#le secret de mami wata
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mediumbabavigan · 2 months ago
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PriĂšre d'invocation de Mami Wata - Pacte de richesse avec Mami Wata. Pacte avec Mami Wata. Le secret de Mami Wata.
Comment Mami Wata est la reine des eau qui donne tout les borneurs du monde. PriĂšre d'invocation de Mami Wata - Pacte de richesse avec Mami Wata. Pacte avec Mami Wata.
Mamy Wata : La Reine des Eaux et Distributrice des Bonheurs du Monde. L’histoire africaine et ses croyances mystiques sont profondes et diversifiĂ©es. Parmi ces lĂ©gendes, la figure de Mamy Wata (ou Mammy Water) se dĂ©marque comme une divinitĂ© vĂ©nĂ©rĂ©e dans de nombreuses cultures africaines et caribĂ©ennes. Elle incarne la puissance et la mystique des eaux, symbolisant la prospĂ©ritĂ©, la beautĂ©, la

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toffavoyance · 2 years ago
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AMOUR COUPLE UNIS POUR TOUJOURS...
AMOUR COUPLE UNIS POUR TOUJOURS

Le “Vivre en commun”Le vivre en commun est en effet un challenge permanent et un processus sans cesse cumulatif.Mais le piĂšge, c’est quand on croit que l’on fait des efforts ou que l’on en a dĂ©jĂ  fait beaucoup. Il n’y a jamais assez de renoncement personnel Ă  faire pour amĂ©liorer le vivre ensemble. Vos efforts du moment peuvent ne pas ĂȘtre la rĂ©ponse aux besoins en face. Seuls, l’humilitĂ©, le

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portefeuillemagiqueblr · 2 years ago
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LA SPIRITUALITÉ AU CƒUR DU MONDE ACTUEL AVEC MAMI WATA DËESSE DES EAUX.
LA SPIRITUALITÉ AU CƒUR DU MONDE ACTUEL AVEC MAMI WATA DËESSE DES EAUX.
PACTE DE RICHESSE AVEC LA SIRENE DES EAUX Mami Wata, dĂ©esse des eauxMami Wata signifie littĂ©ralement « mĂšre des eaux », une expression tirĂ©e du pidgin, sorte de crĂ©ole de la langue anglaise pratiquĂ©e par une grande partie de la population BĂ©ninoise. Il n’en reste pas moins vrai que La Mami Wata est une lĂ©gende ancienne, fortement ancrĂ©e dans les traditions des rĂ©gions lacustres, littorales et

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maraboutowo · 3 years ago
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Rituel pour avoir la richesse, la célébrité, Mami Wata
Rituel pour avoir la richesse, la célébrité, Mami Wata
Rituel pour avoir la richesse, la cĂ©lĂ©britĂ©, Mami Wata Pourquoi faire appel Ă  Mami Wata pour avoir la richesse, la cĂ©lĂ©britĂ© et en quoi consiste l’invocation de Mami Wata ? MAMI WATA est le gĂ©nie des eaux et des forĂȘts. Beaucoup de personnes qui veulent entrer en contact avec la Reine des eaux pour avoir la richesse, la cĂ©lĂ©britĂ©, se posent le plus souvent la question de savoir comment fait-on

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yemayaspirit · 4 years ago
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Mami Wata, une figure mythique africaine mondialement connue
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Mami Wata (ou Mamy Wata, Mami Watta ou Mama Wata) est une divinité aquatique du culte Africain Vodou, dont la pratique est répandue en Afrique de l'Ouest, du centre et du Sud, dans la diaspora africaine, les Caraïbes, et dans certaines régions d'Amérique du Nord et du Sud.
Attributs
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Esprit de l'eau, parfois décrit comme une sirÚne, mi femme mi poisson, ou d'une belle femme tenant un serpent, qu'on trouve dans les régions cÎtiÚres de l'ouest de l'Afrique et en Afrique centrale.
MĂȘme si les cultes sont diffĂ©rents, Mami wata est la seule divinitĂ© africaine vĂ©nĂ©rĂ©e dans une zone gĂ©ographique Ă©tendue qui rassemble des cultures et des peuples aussi divers que les Igbo du Nigeria, les EwĂ© du BĂ©nin, les BamilĂ©kĂ© du Cameroun et les Kongo. on trouve aussi les graphies : Mamy Wata, Mami Watta ou Mama Wata. Chez les Igbo, elle se nomme Ezenwaanyi (Reine des femmes), Nnekwunwemnyi (Honorable Femme), Ezebelamiri (reine qui vit dans les eaux), Nwaanyi mara mma (la femme plus que belle), ou Uhamiri. Dans certaines zones du Congo, elle est Mamba Muntu, (Crocodile personne.)
Dans la diaspora, elle est connue sous le nom de Watramama au Suriname et en Guyane; Mamadjo Ă  Grenade; Yemanya / Yemaya au BrĂ©sil et Ă  Cuba; La SirĂšne, Erzulie et Simbi en HaĂŻti; LamantĂ© en Martinique ; Maman de l’eau en Guadeloupe. 
 
