#le secret mystique
Explore tagged Tumblr posts
Text
Rituel de retour de ton homme ou de ta femme
Je vous présente le fétiche « GOUDJO » spécialiste de retour d’amour quelques soit la distance, la durée de la séparation. Faite tous simplement confiance à ce puissant fétiche et il fera de sorte que votre conjoint(e) vous reviennent dans les 72 heures qui suivent. IL suffit juste de donner le nom ou l’adresse de la personne concerné et le travail se fera tard dans la nuit. Et ou que cette…

View On WordPress
#LE PLUS GRAND MAÎTRE MARABOUT DU MONDE#le plus grand maître marabout du monde et de France#le plus grand maître marabout voyant puissant du monde#le plus puissant maître marabout du monde#le plus puissant maitre marabout#le secret mystique#le secte du 666
0 notes
Text
they should've never made ada a hacker (specifically with her intercepting luis' emails to his college friend & that one scene in damnation where she forces the elevator to svetlana's laboratory to open to help leon & sasha + herself escape the self destruction sequence she intentionally activated) because i've taken it now to mean (i watch way too many computer software review & repair videos) she will be annoying about her preferred linux distributions to anyone who will listen, fellow spies, hackers & whichever partner wakes up to ada typing away on her laptop in their living room looking like she hasn't slept the whole night
#* file // : OOC — ( 𝐓𝐇𝐄 𝐏𝐎𝐒𝐓𝐄𝐑'𝐒 𝐂𝐑𝐔𝐒𝐀𝐃𝐄 . )#* file // : 004 — ( 𝐇𝐄𝐀𝐃𝐂𝐀𝐍𝐎𝐍 . )#i'm very sorry but any technical skill/proficiency with computers instantly makes you a little bit of a nerd#it's law#that's one of her many secretive hidden traits very few will fully realize because she has to keep her mystique & allure at the forefront#it's inciting & disarming because often people's perceptions of attractive women's intellect run opposite to their looks#& while being underestimated is workable it is as equally deadly depending on who sees her as lesser#it is not always empowering to demolish the preconceived notions forced onto you#especially for a woman like her#i've talked before about how useful her hacking ability is in the context of corporate espionage as a way to remove the need for a handler#or paying off others to do the research ada can very well do herself#but it is also a skillset that allows her to get employed under her various personas & aliases as a data analyst or a cybersecurity expert#(with faked credentials hosted on an unsuspecting previous employer's websites for however long her credibility needs to last)#to strike at the core of a corporation's private data#she's very talented#i like to think that during one of these assignments she ran into ethan winters sometime in the late 2000s#& it was just a random coincidence where she thought nothing of him beyond being a fellow systems engineer working in a gray office complex#only for him to become such a central figure in the BSAA's dulvey coverup her eyes perked up reading their internal documentation#thinking it all a little too funny#all this without even mentioning her later relationship with mia that me & les (terrorgone) have plotted out
7 notes
·
View notes
Text
LA VALISE MAGIQUE MYSTIQUE MULTIPLICATEUR D’ARGENT
LA VALISE MAGIQUE MYSTIQUE MULTIPLICATEUR D’ARGENT Comment avoir la valise magique de richesse Depuis des siècle , tous ceux qui possède la valise magique multiplicateur d’argent ont toujours un niveau financière très élevé et le renommé international. Ils sont tous riche respecté et on tous une réputation de renommé international soit il sont artiste , footballeur , politicien ou…

View On WordPress
#comment devenir riche avec une valise magique#Comment fonctionne le portefeuille magique#comment utiliser la valise magique#conséquence de la multiplication d&039;argent#fabriquer portefeuille magique#le plus grand marabout du bénin#le secret du portefeuille magique#les marabouts Africains compétents#marabout bénin puissant#porte monnaie magique#Portefeuille magique#portefeuille magique bénin#portefeuille magique consequence#portefeuille magique cuir#portefeuille magique en euro#portefeuille magique explication#portefeuille magique homme#portefeuille magique inconvénients#portefeuille magique marabout#portefeuille magique sans danger#portefeuille magique témoignage#prix portefeuille magique#Puissant rituel de multiplication d’argent rapide#rituel du portefeuille magique#TÉMOIGNAGE ET VÉRITÉ SUR LE PORTEFEUILLE MAGIQUE#valise magique#3 signes que vous allez devenir riche un jour#argent mystique#attirance clientelle#bague magique tres puissante
0 notes
Text






Dans le cadre pittoresque de Saint-Alban-Auriolles, entre les pierres anciennes du dolmen du Calvaire et la douceur des paysages environnants, la promenade se transforme en un moment suspendu. Les sentiers sinueux vous mènent, main dans la main, à travers les champs parfumés de thym et de lavande, là où la nature semble murmurer des secrets d’autrefois. Au pied du dolmen, tout semble figé dans le temps. Le silence est profond, presque sacré, et c’est comme si les siècles passés nous offraient une pause pour savourer l’instant présent. Dans ce lieu mystique, chaque pas que vous faites ensemble devient une promesse d’éternité, où les pierres anciennes semblent témoigner de la beauté de l’amour. Sous les cieux azurés, le doux vent effleure vos visages, et les oiseaux chantent une mélodie douce, comme une déclaration d’amour à la vie. Ici, chaque souffle est partagé, chaque regard un serment silencieux. Le dolmen, tout comme votre amour, est un symbole de solidité et de mystère, et tout autour, la nature danse, nous offrant l’instant parfait pour se perdre l’un dans l’autre. Chaque moment passé dans ce décor enchâssé entre histoire et beauté, devient un souvenir gravé dans le cœur, une promesse silencieuse que, comme ces pierres, votre amour restera indestructible.
Saint Alban Auriolles / France 🇫🇷
PhoTo ©️ LM
23 notes
·
View notes
Text
suburban gothic;
inspiré par twin peaks, desperate housewives, six feet under, hereditary, welcome to nightvale, euphoria, totally fucked up, american beauty, pretty little liars, murder she wrote, east of eden.
Par où commencer pour présenter ce monde? Pas de contexte déjà rédigé pour le moment, l’idée n’est que latente; si les rues ne se remplissent pas, à quoi bon y bâtir des maisons? Mais l’idée se fait pesante, lourde de ses possibilités.
Pennsylvanie, au pied des Appalaches, la rouille industrielle qui se bat contre la nature sauvage, elle-même lacérée par le tracé méticuleux de l’asphalte. Le long de l’une des ces longues routes, une ville. Une parmi tant d’autres, des milliers comme elle. Plantée sur une grille qui structure l’espace; au centre-ville et à ses bâtiments denses succède l’harmonie de la banlieue résidentielle. L’ordre s’y confond avec la monotonie, le charme se dilue dans l’ennui. L’architecture humaine se révèle creuse, les fissures laissent s’en échapper les échos de complaintes qu’on aurait voulu recouvrir de béton, de gazon ou de peinture fraîche. L’horreur s’excite avec chaque désillusion, secret, péché, danger, crime, frustrations. Le futur est riche en promesses mais demain n’est jamais un autre jour, inéluctable répétition d’hier. On enterre ses rêves sous un lit de bégonias dont on prend soin avec fureur et hystérie, dans l’énergie du désespoir, jusqu’au jour où une bande d’adolescents les piétine pour s'amuser.
La ville est séparée en quartiers; #1 est un petit centre-ville, le lieu des rencontres fortuites, main street, le cœur administratif et commercial du lieu. #2 est un ancien village rattaché à la ville, avec ses rues pittoresques, ses habitants qui n’aiment pas les visiteurs, le calme acheté à prix fort, les fermes reconverties. #3 est l’ancien bassin minier, abandonné, peuplé de mythes et de terreurs, peu à peu remplacé par l’industrie forestière. #4 est la banlieue résidentielle, le théâtre principal de notre jeu de dupes.
L’horreur vient de l’intérieur; du plus vaste, l’intérieur des frontières nationales, au plus intime: le foyer et l’individu. L’extérieur projette: un pays puissant et prospère, des rues propres, un voisinage aimable, des bonnes manières et de jolies choses. Le tout tient du mirage. À l’intérieur, rien ne va, on est à deux doigts de tomber dans le ravin. Les valeurs fières et heureuses sont corrompues; la communauté devient une prison, la religion devient une manipulation, le politique s’achète, la propriété creuse les dettes, le couple se brise.
