que aconteceu na noite passada, não vai querer dizer nada. Além disso, ela precisa se alimentar e hidratar depois de beber tanto.
Assim como ela fez comigo, preparo uma sopa de algas. Faço também um chá, um café e deixo sobre a mesa um comprimido caso ela esteja com dor de cabeça.
Poucos minutos depois, quando eu já estou terminando a minha xícara de café, S\N aparece na porta da cozinha. Veste um conjunto confortável de moletom lilás e seus cabelos estão úmidos.
— Bom dia. — Eu digo. Ela me olha por menos do que um segundo antes de baixar a cabeça e murmurar uma resposta para o meu cumprimento. — Fiz sopa de algas e chá pra voc��. — Aviso, já servindo a sopa na tigela. Largo a comida acompanhada de uma colher sobre a mesa.
— Obrigado. — Ela diz baixo.
— Está com dor?
— Só um pouquinho. — Diz, tomando a primeira colher da sopa. Em nenhum momento ela me olha. Seus olhos permanecem baixos, assim como o seu tom de voz. E isso me dá a certeza de que ela lembra sobre tudo na noite passada.
— Precisamos conversar, não acha?
— Não podemos esquecer? — Ela resmunga. — Eu estava bêbada e…
— Você disse que me ama. — Corto sua desculpa, já sentindo meu coração acelerar com a ansiedade. — É verdade?
— Harry… — Ela suspira.
Eu acabo dando ouvidos à minha mente ansiosa. Largo minha xícara de café na pia e caminho até a mesa. Seguro o rosto de S\N, que finalmente me olha. Seus olhos estão arregalados e ela engole em seco.
— É verdade? — Pergunto de novo.
— Harry, por favor. — Lágrimas se juntam nos cantinhos dos seus olhos.
— Me diga. — Eu peço. — Você me ama, S\N?
Ela suspira, passa a pontinha da língua pelos lábios e assente.
Um sorriso involuntário se forma em meus lábios e eu curvo o pescoço, tocando sua boca com a minha.
Ouço seu suspiro surpreso e espero mais um pouco, deixando apenas selinhos leves antes de aprofundar o beijo.
Empurro a língua com calma, sendo recebido de forma tímida. S\N coloca as mãos em meus ombros, mas não me empurra. Seus lábios macios e quentes acariciam os meus com delicadeza.
Passo um dos braços em sua cintura, fazendo com que ela se erga do banco e sente sobre a mesa. Aperto meu corpo contra o seu, e o beijo já não é mais tão calmo e delicado assim.
É mais afoito, mas desesperado. Minhas mãos passeiam por suas costas até chegar em sua nuca.
Separo nossos lábios quando a necessidade de respirar se torna mais forte.
Com a respiração desregulada, abro meus olhos para vê-la.
S\N está tão abalada quanto eu, seus lábios inchados e os olhos cheios de incertezas.
— Me desculpa. — Começo a dizer. — Eu não queria ter machucando você, S\N. — Me mantenho perto dela, ainda abraçando seu corpo e segurando sua nuca. — Eu deveria ter sido mais cauteloso com os seus sentimentos.
— Eu não estou entendendo. — Ela murmura baixinho.
— Eu lembro do nosso beijo no seu aniversário. — Ela arregala os olhos de leve. — Eu achei que tinha sido um sonho. — Suspiro. — Você não falou nada e eu me convenci que não havia acontecido de verdade. Mas só ontem eu percebi que foi verdade e que eu fui um idiota. — Ela me olha com atenção. — Eu não chamei você pelo nome de Helena. Enchi a cara aquela noite por me sentir culpado por não conseguir parar de pensar em você. — Admito.
— O quê?
— Eu me sentia culpado por começar a me apaixonar por você. — Suspiro. — Por isso eu praticamente fugi nessas últimas semanas. Eu queria me convencer de que não estava me apaixonando, mesmo que Brad e o meu terapeuta digam o contrário.
— Terapeuta? — Ergue uma sobrancelha.
— Temos muita coisa para conversar ainda. — Eu rio. — Mas o importante agora é: não vou devolver. — S\N franze as sobrancelhas. — O seu coração é meu, não vou devolver.
As bochechas de S\N ficam vermelhas, ela abaixa a cabeça, escondendo o rosto em meu peito. Não consigo evitar a risada, fazendo um carinho leve em seus cabelos.
— Eu estava bêbada, não pode usar minhas palavras contra mim. — Ela reclama, erguendo o rosto para me olhar, fazendo um beicinho com os lábios. Eu deixo um beijo ali, fazendo-a sorrir. — Está mesmo apaixonado por mim?
— Totalmente. — Admito, apertando ela mais contra mim.
— Acho que ainda estou sonhando. — Ela suspira, passando os braços em minha cintura, me abraçando de volta. Eu curvo o pescoço, mordendo sua bochecha de leve. — Ai!
— Viu? Tá bem acordada, Senhora Styles. — Ela fica ainda mais vermelha, me fazendo rir. — Agora, tome o seu café da manhã. — Beijo sua bochecha.
S\N
— O que acha de irmos embora? — Harry sussurra em meu ouvido. Seu braço está apoiado em minha cintura e já deve ser pelo menos a quinta vez que ele sugere de ir embora desde que chegamos à festa de aniversário de um dos maiores investidores da empresa.
— Querido, chegamos há uma hora. — Relembro.
— Eu sei. — Resmunga, ficando de frente agora, e segurando minha cintura com as duas mãos. — É pedir demais uma noite tranquila ao lado da minha esposa? Sem precisar ficar dando sorrisos falsos para um monte de gente chata?
Harry é um bebê de 1,80. Aprendi isso no decorrer das últimas semanas, desde que o nosso casamento passou a ser verdadeiro.
Bom, em algumas partes.
Decidimos ir com calma, mesmo com o casamento, achamos melhor nos conhecermos e passar por todas as etapas que um casal normal passa.
— Por favor. — Ele pede, fazendo um biquinho enorme com os lábios. Eu rio, deixo um selinho em seus lábios e me rendo, assentindo.
Ele sorri, satisfeito e praticamente me arrasta até onde o aniversariante está, para nos despedirmos.
Assim que chegamos em casa, seus braços rodeiam a minha cintura, seu corpo se encaixa ao meu por trás e ele distribui beijos leves em meu pescoço.
— Cheirosa. — Elogia baixinho em meu ouvido, me arrepiando inteira.
Mesmo com o avanço do nosso relacionamento, Harry e eu nunca passamos dos beijos. Sempre que a coisa esquentava um pouco mais, ele dava para trás.
Eu não o pressionava, mesmo que precisasse tomar uma série de banhos frios e me satisfazer sozinha. Sabia que era um passo muito grande e queria que ele estivesse pronto para ser totalmente meu.
— O que acha de assistirmos um filme, hum? — Sugiro.
— Pode ser. — Ele concorda.
— Vou tomar um banho então. — Me viro, deixando um selinho demorado em seus lábios antes de subir para o corredor de quartos.
Ainda dormíamos separados, mesmo que de vez em quando, acabassemos adormecendo abraçados no sofá da sala.
Tirei a maquiagem e desfiz o penteado simples que havia feito para o evento.
Tentei tirar o vestido, mas não conseguia alcançar direito o zíper. Chamei por Harry, mas ele não respondeu.
Bati na porta do seu quarto, entrando em seguida. Um hábito que nós dois havíamos adquirido com a intimidade crescente.
Porém, me arrependi no segundo em que o meu marido saiu da porta do banheiro, vestido apenas uma toalha enrolada na cintura e com gotas de água do banho recente escorrendo pelo peito largo.
— Desculpa! — Falei virando de costas. Ouvi ele dar uma risadinha.
— Aconteceu alguma coisa?
— Não alcanço o zíper do vestido. — Tento manter minha voz firme, ignorando o calor que começava a sentir. — Você pode me ajudar?
— Claro.
Senti uma das mãos de Harry tocar minhas costas por cima do vestido, e logo o tecido ficou frouxo. Segurei em meu peito, para que ele não caísse completamente e me deixasse praticamente nua, já que estava sem sutiã. Murmurei um “obrigado” apressado e já iria sair do quarto, porém suas duas mãos seguraram minha cintura.
Harry afastou meu cabelo, apoiando todo em um dos ombros e deixou um beijo molhado em minha nuca. Um suspiro escapa dos meus lábios e eu tenho certeza de que ele nota minha pele inteira arrepiar.
— Eu já disse o quanto está linda hoje, querida? — Murmura, com a voz rouca. Fecho os meus olhos, sentindo minha boceta pulsar dentro da calcinha já encharcada.
— Algumas vezes. — Relembro.
— Acho que deveria dizer de novo. — Harry me vira. Ainda segurando o vestido, ergo os olhos até os seus. — Você está realmente linda, S/N. — Sussurra, me puxando para beijar os meus lábios.
Me entrego ao beijo, soltando suspiros baixos. Escuto quando Harry empurra a porta para que ela feche e em seguida começa a caminhar com passos cuidadosos enquanto empurra meu corpo em direção da cama.
Harry separa os nossos lábios, me encarando com os olhos cheios de um desejo velado. Seu peito sobe e desce rápido, e suas mãos encontram as minhas, em um pedido silencioso de permissão. Em resposta, liberto o vestido, que acumula em minha cintura.
Harry respira fundo, seus olhos passeiam pelos meus ombros e colo. Mais uma vez ele me olha.
— Você pode fazer o que quiser. — Sussurro. Ele morde o lábio inferior e assente.
Suas mãos tocam os meus ombros, até que eu chegue ao colchão e me deite. Então, puxa o vestido pelas minhas pernas, jogando-o no chão.
Meu coração bate acelerado. Depois de longos anos amando aquele homem em silêncio, estou apenas de calcinha na sua cama.
Seus dedos gelados começam a subir pelas minhas pernas, como se ele usasse o tato para mapear meu corpo. Vai engatinhando lentamente pela cama, até estar em cima de mim.
Harry me beija, lento e sensual. Sua língua passeia, acaricia a minha e me arranca suspiros longos.
Depois, seus lábios começam a descer. Passam pelo meu maxilar, pescoço e colo, até chegar em meus seios.
— Você é tão linda. — Sussurra. Segurando minha cintura com as mãos e beijando a minha pele. A boca quente suga um dos meus mamilos e eu gemo baixo.
Meu corpo está sensível, e toda a vontade que eu tenho dele se torna ainda mais desesperada.
Harry dá atenção aos meus dois seios com as mãos e a boca antes de voltar a explorar o restante do meu corpo. Seus lábios deixam marcas invisíveis por toda a parte.
Ele beija minha barriga e desce ainda mais. Com os olhos nos meus, puxa com delicadeza a calcinha azul clarinho para fora do meu corpo.
Ouço quando ele murmura um palavrão antes de voltar a beijar minha pele.
Seus lábios passeiam pelas minhas coxas, descendo até a minha intimidade.
Harry me saboreia com calma. Ele lambe e chupa com delicadeza. Ele faz pressão em meu clítóris, depois desce até a minha entrada e eu tenho certeza de que estou pronta para explodir.