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Eau
Selon les traditions des deux cĂŽtĂ©s de l'Atlantique, l'esprit enlĂšve ses adeptes ou des gens au hasard alors qu'ils nagent ou qu'ils sont en bateau. Elle les emmĂšne dans son royaume paradisiaque, qui peut ĂȘtre sous l'eau, dans le monde des esprits, ou les deux. Si elle leur permet de partir, les voyageurs reviennent souvent dans des vĂȘtements secs et avec une nouvelle intelligence spirituelle qui se reflĂšte dans leur regard, souvent ils s'enrichissent, deviennent plus sĂ©duisants et plus faciles Ă  vivre.
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Promiscuité
Selon Bastian, l'association de Mami Wata à la promiscuité sexuelle et à la luxure est paradoxalement liée à la fidélité. Selon une tradition nigériane, les adeptes hommes peuvent rencontrer Mami Wata sous la forme d'une belle prostituée. AprÚs l'acte sexuel, elle lui apparaßt et lui demande la fidélité et le secret. S'il accepte, la fortune et la santé lui sont accordées, sinon, ruine sur sa famille, ses finances et son travail.
Van Stipriaan rapporte d'autres histoires dans lesquelles des voyageurs (souvent des hommes) la rencontrent sur la riviĂšre. Mami Wata est immanquablement Ă  sa toilette, se coiffant les cheveux en se regardant dans un miroir. Quand elle remarque l'intrus, elle s'enfuit dans l'eau en laissant ses affaires derriĂšre elle dont le voyageur s'empare. Plus tard elle lui apparaĂźt en rĂȘve et lui demande la restitution de ses affaires et qu'il lui soit sexuellement fidĂšle. S'il accepte, la fortune lui est accordĂ©e, sinon il a le mauvais Ɠil.
EtrangĂšre aux hommes et Ă©trangĂšre Ă  la nature. C’est une crĂ©ature supranaturelle, car elle incarne le croisement de trois mondes : animal, humain et spirituel. Cette hybriditĂ©, qui est en fait une difformitĂ©, car elle fait de Mamiwata un « monstre », lui confĂšre paradoxalement tous ses pouvoirs. Mamiwata est Ă©galement la seule divinitĂ© africaine, vĂ©nĂ©rĂ©e ou connue dans un espace gĂ©ographique rassemblant des cultures et des peuples aussi divers que les Ibo du Nigeria, les EwĂ© du BĂ©nin, les BamilĂ©kĂ© du Cameroun et les Kongo de la RDC. Bien qu’elle soit l’objet de cultes diffĂ©rents et soit rattachĂ©e Ă  des symboles bien particuliers selon les ethnies, les croyances, mais aussi les milieux sociaux, on peut dire que Mamiwata est une dĂ©esse « panafricaine ».
Ses caractĂ©ristiques physiques sont celles d’une europĂ©enne (peau blanche et cheveux longs), comme l’est aussi son tempĂ©rament (autoritaire, Ă©goĂŻste, vaniteuse avec un fort sentiment de supĂ©rioritĂ©), ses mƓurs (libre, amorale et individualiste) et ses pouvoirs (liĂ©s Ă  l’argents, aux signes extĂ©rieurs de richesse et Ă  la rĂ©ussite Ă©conomique). Mais en dĂ©pit de tout ce syncrĂ©tisme, ce mĂ©lange d’influences et de symbolismes, Mamiwata est bien une divinitĂ© africaine. Elle est pour beaucoup une allĂ©gorie, une projection des dĂ©sirs sexuels, des difficultĂ©s Ă©conomiques, des espoirs d’ascension sociale. Son hybriditĂ© et sa « monstruositĂ© » reflĂštent avant tout le dĂ©sarroi des sociĂ©tĂ©s africaines face Ă  leurs propres mutations, entre tradition et modernitĂ©, entre authenticitĂ© et aliĂ©nation.
Dans les pays d’Afrique centrale, comme le Cameroun et la RĂ©publique DĂ©mocratique du Congo par exemple, cette divinitĂ© ou plutĂŽt son esprit, apparaĂźt au cƓur des grandes villes, de prĂ©fĂ©rence Ă  la tombĂ©e de la nuit. Elle est trĂšs prĂ©sente Ă©galement sur les marchĂ©s, autre allĂ©gorie du monde invisible, qui par leur affluence attirent la convoitise des revenants et des mauvais esprits. Mamiwata apparaĂźt surtout dans les bars et les lieux de dĂ©bauche, toujours sous les traits d’une trĂšs belle femme qui entraĂźne les hommes dans la folie. Dans le folklore congolais, Mamiwata est une prostituĂ©e qui tente et pervertit les hommes. Elle symbolise toutes les dĂ©rives liĂ©es Ă  la sexualitĂ© : la polygamie, l’infidĂ©litĂ©, mais surtout le SIDA.
Culte
ïżŒÂ 
Son culte varie selon ses initiĂ©s, prĂȘtres et adorateurs
6, cependant des grandes lignes se dĂ©gagent. Des rĂ©unions peuvent avoir lieu, mais la dĂ©itĂ© est plus encline Ă  des rapports individuels avec ses suiveurs. Elle a de nombreux prĂȘtres et mĂ©diums en Afrique, en AmĂ©rique et aux CaraĂŻbes, qui sont spĂ©cifiquement initiĂ©s.
Au Nigeria, ses adeptes portent des vĂȘtements rouges et blancs, car ces couleurs reprĂ©sentent la nature double de Mami Wata : dans l'iconographie igbo, le rouge reprĂ©sente la mort, la destruction, la chaleur, la masculinitĂ©, la physicalitĂ© et le pouvoir alors que le blanc symbolise Ă©galement la mort, mais aussi la beautĂ©, la crĂ©ation, la fĂ©minitĂ©, le renouveau, la spiritualitĂ©, la transluciditĂ©, l'eau et la santĂ©. Les sanctuaires de Mami Wata peuvent ĂȘtre dĂ©corĂ©s de ces couleurs et avec des cloches, des sculptures, des icĂŽnes chrĂ©tiennes ou indiennes, des poupĂ©es, de l'encens et des restes de sacrifices prĂ©cĂ©dents.
Le culte de Mami Wata consiste en des danses accompagnées de musique. Les adeptes dansent jusqu'à entrer en transe. Elle les possÚde alors et leur parle
4. Les offrandes sont également importantes : elle préfÚre de la nourriture et de la boisson, de l'alcool, des objets odorants (pommade, poudre, encens, savon, etc.) ou des biens précieux comme les bijoux. Les adorateurs modernes offrent couramment des biens manufacturés (Coca-Cola, bijoux de créateurs, etc.)
Nom
Elle aurait mĂȘme inspirĂ©e le logo de Starbucks
Le nom de cette dĂ©esse pourrait ĂȘtre une adaptation en pidgin de l'anglais mammy water, mais des Ă©tymologies purement africaines sont aussi possibles, oui car mamy en langue Ă©wé veut dire « lĂšpre », et au Togo l'expression mami wata nĂšsignifie que « la personne a la lĂšpre et que ses membres se sont transformĂ©s ». Par ailleurs, wa signifie « a fait » et ata, « la jambe ». Mami Wata est aussi appelĂ©e Iemanja dans la tradition du vaudou haĂŻtien, un culte spĂ©cial lui est mĂȘme consacrĂ©. C'est la (dĂ©esse) mĂšre des Eaux, dĂ©esse crainte des PĂȘcheurs, elle symbolise aussi bien la mer nourriciĂšre que l'ocĂ©an destructeur. Aussi au Ghana mami wata signifie :"dame eau" . Aussi lĂ -bas il est considĂ©rĂ© que mami wata Ă  des adeptes .
En afrique de l'ouest Mami Wata veut dire mamui : fermer ; ata  : jambe, c'est-à-dire fermer la jambe .
Mami Wata est avant tout une divinité éwĂ©, dont le culte est trĂšs prĂ©sent sur la cĂŽte atlantique du Togo (mais aussi au Nigeria, au Cameroun, au Congo-Brazzaville), oĂč elle symbolise la puissance suprĂȘme (comme la dĂ©esse Durga du panthĂ©on hindouiste symbolise la shakti).
On retrouve une divinité similaire dans le tjenbwa martiniquais et guadeloupéen sous le nom de 'Manman dlo', ce qui rapprocherait de l'adaptation anglaise ou pidgin de l'anglais.
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grandmaitremaraboutwossou · 4 years ago
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COMMENT DEVENIR CÉLÈBRE ET RICHE ? Vous avez sans doute entendu parler des pactes et des sectes qui existent un peu partout dans le monde. Dans le vaudou aussi il existe plusieurs types de pactes avec certaines puissantes divinitĂ©s. Il y a entre autre: -Le pacte pour avoir la gloire, -Le pacte mami wata pour avoir la richesse, -Le pacte pour ĂȘtre aimĂ© des hommes/femmes riches, -Le pacte pour ĂȘtre un bon avoir du succĂšs, la cĂ©lĂ©britĂ© destinĂ© aux footballeurs, aux artistes. Chaque pacte a ses conditions et ses engagements que vous devez honorer si vous ne voulez pas subir les consĂ©quences aprĂšs. Pour effectuer un de ces pactes il faudra avoir au moins 22 ans et les montants pour les travaux varient les pactes. Le monde d'aujourd'hui est rempli de secrets que seuls les grandes personnes ont y accĂšs, la connaissance est chĂšre et elle est rĂ©servĂ©e Ă  une catĂ©gorie de personnes. Le voyant wossou vous expose ici certaines sources de grandeurs et de rĂ©ussite Ă  travers les rituels vaudous, trĂšs puissants et trĂšs efficace pour votre bien-ĂȘtre. Je travail avec de grandes personnalitĂ©s partout dans le monde Wossou Dogboli Contactez moi WhatsApp ou appelez 0022969102375 Que les bĂ©nĂ©dictions soient...
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grandmaitremediumlaterre · 6 years ago
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LA MAGIE VAUDOU AFRICAINE PRECISEMENT DU BENIN
LA HAUTE MAGIE VAUDOU (LA MAGIE AFRICAINE TRADITIONELLE D’ORIGINE BENINOISE) Parfois, il suffit de faire quelques pas pour pĂ©nĂ©trer dans un monde inconnu. Il suffit de marcher dans une flaque d’eau pour se retrouver dans une autre Ă©poque, dans un passĂ© archaĂŻque. Une simple ruelle de marchĂ© marque la frontiĂšre entre la vie et la mort. Nous sommes au marchĂ© DANTOKPA, Ă  COTONOU. C’est un marchĂ© comme les autres, comme l’on trouve dans toutes les rĂ©gions du sud africain. Les femmes vendent des ananas et des ignames, des vĂȘtements, des ustensiles de cuisine et du coca-cola.
Dans l’air un mĂ©lange de musique africaine et la voix d’Elton John rĂ©sonnent Ă  la radio. Des marchands ambulants vendent des calculatrices Ă©lectroniques. Des enfants hurlent et se chamaillent, dans des nuages de gaz bleus, malodorants dĂ©gagĂ©s par des motocyclettes Japonaises et l’on peu voir sur de grandes affiches publicitaires le cow-boy Marlboro tout sourire. Les emblĂšmes de notre civilisation, sont omniprĂ©sents au Benin, comme ailleurs.
Les commerçants avaient recouvert leurs marchandises de toiles de plastiques ; la saison des pluies avait commencĂ©e et des nuages noirs se pressaient au dessus du marchĂ©. L’air exhalait une odeur de mort et de pourriture. L’ambiance Ă©tait angoissante et lourde. Des crĂąnes de singes et de chiens aux dents acĂ©rĂ©es sont vendus sur le marchĂ© aux fĂ©tiches de Cotonou. Des tĂȘtes ensanglantĂ©es de chĂšvres sont posĂ©es Ă  cotĂ© d’os de bƓufs, des peaux de reptiles, s’entassent Ă  cotĂ© de touffes de plumes de poules. Les sorciers et les guĂ©risseurs viennent s’approvisionner en fournitures nĂ©cessaires Ă  leurs rituels magiques. Et partout de grosses mouches bleues qui bourdonnent. L’on peut s’approcher de certaines boutiques oĂč sont Ă©crites des enseignes tel que Dako- Zorro- naturaliste chercheur.Sa spĂ©cialitĂ© est la mĂ©decine Vaudou.Il fabrique des gris-gris trĂšs efficaces ;des amulettes consacrĂ©es aux divinitĂ© VAUDOU, qui nous protĂ©geront des dangers qui guettent tout un chacun. Un rat mort gĂźt le ventre ouvert
produit d’appel, Ă  cotĂ© de serpents qui se tordent. Il faut s’assurer la protection des guĂ©risseurs et les PrĂȘtres peuvent acheter les fournitures pour les cĂ©rĂ©monies magiques.Le naturaliste chercheur fabrique des gris-gris, avant de commencer le voyage dans l’univers inconnu du VAUDOU. Moyennant une somme de 30 000 frs CFA l’on peu se procurer des gris-gris que l’on doit porter sur nous constamment, car ils contiennent une substance magique. L’on trouve un agencement d’objets du sacrifice Vaudou :des herbes dans une Ă©cuelle et une purĂ©e d’ignames, le tout mĂ©langĂ© Ă  du sang de poule.Des bougies, du gin, des cigarettes et quelques billets de banque les divinitĂ©, Vaudou n’aident pas sans contrepartie. Le rituel de consĂ©cration peu commencer. Un assistant apporte une poule maigre, noire et une bouteille de gin de la marque « super schnaps ». Un fĂ©tiche est dĂ©posĂ© sur le sol, pour prendre contact avec les Dieux, souvent en bois, terre cuite ou mĂ©tal. Ces fĂ©tiches ont pour les vaudouistes des pouvoirs magiques. Etant pour ainsi dire le logis terrestre des divinitĂ©s, ils sont considĂ©rĂ©s comme sacrĂ©s, de la mĂȘme façon que la croix est sacrĂ©e pour les chrĂ©tiens. Le prĂȘtre Vaudou invoque les Dieux en sonnant une vieille cloche rouillĂ©e, il asperge le fĂ©tiche de gin et en bois une gorgĂ©e ; tranche le cou du poulet et laisse dĂ©gouliner le sang sur le fĂ©tiche qui se trouve engluĂ© ainsi que le gris-gris. Le VAUDOU est une religion animiste qui compte plus de 50 millions d’adeptes rien qu’en Afrique de l’ouest. Il reprĂ©sente une culture ainsi qu’un mode de vie dont les origines remontent Ă  plusieurs milliers d’annĂ©es. Les occidentaux ne savent pas grand chose sur le Vaudou : Pour eux il s’agit de superstition et de magie noire ; ses adeptes croient que la nature et les forces naturelles sont animĂ©es par les divinitĂ©s et les esprits et qu’il est possible de rentrer avec eux en se mettant en transe. Vaudou vient du mot Vaudoun qui signifie en dialecte Fon, «ce qu’on ne peut Ă©lucider». Le terme a une signification complexe et se laisse Ă©galement traduire par «DIEU» ou «ESPRIT». Pour les esclavagistes et Missionnaires qui se rendirent en Afrique occidentale Ă  partir du 16Ă© siĂšcle le Vaudou n’étaient qu’un culte paĂŻen des idoles. Culte qu’ils craignaient tout en le combattant violemment. En 1484 deux caravelles avaient dĂ©jĂ  jetĂ©e l’encre dans la baie du BĂ©nin. OUIDAH, qui devint plus tard un port oĂč les marins s’approvisionnaient en eau et en vivres. Les Anglais, les Français et les Portugais fondĂšrent des comptoirs et firent du commerce avec les habitants des rĂ©gions cĂŽtiĂšres ; tissus tabac, alcool, armes et cauris du Pacifique, contre des produits alimentaires, mais surtout contre des esclaves, qui Ă©taient envoyĂ©s par bateau dans le sud des États Unis, aux CaraĂŻbes ou au BrĂ©sil qui exigeaient beaucoup de matĂ©riel humain. Au dĂ©but la traite des esclaves se dĂ©veloppa sans trop d’enthousiasme. OUIDAH faisait parti du minuscule royaume de SAVI. Ses souverains n’avaient pas assez de sujets pour les vendre, ni assez de puissance pour asservir, les royaumes voisins. C’est le contraire qui arriva, le royaume de SAVI fut rayĂ© de la carte par les Amazones du Roi Agayad’AbomĂ©y qui conquirent OUIDAH, en 1727. Les ancĂȘtres d’Agaya, les enfants de la PanthĂšre », ont fondĂ© le royaume de DAN- HOME au 16 e siĂšcle sur le plateau d’ABOMEY. Le royaume existe toujours. Le Roi DĂ©dramatiser rĂ©side dans un palais de grĂšs rouge ; l’ancien policier de COTONOU n’a plus que des fonctions reprĂ©sentatives. Il arbitre les querelles conjugales et sert de juge de paix.Agaya le nouveau roi de Ouida Ă©tait dominateur et cruel. D’autres souverains du Dan- HomĂ© avaient Ă©largi leur territoire par des expĂ©ditions sanglantes ; les villages Ă©taient incendiĂ©s et leurs habitants tuĂ©s ou rĂ©duit en esclavage.La conquĂȘte du littoral mis Agaya en contact avec les trafiquants d’esclaves blancs. Les blancs convoitaient les Ă©normes quantitĂ©s du bois « d’ébĂšne ». Le trafic sordide pris toute son ampleur. Au 18Ăšme SiĂšcle des dizaines de milliers d’ĂȘtres humain a foulĂ©s le « chemin des esclaves ». C’est le nom de la route de sable rouge, longue de trois km, qui relie Ouidah Ă  la plage oĂč Ă©taient amarrĂ©s les navires nĂ©griers. Les hommes devaient faire neuf fois le tour de »l’arbre de l’oubli » les femmes et les enfants sept fois. Ils laissaient tout espoir derriĂšre eux.On entassait les esclaves dans la « maison de Zomai ». Les portes et les fenĂȘtres Ă©taient fermĂ©es et ne laissaient filtrer aucune lumiĂšre. Les faibles Ă©taient tuĂ©s et jetĂ©s dans une fosse, souvent enterrĂ©s vivants, pour aller plus vite. Pour Ă©viter les suicides collectifs les esclavagistes dressĂšrent «l’arbre du retour » dont il fallait faire trois fois le tour. Si l’on mourrait Ă  l’étranger l’ñme retournait au Pays. Durant la traversĂ©e qui pouvait durĂ©e jusqu’à 90 jours il fallait Ă©viter d’emmener des prĂȘtres Vaudou afin qu’ils n’apportent aucune consolation ni secours d’une religion. MĂȘme dans les plantation on massacrĂ© les prĂȘtres Vaudou. MalgrĂ© ce massacre, des petits groupes d’esclaves se retrouvaient la nuit dans des endroits tenus secret. La religion Vaudou n’a pas de texte Ă©crit. Jusqu’à ce jour, le culte est transmis par voix orale, uniquement dans des couvents, coupĂ©s du monde oĂč des novices des deux sexes sont initiĂ© Ă  la langue et au rituel. Mais il Ă©tait impossible d’anĂ©antir les croyances Vaudou ; que se soit dans les champs de cannes Ă  sucre de HaĂŻti ou les plantations de tabac du BrĂ©sil. De petits groupes se retrouvaient la nuit, dans des endroits gardĂ©s secret ; pour prier les anciens Dieux. Un HOUNNON est un PrĂȘtre. N’étant pas guidĂ©es par un HOUNNON les premiĂšres communautĂ©s VAUDOU, s’appuyĂšrent sur des fragments de leurs souvenirs des cultes ThĂ©ologiques.
L’autre difficultĂ© Ă©tait la diversitĂ© des langues parlĂ©es dans les plantations. Des dizaines d’ethnies vivent en Afrique de l’Ouest. Le culte VAUDOU emprunta des formes diverses lors de la diaspora. Bien que les esclaves soient Ă©tĂ© baptisĂ©s de force pas les Missionnaires, ils n’abandonnĂšrent pas leurs anciennes croyances.
Dans la partie supĂ©rieure de l’autel, ils plaçaient des images de Sts catholiques, mais dans le bas ils disposaient les fĂ©tiches de leurs Dieux Africains.
Au BrĂ©sil , pays catholique, des millions d’ĂȘtres humains reconnaissent ĂȘtres adeptes de l’UMBANDA et du CAMDONBLE- VAUDOU Ă  HAITI – SANTERIA Ă  CUBA -OBEAH Ă  la JAMAIQUE ou HOODOO au sud des États- unis, dans les quartiers pauvres de NEW- YORK. Le Vaudou est bien vivant ? Et pas seulement en Afrique. Le BĂ©nin est le berceau du VAUDOU.
Des dĂ©couvertes archĂ©ologiques faites sur le littoral Ouest de l’Afrique, laisse penser que les cultes Vaudou est pratiquĂ©s depuis plus de 4OOOans. Le plus souvent les chercheurs ne doivent leurs connaissances qu’aux rĂ©ponses des dignitaires Vaudou ; le Vaudou ne possĂšde pas de texte sacrĂ©. Si l’on imagine la ThĂ©ologie du Vaudou pyramidale ment on peu placer GBEDOTO Ă  son sommet. Il est le principe Divin de l’univers ; la puissance Divine, il s’est engendrĂ© lui-mĂȘme cela s’est fait avec l’aide d’une Ă©nergie crĂ©atrice nommĂ©e ACE. Il se trouve en perpĂ©tuelle auto crĂ©ation. L’énergie cosmique ACE lui vient en aide .ACE Ă  engendrer des centaines de DivinitĂ©s Vaudou. Les DivinitĂ©s Vaudou sont descendantes de l’énergie crĂ©atrice ACE.
Le Vaudou n’est pas fondĂ© sur une conception dualiste du Monde ; la vie et la mort – le Ciel et la Terre- l’esprit et la MatiĂšre- ne sont pas considĂ©rĂ©s comme antagonistes. La relation avec les Dieux qui reprĂ©sente le cƓur de la religion Vaudou, s’établit au cour des rituels. Le sacrifice est un Ă©lĂ©ment essentiel. CHANGO est le Dieu du tonnerre. GOU est le Dieu du fer et du feu. FA ou IFA est le Dieu du destin. MAMI-WATA. La dĂ©esse des eaux.
Ces Dieux ont des tĂąches bien spĂ©cifiques et des traits humains. Les chercheurs BĂ©ninois ont identifiĂ©s plus de 260 entitĂ©s Vaudou. Celle-ci n’est que des incarnations du crĂ©ateur hermaphrodite. Le vaudou ne connaĂźt pas d’intermĂ©diaire entre la vie et la mort ; entre le visible et l’invisible. Dans la cosmogonie Vaudou l’Univers ressemble Ă  une calebasse dont les deux moitiĂ©s sont le Ciel et la Terre. Dans ce systĂšme fermĂ© pas de diffĂ©rence entre ce qui est en haut et ce qui est en bas. Pas de diffĂ©rence entre la vie et la Mort ; entre l’Humain et le non humain. Les Dieux et les esprits sont partout. La Religion Vaudou, ne promet pas le Paradis comme il est promis dans la Religion ChrĂ©tienne ; mais elle ne les effraie pas non plus de visions infernales. Mais pour adoucir l’humeur irritable des Dieux l’on doit rester en communication avec eux. Durant le rituel, l’homme est l’égal des Dieux. Être « montĂ© » par les Dieux est considĂ©rĂ© comme un grand honneur. Selon les Vaudouistes, le Dieu ou l’esprit d’un ancĂȘtre, se glisse dans le corps de l’ĂȘtre humain en transe.
Les cĂ©rĂ©monies durent deux Ă  trois heures, on y fait des sacrifices pour remercier les Dieux. Les danseurs se frottent le visage avec le sang d’une poule sacrifiĂ©e. Selon le rituel on offre des animaux ou des fruits ; de la bouillie de millet du tabac ou des boissons. Le Dieu CHANGO aime les taureaux, le Dieu DAN – les cĂ©rĂ©ales, MAMI-WATA les parfums. Ce n’est pas le courroux des Dieux qui apporte le mal, dans le Monde ce sont les sorciers et les jeteurs de sort. Chez les Vaudouistes ĂągĂ©s et les PrĂȘtres la transe est imperceptible.Ils glissent sans effort dans un Ă©tat de conscience spĂ©cifique ; ce qui leur permet d’obtenir une quiĂ©tude profonde.
Les Dieux ne sont pas les seuls Ă  chĂątier les hommes, les esprits des AncĂȘtres le peuvent aussi. Pour les adeptes du Vaudou, si les morts ne sont plus des ĂȘtres vivants, ils ne le sont pas au sens ou l’entend un esprit rationnel. L’esprit des AncĂȘtre se glisse dans le corps des danseurs masquĂ©s au cours des cĂ©rĂ©monies ; celui qui ose toucher aux masques intĂ©graux risque la maladie et mĂȘme la mort. Les porteurs de masques sont des membres de la sociĂ©tĂ© secrĂšte EGOUNGOUN ; ils sont les enfants de OYA, la DĂ©esse des tornades et leur mission est d’amener les ancĂȘtres dans le prĂ©sent.
Pour les Vaudoussi, le destin est personnifiĂ© par la dĂ©esse FA, nommĂ©e aussi IFA ou AFA. Elle se prĂ©sente sous la forme d’une boule, ou de L’ELEIS. Avec cette noix le BOKONON « Devin Vaudou », peut renter en contact avec le destin. Il a deux cordelettes ou sont fixĂ©es huit coques, lorsque le BOKONON les lĂąches, elles tombent sur leur face ouverte ou fermĂ©e. A partir des 16 signes de base ; c’est l’Oracle- 256 combinaisons sont possibles. Cet Oracle remonte Ă  la nuit des temps. Le I. GING Chinois n’a que huit signes de base, qui permettent 64 combinaisons. L’Oracle FA a la mĂȘme importance dans le cadre du Vaudou ; que la Bible- la THORA- le CORAN ou le I. GING. Fa est le systĂšme moral et codifiĂ© du Vaudou.
Il existe le culte Vaudou KOKOU. Les danseurs sont habillĂ©s de pagnes de raphia. C’est un culte cruel, il faut avoir le cƓur solide pour y assister. Les hommes s’enfoncent des couteaux dans les bras et se lassĂšrent la poitrine. Ils paraissent insensibles Ă  la douleur. Cette partie violente du rituel est rĂ©servĂ©e aux hommes.
La sociĂ©tĂ© secrĂšte ZANGBETO est aussi un organe de la Justice Vaudou. Les « gardiens de la nuit « appelĂ©s aussi meules dansantes Ă  cause de leurs maques intĂ©graux en raphia, qui les recouvrent entiĂšrement. Lorsqu’ils circulent la nuit et surtout au crĂ©puscule, la police se retire discrĂštement. Ces gardiens de la nuit contrĂŽlent les mĂ©faits des habitants, passent devant leurs habitations et font des injonctions. Sila faute est grave ils peuvent aller jusqu’à tuer