Tout ne va pas mal; même si le gothique est souvent très sombre, il y existe aussi une place pour d’autres histoires. Edward Scissorhands est LE film du suburban gothic et c’est loin d’être un film d’horreur. Twin Peaks et True Blood mélangent un ton mystérieux avec des moments plus légers. L’excentricité ou la bizarrerie des personnages est d’ailleurs souvent un symptôme des rouages sombres qui font tourner l’histoire. Les tags associés au gothique sur Tumblr mènent à des contenus sinistres, mais chacun.e est libre d’aller un peu plus loin. À titre personnel par exemple, je pense que les Sims 2 est un jeu à l’ambiance gothique (: On fait ce qu’on veut avec le concept de gothique, et ce sera pareil sur le forum si le projet séduit et intéresse. (si besoin, je peux rédiger un texte un peu plus élaboré sur l'american gothic et ses déclinaisons régionales/thématiques)
Les années 2010; LA décennie des différentes gothic aesthetics. L’une des pires crises financières de l’histoire est passée par là et a fait beaucoup de mal au rêve américain. Le traumatisme est bien là, encore aujourd’hui, chez les individus comme dans les sociétés dans lesquelles ils évoluent. Le paysage de certaines régions change durablement; dans le Midwest, dans le sud, dans la Rust Belt. Une nouvelle tâche sur la mystique de l’Amérique. The American Nightmare.
J’ai beaucoup écrit et si vous avez lu jusque là – merci vraiment, et euh, pardon. C’est avant tout une bouteille à la mer, ce post. S’il trouve sa destination, alors on en fera germer les prémices. Il y a de quoi faire je pense. Les remarques, questions, suggestions, toutes bienvenues, j'ai envie de lire un peu après avoir autant écrit.
Contenu additionel; sera posté s'il y a de l'intérêt – le contexte, évidemment – mécanismes de jeu, animations – les postes vacants, leurs dynamiques – la ville, son monde, son histoire – les racines, l'inspiration – aes
un dernier mot: le tumblr n'est pas encore complètement fonctionnel, la plupart des liens est sous construction.
photo: edgar martins, éditée pour suburban gothic.
43 notes
·
View notes
Text
21« Pourquoi tremblez-vous ? »
Lilia X Reader
à la demande de @confuseuniverse j’espère que sa te plaira 💛
Dans l'arrière-boutique du magasin de Lilia, une douce lumière filtrée par une fenêtre poussiéreuse éclairait les étagères chargées de livres anciens et d'objets mystérieux. Reader, vêtue d'une robe sombre, se tenait au milieu de ce sanctuaire de savoir, entourée de volumes reliés en cuir dont les titres dorés brillaient faiblement. L'odeur des pages jaunies et du vieux papier emplissait l'air, créant une atmosphère à la fois nostalgique et envoûtante.
Elle s'affairait à ranger les livres, ses doigts glissant sur les couvertures rugueuses, découvrant des titres fascinants sur les arcanes de la magie et les secrets de la divination. Chaque ouvrage semblait murmurer des histoires anciennes, des connaissances oubliées, et Reader ne pouvait s'empêcher de s'arrêter pour feuilleter quelques pages, absorbant l'information avec avidité.
Les objets qui l'entouraient ajoutaient à l'ambiance mystique de la pièce. Des cristaux scintillants, des bougies aux formes étranges, et des instruments de divination tels que des tarots et des runes étaient disposés sur des tables en bois usé. Reader prenait soin de ne pas déranger ces trésors, les manipulant avec précaution, comme si chaque objet détenait une magie propre.
La lumière du jour, bien que tamisée, mettait en valeur les particules de poussière dans l'air, donnant à l'espace un aspect presque féerique. Reader se sentait à la fois excitée et honorée d'être là, dans ce lieu chargé d'histoires et de savoirs. Elle savait que chaque minute passée dans cette arrière-boutique était une étape vers la maîtrise de la divination, une passion qui brûlait en elle.
Cela faisait des mois que Reader avait pris ses fonctions d'assistante auprès de Lilia, et l'atmosphère dans l'arrière-boutique avait évolué, chargée d'une tension subtile. Les murs, autrefois témoins d'un apprentissage studieux, semblaient maintenant vibrer d'une nouvelle énergie, une complicité teintée d'une affection grandissante. Reader, souvent plongée dans ses tâches, ne pouvait s'empêcher de ressentir une chaleur diffuse chaque fois que Lilia s'approchait, ses yeux perçants et son sourire énigmatique éveillant en elle des émotions qu'elle n'avait pas anticipées.
Leurs échanges, d'abord simples et professionnels, avaient pris une tournure plus personnelle. Reader se surprenait à apprécier chaque moment passé en sa présence, que ce soit lors des leçons de divination ou dans les instants plus informels où elles partageaient des anecdotes sur leurs vies. Lilia, avec sa sagesse et sa bienveillance, était devenue une figure centrale dans l'univers de Reader, mais cette proximité la plongeait dans un tourbillon d'émotions contradictoires.
Dans l'arrière-boutique, les livres et les objets magiques semblaient témoigner de cette tension. Chaque interaction était un mélange d'excitation et d'anxiété, un ballet délicat entre l'envie de se rapprocher et la peur de franchir une limite. Elle se concentrait sur les tâches, mais son esprit vagabondait souvent.
Les jours passaient, et Reader se retrouvait de plus en plus souvent à dérober des regards furtifs à Lilia, observant la façon dont elle se déplaçait dans la pièce, sa grâce naturelle et son aura magnétique captivant son attention. Les éclats de rire de Lilia, les moments de complicité, tout cela ne faisait qu'accentuer sa nervosité, rendant chaque instant partagé à la fois précieux et angoissant.
Lilia poussa doucement la porte de l'arrière-boutique, un léger tintement de cloche résonnant dans l'air. Elle entra avec une grâce naturelle, ses yeux pétillants d'excitation.
"Reader, est-ce que tu veux apprendre à lire les lignes de la main ?" demanda-t-elle, sa voix douce et engageante.
Reader, plongée dans ses pensées, leva les yeux et sentit son cœur s'accélérer. "Oui, bien sûr, j'aimerais beaucoup ça," répondit-elle, un léger sourire sur les lèvres.
Alors qu'elles s'installaient, Lilia s'approcha un peu plus, leurs corps presque en contact. Reader pouvait sentir la chaleur émanant de Lilia, et une vague de nervosité l'envahit. Lilia prit délicatement la main de Reader, ses doigts effleurant la peau, et commença à tracer les lignes avec son propre doigt.
"Regarde ici," dit Lilia, son regard concentré sur la paume de Reader. "Cette ligne ici représente ta vie, et celle-là, tes émotions."
Reader, à ce moment précis, commença à trembler légèrement, ses mains trahissant son agitation intérieure. Lilia, remarquant le changement, leva les yeux, un mélange de curiosité et d'inquiétude sur son visage.
"Pourquoi trembles-tu ?" demanda-t-elle, sa voix empreinte de douceur.
Reader, prise au dépourvu, chercha une réponse. "Je… je ne sais pas," mentit-elle finalement, détournant le regard, la chaleur de la proximité de Lilia rendant la situation encore plus intense.
Lilia, toujours attentive, continua d'explorer les lignes de la main, mais une ombre de doute passa sur son visage. Reader se sentait piégée entre l'envie de se rapprocher et la peur de dévoiler ses véritables sentiments.
Lilia plongea son regard dans celui de Reader, ses yeux pétillants d'une compréhension silencieuse. Un sourire délicat se dessina sur ses lèvres, comme si elle pouvait percevoir la tension qui flottait dans l'air.
"Tu sembles nerveuse," dit-elle d'une voix douce, tout en frottant tendrement la main de Reader.
Reader, surprise par ce geste réconfortant, se sentit un peu plus à l'aise, mais l'angoisse persistait. "C'est juste… un peu nouveau pour moi," avoua-t-elle, sa voix à peine audible.
"Ne t'inquiète pas," répondit Lilia avec un sourire chaleureux. "Je vais te faire un thé, ça devrait t'aider à te détendre."
Elle se leva avec une légèreté gracieuse, un sourire satisfait aux lèvres, heureuse de ce qu'elle avait lu dans les lignes de la main de Reader.Lilia se dirigea vers la petite cuisine, ses mouvements fluides et naturels.
"Quel type de thé préfères-tu ?" demanda-t-elle en fouillant dans les placards, un éclat de malice dans les yeux. "Nous avons du thé vert, du thé noir, et même une infusion de camomille."
Reader, se sentant un peu plus d��tendue, répondit : "La camomille serait parfaite, merci."
"À tes ordres," dit Lilia en riant, ajoutant quelques feuilles de camomille dans une théière. Elle se retourna alors vers Reader, un sourire complice sur le visage.
Reader, touchée par l'attention de Lilia, ne pouvait s'empêcher de sourire à son tour, la chaleur de l'instant chassant peu à peu son anxiété.
26 notes
·
View notes
Text
Cenote Ik Kil

In the mystical depths of the Cenote, rocky walls plunging into vastness, dangling roots, dancing vines, adorned with lush vegetation.
Beneath the surface of the enchanted turquoise water, a magical, gentle, sacred ambiance, an aquatic sanctuary, secret and serene, each reflection whispers an ancient mystery.
