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#libertés individuelles
empiredesimparte · 5 months
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Europeansim Council Summit: Francesim, Iona and Pierreland play spoilsport
The 8 heads of state of Europesim met for a summit of the Europeansim Council, one of the major institutions of the Europeansim Union. The role of the Europeansim Council is to decide on the next directions of the E.U. in the coming months, and it is currently presided over by the Empire of Francesim for 6 months.
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Official photograph of the Europeansim Council summit.
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H.I.M Emperor Napoléon V of the French, who presided over the meeting, wanted to impose stricter police measures throughout the EU.
The topics discussed at the diamond table focused mainly on the security of member states. As a reminder, Francesim and Iona have been the victims of attacks on their sovereigns, Emperor Napoléon IV and Queen Viviana I, in recent months. These terrorist acts raise many questions about policing and surveillance measures in the Europeansim Union. A few years ago, Pierreland also had to deal with a regicide.
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H.I.M Emperor David of Pierreland brought his country's experience of crisis management to the diamond table.
While the national security vote is being prepared everywhere in the Europeansim institutions, uncertainty remains as to the severity of the legislation. This law is likely to have a major geopolitical impact on all Europeansim countries, allowing them to strengthen or not their surveillance measures, and leading to a clear reduction in individual freedoms.
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Pierreland's proposals did not meet with unanimous approval, particularly from the heads of state in Iona and Greecesim.
Some countries, such as Greecesim, condemned these exchanges as a "terrible mistake". Queen Viviana II called for calm, proposing "reinforced surveillance" rather than fully aligning herself with the vigorous police measures proposed by the French Presidency.
From this meeting, we can only conclude that the Europeansim Council Summit will require further sessions to achieve fruitful debates. A rift between the Europesim countries is more than tangible, and is worrying the people of the E.U.
Collaboration with @funkyllama and @officalroyalsofpierreland
⚜ Traduction française
Sommet du Conseil européen : Francesim, Pierreland et Iona jouent les troubles-fêtes
Les 8 chefs d'états d'Europesim se sont réunis pour un sommet du Conseil Européen, l'une des grandes institutions de l'Union Européenne. Le Conseil Européen a pour rôle de décider des prochaines directions que prendront l'U.E les prochains mois, et est actuellement présidé par l'Empire de Francesim pour 6 mois.
Photographie officielle du sommet du Conseil Européen.
L'Empereur Napoléon V, président de la séance, a souhaité imposer des mesures policières renforcées dans toute l'U.E.
Les sujets engagés à la table losange se sont principalement concentrés sur le thème de la sécurité des états-membres. Pour rappel, la Francesim et l'Iona ont été victimes ces derniers mois d'attentats sur leur souverain, l'Empereur Napoléon IV et la reine Viviana I. Ces actes terroristes soulèvent beaucoup de questions quant aux mesures de police et de surveillance dans l'Union Européenne. On se souvient, quelques années plus tôt, que Pierreland avait également dû faire face à un régicide.
L'Empereur David de Pierreland a apporté à la table losange l'expérience de son pays en matière de gestion de crises.
Alors que le vote de sécurité nationale se prépare un peu partout dans les institutions européennes, l'incertitude demeure quant à la sévérité des textes de lois. Cette loi devrait avoir un impact géopolitique majeur sur l'ensemble des pays d'Europesim, leur permettant ou non de durcir leurs mesures de surveillance et entraînant une diminution des libertés individuelles.
Les propositions de Pierreland n'ont pas fait l'unanimité, notamment auprès des chefs d'états d'Iona et de la Grèce.
Certains pays comme la Grèce fustigent ces échanges parlant d'une "terrible erreur". La reine Viviana II appelle au calme en proposant une "surveillance renforcée" plutôt que de s'aligner totalement sur les mesures policières vigoureuses proposées par la présidence française.
De cette réunion, on peut seulement conclure que le Sommet du Conseil Européen nécessitera de nouvelles sessions pour parvenir à des débats fructueux. Une fracture entre les pays d'Europesim est plus que tangible et inquiète les habitants de l'U.E.
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vague-abondage · 21 days
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Pour être libre, il suffit de l'être, sans en demander l'autorisation à personne. Il faut se faire une hypothèse sur son propre destin et s'y tenir, sans se soumettre ni céder aux circonstances. Une telle liberté exige de l'homme de véritables ressources intérieures, un niveau élevé de conscience individuelle, et le sens de la responsabilité devant lui-même et par là devant les autres.
La tragédie est hélas que nous ne savons pas être libres. Nous réclamons une liberté qui doit coûter à l'autre mais sans rien lui abandonner en échange, voyant déjà là comme une entrave à nos libertés et à nos droits individuels. Nous sommes tous caractérisés aujourd'hui par un extraordinaire égoïsme. Or ce n'est pas cela la liberté. La liberté signifie plutôt apprendre à ne rien demander à la vie ni à ceux qui nous entourent, à être exigeant envers soi-même et généreux envers les autres. La liberté est dans le sacrifice au nom de l'amour.
Andreï Tarkovski, Le Temps scellé.
