#les moulins de villancourt

[stpauldevarces2026]

Cosmocité : déjà 35 000 visiteurs : ce musée des sciences connait un bon démarrage avec pourtant des heures faibles d'ouverture. Cette réalisation sur Le Pont de Claix a permis la

restructuration du quartier des Moulins de Villancourt. Un musée de ce type avait été un projet des municipalités Carignon dans les années 90. Le site alors envisagé était à la Bastille et le projet était du type du Musée des Sciences de Boston avec une forte implication des entreprises liées aux nouvelles technologies.

22/02/2024

[stpauldevarces2026]

Les Moulins de Villancourt ou l’échec du respect du patrimoine industriel historique dans l’agglomération grenobloise : la revue d’histoire des Amis de la Vallée de la Gresse (parution de juin 2020) a consacré un début de reportage remarquable sur les Moulins de Villancourt. Le début de la miroiterie peut être daté à 1862. Avec Progil et le Chargement, Villancourt a été l’un des fleurons historiques industriels de Pont de Claix. Villancourt a fourni la biscuiterie Brun. avec un temps fort entre 1927 et 1935. A quelques rares exceptions près, le patrimoine industriel historique local a été détruit ces dernières années à la différence d’autres agglomérations qui ont mené des politiques publiques de reconversion particulièrement réussies comme St Etienne ou Marseille. Avec les dotations de l’Europe tout particulièrement, dans la cadre de sa désignation comme capitale européenne de la culture en 2013, à Marseille, des quartiers entiers ont été reconvertis en conservant les murs mais en changeant la destination intérieure des bâtiments. Les Docks du quartier de la Joliette sont une réussite indiscutable. A l’opposé, dans l’agglomération grenobloise, cette logique de

 reconversion de vieux bâtiments n’a pas été sérieusement étudiée. C’est particulièrement regrettable.

22/07/2020

[stpauldevarces2026]

Les Moulins de Villancourt : la vérité des faits avec les preuves par les images : dimanche, nous avons publié un article sur les travaux de démolition des Moulins de Villancourt pour laisser place au planétarium mondial de Pont de Claix (15 M€ à charge pour les contribuables locaux). Cet article a donné lieu à des contestations parfois virulentes sur certaines de nos affirmations. Ce fut le cas dans des commentaires sur Facebook dont certains animés par des comptes vides manifestement destinés à organiser simplement le dénigrement. Ce fut le cas sur Twitter de la part de deux adjoints Grenoblois, MM Malbet et Habfast, par ailleurs conseillers de la majorité sortante de la Métro. Nous allons reprendre les contestations une à une pour les principales répétées en boucle..

1) Accusation : “le titre de démolition des Moulins de Villancourt est faux” Réponse : c’est le titre même du panneau officiel de la Métro. Certes avec la langue officielle locale du moment. Mais selon le dictionnaire : déconstruire = démolir. Sur ce panneau, il n’y a pas mention “une partie des Moulins de Villancourt”. Ceux qui se sont offusqués du titre de notre article auraient dû commencer par s’inquiéter du contenu même du panneau officiel ... 

La preuve :

2) Accusation : “vous faites état de démolition alors même que tout est tombé de lui-même sous l’effet de l’insalubrité”

Réponse : si tout était tombé de lui-même, il n’y aurait pas eu besoin d’un ... permis de démolir.

La preuve :

3) Accusation : “l’essentiel des locaux est conservé dont des salles à forte capacité d’accueils”.

Réponse : faux. Il suffit de comparer les superficies détruites et la superficie qui reste en bordure de route. Une aile étroite est encore debout. C’est juste. En conséquence, la partie de phrase de notre article de dimanche “pour tout casser��� est erronée prise à la lettre. En revanche compte tenu de la configuration de cette aile de bâtiment, les capacités de contenances semblent manifestement limitées.

Mais à noter aussi, 4) pas la moindre contestation sur les montants d’aides publiques allouées et aujourd’hui réduits pour partie à l’état de poussières. Et pour cause, la réalité des montants d’argent public gaspillé est 

considérablement plus élevée. Nous dresserons le chiffre précis pour un prochain article. Et surtout 5) pour ne pas résister au “rituel local”, nous n’avions pas signalé qu’un arbre, probablement très âgé, a été massacré alors même qu’il se situe en dehors du périmètre du chantier. 