Aperto o lençol entre os dedos, chamo o nome dele e me perco nas milhões de sensações.
Harry espera até que o meu corpo pare de tremer para subir seus beijos. Sua boca ataca a minha com vontade. O meu gosto em sua língua me faz revirar os olhos. Seguro seus ombros, tentando manter meu controle.
Mas de nada serve quando ele separa o beijo. Seus olhos estão presos aos meus quando Harry leva a mão até o nó de sua toalha, arrancando-a do próprio corpo de uma vez e jogando para o chão.
Aperto os lábios e sinto minha boceta escorrer ao ter a visão de seu pau pela primeira vez.
Nenhum de nós parece estar disposto a esperar.
Ele se ajeita entre as minhas pernas, lubrificando o próprio membro em mim enquanto se esfrega entre meus lábios inferiores.
Ele se encaixa, encarando os meus olhos.
— Você tem certeza? — Sussurro. Mesmo que eu queira, e muito, quero a certeza de Harry.
Como resposta, o meu marido ergue uma mão, entrelaçando os nossos dedos antes de me preencher.
— Porra… — Ele geme, respirando fora do ritmo.
Ele fica parado dentro de mim por um momento. Os nossos olhos se encontram e de automático, nós dois sorrimos.
Finalmente.
Um do outro.
Harry se move. Saindo e entrando em um ritmo lento e gostoso. Suas mão aperta a minha e ele volta a me beijar.
Meu coração bate forte, o meu corpo inteiro treme e não consigo segurar o impulso de me empurrar mais contra ele.
O ritmo calmo dá lugar á um muito mais necessitado.
Harry solta a minha mão, as duas vão para as minhas coxas, dando sustentação para estocadas mais profundas.
Eu gemo alto, Harry suspira.
Meus seios balançam com os movimentos, sendo capturados pela sua boca em seguida.
O orgasmo começa a se formar em longas ondas de arrepios. O frenesi também parece estar atingindo Harry. Ele aumenta o ritmo, aperta mais o meu corpo contra o seu e cola sua testa na minha. Gemidos grossos fogem dos seus lábios e eu aperto minhas pernas em volta da sua cintura.
Gozo revirando os meus olhos e chamando alto pelo nome dele. Harry abraça o meu corpo, entrando fundo uma última vez e escondendo o rosto em meu pescoço. Posso sentir as contrações de seu membro a medida que seu gozo escorre entre as minhas pernas.
Alguns segundos depois, ele ergue o rosto, sorri cansando e beija os meus lábios antes de sair de mim e deitar ao meu lado.
Encaro o teto, tentando controlar minha respiração e meu coração acelerado.
Harry me puxa, me fazendo deitar em seu braço. Me viro, ficando de frente para ele e acariciando de leve seu peito suado com a ponta dos dedos.
— Eu te amo. — Deixo um beijo em seu peito antes de deitar.
— Eu também te amo. — Ergo o rosto no mesmo segundo. Harry ainda não havia dito aquelas palavras, mesmo que deixasse claro os seus sentimentos por mim com ações. — Eu te amo, minha S\N.
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vai me deixar com cárie
✧.*w.c: 1.2k
notas da sun☀️: vivi minha época do reggaeton uns anos atrás, mas ela tá voltando com toda força por causa desse homem (estoy louca, estoy maluca por papi Lee 🥴🙏). Logo, essa aqui nasceu de muito CNCO y mi obsessão por este lunático. Não sei se ficou bom, provavelmente não, mas quem liga??? O cenário é bom!!!༉‧₊˚.
advertencias: um tantinho sugestivo, especifiquei a altura da protagonista (não sei, achei importante avisar KKKK), provavelmente uma quantidade acima da média de palavras no diminutivo e Haechan sendo simplesmente o homem da e pra minha vida, xoxo, gossip girl 💅💋
boa leitura, docinhos!!! 🍭✧.*
pelo negro, su boca que combina con mis besos...
— 'Cê tá babando, pombinho — Mark tirou a mão do câmbio e passou o dedo indicador nos lábios de Lee Donghyuck que afastou a mão intrusa com um tapa, o polegar continuava descendo pelo seu feed no Instagram, estava tão obcecado e encantado que não pode ocultar a felicidade que inundou seu ser ao visualizar suas notificações do aplicativo e notar que vocês se seguiam, mutuamente — Já parou pra pensar que ela pode tá te seguindo por dó? 'Cê parece um cachorrinho abandonado com verminose toda vez que fica encarando ela.
— Essa geração de vocês que acha que a pessoa tá afim só porque reagiu a algum storie idiota — O fato é que desde que Haechan passara a te seguir, a maior interação que fez foi dar um coraçãozinho para um storie seu vestindo um jaleco do curso de veterinária, nenhum dos dois haviam enviado dm alguma, no entanto o Lee tinha aquele brilho nos olhos grandes toda vez que te via dançar, realmente parecia um cachorrinho, mas você era veterinária e ele não se importava em adornar o pescoço bonito com uma coleira de preferência com o seu nome gravado numa tagzinha circular.
Afinal, Lee Donghyuck sempre teve uma forte tendência ao sadomasoquismo.
— A gente é da mesma geração, espertalhão — Haechan retrucou, tirando do bolso um pirulito e guardando a embalagem no porta luvas do uber oficial do bando, vulgo Mark Lee que revirou os olhos, mas ficou com preguiça de colocar o plástico no lixinho pendurado no câmbio. Os dentes de Donghyuck sempre foram alinhados e branquinhos, no entanto quando criança ele tinha uma red flag terrível que assombrava a família toda, ficava com cárie na mesma quantidade que trocava de meias na semana, porque era viciado em doces desde que chegara a este mundo, e mesmo que estivesse com o açúcar cortado na sua dieta, ele arranjava um jeito de conseguir glucose através de alguma máfia escolar formada por garotinhos de 11 anos. Nascera para o empreendedorismo.
— 'Cê escolheu alguma coisa pra falar pra ela hoje? — Chenle questionou do banco do passageiro de trás, cutucando o encosto de Haechan com o joelho, ele anuiu com a cabeça enquanto saboreava a guloseima, adorava o sabor de morango artificial que aguçava as papilas gustativas, dava vontade de suspirar e ele nem havia te tido na boca... Das duas formas possíveis e aquilo estava o matando internamente porque, dios mio, ele não queria parecer um pervertido — Em espanhol?
— Relaxa, eu assisti Maria do bairro legendado no mínimo umas duzentas vezes.
Donghyuck tinha uma pira naquela balada que tocava excepcionalmente reggaeton, e uma vez no mês acontecia o “Reggaeton y amor latino”, um evento em que as pessoas poderiam chegar umas nas outras munidas de alguma frase em espanhol. Fazia um ano que o grupo frequentava religiosamente o clube e desses 12 meses, possivelmente, no mínimo em uns 6, Haechan foi parar na cama de algumas mulheres graciosas. Gostava de como a língua tocava no céu da boca com certa frequência naquele idioma em específico e de como a mais inocente das frases, poderia se tornar uma cachorrada dependendo da entonação utilizada para pronunciá-la.
— Acho melhor 'cê agir rápido, antes que a cinderela vaze do baile com outro carinha — Renjun falou quando adentraram a casa noturna, apontou com a cabeça para onde você estava enquanto ajeitava o boné vermelho para trás, haviam pelo que Haechan poderia visualizar, uns quatro caras te rodeando, mas no seu sorriso não existia nenhum sentimento diferente que não fosse a mais genuína gentileza, o que enchia o Lee de confiança, afinal se as coisas continuassem daquela mesma forma, ele ainda tinha uma chance pra te conquistar.
Você se tornara a rainha do clube sem sequer perceber, uma verdadeira superstar, sempre impecável, a maquiagem suave ressaltava os traços delicados do seu rostinho, o vestidinho preto curtinho terminava na metade da sua coxa e os saltos... Os saltos te garantiam bons 5 centímetros ademais de altura, o que te deixava com 1,70 de estatura e com o rosto quase perfeitamente alinhado com o de Haechan.
Não que Donghyuck tivesse a masculinidade frágil, ele gostava mesmo era de se ajoelhar.
Você inventou uma desculpa para a plateia que te circundava e seguiu até o bar, queria desesperadamente falar com Haechan, não aguentava mais os olhares furtivos que sustentavam um com o outro em cantos contrários da balada, chegará mais cedo naquela noite exatamente por isso, mas não o achara em lugar algum. Sinceramente? Estava se sentindo meio patética, por que diabos evitava falar com ele? Por timidez? Ele não era um Deus afinal.
— Bebé, tú estás rica. ¿Puedo sacarte de aquí? — Um sorriso invadiu seus lábios cobertos por uma camada extra de gloss de chiclete quando seus olhos primeiro captaram o pirulito numa das mãos do visitante, que exalava um aroma delicioso de uva, e depois você repousou as íris naquela face arrebatadora, olhos e lábios brilhando, as bochechas gordinhas vermelhas, o cabelo escuro com um aspecto de levemente molhado contrastava com a última descrição, tornava-o sexy feito o inferno. Talvez, com certeza você estava enganada, não existia outra explicação, Donghyuck era uma espécie de Deus grego infiltrado entre meros mortais, algum anjo preferido do criador ou alguma lenda folclórica, como o boto cor de rosa.
Absolutamente, não seria incômodo presenteá-lo com alguns filhos.
— Permissão concedida, cariño — Você falou pertinho da orelha dele, roçando muito levemente e de propósito o lábio inferior no lóbulo, provocando o pobre coração de Haechan, transformando os batimentos cadenciados numa verdadeira maratona, os olhos seguindo, acompanhando cada movimento seu, de quando apanhou o doce e o envolveu na boca sem permissão nenhuma. Donghyuck de repente sentiu uma vontade extrema de te adorar, beijar aquela pele perfumada até se lambuzar pela própria saliva; Foi por isso que ele entrelaçou seus dedos, te levou para o segundo andar do ambiente, para a galeria que geralmente era restrita para clientes comuns, mas Renjun tinha conseguido passe livre para vocês com aquele jeito malandrinho dele.
Nenhum dos dois soube apontar com exatidão quem partiu para o beijo primeiro, você só sabia que em um momento o pirulito estava entre sua língua e o céu da boca e no outro os lábios brandos do Lee cobriam os seus, o ritmo era moroso, o ósculo embebido, cálido, esfregavam os corpos um no outro sem nem notar, como num reggaeton lento que era o significado de sensual, uma das mãos de Haechan segurou seu rosto, tombou-o suavemente para o lado, buscando ter livre acesso a pele do seu pescoço finalmente, depois de sonhar acordado com aquele momento.
— 'Cê tem gostinho de bubbaloo — Ele murmurou embriagado, incapaz de tirar o rosto da sua pele irresistível — Porra, eu te quero tanto...
— Então me faz seu docinho — Você disse, procurando pelos olhos que ele escondia na curvatura do seu pescoço, beijou as maçãs afogueadas, acariciou-lhe a nuca puxando alguns fios de cabelo do lugar no processo, Haechan abriu o maior dos sorrisos para você, as mãos descansando na sua cintura, vez ou outra colocando certa pressão alí, o que te fazia segurar o fôlego involuntariamente.
