#lichen lundi
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Happy exactly 49 years since Australian Prime Minister Edward Gough Whitlam was dismissed from parliament by Governor-General Sir John Robert Kerr, at 1pm on the 11th of November 1975.
Happy Dissmissalversary to all who mourn !
do you guys think it's possible for a fungus and an algae to on purposed kiss
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#3840
Givre délavé Un voile de lichen gris Suaire lundi
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Que faire au jardin du lundi 22 au dimanche 28 janvier 2024
Une partie du jardin partagé de Cendras dans le département du Gard Vous y trouverez tous les renseignements nécessaires, et si besoin n’hésitez pas à poser vos questions en commentaire afin d’avoir des précisions supplémentaires. Jour racines
Semez des carottes sous châssis ou bien sur couche chaude Au jardin potager Continuez les semis de carottes et de navets sur un emplacement de préférence bien exposé sur couche chaude ou bien sous châssis Semez également des poireaux d'été (à repiquer dans le courant du mois de mars). Lundi 22 janvier Jour racines / fleurs
Rempotez les bruyères Au jardin potager avant 16h00 en jour racines Continuez les semis de carottes et de navets sur un emplacement de préférence bien exposé sur couche chaude ou bien sous châssis Semez également des poireaux d'été (à repiquer dans le courant du mois de mars). Au jardin d'agrément à partir de 16h00 passage en jour fleurs Hors période de gel, vous pouvez planter des arbres et des arbustes à fleurs sans oublier des rosiers vendus à racines nues. Rempotez les bruyères et les cyclamens que vous avez dû acheter à la saison automnale. Continuez à planter en pleine terre (hors période de gel) les potées de Chrysanthème. Taillez les rosier à une cinquantaine de centimètres environ. Taillez également la clématite ainsi que tous les arbustes qui fleurissent pendant la saison estivale. Toujours hors période de gel, repiquez des plantes vivaces à fleurs rustiques comme par exemple du giroflée, de la pensée et de la primevère. Je vous conseille d'effectuer ces plantations à l'abri du vent. mardi 23 janvier Jour fleurs
Taillez la clématite Au jardin d'agrément Hors période de gel, vous pouvez planter des arbres et des arbustes à fleurs sans oublier des rosiers vendus à racines nues. Rempotez les bruyères et les cyclamens que vous avez dû acheter à la saison automnale. Continuez à planter en pleine terre (hors période de gel) les potées de Chrysanthème. Taillez les rosiers à une cinquantaine de centimètres environ. Taillez également la clématite ainsi que tous les arbustes qui fleurissent pendant la saison estivale. Toujours hors période de gel, repiquez des plantes vivaces à fleurs rustiques comme par exemple du giroflée, de la pensée et de la primevère. Je vous conseille d'effectuer ces plantation à l'abri du vent. mercredi 24 janvier Jour feuilles
Commencez à repiquer des laitues Au jardin potager Vous pouvez commencer à repiquer des laitues que vous avez dû semer dans le courant du mois de décembre. Effectuez cette opération sous abri si votre région est plutôt froide. Au jardin d'agrément Hors période de gel, continuez l'élagage des arbres qui sont à feuillage caduc. D'autre part, avec une brosse qui ne soit pas trop dure, brossez les troncs des arbres qui sont recouverts de lichens et de mousse. Et terminez en les badigeonnant d'argile. Ramassez tous les déchets et brulez-les. jeudi 25 janvier Jour feuilles /fruits