Dans les profondeurs mystiques du Cenote, parois rocheuses plongeant dans l'immensité, racines pendantes, lianes dansantes, ornées de végétation luxuriante.
Sous la surface de l'eau turquoise enchantée, ambiance magique, douce et sacrée, sanctuaire aquatique, secret et serein, chaque reflet murmure un mystère ancien.
#Cassiopea ✨
#illustration#photography#digital art#inspiration#nature#landscape#Cenote Ik Kil#mexico#poésie#french poetry#visualpoetry#artists on tumblr#mywriting
21 notes
·
View notes
Text
Et ce que je veux, c'est l'amour,
L'amour insouciant et celui qui remet tout en question,
Ce qui fait renaître,
L'amour passionné, l'amour lointain, la fin d'amour,
Ce qui vous force à vous battre,
L'amour platonique, l'amour sexuel,
L'amour léger, l'amour sombre, l'amour lumineux,
L'amour tendre,
L'amour fidèle, l'amour infidèle,
L'amour jaloux, l'amour généreux,
L'amour libre, l'amour rêvé,
L'amour adoration, l'amour mystique, l'amour instinct,
L'amour que l'on fait, le avant, le pendant et l'après l'amour,
L'amour qui brûle, l'amour prudes,
L'amour secret, l'amour crié,
L'amour qui fait mal au corps, l'amour qui fait du bien au corps,
L'amour qui paralyse et celui qui donne des ailes,
L'amour à mort, l'amour à vie,
Le premier amour, l'amour perdu,
L'amour blessé, le prochain amour,
Parce qu'il n'y a pas de règles
Parce qu'il faut inventer ses propres amours,
Inventer sa propre vie.
(a. Rois)

18 notes
·
View notes
Text

ORGANISATIONS JOUABLES
Les idéaux rassemblent créatures surnaturelles comme êtres humains, rassurent et offrent une cause commune. Qui choisirez-vous de suivre dans la nuit ? Vous ne trouverez ici qu'un aperçu, chaque organisation fera l'objet d'une annexe plus détaillée sur le forum, cette liste est non exhaustive et pourrait être amenée à évoluer et grandir au fil du jeu.
(tw : meurtres, sang, violence, consommation de sang ou de chair, manipulation, secte, chasse, drogue, alcools)
NB : à savoir que les organisations seront dirigées par des PNJs, et donc non jouables.
¨:·. .·:¨ ¨:·. ☾ .·:¨ ¨:·. .·:¨ ¨:·. .·:¨ ¨:·. ☾ .·:¨ ¨:·. .·:¨
GREAT BRITAIN NIGHT WALKERS
Type : Organisation secrète gouvernementale Domaine : Chasse de créatures hostiles, protection des êtres humains et du secret surnaturel Membres : exclusivement humains Signe distinctif : Un matricule autour du cou, une face avec des informations codées et un nombre à quatre chiffres, l'autre un croissant de lune Quartier Général : L'Howard Castle pour le QG principal, des QG secondaires dans tout le Royaume-Uni.
Humanité bienveillante embrigadée au sein d’un ordre ancestral qui prône la protection humaine et le secret du monde surnaturel. Chasseurs de bêtes hostiles et police du mystique afin de garantir l'harmonie et le bon fonctionnement du système. Les Walkers sont inévitablement embourbés dans une lignée familiale belliqueuse, on ne le devient pas sans posséder un proche du même sang, suivant un enseignement rigoureux. Leur rôle est également de faire disparaître les preuves de l’existence des créatures qui se tapissent aux ombres, priorité absolue.
---------------------------
SPECTRAL HOWLERS
Type : Gang, mafia. Domaine : Combats clandestins, trafic de drogues et d’alcools. Membres : Créatures, principalement harpies et lycanthropes. Signe distinctif : Tatouage d'un S et d'un H entrelacés sur un éclair. Quartier Général : Sous-terrains cachés en ville.
Gang crasseux croupissant dans les sous-sols, ce sont les chiens qu’on y lâche clandestinement, poussant les bêtes à s’entretuer pour faire sensation. Voir la violence apaise la violence selon eux. Mains sales, ils n’en sont guère restés aux combats, demeurent magouilleurs pour les larcins en tous genres, mêlant conception et trafic d’alcools et de drogues assez puissantes pour les diverses espèces surnaturelles en mal d’euphorie.
---------------------------
THE KILLING MOON CLUB
Type : Organisation secrète, secte. Domaine : Pouvoir aux créatures et endoctrinement d’êtres humains. Membres : Créatures et humain·es captif·ves Signe distinctif : Une chevalière gravée d'un sphinx tête de mort. Quartier Général : Les sous-sols privatisés du Grand Hotel.
Culte factice à la gloire d’une divinité abstraite, The Killing Moon Club cache seulement les ambitions d’un groupe de créatures surnaturelles, avide d’un jour assoir leur pouvoir ouvertement. Réputé dans toute l’Angleterre, les dirigeants du club font partie de l'élite surnaturelle. Ici, on tue, et les soirées mondaines sont de véritables boucheries. On y vient pour chercher une âme à arracher, s'assurer d'un service de nettoyage irréprochable. Secte aux allures de club huppé, les humains y perçoivent salvation et pensent faire face à des êtres divins. Hypnose et captivité entraine la dépendance, tandis que les bêtes y voient buffet à volonté.
---------------------------
THE BLEAK OUTBREAK
Type : Organisation secrète, gang. Domaine : Chasse et anéantissement des créatures, trafique de ressources surnaturelles. Membres : exclusivement humains. Signe distinctif : des clefs croisées tatouées sous la plante du pied droit. Quartier Général : les sous-sols du Whitby Museum.
Traqueurs de bêtes qui se sont donnés pour mission d'éradiquer la pestilence surnaturelle, en collectionner les trophées ou les revendre à prix d'or. Les créatures révulsent, peu importe leurs espèces, ne sont que manifestations du malin descendues sur terre pour mieux laisser répandre leur venin, des sbires d'un Lucifer venu punir l'espèce humaine sur terre. Alors ils arrachent les crocs vampiriques, les écailles de sirènes, les crânes de loups, les ailes de harpies ou feuilles de dryades sur leurs carcasses et en font commerce pour mieux financer leurs battues dans les landes.
---------------------------
DAWNBRINGERS
Type : Ligue, association. Domaine : Protection du secret surnaturel, prônent l'harmonie des espèces, moyen de se nourrir alternatifs. Membres : exclusivement créatures. Signe distinctif : un contrat qu'ils doivent avoir sur eux lors des missions. Quartier Général : Le sous-sol de la Terror Tower, attraction hantée de la ville.
Ligue bienveillante prônant l'harmonie des espèces et la cohabitation terrestre. Le principal moteur est la protection du secret surnaturel et des plus faibles, évinçant les traces de toutes ombres chimériques. L'être humain vu comme un allié plutôt qu'une proie, préservé tel un compagnon de route. Les bêtes hostiles qui se joignent au groupe doivent montrer patte blanche, prouver leurs valeurs de part des moyens de se nourrir alternatifs.
13 notes
·
View notes
Text
TARDES DE SOLEDAD :
LA CRITIQUE DE CINÉMA FACE À LA SOUFFRANCE ANIMALE
1. La semaine dernière, le magazine d'extrême droite Causeur s'est fendu d'un tweet : « On plaint les confrères critiques qui risquent d’avoir du mal à imposer des articles sur le film du cinéaste espagnol Albert Serra, Tardes de soledad, et on se réjouit haut et fort, a contrario, que ce ne soit absolument pas le cas dans ces colonnes ». J'aurais tant aimé qu'ils aient raison, qu'ils soient les seuls à défendre leur horreur. Mais nous sommes le jour de la sortie du film, et je n'ai lu qu'un concert massif de louanges.
2. Le texte de Marcos Uzal dans Les Cahiers du cinéma dit ceci : « La corrida est montrée ici à travers un point de vue proprement cinématographique, c'est-à-dire comme on ne la voit jamais in situ, et comme on ne l'avait jamais vue avant ». Le principe même de vouloir voir de la souffrance comme elle n'a jamais été ni filmée, ni mise en scène, ni montée auparavant, est un principe de domination et de sadisme. C'est coller la pastille sur le DVD : « la corrida comme vous ne l'avez jamais vue ! ». La question est audible : qui a réellement envie de voir ça ? Un peu plus loin dans le texte : « Il se produit chez le torero, et entre lui et le taureau, un phénomène impartageable, et dont nous ne sommes que les témoins ». Qu'est-ce qu'il se passe concrètement entre le taureau et le torero ? Il y a un homme qui agite des froufrous et plante des lames dans la chair de l'animal. Du point de vue de l'homme : il se donne en spectacle. Du point de vue du taureau : il ne comprend rien. Est-ce qu'il y a vraiment de quoi parler de « phénomène impartageable » entre les deux ? Comme s'ils menaient quelque chose de secret, qu'il faudrait absolument percer, ou de mystique. C'est bien ce que la corrida a réussi à faire de pire avec la souffrance animale, d'arriver à la déguiser, à la maquiller à tel point qu'elle en deviendrait non seulement acceptable mais l'essence de la beauté. C'est-à-dire que le sang étalé à la vue de tous est moins fort, ou fait partie du folklore, sert le fameux prétexte antique de lutte entre l'homme et on ne sait quelle force de la nature qu'il serait en train de dompter. Ce « phénomène impartageable » n'existe pas. Il est un pur produit de romantisation. Le seul phénomène qui est partagé entre les deux, c'est un principe de domination et de violence. Si nous sommes effectivement des « témoins », c'est de bourreaux en pleine activité morbide.