— Desse jeitinho, 'cê vai me deixar com cárie.
@ sunshyni. Todos os direitos reservados.
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Lulu tava pensando em como seria o Simon tentando conquistar uma leitora muito difícil, que nao quer papo nenhum com ele
Na minha cabeça ele ia dar tudo de si pra conseguir um beijinho dela kkkkkkkk fale sobre isso pra nós 💖💖
oii anon! adorei a ask, obrigada por mandar!!
inclusive gente, minha ask ta aberta! podem mandar, fico super feliz 💗
e isso aqui ta enorme! eu me empolgo muito 😞✋🏻
não revisado!
a primeira vez que o simón te viu foi quando ele foi devolver um livro na biblioteca da faculdade, te viu estudando em uma das mesas. ele ficou encantado com você, em como você lia tudo concentrada com seu o óculos que ja tava na pontinha do seu nariz.
depois desse dia ele ficou obcecado, te procurava em todo o campus, perguntava pros amigos se alguém te conhecia mas parecia que você havia sido uma alucinação do rapaz. até que finalmente, em uma sexta a noite em um barzinho em frente a faculdade simón te viu.
ele tentou não demonstrar a felicidade que tava sentindo, nem falou com ninguém e foi até você, que estava em pé em frente o bar conversando com algumas amigas. simón chegou devagarinho, puxando conversa aos poucos, tentando ser o menos invasivo e esquisito possível.
ele até tentou, e tentou mesmo mas tudo o que conseguiu tirar de você foi o seu @ no instagram, e ainda assim foi difícil pra caralho. simón não era um complemento egocêntrico mas sabia do potencial que tinha, nunca havia sido esnobado assim por ninguém. ao invés de afastá-lo você só o aproximou de você, agora ele tinha a missão interna de te conquistar.
ele te seguiu no instagram no mesmo dia que te conheceu mas você só o seguiu de volta três dias depois. ele ficava de olho no seu perfil para ver se você postaria algum storie em que ele pudesse curtir ou responder. mas nada, durante o próximo mês ele não te viu nem no instagram e nem na faculdade.
simón sabia que não seria fácil mas ele não desistiria. depois que o garoto coloca alguma coisa na cabeça ninguém tira.
em uma sexta-feira qualquer simón foi novamente para a faculdade, desanimado com a semana chata que havia passado. logo pipe, seu amigo de curso se aproximou dizendo que tinha uma resenha pra eles irem hoje a noite, simón negou dizendo que não tava no clima mas assim que pipe mencionou o seu nome o desanimo desapareceu e o rapaz logo já estava confirmando que ia.
quando chegou a tal resenha viu que seria fácil se aproximar de você, visto que não tinha muita gente ali. ele te viu conversando com uma amiga, uma das que você estava no barzinho. simón não chegou de primeira, apenas acenou para você de longe. ficou um bom tempo na dele, conversando com alguns amigos e bebendo cerveja.
em determinado momento decidiu que já havia esperado o suficiente, afinal estava ansioso para falar com você. assim que sua amiga foi ao banheiro ele se aproximou, você foi educada como sempre mas não deu bola nenhuma pra ele, parecia realmente não estar nem um pouco interessada.
em determinado da conversa você apenas acenou com a cabeça e disse “aqui, vou atrás da amiga. foi bom conversar com você” e saiu, deixando simón parado com a maior cara de tacho do mundo, os amigos riam dele de longe, o que serviu para o deixar ainda mais puto.
não demorou muito para ele ir embora, a noite havia sido um fracasso. você mal falou com ele, os amigos o ficaram zoando e começou a esfriar demais e simón não havia levado um casaco.
os meses foram passando e simón simplesmente não conseguia te tirar da cabeça, você era linda, e apesar de não dar muita bola pra ele era sempre tão educada e simpática. era certo dizer que você havia alugado um triplex na cabeça de simón hempe.
durante os meses que passaram ele até chegou a te encontrar algumas vezes, sempre conversando com você e tentando alguma coisa, mas você nunca dava abertura. até suas amigas já estavam começando a ficar com pena de hempe, tentando ajuda-lo nas investidas mas ainda assim você não cedia.
simón não conseguia entender o porque de você ser tão fechada, obviamente não era burra e sabia que ele estava dando em cima de você. ele apenas queria entender porque você não o deu um fora ainda e era isso que ele iria fazer, te perguntar de uma vez e tirar essa história a limpo. já estava cansado de tentar insistir em algo que não levava a nada.
estavam em mais uma resenha, dessa vez no apartamento de um amigo de vocês, todos estavam na sala menos você, que estava na varanda com uma amiga sua que assim que viu simón se aproximando saiu dali e sussurrou um “boa sorte” para o rapaz.
“oi simón!” você disse educada, se colocando na ponta do pé para um abraço. ele te cumprimentou e pigarreou nervoso “posso te perguntar uma coisa?” você acenou “por que você ainda não me deu um fora?” perguntou sem rodeios, aproveitando o pequeno pico de coragem. “o que?” quem perguntou foi você, confusa. “eu… eu sei que você sabe que eu quero ficar com você, e isso já tem muito tempo. to sempre conversando contigo, tentando alguma coisa e você sempre sai de perto mas por algum motivo ainda não me disse não. eu só queria sei lá, entender. já to nessa tem tempo demais.”
você piscou os olhos devagar, envergonhada por ter sido enfrentada assim de repente. achava simón bonito, gostava de conversar com ele e até tinha sim certo interesse mas simplesmente não conseguia passar da linha da conversa, fosse porque você só tinha beijado uma pessoa em toda a sua vida ou porque não gostava de ficar por ficar.
“nossa simón” você riu meio sem graça “olha, você é um cara legal, de verdade. eu gosto mesmo de conversar com você mas isso de ficar com alguém assim não é pra mim e eu sei que você faz bastante isso sabe? não é por mal, eu só não gosto mesmo. mas podemos continuar sendo amigos, que tal?” você explicou com calma.
simón concordou com a cabeça meio decepcionado “desde que eu te vi eu nunca pensei em ficar com você só por ficar, na real desde que eu te vi eu não fiquei com mais ninguém.” ele contou, não era mentira afinal. ele nunca ficou tanto tempo sem beijar alguém desde que te viu, depois de você ninguém pareceu tão interessante.
assim que ouviu isso sua expressão mudou para choque e certo alívio, conhecia simón antes mesmo de começarem a se falar, sabia que ele era um libertino e isso o deixava totalmente desinteressante para você mas saber que desde que se conheceram ele não ficou com mais ninguém mudava muito as coisas. “é sério?” perguntou atônita, simón concordou com um sorriso.
simón percebeu que aquilo havia te afetado - positivamente - e resolveu tentar se aproximar um poucos e dessa vez você não saiu de perto. você murmurava frases enquanto simón se aproximava ainda mais. quando olhou para cima viu o quão pertinho ele estava, conseguindo sentir a respiração quente batendo no seu rosto “você não vai se afastar agora, né?” ele perguntou e você apenas negou com a cabeça esperando o próximo movimento.
quando sentiu seus lábios pela primeira vez simón quase revirou os olhos, sem acreditar que aquilo estava realmente acontecendo. ele te beijava devagarzinho, enfiando a língua aos pouquinhos dentro da sua boca para não te assustar. segurava seu rostinho com as duas mãos enquanto aprofundava o beijo. você agarrava a blusa dele com uma mão enquanto com a outra puxava os pequenos fios de cabelo, se inclinando para frente sem perceber.
simón se afastou de você só um pouquinho para conseguir ver seus lábios vermelhinhos e inchados, dando um sorrisinho que logo você deu também. quando ia voltar a te beijar ouviu do lado de dentro da casa seus amigos aplaudindo e gritando por vocês, já que todos ali sabiam o quanto simón esperava por aquilo. suas bochechas esquentaram e a vergonha tomou conta de você quando viu todos gritando, escondeu o rosto com as mãos e abraçou simón enquanto murmurava “que vergonha”.
somente depois de quase sete meses de namoro vocês transaram pela primeira vez, simón já era bem mais experiente o que te causou certo conforto mas ao mesmo tempo insegurança por não saber se seria boa para ele. conversaram muito antes de finalmente rolar então simón sabia tudo o que se passava na sua cabeça então quando finalmente aconteceu, no seu quarto em um domingo em que passaram juntos ele foi extremamente compreensível e cuidadoso.
por saber que seria sua primeira vez ele foi devagar, cuidando para não te machucar. te fez gozar com a boca duas vezes antes de enfiar os dedos em você e te fazer gozar com eles também. quando se enfiou dentro de você sentiu que pudesse explodir de tanto prazer, era tao apertadinha, tão estreita que o pau até doía.
você sentia uma ardência incomoda mas simón estava sendo tão bom que em instantes tudo e que você conseguia fazer era gemer e sentir um prazer único. ambos gozaram quase ao mesmo tempo e dormiram agarradinhos, acordando bem cedo amanhã para irem pra aula mas simón já estava tão viciado em você que te comeu rapidinho antes de se levantarem.
e simón sabia que havia sido difícil, muito difícil te conquistar mas ele também sabia que valeu a pena.
#my asks#simon hempe#simón hempe smut#simón hempe#lsdln#la sociedad de la nieve#oneshot#smut#the society of the snow#a sociedade da neve
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BOCA
Simón Hempe x Reader [1- Reader é torcedora do Boca Juniors I 2- Se você não tem cabelo castanho e ondulado, sinta-se a vontade para ler como você é!]
Smut - Oral sex F! Receiving, sex without protection [não tá podendo galerinha!! Se liga hein], pipe sendo a própria dramaticolândia, espanhol fajutinho, Simón sendo puto canalha gostoso
N.A - Eu tenho um tesão DO CARALHO em fic com rival então precisei muito escrever isso, obrigada beijos😍😍
– "puta mami."– Simon sussurrou baixo quando avistou a morena caminhando em direção a entrada do estádio Mâs Monumental.
– "Rival, boludo? Sério?"– Pipe empurrou Simon com a ponta dos dedos enquanto o rapaz não tirava o olhar da mulher. Morena, pele brilhante, torcedora do Boca Juniors... – "Para de encarar! Vamos logo."– Simón não raciocinou quando Felipe o puxou pelo braço em direção ao local onde o jogo aconteceria.
Tinham um lugar bom, porém colado com a parte onde a torcida visitante ficava. O argentino se surpreendeu quando, ao olhar para o lado, encontrou o olhar da moça vestida em azul e amarelo.
– "DALE BOLUDO!"– A mulher gritou segundos depois do jogo começar. Pipe estava em uma agonia sem tamanho. A bola começou a rolar mas nada acontecia.
10' - Miguel Angel
Gol de River
— O olhar de Simon virou direto para a morena desconhecida. Gritava pelo gol com todo o ar de seus pulmões junto com Otaño enquanto a moça o encarava com os olhos amendoados, visivelmente incomodada com os gritos da torcida em branco e vermelho. Mas definitivamente aquilo não foi motivo para que a torcida visitante fechasse a boca.