La preuve :

Mais selon les éléments de langages locaux dans cette hypothèse : “il devait être malade bien sûr ...”.

Voilà la réalité des faits, preuves à l’appui par les photos prises par nos soins lundi 19 août sur site à 14 heures. Des faits qui, dans une démocratie locale saine, devraient être accessibles à chacun sur un site Internet public officiel portant toutes les informations détaillées, chiffres, plans, photos... Mais ici, dans l’agglomération grenobloise, les citoyens sont jugés bons pour payer mais pas pour savoir. Essayez de trouver les plans des nouveaux bureaux de la Métro dont les devis ont doublé en 6 mois (86 M€) ... Bonne chance ...

21 août 2019

[stpauldevarces2026]

Comment 599 277 € d’argent public viennent d’être réduits à l’état de ... poussières ? Les contribuables de l’agglomération grenobloise sont actuellement parmi les plus imposés de France. Mais le gaspillage de l’argent public est aussi l’un des records de France. Prenons l’exemple du projet de planétarium mondial sur Le Pont de Claix (15 M€ pour sa construction). Où est-il construit ? Sur le site des Moulins de Villancourt. A quoi correspond ce site ? A la fin des années 80, les Moulins de Villancourt (propriété alors en indivision de Pont de Claix et Echirolles) ont fait l’objet d’une totale remise en état sous l’autorité d’une commission syndicale présidée par M Arvin-Bérod. Le programme a consisté à réaliser 3 salles d’expositions au rez-de chaussée. Et d’aménager au 1er étage et au second étage 8 espaces de cours pour le SIM Jean Wiener présidé alors par M. Couëtoux. Coût de l’opération à ce seul stade de la mise en état des locaux : 3 931 000 FF TTC soit 599 277 € TTC (chiffre officiel : nous avons toutes les pièces administratives concernées y compris les plans des travaux de l’époque). 

A cette somme de base qu’il conviendrait d’actualiser pour intégrer l’impact de l’inflation sur toute cette période, il importerait également d’ajouter toutes les autres subventions ponctuelles pour identifier la réalité de l’argent public placé dans ce site reconverti. 30 ans plus tard, tout cet argent public alors dépensé au titre d’un patrimoine immobilier historique, il n’est que ... poussières. Les pelles mécaniques ont été lancées pour tout casser pour faire le fameux planétarium mondial. Voilà comment est

traité l’argent des impôts dans des cycles de très faibles durées : 30 ans à l’échelle collective c’est une séquence temps très brève. Soit le bâtiment en question méritait d’être considéré comme historique et il devait être conservé durablement ce qui justifiait la mise de l’argent public de départ pour le restaurer. Soit ce n’était pas le cas et il ne fallait pas lui consacrer autant d’argent public pour sa simple mise en état initiale. Ici, en 30 ans, tout peut changer et l’argent public pour des montants considérables peut être réduit à l’état de simples poussières à déblayer ... Un constat qui mérite d’être médité.

18 août 2019

1) photo d’en tête d’article extraite de la page Facebook de la Commune de Pont de Claix. 

[stpauldevarces2026]

La destruction des Moulins de Villancourt (Le Pont de Claix) ou la question sérieuse des fonds publics rendus à l’état de ... poussières : la destruction des Moulins de Villancourt pose une question de fond. Pour les entreprises privées, à nos yeux, toute aide publique devrait être conditionnée au respect d’un strict cahier des charges (de la localisation au nombre d’emplois ...). Si ce cahier des charges n’est pas respecté, les aides publiques doivent être remboursées par le bénéficiaire. Il devrait en être de même pour les Collectivités publiques. Prenons l’exemple des Moulins de Villancourt. Dans les années 1870, c’est un moulin (d’où le nom) qui fonctionne essentiellement pour les biscuits Brun. Puis cette vocation économique disparaît et la municipalité Couëtoux de Pont de Claix décide d’en faire un lieu culturel : école de musique (SIM Jean Wiener) et un lieu d’expositions d’arts. Cette reconversion demande des aides publiques considérables pour restructurer tous les locaux dans des conditions très différentes des aménagements de départ. Aides de l’Etat, de la Région, du Département et des Communes de Pont de Claix et d’Echirolles. Toute la décennie 1990 est marquée par

 cette restructuration en millions d’euros. 