3. Les Cahiers du cinéma (pas qu'eux, bien sûr, mais c'est à ma connaissance le seul dossier aussi épais consacré au film) ont effacé la question de la souffrance animale. Parce que c'est une revue de cinéma. Dans leur édito, ils parlent pourtant de « l'inconséquence politique du geste d'Audiard ». Pour le film de Serra, non, surtout pas de politique. C'est quand ça les arrange. Et quand il s'agit des animaux, jamais de politique. Ce sont eux pourtant qui en font les frais – rappelons que la corrida est éthiquement alimentée par l'extrême droite. Des formules donc qui en préambule reviennent pour balayer la question d'un revers de manche : « Sans entrer dans le vieux débat sur la nature de la corrida » ou « lorsque l'on parle de ce sujet, la question est d'être pour ou contre, or ce n'est pas le problème du film de Serra ». Après tout, que peut le cinéma ?
4. En hésitant plusieurs fois à aller voir le film à chaque projection presse, je me demandais : quelle est la différence entre aller voir le film et aller voir une corrida ? Bien sûr, les taureaux sont déjà morts. Donc, pratiquement, si je vais en salle, je ne valide pas un nouvel assassinat. Pourtant, socialement, il y a quelque chose de plus confus, esthétiquement aussi, nous allons le voir. Et puis surtout, il y a une règle morale : il faut toujours voir les films. En tant que critique, on ne peut pas se permettre de ne pas voir. C'est le socle inébranlable. J'y ai pourtant vu une faille : dans le projet même de Tardes de soledad, dans sa fabrication. Car les films ne naissent pas dans les choux, et le talent quel qu'il soit de Serra pour filmer n'effacera jamais cet alibi. C'est-à-dire qu'un homme, un cinéaste, a passé deux années de sa vie à filmer des corridas, donc nécessairement en accord et en complicité avec le monde de la tauromachie. En tant que spectacle qui attire les foules : c'est-à-dire qu'on a réussi à transformer la souffrance animale en pouvoir de fascination. Elle n'est plus répugnante mais attire. Comme Serra y fut attiré en tant que cinéaste. Tout ce dispositif, de suivre le plus grand matador du monde, d'aller dans les plus grandes arènes d'Espagne, avec plusieurs caméras, de filmer 500 heures de barbarie, tout cela n'aurait pu exister sans la complicité des bourreaux. Albert Serra est du côté du torero, pas du taureau. Et il a réussi à faire croire qu'il venait ici dans la neutralité absolue. Faire des belles images et puis s'en va. Il y a ainsi une certaine manipulation critique qui vise à dire : comme le film montre, insiste même, sur la souffrance du taureau, le film ne peut pas être en faveur de la corrida. Admettons (voyez que je fais des efforts). Mais le filmeur a-t-il seulement été attristé, révolté par ces morts ? À le lire, à l'écouter, il n'en a rien à foutre. Déjà, il n'en parle jamais de lui-même. Et quand on l'interroge dessus, il dévie toujours très rapidement. Parce que penser le taureau plus de 30 secondes, c'est commencer à se retrouver face à ses contradictions. Ce qu'il a voulu filmer, ce soi-disant mélange de vie et de mort, ce paradoxe auprès duquel il a tant aimé courir, il ne l'exprime jamais en tant qu'individu. On pourrait répondre que les films pensent par eux-mêmes, et que la parole des artistes ne comptent pas. Mais ne sommes-nous pas arrivés à un point de l'histoire du cinéma qui nous montre combien il est dangereux de penser ainsi ?
5. L'argument du « ni pour ni contre » a alimenté tous les textes. Étienne Sorin par exemple dans Le Figaro : « Tardes de soledad n’est pas un film sur la souffrance animale. Il n’est ni pour ni contre la tauromachie ». Le fait même de filmer des animaux en train d'agoniser, c'est faire un film sur la souffrance animale. N'en déplaise à ceux qui bottent en touche. Imaginez un instant qu'on ait filmé un homme se faire torturer réellement. Aurions-nous osé écrire : « ce n'est pas un film sur la souffrance humaine ? ». La souffrance animale fait partie intégrante de la corrida, c'est son essence même. C'est là-dessus que la corrida fait son beurre, et là-dessus qu'Albert Serra fait son beurre. Dans l'entretien donné aux Inrocks, Serra, éhonté : « Je crois que chez les coureurs de marathon, il y a aussi ce fantasme de mourir sur la ligne d’arrivée. Tu donnes tout. C’est pareil dans la tauromachie : il faut tout donner, jusqu’à la mort dans l’arène s’il le faut. C’est bizarre. D’autant plus que dans une guerre, tu te bats pour ta famille, ton pays, etc. Mais dans une corrida, tu te bats contre quoi ? Pour quoi tu te bats ? ». C'est une question à laquelle je peux émettre une hypothèse : tu te bats pour tuer des taureaux. Parce que tu aimes ça.
6. Dans le numéro des Cahiers du cinéma, en miroir à ce dossier sur le film de Serra qui ouvre la revue, vient une table ronde critique qui le clôt. Autour de la contextualisation des films, à partir notamment du Dernier Tango à Paris dont une projection à la Cinémathèque (finalement annulée) en décembre avait fait couler beaucoup d'encre. Une contextualisation dont il n'est pas question une seule seconde quand il s'agit des animaux. La souffrance animale n'existe simplement pas. Elle n'a pas besoin d'être contextualisée puisqu'elle est sinon effacée, en tout cas marginalisée. Et quand on lui demande, il répond sèchement : « Ce n'est pas mon problème ». À la limite, il a bien le droit de le penser. Il n'est ni le premier, ni le dernier, loin de là. Mais qu'en est-il de ceux qui regardent le film et qui en disent du bien ? Ce n'est pas le problème de Serra, et ce n'est visiblement pas celui de la critique non plus. Ce qui intéressait Serra, d'après ses mots, c'était de suivre son torero (qu'il décrit toujours comme une rock star et jamais comme un tortionnaire), une figure neuve, avec son visage poupin déformé, défoncé : «Cela représentait un contraste avec la vision classique de la tauromachie qu'on peut avoir et ça donnait plus de mystère de voir quelqu'un qui a cette apparence un peu moderne et qui exerce une profession atavique et fortement ritualisée. Je trouvais qu'il y avait encore plus de magie ». Le champ lexical est fort : « mystère », « magie ». Faut-il en lire davantage pour se convaincre que Serra est bel et bien du côté du torero ? C'est une bien curieuse vision du monde que de pouvoir trouver de la magie quand il s'agit de lacérer un animal. Il utilise ces termes à tour de bras : Dans Les Cahiers du cinéma, Albert Serra dit quelque chose qui me semble fondamental : « La mort du taureau, on l'a vue dans d'autres films, mais avec les caméramans nous étions obsédés par cette possibilité de filmer le taureau en train de mourir, malgré la dureté de la situation. On perdait tout sens critique, on devenait plus sensibles à une certaine beauté plus mystérieuse ». C'est, à mon sens, le nœud du problème. Chercher une sorte d'extase à voir des bêtes se faire touiller les tripes et appeler ça un « mystère ». Il poursuit : « Je pense au moment où le taureau regarde exactement dans l'axe de la caméra, sans bouger ni être distrait. Cette image a résonné car on n'avait jamais vu cette interpellation triste, cette solitude prémonitoire : le taureau est le seul à ne pas savoir qu'il va mourir ». Au passage : le taureau sait qu'il va mourir s'il reste. Voilà en tout cas les seuls mots à propos des taureaux que Serra accordera dans ses très nombreuses interviews : la façon dont il a réussi à enregistrer un regard caméra avec une bête qui va mourir. Le niveau de sadisme ne s'arrête pas là : « Chaque corrida met à mort six taureaux chaque après-midi, c'est répétitif en soi, et la plupart des fois, rien d'intéressant ne se passe (…) assister à une corrida, c'est attendre que la magie arrive ». Il poursuit : « Il y a plusieurs solitudes dans ce documentaire, d'abord celle du torero, car c'est lui qui fait face à la mort, mais aussi celle du taureau face à sa condition animale et à son destin ». Alors, dire que le torero fait face à la mort, c'est renverser complètement la situation. Pour information, le dernier décès d'un matador remonte à 2017. Il y a 8 ans. En 8 ans, il y a donc eu un homme mort contre environ trois millions de bovins à cause des corridas (par an : environ 40 000 en Europe, et 250 000 dans le monde). S'il y a bien quelqu'un qui fait face à la mort, c'est le taureau. Il reproduit le discours qui vise à nourrir la propagande de la tauromachie selon laquelle il y aurait égalité des chances dans le combat. Le seul « destin » dont il parle ici pour le taureau, c'est le fruit d'une manigance et d'un pouvoir de domination. L'arène est une chambre à gaz à ciel ouvert.