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Le Forum économique mondial (WEF) a admis que la pandémie de COVID-19 était un test de l'obéissance du public à accepter son Nouvel Ordre Mondial il a publié l'admission suivante sur la page "Mon carbone" de son site web où ils font un pitch pour les villes intelligentes de 15 minutes Thegatewaypundit.com rapporte : Le premier des trois "développements" qui, selon le WEF, doivent être en place avant que le monde puisse évoluer vers sa vision utopique des "villes intelligentes et durables", est le respect des restrictions à notre liberté. Il écrit :
1. COVID-19 a été le test de la responsabilité sociale - Un grand nombre de restrictions inimaginables pour la santé publique ont été adoptées par des milliards de citoyens à travers le monde. Il existe de nombreux exemples à l'échelle mondiale de maintien de la distanciation sociale, de port du masque, de vaccinations de masse et d'acceptation des demandes de recherche des contacts pour la santé publique, qui ont démontré le cœur de la responsabilité sociale individuelle.
Ils nous testaient. C'est ce qu'était le Covid. Ils voulaient voir combien d'entre nous abandonneraient notre liberté individuelle et notre souveraineté individuelle en se conformant à une "nouvelle normalité" qui consistait en des restrictions à la limite de l'absurde. Pourquoi, par exemple, était-il "sûr" de faire ses achats chez Lowe's ou Home Depot, mais dangereux de faire ses courses dans une petite entreprise ou d'aller à l'église ? Pourquoi était-il acceptable d'aller dans des clubs de strip-tease dans le Michigan mais vous ne pouviez pas acheter de graines pour un jardin ? Ce que le WEF implique avec sa déclaration ci-dessus, c'est que pour être "durables", les personnes et les sociétés devront se conformer à un nouvel ordre mondial plus autoritaire. Ne pose pas de questions. Ne recourez pas à la logique. Il suffit d'obéir. Serions-nous obéissants face à de nouvelles lois et réglementations idiotes, comme porter des couches pour arrêter ce qui était considéré comme un virus en aérosol, et se tenir à 3 mètres l'un de l'autre en public, et se soumettre à une injection non autorisée d'ARNm jamais utilisée auparavant ?
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WEF has admitted that the COVID-19 pandemic is a test of the public’s obedience to its New World Order, posting the following admission on the “My Carbon” page of its website where it makes a 15-minute pitch for smart cities. Thegatewaypundit.com reports: The first of three “developments” that the WEF says must be in place before the world can move toward its utopian vision of “smart, sustainable cities,” is compliance with restrictions on our freedom. It writes: 1. COVID-19 has been the test of social responsibility - A large number of unimaginable public health restrictions have been adopted by billions of citizens around the world. There are many examples worldwide of maintaining social distancing, wearing masks, mass vaccinations, and accepting contact tracing requests for public health, which have demonstrated the heart of individual social responsibility. They were testing us. That’s what Covid was. They wanted to see how many of us would give up our individual freedom and individual sovereignty by conforming to a “new normal” that consisted of restrictions that bordered on the absurd. Why, for example, was it “safe” to shop at Lowe’s or Home Depot, but dangerous to shop at a small business or go to church? Why was it okay to go to strip clubs in Michigan but you couldn’t buy seeds for a garden? What the WEF is implying with their statement above is that in order to be “sustainable,” people and societies will have to conform to a new, more authoritarian world order. Don’t ask questions. Don’t resort to logic. Just obey. Would we be obedient to idiotic new laws and regulations, like wearing diapers to stop what was considered an aerosolized virus, and staying 10 feet apart in public, and submitting to an unauthorized mRNA injection never before used?
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ekman · 9 months
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Tu sais, France, je ne sais plus trop quoi te souhaiter à l’orée de quatre nouvelles saisons. On ne va pas se mentir, toi et moi. On se connait depuis bien trop longtemps pour verser dans les banalités d’usage. Nous savons tes vérités car nous avons fait l’état des lieux. Ce n’est pas brillant, reconnaissons-le. Ça l’est d’autant moins que la somme des boulets et des tumeurs qui ralentissent ton pas et minent ta santé prend maintenant plus de place que ta propre géographie. Déficits économiques abyssaux, remplacements physique et génétique de ta population d’origine, destruction ou réécriture de ton récit historique, pression croissante d’occupants hostiles et sous-formatés, disparition ou corruption des institutions, absence de direction et de décision politiques, effacement progressif et programmé des libertés publiques et individuelles, flicage et répression des populations natives, mansuétude judiciaire pour les exogènes, matraquage médiatique permanent... je pourrais en ajouter quelques autres wagons, mais à quoi bon ?
L’année écoulée a vu son lot de victimes physiques et morales grossir comme jamais depuis la dernière guerre – qui n’était en réalité que l’avant-dernière. La population française, je veux dire celle que l’on appelle maintenant “de souche” car à peu près leucoderme et vaguement chrétienne, n’a jamais été aussi divisée. Non sur des idées ou des opinions de politique générale, pas non plus sur la meilleure façon d’accomoder le bœuf bourguigon ou d’ouvrir une bouteille de Gevrey-Chambertin, mais sur l’attitude à adopter à l’heure du grand vautrage. Faut-il continuer à pousser son maigre avantage comme le bousier son bousin, le tête baissée, le verbe bas ? Doit-on ne plus se préoccuper que des intérêts du premier cercle, le seul qui compte encore, celui qui n’a de valeur que privée ? Est-il possible d’envisager une fuite salvatrice vers une terre encore civilisée ? Ou alors doit-on cultiver l’insouciance en espérant l’éclaircie, ce qui revient à développer un certain (mauvais) esprit en préparant les mouchoirs ? Les Français, selon leur caractère, leurs intérêts, leur degré d’espérance, suivent leur pente. En tout état de cause, qui qu’ils soient, ils se retrouveront tous au creux de la bonde, sur le côté gauche du vaste évier de l’Histoire.