Les ZANGBETO tiennent secret l’intĂ©rieur de leur Temples, et leurs cĂ©rĂ©monies religieuses ainsi que le nom de leurs adeptes. Il est interdit aux femmes, sous peine de mort de pĂ©nĂ©trer dans cet univers d’homme. Paradoxalement les « meules de foin dansantes « Ă©tant photogĂ©niques de nombreux spectacles dansants sont offerts aux touristes. Le passage du culte Vaudou au pur spectacle Vaudou semble parfois assez flou. Sur le plan local les zongbeto ont des influences. Ils exercent leurs fonctions de police Vaudou sur l’ordre des Dieux. Les PrĂȘtres et guĂ©risseurs Vaudou connaissent trĂšs bien le psychisme des gens. Le Vaudou a bien sĂ»r ses charlatans. A cotĂ© de leurs qualitĂ©s de psychothĂ©rapeutes les AZONGBETO pratiquent la mĂ©decine des plantes. On n’a pas pu prouver scientifiquement les effets de la sorcellerie ; on tente de percer les mystĂšres des Zombies. Le VAUDOU est puissant au BĂ©nin. Son PrĂȘtre le plus influant est le grand commandeur SOSSA GHEDEHOUNGUE, c’est un homme riche, qui possĂšde plusieurs voitures, il a 19 femmes. Vingt% des BĂ©ninois sont catholiques et se chiffre regroupe pratiquement la totalitĂ© de l’élite politique et intellectuelle de l’Etat. MĂȘme l’Islam avec 12% de musulmans reste en arriĂšre. Les Vaudous ne cherchent pas la confrontation avec d’autres Religions. Le Grand Commandeur a rencontrĂ© le Pape Jean Paul II au printemps 1993. Le Grand Commandeur a attestĂ© que le st PĂšre avait de grands pouvoirs magiques