Moins de 30 ans plus tard, tout cet argent public pris sur les impôts des contribuables est réduit à l’état de ... poussières car tout est démoli pour construire un planetarium. 

La Collectivité qui décide de cette démolition devrait être contrainte de rembourser touts les aides publiques allouées par le passé auprès de chaque “donateur” de l’époque. Cette méthode plus respectueuse de l’argent public limiterait les coups de têtes et, dans la limite d’une durée de 30 à 40 ans, assurerait un filet de sécurité pour l’existence de patrimoines publics historiques. C’est trop simple pour des privés comme pour du public de prendre l’argent fruit des impôts et d’en modifier ensuite totalement les conditions d’utilisation dans le temps.

10 août 2019

NB : un dispositif technique très simple pourrait être mis au point avec des effets de seuils compte tenu du montant des aides publiques allouées. La Liberté suppose l’indépendance. C’est trop simple de solliciter des fonds publics puis de faire autre chose que ce qui a été prévu pour l’octroi de fonds publics. L’argent public, donc les impôts, mérite davantage de respect ! 

[stpauldevarces2026]

Grenoble : l’agglo qui montre son attachement à son patrimoine immobilier historique à coups de ... godets de pelles mécaniques : deux constats s’imposent actuellement. 1) L’empressement à débuter dans la précipitation la plus totale des décisions avant les prochaines élections municipales. Tout doit débuter sur le terrain d’où le sentiment d’un immense chantier généralisé dans l’agglo. 2) L’incapacité des Collectivités locales à défendre le patrimoine immobilier historique en le respectant par l’offre d’une nouvelle vie dans les murs du passé est absolue. Ici, l’histoire se traite avec l’arrivée des pelles mécaniques pour ... raser les bâtiments. Dernier exemple actuel : les Moulins de Villancourt à Pont de Claix. Sous les municipalités Couëtoux, les Moulins de Villancourt avaient rang de patrimoine historique. 

La Ville, le Département et la Région ont beaucoup investi à ce titre. Aujourd’hui : des poussières ! Accélérer pour rendre irréversible le

planétarium mondial voulu par le président de la Métro par ailleurs ... maire de Pont de Claix. Un gouffre financier record. 15 M€ pour la construction. Et il est question de 2M€ de coût de fonctionnement par an. Typiquement le projet mégalo à arrêter si une nouvelle majorité accède à la Métro en mars 2020. Et un bâtiment de plus qui s’est pensé historique pendant des années qui tombe maintenant sous le coup d’une agglo totalement insensible au respect du passé des Communes de l’agglo. Un mimétisme qui a conduit à une très longue liste de patrimoines disparus désormais.

27 juillet 2019

NB : la photo en tête de cet article est extraite du compte public de photos de la page Facebook de la Ville de Pont de Claix. La seconde photo est de notre production. 

[stpauldevarces2026]

66 ! 66 personnes pour donner un avis sur un projet de ... 13 à 15 M€ ! C’est dire la ... passion populaire suscitée par le projet du Centre International des Sciences de Pont de Claix. Qui énonce ce chiffre ? Un opposant obscur désireux d’ouvrir une polémique de plus contre le maire de Pont de Claix par ailleurs président de la Métropole ? Non. Le bulletin technique officiel de La Métro (cahier des Tendances de mars 2018). Que nous apprend ce chiffre ? D’abord quand la Métro se retire parfois de projets liés à la vie quotidienne, ce n’est pas que l’argent manque, c’est qu’elle ne veut pas intervenir. Le futur siège social de la Métro va coûter 50 millions d’euros HT. Ce Centre de la Science coûte de 13 à 15 millions d’euros HT c’est à dire à lui seul 3 fois les travaux pour faire une partie de la rénovation du réseau d’eau de Vif. 2) La Métro veut vivre au rythme des