Bonne année quand même, ma vieille et chère France !
J.-M. M.
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e642 · 8 months
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Quand j'étais petite, même adolescente, la réponse de mon père à mes problèmes était souvent la même "on nait seul, on meurt seul, ce qu'il y a au milieu, c'est un flux incertain de gens, d'argent, de moments". J'étais toujours frustrée, c'était trop pragmatique, parce que moi je me raccrochais aux flux en les pensant constant. J'étais sûre que ce serait les gens dans ma vie qui me feraient vivre et qui y donneraient un intérêt. En un sens, c'est vrai. Ça compte beaucoup mais ça ne comptera jamais autant que nous en tant qu'individu. Ma capacité à être mon pilier, ma sûreté, ma zone de confort a longtemps était insuffisante car je ne pensais pas que ça devait venir de moi. J'ai mis du temps à comprendre que les ressources c'était dans les miennes qu'il fallait que je pioche pour avancer car elles, étaient à moi. Celles des autres sont éphémères et pas à ma disposition. J'ai toujours beaucoup de mal avec cette notion d'auto suffisance. Je dois pouvoir subvenir à mes besoins émotionnels, vitaux, individuels. Ça m'a toujours paru être une trop grande responsabilité pour moi. Aujourd'hui j'écris ça au bord de la mer. C'est la 2e fois en 6 mois dans cette nouvelle vi(ll)e que je fais ça. Je sors pas par nécessité, pas parce que je dois acheter quelque chose, aller à la fac ou encore chez le médecin. Non. Je sors pour me balader. Sans but. Juste parce que j'ai le temps et l'envie. La première fois, j'avais écrit du même endroit, en septembre, et complètement brisée. J'étais prise dans une tempête émotionnelle et sensorielle. J'avais peur pour ma mère. J'avais mal d'avoir laissé la liberté à ce garçon de me heurter. Je n'étais pas sûre de vouloir continuer les études. Je ne sais pas si je ne ressens plus tout ça. Ce serait mentir de dire que la peur, la rancoeur et le doute ne font pas partie intégrante de ma vie mais dans la mesure où ils ont toujours été présents, je ressens plus de facilité à atténuer. Je regarde la mer avec plus de sérénité. C'est peut-être bon signe que je recommence à sortir sans but et à aller au cinéma. Après tout ce temps, peut-être que l'habitation est enfin là. J'ai de moins en moins mal au ventre à mesure que le temps passe. Je trouve une sorte de routine. Enfin. Je me prépare à une rupture qui aura lieu tôt ou tard et je tâche de faire ce qu'on attend de moi. Me détacher de toute la souffrance que je sais me rajouter seule. J'essaie de faire à manger régulièrement, ne pas louper de cours, ne pas être flexible, ne pas me forcer, me cultiver, être quelqu'un de moins pénible pour moi et pour les autres. Juste prendre le temps de sourire aux personnes âgées dans la rue, parler aux filles du groupe, lire mes cours. C'est pas chose aisée. Je me contraints à être quelqu'un que j'aimerais côtoyer. J'essaie de prendre tout ça comme un moyen de grandir et moins comme une punition. Sûrement que tout arrive pour une raison (plus ou moins valable) et que ça prend du temps de voir ce qu'on peut en faire de bien. Je ne crois pas que je me déteste, je crois que je me tolère.
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aurevoirmonty · 10 months
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"En réalité, les régimes fascistes n'ont pas été des régimes de contrainte pour les individus. Ils ont généralement respecté les libertés individuelles et n'ont réprimé que le sabotage, le parasitisme et la spéculation. En revanche, ils ont assuré aux peuples la plus précieuse des libertés, celle d'être eux-mêmes et non pas ce qu'on a décidé qu'ils sont : liberté que nous ne connaissons plus."
Maurice Bardèche, La condition de notre salut salut, Le Crapouillot, N° 77 (1984)
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raisongardee · 11 months
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"Une fois qu’on a ainsi compris qu’au cœur du projet libéral il y a toujours la volonté idéologique de fonder la paix civile et la défense des libertés individuelles sur l’exclusion de principe de toute référence à des valeurs morales (ou philosophiques) communes, les mésaventures de la gauche contemporaine perdent une grande partie de leur mystère […] Ce n’est assurément pas un hasard si la philosophie du capitalisme a connu ses premiers développements dans le cadre de la philosophie européenne (et notamment écossaise) des Lumières et de son rejet radical de tous les "préjugés" et de toutes les traditions."
Jean-Claude Michéa, Le Complexe d’Orphée, 2014.
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mali-umkin · 2 years
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"Il faut observer que dans tout État le seul frein efficace des abus de l’autorité c’est l’opinion publique, et par une suite nécessaire, la liberté de manifester son opinion individuelle sur la conduite des fonctionnaires publics, sur le bon et mauvais usage qu’ils font de l’autorité que les citoyens leur ont confiée."
Maximilien Robespierre, Discours sur La Liberté de la Presse
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thomas-querqy · 4 months
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François Sureau, la liberté passionnément
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L’interminable crise sanitaire du Covid aura au moins eu l’utilité de me conforter sur deux points : notre système politique « présidentiel », indigne d’un vieux pays démocratique, est au bout du rouleau, et la privation des libertés individuelles et publiques, qui a pu ainsi nous être imposée, très au-delà du nécessaire, m’a révélé combien, par dessus tout, j’y étais attaché, à la différence de la très grande majorité de mes concitoyens. Comme les journalistes relayaient avec conviction la propagande de peur du gouvernement et chacune de ses mesures liberticides, sans qu’aucune critique ne puisse s’exprimer, j’ai dressé l’oreille lorsque j’ai entendu pour la première fois la voix grave et l’élégant phrasé d’un homme que je ne connaissais pas : François Sureau.