Élaguez lez arbres caducs Au jardin potager avant 18h00 en jour feuilles Vous pouvez commencer à repiquer des laitues que vous avez dû semer dans le courant du mois de décembre. Effectuez cette opération sous abri si votre région est plutôt froide. Au jardin d'agrément avant 18h00 en jour feuilles Hors période de gel, continuez l'élagage des arbres qui sont à feuillage caduc. D'autre part, avec une brosse qui ne soit pas trop dure, brossez les troncs des arbres qui sont recouverts de lichens et de mousse. Et terminez en les badigeonnant d'argile. Ramassez tous les déchets et brulez-les. Au verger à partir de 18h00 passage en jour fruits Continuez la taille des arbres fruitiers tels la vigne et le kiwi ainsi que les arbustes à petits fruits (groseilliers, cassissiers.. Etc..). Continuez à planter des arbres fruitiers et des arbustes à petits fruits. vendredi 26 janvier Jour fruits
Taillez le kiwi Au verger Continuez la taille des arbres fruitiers tels la vigne et le kiwi ainsi que les arbustes à petits fruits (groseilliers, cassissiers.. Etc..). Continuez à planter des arbres fruitiers et des arbustes à petits fruits. samedi 27 JANVIER Jour fruits
Plantez du cassissier Au verger Continuez la taille des arbres fruitiers tels la vigne et le kiwi ainsi que les arbustes à petits fruits (groseilliers, cassissiers.. Etc..). Continuez à planter des arbres fruitiers et des arbustes à petits fruits. dimanche 28 janvier Je rappelle que les jours prévus par le calendrier lunaire seront pour que vous ayez une idée des périodes de plantation ou de semis car vous devrez faire face aux variations climatiques (pluie, neige, Etc..). Ceci pour vous dire que vous serez obligé parfois de déroger au calendrier lunaire pour cause de mauvais temps.
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#arbrecaduc#arbusteàfleurs#arbusteàpetitsfruits#bruyère#carotte#Cassissier#chrysanthème#clématite#couchechaude#cyclamen#girofléeravenelle#Groseiller#Kiwi#laitue#lichen#mousse#navet#pensée#poireau#primevère#Rosier#vigne#vivace
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La jungle
À six ans, en 1994, j’avais demandé à mon père de m’acheter une corde. Il m’en avait ramené une bonne, de dix mètres, bien solide. J’avais accroché une extrémité à une poignée de placard, et l’autre à un pied de mon lit mezzanine. Je voulais faire de ma chambre l’arbre de Rafiki, dans Le Roi Lion. La corde, c’était une liane, c’était un bon début. Ensuite, j’avais peut-être ramassé quelques feuilles, dans le jardin, avec lesquelles j’avais tapissé la moquette beige, puis ce fut tout. J’avais sauté un peu, comme ça, de pouf en chaise roulante, ce n’était pas terrible. Ça m’est resté sur l’estomac, cette ébauche de jungle.
Elise est partie pour deux jours, en séminaire à Trouville. Ce matin, je me suis levé seul, l’appartement baignait dans la lumière. Je repensais aux nombreuses transformations que j’opérais, dans ma chambre d’enfant ou dans mes appartements d’étudiant, errant la nuit, des heures, jusqu’à me redresser soudain, et déplaçant le bureau, le lit, les tables, changeant tout, donnant à l’espace de vie une forme nouvelle. Je m’endormais ensuite, épuisé, et le jour d’après, vers midi, je découvrais une zone inconnue, ravi et plein du sentiment d’avoir déménagé à moindre frais. La vie à deux, si elle offre une multitude de richesses, empêche néanmoins une chose importante : d’être le seul décisionnaire de l’arrangement spatial. La sphère superficielle quémande réflexion. Ce matin, je me suis levé seul et je suis allé à Truffaut. J’ai acheté trois cordes longues de dix mètres, un gros sac de terre, un autre de billes d’argile, une quantité impressionnante de lierre et une multitude de plantes. J’ai tout ramené à l’appartement, en taxi, en deux fois. J’ai suspendu les cordes d’un bout à l’autre du salon de quinze mètres carrés, puis j’ai fait pareil dans la chambre. Elles pendaient partout, je me prenais les pieds dedans. Pendant des heures, j’ai tressé le lierre en longues lianes, puis les ai accrochées en suivant le parcours des cordes. J’ai