 capitales. Grenoble reste une capitale internationale parce qu’elle célèbre les ... 50 ans des JO. Vizille est la capitale de la Révolution. Eybens est la capitale de la concertation populaire. Echirolles est la capitale de l’information. Et maintenant Pont de Claix devient la capitale de la science. Dans la métropole grenobloise, une ville qui n’est pas la capitale d’une activité n’a aucune chance d’être reconnue. 3) Et pour devenir “capitale” il faut être ... grand. Prenons l’exemple de l’opération de Pont de Claix. Il s’est toujours agi des “Moulins de Villancourt”. Mais pour accueillir le Musée International des Sciences, ils sont devenus officiellement “les Grands Moulins de Villancourt”. 

Et la liste pourrait durer encore longtemps. Quand une instance entre dans ce niveau de la dépense publique, cela pourrait mériter une analyse détaillée qui peut ne pas relever que du seul examen politique... Pour le moment, ce que les contribuables peuvent constater chaque année, c’est qu’ils habitent bien dans la capitale des impositions comme de l’endettement et que leur argent mériterait d’être mieux respecté !

03/04/2018

[stpauldevarces2026]

Christophe Ferrari refuse la publication en ligne des marchés de services passés par la Métro en 2018 et Eric Piolle lui apporte son soutien dans cette forme d’obstruction à l’accès aux documents publics : la régression mise en oeuvre par la majorité sortante de la Métro dans l’accès à des documents publics est irréelle. Avant de revenir sur des faits, 2 précisions s’imposent. 1) C’est notre 3 648 ème article. Depuis une semaine, certaines affirmations sont contestées par des comptes vides manifestement dédiés à organiser le doute. C’est très malsain qu’il en soit ainsi pour notre démocratie locale. Car rien n’empêche d’autres citoyens de tenir un blog comme nous le faisons bénévolement et pas seulement chercher à polluer l’information transmise par d’autres. 2) Ce d’autant plus que l’information que nous mettons en ligne nous veillons à ce qu’elle réponde à des faits justes, précis. Si exceptionnellement ce n’est pas le cas par cause d’erreurs involontaires, nous mettons en ligne les corrections utiles signalées. Pour les Moulins de Villancourt, notre prochain article apportera toutes les précisions, preuves photos à l’appui ! L’audience de nos articles est une des récompenses des travaux effectués.

Mais la défense de la démocratie locale doit aller + loin par l’engagement de chaque citoyen. Un exemple concret : jusqu’à cette année, la Métro mettait en ligne ses marchés de services. C’était l’occasion de voir des dépenses irréelles (frais de communication, frais de bouches ...). Ces frais ont été dénoncés. Conséquence directe : cette année la Métro ne met plus en ligne les documents publics en question.

 Il serait possible de les demander via la CADA. Nous avons pris contact avec la CADA : le 6 août à 10 heures 15. Réponse du Conseiller de la CADA “la CADA est débordée par les demandes de ce type. Nous mettons en moyenne

150 jours avant de traiter un dossier !”. Dans 150 jours, ce sera l’élection. 

Nous avons demandé à es élus de la Métro membres de l’équipe d’Eric Piolle qui promettaient la “nouvelle démocratie” et voilà leur réponse (1 : cf ci-dessous) :

C’est aux citoyens de savoir si par leurs votes ils cautionnent de tels comportements : être bons à payer mais à la condition de ne pas savoir quoi ! Et Eric Piolle et sa majorité montrent un triste visage en cautionnant de telles méthodes si éloignées des promesses de mars 2014. Quant à “l’opposition”, elle est même pas capable de trouver un de ses nombreux collaborateurs (payés par les contribuables) pour tenir un blog pour faire vivre une information alternative. Triste démocratie locale. 