Merveille de la mise en ligne des archives radiophoniques du service public, je crois avoir retrouvé son intervention sur le 7-9 de France Inter du 21 Mars 2021, peu avant le 3e confinement. L’homme était invité à l’occasion de la sortie de son livre « Ma vie avec Apollinaire ». Nous pûmes ainsi avoir le plaisir de l’entendre dire :
On a l’impression d’assister en réalité à un effondrement, qui est un effondrement de 10 ou 20 ans de la gestion technocratique de la société. […] J’ai eu bien des fois au cours de l’année qui vient de s’écouler l’impression fâcheuse [d’un] transfert [de responsabilité], c’est-à-dire qu’au fond un gouvernement raisonnablement coupable s’en prenait à un peuple innocent, ça ne veut pas dire non plus à l’inverse que nous puissions être facilement tenus quitte de notre assentiment, puisque en réalité nous collaborons tous à ce transfert de responsabilité. La presse par exemple a été dans la première partie du confinement étonnamment lamentable, dans son absence d’esprit critique. L’analyse critique de l’effondrement de la gestion technocratique du monde reste en deçà de ce qu’on pourrait attendre des contrepouvoirs. […] Je parle de la presse mais je pourrais parler du Parlement qui s’est mis pratiquement en vacances […]
En farfouillant sur le web, dans une archive de « C à vous » du 19 juin 2020, en sortie du 1er confinement, il énonce clairement « le blocage institutionnel » dans lequel se trouve notre système politique et ce qui fait de la France une démocratie défaillante :
Cette période a révélé des choses qui étaient à l’œuvre avant et qui se sont continuées de manière extrêmement spectaculaire […] Pour moi le blocage institutionnel auquel nous assistons à l’heure actuelle, [c’est] que nous n’avons que peu d’exécutif, peu de législatif et une justice constitutionnelle qui s’est mise en vacances, quelque chose que nous avons vu se développer au cours des années précédentes, qui a été révélé de manière éclatante avec le confinement, et ça c’est un vrai sujet beaucoup plus que le confinement lui-même. [...] On est la seule démocratie occidentale qui confond les fonctions de chef de l’État et de chef de gouvernement, c’est très emmerdant tout de même, ou bien le chef de l’État est chef d’État et incarne toute la nation, et dans ce cas il est accusé d’être un « roi fainéant », ou bien il se met à agir pour défendre un programme et dans ce cas là il y a la moitié ou les deux tiers des gens qui le déteste très vite, donc la popularité qui advient au président de la république actuellement, procède d’un vice constitutionnel total. Quant au premier ministre, lui il se transforme progressivement en secrétaire général du gouvernement + et ministre responsable des relations avec le Parlement. En fait vous n’avez ni gouvernement, ni chef de l’État avec la confusion, c’est tout de même fascinant. Nous n’avons pas non plus de législatif puisque le législatif ne contrôle pas, n’évalue pas, et empile des normes. Et la justice constitutionnelle, et une large part de la justice civile, s’est mise en vacance. C’est-à-dire que sur les trois pouvoirs de la déclaration des droits, nous les avons vu disparaître simultanément -j’exagère un peu bien sûr. […] Ce système met en face un peuple peu représenté, convaincu qu’en réalité le pouvoir n’est pas réellement responsable devant lui pendant une période de 5 ans, ce qui est énorme, et condamnant tout chef d’État élu à une impopularité radicale après une période de 3 ou 4 ans, ce qui est très dangereux pour la démocratie libérale.
Lorsque j’ai appris qu’il venait de publier un nouveau livre, « S’en aller », j’ai eu envie de le lire. C’est ainsi que j’ai découvert que l’homme avait eu plusieurs vies, notamment celle de s'’être engagé dans la réserve de la Légion étrangère. J’en lirai d’autres car il mérite bien son épée d’Académicien.
Je me suis aperçu très tard que j’avais de longtemps peur de la mort. L’agonie de mon père a fait venir au jour ce sentiment enfoui, qui depuis le début de l’âge adulte me faisait me réveiller trois fois par nuit pour m’assurer que j’étais bien vivant. […] Cette peur n’était pas la peur du néant. J’ai toujours eu la prescience de l’autre côté. […] Si j’aime la vie, si l’angoisse m’étreint à l’idée qu’elle s’achève, ce n’est pas tant pour le plaisir de voir se prolonger les émotions immédiates qu’elle dispense, que pour pouvoir continuer à la ressentir en partie double, pour ce qu’elle est et pour ce qu’elle annonce, cette interrogation étant ce qui me fait écrire.
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satorugojowidow · 9 months
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En Argentine, la démocratie et les droits fondamentaux en péril ! Solidarité avec les travailleuses et travailleurs et les syndicats du pays !
Javier Milei, entré en fonction le 10 décembre 2023, déroule déjà sa politique populiste d’extrême-droite, faisant peser de lourds dangers sur la démocratie et sur les droits fondamentaux des citoyens en Argentine, à commencer par ceux des travailleuses et des travailleurs.