recouvert les murs de ce qu’il restait. J’ai disposé les grosses plantes au sol, partout où il y avait de la place, et les petites en hauteur. Enfin, j’ai tapissé le linoléum de terre et de billes d’argile. J’ai enlevé mes chaussures. Je me suis assis par terre et j’ai regardé la forêt. Il manquait un peu de vent, alors je me suis relevé et j’ai ouvert la fenêtre. Les lianes se balançaient doucement, les feuilles se frôlaient et faisaient comme des bruits d’insectes qui rampent. J’ai pensé un instant au retour d’Elise, je me suis dit qu’elle allait être bien contente, et pour m’en assurer, je suis allé chercher dans le placard les guirlandes lumineuses qui nous restaient de notre mariage, et je les ai suspendues un peu partout. J’ai fermé les volets. On aurait dit une nuée de lucioles. Je suis resté assis longtemps, encore, sur la terre et les billes d’argile, à regarder la jungle. De l’appartement d’origine, il ne restait que la cuisine, le lit et la salle de bain. C’est que je suis à cheval sur l’hygiène. Parfois, au milieu d’un mur, des livres surgissaient d’une épaisse couche de feuillage, des cadres, des miroirs, des photographies de la ville et de gens. Je suis redescendu m’acheter deux bouteilles. Dehors, par terre, au milieu des trottoirs, des petites pousses sauvages tentaient de forcer le bitume. Je leur souhaitai bonne chance. Je suis remonté, et j’ai passé la nuit et le jour qu’il me restait à boire mes bouteilles.
Quand Elise a ouvert la porte, j’étais tranquillement assis, nu, dans le fauteuil recouvert de lierre. Il y a eu dans ses yeux un éclat de stupeur légitime. Elle a posé son sac dans un coin où il n’y avait pas trop de terre. En équilibre sur ses talons rouges, elle a parcouru l’espace en écrasant les billes d’argile, à pas feutrés et pointus. Elle a longuement regardé l’accrochage des cordes et des lianes, a glissé une tête dans la cuisine et dans la salle de bain. Elle est revenue à moi, et elle m’a demandé si j’étais en train d’écrire ma nouvelle sur la jungle, pour le fanzine dont je lui avais parlé. J’ai répondu que oui, enfin que je commençais mes recherches. Elle a caressé du bout des doigts une grosse plante que j’aimais bien, une avec des feuilles rouge zébrées de vert, puis elle a enlevé ses chaussures. J’ai su que c’était gagné. Elle était au poil, Elise. Elle m’a dit que c’était formidable. Je lui ai tendu ce qu’il restait de la deuxième bouteille. Elle s’est allongée au sol, et je l’ai suivie. Les billes d’argile nous caressaient le dos, les reins et la plante des pieds.
Le lundi matin, nous ne sommes pas partis travailler. Elise m’avait dit que notre jungle manquait d’eau, de bruit d’eau, pour être exact, alors nous sommes retournés à Truffaut et nous avons acheté une sorte de très grande bassine, des tuyaux et encore un peu de terre. Dans l’appartement, nous avons installé la bassine dans un coin, bien camouflée de terre et de feuillage, et nous avons improvisé un parcours d’eau en boucle relié au robinet de la machine à laver. Ensuite, ça faisait comme un bruit de cascade, très léger, de rivière. C’était impeccable. Nous ne sommes pas partis travailler le lendemain, ni les jours d’après. De temps en temps, nous donnions des nouvelles, quelques messages d’amis ou d’enfants occupés et pour qui tout va bien. On a pas tant à se justifier envers nos proches tant qu’il savent que tout baigne. Le temps courrait, les volets clos, sans minutes, sans temps. Nous lisions, nous mangions ce qu’il y avait dans le placard que nous avions largement rechargé. Les employeurs, propriétaires et banques appelaient dans le vide. Ils étaient l’écho qui de temps à autre résonnait, que nous entendions loin, du fond de la jungle, à la lisière de nos vies normales, et dont peu à peu nous apprîmes à ne plus avoir peur.