45+1' - Merentiel
Gol do Boca
— Agora quem gritava era a morena, que encarava Simon com o olhar canalha de quem se exibe. Já o argentino fechava a cara, Otaño não ficava atrás, o rosto claramente bravo com o gol do time adversário. A torcida azul e amarela calava o estádio com seus gritos e cantorias, deixando os jogadores cada vez mais apreensivos.
62' - Edinson Cavani
Gol do Boca
– Como diz o ditado, de virada é mais gostoso. Não faltava fôlego para a mulher que gritava em comemoração do gol do artilheiro. Pipe se encurralava em seu próprio ódio quando via que Simón estava mais preocupado na morena do que no jogo que o time deles estava perdendo. Hempe a encarava descaradamente, se derretendo quando um sorriso canalha apareceu nos lábios dela e quase caindo na cadeira quando ela piscou para ele. O rapaz pensou por alguns segundos em como poderia fazer para que ela tivesse seu número ou até mesmo o Instagram, até que se lembrou da camiseta que vestia. Gritou em alto e bom tom um "EY MORENA!" fazendo-a olhar para ele, que logo se virou de costas para ela e apontou para o nome escrito na camiseta. "SIMÓN HEMPE". Se virou novamente com o celular em mãos e mostrou o aplicativo do Instagram na tela. Ela sorriu brevemente, acenou com a cabeça e de repente a gritaria ficou mais alta, fazendo a atenção dela se voltar para o campo.
67' - Merentiel
Gol do Boca
– "AYA BOCA, BOCA!!"– Novamente a morena não poupava energia para os gritos. Aquela pequena porcentagem de torcedores vestidos em amarelo e azul calaram a maioria vestida em branco e vermelho. Enquanto Otaño se revirava no banco, Simón parecia mais preocupado na mulher que pulava e cantava. O jogo seguiu tranquilo (com exceção de alguns cartões amarelos é claro) pelos próximos 30 minutos, até que aos 97 minutos de jogo River Plate atinge a rede do gol com a bola.
97' - Paulo Díaz
Gol de River
— Apesar dos esforços, não foi suficiente para que o River saísse vitorioso do jogo, fazendo a torcida do Boca Juniors ovacionar o próprio time em campo. Nada melhor que uma vitória em cima do rival dentro da casa dele. Felipe estava indignado no mínimo, sua frustração ainda maior depois de perceber que Hempe não estava nada preocupado com o resultado do jogo. Olhava para o celular esperando algo da morena misteriosa, até que
********delavega começou a te seguir
— Um grito saiu dos lábios de Simón quando a notificação apareceu. O coração acelerado e um sorriso enorme em seus lábios.
– "Eu realmente espero que você tenha um motivo MUITO bom para estar sorrindo desse jeito Simón."– Ele ficava insuportável quando River perdia, principalmente se perdia para o maior rival. Hempe estava tão afobado que as palavras de Felipe pareceram tão emboladas que ele não pode compreender. Os dedinhos muito ocupados em mandar uma mensagem para a morena, agora com nome.
– "Eu vou casar com essa mulher. Cara, olha isso!"– Simón abriu a foto da mulher. Você estava inclinada no estádio de La Bombonera, a mão direita esticada para cima segurava a camiseta do Boca, o torso coberto por um top preto que parecia agarrar seus seios da melhor forma possível, a tatuagem do número 10 logo abaixo do tecido preto e os cabelos escuros esvoaçados.
– "Aya cabrón! Que bebita 'cê achou hein."– Pipe pareceu ter esquecido do jogo quando viu a foto. Os olhos brilharam fazendo Simón logo tirar o celular de sua visão e encarar o amigo com cara feia. O sorriso voltando imediatamente quando ele percebeu que a mulher havia respondido sua mensagem.
— Conversaram por algumas horas até Simón a convidar para que pudessem sair para conversar e beber. Você não demorou para aceitar. Os dois se encontraram em um dos bares mais populares da região, a música argentina suave tocava no ambiente enquanto Simón esperava ansiosamente pela mulher no bar. Seu corpo tremeu quando ele sentiu alguns dedinhos tocarem seus ombros por cima da camiseta de time, logo se virando para trás e avistando a morena vestida novamente com uma camiseta de seu time, porém dessa vez uma versão mais antiga.
– "Hola nene. Tudo bem contigo?"– Você perguntou, tomando a frente e se sentando no banquinho ao lado de Simón, logo colocando a pequena bolsa preta sobre a bancada.
– "Hola nena. Tudo bem, e contigo? Você me assustou."– Ele disse soltando um riso logo em seguida, fazendo a moça rir junto.
— Conversa veio, conversa foi, bebidas entrando, cigarros virando fumaça, não demorou para que os dois estivessem dançando com os corpos colados um no outro com o álcool claramente já surtindo efeito em ambos. Simón estava inebriado com os cheiros dos cabelos ondulados e da pele bronzeada da mulher em sua frente. A bunda coberta pelo jeans claro se encaixava perfeitamente na virilha dele enquanto eles mexiam os quadris de um lado para o outro, deixando resmungos baixos saírem pelos lábios de Simón ocasionalmente. Sons que não passavam despercebidos por você, visto que os lábios de Hempe estavam próximos de seu ouvido direito.
– "Deixa eu te levar pra casa, bebita..."– Ele sussurrou baixo, as mãos firmes apertando a cintura coberta da mulher.
– "Vai me comer, Simón? Diz que sim, por favor."– Você encaixou o quadril ainda mais contra Simón, segurando as mãos dele enquanto deitava a cabeça para o lado suavemente, sentindo a respiração quente do argentino em seu pescoço.
– "Pode ter certeza que vou, bebita. 'Cê tá me deixando doido já."– Ele diz com a voz baixa e necessitada no seu ouvido, deixando suas pernas como gelatina.
— Entraram no apartamento sem nem mesmo ver por onde cambaleavam. As bocas grudadas uma a outra não ousavam se soltar por nem um segundo sequer. As mãos de Simón não se mantinham para si, tocavam cada parte de seu corpo sem deixar nenhum lugar em branco, abrindo os botões da calça jeans e logo em seguida segurando a barra da camiseta e puxando-a para cima. Os lábios se separaram por um momento quando a camiseta passou por seus rostos e foi jogada em algum canto da sala de estar. O sorriso cafajeste em seus lábios fez Hempe gemer, tirando a própria camisa enquanto caminhava com você até o quarto mal iluminado. Suas mãos quentes agarraram os ombros largos do argentino, virando-o e empurrando o corpo dele até que estivesse deitado na cama macia. A calça jeans desceu por suas pernas até ser arrastada para algum canto no chão do quarto, teu corpo coberto somente pelo conjunto de peças íntimas azul cobalto fez Simón deitar a cabeça na cama e suspirar alto.
– " Vas a matarme, nena."– As mãos ágeis dele não demoraram para puxar a bermuda bege pelas pernas, deixando-o somente na cueca branca que marcava muito bem o que você mais queria. Seu corpo seguiu quase que involuntariamente caminho para a cama, montando em Simón que logo estava com o peito encostado ao seu, segurando em seu pescoço e juntando seus lábios novamente. Com os lábios ocupados, suas mãos viajaram para o feixe de ganchinhos do sutiã, abrindo-o com grande facilidade. Assim que a peça estava espalhada em algum lugar do quarto, as mãos de Hempe seguraram seus seios como duas conchas, se encaixavam tão bem que pareceriam ser feitas uma pra outra. Os dedos indicadores e médios beliscavam os mamilos enrijecidos, te fazendo soltar choramingos contra dos lábios do argentino. Seu quadril tomou movimentos inconscientes, esfregando-se contra a ereção firme de Simón, indo para frente e para trás, trazendo uma fricção gostosa no pontinho de prazer externo que pulsava. Os lábios se separando quando um gemido escorreu por seus lábios, os olhinhos fechados e as mãos agarrando os ombros de Simón com mais força que o esperado. As mãos dele agarraram sua cintura com força, te fazendo interromper os movimentos que estavam te tornando uma bagunça. – "No, no bebita. Só vai gozar quando eu te comer bem gostosinho. Te deixar bem manhosinha pelo meu pau, 'tá bom?"– Naquele momento nenhuma palavra saia de seus lábios, um aceno desesperado com a cabeça foi a única coisa que seu cérebro te permitiu fazer. Simón riu, vendo seu estado em tão pouco tempo. O corpo dele se virou na cama, te deixando embaixo dele e com ele entre suas pernas. A mão curiosa dele foi até o meio de suas pernas, os dedinhos sorrateiros arrastando a calcinha úmida para o ladinho, deixando toda a buceta exposta para ele. – "Eu morreria afogado aqui numa boa, nena. Morreria feliz até demais."– Não era a intenção dele, mas te ver ali, deitada na frente dele com a pernas abertas, a buceta escorrendo, os olhinhos fechados com a boca entre aberta. Porra, a boca dele salivou e ele quase deixou saliva escorrer pelo queixo. O corpo dele se inclinou e os lábios dele não perderam tempo em explorar a fenda molhada entre suas pernas, te fazendo gemer em surpresa. A língua balançava sobre o pontinho inchado de tesão, desenhando formas diferentes a cada momento. Suas mãos agarram os fios do cabelo curto, as costas formando um arco perfeito enquanto o nome dele saia quase como uma oração de seus lábios. O músculo quente da boca de Simón desceu até que pudesse foder o buraquinho apertado e molhado, te fazendo empurrar o quadril cada vez mais contra o rosto dele. A mão direita dele começou a correr pelo meio de suas coxas, chegando perigosamente perto do buraquinho até então intocado. – "Só a pontinha do dedo, nena. Posso?"– Naquele momento seu cérebro já estava derretido, o "uhum" arrastado que saiu a dos seus lábios foi o suficiente para que o dedinho curioso de Simón circulasse o botãozinho apertado entre suas nadegas antes de forçar a pontinha contra ele. Mexendo tão suavemente que fazia teu corpo relaxar por inteiro. A língua dele acompanhava o ritmo dos dedos, um enorme tornado de prazer carregando seu corpo com tanta facilidade que te deixava extasiada. Quando sentiu seu corpo dando os principais indícios da proximidade de seu orgasmo, ele parou.
– "Simoonnn..."– O tom de voz manhoso quase fez ele ceder. O sorriso ladino nos lábios dele quando o rosto dele saiu do meio de suas pernas te fez temer. O bigode sobre os lábios estava molhado assim como os lábios e o queixo, uma visão verdadeiramente pecaminosa e difícil de ver sem fazer nada.