Fin décembre, le président Argentin a présenté le Décret de Nécessité d’Urgence (DNU) et la Loi Omnibus, qui s’attaquent à plus de 300 dispositions touchant aux bases des droits individuels et collectifs. Ces mesures remettent en cause les fondements démocratiques du pays, rompant avec la séparation des pouvoirs et violant la Constitution argentine. Ce décret vise également le démantèlement des services publics et de la protection sociale, avec le licenciement de milliers de fonctionnaires argentins déjà à l’œuvre, en instaurant une austérité dévastatrice pour le modèle social argentin et les droits et intérêts des travailleuses et travailleurs en Argentine.
Parallèlement, ce même gouvernement a rapidement publié un protocole, ayant pour objectif la criminalisation de la contestation sociale, en permettant notamment un usage indiscriminé du recours à la répression d’État contre toutes les formes de lutte, en particulier celles des travailleuses et des travailleurs.
Les travailleuses et travailleurs sont de fait en première ligne face à ces réformes, citons entre-autres : la volonté d’éliminer la justice du travail, la remise en cause de la liberté syndicale et d’adhérer ou non à un syndicat, le renforcement des prérogatives des employeurs pour réprimer l’activité syndicale au quotidien, la mise en place d’une période d’essai de 10 mois, l’élimination en pratique du droit de grève et la suppression du droit à l’indemnisation pour licenciement sans cause réelle et sérieuse.
En outre, ces batteries de mesure incluent le démantèlement des normes environnementales et l’abandon de la souveraineté, sur les richesses naturelles et les terres du pays aux desiderata des capitaux internationaux.
La politique de Milei témoigne de la nature profonde de l’extrême-droite, un danger mortel pour le monde du travail, pour les services publics et pour l’environnement, et un mépris des principes démocratiques les plus élémentaires.
Nos organisations syndicales CFDT, CGT, FO, FSU, UNSA et Solidaires expriment leur plus vive inquiétude face à cette offensive contre les acquis de plusieurs décennies de luttes sociales et syndicales en Argentine.
Nous adressons toute notre solidarité aux travailleuses et travailleurs d’Argentine, et notamment aux confédérations syndicales CGT-RA, CTA-T et CTA-A. Nous les soutenons inconditionnellement dans le processus de lutte qu’elles ont engagés pour faire face aux politiques mortifères de Milei et son gouvernement.
En particulier, nous sommes solidaires de l’appel à la grève nationale du 24 janvier initié par les trois centrales syndicales du pays. Elles réclament le respect du fonctionnement démocratique du pays et de sa Constitution ainsi que le retrait de ces lois bafouant un nombre incalculable de droits fondamentaux, à commencer par les conventions de l’OIT que le pays a ratifiées.
Nos organisations syndicales CFDT, CGT, FO, FSU, UNSA et Solidaires appellent à se rassembler le mercredi 24 janvier à 18h00 devant l’ambassade d’Argentine pour témoigner de notre solidarité avec les travailleuses et travailleurs, et les syndicats, en lutte pour défendre leurs droits et la démocratie.
Rassemblement de solidarité devant l’ambassade d’Argentine le 24 janvier à 18h00 à l’angle de la rue Cimarosa et de l’avenue Kleber, 75016, Paris. Metro 6 : Boissière
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lemondeabicyclette · 4 months
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Nous ne pouvons plus faire confiance à nos gouvernements, auxquels nous avons accordé tant de crédit, parce qu'ils s'en prennent à nous... Le Covid n'était qu'un petit aspect de ce que nous vivons actuellement. Ce transgenrisme qui nous prive à nouveau de notre identité sexuelle.
Ensuite, il y a la folie du climat, qu'ils utiliseront pour restreindre la mobilité individuelle, nos possibilités de visiter d'autres pays, de prendre l'avion et tout ça.
Ensuite, il y a la carte d'identité numérique, c'est la prochaine chose, donc le passeport Covid était en quelque sorte le ballon d'essai de la carte d'identité numérique, bien sûr la monnaie numérique qui sera le mécanisme de contrôle ultime pour chaque individu sur cette planète.
Et puis bien sûr la lutte contre le discours haineux, la désinformation, la fausse information, c'est la nouveauté maintenant.
Donc, ce sont toutes des mesures et, pour ainsi dire, des agendas qui sont mis en place et qui, en fin de compte, aboliront la liberté, la démocratie et l'État de droit. Et c'est vraiment rafraîchissant de voir que beaucoup de gens reconnaissent ces problèmes et commencent à comprendre ce à quoi ils ont affaire.
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Carbone 4 - Shift Project l'avion, ce n'est que 2% des émissions de gaz à effet de serre sur terre, et par ailleurs c'est un formidable outil de liberté individuelle, qui doit donc être préservé. Il y a plus urgent à faire ailleurs ! Ce discours, qui reprend deux éléments exacts, même si le premier est discutable (en ajoutant les traînées de condensation la part de l'aviation est plus proche de 4%), peut cependant se présenter différemment. L'avion sert rarement à se chauffer ou à faire pousser des pommes de terre. Sa fonction est la mobilité des gens et des marchandises le plus rapidement possible d'où son invention. La bonne base de comparaison est donc plutôt dans notre assiette et de notre quotidien. Ce qu'on ne veux pas voir c'est la production excessive de plastique, de vêtements à base de pétrole, des fruits exotiques à toutes les saisons. Il est grand temps d'analyser nos besoins en consommant ce que nous avons besoin. The plane represents only 2% of greenhouse gas emissions on earth, and it is also a formidable tool for individual freedom, which must therefore be preserved. There is more urgently to be done elsewhere! This discourse, which takes up two exact elements, even if the first is debatable (by adding contrails the share of aviation is closer to 4%), can however be presented differently. The plane is rarely used for heating or growing potatoes. Its function is the mobility of people and goods as quickly as possible, hence its invention. The good basis for comparison is therefore rather on our plate and in our daily lives. What we don't want to see is the excessive production of plastic, petroleum-based clothing, exotic fruits in all seasons. It is high time to analyze our needs by consuming what we need
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Voilà 1 exemple c'est la saison régionale des fraises actuellement pas en décembre
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claudehenrion · 8 months
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Et la France, dans tout ça ?