Les semaines et peut-être les mois passaient. L’eau de la fontaine continuait de couler. Le bruit de la ville nous arrivait régulièrement, par la fenêtre ouverte, mais elle était devenu un son diffus, la ville, un bruit parmi d’autres que nous n’entendions plus, ou presque, la vibration des téléphones, les pas dans l’escalier, les jeux de clés dans les serrures. Nous menions une vie solitaire et commune, ensemble et tout à nos propres envies. L’amour avec Elise enflait, s’était installé dans chaque feuille, chaque bille d’argile et chaque page de livre. Faute de se dissiper dans la ville, il demeurait entier dans notre jungle, protégé d’une vie trop active, d’une énergie incontrôlable. Nous vieillîmes là, Elise et moi, un temps infini, nos peaux se ridant et nos cheveux perdant de leurs couleurs. Le monde du dehors semblait nous avoir oublié. Nous ne connaissions plus notre âge. Les plantes avaient poussé, la végétation avait triomphé de chaque objet, chaque meuble et chaque trace du passé. Tout avait recouvert le temps.
Et puis, un jour, l’eau de la fontaine s’arrêta de couler. Les guirlandes lumineuses s’éteignirent. Nous n’entendîmes plus aucun bruit, ni de voitures, ni de cris, ni de cage d’escalier. Seul le vent bruissait doucement depuis la fenêtre entrouverte. Elise et moi lisions, allongés sur un épais tapis de feuilles. Nous nous relevâmes, surpris, allant d’un même élan voir par la vitre ce qui avait pu ainsi arrêter le cours des choses. Nous étions devenus maigres, Elise et moi, arides. Nos peaux étaient devenues dures, rocailleuses, terreuses et végétales. Dehors, la lumière était rougeâtre, une lumière de fin d’après-midi, mais opaque, qui laissait à peine deviner le soleil. Il y avait une odeur lourde de souffre et de poudre de fer. Quelques vieilles voitures poussiéreuses étaient encore garées le long du trottoir pratiquement recouvert de lichen, de mousse et de plantes grimpantes. Il n’y avait personne. Devant nous, les immeubles étaient morts, vides, leurs murs saturés de lierre, comme si l’appartement s’était étendu à l’extérieur, comme s’il avait conquit le quartier, toute la ville. Le bitume des rues avait cédé, le goudron avait éclaté et laissé la terre du dessous revenir. Quelques oiseaux passèrent au-dessus de nos têtes, volant vite, vers l’Est. Je pris Elise dans mes bras. Il n’y avait plus qu’elle. Ça m’allait. Nous avons refermé les volets et nous nous sommes allongés sur le lit pour finir nos livres.
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ATTENTION ! L’amour est partout... Pas moyen de lui échapper, impossible de faire un pas sans qu’il ne vous le rappelle insidieusement. Sans foi ni loi. À l’instant, au détour d’un chemin, entre fougères et pins, le minéral encore endormi sur son lit de lichen, à l’abri de l’agitation d’un monde qu’il semble narguer. Une dissidente étoile lumineuse dans ce lundi grisou... Merci. partout... #amour #caillou #coeur #lichen #love #poweroflove #nature #naturephotography #naturelovers #monday #mondaymotivation #mondaymorning #inthemorning #mondayvibes #mondaymood #tostarttheday #pourbiencolmencerlajournee #tostarttheweek #newweek #lundimotivation #lundimatin (à Bordeaux, France) https://www.instagram.com/p/CO9sNS_HtWN/?igshid=1m26k5pvhn15x