20 août 2019

1 : depuis la mise en ligne de cet article, M. Habfast a complété sa réaction par le message suivant qui doit être publié par souci de respecter la vérité des faits ce d’autant plus que ce message modère significativement la réponse initiale (supplément mis en ligne à 09.38) :

[stpauldevarces2026]

Sud agglo : le patrimoine historique en danger : le sud de l'agglomération grenobloise subit dans l'indifférence quasi-générale la disparition ou le délabrement de son patrimoine historique. La disparition comme ce fut le cas notamment pour : la Maison Beylier, le couvent des Visitandines, les Moulins de Villancourt ...

Le délabrement, c'est le cas pour l'Eglise St Jean de Vif qui a subi des dégâts importants cette semaine suite à une fuite d'eau dans la toiture. C'est le cas aussi pour de nombreuses fontaines publiques mal entretenues. Parfois même, des monuments sont désormais envahis par des arbustes. Une situation inédite à ce point mais qui mobilise peu car bon nombre des Communes concernées sont devenues des

Communes dortoirs avec des nouveaux arrivants peu connaisseurs de l'Histoire des Communes en question. Un tournant.

18/07/2021

[stpauldevarces2026]

Journées du Patrimoine ou le Onze des patrimoines historiques locaux disparus ou gravement menacés au cours des seules dernières années : la triste équipe avec la preuve par les photos (avant / après) : l’arbre qui est en photo ci-dessus devant la porte d’un équipement public de l’Ain est plus que centenaire. S’il avait été dans l’agglomération grenobloise, il aurait très probablement été ... abattu. C’est un massacre qui est intervenu dans le patrimoine historique local ces dernières années dans le sud de l’agglomération grenobloise. 11 disparitions ou menaces graves actuelles du nord au sud.

1) Démolition d’une partie des Moulins de Villancourt (Le Pont de Claix) : ils dataient de 1870 afin d’alimenter notamment la Biscuiterie Brun alors localisée à Grenoble. En cours de démolition pour la création du planétarium mondial (15 millions d’euros).

Avant :

Après :

2) Le Collège des Iles de Mars (Le Pont de Claix) : dans un secteur en plein boom démographique, démolition programmée d’un Collège historique déjà désaffecté pour laisser place à un programme immobilier.

3) Les arbres de la place centrale de la Mairie de Pont de Claix : abattus dans le cadre de la restructuration de la place. 

Avant :

Après :

4) Parc de la Bâtie (Claix) : toute une aile désaffectée pour accueillir un programme immobilier de haut standing.

5) Maison Beylier (Varces) : maison du 17 ème siècle : entièrement démolie.

Avant :

Après :

6) Le parc de la Giraudière (Varces) : initialement espace de nature face au Collège Jules Verne. Aujourd’hui pas un m² sans une

 construction. Dans l’esprit de la démolition de la maison de famille Richerot.

Et bien entendu, par mimétisme, ne pas oublier de massacrer des arbres :

7) Maison Rochas (St Paul de Varces) : maison du 17 ème siècle vendue sur le ... Bon Coin. Arbres centenaires abattus. 

8) Le Villarey (St Paul de Varces) : champs au centre du village vendus par la Commune à un Groupement immobilier. La municipalité sortante (LR) court après le statut de “ville”. Elle marque un point : l’opération est désormais baptisée ... “quartier” comme en ... ville.

Avant :

Après 

9) Fontaine de la salle des fêtes (St Paul de Varces) : entièrement disparue dans le cadre de la restructuration.

10) Le couvent des Visitandines (Vif) : il laisse place à une opération immobilière. A noter sinistre incendie en 2016 détruisant ce patrimoine alors non sécurisé. 

11) Fontaine Ardente (Le Gua) : l’une des merveilles du Dauphiné mais quasi-inaccessible désormais.

Voilà aussi la réalité qui ne doit pas être oubliée. 

