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Film de guerre : ne manquez pas Les Larmes du soleil en streaming
Cela vous dirait de vous détendre en regardant un film de guerre américain ? En vous rendant sur le site PlayVOD Maroc, vous trouverez plusieurs titres intéressants que vous pourrez visionner en vidéo à la demande ou en streaming. Parmi ceux-ci figure aussi « Les Larmes du soleil », réalisé par Antoine Fuqua en 2003. Voici un résumé de ce qui vous attend : le lieutenant Waters et son équipe de…
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L'envie de te déshabiller me tourmente, mais pas de tes vêtements.
Je voudrais te déshabiller de tes douleurs, de tes peurs, de tes doutes, de tes inquiétudes.
Laisse moi devenir ton éponge magique, laisse moi être ta gomme féerique, pour effacer toutes tes déconvenues, laisse moi t'offrir des litotes pour décrire le monde que je mets à tes pieds...
Laisse toi guider, ferme les yeux, lâche prise.
Je voudrais transformer tes moments mélancoliques en moments d'euphories, visser le soleil pour qu’il te flatte à jamais,.dépoussiérer ton Cœur meurtri à coup de pétales de rose, déboulonner l’Univers pour te cueillir un bouquet d’étoiles parsemé de poussières Célestes.
J'arrêterai de t'admirer, uniquement lorsqu'un sculpteur aveugle réussira à sculpter le bruit d'une larme passionnée tomber sur un plancher de cristal d'un palais royal imaginaire ...
Ivre d'un tel essor, oubliant la Raison, je t'apprendrai à apprivoiser tes rêves les plus fous, à te détacher de tes chimères, à combattre les méandres du Temps.
Nous partagerons nos parcelles d'âmes dans un concert passionné laissant virevolter des débris Spirituels au sein même nos Amours éperdus.
Et alors, après seulement, tu pourras enlever tes parures superflues, rentrer en fusion exhaustive .. pour enfin, moi le privilégié, contempler l'effeuillage gracieux de ta Splendeur et savourer l'émerveillement de ta transformation.
...
...
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Si tout arrive en même temps, Comme dans un mauvais film, Souvenez-vous plusieurs fois de la phrase : « Tout n'est pas éternel sous le soleil. »
Si vous n’avez pas assez de force pour résister, le gel vous coulera dans le dos, N’oubliez pas que nous payons tout, Et souvent au prix des larmes.
Même si tout est déchiré, n’oubliez pas qu’au bout du chemin il y aura certainement le bonheur. Il vous suffit de l'atteindre.
Rassemblez toute votre fatigue, qui a fait serrer votre poitrine... Tout ce qui reste est - Il suffit de le rayer et d'oublier !
© Ira Trots
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source : @cheminer-poesie-cressant
.
Sous le soleil puissant, les paysages ont l'air de s'incliner.
Et je marchais le long des larmes de lumière,
dans l'Ă©loignement du chemin Ă perte d'amour
admiratif et recueilli, dans les détails qui s'illuminent.
Jusqu'oĂą rayonnera l'isolement ?
.
(Dans la portée des ombres, extrait)
© Pierre Cressant
(jeudi 20 octobre 2005)
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Évidemment, nous n'apprenons jamais rien. Le ciel se ferme et les yeux. La pluie coule - mais les caniveaux de mon cœur...
Au milieu de Celetná - et les passants - je ne heurte pas - mais je m'abîme - les larmes sous mes talons et les pavés trébuchant - dans ma bouche inaudible... Nul sanglot n'aura chassé les nues.
La rosée n'émeut plus ce bleu qui délave. Attendre... à n'en pouvoir plus - rougie jusqu'au bout des cils. Et les tuiles se détachant une à une. A vive allure, je marche - vers quel azur. Vers quelle échappatoire.
Passage bouché - de mon âme - envolée d'oiseaux. Je perds ma voix - quand mon cœur, de mes lèvres, coule. Nausée, à fendre l'âme des rues.
Ils passent. Sans savoir quel précipice - aimer. Quel danger. Les mains humides - à force de sécher mes joues. Glacées par le vent et le froid qui rôdent - de place en place. J'ai marché.