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Bonjour à tous ! Ouvert aujourd'hui comme désormais tous les Lundis, j'en ai profité pour finir cette immense composition ! Dans un esprit de voyage, de couleurs et d'épices, j'ai choisi des graines et fleurs d'Inde, des mousses et lichens clairs, et des papillons des quatre coins du monde et de toutes tailles et couleurs. L'ensemble sous une cloche de verre recyclé à la base de bois sombre. J'espère qu'elle vous plaira ! Bon début de semaine à tous le monde. #entomologie #entomologyart #inde #voyage #costarica #cameroun #papillons #verre #artisanal #ethique #antanetenheur #cabinetdecuriosites #ruemolinier #igersagen #igerslotetgaronne #agen #agenmaville #lundi #createur #faitmain #darkart #wunderkammer (à Agen, Aquitaine) https://www.instagram.com/p/CAmvKZgntrN/?igshid=dsjurtu9wykr
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Découverte ce matin (lundi 18 mars 2019), au fond d’un ancestral pot de chambre, du cadavre desséché d’un hérisson. C’est que je rangeais le touchou (ou tout’chou), sorte d’appenti plein d’outils anciens et de matériel de jardinage plus récent dans quoi il faut faire la part des choses, jeter, trier, conserver encore un peu et préserver de la pourriture, occupé en somme à un exercice d’archéologie familiale des plus attentif et précautionneux, quand j’ai remarqué une forme grise lovée au fond du récipient à usage nocturne, compacte et ramifiée. Secoué et remué le pot de chambre, pensé à un champignon, un lichen, tâté l’objet, sursauté et conclu à une gueule de hérisson, à ses piquants, à ses pattes blanchies. Grosse bête tout de même, dont l’arrondi impeccable suit bien les limites du pot de chambre pour former une demi-sphère d’aspect floral ; les insectes de la mort n’ont dévoré que les parties molles de l’animal, ne laissant qu’une anémone de piquants bien ordonnés.
Que de vieux pots de chambre soient remisés chez nous au rayon jardinage avec les pioches décaties, les sarcloirs démanchés et les bèches rouillées, n’étonnera que les moins habitués des greniers familiaux, caves, celliers et remises où le passé tombe lentement en poussière sans souci de mise en ordre temporelle ou de classement pratique. Notre passé est désordonné, oui, oui, voilà, vous parlez d’une découverte et après tout, on sait bien que l’annexe de la chambre funéraire de Toutankhamon est pleine d’un bric à brac mal rangé, mis sens dessus dessous autant par les pilleurs d’antique que par les chercheurs de trésors. Ce hérisson, c’est donc un de nos oushebtis à nous, figurines funéraires, et le pot de chambre notre vase canope : tout’chou-sépulture et hérisson-momie : la mort est un fatras, notre passé un dédale, les maisons familiales des nécropoles.
Les deux objets mortuaires sont maintenant indissociables, le pot de chambre (que j’ai bien connu, enfant) et le cadavre du hérisson, gueule ouverte ; je vais les sortir de là, du tout’chou, les ranger ensemble dans mon atelier à moi, tourner autour, noter décrire photographier expliquer, egyptologiser ou pire faire de l’art ou un rapport de fouilles à partir des figures zoomorphes découvertes ce matin. Et puis je vous laisserais dégringoler l’escalier funéraire de l’immémoriale métaphore ancestrueuse : notre mémoire ? Un vase de nuit. Nos souvenirs ? Des cadavres raidis. Nos fantômes ? Des momies hérissées. Vivre ? Poussière.