Les sujets survolés ces temps derniers sont trop vastes, trop complexes, trop ''à tiroirs'' ou trop pleins de mensonges pour que l'on puisse dire tout ce qui vaut la peine d'être dit, dans le format de ce blog (en gros, une page, format ''A4''). Et une communication sérieuse ne saurait se contenter des formats ex-'twitter' (devenu 'X') ou SMS, chers aux professionnels du bobard politique : depuis le covid et l'Ukraine, nous les croyons encore moins qu'avant . Heureusement.
Mais il est impératif de parler de la France... Ce fut un grand pays, une civilisation à l'intérieur de la civilisation occidentale... Ce fut un pays d'une beauté à couper le souffle (vous et moi ne l'avons pas oublié) : ses paysages, ses cathédrales, ses châteaux (qui ont beaucoup souffert de la haine ravageuse des révolutionnaires et des ''septembriseurs''), ses villages charmants, ses clochers graciles... sans parler de sa Capitale, cette ''Ville-Lumière qu'une dingue, élue (?) par la faute d'une loi scélérate (dite ''PLM'') a réussi à foutre en l'air en deux mandatures. Ce fut le pays de la joie de vivre, du bonheur individuel de ses habitants –toujours prêts à râler, certes, mais... comme ils étaient sympathiques, malgré ce petit travers...
En ces temps de fin de notre monde, la seule chose que nous permettent encore des idées sans queue ni tête (imposées par des politicards sans foi ni loi et par des compromissions létales dans des traités imposés, où notre possibilité de survie est coincée entre une démocratie morte et une liberté confisquée)... se réduit à quelques marches blanches inutiles et vaines, (ceux qui sont étiquetés ''à Droite'' n'y ont pas droit !), qui sont la dernière oraison funèbre permise, pour nous ou nos survivants... Oh ! Il subsistera, quelques temps encore, un espace géographique qui portera ce nom autrefois flamboyant : ''France'' --peut-être ridiculisé en ''Francistan'', le pays de francs, avec le suffixe persan ''-istan'' qui veut dire : ''lieu, pays'')-- avant de disparaître à jamais, avec le souvenir de nos belles heures oubliées... ou sans lui, plutôt.
Quatre sujets sont fondamentaux pour notre ''être'' et pour notre survie : (a)- une immigration invasive, conquérante et suppressive ;(b)- une menace pour la planète, imaginaire et indémontrable, mise en balance avec la survie d'une humanité ; (c)- la volonté masochiste d'une ''camarilla'' qui veut supprimer jusqu'à la racine tout ce qui a existé avant elle –mais qui n'a rien de valable à proposer, pour remplacer une civilisation (qui a apporté à l'humanité tout ce que ses rêves les plus fous n'avaient même pas imaginé), devenue, sans raison valable, l'objet d'une haine injustifiable... (d)- la volonté perverse et masochiste d'une caste de malfaisants qui préfère le pire à toute autre solution, l'absurde à l'intelligent, l'indémontrable au vraisemblable, l'affirmation mensongère à l'expérience et la guerre à la paix, au nom, bien sûr, de faux ''grands principes'' dont pas un seul ne pourrait exister sans l'énergie qu'ils déploient pour faire croire que le faux pourrait être vrai, le laid, bon ou beau, et le mensonge, vérité... Or, si nous approfondissons ces sujets, qui résument l'immensité de notre désarroi et décrivent la gravité de la crise artificielle ouverte sous nos pas, ce qui se passe ne peut être perçu que comme ''consternants'' et annonciateurs de drames sans limites. Une seule porte de sortie : que le Président dise : ''Je me suis trompé sur tout. On arrête les conneries avant la cata....''. Hélas...
(1)- L'immigration, d'abord. Résumons-la en trois mots : l'écrasante majorité du peuple a enfin réalisé que ses représentants lui mentaient honteusement, et c'est désormais à > 80 % que les français veulent que tout change, le plus vite possible. Réponse des dits représentants : une loi ''a minima'' qu'on fait semblant de concéder au populo... puisqu'on est certain d'avoir verrouillé par derrière le gouvernement de juges qui a de facto pris le pouvoir, sans mandat, dans l'opacité et le non-dit les plus complets. Huit jours plus tard, ils sont tout contents de nous promettre que le record absolu d'entrées légales ou non, qui vient d'être battu ce mois-ci, va devenir la nouvelle norme... et que l'œuvre de destruction sournoise de nos sociétés va enfin se muer en une œuvre de destruction massive et rapide. Et le Conseil constitutionnel de faire la danse du ventre pour nous expliquer sans rire que le contrôle des entrées, le contrôle des sorties, et la composition de ces deux éléments –seuls paramètres connus-- sont sans lien direct avec une loi sur l'immigration massive --et devenue majoritairement hostile... On est chez les fous, qui se prétendent ''sages'' !