Le culte de MAMI-WATA- Quelques Dieux Vaudou sont sĂ©vĂšres et violents. MAMI-WATA sait se monter joyeuse ; elle est souvent reprĂ©sentĂ©e sous les traits d’une ondine, avec de longs cheveux et une queue de poisson, car elle vient de la mer. Ce qui est atypique pour une divinitĂ© Vaudou. Ce serais l’image de la sirĂšne nordique
ou sortie de la mythologie germanique, serait arrivĂ©e sur les cĂŽtes de l’Afrique Occidentale sur la proue des navires europĂ©ens et serait Ă  l’origine de ce culte. Bien que souvent reprĂ©sentĂ©e sous des traits EuropĂ©en, elle n’en reste pas moins une DivinitĂ© Vaudou. Elle est honorĂ©e en tant que DĂ©esse des eaux. Le talc et le drap blanc sont des signes de base des Vaudou. Le jour des cĂ©rĂ©monies les Dieux sont nourris on leurs apporte leurs plats prĂ©fĂ©rĂ©s. MAMI-WATA Ă  horreur de l’alcool elle boit que du parfum ou de l’eau de Cologne ou de la limonade. Le Rituel : durant la transe les initiĂ© se comportent comme la DivinitĂ©. Ils boivent du parfum- se couvrent la poitrine et le visage de talc et se dĂ©placent d’une maniĂšre bizarre. MAMI-WATA aime tout ce qui est beau ; les initiĂ©s portent des vĂȘtements blancs et veillent Ă  ce que le Temple soit balayĂ©. Les Élus hommes sont peu nombreux MAMI-WATA prĂ©fĂšre les femmes. ? Les Vaudoussi s’occupent de ceux qui sont tombĂ©s en transe et leur enfile des tabliers blancs, caractĂ©ristiques du culte. MĂȘme ceux qui ne sont pas initiĂ©s aux mystĂšres de MAMI-WATA peuvent ĂȘtre « montĂ©s » par rythme des tam-tams, la PrĂȘtresse joue une pantomime qu’elle interrompt sans cesse pour pouffer la dĂ©esse. Pendant la transe, la PrĂȘtresse de MAMI-WATA, rit. EmbrasĂ©e par le de rire.
La Secte des chrĂ©tiens cĂ©lestes au BĂ©nin. Ce sont des Églises chrĂ©tiennes et sectes qui rivalisent d’ardeur pour sauver les Ăąmes des Africains de l’Ouest. Des courants religieux ont Ă©tĂ© importĂ©s par des Missionnaires blancs ; comme les MĂ©thodistes- les Baptistes- les TĂ©moins de JĂ©hovah. C’est un africain qui a « l’église de la chrĂ©tientĂ© cĂ©leste » au BĂ©nin. Le ProphĂšte SAMUEL OSHOFFA, un charpentier, en 1947 il s’est tuĂ© dans un accident de voiture. Dix millions d’adeptes sont recensĂ©s- GHANA-TOGO- NIGERIA-BENIN. Cette secte combat le Vaudou.
Dans leur Ă©glise, leur autel est dĂ©corĂ© des images de JĂ©sus –Marie. Les Ă©vangĂ©listes organisent les baptĂȘmes et les communions. Les leaders sont les prĂ©dicateurs de l’Eglise ; les visionnaires les ProphĂštes. Il existe douze commandements. Les bougies de couleur sont formellement interdites dans l’Eglise cĂ©leste ; la viande de porc ; l’alcool et le tabac ; il est interdit de pratiquer la magie noire et le culte des idoles et de porter des vĂȘtements rouge et noir. Les hommes sont sĂ©parĂ©s des femmes ; les femmes sont interdites durant leurs rĂšgles et qui de plus ne sont pas autorisĂ©es Ă  exercer une fonction. Certaines femmes portent une Ă©charpe bleu- celles qui reçoivent des messages cĂ©lestes- elles se mettent en transe durant les cĂ©rĂ©monies religieuses et parlent le langage des Anges.Cette secte ressemble, Ă©trangement, Ă  des Vaudoussi en blanc. Les chrĂ©tiens CĂ©lestes ne se soignent avec aucune mĂ©decine, seulement des priĂšres et de l’eau bĂ©nite, mais ils n’interdisent pas d’aller consulter un mĂ©decin. Magie blanche et magie noire : La croyance dans les magiciens mal intentionnĂ©s est trĂšs forte au BĂ©nin. Beaucoup de gens dĂ©pensent Ă©normĂ©ment d’argent pour se protĂ©ger des mauvais sorts ou jeter un sort Ă  un ennemi, ou faire pratiquer la magie blanche pour avoir l’amour, la rĂ©ussite et l’argent. Toute une source informelle de revenu pour les PrĂȘtre et les Magiciens. La magie noire est couramment pratiquĂ©e. SOSSA GUEDEHOUNGUE, le Grand Commandeur du culte Vaudou du BĂ©nin, dit que la magie noire est en contradiction avec le Vaudou. Celui qui fait envoĂ»ter autrui se veut aussi puissant que les Dieux. Or c’est eux seuls qui dĂ©cident du sort Ă  accorder Ă  chacun. MalgrĂ© cela la magie noire est couramment appliquĂ©e au BĂ©nin. L’on cite l’usage du « pistolet africain » ; un cocktail mortel dont les ingrĂ©dients, lames de rasoir, clous, ne peuvent ĂȘtres localiser dans le corps de la victime. Le sorcier Vaudou GERMAIN BAMENOU de Cotonou, protĂšge ses clients contre les envoĂ»tements, il soigne aussi bien les hĂ©morroĂŻdes que la stĂ©rilitĂ© fĂ©minine. Son activitĂ© n’est pas dĂ©lictueuse, au BĂ©nin. BAMENOU se trouve obligeant envers ses clients, ils ne paieront que lorsque leurs souhaits seront exaucĂ©s. La puissance Ă  laquelle se heurte l’homme n’est jamais ressentie comme quelque chose de naturel. Ca n’est pas concevable pour un primitif. Tout Ă©vĂšnement peut ĂȘtre compris comme la manifestation d’une puissance, laquelle peut obĂ©ir Ă  des « loi ». La caractĂ©ristique de cette Puissance est qu’elle est conçue comme magique. Mais cette causalitĂ© ne repose pas sur des observations rationnelles. On peu la commander Ă  condition de connaĂźtre ses lois.La nature de cette Puissance est qu’elle peut ĂȘtre partout prĂ©sente ; aussi bien dans l’ « ici bas », Que dans l’ »au- de lĂ  ». La forĂȘt et le champ sont un lieu de croissance, sont Ă©galement le siĂšge d’une puissance, il en va aussi de l’eau, dont la force mystĂ©rieuse rĂ©side dans son pouvoir rafraĂźchissant. De mĂȘme certains animaux passent pour ĂȘtres particuliĂšrement chargĂ©s de Puissance : il s’agit en gĂ©nĂ©ral de reptiles ou d’oiseaux. Les esprits- À cĂŽtĂ© des Ăąmes des morts, il y a d’autres ĂȘtres qui apparaissent souvent qui agissent de façon invisible. On les appelle les esprits. Les Dieux- toute l’Afrique semble avoir des Dieux. Chaque tribu lui donne un nom diffĂ©rent. L’on distingue le grand Dieu et des Dieux secondaires ; Dieu des eaux ; de la forĂȘt ; des animaux 
etc 