7. Attention, maintenant, un plot twist : Albert Serra aime la corrida. Dans l'entretien donné à La Provence, il dit : « Je connaissais la corrida car quand j'étais enfant je suis allé pas mal de fois en voir avec mon père. J'avais dix ou douze ans et après j'ai arrêté pendant trente ans, mais je lisais toujours des livres sur la tauromachie. J'aimais toujours, mais je n'y allais plus. Je suis un très bon ami de l'apoderado de José Tomas qui est né dans mon village au nord de la Catalogne. C'est grâce à lui que j'ai recommencé à aller voir des corridas il y a quelques années. Ces nouvelles expériences, ajoutées à mes souvenirs d'enfance, c'était suffisant pour en faire un documentaire. Depuis le début, l'objectif de ce film était avant tout artistique ». L'apparente neutralité de Serra est une fumisterie. La petite pirouette de la caution artistique finale n'enlève rien.
8. Serra : « La violence en est un élément important. C'est risqué de dire ça mais il peut y avoir une certaine forme de beauté dans la mise à mort, dans la mélancolie de la vie du taureau qui le quitte. Cette violence est cohérente avec l'engagement du torero et son propre risque de mourir, et son courage. La corrida est un rituel sacrificiel où tous ces éléments se mélangent. Si tu enlèves la violence de la corrida, cela devient le Cirque du Soleil ». C'est donc quelqu'un qui trouve de la beauté dans la mise à mort, qui a une fascination pour la violence non simulée. Une violence qui est devenue un problème pour sa star, Roca Rey, qui, à la vision du film s'est trouvé tout chamboulé, le petit père : « Il a trouvé qu'il y avait trop de violence et qu'il n'y avait pas assez de triomphes dans le documentaire ». Une proximité avec le monde de la corrida dont il fait complètement étalage : « On l'a montré à Bayonne, à Biarritz, et ils ont beaucoup aimé. Je pense que les aficionados vont adorer, ceux qui critiquent sont ceux qui n'aiment pas Roca Rey. Ce film souhaite trouver ce qu'il y a de commun dans la tauromachie et qui unit tous les toreros. Avec cette mise en scène, tous les toreros peuvent s'identifier ». Serra avance donc sa théorie, après avoir fait son premier documentaire : il faudrait toujours trahir son sujet. Par son sujet, il parle bien sûr du torero, et non du taureau. Il lui aurait rendu une copie du film qui ne sied pas à son image, qui ne renvoie pas ce qu'il voulait renvoyer. Le seul trahi, c'est le taureau, qui se demande bien ce qu'il fout là à se faire empaler. Interrogé chez France Inter : « Votre film est tout sauf un plaidoyer pour ou contre la corrida ». Serra pouffe : « Je ne pensais pas à ça. Je pensais à la caméra. Je pensais au torero pour voir ce qu'il y a derrière, ce qui le motive ». On voit bien qu'il est du côté de l'assassin. « J'ai une fascination pour le côté risque du torrero ». Mais qui est fasciné par ça ? «Et on peut l'appliquer à toutes les professions. L'idée de faire du cinéma plus risqué, qui ne sera peut-être pas très bien compris, ça demande du courage aussi malgré tout. C'est un courage similaire à celui du torero car ta profession ou ton succès sont en risque». On tient là peut-être quelque chose : Albert Serra voyait dans le torero de quoi s'admirer lui-même. À avoir filmé un torero « qui prend plus de risques que la moyenne ».
9. La critique adore dire d'Albert Serra qu'il est un dandy. Mais elle se refuse à écrire qu'il a réalisé un snuff movie. On ne mélange pas les torchons, les serviettes et les muletas.
10. Bien sûr, je ne dis pas que tous les critiques qui ne tarissent pas d'éloges sont de fervents défenseurs de la corrida. Mais une telle absence de remise en perspective dans le traitement médiatique du film montre à nouveau à quel point nous sommes dans une société profondément spéciste. Je rêve du jour où nous nous retournerons sur le film (dans combien d'années ?) pour voir à quel point nous avons été lâches de le porter aux nues. On parle là d'une pratique barbare qui reste légalement autorisée sur une partie minoritaire du globe. Essayez de monter une corrida à Paris, et vous tomberez sous le coup de la loi. Donc, bien sûr, Albert Serra ne fait rien d'illégal. Mais c'est bien là un acte manqué pour tenter de réévaluer combien nos sociétés sont clémentes avec la barbarie animale, et comme il est difficile d'en faire écho. Réaliser ce film, puis en dire combien il est beau, c'est alimenter ce système barbare. Et ça, c'est ce qu'il faut combattre. La corrida est autorisée dans moins de 10 pays. C'est-à-dire que l'on parle ici d'une pratique totalement interdite dans 95% des nations du monde. Même la Colombie l'a interdite, il y a moins d'un an. Le film sort d'ailleurs au moment où le Mexique l'a réformé : les corridas restent autorisées mais la mise à mort de l'animal est désormais interdite. Ce chemin vers la fin de la barbarie, ou sa réduction, devrait être saluée. Albert Serra, lui, la voit comme un crépuscule dont il faudrait être témoin. Un témoin aux premières loges. Et c'est d'autant plus vicieux que c'est un film réalisé par quelqu'un d'adulé (et dont j'ai maintes fois vanté les mérites par ailleurs – Histoires de ma mort, parmi les plus beaux films de film 2013, Pacifiction, parmi les meilleurs films de 2022). Décidément, qu'il est difficile de brûler ses idoles.
11. Dimanche soir, juste avant la sortie du film donc, une vidéo d'un torero tourne sur les réseaux : il s'est fait embrocher l'entrejambe. Bien sûr, si c'était arrivé au moment du tournage du film de Serra, nous n'aurions jamais vu ces images. La mort des taureaux en gros plan, oui. Mais pas le chibre ensanglanté sur le sable. Ça, c'est trop violent. À France Inter, on tente le coup : « Pardon pour cette question peut-être vulgaire mais vous auriez filmé la mort du torero si elle était arrivée ? ». C'est donc ça, la vulgarité, de pouvoir imaginer la mort du torero, alors qu'on le glorifie pourtant pour sa capacité à lui faire face ?Serra botte évidemment en touche : « Je l'aurais filmé parce que la caméra était là. Mais décider de le mettre au montage, ça c'est une autre histoire. Ce sont des décisions de montage. Il y a une pudeur qui n'a pas la même valeur qu'avec les animaux, ça c'est clair ». Elle poursuit : « Vous y avez pensé ou pas ? ». Il répond juste « Non. Mais il y a plein de captations sur Youtube où vous voyez la mort du torero ». C'est-à-dire qu'en deux ans de corrida, Albert Serra n'a jamais émis l'hypothèse que le torero puisse mourir devant sa caméra ? Une prise de risque qu'il vantait pourtant. Il est beau le duel antique au soleil.
12. Dans l'entretien donné aux Inrocks, Serra développe un point précis : « Par exemple, dans une corrida, le torero tue six taureaux. Sur le sixième, parce que la lumière du jour commence à tomber, ils allument des lumières sur l’arène. Et on avait compris que ça donnait une autre patine à l’image. Que le sang sur le taureau ou les strass des costumes du torero brillent d’une manière particulière ». Ce sont des questions de mises en scène qui se posent sur comment capter la lumière du sang d'un taureau en train de crever. Est-ce compréhensible de trouver cela immonde ? Pas juste vaguement insoutenable, mais immonde. On peut écrire n'importe quoi, on a le droit. On peut défendre des films abjects. Mais peut-on se retourner un instant, juste se dire qu'il a là une forme de barbarie qui est admise, validée, cautionnée au nom du cinéma, au nom de l'art. Et que c'est un réel problème. Encore une fois, si on avait parlé de la mort d'un homme réellement mort, si on avait analyser la façon dont le soleil éclaire joliment son sang : ce propos aurait-il été tout simplement tenu ? Sur Chaos Reign, on peut lire cette chose : « Une lutte faite de mouvements qui animalisent l'homme et humanisent le taureau ». Combien fallait-il de mouvements supplémentaires pour que le taureau lui devienne assez humain ? Que sa mort lui devienne alors assez insupportable, et qu'il ne cesse d'appeler un « ballet » ce qui est une mise à mort ? Le texte ose même : « Chaque après-midi se joue ce moment de vérité : la vie de cet homme face à celle d'un animal impitoyable ». Qui est impitoyable dans l'histoire ? Le taureau qu'on enferme sur une piste pour le piquer, l'épuiser, l'abattre, lui décoller la chair lentement, et qui se demande bien ce qu'il fout là ? On lit aussi : « Un film qui ne satisfera certainement pas totalement ses détracteurs. Un geste purement cinématographique, aussi beau, aussi sincère et aussi seul que le personnage qu'il filme ». Encore une fois, comment mieux se ranger du côté des assassins ? Le « geste cinématographique » qu'on brandit comme une pancarte en forme de joker. Cette vision de l'art, me semble-t-il, appuie la thèse patriarcale de domination : sur les animaux et le reste.