(2)- La transition écologique. Toutes les énergies disponibles sont mobilisées à plein temps par la quête de ''l'impossible étoile'' du poète : un réchauffement dont les causes sont infinies mais que d'aucuns s'acharnent à prétendre n'être du qu'aux fautes, dites ''crimes'', de la race blanche contre l'humanité tout entière –dont elle, la folle ! Nos paysans, en se révoltant contre la stupidité castratrice des faux prophètes en mal de télé et de ''JT'', viennent de semer une petite graine qui ne peut que croître et se multiplier. Tremblez, fauteurs de troubles (lire : ''fouteurs de merde'', évidemment !), vos jours sont comptés... Plus personne ne peut vous voir, vous sentir, vous tolérer. Avec votre ''dérèglement climatique'', vous avez semé le vent, vous récoltez la tempête : quand quelque chose n'a aucune chance de marcher, inutile d'espérer un miracle que tout le monde sait impossible. Arrêtez vite cette mauvaise transition anti-écologique, de grâce ! !
(3)- La victoire à la Pyrrhus du progressisme : a force de croire, dans leur inculture structurelle, qu'il suffisait qu'une chose soit ''autre'' pour être réputée ''mieux'', nos cuistres chroniques avaient presque réussi a faire disparaître toutes les bases et tous les fondamentaux de l'édifice qui soutient le monde.... comme si quoi que ce soit pouvait vivre, une fois privé de ses racines (ou : de son histoire, de sa culture, de ses ''raisons d'être'' et de ses sources. Et j'ajoute, puisque nous parlons de civilisations, ''de son Dieu et de la Foi de ses Pères''). Leur faux dieu ''Progrès'', n'est fait que de ''changements'' –et le plus souvent peu souhaitables, comme le sont toutes leurs lois dites sociétales, qui sont autant de portes ouvertes vers la fin de toute humanité digne de ce nom.
(4)- La mondialisation maléfique : comme un vieux fantasme hugo-hollywoodien, une sorte de tenaille de torture a été installée à demeure sur les pauvres gens, par des esprits malfaisants. Ses dents déchiqueteuses pourraient se nommer Klaus Shwab pour l'une et Ursula von der Leyen pour l'autre. Leur but est simple : pour atteindre le plus vite possible le point de non-retour de notre chute vers leur néant absolu (ce que eux seuls désignent par ''mondialisation heureuse'', qui est synonyme de malheur irréversible pour tous les autres mortels), il faut et il suffit de rendre impossible la vie et la survie des classes sociales, des métiers, des structures, etc... l'une après l'autre. Ces tenailles assassines ont failli avoir raison de nos familles, de notre industrie, de notre religion, de notre système hospitalier et de notre médecine, de notre école, de notre foi en nous, de notre culture, de notre langue, de notre Histoire, de nos traditions.... mais semblent se briser sur le saccage officiellement programmé de notre agriculture : nos paysans, armés de leur bon sens réputé, ont éventé leurs manigances avant qu'il ne soit trop tard. L'espoir renaît : Méphisto, dans ''Faust'', dit : Mon pouvoir tient à ''Je suis celui qui peut dire ''Non''... Au lieu de sur appliquer les folies de Bruxelles (ce qui est une stupidité signée Macron : il ne sait pas que sa ''transition écologique'' est une connerie XXL !), il suffirait de dire ''Non'' aux idioties présentes et passées.
Au lieu de ça, nous avons eu droit aux pitreries de Gabriel Attal, hier soir. Il est courageux, mais il croit possible d'endormir la contestation à coups de ''n'' chèques de 50 millions chacun... au lieu de faire la seule chose qui peut sauver la paysannerie, la France –et même l'Europe-- de tous les malfaisants qui veulent leur disparition : remettre la grosse commission de Bruxelles à sa place, se dresser contre sa fièvre normative, et annuler toutes ses tentatives d'assassinat depuis 5 ans.
Ce samedi 27 janvier 2024, le Figaro titrait, dans une orgie d'inculture : ''Attal affiche son volontarisme pour apaiser la colère paysanne'' (sur une botte de foin, pour faire ''bouseux''!). Nos journaleux (derniers dans le classement ''Pisa'') ne savent pas que ''volontariste'' ne veut pas dire ''qui a de la volonté'', mais : ''qui croit pouvoir soumettre le réel à sa volonté''.. Nos politicards en sont là ! Le mal est immense, mais la guérison encore possible.. 
H-Cl.
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yann75013 · 9 months
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Paris 2024 : Les défis Olympiques d'une Ville-Lumière face aux enjeux logistiques et de sécurité
En 2024, Paris, la Ville-Lumière, se prépare à accueillir l'un des événements sportifs les plus prestigieux au monde : Les Jeux Olympiques. Cette tâche herculéenne implique de relever des défis de taille en matière de logistique, de sécurité et de gestion des controverses.
Les problématiques logistiques
L'organisation des Jeux Olympiques nécessite une planification méticuleuse, surtout dans une ville aussi dense et historique que Paris. La gestion de l'augmentation des coûts, souvent un sujet de préoccupation pour les villes hôtes, est cruciale. Les infrastructures de transport doivent être adaptées pour gérer l'afflux massif de spectateurs, tandis que les questions relatives à l'hébergement des sans-abri dans la ville requièrent des solutions respectueuses et durables.
La sécurité, un enjeu majeur
La sécurité est une autre préoccupation majeure. L'organisation d'un événement de cette envergure dans une métropole mondiale pose des défis uniques. Il est essentiel de mettre en place des mesures rigoureuses pour assurer la sécurité des athlètes, des visiteurs et des résidents, tout en minimisant les perturbations de la vie quotidienne.