22 septembre 2019

[stpauldevarces2026]

Les faillites terribles d’une “génération communiqués de presse” : à près de 200 jours des élections municipales, en dehors d’animations instrumentalisées en outils de contacts électoraux et d’opérations immobilières bling bling de centres-villes, le reste dans l’agglo est souvent à l’abandon. Dès qu’un équipement public est excentré, il est souvent dans un état souvent totalement sinistré. Les réseaux changés ailleurs tous les 40 ans, ici sont voués à durer ... 1 siècle. Normal, enterrés, ces réseaux ne se voient pas. Or, les élus sortants ne s’occupent que de ce qui se voit. Dans la photo ci-dessus, l’équipement public entièrement tagué avec les murs qui dégoulinent d’humidité, c’est un réservoir d’eau d’une Commune de l’agglo. Et à ses côtés, la “chambre des vannes”, équipement entièrement tagué aussi. Leur “malheur” : être loin des yeux donc ... oubliés. Dans cette culture ambiante, la presse locale joue un rôle particulier. Des élus ne se déplacent qu’accompagnés par un correspondant local du quotidien régional. Il ne leur viendrait pas à l’idée de faire un travail sans se mettre en scène. Se mettre en scène : c’est LE travail pour eux. C’est la génération communiqués de presse : faire savoir et si peu savoir faire. Si peu savoir faire parce que sur les dossiers de fond, il y a une ambiance locale reconnue partout ailleurs comme dépassée ou toxique : l’urbanisme densifié ne compte ses derniers défenseurs qu’ici, l’intercommunalité XXL est rejetée partout ailleurs, le street art qui souvent n’a “d’art” que le label officiel n’est omniprésent qu’ici ... Et la

 liste des particularités locales pourrait durer longtemps. La “génération communiqués de presse” ne règle rien. Elle communique car la photo est supposée régler le dossier. La photo trompe d’ailleurs parfois en cachant un volet des actions comme on a pu le constater dernièrement sur les Moulins de Villancourt. Surtout, c’est une génération où les travaux n’ont pas de coût. Il est très rare qu’un chantier ait un prix ferme juste et surtout public. Une étape supplémentaire vient même d’être franchie en refusant la mise en ligne de marchés publics passés et pourtant payés par les contribuables. Une ambiance locale qui n’existe nulle part ailleurs actuellement à ce point. Et parfois même la communication presse a ses ... défaillances y compris pour ceux qui ne fonctionnent pourtant que sur ses bases médiatiques. Hier soir au 20 heures de TF1 le visuel du Président de la Métro apparaissait avec pour nom celui du ... fonctionnaire directeur du service : terrible choc du manque de notoriété du Président de l’agglo ...

22 août 2019

[stpauldevarces2026]

Comment comprendre pourquoi l’agglomération grenobloise a perdu à ce point toute conscience patrimoniale ? La “conscience patrimoniale” c’est quoi ? C’est adopter une forme de respect pour le passé. Ce respect consiste souvent à redonner vie à de vieilles pierres en modifiant leur destination initiale. Une belle réconciliation entre le passé et le présent. St Etienne, Marseille, Lille, Dijon ... sont des villes qui ont remarquablement reconverti de vieux bâtiments. Ici, c’est la règle de la destruction pure et simple. Dernier exemple en date : les Moulins de Villancourt sur Le Pont de Claix. Un bâtiment longtemps reconverti en lieu culturel avec les cours de musique donnés dans les locaux par le SIM Jean Wiener. Des aménagements qui ont coûté cher aux contribuables locaux. Rien que sur l’année 1990, 600 000 € pour aménager des locaux afin d’accueillir alors près de 1 000 élèves recevant les cours de plus de 40 professeurs de musique. 600 000 € au titre d’investissements dans les locaux sans compter la subvention annuelle de fonctionnement. La Maison Beylier, l’une des plus anciennes du secteur : rasée ! 

Le couvent de la Visitation à Vif : rasé ! La Maison Rochas à St Paul de Varces vendue sur Le Bon Coin sur la base d’un cahier des charges jamais ... appliqué. 