– "Shh, lembra o que eu te disse? Só vai gozar quando eu te comer hm?"– As mãos dele foram para a barrinha da cueca branca, puxando-a para baixo e finalmente libertando o pau pulsante do tecido de algodão. O tecido largado não era importante e útil no momento. – "Mira cómo me dejaste, bebita."– Seus olhos imediatamente caíram na ereção que vazava gotas de porra que escorriam por todo o longo comprimento. Tomando um lugar mais próximo ainda de seu corpo, Simón posicionou a cabecinha contra o buraquinho apertado em sua buceta. Empurrou, lentamente, toda a extensão para dentro de você, gemendo quando sentiu o quão apertada você estava. Simón observava cada reação que você tinha quando ele estava inteiramente dentro de você. Os lábios entre abertos que soltavam choramingos, a pele ficando avermelhada, as mãos agarrando os seios e apertando-os, os olhos amendoados que imploravam silenciosamente para que ele se mexesse, e foi o que ele fez. Socando tão fundo dentro de você que até a cama rangia, batendo contra a parede enquanto você só podia gemer, seu cérebro esquecendo de te lembrar que, apesar de parecer, você e Simón não estavam sozinhos no mundo. Foda-se. Ele te fodia tão bem que você podia jurar que em algum momento começaria a chorar. O pau dele tocava cada um dos pontos mais doces dento de você, as mãos dele não se mantinham quietas em seu corpo, viajavam para tocar em tudo que ele alcançava, os gemidos que saiam dos lábios dele eram melhores do que qualquer coisa que você já tinha ouvido na vida. Você ficava cada vez mais escandalosa, cada vez que ele metia em você seus gemidos ficavam um tom mais alto e em algum momento Simón teve que fazer você diminuir o volume. Dois dos dedos da mão direita dele foram até sua boca, entraram sorrateiramente te fazendo chupar eles como se fossem o pau dele, ocasionalmente ele empurrava eles até quase chegar em sua garganta, te fazendo engasgar e os olhos lacrimejarem. – "Se você continuar sendo uma putinha escandalosa vai arrumar problemas pra si mesma, amor."– Simón te lembrou, mas seu cérebro estava vazio. Focado somente na forma como os dedos dele fodiam sua boca tão bem enquanto o pau dele era socado tão fundo dentro de você. A mão esquerda dele apertava sua cintura, segurando-a com força e usando de impulso para que pudesse te foder cada vez melhor. O gemido gutural que ele soltou quando sua buceta se apertou dolorosamente bem em torno dele fez você sorrir contra os dedos dele. Suas mãozinhas seguraram nas bochechas da bunda dele, uma tentativa de fazer com que ele ficassem cada vez mais perto de você. Os choramingos abafados que saiam de você era o maior combustível de Hempe, sentindo que quanto mais ele metia em você, mais sensível você ficava. O nome dele saiu embolado pelos seus lábios por causa dos dedos dele mas Simón notou como você estava ficando mais afobada, com o quadril inquieto e a respiração cada vez mais profunda. – "Quer gozar, bebita?"– Ele disse baixo, os dedos babadinhos saindo de seus lábios e descendo para agarrar seu pescoço para te fazer encara-lo. Você acenava com a cabeça enquanto uma sequência de "sim's" saia de seus lábios junto com o nome dele. A cara de puto que ele te encarava deixava tudo ainda mais tenso para você, já sentindo a forma como a imensa onda de um orgasmo borbulhante quase te atravessava, porém Simón não estava atrás. Você sentia como o pau dele se contorcia dentro de você e como os sons que fugiam dele ficaram mais altos. – "Goza, bebita. Só não vai achando que eu já acabei contigo. Quero te comer nesse apartamento inteiro hoje."–
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지민 (Jimin) Behind the ‘FACE’
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Cagnotte Instagram: 9 Façons De Collecter Des Fonds Sur Insta
Les médias sociaux sont devenus un outil puissant pour informer le monde de ta présence. Des influenceurs aux entreprises en ligne, les médias sociaux sont devenus une grande source de revenus pour de nombreuses personnes. En tirant parti de la puissance des médias sociaux, on peut atteindre un bon revenu pour sa subsistance. Mais sais-tu que les médias sociaux sont aussi devenus un moyen de faire des dons ? Oui, en tirant parti des médias sociaux, tu peux collecter des fonds importants pour ta cause/ton organisation et toucher un large public en ligne.
Pour s'infos: https://whydonate.com/fr/blog/cagnotte-instagram/
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Os rapazes tendo um crush em você, enquanto trabalham juntos.
Atenção: Como ainda não conheço muitos trabalhos deles, vou usar A Sociedade da Neve como fundo para a história.
Enzo: A primeira vez que te viu, foi ensaiando com o Pipe. Ele jura que nunca viu alguém atuar tão bem assim. Ver alguém se entregar tanto ao papel.
Depois que vocês terminam seus ensaios ele vai bem de mansinho falar com você. Percebe que tava com calor e oferece a xuxinha de cabelo pra você prender o seu. Pergunta a quanto tempo você atua.
Pra fechar com chave de ouro, no final do dia quando vocês estão gravando a sua primeira cena, recebe uma notificação no seu Instagram.
Enzo havia começado a te seguir.
Tirou uma foto sua e mandou para você com a legenda:
"Belissima💕"
Esteban: Vocês se viram apenas no final do dia de gravações. Você tava sentada no chão em uma chamada de vídeo com alguns amigos.
O idioma diferente mais não impossível de se entender, e as risadas gostosas que você dava chamaram a atenção dele.
Você estava em uma camarim conjunto. Assim que viu Esteban entrando e sentando no sofá a sua frente começou a se despedir do seus amigos.
"Desculpa te atrapalhar viu" Ele disse sorrindo envergonhado
"Ta tudo bem. Se eu não desligasse, eles iam ficar falando at�� amanhã"
Vocês se olharam e sorriram.
Pronto. Apaixonou.
Esteban foi até Enzo e Matías perguntar se eles sabiam algo sobre você. Sabiam o básico. Idade, que é brasileira, instagram e afins.
No próximo dia ele andava tal qual criança perdida no mercado procurando pela mãe. Mas quem ele queria, era você!
Te encontrou se arrumando no camarim. As maquiadoras riam com você contando sobre sua festa de 6 aninhos do Mickey Mouse, que acabou com seu tio bêbado dormindo antes do parabéns de tanto beber Kaiser.
Assim que elas saíram, ele entrou e se sentou na cadeira ao lado com a desculpa que também precisava se arrumar.
"Sabe, a gente bem que podia sair um dia pra você me ensinar português né?"
Esteban ficou mais que feliz quando você respondeu um tímido 'claro' e deu um beijo na bochecha dele, saindo logo em seguida.
Matías: Foi no ensaio fotográfico para anunciar o elenco que seus olhos se cruzaram pela primeira vez.
Você estava entre Kuku e Agustin tirando algumas fotos.
"Quem é ela?" Perguntou para Francisco sem nem tirar os olhos de você
" (seu nome) "
Matías repetia seu nome na mente.
Você sorria e ele acompanhava. Pronto, o coração dele foi domado por você.
Se passaram dois dias e vocês teriam uma gravação feita a noite.
O frio tomava conta do local. Você tremia e se encolhia em sua cadeira, torcendo para que o diretor te liberasse logo.
"Aqui, ouvi você falar pro Enzo que não gosta de café, peguei um chocolate quente"
Olhou para o lado e viu Matías caracterizado segurando um copinho com chocolate quente nas mãos.
"E aproveita. Porque logo começa a dieta" Ele sorriu e você acompanhou.
Ela me acha engraçado...
Matías pulava contente intermente.
Assim que foi chamado para gravar depositou um beijo em sua testa e saiu.
Simon: Estava escondida no camarim chorando.
Que se foda se alguém te chamasse de anti-profissional. Como não chorar quando você está entre os atores que interpretam uma história tão bonita e emocionante?
Se olhou no espelho e tentou arrumar o pequeno estrago, que a pequena quantidade de rimel causou.
"Ta tudo bem?" Simon perguntou entrando tímido no camarim
"Ta sim. Só que li de novo a cena da primeira noite, e meu Deus..."
Ele não sabia explicar porque, mas te ver assim tão sentida, com os olhinhos brilhando pelas lágrimas e o narizinho vermelho, causavam uma dor no peito dele.
"Vem aqui"
Te abraçou ainda de pé e você sentada na cadeira (que por sorte era alta, não deixa o abraço estranho).
Fez carinho na sua cabeça. De verdade, Símon não entendia porque, mas queria ficar ali no teu abraço o resto do dia.
Falou algumas coisas que te fizeram sorrir e isso iluminou a alma dele.
"Melhor nena?" Fez um rápido aceno com a cabeça e agradeceu ele.
Pelo resto do dia era Simon te olhando. Certificando que você estava feliz.
Quando faziam alguma pausa para descansar, ele ia puxar papo com você.
Se algum dos rapazes conversava contigo, ele tentava escutar o assunto e torcia para que alguém o chamasse pra fazer parte do assunto.
Quase no final do dia, quando você ainda estava no set e ele já havia indo embora, recebeu uma notificação no seu WhatsApp.
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não consigo parar de pensar no jeno...
ele é caseiro demais então os encontros perfeitos seriam na sua casa ou na dele.
porque ele é todo fit, no dia do lixo pode esperar uma coca-cola comum e um hamburgão tarde da noite enquanto comentam uma fofoca, ou riem de doer a barriga com uma lembrança, ou um vídeo maluco, até mesmo com um episódio de um sitcom no fundo.
jeno gosta de rotina, de viver o cotidiano. têm horário fixo pra malhar junto contigo, te busca no trabalho/na faculdade, principalmente se largar à noite. vira e mexe te leva pra jantar num final de semana porque surpreender também faz parte.
inclusive foi vivendo essa rotina que se apaixonou por você. numa carona ele decidiu falar que tava interessado, gostou da reação que tu teve e lascou um beijo gostoso logo de primeira. tem cara de quem adora dar uma provocada se afastando de repente, só pra te ver procurando os lábios dele de novo. solta uns risinhos no meio do beijo porque sabe do efeito que tem, de tímido só a casca. mão na nuca, na coxa, no quadril... ai, ai, viu.
mas ele também adora uns beijinhos dengosos no meio do filme até que interessante quando estão abraçadinhos no sofá num dia frio, que ele confessa segredos manhosos na tua boca e vocês podem ser fofos e estranhos sem medo. ama apoiar a cabeça no seu peito e receber um cafuné na nuca, no pé do cabelo, deixa ele molinho.
quando fica doente é do tipo que pede pra vc não chegar perto dele pra não te passar, sabendo que não vai acontecer. a verdade é que ele ama ser cuidado com remedinho na hora certa, sopinha e chamego preguiçoso pra distrair a dor no corpo.
nas férias faz todas as vontades que tiveram durante o ano, se virando em mil pra visitar tanto lugar e sempre pedindo massagem dps que chega em casa porque sair tira a energia dele dum jeito que só tu cura.
se estiver estressado logo te fala e pede ajuda, assim como se brigarem, ele prefere conversar tudo pra não virar bola de neve. ficar bravo é perder tempo.
faz drama quando ta com ciúmes, mas o típico olhinho de lua aparece quando você faz bico. jeno é confiante, mas sua atenção é valiosa demais pra dividir com outro zé ninguém. quando é o contrário, ri todo bobinho e canta todas as músicas que conhece sobre ciúmes: pagode, internacionais, sertanejo... se te fizer rir, abre até playlist pra te zoar.
no instagram esbanja o 💍 na bio, reposta no story todas as suas publicações, comenta com cantadas todas as vezes... adora ser um namorado golden retriever.
talvez ele não diga eu te amo tão frequentemente quanto mostra te amar, mas quando ele diz é sempre com o coração rasgado de sinceridade e doçura.
jeno é o namorado perfeito.