Depuis l’époque de Bernard Maupoil, qui Ă©tudia dans les annĂ©es trente la culture et l’imaginaire FON au sud du BĂ©nin, les ethnologues et professeurs d’études religieuses, essaient de comprendre la thĂ©ologie et les rites du Vaudou. Un travail consĂ©quent, le vaudou ne comportant pas de texte sacrĂ©, et les PrĂȘtres n’écrivant aucun texte qui analyse leur religion.
« Si vous voulez pĂ©nĂ©trer les mystĂšres du Vaudou, il vous faudra attendre jusqu’à la fin du monde, » dit un chant Vaudou.?
« A titre de mĂ©moire : COTONOU vient de KOTU-UNU : KOU= mort, TO= lagune, NU=bord, rive : Au bord de la lagune de la mort, en langue FON. : est le nom donnĂ© au petit village de pĂȘcheurs, devenu COTONOU. (BENIN : ancien DAHOMAY). « C’est la couleur teintĂ©e de rouge des eaux de la lagune qui aurait Ă©tĂ© Ă  l’origine du nom de COTONOU. Les arbres bordant le Kouto y laissaient tomber leurs feuilles qui par photosynthĂšse roussissaient dans la lagune les eaux stagnantes. Ce qui faisait dire que c’étaient les morts qui teintaient l’eau, avant d’aller se jeter dans la mer. La croyance Ă©tait que les morts passaient par la mer avant de rejoindre l’eau delĂ .
Raymond DELL
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maitrelalune-blog · 7 years ago
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LA MAGIE VAUDOU AFRICAINE PRECISEMENT DU BENIN
LA HAUTE MAGIE VAUDOU (LA MAGIE AFRICAINE TRADITIONELLE D’ORIGINE BENINOISE) Parfois, il suffit de faire quelques pas pour pĂ©nĂ©trer dans un monde inconnu. Il suffit de marcher dans une flaque d’eau pour se retrouver dans une autre Ă©poque, dans un passĂ© archaĂŻque. Une simple ruelle de marchĂ© marque la frontiĂšre entre la vie et la mort. Nous sommes au marchĂ© DANTOKPA, Ă  COTONOU. C’est un marchĂ© comme les autres, comme l’on trouve dans toutes les rĂ©gions du sud africain. Les femmes vendent des ananas et des ignames, des vĂȘtements, des ustensiles de cuisine et du coca-cola.
Dans l’air un mĂ©lange de musique africaine et la voix d’Elton John rĂ©sonnent Ă  la radio. Des marchands ambulants vendent des calculatrices Ă©lectroniques. Des enfants hurlent et se chamaillent, dans des nuages de gaz bleus, malodorants dĂ©gagĂ©s par des motocyclettes Japonaises et l’on peu voir sur de grandes affiches publicitaires le cow-boy Marlboro tout sourire. Les emblĂšmes de notre civilisation, sont omniprĂ©sents au Benin, comme ailleurs.
Les commerçants avaient recouvert leurs marchandises de toiles de plastiques ; la saison des pluies avait commencĂ©e et des nuages noirs se pressaient au dessus du marchĂ©. L’air exhalait une odeur de mort et de pourriture. L’ambiance Ă©tait angoissante et lourde. Des crĂąnes de singes et de chiens aux dents acĂ©rĂ©es sont vendus sur le marchĂ© aux fĂ©tiches de Cotonou. Des tĂȘtes ensanglantĂ©es de chĂšvres sont posĂ©es Ă  cotĂ© d’os de bƓufs, des peaux de reptiles, s’entassent Ă  cotĂ© de touffes de plumes de poules. Les sorciers et les guĂ©risseurs viennent s’approvisionner en fournitures nĂ©cessaires Ă  leurs rituels magiques. Et partout de grosses mouches bleues qui bourdonnent. L’on peut s’approcher de certaines boutiques oĂč sont Ă©crites des enseignes tel que Dako- Zorro- naturaliste chercheur.Sa spĂ©cialitĂ© est la mĂ©decine Vaudou.Il fabrique des gris-gris trĂšs efficaces ;des amulettes consacrĂ©es aux divinitĂ© VAUDOU, qui nous protĂ©geront des dangers qui guettent tout un chacun. Un rat mort gĂźt le ventre ouvert
produit d’appel, Ă  cotĂ© de serpents qui se tordent. Il faut s’assurer la protection des guĂ©risseurs et les PrĂȘtres peuvent acheter les fournitures pour les cĂ©rĂ©monies magiques.Le naturaliste chercheur fabrique des gris-gris, avant de commencer le voyage dans l’univers inconnu du VAUDOU. Moyennant une somme de 30 000 frs CFA l’on peu se procurer des gris-gris que l’on doit porter sur nous constamment, car ils contiennent une substance magique. L’on trouve un agencement d’objets du sacrifice Vaudou :des herbes dans une Ă©cuelle et une purĂ©e d’ignames, le tout mĂ©langĂ© Ă  du sang de poule.Des bougies, du gin, des cigarettes et quelques billets de banque les divinitĂ©, Vaudou n’aident pas sans contrepartie. Le rituel de consĂ©cration peu commencer. Un assistant apporte une poule maigre, noire et une bouteille de gin de la marque « super schnaps ». Un fĂ©tiche est dĂ©posĂ© sur le sol, pour prendre contact avec les Dieux, souvent en bois, terre cuite ou mĂ©tal. Ces fĂ©tiches ont pour les vaudouistes des pouvoirs magiques. Etant pour ainsi dire le logis terrestre des divinitĂ©s, ils sont considĂ©rĂ©s comme sacrĂ©s, de la mĂȘme façon que la croix est sacrĂ©e pour les chrĂ©tiens. Le prĂȘtre Vaudou invoque les Dieux en sonnant une vieille cloche rouillĂ©e, il asperge le fĂ©tiche de gin et en bois une gorgĂ©e ; tranche le cou du poulet et laisse dĂ©gouliner le sang sur le fĂ©tiche qui se trouve engluĂ© ainsi que le gris-gris. Le VAUDOU est une religion animiste qui compte plus de 50 millions d’adeptes rien qu’en Afrique de l’ouest. Il reprĂ©sente une culture ainsi qu’un mode de vie dont les origines remontent Ă  plusieurs milliers d’annĂ©es. Les occidentaux ne savent pas grand chose sur le Vaudou : Pour eux il s’agit de superstition et de magie noire ; ses adeptes croient que la nature et les forces naturelles sont animĂ©es par les divinitĂ©s et les esprits et qu’il est possible de rentrer avec eux en se mettant en transe. Vaudou vient du mot Vaudoun qui signifie en dialecte Fon, «ce qu’on ne peut Ă©lucider». Le terme a une signification complexe et se laisse Ă©galement traduire par «DIEU» ou «ESPRIT». Pour les esclavagistes et Missionnaires qui se rendirent en Afrique occidentale Ă  partir du 16Ă© siĂšcle le Vaudou n’étaient qu’un culte paĂŻen des idoles. Culte qu’ils craignaient tout en le combattant violemment. En 1484 deux caravelles avaient dĂ©jĂ  jetĂ©e l’encre dans la baie du BĂ©nin. OUIDAH, qui devint plus tard un port oĂč les marins s’approvisionnaient en eau et en vivres. Les Anglais, les Français et les Portugais fondĂšrent des comptoirs et firent du commerce avec les habitants des rĂ©gions cĂŽtiĂšres ; tissus tabac, alcool, armes et cauris du Pacifique, contre des produits alimentaires, mais surtout contre des esclaves, qui Ă©taient envoyĂ©s par bateau dans le sud des États Unis, aux CaraĂŻbes ou au BrĂ©sil qui exigeaient beaucoup de matĂ©riel humain. Au dĂ©but la traite des esclaves se dĂ©veloppa sans trop d’enthousiasme. OUIDAH faisait parti du minuscule royaume de SAVI. Ses souverains n’avaient pas assez de sujets pour les vendre, ni assez de puissance pour asservir, les royaumes voisins. C’est le contraire qui arriva, le royaume de SAVI fut rayĂ© de la carte par les Amazones du Roi Agayad’AbomĂ©y qui conquirent OUIDAH, en 1727. Les ancĂȘtres d’Agaya, les enfants de la PanthĂšre », ont fondĂ© le royaume de DAN- HOME au 16 e siĂšcle sur le plateau d’ABOMEY. Le royaume existe toujours. Le Roi DĂ©dramatiser rĂ©side dans un palais de grĂšs rouge ; l’ancien policier de COTONOU n’a plus que des fonctions reprĂ©sentatives. Il arbitre les querelles conjugales et sert de juge de paix.Agaya le nouveau roi de Ouida Ă©tait dominateur et cruel. D’autres souverains du Dan- HomĂ© avaient Ă©largi leur territoire par des expĂ©ditions sanglantes ; les villages Ă©taient incendiĂ©s et leurs habitants tuĂ©s ou rĂ©duit en esclavage.La conquĂȘte du littoral mis Agaya en contact avec les trafiquants d’esclaves blancs. Les blancs convoitaient les Ă©normes quantitĂ©s du bois « d’ébĂšne ». Le trafic sordide pris toute son ampleur. Au 18Ăšme SiĂšcle des dizaines de milliers d’ĂȘtres humain a foulĂ©s le « chemin des esclaves ». C’est le nom de la route de sable rouge, longue de trois km, qui relie Ouidah Ă  la plage oĂč Ă©taient amarrĂ©s les navires nĂ©griers. Les hommes devaient faire neuf fois le tour de »l’arbre de l’oubli » les femmes et les enfants sept fois. Ils laissaient tout espoir derriĂšre eux.On entassait les esclaves dans la « maison de Zomai ». Les portes et les fenĂȘtres Ă©taient fermĂ©es et ne laissaient filtrer aucune lumiĂšre. Les faibles Ă©taient tuĂ©s et jetĂ©s dans une fosse, souvent enterrĂ©s vivants, pour aller plus vite. Pour Ă©viter les suicides collectifs les esclavagistes dressĂšrent «l’arbre du retour » dont il fallait faire trois fois le tour. Si l’on mourrait Ă  l’étranger l’ñme retournait au Pays. Durant la traversĂ©e qui pouvait durĂ©e jusqu’à 90 jours il fallait Ă©viter d’emmener des prĂȘtres Vaudou afin qu’ils n’apportent aucune consolation ni secours d’une religion. MĂȘme dans les plantation on massacrĂ© les prĂȘtres Vaudou. MalgrĂ© ce massacre, des petits groupes d’esclaves se retrouvaient la nuit dans des endroits tenus secret. La religion Vaudou n’a pas de texte Ă©crit. Jusqu’à ce jour, le culte est transmis par voix orale, uniquement dans des couvents, coupĂ©s du monde oĂč des novices des deux sexes sont initiĂ© Ă  la langue et au rituel. Mais il Ă©tait impossible d’anĂ©antir les croyances Vaudou ; que se soit dans les champs de cannes Ă  sucre de HaĂŻti ou les plantations de tabac du BrĂ©sil. De petits groupes se retrouvaient la nuit, dans des endroits gardĂ©s secret ; pour prier les anciens Dieux. Un HOUNNON est un PrĂȘtre. N’étant pas guidĂ©es par un HOUNNON les premiĂšres communautĂ©s VAUDOU, s’appuyĂšrent sur des fragments de leurs souvenirs des cultes ThĂ©ologiques.
L’autre difficultĂ© Ă©tait la diversitĂ© des langues parlĂ©es dans les plantations. Des dizaines d’ethnies vivent en Afrique de l’Ouest. Le culte VAUDOU emprunta des formes diverses lors de la diaspora. Bien que les esclaves soient Ă©tĂ© baptisĂ©s de force pas les Missionnaires, ils n’abandonnĂšrent pas leurs anciennes croyances.
Dans la partie supĂ©rieure de l’autel, ils plaçaient des images de Sts catholiques, mais dans le bas ils disposaient les fĂ©tiches de leurs Dieux Africains.
Au BrĂ©sil , pays catholique, des millions d’ĂȘtres humains reconnaissent ĂȘtres adeptes de l’UMBANDA et du CAMDONBLE- VAUDOU Ă  HAITI – SANTERIA Ă  CUBA -OBEAH Ă  la JAMAIQUE ou HOODOO au sud des États- unis, dans les quartiers pauvres de NEW- YORK. Le Vaudou est bien vivant ? Et pas seulement en Afrique. Le BĂ©nin est le berceau du VAUDOU.
Des dĂ©couvertes archĂ©ologiques faites sur le littoral Ouest de l’Afrique, laisse penser que les cultes Vaudou est pratiquĂ©s depuis plus de 4OOOans. Le plus souvent les chercheurs ne doivent leurs connaissances qu’aux rĂ©ponses des dignitaires Vaudou ; le Vaudou ne possĂšde pas de texte sacrĂ©. Si l’on imagine la ThĂ©ologie du Vaudou pyramidale ment on peu placer GBEDOTO Ă  son sommet. Il est le principe Divin de l’univers ; la puissance Divine, il s’est engendrĂ© lui-mĂȘme cela s’est fait avec l’aide d’une Ă©nergie crĂ©atrice nommĂ©e ACE. Il se trouve en perpĂ©tuelle auto crĂ©ation. L’énergie cosmique ACE lui vient en aide .ACE Ă  engendrer des centaines de DivinitĂ©s Vaudou. Les DivinitĂ©s Vaudou sont descendantes de l’énergie crĂ©atrice ACE.
Le Vaudou n’est pas fondĂ© sur une conception dualiste du Monde ; la vie et la mort – le Ciel et la Terre- l’esprit et la MatiĂšre- ne sont pas considĂ©rĂ©s comme antagonistes. La relation avec les Dieux qui reprĂ©sente le cƓur de la religion Vaudou, s’établit au cour des rituels. Le sacrifice est un Ă©lĂ©ment essentiel. CHANGO est le Dieu du tonnerre. GOU est le Dieu du fer et du feu. FA ou IFA est le Dieu du destin. MAMI-WATA. La dĂ©esse des eaux.
Ces Dieux ont des tĂąches bien spĂ©cifiques et des traits humains. Les chercheurs BĂ©ninois ont identifiĂ©s plus de 260 entitĂ©s Vaudou. Celle-ci n’est que des incarnations du crĂ©ateur hermaphrodite. Le vaudou ne connaĂźt pas d’intermĂ©diaire entre la vie et la mort ; entre le visible et l’invisible. Dans la cosmogonie Vaudou l’Univers ressemble Ă  une calebasse dont les deux moitiĂ©s sont le Ciel et la Terre. Dans ce systĂšme fermĂ© pas de diffĂ©rence entre ce qui est en haut et ce qui est en bas. Pas de diffĂ©rence entre la vie et la Mort ; entre l’Humain et le non humain. Les Dieux et les esprits sont partout. La Religion Vaudou, ne promet pas le Paradis comme il est promis dans la Religion ChrĂ©tienne ; mais elle ne les effraie pas non plus de visions infernales. Mais pour adoucir l’humeur irritable des Dieux l’on doit rester en communication avec eux. Durant le rituel, l’homme est l’égal des Dieux. Être « montĂ© » par les Dieux est considĂ©rĂ© comme un grand honneur. Selon les Vaudouistes, le Dieu ou l’esprit d’un ancĂȘtre, se glisse dans le corps de l’ĂȘtre humain en transe.
Les cĂ©rĂ©monies durent deux Ă  trois heures, on y fait des sacrifices pour remercier les Dieux. Les danseurs se frottent le visage avec le sang d’une poule sacrifiĂ©e. Selon le rituel on offre des animaux ou des fruits ; de la bouillie de millet du tabac ou des boissons. Le Dieu CHANGO aime les taureaux, le Dieu DAN – les cĂ©rĂ©ales, MAMI-WATA les parfums. Ce n’est pas le courroux des Dieux qui apporte le mal, dans le Monde ce sont les sorciers et les jeteurs de sort. Chez les Vaudouistes ĂągĂ©s et les PrĂȘtres la transe est imperceptible.Ils glissent sans effort dans un Ă©tat de conscience spĂ©cifique ; ce qui leur permet d’obtenir une quiĂ©tude profonde.
Les Dieux ne sont pas les seuls Ă  chĂątier les hommes, les esprits des AncĂȘtres le peuvent aussi. Pour les adeptes du Vaudou, si les morts ne sont plus des ĂȘtres vivants, ils ne le sont pas au sens ou l’entend un esprit rationnel. L’esprit des AncĂȘtre se glisse dans le corps des danseurs masquĂ©s au cours des cĂ©rĂ©monies ; celui qui ose toucher aux masques intĂ©graux risque la maladie et mĂȘme la mort. Les porteurs de masques sont des membres de la sociĂ©tĂ© secrĂšte EGOUNGOUN ; ils sont les enfants de OYA, la DĂ©esse des tornades et leur mission est d’amener les ancĂȘtres dans le prĂ©sent.
Pour les Vaudoussi, le destin est personnifiĂ© par la dĂ©esse FA, nommĂ©e aussi IFA ou AFA. Elle se prĂ©sente sous la forme d’une boule, ou de L’ELEIS. Avec cette noix le BOKONON « Devin Vaudou », peut renter en contact avec le destin. Il a deux cordelettes ou sont fixĂ©es huit coques, lorsque le BOKONON les lĂąches, elles tombent sur leur face ouverte ou fermĂ©e. A partir des 16 signes de base ; c’est l’Oracle- 256 combinaisons sont possibles. Cet Oracle remonte Ă  la nuit des temps. Le I. GING Chinois n’a que huit signes de base, qui permettent 64 combinaisons. L’Oracle FA a la mĂȘme importance dans le cadre du Vaudou ; que la Bible- la THORA- le CORAN ou le I. GING. Fa est le systĂšme moral et codifiĂ© du Vaudou.
Il existe le culte Vaudou KOKOU. Les danseurs sont habillĂ©s de pagnes de raphia. C’est un culte cruel, il faut avoir le cƓur solide pour y assister. Les hommes s’enfoncent des couteaux dans les bras et se lassĂšrent la poitrine. Ils paraissent insensibles Ă  la douleur. Cette partie violente du rituel est rĂ©servĂ©e aux hommes.
La sociĂ©tĂ© secrĂšte ZANGBETO est aussi un organe de la Justice Vaudou. Les « gardiens de la nuit « appelĂ©s aussi meules dansantes Ă  cause de leurs maques intĂ©graux en raphia, qui les recouvrent entiĂšrement. Lorsqu’ils circulent la nuit et surtout au crĂ©puscule, la police se retire discrĂštement. Ces gardiens de la nuit contrĂŽlent les mĂ©faits des habitants, passent devant leurs habitations et font des injonctions. Sila faute est grave ils peuvent aller jusqu’à tuer