13. La question du public est d'ailleurs pertinente. Il dit l'avoir supprimé du film : « Si on a éliminé le public du cadre, c'est pour que le public de cinéma s'y substitue, et qu'il ait des sensations. Dans l'arène, la sensation est très physique ; il fallait retrouver cela ». Difficile de faire plus limpide : il faut que le spectateur de cinéma ressente les mêmes choses que le spectateur de la corrida. En tout cas qu'il se mette à sa place. Dans un entretien donné à Transfuge, il développe ce point : « La deuxième raison est conceptuelle : nous voulions faire un film pour le cinéma. En clair, le public du cinéma devait être le seul public de la corrida (du moins se ressentir comme tel). Nous voulions lui faire expérimenter des sensations loin de la platitude habituelle des captations tauromachiques. Personne n’avait pensé à ça, ni à utiliser les moyens modernes (par exemple les microphones sans fil, cousus sur les habits de lumière) pour transporter de la façon la plus efficace possible una tarde de toros dans une salle de cinéma. Une fois débarrassées du public effervescent et instable des arènes, les images sont plus fortes, plus ambiguës, on plonge au cœur du drame ; le côté atavique de la corrida ressort spectaculairement ».
14. À la fin de l'entretien dans Les Cahiers : « En tout cas, la corrida m'a appris beaucoup de choses. Par exemple, que le taureau de combat est le seul animal au monde qui, quand il est attaqué, continue à charger. Tous les autres animaux cherchent à fuir, lui, il s'obstine dans l'attaque, avec une détermination qui révèle de l’irrationalité, d'une logique sacrificielle». Voilà donc l'enseignement de tant de mois passés à leurs côtés. Voici ce qu'il retient, une interprétation qui est un fantasme, un mythe, une vision totalement romantique et faussée de la réalité. Les taureaux sont destinés à la corrida parce qu'ils sont élevés pour, pendant des années. Ce comportement agressif est voulu, trié sur le volet, sélectionné et intensifié, et qu'il n'y a rien d'irrationnel là-dedans. Ce sont des animaux manipulés par l'homme pour obtenir ce résultat en vue d'une représentation morbide. Serra voit dans cette exécution un sacrifice. Il ne faut pas creuser très longtemps, Serra passe généralement assez vite aux aveux, comme face à Olivier Père pour Arte : « J'étais légèrement pour la corrida. Je ne vais pas perdre mon temps pour faire un film qui va critiquer quelque chose, pour aller contre. Mon point de vue c'était 55% pour et 45% contre ». On lui demande alors : « Est-ce qu'on peut dire que votre film, pour la première fois, donne au taureau la place du sujet, et pas de l'objet ? ». Là il bafouille un peu parce qu'on sent bien que ça ne l'intéresse pas du tout de parler autant du taureau, et encore moins de le placer en tant que sujet. Il brode alors un poil et finit par dire : « Ses yeux ont une certaine tristesse. Et ça j'adore, parce que le taureau n'est pas conscient qu'il va mourir. Il ne sait pas ce que c'est la mort. Mais il y a une espèce de prémonition dans ses yeux que je trouve assez émouvante et, en même temps, qui donne du sens au sacrifice ». Le taureau sait pourtant très bien qu'on veut le buter. Ouvrez les portes de toutes les arènes du monde, et les taureaux s'en iront. Serra nourrit ici le fantasme selon lequel le taureau serait cette bête sanguinaire, née pour porter des attaques jusqu'à sa mort. Serra colporte ni plus ni moins les valeurs de la corrida, en fondant son propos sur des choses qui n'existent pas. Le taureau réagit à la peur, à la douleur, au stress, jamais par instinct de meurtre ou instinct suicidaire. Cette perception symbolique qui prend le pas sur la réalité biologique, c'est l'affaire de la corrida. Et c'est l'affaire de Serra.
15. Et comme si cet entretien nauséabond ne suffisait pas, Les Cahiers ont jugé bon de faire appel à un certain Francis Wolff, philosophe (lol) que je n'ai jamais lu, mais qui est ouvertement pro-corrida. Il a publié Philosophie de la corrida ou 50 raisons de défendre la corrida. Il dit notamment au cours de l'entretien : « Le film insiste beaucoup, peut-être trop, sur l'agonie du taureau. Même les ultimes réactions physiologiques du taureau déjà mort sont encore plein cadre. Ce n'est pas l'aspect le plus glorieux du spectacle de l'arène. À tel point que je pense que certaines organisation anti-corridas ont validé le film en se disant qu'il montre combien c'est un spectacle barbare. Il est vrai que l'image de l'agonie met au défi toute argumentation. Mais, dans l'optique d'Albert Serra déjà évoquée, montrer la mort dans toute sa crudité me semble, je ne dis pas éthiquement, mais cinématographiquement défendable ». Je serais bien curieux de savoir quelle organisation a bel et bien validé le film. Par exemple, Le CRAC (Comité radicalement anticorrida) a au contraire dénoncé le film. J'ai cherché, je n'ai trouvé aucune information là-dessus. Je ne dis pas qu'il dit n'importe quoi, mais : il dit n'importe quoi ? C'est un mécanisme de manipulation utilisé par Albert Serra lui aussi dans son entretien : « À New York où j'ai présenté mon film, une spectatrice est venue me dire que le film l'avait bouleversé alors qu'elle est végane. « Vous m'avez corrompue », m'a-t-elle dit. Peut-être la visée du cinéma est-elle de corrompre le spectateur et de le faire adhérer à des valeurs qu'il réprouve ». Là, il dit clairement : vous voyez, même les véganes peuvent aimer mon film. On adore tellement mon cinéma qu'on en oublie nos convictions. Habile numéro pour se laver de tout soupçon. Droit dans ses bottes. J'aimerais bien savoir combien de véganes seront « corrompus » par le génie de Serra. J'aimerais bien rencontrer la fameuse végane dont il parle. Qui es-tu vraiment ?
16. S'il n'est pas question d'être pour ou contre la corrida, on peut tout de même faire entrer un peu de débats sociétaux quand ça les arrange : selon Francis Wolff, « Les prix reçus par le film en Espagne permettent peut-être d'attendre un regain de légitimité intellectuelle que la corrida a perdu depuis la movida, au tournant des années 70-80 (…) ». Et surtout, son argumentation repose sur un argument totalement douteux : «Son éthique est celle-ci : seul celui qui a mis sa propre vie en jeu a le droit de tuer l'animal respecté. En cela, pour moi la corrida est éthiquement plus défendable que l'abattage industriel. Elle renoue avec quelque chose de très archaïque dans nos sociétés : le respect qu'on a pour l'animal n'empêche pas sa mise à mort, mais celle-ci doit s'accompagner de rituels propitiatoires. ». Bien entendu, s'il fallait choisir : je préfère qu'on ne garde que les corridas, et qu'on supprime tout l'abattage industriel, qui fait massivement plus de dégâts. Mais là n'est pas la question. Il rappelle soit-dit en passant que le taureau, « blessé, ira à l'abattoir et à la boucherie, comme ses congénères tués dans l'arène ». Le taureau ne gagne jamais. Les Cahiers du cinéma, en 2025, ont publié un homme qui pense et affirme que : «le respect qu'on a pour l'animal n'empêche pas sa mise à mort ». Si ça, c'est pas une position politique forte.
17. Il a sûrement fallu déjà bien du courage à Albert Serra pour apprécier côtoyer pendant deux années de suite un monde sans femme qui passe son temps à s'auto-flatter les couilles, un microcosme rétrograde, masculiniste et oppresseur. Être fasciné par des tortionnaires, ça, pour le coup, c'est bien son problème, à Serra. Mais avec son film, c'est aussi devenu le nôtre. Alors même qu'il tente de s'en foutre, Serra proclame ouvertement son attirance pour ce monde-là. C'est simple sinon : le film n'aurait simplement pas existé. Cette neutralité est un mirage. Cette indulgence (peut-on parler d'indulgence ?) critique met de côté des questions éthiques fondamentales. Et qu'on efface au nom du cinéma, de l'art. Quand Albert Serra filme la tauromachie, il a beau y chercher tous les mystères du monde, son premier mouvement est celui de la documenter, donc de la prolonger. Ce mercredi 26 mars, ce n'est pas un après-midi de solitude : Albert Serra n'a jamais été aussi soutenu. Il n'y aucune autre solitude que celle des taureaux.