#nct pt br#nct br au#jeno scenarios#jeno fluff#lee jeno x reader#jeno drabbles#nct dream drabbles#nct drabbles#nct fluff#nct dream fluff#eita izzy#eu só quero ter uma rotina com ele e chamar ele de momolado no off
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The new host
Ela estava sentadinha ao lado do mais velho apenas observando e cobiçando aquelas intenções que não eram direcionadas para si, a mulher sentada na frente deles com a mesa inteira de distância nem poderia imaginar como a colega de trabalho desejava que ela sumisse dali.
Essa oneshot contém: Harry mulher cis; Ltops; Degradation kink; Subspace e Overstimulation; Bitekink (mordidas).
WC: + 5.5k
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As luzes artificiais eram frias e fortes em seus olhos, as câmeras enormes escondiam os profissionais por trás e o teleprompter passava de forma rápida o roteiro que a boca carnuda e pintada de vermelho acompanhava com muito costume e agilidade. Os olhos verdes mal piscavam diante das tantas informações passadas e quem via de longe não conseguia notar o nervosismo transbordando o corpo branquinho e moldado pelo vestido lápis midi na cor preta. A peça tinha um decote formal em V, bem como uma tira grossa branca na cintura e o cumprimento beirava o joelho, mas parecia uma segunda pele de tão colada que ficava.
– Esse foi o programa de hoje, tenham uma boa noite e um ótimo final de semana! – finalizou com um sorriso brilhante e com as covinhas charmosas à mostra.
– E.. corta! – A voz masculina e até um pouco ríspida gritou, encerrando, assim, o primeiro de muitos dias de trabalho juntos.
Harry é jornalista e apresentadora de uma grande emissora de TV e foi recentemente transferida para um outro programa, então era esperado que ela estivesse um pouco nervosa em seu primeiro dia. Mas apesar disso, seu profissionalismo e competência se mantiveram, mostrando a todos o porquê dela ser tão bem sucedida na profissão mesmo ainda jovem e com atitudes, fora das câmeras, um tanto polêmicas.
A nova equipe de trabalho se mostrou bastante amigável e simpática, fazendo até mesmo uma mini festa de recepção à nova integrante do grupo. Além de Harry tinham poucas mulheres trabalhando ali, como já era esperado de uma produção em que se lida com tantos equipamentos pesados e em um meio ainda tão conservador, mas isso não a desanimou e logo já estavam apresentadora, maquiadora e a moça que cuida do áudio em uma conversa animada enquanto seguram seus copos de café e um pratinho com uns salgados mais finos do que estavam acostumadas.
O diretor do programa já tinha se apresentado a ela mais cedo e avisou que, por dirigir também algumas novelas, ele raramente ficava no set enquanto gravavam, mas deixou claro que o produtor era bastante responsável e desempenha com maestria ambos papéis, o de produtor do programa e diretor das filmagens. Restava saber agora, dentre tantos olhares de repúdio, desdém e desejo que ela recebia vindo dos homens que ali trabalhavam, qual deles tinha como dono o seu novo “chefe”.
Os olhos azuis gélidos passaram o tempo todo observando a mais nova contratada. Louis olhava dos cabelos ondulados na altura dos seios até o salto alto preto que a mulher usava e não conseguia enxergar toda a admiração que as pessoas sentiam por ela. Certo que ela conseguia prender a atenção do telespectador, falava de forma eloquente, era bonita e tinha um corpo proporcional, mas não via o apelo por trás de mais um rostinho belo que escondia atitudes repulsivas.
Era de conhecimento geral a reputação da apresentadora, ela nunca foi imparcial ao dar notícias, fazia questão de demonstrar seus ideais políticos e sempre tentou inspirar e encorajar meninas que a assistiam a serem o que elas quiserem ser. O problema é que o fato de ter participado quando mais nova de uma banda popular e com músicas um tanto chulas não seria facilmente esquecido. Postar diversas fotos no instagram vestindo os biquínis da moda e pulando o carnaval de Salvador com o abadá servindo de saia e o busto coberto de glitter com duas tarjas tapando os mamilos, e só isso, também não conduzia a uma boa primeira impressão para Louis.
– Louis Tomlinson, produtor do programa e sou eu quem dirige as coisas por aqui a maior parte do tempo. – se apresentou, não fazendo questão de soar gentil ou mesmo de abrir um sorriso. A mão estava estendida na altura das costas que tensionaram ao ouvir a voz atrás de si e logo o corpo mais alto girava devagar em sua direção.
– Olá! – Ela não se deixaria intimidar por nenhum homem com síndrome de superioridade então abriu um sorriso estonteante e apertou a mão do outro. – Harry Styles, nova apresentadora, mas você já deve saber. – tentou brincar para amenizar o clima, pena que não deu tão certo. Parece que senso de humor não é o forte do mais baixo, ela só espera que ele faça o trabalho direito.
Algumas informações essenciais foram trocadas, nada de conversa fiada, e logo cada um se despediu do pessoal que ainda restava na sala e foram para suas respectivas casas. O programa passaria todas as quartas e sextas, sendo que na sexta era ao vivo e eles se veriam pelo menos três vezes por semana já que o roteiro apresentado na quarta seria gravado antes e eles deviam estar à disposição enquanto exibem para o caso de haver algum imprevisto e precisarem improvisar.
Ou a convivência tornaria essa relação mais fácil ou eles iriam se detestar fervorosamente assim que as câmeras fossem desligadas.
°°°°°
Os dias passaram como a água de um rio, quem tá de longe não percebe o movimento, mas quem está dentro dele tentando nadar vê a força e rapidez da correnteza. As filmagens iam bem, a nova “cara” do programa teve uma enorme aceitação por parte do público e, com isso, o clima no ambiente de trabalho foi se tornando mais amigável e confortável.
Apesar de ter se aproximado de todos os colegas de trabalho, Harry ainda sentia um tom de impessoalidade nas falas de Louis direcionado apenas a ela. Ele era o único que não deu espaço para uma simples conversa, eram só cumprimentos educados ao chegar e sair com acenos de cabeça nada mais do que frios. Toda essa aura distante do mais velho só servia para despertar na mulher uma coceirinha no fundo do ego conhecida como curiosidade.
Harry e Emilly, a maquiadora baixinha das bochechas fofas e olhos puxados revelando a descendência asiática, estavam conversando sobre assuntos triviais enquanto uma fina camada de pó solto era passada na pele quase pálida para que nada além de um aspecto saudável seja refletido nas câmeras quando a luz forte fosse ligada.
– Então, me conta, qual é a desse cara? – a mudança brutal de assunto foi acompanhada por sobrancelhas franzidas e um tom mais baixo na voz. Os olhos verdes estavam semicerrados analisando cada micro-expressão no rosto de Louis: a barba rala o dava um aspecto mais sério, uma postura de homem; a pele dourada pelo sol parecia brilhar mesmo que as luzes não estivessem direcionadas a ele; o cabelo meio bagunçado contradiz o olhar rígido e sério, como se tudo o que passou por ali foram os dedos tatuados jogando os fios lisos para frente e para o lado. Era intrigante e intimidante ao mesmo tempo.
– Quem? O senhor Tomlinson?! – a menina parou de retocar os pontos do batom nude que passava para encarar o homem um pouco atrás dela que folheava alguns papéis. – Ele é bem gentil, na verdade. Eu trabalho aqui há alguns anos e nunca ouvi ninguém reclamar, porque?
– Sim, eu não sei.. tem alguma coisa nele, a gente não trocou mais que duas frases desde que cheguei. – pausou a fala para deixar a amiga terminar seu trabalho, mas a conversa não ia parar ali. Harry queria todas as informações e detalhes que pudesse arrancar. – Pode ser só uma impressão errada né, só que parece que ele faz questão de não se aproximar de mim. Você não percebeu nadinha mesmo?
– Assim.. não é como se ele fosse melhor amigo dos funcionários, entende?! – os olhos castanhos vasculharam a sala para garantir que ninguém mais ouviria o que ela compartilhava. – Acho que a única pessoa que ele trata realmente diferente aqui é ela – apontou discretamente para a loira que ficava com fones gigantes cuidando de cada detalhe do áudio nas filmagens, – digo, ela não é privilegiada aqui dentro nem nada, mas parece que ele tem uma quedinha pela vizinha há algum tempo.. bom, acabamos aqui e eu não te falei nada, ouviu?!
Harry acenou satisfeita com a cabeça enquanto uma covinha se afundava na bochecha esquerda, agora ela finalmente tinha uma coisa que poderia usar para se aproximar do mais velho e quebrar de uma vez por todas essa má primeira impressão. Ajudar ele a conquistar a loirinha seria uma ótima oportunidade.
°°°°°
O plano não era tão mirabolante assim, Harry só começou a puxar os assuntos mais triviais possíveis cada vez que se encontravam pelo estúdio e um deles, intencionalmente, foi a colega de trabalho que descobriu ser o interesse amoroso do mais velho. De primeira, ele não ficou à vontade para compartilhar informações tão pessoais com a novata, mas a carinha compreensiva e manipuladora dela conseguiu convencê-lo a se abrir.
Foi assim que deram início a uma espécie de amizade, talvez um pouco distorcida para o homem que só queria a ajuda de alguém que provavelmente sabe mais que ele sobre o que as mulheres se atraem, e distorcida também para Harry que só não aguentava mais ser tratada de maneira diferente por algum preconceito sem fundamento que o outro tinha. Seria benéfico para ambos então.
– Além de trabalharem juntos, vocês são vizinhos e você nunca falou com ela? É inacreditável. – Harry disse em uma de suas conversas.
– Eu só não queria parecer um daqueles patrões que assediam as funcionárias, tá legal? E talvez eu não seja tão bom vizinho assim.. a gente sequer se esbarra pela rua. – a fala de Louis foi tão resignada que despertou algumas ideias na cabecinha ondulada.
– Uma semana na sua casa e pelo menos um jantar com ela eu garanto. – o tom era de brincadeira mas eles não tinham nada a perder e com um dar de ombros Louis aceitou.
Simples assim e a cacheada já estava devidamente instalada na casa do mais velho para ajudá-lo com esse pequeno problema. A residência fazia jus ao salário que Louis devia receber, era grande e espaçosa, bem decorada com móveis práticos e modernos e pela quantidade de quartos que tinha era impossível violar a privacidade do outro com sua humilde presença. Além disso, não é como se a garota fosse passar dos limites e abusar da hospedagem alheia agindo como se estivesse em casa.
As dicas que ela dava ao menor eram sutis, coisas como oferecer um café no trabalho, uma carona quando saíssem mais tarde, sorrir mais quando se despedirem na porta e, quando Louis estivesse mais confiante, chamar a vizinha para um café da tarde ou um jantarzinho depois do expediente. Por incrível que pareça estava tudo dando certo e Louis ficava cada vez mais satisfeito com essa nova amizade que estava rendendo bons frutos em sua vida pessoal. Ele até chamou a moça para um café em sua própria casa, aproveitando que a cacheada ainda estaria lá para ajudá-lo caso fizesse alguma besteira ou ficasse sem assunto.