J'ai lutté. En vain - paroles d'amour - et mes pleurs - à défoncer l'asphalte de leurs cris - j'aurais voulu pouvoir pousser entre les pavés, sur ma poitrine, que les germes percent ma peau - que de leurs yeux, les feuilles te regardent -
J'aurais voulu pouvoir éclore mille tendresses. Que le béton de mon ventre - meurt. Tout ce qui sourd de mon corps - émotions confuses - les églises ont perdu leurs vitraux. Et les tessons, dans mes mains.
J'ai beau hurler. J'ai beau jouir. J'ai beau écrire. Je disparais. Au milieu des foules - mes bras levés - pour chercher l'espace - où te retrouver. Avalée par les vagues.
Mes yeux mouillés - ne connaissent plus la pitié ni la joie. Et j'avale, avec difficulté. Des pierres. Et j'avale, avec difficulté, tes mots. Et je trouverai - effrontée - la percée de ciel
- je trouverai le soleil ascendant - qui fait pour moi raison, définitive, de te rester. Et de demeurer là , étendue, à l'ombre de tes yeux, sous un astre inflexible qui, tous les deux, nous étreint d'une même lumière - sans jamais savoir ce qui nous déparie - sans trouver fermeté à nous départir - l'un de l'autre
- non. Je ne trouve pas sens, ni conscience à aller seule - lointaine. Ni impératif, ni volupté - ni estrangement - ne sauraient avoir raison de moi. De mes entêtements. À nous colluder. À renaître la joie - dans ton cœur et le mien - à n'avoir d'autre croyance que d'aimer et de jouir
- et de savoir le bonheur réalisé, ici-bas et maintenant. Si sous ta main, tu perçois le sang qui bat - avec fureur - dans mes veines. Pour crier d'aimer, vivre - et aimer vivre - encore, ne serait-ce qu'un instant - plutôt que cette mort qui nous fait solitude
- je mordrai encore (sans pitié) à ta peau pour qu'à mes dents le sang gicle - et que je te sache, là . Plein d'envie - et de vie. Les yeux humectés - de peur - de ne plus te connaître - je te rassemble. Sur ma poitrine.
Et du pied, je chasse les feuilles. Les bâtiments ni la nuit n'encombreront la clarté de mon ciel. Je piétinerai tout ce qui m'empêche et ferai de grands signes - dissiper les ombres.
Que mes larmes encore tressautent. Pour écumer l'horreur. Furieuses. Acharnées. Mes forces. À te renaître encore - et braver...
L'incendie qui m'Ă©claire et me nuit.
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J’ai l’âge de voir les choses avec tranquillité, mais dans l’intérêt de continuer à évoluer.
J’ai l’âge de caresser mes rêves du bout des doigts et de voir mes illusions se transformer en espoir.
J’ai l’âge où l’amour est parfois une flamme qui a besoin de se consumer dans le feu d’une passion désirée, parfois un havre de paix, tel un coucher de soleil sur la plage. J’ai quel âge ?
Je n’ai pas besoin de nombre, car mes désirs réalisés, mes larmes que j’ai versées en voyant mes illusions se briser….. valent beaucoup plus que ça.
Quelle importance d’avoir vingt, quarante, soixante et plus!
Ce qui importe c’est l’âge qui me correspond. J’ai l’âge qu’il faut pour vivre libre et sans peur….. pour suivre mon chemin sans crainte, car je porte avec moi l’expérience que j’ai acquise et la force de mes désirs.
J’ai l’âge suffisant pour ne plus avoir peur et faire ce que je veux et ce que je ressens.