Les ZANGBETO tiennent secret l’intĂ©rieur de leur Temples, et leurs cĂ©rĂ©monies religieuses ainsi que le nom de leurs adeptes. Il est interdit aux femmes, sous peine de mort de pĂ©nĂ©trer dans cet univers d’homme. Paradoxalement les « meules de foin dansantes « Ă©tant photogĂ©niques de nombreux spectacles dansants sont offerts aux touristes. Le passage du culte Vaudou au pur spectacle Vaudou semble parfois assez flou. Sur le plan local les zongbeto ont des influences. Ils exercent leurs fonctions de police Vaudou sur l’ordre des Dieux. Les PrĂȘtres et guĂ©risseurs Vaudou connaissent trĂšs bien le psychisme des gens. Le Vaudou a bien sĂ»r ses charlatans. A cotĂ© de leurs qualitĂ©s de psychothĂ©rapeutes les AZONGBETO pratiquent la mĂ©decine des plantes. On n’a pas pu prouver scientifiquement les effets de la sorcellerie ; on tente de percer les mystĂšres des Zombies. Le VAUDOU est puissant au BĂ©nin. Son PrĂȘtre le plus influant est le grand commandeur SOSSA GHEDEHOUNGUE, c’est un homme riche, qui possĂšde plusieurs voitures, il a 19 femmes. Vingt% des BĂ©ninois sont catholiques et se chiffre regroupe pratiquement la totalitĂ© de l’élite politique et intellectuelle de l’Etat. MĂȘme l’Islam avec 12% de musulmans reste en arriĂšre. Les Vaudous ne cherchent pas la confrontation avec d’autres Religions. Le Grand Commandeur a rencontrĂ© le Pape Jean Paul II au printemps 1993. Le Grand Commandeur a attestĂ© que le st PĂšre avait de grands pouvoirs magiques