Comment expliquer cette réalité locale ? Le facteur probable est double. 1) L’agglomération est un territoire de passage pour un pourcentage élevé de population compte tenu du profil désormais de son industrie. Il n’y a pas d’attachement affectif durable à ce qui a pu faire l’Histoire de Communes. Les repères visuels qui comptent dans une vie. 2) Le mimétisme terrible qui sévit actuellement au sein des élus locaux sortants. Ils “font comme ...”. Mimétisme qui conduit des Communes à vivre les mêmes constructions posées là comme ailleurs. Mêmes architectures. Mêmes dénominations. C’est une grisaille d’uniformité. Les né-Grenoblois, nomades modernes, n’ont pas de racine locale. Donc ils réagissent peu face à ces destructions d’un patrimoine que souvent ils connaissent pas. C’est une phénomène à

l’impact considérable. Comme un second phénomène nouveau aussi à ce point, la composition de la Chambre de Commerce et d’Industrie à partir de cadres et non plus de patrons. La différence est considérable entre le patron qui vit son affaire et le manager qui gère l’affaire d’un autre. Le premier a souvent une détermination qui ne correspond pas du tout à la diplomatie du second habitué à composer pour sa propre carrière personnelle. Une Chambre de Commerce et d’Industrie composée de vrais patrons n’aurait jamais été aussi modérée sur des enjeux comme l’asphyxie de la circulation ou la mort du commerce du centre-ville de Grenoble. Deux réalités finalement assez bien admises par les milieux dits représentatifs du monde industriel et commerçant local. Des tendances récentes qui changent considérablement les contextes des décisions locales.

29 juillet 2019

[stpauldevarces2026]

#Municipales2020 : Christophe Ferrari en grande difficulté : “on ne le reconnait plus” : c’est la formule qui revient le plus souvent sur Pont de Claix. Il est vrai que le parcours du maire sortant de Pont de Caix a de quoi troubler y compris ses plus proches soutiens. Au début, il était le “souffre douleur” des élus PCF de Pont de Claix du temps de MM Couëtoux et Blonde, maires respectifs de cette Commune du sud de l’agglomération grenobloise. Puis, avec l’aide de la droite, en 2008, il crée la surprise en battant le ... PCF. Il est alors perçu comme un modéré proche du terrain. Plutôt sympathique d’ailleurs et se présentant comme ... rocardien. Mais “la Métro l’a changé”. Il est aujourd’hui arrogant, lointain, traitant souvent avec une grande indélicatesse son opposition incarnée par Mme Martine Glé, frêle personne d’un certain âge. Sa grosse berline de fonction de président de la Métro fait l’objet de nombreuses railleries d’habitants de cette Commune populaire. 

Mais surtout, personne ne pouvait imaginer qu’il rate à ce point son mandat de président de la

Métro. Il avait pourtant eu le temps de s’y préparer puisqu’il avait candidaté en vain dès 2010 au moment de la nomination de Didier Migaud à la Cour des Comptes, nommé au tour extérieur comme candidat de ... Nicolas Sarkozy. La présidence de la Métro a été un échec cuisant. Perçu en permanence sous la tutelle du maire de Grenoble, il est devenu l’incarnation d’une Métro lointaine, arrogante, coupée des réalités du quotidien et ultra dépensière. Son projet de planétarium mondial aux Moulins de Villancourt fait l’unanimité contre lui.

Les travaux pour le nouveau siège de la Métro (90 M€) sont très critiqués. Et sur Pont de Claix, l’échec de l’aménagement de la place centrale le fragilise terriblement.

Face à lui, un jeune candidat, Thomas Ditrani. Spécialiste des questions financières, cadre d’une société privée, également professeur dans l’enseignement supérieur, ce jeune trentenaire consacre également une partie de son temps à des actions caritatives sociales.

 Il peut compter sur la solidarité de Mme Martine Glé que l’on voit ci-dessous en compagnie notamment de Mme Flavie Bernard, Secrétaire Départementale Adjointe des Républicains 38, Directrice des services de la mairie de St Paul de Varces et responsable de la campagne des LR 38 sur Varces. 

C’est donc une opposition unie qui a débuté sa campagne sur Le Pont de Claix. Une opposition surprise par la qualité de l’accueil rencontré lors des premières opérations de porte à porte. Un souffle de besoin de neuf existe particulièrement comme s’il devait être question maintenant de changer celui qui a tant changé ...