José Saramago
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Ecrire avec l’ombre des mots
la solitude invisible
des cœurs aimants
Sentiment endormi
La pluie aussi
Et à l'intérieur de chaque larme
Le petit incendie d'un chagrin
Qui aimerait sécher au soleil
"Je vous aime"
Mots si douloureusement Ă©pique
Quand ils restent lettres mortes
Ou deviennent champ de tournesols calcinés
Écrire avec de la cendre
Un amour impossible-mais-vrai
Son comique vague à l'âme
Ses rivages de paradis sans issue
Seuls les rĂŞves
Soie de sa peau
dans le miel de ses gestes
Seuls les rĂŞves
Dire alors "je vous rĂŞve"
Pour ne déranger aucune pénombre
N'émerveiller ni ne décevoir
La moindre attente
Le moindre cauchemar
Du silence garder le trésor
Sa cachette est sous l'escalier
Votre beau visage Ă la fenĂŞtre
Que fixe l'Ă©toile polaire
Belle transparence de ses paupières
Qu'on imagine
Que dire de ses lèvres
Quand elle observe le ciel
On dirait le murmuré des pensées
Un mystérieux insecte serti dans un sourire
Sans ailes la neige
Partition blanche et nue
Vole aussi bien que la lumière
Bras grands ouverts
J'aimerais ĂŞtre le fil
Du funambule et vous y voir arpenter
Le durable périmètre de ma mélancolie
Celle que j'ai aujourd'hui
Car demain elle aura fondue en totalité
Avec les glaciers
Les déserts
Les vies rêvées et le sentiment profond
D'une absence abyssale
Imaginaire peut-ĂŞtre
Mais avec laquelle je suis né
jacques dor
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Il restera de toi… Il restera de toi ce que tu as donné. Au lieu de le garder dans des coffres rouillés: Il restera de toi, de ton jardin secret, Une fleur oubliée qui ne s'est pas fanée. Ce que tu as donné En d'autres fleurira. Celui qui perd sa vie Un jour la trouvera. Il restera de toi ce que tu as offert Entre les bras ouverts un matin au soleil. Il restera de toi ce que tu as perdu, Que tu as attendu plus loin que les réveils. Ce que tu as souffert En d'autres revivra. Celui qui perd sa vie Un jour la trouvera. Il restera de toi une larme tombée, Un sourire germé sur les yeux de ton cœur. Il restera de toi ce que tu as semé Que tu as partagé aux mendiants du bonheur. Ce que tu as semé En d'autres germera. Celui qui perd sa vie Un jour la trouvera. Simone Veil
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"Partons de ce bleu, si vous voulez bien.
Partons de ce bleu dans le matin fraîchi d’avril.
Il avait la douceur du velours et l’éclat d’une larme.
J’aimerais vous écrire une lettre où il n’y aurait que ce bleu.
Elle serait semblable à ce papier plié en quatre qui enveloppe les diamants dans le quartier des joailliers à Anvers, ou Rotterdam, un papier blanc comme une chemise de mariage, avec à l’intérieur des graines de sel angéliques, une fortune de Petit Poucet, des diamants comme des larmes de nouveau-né.
Carnet bleu envoyé à "La plus que vive" :
"L'âme. Un linge frais de soleil, amoureusement plié."
"L'homme Joie" - Christian Bobin.
Illustration: "Bleuets des champs."
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Je te promets le sel au baiser de ma bouche
Je te promets le miel Ă ma main qui te touche
Je te promets le ciel au dessus de ta couche
Des fleurs et des dentelles pour que tes nuits soient douces
Je te promets la clé des secrets de mon âme
Je te promets la vie de mes rires Ă mes larmes
Je te promets le feu Ă la place des armes
Plus jamais des adieux rien que des au-revoirs
J'y crois comme Ă la terre, j'y crois comme au soleil
J'y crois comme un enfant, comme on peut croire au ciel
J'y crois comme Ă ta peau, Ă tes bras qui me serrent
J'te promets une histoire différente des autres
J'ai tant besoin d'y croire encore
Je te promets des jours tout bleus comme tes veines
Je te promets des nuits rouges comme tes rĂŞves
Des heures incandescentes et des minutes blanches
Des secondes insouciantes au rythme de tes hanches
Je te promets mes bras pour porter tes angoisses
Je te promets mes mains pour que tu les embrasses
Je te promets mes yeux si tu ne peux plus voir
J'te promets d'ĂŞtre heureux si tu n'as plus d'espoir
J'y crois comme Ă la terre, j'y crois comme au soleil
J'y crois comme un enfant, comme on peut croire au ciel
J'y crois comme Ă ta peau, Ă tes bras qui me serrent
J'te promets une histoire différente des autres
Si tu m'aides Ă y croire encore
Et mĂŞme si c'est pas vrai, si on te l'a trop fait
Si les mots sont usés, comme écrits à la craie
On fait bien des grands feux en frottant des cailloux
Peut-ĂŞtre avec le temps Ă la force d'y croire
On peut juste essayer pour voir
Et mĂŞme si c'est pas vrai, mĂŞme si je mens
Si les mots sont usés, légers comme du vent
Et mĂŞme si notre histoire se termine au matin
J'te promets un moment de fièvre et de douceur
Pas toute la vie mais quelques heures
Je te promets le sel au baiser de ma bouche
Je te promets le miel Ă ma main qui te touche
Je te promets le ciel au dessus de ta couche
Des fleurs et des dentelles pour que tes nuits soient douces...