18. Jean-Michel Frodon, sur Slate, parle ainsi du film : « Cela a lieu, des gens font ça, ce qu'on voit et tout ce qu'on ne voit pas, mais qui le rend possible. Il y a de la politique, de l'argent, du désir, de la tristesse, de l'orgueil, de la haine. Et de la solitude, terriblement. On peut vouloir faire comme si on habitait un monde où rien de cela n'existe. Mais en ce cas ne pas trop s'étonner de tout ce qui advient, surtout le pire. Le cinéma d'Albert Serra n'affirme ni ne promeut rien, il donne accès. C'est dérangeant, c'est bouleversant ». Le « donne accès » me pose problème. Parce qu'à nouveau il légitime. On ne parle pas d'un reportage de guerre. On parle d'un spectacle autorisé. C'est-à-dire qu'on attire des foules autour d'une mise à mort. Que des vidéos atroces pullulent sur les réseaux, qu'on peut même payer sa place pour y assister. Alors, à quoi donne-t-il accès, si ce n'est à une esthétisation de la violence réelle ? Si vous voulez voir la corrida comme vous ne l'avez jamais vu, demandez-moi des liens, je vous en envoie. Ce n'est pas Serra derrière la caméra mais je vous assure que vous allez vous en souvenir de ces images. Je peux vous montrer par exemple des jeunes torero qui s'entrainent et qui n'arrivent pas à tuer l'animal, où l'épée transperce de part et d'autre le flanc entier. Des taureaux si épuisés que l'on doit les tirer par les cornes pour qu'ils puissent tenir debout. Des taureaux qui vomissent du sang devant des enfants. Alors, il y a ceux qui disent qu'il faut voir le film. Qui regrettent qu'on puisse condamner un film qu'on n'a pas vu. Comme si réaliser une œuvre qui se dédouane de tout partisianisme était une bonne chose. Sauf que 1. L'apparente neutralité de Serra est totalement mensongère. 2. Il n'y a vraiment qu'en filmant des tueries d'animaux qu'on peut brandir cet argument dégueulasse. Dupond-Moretti, avant d'assister à une corrida en 2017, avait tenu une conférence publique où il disait : « La souffrance animale existe. Mais elle doit être relativisée. Ce qui me choque au plus profond de ce que je suis, c'est qu'on puisse la comparer à la souffrance humain. Mais dans quelle époque vit-on ? ». À lire tout ce que je lis depuis plusieurs jours, je ne peux pas m'empêcher de croire qu'on s'est rangé de son côté. Qu'on a effectivement relativisé de manière totalement indécente la souffrance animale. Et qu'elle est encore profondément méprisée.
19. Dans les images du film fournies à la presse : aucune ne montre le taureau.
Arnaud Hallet
PS. 20. En parcourant de nouveaux textes critiques sur le film, je suis tombé sur un document surprenant dont je n'avais jamais eu connaissance. C'est une table ronde tenue au Centre Pompidou en avril 2013 à l'occasion d'une programmation autour de l’œuvre de Serra. Ses invités : Francis Wolff, un peintre (Miquel Barceló) et carrément un matador (Luis Francisco Esplá). Albert Serra ouvre la discussion ainsi : "On a beaucoup parlé du côté éthique de la corrida. On va oublier un peu ce sujet. Aujourd'hui, on est dans un musée. On a la possibilité de parler du côté esthétique de la corrida, ce qui m'intéresse moi, et qui est plus original je crois ». C'est-à-dire qu'Albert Serra, il y a 12 ans, avait déjà théorisé publiquement sa fascination. Son film était déjà là. Il terminera la rencontre avec cette phrase : "C'est vrai que, pour être torero, même aujourd'hui où les taureaux sont plus faciles, c'est un acte héroïque, et peut-être aussi artistique". Entre ces deux déclarations d'amour à la corrida, ce sont 1h30 de verbiage qui se sont tenues sur la puissance esthétique de la tauromachie, virant même à un cours sur l'évolution de ses codifications. On y parle du taureau comme un produit, déplorant qu'il soit devenu "standardisé" et "mondialisé". La vidéo est ici.
3 notes
·
View notes
Text

"La nature, nous disent les mystiques, est marquée de l'empreinte divine, et nous conduit à Dieu. Mais il y a plus, son aspect extérieur lui-même, nous invite à pénétrer le sens intime qu'il dissimule. Celui qui a sur les lèvres le goût du miel vierge, en devine déjà le secret caché. Mais la route qui reste à parcourir est encore longue. Le mystique Angélus Silésius nous en fait deviner la direction :
Le pain n’est pas ton aliment. En lui, ce qui te communie, Éternel et divin froment, C'est l’Esprit, et c'est la Vie."
Othmar Spann, Revue d’Économie Sociale & Rurale n°3/1935.
6 notes
·
View notes
Text
Megaverse tient ses inspirations majeures d'univers comme Harry Potter ou Sense8. Il aborde par ailleurs quelques topos de littérature potentiellement sensibles , notamment de type dystopiques. S'il s'agit de genres ou d'œuvres qui te sont difficilement tolérables, nous t'invitons à privilégier ton bien-être en ne consommant pas de contenu qui ne te convient pas.
Là où les étoiles se mêlent aux rêves et où les frontières entre les mondes s'estompent, se cache un secret ancestral, un murmure dans le vent, écho de l'infini. Dans cet éther mystique, le destin se joue du monde sorcier dans un ballet envoûtant, danse sinueuse à l'orée entre lumière et ténèbres.
2000. Une catastrophe écomagique sur l'île d'Elysium crée une brèche entre deux mondes, deux versions de la Terre supposées ne jamais se rencontrer. L'explosion n'épargne pas les moldu·e·s : elle fragilise la barrière magique et sème sur leur territoire des particules de pouvoir, s’immisçant aléatoirement dans l'organisme de quelqu'un·e·s d'entre elleux.
Dans ce tourbillon d'ombres et de lumières, les âmes se cherchent, se perdent, se trouvent, dans une quête éternelle de vérité et de pouvoir. Les alliances se forgent et se brisent, les complots s'échafaudent et s'effondrent, dans une danse incessante où chaque geste, chaque mot peut sceller le destin de tout un univers.
Oserez-vous plonger sur ces Terres où la magie est tantôt reine, tantôt opprimée, parfois respectée, d'autres fois, méprisée, non pas un, mais des mondes où les passions sont déchaînées, entre moldus, sorciers, humains comme faes, observant le chaos depuis leur dimension tierce. C'est une nouvelle page de l'histoire de l'humanité qui s'écrit, chargée de mystères et semblable à nulle autre.
#RPForum#forum rpg#rpg ressources#Megaverse#Fantasyrp#fantasy#Magic#Roleplay#MagicalCreatures#Sorcery#Fae#Wizards#ParallelWorlds#FantasyWorld#rpg forumactif
17 notes
·
View notes
Text
AFFILIATIONS - A QUI PRETERAS-TU ALLEGEANCE ?
> HELIX CONGLOMERATE
L’Ether est une ressource. Nous sommes ceux qui savent l’utiliser.
La méga-corporation qui a façonné New Astralis d’une main de fer. Officiellement, elle garantit progrès et sécurité. En réalité, elle exploite l’Ether à des fins militaires, scientifiques et économiques, sans se soucier des conséquences. Ses chercheurs ont fait des avancées technologiques majeures, mais ses dirigeants cachent des secrets qui pourraient faire s’effondrer leur empire…
→ SANGUIS UNITS* – les cyber-soldats d��Helix Une armée privée d’élite, façonnée par la technologie et l’innovation. Chargés de sécuriser les sites stratégiques et d’éliminer toute menace, ils opèrent avec une impunité totale, protégés par les lois d’Helix. Leur mission : traquer les rebelles, maintenir l’ordre et garder la population sous surveillance.
→ TECHNICIENS – les architectes de l’avenir Les techniciens d'Helix sont des ingénieurs et chercheurs qui exploitent l'Ether pour créer des technologies avancées. Ils mènent des expérimentations secrètes sur des cobayes humains, souvent sans leur consentement, pour pousser la science à ses limites.
→ STRATÈGES – les ombres du pouvoir Les stratèges d'Helix sont des espions, politiciens et cadres supérieurs qui manipulent l’opinion publique et élaborent des lois pour maintenir leur contrôle. Ils négocient avec les ennemis, ou bien les anéantissent, afin de protéger les intérêts de la méga-corporation.