É..
Talvez não tenha sido tão boa ideia assim. Harry estava um tanto desconfortável sentada naquela mesa servindo de companhia para o casalzinho. A luz do sol iluminava parcialmente a mesa redonda disposta na varanda em que eles estavam, a toalha branca no centro e as cadeiras de ferro davam um charme ao local, bem como os diversos salgados e bebidas encomendadas. De qualquer forma, parecia um grande investimento para um simples lanche da tarde e talvez a cacheada estivesse com algum ciúme ou inveja da situação.
O jeito que Louis sorria para a outra mulher, o olhar viajando por todo o corpo dela como um flerte mal disfarçado, a postura dele relaxada e com as pernas abertas no estofado da cadeira e a língua rosa que despontava no canto da boca fininha a cada sorriso que Louis dava.. tudo isso estava provocando sensações controversas no corpinho e mente de Harry. Ela estava sentadinha ao lado do mais velho apenas observando e cobiçando aquelas intenções que não eram direcionadas para si, a mulher sentada na frente deles com a mesa inteira de distância nem poderia imaginar como a colega de trabalho desejava que ela sumisse dali.
A mais nova estava tão perdida em seus pensamentos confusos que não notou a colega pedindo licença para ir ao banheiro e só quando Louis pousou a mão quentinha em suas pernas desnudas foi que ela voltou a prestar atenção na realidade. Ele falava alguma coisa mas seus ouvidos pareciam tapados e ela só conseguia acompanhar com os olhos aquela boca se movendo e os olhos azuis concentrados em si. O lábio carnudo de Harry foi preso entre os próprios dentes e a garganta estava cada vez mais seca.. seria possível que o mais velho passou a ser tão atraente assim do nada ou ela simplesmente precisava de um incentivo, ou uma concorrência, para se tocar?! Tais pensamentos não paravam de surgir e poluir a cabecinha cacheada que em um impulso percebeu ter se aproximado o suficiente do outro para estar em pé entre as pernas dele.
– Ei, você tá bem? O que houve? – os olhos confusos passeavam por todo o corpo branquinho, procurando por algum problema visível que justificasse aquelas reações estranhas dela.
– Tudo bem, eu só.. – com o foco ainda nos lábios alheios, Harry apoiou as mãos delicadas nos ombros de Louis. Cada vez mais perto, os peitinhos durinhos quase se esfregavam no rosto confuso dele. – É que você fica tão gostoso flertando.. tão sexy.. e eu não sei como não tinha percebido isso antes.
Foi estranho e lisonjeiro para Louis ouvir isso da mais nova. Ele não sabia que era desejado dessa forma por ela, mas aqueles olhares que recebia agora e o corpinho quase grudado ao seu estava deixando-o, de repente, quente. As mãos bronzeadas subiram e tomaram lugar no quadril da garota, a saia jeans que ela usava com uma blusinha clara e casual deixavam muitos pedaços de pele à mostra, o que fez a boca de Louis salivar com o desejo de marcar aquela pele macia por completo. Os dedos apertaram tanto a cinturinha fina com esse pensamento que sentiu seu pau começar a endurecer e marcar a bermuda preta que ele usava ao que Harry não conseguiu, ou não quis, segurar um ofego.
Quando barulhos de passos foram ouvidos cada vez mais próximos e notando que a meia ereção podia ser facilmente notada, Harry tomou mais uma decisão no impulso e virou rapidamente sentando no colo do mais velho como se aquilo fosse o normal entre eles. Talvez ela seja mestre em tomar decisões impensadas.
O corpo quente embaixo de si ficou tenso no mesmo instante e os olhos azuis levemente arregalados viajavam entre o próprio colo, que agora continha uma bunda grande e redondinha lhe pressionando, e a outra mulher que pareceu confusa com o desenvolvimento daquela tarde mas continuou gentil e sem encarar muito a posição dos outros dois em sua frente. O constrangimento que a cacheada sentiu ao se dar conta do que acabou de fazer só não foi maior do que o aperto em suas coxas por baixo da mesa, onde não podiam ser vistos, e definitivamente não era maior do que a ereção cada vez mais evidente entre suas bandinhas macias do bumbum.
O assunto que o ex-futuro casal ainda conversava entrou em total desfoque para a mais nova e tudo que ela conseguia ouvir era o próprio coração batendo rápido e bombeando mais sangue para sua grutinha que piscava querendo sentir aquele contorno não sob a calcinha, mas sim dentro dela. A região ali estava cada vez mais quente e era impossível se manter quieta, por isso Harry passou a se esfregar bem devagarzinho e quase inconscientemente no colo do moreno. As pernas embaixo dela eram tão duras e tensas, os dedos apertando suas coxas branquinhas e quadris pareciam querer arrancar a pele para lhe sentir ainda mais perto, tornando a cacheada apenas um monte de células desesperadas em busca do próprio prazer.
Ela estava tão desconexa que quase chorou de felicidade e alívio quando notou estar, finalmente, sozinha com Louis. A vizinha tinha ido embora e Harry sequer faz ideia se conseguiu pelo menos se despedir ou se apenas passou pela humilhação de parecer uma cachorrinha no cio se esfregando no amigo enquanto ele estava, ou era pra estar, flertando com outra.
– É tão dificil assim se controlar? Você estava praticamente se engasgando para eu te foder e nem se importaria se eu fizesse na frente dela, não é? – o rastro quente que a mão dele deixava enquanto subia e descia pela extensão das pernas nuas, arrepiou todos os pelinhos que Harry nem imaginava ter.
As bochechas coraram rapidamente com a insinuação e o calor se espalhou pelo rosto e pescoço enquanto o melzinho deixava uma sensação engraçada ao que ela sentia escorrer uma maior quantidade cada vez que o mais velho era duro e rígido com ela.
As mãos fortes em um instante levantaram o corpo totalmente entregue da garota que estava, agora, em pé de costas para Louis e Harry deu um pulinho assustado quando viu a mesa posta completamente arrumada ser desfeita de uma vez quando o menor passou o braço por ela sem se importar com os pratos e talheres quebrando no chão. Os lábios vermelhinhos se abriram em choque e a língua rosada parecia inchada, produzindo cada vez mais saliva no desejo de lamber e babar todo o corpo magrinho do homem atrás de si.
Após ter liberado espaço suficiente na mesa, Louis finalmente pôde ter disposto ali algo que realmente lhe daria fome quando jogou sem cuidado algum o corpo de Harry na mesa. A bundinha marcada pela saia estava na quina, uma bela visão a ser apreciada, e os peitinhos marcados pela blusa fina se arrastavam pela renda da toalha de mesa. Os olhos verdes vidrados em si deixavam o menor um tanto orgulhoso e prepotente, sem acreditar que conseguiu dobrar aquela mulher tão intimidante das telas.
– Já está tão afetada.. eu consigo ver a mancha que tá deixando na sua calcinha como a boa putinha que você é. – E como se quisesse provar um ponto, Louis abaixou a saia e calcinha até os joelhos que tremiam em ansiedade e tesão. Como um produtor, ele entendia sobre enquadramentos e coisas boas de serem vistas e apreciadas, e aquela imagem da pele branquinha e redonda totalmente exposta para ele, definitivamente era uma das melhores cenas do mundo.
– Louis f-faz alguma coisa logo.. por favor – a situação chegava a ser a mais patética da vida da cacheada se ela parasse para analisar. Estava totalmente molhada e rendida por um cara que era, supostamente, interessado em outra, sem contar o fato de estar totalmente exposta em plena luz do dia para ele. Porra, ela parecia um banquete só esperando ser devorado.
– Por que eu faria algo? Até onde eu sei uma vadia exibida como você já deve ter rodado a cidade inteira e eu não curto dividir. – ele percebia como aquela conversa suja estava deixando Harry insana pelos gemidos que ela não conseguia conter e choramingos que escapavam entre eles. Louis queria deixá-la muito sensível e as gotas transparentes escorrendo pelo interior das coxas pálidas eram um indicativo que estava no caminho certo.
A cacheada queria responder à altura e mostrar que Louis não era tanta coisa assim.. mas tudo que ela conseguia fazer era gemer de forma manhosa e soltar uma série de “por favor” sussurrados. Os olhos verdes estavam fechados e as mãos delicadas da garota estavam estendidas juntas acima da cabeça, totalmente entregue. Louis não tinha forças o suficiente para resistir àquilo.
Os dedos gordinhos deslizaram quentes por toda a bundinha exposta até chegar na grutinha que pingava, os dígitos marcaram cada pequena dobrinha molhada até chegar no pontinho inchado que fez a mais nova dar um sobressalto e gemer ainda mais alto. Louis brincava ali tão devagar.. tão levinho que Harry queria gritar de frustração. Os joelhos enfraquecidos estavam cansados de sustentar o peso pela posição e ela estava a um passo de se deixar cair e só receber tudo o que o outro estivesse afim de dar.
Harry se sentia nas nuvens e no inferno ao mesmo tempo. Ela queria sempre mais e estava insatisfeita com a calma e paciência de Louis, mas agradecia com a voz falhada a cada toque que lhe era dado. Louis estava delirando com essa entrega total.
– Você quer que eu te foda com os meus dedos, não quer?! Tenho certeza que passou a tarde toda imaginando isso enquanto fingia conversar normalmente.. – falou já levando dois dos seus dedos até a entradinha que latejava e piscava sem parar. – Veio com essa história de me ajudar.. – enfiou de uma só vez, o mais fundo que conseguiu, e a cacheada soltou um grito. – Dormiu por dias na minha casa.. – estocou bruto mais uma vez. – Tudo na intenção de sentar no meu pau como uma vagabunda.
– Não.. eu- eu n- hmm.. – lágrimas despontaram do cantinho dos olhos bonitos e o cérebro dela parecia ter derretido assim como sua boceta.
Louis continuou estocando com os seus dedos na entradinha apertada e febria, reduzindo a velocidade e força cada vez que a menina se mostrava mais inquieta e próxima do orgasmo. Os quadris rebolavam doloridos pela pressão contra a madeira, o rosto caído contra o local já tinha marcas fixas do tecido branco, os mamilos rígidos ardiam sensíveis com o atrito e os braços e pernas sem força alguma traziam a ideia de imobilização que Harry não imaginava gostar tanto.
Perdida nas sensações físicas e mentais que estava sentindo, ela não conseguiu sequer gemer ao que uma ardência se esgueirou pela superfície da sua bundinha. A quentura no local passou rápido e logo deu espaço para o arrepio que o vento gelado, por estarem em um local aberto, causou. Louis não conseguiu se controlar e deu uma mordida na pele branquinha, afinal aquela parte tão gordinha e macia da cacheada parecia implorar por isso. Harry ainda tinha lágrimas secas no rosto e novas brotando nos olhos quando Louis passou a marcar com mordidas e chupões bem fortes cada pedaço a vista enquanto deixava de estocar os dedos para esfregá-los bem forte no clitóris. A mistura entre dor e prazer, submissão e entrega total fez a cacheada gozar forte fechando com afinco os dedos da mão, contraindo os músculos e revirando os olhos.