A noter : notre pot de chambre émaillé de bleu avait été repeint de blanc, bien dans la manière de mes oncles bricoleurs. De mon père, aussi. Dans la maison de famille, on trouve ainsi de très nombreuses traces de ces arrangements réparateurs de ces raffistolages incessants écaillures fils de fer cales cimentations clous vis pointes chatertons que je conserve soigneusement, vous pensez bien…Rénover un pot de chambre, faut l’faire…
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Une montre végétale pour illustrer la fragilité de la nature
La marque horlogère suisse H. Moser a présenté lundi au salon de Genève une montre végétale, couverte de lichens, mousses et fleurs des Alpe
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náttúran - nature
jurtin - plant tréð - tree furan - pine tree eikin - oak hlynurinn - maple víðirinn - willow brómberið - blackberry berið - berry stofninn - trunk laufið - leaf brumið - bud trjágreinin - branch viðurinn, timburinn - wood rótin - root runninn - bush mosinn - moss fléttan - lichen sveppurinn - a mushroom blómíð - a flower grasíð - grass skógurinn - forest fjallíð - mountain hæðin - hill vatnið - a lake áin - a river fossinn - waterfall steinninn - stone kletturinn - rock, cliff rjóðurinn - clearing kortið - map áttavitinn - compass gönguferðin - hike (n) backpokinn - backpack stígurinn - path hellirinn- cave hafið - sea borgarísjakinn - iceberg ísinn - ice snjórinn - snow lundinn - puffin
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(via https://www.youtube.com/watch?v=P64D5Nvrub8)
:/ 02.05.2017, 07:54 Arctique canadien: morses et caribous, deux espèces menacées "de disparition"
MORSES ET CARIBOUS - Le comité sur la situation des espèces en péril au Canada (COSEPAC) a proposé de mettre les morses et caribous sous statut d'espèce préoccupante et en voie de disparition. Le nombre d'animaux dans cette situation au Nord canadien atteint maintenant le nombre de 62.
Les deux derniers troupeaux de morses du Canada et une énième harde de caribous "sont menacés de disparition" en Arctique, a annoncé lundi un comité d'experts scientifiques. L'organisme propose de les placer sous statut d'espèce préoccupante et en voie de disparition.
Le nombre d'espèces sauvages du Nord canadien, considérées comme étant en péril atteint maintenant 62, a indiqué le comité sur la situation des espèces en péril au Canada (COSEPAC) à l'issue de sa réunion bisannuelle. Le comité est chargé de conseiller le gouvernement canadien.
"Au cours des dernières décennies, les aires habitées par les quelques milliers de morses du Haut-Arctique et par la population plus nombreuse du centre de l'Arctique et du Bas-Arctique ont fait l'objet d'une réduction qui d'ailleurs se poursuit", a indiqué le COSEPAC.
Le comité recommande que ces deux populations soient classées sous statut d'espèce "préoccupante" compte-tenu des menaces qui pèsent sur elles: réchauffement climatique, recul de la glace de mer, interactions plus fréquentes avec les touristes, développement industriel. Un tel statut obligerait le gouvernement à prendre des mesures pour contrer le déclin des troupeaux.
Quelques milliers de caribous
"Les morses ont été très importants pour les Inuits, à la fois comme nourriture et dans leur culture, et le demeurent encore à ce jour. Les morses sont particulièrement vulnérables aux perturbations et méritent certainement une attention particulière", a souligné l'expert en mammifères marins du comité, Hal Whitehead.
Le comité a aussi examiné, pour la première fois, le sort du caribou migrateur de l'Est, "célèbre harde" de la rivière George au Québec et au Labrador, qui comptait plus de 800'000 têtes en 1993 et dont il ne reste plus que "quelques milliers d'animaux".
Le statut d'espèce "en voie de disparition" a été recommandé pour cette espèce de renne, ainsi que pour une deuxième harde qui connaît également "un grave déclin", selon le COSEPAC.
L'un de ses experts, Graham Forbes, a souligné la vulnérabilité du caribou aux activités humaines, une situation que vient compliquer le "changement climatique rapide dans le Nord". "Les arbustes couvrent de plus en plus des paysages autrefois dominés par le lichen, source de nourriture principale du caribou en hiver; et la surexploitation se poursuit", a-t-il expliqué.
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EXCLUSIF. Michelin : Marc Veyrat, nouveau 3 étoiles
« Si je n'ai pas 3 étoiles, je rends les deux autres ! » C'était le samedi 30 décembre 2017. Depuis sa Maison des Bois perchée à 1 800 mètres d'altitude sur la route du col de la Croix-Fry à Manigod, il n'en démordait pas. Coiffé de son éternel chapeau de berger et habillé comme à l'accoutumée en noir de la tête aux pieds, il nous avait confié, planté au beau milieu d'une montagne de neige, que ce serait « marche ou crève ». Ce sera donc marche !