ENNEMIS MAJEURS : Ethereal Collective et leurs croyances mystiques. Les gangs, perturbateurs de l’ordre. Certains de leurs propres employés, qui commencent à douter…
OBJECTIFS : Exploiter l’Ether pour dominer la ville. Éliminer les menaces (Ethereal Collective, gangs, rebelles). Maintenir un contrôle strict.
> ETHEREAL COLLECTIVE
L’Ether n’est pas un outil. C’est un don. Un pouvoir. Une conscience.
Le Collectif considère l’Ether comme une force spirituelle et mystique qui ne doit pas être exploitée à des fins industrielles. Ils protègent les Failles Cosmiques, tentent de comprendre l’énergie qu’elles libèrent, et développent des capacités surnaturelles grâce à elle. À leurs yeux, Helix est une abomination, une entité qui déshonore la véritable nature de l’Ether.
→ ÉTHÉRÉS* – les éveillés Les Éthérés utilisent l'Ether pour développer des dons paranormaux. Toutefois, plus ils se connectent à l'Ether, plus leur humanité se dissipe, les transformant peu à peu en entités à part.
→ GARDIENS – les protecteurs Les Gardiens défendent les sanctuaires du Collectif. Ce sont des guerriers d'élite, formés pour contrer Helix et les Sanguis Units. Certains manient des armes imprégnées d'Ether, renforçant leur pouvoir et leur capacité à repousser les menaces.
→ CONVERTIS – les repentis Les Convertis sont des ex-citoyens, anciens employés d’Helix ou indépendants qui ont rejeté la technologie. Ils considèrent l’Ether comme une force sacrée et apprennent à vivre en dehors du système, loin de l'emprise des grandes puissances.
ENNEMIS MAJEURS : Helix Conglomerate, qui cherche à exploiter ce qu’ils veulent protéger. Les gangs, qui pillent et revendent l’Ether sans aucun respect. Certains de leurs propres membres, trop radicaux, qui veulent éradiquer Helix au lieu de chercher l’harmonie…
OBJECTIFS : Protéger les Failles Cosmiques et comprendre leur pouvoir. Lutter contre l’exploitation de l'Ether. Construire une nouvelle humanité unifiée.
> INDEPENDANTS
Personne ne viendra nous sauver. On survit par nous-mêmes.
Les Independants sont les habitants oubliés de New Astralis : ceux qui ne suivent ni Helix, ni le Collectif. Certains sont de simples citoyens, d’autres des mercenaires prêts à vendre leurs services au plus offrant. Et puis, il y a les gangs, les vrais rois des bas-fonds…
→ MERCENAIRES – loyauté au plus offrant Les mercenaires sont des experts en combat et en infiltration, prêts à être engagés par Helix, le Collectif ou même des gangs. Sans attaches, ils suivent souvent leurs propres principes… pour ceux qui en ont.
→ CITOYENS – les invisibles Les citoyens sont des ouvriers, hackers, médecins, et autres, qui cherchent à survivre sans s'aligner avec un camp. Ils luttent pour maintenir un semblant de normalité dans un monde en guerre, malgré les chaos qui les entourent.
→ GANGS – les rois des bas-fonds Il existe deux grands gangs opérant à New Astralis. Les Revenants sont des fantômes urbains qui effacent toute trace de ce qui gêne leur domination des bas-fonds, opérant dans l'ombre. Les Iron Rats sont des maîtres de la technologie et du sabotage, utilisant leur ingéniosité pour perturber l'ordre établi et semer la confusion parmi leurs ennemis.
ENNEMIS MAJEURS : Helix, qui les écrase sous des lois liberticides. Le Collectif, qui méprise ceux qui ne veulent pas suivre leur idéal. Leur propre nature, car dans un monde aussi brutal, les alliances sont précaires…
OBJECTIFS : Survivre dans un monde en ruine. Trouver sa place, quitte à créer ses propres règles. Faire fortune, se venger, ou simplement rester en vie.
*Vous avez dû le remarquer, certains classes possèdent une astérix à côté de leur nom. Ces classes possèdent des compétences spéciales, déblocables au fur et à mesure du RP. -> LE DISCORD DU PROJET : REJOINDRE.
#rpg#forum rpg#forumactif#rp#roleplaying#projet rpg#projet forum rpg#rpg français#rpg francophone#aesthetic#icons aesthetic#icons#avatar 200x320#avatar 400x640#dis/closed
2 notes
·
View notes
Text

Et ce que je veux, c'est l'amour, l'amour insouciant et celui qui remet tout en question, celui qui fait renaître, l'amour-passion, l'amour de loin, le fin amor, celui qui vous force à vous dépasser, l'amour platonique, l'amour sexuel, l'amour léger, l'amour sombre, l'amour lumineux, l'amour tendresse, l'amour fidèle, l'amour infidèle, l'amour jaloux, l'amour généreux, l'amour libre, l'amour rêvé, l'amour adoration, l'amour mystique, l'amour pulsion, l'amour qu'on fait, l'avant, le pendant et l'après amour, l'amour qui brûle, l'amour pudique, l'amour secret, l'amour crié, l'amour qui fait mal au ventre, l'amour qui fait bon au ventre, l'amour qui paralyse et celui qui donne des ailes, l'amour à mort, l'amour à vie, le premier amour, l'amour perdu, l'amour blessé, le prochain amour, parce qu'il n'y a pas de modèle, parce qu'il faut inventer ses amours, inventer sa vie.
Alina Reyes, Quand tu aimes, il faut partir.
Ph. Daniel Bauer
56 notes
·
View notes
Text








Les montagnes des Écouges, parées de leur manteau hivernal, se dressent majestueuses et silencieuses sous un ciel d’azur glacé. L’air pur, mordant, semble vibrer sous le souffle du vent qui caresse délicatement les cimes enneigées. La neige, immaculée, étend son tapis d’argent à perte de vue, chaque flocon scintillant sous la lumière douce d’un soleil d’hiver. Dans ce paysage figé, où le temps semble suspendu, la beauté brute des Écouges nous transporte dans un autre monde, loin de l’agitation. Les pics acérés, comme des sentinelles fières et solitaires, veillent sur la vallée. La glace qui recouvre les rochers semble presque irréelle, un miroir froid et inflexible des montagnes qui, malgré leur aspect sauvage et indomptable, respirent une paix profonde, presque mystique. Au cœur de cette nature éclatante, une étrange complicité se tisse. Les cœurs se fondent dans la beauté simple mais grandiose des lieux, comme si la montagne et l’âme humaine s’accordaient dans une danse intemporelle. Et dans ce silence presque sacré, chaque pas laissé dans la neige est une promesse, un secret murmuré entre l’amour et la nature. Les Écouges ne sont pas qu’une montagne, elles sont le reflet d’un amour pur, secret et éternel, où le froid de l’hiver réchauffe les cœurs et où chaque flocon semble porteur d’un vœu.
Les Écouges / France 🇫🇷
PhoTo by ©️LM
20 notes
·
View notes
Text
Idées de lieux de rp originaux
École
Salle des profs
Garde-robe
Passage secret
Derrière le gymnase
Chaufferie
Toîts
Salle de perm
Préau
Salle des casiers
Couloir des trophées
Ville
Boulangerie
Banque
Mairie
Barbier
Cordonnerie
Tannerie
Cartographe
Boutique mystique
Garderie pour enfants
Étable, écurie
Cimetière
Blanchisserie, pressing
Horloger
Rails ferroviaires
Office du tourisme
Aéronef
Égouts
Bureau de poste
Karting
Cabine téléphonique
Photomaton
Costumerie
Vétérinaire
Pigeonnier
Prêteur sur gage
Puits
Catacombes
Cathédrale
Fast Food
Aire de jeux
Kiosque à journaux
Mondes + étendus
Ferme
Dongeon
Monastère
Portail magique
Île flottant dans le ciel
Territoire d'une bête
Tour de guet
Pont
Épave de bateau, vaisseau abandonné
Phare
Maison de sorcière
Labyrinthe
Cercle de pierres
Moulin
Sources chaudes
Abri côtier
Grand arbre sacré
Tombeau
Autel à un/des dieu(x)
Lac aux lucioles
Falaises escarpées
Serre
Piège (genre un gros trou)
Oasis
Campement
Cavernes & souterrains
Caverne à champignons
Caverne à stalactites
Mine de cristaux
Mine pleine de lave
Caverne à peintures rupestres
Caverne submergée
Caverne glacée
Tunnel mal éclairé
Rivière souterraine
Weirds +++
Abattoir
Maison close
Fourrière
Fight club
Derrière un tableau avec des trous
Quartier des pestiférés, zone de quarantaine
Antenne relai, antenne radio
Freak show
8 notes
·
View notes