Johnny Hallyday
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La France est en soins palliatifs. Sous piquouze de choc. De l’olympisme en intraveineuse. Du shoot de winner médaillé or. Plus de gouvernement, certes, mais le petit peuple, toujours coiffé par ses élites, se délecte. Bientôt on tentera de payer sa baguette en drachme estampillé BCE, mais qui s’en fout ? La tant redoutée “troïka bruxelloise” viendra déféquer dans les bottes de la garde républicaine, nakamuratée à mort et bien incapable de défendre la porte du château. On devra faire ceci et ne plus faire cela. On dira adieu à l’épargne, aux retraites, à la santé. On se responsabilisera enfin sous le regard sévère (mais juste) de Blackrock, de Pfizer, d’Ourzoula et de tous les copains habillé en bleu atlantique. Chiche que l’on nous demandera d’apprendre l’ukrainien.
Et Branlotin, dans tout cela ? Eh bien le petit connard narcissique est parti tâter du muscle au soleil, photographié sur le yacht d’un énième oligarque (?), tout sourire, déjà bronzé, sans Jean-Bri. Ça va nous faire un combo cocaïne-vaseline au coucher du soleil, à n’en pas douter. Les feux de l’amour, avec le tandem Jolly-Boucheron en guests stars descendues en Falcon de la République.
La France coule, le sourire béat, les poumons pleins d’air pur, dans le bonheur d’une capitale sans bagnoles, sans racaille ouane-tou-sri, sans SDF, sans OQTF, sans subsahariens vendeurs de tour Eiffel, sans plus trop de violeurs pakis, mais avec plein de caméras réputées intelligentes, gavée de QR codes inquisiteurs en diable, avec du bleu poulaga à chaque carrefour, du piou-piou en gare, des bénévoles qui essaient encore de sourire aux couillons sportophiles venus de partout se faire plumer dans les restos à micro-ondes des quartiers encore épargnés par les grillages et les blocs de béton.
La France se noie parce qu’elle a bu la tasse dans une Seine plombée par les étrons, les rats crevés et les larmes des Gabin, des Audiard, des Blier, des Ventura et de tous les cadors d’un passé couillu et bien révolu. Un milliard et quatre cents millions pour permettre à Salvadorina Allende et à une ministre clitoridienne de jouir d’un bain pourri, infect, dégueulatoire. Tristes connes, pauvres athlètes.
Que se passera-t-il après tout cela ? Nul ne peut le dire. Les cartes de Madame Irma sont illisibles, tombées de la table, parties sous le tapis ou déjà bouffées par les rongeurs darwinisés par la règle du profit et du silence. Même les conjectureux de plateau nous parlent de concours de javelot ou de 400 mètres haies tant l’horizon est bouché – illisible, imprévisible, invisible.
La France, la France, la France... chienne aînée d’une Église wokisée, pute consentante de satrapes ricaneurs et lâches, cumshotée dans tous ses orifices, veinifiée à la pfizzerine, noyée dans la Cène, raccourcie à la Conciergerie... pauvre fille, qui fut si belle. Se remettra-t-elle de tous ces coups bas, ces avilissements, ces misères proprement médiévales ? 2025, année des funérailles, ou premier chapitre d’un nouveau récit ? Les deux, qui sait, mon Général ?
J.-M. M.