Le culte de MAMI-WATA- Quelques Dieux Vaudou sont sĂ©vĂšres et violents. MAMI-WATA sait se monter joyeuse ; elle est souvent reprĂ©sentĂ©e sous les traits d’une ondine, avec de longs cheveux et une queue de poisson, car elle vient de la mer. Ce qui est atypique pour une divinitĂ© Vaudou. Ce serais l’image de la sirĂšne nordique
ou sortie de la mythologie germanique, serait arrivĂ©e sur les cĂŽtes de l’Afrique Occidentale sur la proue des navires europĂ©ens et serait Ă  l’origine de ce culte. Bien que souvent reprĂ©sentĂ©e sous des traits EuropĂ©en, elle n’en reste pas moins une DivinitĂ© Vaudou. Elle est honorĂ©e en tant que DĂ©esse des eaux. Le talc et le drap blanc sont des signes de base des Vaudou. Le jour des cĂ©rĂ©monies les Dieux sont nourris on leurs apporte leurs plats prĂ©fĂ©rĂ©s. MAMI-WATA Ă  horreur de l’alcool elle boit que du parfum ou de l’eau de Cologne ou de la limonade. Le Rituel : durant la transe les initiĂ© se comportent comme la DivinitĂ©. Ils boivent du parfum- se couvrent la poitrine et le visage de talc et se dĂ©placent d’une maniĂšre bizarre. MAMI-WATA aime tout ce qui est beau ; les initiĂ©s portent des vĂȘtements blancs et veillent Ă  ce que le Temple soit balayĂ©. Les Élus hommes sont peu nombreux MAMI-WATA prĂ©fĂšre les femmes. ? Les Vaudoussi s’occupent de ceux qui sont tombĂ©s en transe et leur enfile des tabliers blancs, caractĂ©ristiques du culte. MĂȘme ceux qui ne sont pas initiĂ©s aux mystĂšres de MAMI-WATA peuvent ĂȘtre « montĂ©s » par rythme des tam-tams, la PrĂȘtresse joue une pantomime qu’elle interrompt sans cesse pour pouffer la dĂ©esse. Pendant la transe, la PrĂȘtresse de MAMI-WATA, rit. EmbrasĂ©e par le de rire.
La Secte des chrĂ©tiens cĂ©lestes au BĂ©nin. Ce sont des Églises chrĂ©tiennes et sectes qui rivalisent d’ardeur pour sauver les Ăąmes des Africains de l’Ouest. Des courants religieux ont Ă©tĂ© importĂ©s par des Missionnaires blancs ; comme les MĂ©thodistes- les Baptistes- les TĂ©moins de JĂ©hovah. C’est un africain qui a « l’église de la chrĂ©tientĂ© cĂ©leste » au BĂ©nin. Le ProphĂšte SAMUEL OSHOFFA, un charpentier, en 1947 il s’est tuĂ© dans un accident de voiture. Dix millions d’adeptes sont recensĂ©s- GHANA-TOGO- NIGERIA-BENIN. Cette secte combat le Vaudou.
Dans leur Ă©glise, leur autel est dĂ©corĂ© des images de JĂ©sus –Marie. Les Ă©vangĂ©listes organisent les baptĂȘmes et les communions. Les leaders sont les prĂ©dicateurs de l’Eglise ; les visionnaires les ProphĂštes. Il existe douze commandements. Les bougies de couleur sont formellement interdites dans l’Eglise cĂ©leste ; la viande de porc ; l’alcool et le tabac ; il est interdit de pratiquer la magie noire et le culte des idoles et de porter des vĂȘtements rouge et noir. Les hommes sont sĂ©parĂ©s des femmes ; les femmes sont interdites durant leurs rĂšgles et qui de plus ne sont pas autorisĂ©es Ă  exercer une fonction. Certaines femmes portent une Ă©charpe bleu- celles qui reçoivent des messages cĂ©lestes- elles se mettent en transe durant les cĂ©rĂ©monies religieuses et parlent le langage des Anges.Cette secte ressemble, Ă©trangement, Ă  des Vaudoussi en blanc. Les chrĂ©tiens CĂ©lestes ne se soignent avec aucune mĂ©decine, seulement des priĂšres et de l’eau bĂ©nite, mais ils n’interdisent pas d’aller consulter un mĂ©decin. Magie blanche et magie noire : La croyance dans les magiciens mal intentionnĂ©s est trĂšs forte au BĂ©nin. Beaucoup de gens dĂ©pensent Ă©normĂ©ment d’argent pour se protĂ©ger des mauvais sorts ou jeter un sort Ă  un ennemi, ou faire pratiquer la magie blanche pour avoir l’amour, la rĂ©ussite et l’argent. Toute une source informelle de revenu pour les PrĂȘtre et les Magiciens. La magie noire est couramment pratiquĂ©e. SOSSA GUEDEHOUNGUE, le Grand Commandeur du culte Vaudou du BĂ©nin, dit que la magie noire est en contradiction avec le Vaudou. Celui qui fait envoĂ»ter autrui se veut aussi puissant que les Dieux. Or c’est eux seuls qui dĂ©cident du sort Ă  accorder Ă  chacun. MalgrĂ© cela la magie noire est couramment appliquĂ©e au BĂ©nin. L’on cite l’usage du « pistolet africain » ; un cocktail mortel dont les ingrĂ©dients, lames de rasoir, clous, ne peuvent ĂȘtres localiser dans le corps de la victime. Le sorcier Vaudou GERMAIN BAMENOU de Cotonou, protĂšge ses clients contre les envoĂ»tements, il soigne aussi bien les hĂ©morroĂŻdes que la stĂ©rilitĂ© fĂ©minine. Son activitĂ© n’est pas dĂ©lictueuse, au BĂ©nin. BAMENOU se trouve obligeant envers ses clients, ils ne paieront que lorsque leurs souhaits seront exaucĂ©s. La puissance Ă  laquelle se heurte l’homme n’est jamais ressentie comme quelque chose de naturel. Ca n’est pas concevable pour un primitif. Tout Ă©vĂšnement peut ĂȘtre compris comme la manifestation d’une puissance, laquelle peut obĂ©ir Ă  des « loi ». La caractĂ©ristique de cette Puissance est qu’elle est conçue comme magique. Mais cette causalitĂ© ne repose pas sur des observations rationnelles. On peu la commander Ă  condition de connaĂźtre ses lois.La nature de cette Puissance est qu’elle peut ĂȘtre partout prĂ©sente ; aussi bien dans l’ « ici bas », Que dans l’ »au- de lĂ  ». La forĂȘt et le champ sont un lieu de croissance, sont Ă©galement le siĂšge d’une puissance, il en va aussi de l’eau, dont la force mystĂ©rieuse rĂ©side dans son pouvoir rafraĂźchissant. De mĂȘme certains animaux passent pour ĂȘtres particuliĂšrement chargĂ©s de Puissance : il s’agit en gĂ©nĂ©ral de reptiles ou d’oiseaux. Les esprits- À cĂŽtĂ© des Ăąmes des morts, il y a d’autres ĂȘtres qui apparaissent souvent qui agissent de façon invisible. On les appelle les esprits. Les Dieux- toute l’Afrique semble avoir des Dieux. Chaque tribu lui donne un nom diffĂ©rent. L’on distingue le grand Dieu et des Dieux secondaires ; Dieu des eaux ; de la forĂȘt ; des animaux 
etc 