Le Point.fr est en mesure de révéler que Marc Veyrat va décrocher 3 étoiles comme Christophe Bacquié dans l'édition 2018 du Michelin, dont le palmarès sera dévoilé lundi 5 février à partir de 16 h 30 à la Seine Musicale à Boulogne-Billancourt. Sacré « Marco » de Manigod ! Lui, l'irascible pin aux verres fumés, croix de Savoie en or autour du cou, chevelure délurée, toujours aussi volubile, séducteur comme pas deux, est plus que jamais vivant. Une vie à l'allure de grand huit peuplée de vertigineuses montées et d'affolantes descentes. « Ce qui ne tue pas rend plus fort, non ? » s'enflamme-t-il souvent avec son inimitable accent en paraphrasant Nietzsche.
Veyrat renaît de ses cendres
À 67 ans, le maestro des fourneaux qui fut couronné de deux fois 3 étoiles Michelin et auréolé de deux fois 20 sur 20 au Gault & Millau à L'Auberge de l'Éridan, à Veyrier-du-Lac, au bord du lac d'Annecy, et à La Ferme de mon père à Megève, est de retour au sommet dans le guide rouge. Avec le feu sacré. Renaissant de ses cendres pour la énième fois – on ne les compte plus – sur les cimes de sa Maison des Bois, lovée à une longueur de spatule de La Cluzaz en Haute-Savoie ouverte en septembre 2013 puis partie en fumée lors d'un incendie en mars 2015. Un cocon intime à fleur de colline habité de sept délicieuses chambres – cinq écrins douillets et deux chalets –, d'un spa taillé dans le granit et d'un conservatoire alimentaire reconstitué sur 100 mètres sous la roche.
Marc Veyrat s'est reconstruit en même temps que son exquise demeure Relais & Châteaux nichée en plein cœur du massif des Aravis. L'enfant terrible de la gastronomie a surtout réalisé son rêve de gosse sur le sol de ses ancêtres en recréant à l'identique la ferme d'hôtes de ses grands-parents et parents qui vivaient en autarcie, « de manière écologique », dans ce village de moins de 1 000 habitants. Dans sa Maison des Bois, le « chef-paysan-autodidacte » comme il aime se définir a fait sortir de terre des potagers, des vergers, des jardins botaniques et un étang tout en faisant grimper dans son « petit paradis » 5 vaches laitières Tarines, 60 poules et des viviers de poissons d'eau douce.
Symphonie pastorale, minérale, alpestre
À sa table de 28 couverts, Marc Veyrat joue une symphonie pastorale, minérale, alpestre et biologique transcendée par les herbes sauvages. La toque met sur le devant de l'assiette d'épatants morceaux de bravoure célébrant le terroir savoyard. Au programme ? Escalope de foie gras à la myrrhe odorante ; œuf au foin à l'oxalis ; torchon de légumes au termignon ; infusion au serpolet et arômes poissons sauvages ; tartiflette du XXIe siècle ; langoustine à l'ache, bonbons de reine des prés ; truite du Léman cuite dans l'écorce d'épicéa, sauce façon beurre blanc ; canette, beignets de lichen des bois, purée de ratte aux truffes du pays ; balade en sous-bois entre réel et virtuel ; ercheu des fromages de ses cousins ; soufflé à la poire.
Marc Veyrat a conjuré le sort. Qu'il doit lui paraître loin le temps de sa convalescence « en fauteuil roulant et en béquilles » après son accident de ski en janvier 2006 qui lui avait valu de multiples fractures et sept opérations, le contraignant à fermer ses restaurants de Veyrier-du-Lac et de Megève. Son corps avait beau être en miettes, sa tête, elle, était toujours en ébullition. Qui vivra Veyrat !
Article complet: http://www.lepoint.fr/gastronomie/exclusif-michelin-marc-veyrat-nouveau-3-etoiles-05-02-2018-2192230_82.php
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Late afternoon lichen lundi
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