29 juin 2019

[stpauldevarces2026]

#Départementales2021 : J - 19 : le 20 juin ce doit être la fête des cantons : le suffrage universel, c'est d'abord la fête de l'égalité par la fête de la citoyenneté. Tous égaux pour décider de l'avenir. C'est une formidable avancée qui a demandé beaucoup de luttes. Aucune discrimination de sexe, de revenus, d'âges ... Quel progrès qui mérite d'être respecté par la participation civique. Et le canton, c'est aussi une belle création de l'Histoire. Il faut remonter à 1834 pour vivre la première élection cantonale au suffrage universel direct. Et depuis, des femmes et des hommes ont travaillé pour que des avancées interviennent dans de nombreux domaines. Dans le Canton de Le Pont de Claix (dont l'ex canton de Vif), au sud de l'agglomération grenobloise, ce fut le cas avec Michel Couëtoux pour la culture (Moulins de Villancourt, Sim Jean Wiener, Musée de la Révolution ...). Avec Denis Bonzy, ce fut pour l'enseignement (extension-restructuration du collège de Vif, reconstruction du collège Moucherotte (Mandela) de Pont de Claix, construction du collège Jules Verne à Varces ....

Avec Brigitte Périllié, la cause des femmes a vécu des progrès importants.

Le 20 juin, il faut fermer la parenthèse de l'immobilisme des 6 dernières années : conseillers départementaux absents (Pierre Gimel, Sandrine Martin Grand). Jamais sur le terrain. Même pas des permanences dans les mairies. 6 ans pendant lesquels le canton de Le Pont de Claix a été terriblement fragilisé. Ses habitants méritent mieux. Le 20 juin, fêter le canton, c'est voter pour Claude Soullier, Lydie Soler Gonzalez, Delphine Timsit et Roberto Ferrara. Et dans ce sprint des 20 derniers jours, dossier par dossier, notre collectif va

comparer les programmes dans le détail. Pour bien choisir, il faut être bien informé. La vérité des faits et non pas la pollution des fake news.

01/06/2021

[stpauldevarces2026]

Hit parade des audiences de nos articles sur le mois écoulé : Jackie Kennedy à Grenoble largement en tête ... ; c’est quand même une surprise pour nous que de constater que l’article ayant obtenu le maximum d’audience a été celui du 28 mars sur Jackie Kennedy à Grenoble. Il est arrivé en tête des audiences sur tous nos supports. Audiences cumulées : 4 271 visites. En tête des personnes atteintes sur Facebook (rappel définition : nombre de personnes uniques ayant vu la publication sur la page Facebook). Même la petite fille de la personne qui avait hébergé Jackie Kennedy a réagi. Comme quoi le poids des noms emblématiques demeure toujours considérable.

2) La crise grave interne à la majorité municipale de St Paul de Varces : 2 487 visites (article du 13 avril). Sur la page Facebook, il a fait une audience de qualité. La surprise est venue de deux autres réseaux : LinkedIn qui a suscité un taux de rebond élevé probablement par le profil des professionnels liés à l’immobilier et le blocage possible qui va résulter de cette crise de l’opération du Villarey. La vraie surprise est venue du taux de rebond d’Instagram. C’est la première fois que nous engagions une opération de boost via Instagram et c’est exact que l’opération a été efficace probablement par curiosité face à la photo choisie. Depuis cet article, la démission officielle formelle a bien été confirmée. Si l’opposition devait démissionner à son tour (ce qui parait probable), c’est l’annonce prochaine par le Préfet (à moins de 90 jours) d’élections municipales nouvelles pour la totalité du Conseil. Une crise sans précédent sur cette Commune.

 3) Le projet Neyrpic de

 nouveau Grand’Place : cet article du 7 avril a obtenu 2 315 visites. 

4) L’urbanisation densifiée dans l’agglomération et le PLU de Claix : article du 5 avril : 1 875 visites.

5) Moulins de Villancourt et planetarium : article du 3 avril : 1 546 visites.

Par ailleurs, pour la première fois nous avons franchi le seuil des 3 500 abonnés à notre page Facebook : chiffre exact : 3 591 et avec 3 666 personnes qui ont cliqué sur la mention “j’aime”. Merci pour votre intérêt et pour votre participation.

15/04/2018