Depuis l’époque de Bernard Maupoil, qui Ă©tudia dans les annĂ©es trente la culture et l’imaginaire FON au sud du BĂ©nin, les ethnologues et professeurs d’études religieuses, essaient de comprendre la thĂ©ologie et les rites du Vaudou. Un travail consĂ©quent, le vaudou ne comportant pas de texte sacrĂ©, et les PrĂȘtres n’écrivant aucun texte qui analyse leur religion.
« Si vous voulez pĂ©nĂ©trer les mystĂšres du Vaudou, il vous faudra attendre jusqu’à la fin du monde, » dit un chant Vaudou.?
« A titre de mĂ©moire : COTONOU vient de KOTU-UNU : KOU= mort, TO= lagune, NU=bord, rive : Au bord de la lagune de la mort, en langue FON. : est le nom donnĂ© au petit village de pĂȘcheurs, devenu COTONOU. (BENIN : ancien DAHOMAY). « C’est la couleur teintĂ©e de rouge des eaux de la lagune qui aurait Ă©tĂ© Ă  l’origine du nom de COTONOU. Les arbres bordant le Kouto y laissaient tomber leurs feuilles qui par photosynthĂšse roussissaient dans la lagune les eaux stagnantes. Ce qui faisait dire que c’étaient les morts qui teintaient l’eau, avant d’aller se jeter dans la mer. La croyance Ă©tait que les morts passaient par la mer avant de rejoindre l’eau delĂ .
Raymond DELL
Contactez Grand Maitre Marabout Vaudou AZIZA pour tous Vos Besoins Dans Le Domaine Du Spirituel Vaudou.Je Peux Intervenir Pour vous Dans Les Cas Suivants:REPOUSSER (CHASSER) des personnes indĂ©sirables.REPOUSSER (CHASSER) des sortilĂšges, et des malĂ©dictions indĂ©sirables.ACCROITRE et REPANDRE de l’ amour, de l’ abondance, et de la richesse dans votre vie.NEUTRALISER les Ă©nergies nĂ©gatives et malĂ©fiques.PREDIRE VOTRE AVENIR AVEC MON OEIL BLEU MYSTIQUE VOILA QUELQUES UN DE MES INTERVENTIONS VAUDOU PARMIS TANT D’AUTRES.
Raymond DELL
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mediumbabavigan · 2 months ago
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Pacte de richesse avec Mami Wata. Pacte avec Mami Wata. Le secret de Mami Wata: PriĂšre d'invocation de Mami Wata. Pacte avec Mami Wata.
Pacte de richesse avec Mami Wata. Pacte avec Mami Wata. Le secret de Mami Wata: PriĂšre d'invocation de Mami Wata. Pacte avec Mami Wata.
La PriĂšre de Pacte et d’Invocation de Mami Wata : Pratiques Mystiques du MĂ©dium Baba Vigan. Les traditions spirituelles et mystiques africaines sont riches en symboles, en rituels et en divinitĂ©s, chacune jouant un rĂŽle spĂ©cifique dans le monde spirituel. Parmi les figures les plus emblĂ©matiques de ces croyances, Mami Wata, dĂ©esse des eaux, occupe une place centrale. Reconnue pour son pouvoir de

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portefeuillemagiqueblr · 2 years ago
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LE NEEM AVEC MAITRE AGBIGBI.
LE NEEM AVEC MAITRE AGBIGBI.
​LE NEEM Avec Maitre AGBIGBI Le Neem est une plante aux vertus lĂ©gendaires et pourtant avĂ©rĂ©es, qui aujourd’hui fascine par son potentiel d’exception. Tout est bon dans le Neem : écorce, bois, graines, feuilles regorgent de bienfaits pour les hommes, les animaux et les plantes. Permettez moi de vous parler des vertus de ses Ă©corces. Les Ă©corces de cette plante rĂ©duites en poudre par

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toffavoyance · 3 years ago
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Devenir riche grĂące aux rituels de la DĂ©esse Mami-Wata de la Mer
Devenir riche grùce aux rituels de la Déesse Mami-Wata de la Mer
Le secret de mami wataCoucher avec mami wataMami wata sacrificeMami wata temoignageMami wata photomariage avec Mami wataMami wata Cote d’ivoire, Mami wata BENIN, Mami wata Gabon . Ce rituel du Grand Maitre marabout TOFFA, vrai marabout de la richesse rapide, consiste Ă  invoquer le gĂ©nie possesseur de la richesse des eaux (mami wata) dans votre demeure afin de lui faire part de tout vos vƓux de

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