Observar a boquinha judiada aberta em um gemido mudo quase fez Louis gozar nas calças, mas ele ainda tinha muito para aproveitar daquele corpinho que, por enquanto, estava ao seu dispor.
– Levanta, eu não acabei com você ainda. Quero essa bocetinha de puta recebendo meu pau bem gostoso agora, vem.
– Eu não consigo.. Lou, eu não.. – o estado dela era lastimável por tão pouco, mas ninguém podia julgá-la.
– Vadiazinha preguiçosa – riu com um escárnio encenado – Estava se esfregando no meu pau como uma cadela, agora não consegue se levantar e eu nem te comi apropriadamente ainda..
Louis pegou Harry no colo, manuseava ela tão fácil quanto uma boneca de pano e a garota não ousava reclamar, ele tirou as próprias roupas e as peças que faltavam de Harry com pressa. O corpo molinho e cansado foi deitado no sofá da sala e logo as pernas longas estavam suspensas, apoiadas nos ombros largos do mais velho.
O pau grande estava a tanto tempo duro que doeu quando Louis movimentou a própria mão pela extensão, latejava e expelia pré porra só com a visão da garota toda aberta para si, sem nenhum empecilho ou barreira. Aproximou a glande arroxeada até a entradinha vermelha e acabada de Harry, não demorando até enfiar toda a extensão ali.
A entrada abrupta esquentou e esticou o canal apertado, deixando a mais nova ainda mais sensível. Harry teve suas pernas juntas novamente quando Louis, com toda a ereção no ponto mais profundo da menina, cruzou ambas as pernas e recostou elas no ombro direito, tendo agora a visão dos grandes lábios gordinhos apertando ainda mais seu cacete e, consequentemente, apertando também o clitóris dela.
Foder com ela assim, tão mais apertada e mais suscetível a o que o mais velho quisesse fazer, era um incentivo e tanto para Louis arranhar com mais força as unhas nas coxas suspensas e apertar com propriedade os montinhos duros que eram os mamilos rosados de Harry. Parecia que ela poderia aceitar tudo o que fosse pedido naquele momento e Louis se viu aumentando a velocidade e angulando o quadril em quase um rebolado enquanto o sofá rangia pela movimentação.
As respirações pesadas e grunhidos do fundo da garganta dos dois poderiam ser ouvidos de qualquer cômodo da casa e Harry se sentia cada vez mais próxima de uma novo orgasmo, com o diferencial que sua florzinha já estava sensível por ter gozado uma vez e que o pontinho especial já estava sendo apertado há alguns minutos pela posição. O pau grosso estocando rápido e fundo dentro de si, bem como os gemidos roucos do mais velho e o corpo bronzeado em sua frente brilhante pelo suor também não facilitavam a situação.
– Louis!! Eu- eu não consigo mais segurar.. porra, hm..
– Goza, babe. Quero uma putinha bem obediente gozando gostoso no meu pau.
Ele sentiu exatamente o momento em que os músculos internos e externos da mais nova se tensionaram e logo depois relaxaram completamente enquanto todo o corpinho deitado tremia e tinha espasmos. A intensidade que Harry gozou foi tanta e tão forte que tirou toda a energia restante dela, deixando os olhos pesados, ouvidos tapados e a bocetinha dormente. A sessão de humilhação e restrição de movimento que passou pela primeira vez sobrecarregaram o corpo e mente da cacheada em um nível que ela nunca tinha experimentado. Se sentia tão longe e tão desesperada por não conseguir sentir mais o membro de Louis lhe invadindo que um choro alto saiu rasgando a garganta e os olhinhos fechados enquanto ela dizia várias vezes que queria ele mais perto e que não conseguia senti-lo.
Louis ainda estocava lentamente quando notou o estado de transe da maior e perdeu a batalha para si mesmo ao ver o rostinho bonito manchado pelas lágrimas e o desespero da menina que tinha a entradinha tão acabada e dormente que não sentia mais ele lá dentro. Os rastros quentes da porra branquinha mancharam o interior e escorreram pela pele marcada de Harry ao que Louis gozou forte com a cabeça jogada para trás e os olhos fechados com força.
A garota ainda soltava alguns choramingos e grunhidos baixinhos quando ele se retirou e juntou as pernas pesadas e exaustas sobre os braços fortes, apoiando também as costas suadas e a cabeça com os cabelos bagunçados em seu peito, levando ela em direção ao seu próprio quarto.
– Eu vou cuidar de você agora, você foi muito boa pra mim bebê.. pode descansar.
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- Em trinta minutos começamos pessoal! - deu duas palmas e se encaminhou até a cacheada que estava de canto o observando - Harry, posso falar com você um minutinho? - agarrou suavemente o antebraço dela, notando a pele macia se arrepiar ao toque, e a levou até a sala ao lado que funcionava como um pequeno escritório de Louis.
O corpinho pecaminoso foi pressionado com força na madeira assim que a porta fechou. Os cachos caíam no rosto e grudavam no gloss que ela usava, o rosto pressionado na porta estava arruinando a maquiagem perfeita que tinha finalizado há pouco, os peitos gordinhos esmagados pela posição faltavam pular pelo decote e a bundinha era rodeada por duas mãos que a deixava cada vez mais empinada.
- Louis! A gente não pode fazer isso aqui, oh, porra.. - Harry perdeu totalmente o raciocínio, bem como as forças nas pernas, quando sentiu o corpo firme em suas costas. A calça social que o outro usava não a impedia de sentir o pau totalmente duro e grande esticando o tecido e se esfregando na bundinha ainda coberta.
- Caladinha, você não quer que seus colegas de trabalho descubram a vagabunda que você é né? Nós vamos ser rápidos, babe.
O suor já se acumulava dentro do blazer preto estampado que a mais nova usava e a saia lápis precisou ter toda a resistência que a própria Harry não tinha para resistir à puxada que Louis deu. O tecido se acumulou na cintura, deixando exposta a pele macia modelada por uma minúscula calcinha de tecido preto quase transparente e tão frágil que seria muito satisfatório vê-la rasgar.
Em algum lugar do cérebro enevoado, Harry lembrou que a porta não estava trancada e que há poucos passos dali tinha um cômodo cheio com pessoas esperando por eles, mas ao sentir Louis se ajoelhar no chão e a respiração quente dele bater em sua bocetinha ao que os dedos grossos afastaram a calcinha para o lado, ela não conseguia realmente se importar com mais nada. A sua única preocupação de agora em diante seria conter os gemidos, tarefa que percebeu ser muito difícil assim que a língua molinha deixou um rastro molhado por toda sua intimidade.
A grutinha expelia mais lubrificação a cada vez que a barba de Louis roçava e ardia na pele sensível das coxas branquinhas, seu melzinho caindo direto na língua rosada que fazia questão de chupar tudo e não deixar escapar nenhum resquício. Louis rodeava de levinho o clitóris com a língua só para deixar a cacheada inquieta desejando um contato mais forte e quando percebia o quadril se movimentar buscando mais daquilo, ele alternava os movimentos passando a penetrar só a pontinha da língua na entradinha sensível que não parava de contrair.
- Lo- Lou, vai.. me come, por favor.. - os gemidos saiam desesperados, ainda que em sussurros.
- Não consegue mesmo esperar uns minutinhos né, tão desesperada pelo meu pau.. tsc tsc - estalou a língua na boca negando com a cabeça enquanto voltava a ficar de pé. As mãos eram ágeis ao desafivelar o cinto e abrir o zíper, colocando só a ereção completamente sensível para fora. As veias grossas rodeavam a base, pulsando cada vez mais sangue para o local. - Eu vou te foder bem forte agora e você vai ficar bem quietinha, ouviu?! Vou te deixar escorrendo minha porra para todo mundo perceber como você é uma putinha dando pra o seu chefe minutos antes de uma gravação.
Harry mal terminou de assentir rapidamente com a cabeça quando sentiu a glande quente e gorda passando por toda sua intimidade, captando todo o melzinho que escorria para facilitar a penetração. O frio na barriga e os tremores nas pernas pela adrenalina não tiveram espaço ao que todo o corpo dela foi preenchido por puro deleite e excitação ao ser alargada pouco a pouco por Louis.
Os olhos verdes foram pressionados, assim como os lábios foram mordidos e Louis só deu um tempo para a garota se acostumar com a invasão quando sentiu as bolas pesadas baterem no clitóris inchadinho. Harry sentia o pau grande o mais profundo possível pela posição e seu canal contraia ao mesmo ritmo da respiração descompassada, deixando ambos enlouquecidos e desesperados para gozar.
Os sons eram quase inaudíveis, afinal não era só Harry que estava se esforçando para não serem tão altos, mas as respirações pesadas e o barulho das peles batendo eram impossíveis de controlar. Assim que Louis pegou o primeiro impulso, socando forte e duro na entradinha apertada, o que se seguiu foi uma série de estocadas rápidas e certeiras deixando, consequentemente, a pele avermelhada pelo atrito com o quadril ainda vestido do menor e as bolas cheias de porra se chocando com o pontinho especial dela pareciam tapas a deixando a beira de um orgasmo.
- Você é tão gostosa, babe.. Eu queria que todo mundo visse o quanto sua bocetinha me aguenta tão bem - sentiu a nuca se arrepiar ao tê-lo falando assim baixinho ao pé do ouvido, e a pele ali parecia tão deliciosa que Louis não se conteve em deixar diversas marquinhas que ficariam arroxeadas depois.
- An.. não, não me marca.. por favor.. isso não pode aparecer.. hmm.. Louis!
- Shh.. tá tudo bem, ninguém vai ver, você vai pedir pra sua amiguinha cobrir com maquiagem depois.. e quando ela perguntar o que houve você vai dizer que gosta de ser marcada enquanto eu te fodo. - finalizou a fala encontrando um pedaço do pescoço branquinho que ficaria lindo ostentando uma bela mordida.
Por isso rodeou um dos braços até tocar pela frente o clitóris sensível, fazendo movimentos rápidos e circulares, enquanto cravou os dentes do lado direito do pescoço de Harry, passando a língua logo depois para amenizar a dor.
As sensações tão fortes se misturaram e foram tão bem recebidas pela mais nova que o orgasmo não pôde ser impedido. As pernas longas num instante se juntaram prendendo ainda a mão do mais velho, o quadril teve tantos espasmos que o pau de Louis só não saiu dela porque a bocetinha se contraiu o apertando lá dentro, tomando para si toda a porra que ele jorrou ao gozar.
A testa suada com os fios lisos grudados foi apoiada nas costas de Harry enquanto eles tentavam controlar a respiração e o ritmo cardíaco, sabendo que o resto como roupas amassadas, cabelos despenteados e maquiagem borrada não daria pra disfarçar. Se ajeitaram o máximo possível e voltaram para o estúdio, mas antes de tomarem suas devidas posições, Louis disse:
- Cuidado para não parecer tão inquieta.. espero que ninguém perceba minha porra escorrendo pelas suas pernas.
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