Les controverses et leurs impacts
Les controverses ne sont pas rares lors de la préparation de telles manifestations. Des allégations de favoritisme dans l'attribution des contrats aux préoccupations concernant l'augmentation du budget, les organisateurs doivent naviguer dans un environnement complexe et souvent critique.
L'esprit Olympique face aux défis
Malgré ces défis, l'esprit olympique demeure. La capacité de Paris à surmonter ces obstacles et à organiser des Jeux mémorables sera un témoignage de son statut de capitale mondiale et de sa place dans l'histoire olympique. Cela nécessitera une coordination sans faille, une communication transparente et une volonté de transformer les défis en opportunités.
L'organisation des Jeux Olympiques à Paris en 2024 est donc bien plus qu'un simple événement sportif. C'est une opportunité pour la ville de démontrer sa capacité à relever des défis de grande envergure, d'innover dans la gestion urbaine et de célébrer l'unité à travers le sport. Le succès de Paris en 2024 pourrait redéfinir la manière dont les futures villes hôtes abordent l'organisation des Jeux Olympiques, marquant ainsi un tournant dans l'histoire de cet événement mondial.
Gestion des coûts et budgets
Un des plus grands défis pour Paris réside dans la gestion efficace des coûts. Historiquement, l'organisation des Jeux Olympiques a souvent conduit à des dépassements budgétaires significatifs. Paris doit donc faire preuve de rigueur financière, tout en assurant la qualité et la sécurité des infrastructures et des services.
Amélioration des infrastructures de transport
Pour accueillir des milliers de visiteurs, Paris doit optimiser son réseau de transport. Cela implique non seulement des améliorations des infrastructures existantes, mais aussi la mise en place de nouvelles solutions de mobilité, respectueuses de l'environnement et adaptées à l'ampleur de l'événement.
Prise en charge des sans-abris
Le problème des sans-abris à Paris est une question sociale sensible, exacerbée par l'organisation des Jeux. La ville doit trouver des solutions humaines et durables pour gérer cette situation, en évitant de marginaliser davantage ces populations vulnérables.
Renforcement de la sécurité
Dans un contexte mondial où la sécurité est une préoccupation croissante, Paris doit instaurer un environnement sûr pour tous. Ceci implique des mesures de sécurité renforcées, tout en préservant les libertés individuelles et en minimisant les perturbations pour les habitants.
Gestion des controverses
Face aux allégations de favoritisme et aux préoccupations budgétaires, les organisateurs doivent faire preuve de transparence et d'intégrité. La gestion efficace des controverses est essentielle pour maintenir la confiance du public et l'intégrité de l'événement.
En conclusion, les Jeux Olympiques de 2024 à Paris représentent une opportunité exceptionnelle pour la France de briller sur la scène internationale. Cependant, les défis logistiques, de sécurité et les controverses requièrent une attention méticuleuse et une gestion stratégique. La manière dont Paris relèvera ces défis déterminera non seulement le succès des Jeux, mais aussi l'héritage qu'elle laissera pour les futures générations et pour l'histoire des Jeux Olympiques.
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aurevoirmonty · 6 months
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« La peur est l’un des symptômes de notre temps. Elle nous désarme d'autant plus qu’elle succède à une époque de grande liberté individuelle, où la misère même, telle que la décrit Dickens, par exemple, était presque oubliée. »
Ernst Jünger
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e642 · 1 year
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Je suis en vacances, ou en sursis, je ne sais pas bien. Et la chose qui me fait le plus de bien c'est de ne voir personne. M'éloigner. Personne ne me manque. Ça a toujours été un trait de ma personnalité étonnant. Je ne ressens pas de manque envers mes proches. Ni parents, ni amis, ni rien. Je ressens davantage de manque lorsqu'il s'agit d'animaux. À vrai dire, moins je vois les gens qui apparemment comptent pour moi, mieux je me porte. Sans pour autant qu'il y ait de raison valable puisqu'il en faut toujours une dans cette société moralisatrice et si avare de libertés individuelles au final. Ça me fait souvent me demander si je les aime vraiment ou si je les aime par défaut car un schéma classique ordonne que, sauf raisons valables encore une fois, il faut aimer ses parents et ses amis. Pourtant, en réalité, il y a très peu de personnes autour de moi que je trouve vraiment intéressantes. Ils sont plutôt fades et reproduisent des comportements que je ne cautionne pas forcément. Je dois dire que chaque personne que je connais est empreinte d'au moins un défaut que je trouve handicapant dans la vie de tous les jours. Voire immorales en fait. Entre la triche, l'infidélité, l'hypocrisie, la non ponctualité, la mégalomanie, la perfidie, ect, il y a de quoi faire. Et j'en suis arrivée à me demander si je n'aimais pas ce côté "expérience sociale", en d'autres termes, côtoyer des gens qui font de la merde de pleins de manières différentes et voir comment ils vivent avec et jusqu'où ils peuvent aller dans l'irrespect de l'autre mais également de soi. Pour beaucoup de garçons que j'ai fréquentés, j'ai été presque fascinée de voir à quel point certains peuvent descendre bas par soucis d'ego. Ça me fait peur en fait. Et je sais que je suis certainement comme eux mais différemment. Voilà pourquoi ça me manque pas en réalité, parce qu'au fond, je n'aime pas vraiment les gens. La plupart du temps je ressens de l'aversion pour eux et les comportements qui en découlent. Mon père m'a qualifiée de misanthrope ce week end, et peut-être bien qu'il n'a pas tort.
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