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Cette blessure Où meurt la mer comme un chagrin de chair Où va la vie germer dans le désert Qui fait de sang la blancheur des berceaux Qui se referme au marbre du tombeau Cette blessure d'où je viens
Cette blessure Où va ma lèvre à l'aube de l'amour Où bat ta fièvre un peu comme un tambour D'où part ta vigne en y pressant des doigts D'où vient le cri, le même chaque fois Cette blessure d'où tu viens
"Cette blessure Qui se referme à l'orée de l'ennui Comme une cicatrice de la nuit Et qui n'en finit pas de se rouvrir Sous des larmes qu'affile le désir
Cette blessure Comme un soleil sur la mélancolie Comme un jardin qu'on n'ouvre que la nuit Comme un parfum qui traîne à la marée Comme un sourire sur ma destinée Cette blessure d'où je viens
Cette blessure Drapée de soie sous son triangle noir Où vont des géomètres de hasard Bâtir de rien des chagrins assistés En y creusant parfois pour le péché Cette blessure d'où tu viens
Cette blessure Qu'on voudrait coudre au milieu du désir Comme une couture sur le plaisir Qu'on voudrait voir se fermer à jamais Comme une porte ouverte sur la mort Cette blessure dont je meurs"
Léo Ferré
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Le mariage
Le soleil se levait sur Jérusalem, illuminant les murs de la ville d'une lumière dorée. Les rues, encore calmes, commençaient à s'animer alors que les habitants se préparaient pour une journée mémorable. Aujourd'hui, leur vaillant roi Baudouin, allait épouser Alix de Tripoli, la future comtesse de Tripoli, son amie d'enfance et son amour.
Dans le palais, Baudouin se tenait devant un miroir, ajustant sa tunique ornée. Il pouvait voir les marques sur son visage, souvenirs de son combat contre la lèpre. La maladie avait finalement régressée, grâce au traitement de ses mires. Désormais, il était guéri, mais elle avait laissé ses marques. Malgré cela, il se sentait plus fort que jamais. Il pouvait enfin avoir du temps et surtout la femme qu'il aimait. Alix avait toujours été à ses côtés, et aujourd'hui, elle allait devenir sa reine.
Un léger coup à la porte le fit sursauter. C'était Alix, rayonnante dans sa robe de satin blanc, ses cheveux bruns tombant en cascade sur ses épaules. Son sourire illuminait la pièce, et Baudouin sentit son cœur s'emballer. « Es-tu prêt ? » demanda-t-elle, sa voix douce et pleine d'amour.
« Je le suis, mais… » Il hésita, son regard se posant sur ses cicatrices. « Je crains que mes marques ne te fassent peur. »
Alix s'approcha, prenant son visage entre ses mains. « Ne dis pas cela, Baudouin. Chaque cicatrice raconte une histoire, et elles font partie de toi. Je t'aime pour l'homme que tu es, pas pour l'apparence que tu as. »
Il sentit une chaleur envahir son cœur. « Tu es la seule qui puisse voir au-delà de mes blessures. »
« Et je le ferai toujours, » répondit-elle avec conviction. « Aujourd'hui, nous célébrons notre amour, et rien ne pourra l'éteindre. Je veux que tu saches que je te veux pour l'éternité. »
Les mots résonnèrent en lui comme une douce mélodie. « Alix, je t'adore. Tu es ma lumière dans l'obscurité. »
Ils quittèrent la chambre ensemble, main dans la main, se dirigeant vers la grande salle où les invités les attendaient. Les nobles de tout le royaume, amis et membres de la famille, étaient réunis pour célébrer cette union tant attendue.
La cérémonie débuta, et Baudouin se tenait devant l'autel, le cœur battant. Alix s'avança vers lui, et à chaque pas, il pouvait sentir l'amour et le soutien qu'elle lui offrait. Lorsqu'elle se tenait à ses côtés, il se sentait invincible.
Le prêtre prononça les mots sacrés, et Baudouin prit la main d'Alix dans la sienne. « Je te promets de t'aimer et de te protéger, peu importe les défis que nous devrons affronter. »
« Et moi, je te promets de rester à tes côtés, de te soutenir et de t'aimer, peu importe les cicatrices que la vie nous infligera, » répondit Alix, les yeux brillants de larmes de joie.
Lorsque le prêtre déclara qu'ils étaient désormais mari et femme, une vague d'applaudissements et de cris de joie s'éleva dans la salle. Baudouin et Alix échangèrent un regard complice, un sourire partagé qui disait tout. Ils savaient que leur amour était plus fort que les épreuves passées et que leur avenir ensemble serait lumineux.
La fête qui suivit fut remplie de rires, de musique et de danses. Baudouin, bien que conscient des regards curieux sur ses cicatrices, se sentait libre et heureux. Alix dansait à ses côtés, sa présence lui apportant une force qu'il n'avait jamais connue auparavant.
Alors qu'ils s'éloignaient un moment pour profiter d'un instant de calme sur le balcon du palais, Baudouin prit Alix dans ses bras. « Je n'aurais jamais cru que ce jour arriverait, » murmura-t-il.
« Et pourtant, il est là , » répondit-elle en souriant. « Nous avons surmonté tant d'obstacles, et maintenant, nous avons tout un avenir à construire ensemble. »
Baudouin la regarda, son cœur débordant d'amour. « Avec toi à mes côtés, je me sens prêt à affronter le monde. »
« Ensemble, nous sommes invincibles, » affirma Alix, scellant sa promesse par un doux baiser.
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Nevermore...
« J'habitais seul un monde de plaintes, et mon âme Ă©tait une onde stagnante. » (Edgar Allan Poe)Â
Vénéneuse fleur liée d’habitudes Sur tes pages tu tissais les fils de ta rancœur, Et sous tes dentelles, t’enivrais de dangers Déposer les armes, ô grand jamais ! Se garder d’aimer, seulement jouir Nul ne sait, Nul ne devine, Les étaux de fer et de larmes que tu te destines
Triste fleur trop vite éclose, Tu t’emmurais sous le givre de ton cœur, Figeant ton masque quotidien De sourires étudiés, glaçante comédie Plus d’intime au palais des pâles peurs Nul ne sait, Nul ne devine, Les sursauts qui parfois t’animent Fragile fleur née un jour de mai, Tu crus périr pourtant un soir d’avril, Soleil enfui, lune percée Aura léonine enfouie, son sourire, ton rocher Ton futur s’effondre dans la gorge hideuse du présent Nul ne sait, Nul ne devine, Les espoirs rendus à l’ombre que ton cœur dessine
Plus jamais, plus jamais Répète le tic-tac entêtant de ton obsession L’aiguille acérée des secondes se dandine Prisonnière entre tes mornes heures Et le soyeux, triste et vague bruissement du dehors Nul ne sait, Nul ne devine, Que le Doute est le pire des venins Goutte à goutte, ta nuit n’a pas de fin
Ligeia
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ô bonheur surhumain qui m'étreint - mes larmes trempées de soleil ruisselant sur ta beauté nue - comme je t'aime ! à m'étreindre - au plus profond de la nuit et du sentiment - tu es l'aurore retrouvée, tu es la joie révélée - à l'appel de mes Mystères et de mes Vœux - mes mains dressées en un plus bref hommage - et que tes lèvres effleurent (imperceptibles tressaillements ! renoncement aux banalités douloureuses ! ma tête renversée en signe d'acquiescement !) - je vois le ciel où je t'embrasse plus purs ensemble même agenouillés dans la fange qui ne nous concerne plus - ô bonheur surhumain qui m'étreint - délice de tes lèvres, de tes caresses, de tes initiations - je reste émerveillée - immobile - fulgurée - au duvet de tes gestes, fleurs surnageant sur les eaux - mes flancs dévoilés de tendresse - lac de mes passions... où je te noie, ô volupté, au seuil de mes calices - inénarrable félicité ! - je tremble de la joie où tu me vois sombrer, où je veux t'attirer - comme un soleil inarrêtable - que tu cèdes avec moi - digues aux lys enlacés, tels nos deux corps printaniers, germant de tous côtés - bourgeons foisonnants et germes enivrants - toutes mes fleurs de supplice, mes plantes tentatrices - mes parfums corrupteurs - de l'humus tout humide - à nos chairs accolé - ô bonheur surhumain qui m'étreint - ô beauté surréelle et sans fin - de tes mains, de tes reins - ô bonheur souverain...
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