#le rythme des marées
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coovieilledentelle · 2 months ago
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Le fort Louvois... Le Fort Louvois est situé à 400m de la terre ferme, en plein Océan Atlantique ! Au rythme des marées, le Fort Louvois se dévoile, et se rejoint à pied ou en bateau. Situé à Bourcefranc-Le Chapus, au pied du pont de l’île d’Oléron, le Fort Louvois est un site incontournable du bassin de Marennes. Imaginé par Vauban, il est le petit frère du Fort Boyard ! Visitez le donjon, la caserne, la halle aux vivres, la poudrière, le corps de garde… Découvrez son architecture unique et laissez-vous conter son histoire. Une visite insolite pour tout public.
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papillondusublime · 1 month ago
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Je n'étais qu'une enfant (poésie écrite à l'occasion de la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation) Je n'étais qu'une enfant quand ils m’ont dérobé La lueur dans mes yeux. L’ombre m'a enrobée. Vous, hommes habitant les terres canadiennes, Sachez qu'auparavant elles étaient les miennes! Pensez à mon peuple quand le sol québécois Taché de notre sang vous offre blé et bois. Vous parlez du bonheur d'antan et moi j'entends Un chant du cygne dans mon cœur indépendant. Dans l'école résidentielle, on m’a coupée De culture et tribu. L’Histoire est leur épée. Ils m’ont dit: « Obéis et tu iras au ciel! » Avec mes cheveux longs, ils m’ont coupé les ailes. Mes camarades aux deux esprits, malaimés, Dans un placard obscur ils les ont enfermés. Ils aiment leur prochain, leurs prochaines victimes, Ces « chrétiens » dont le Christ est à tort éponyme. Occidentaux, partez! Ne versez pas de larmes En baissant le regard et les bras, pas les armes. Mes sœurs sur la route seize, Joyce Echaquan Et mes ancêtres dans leur tombe vous condamnent. Le racisme et l'injustice, main dans la main, Aiguisent leur lame aux marées hautes sans frein. En toussant, est craché mon pus comme mes frères Par les blancs, écume croyant boire la mer. Ce pays plongé dans l’ordre et loi du silence, Je n’ai que l’oreille du gouffre des souffrances. Sans connaître ma langue, est étouffée ma voix; Sans pow-wow, je prie mais en la vie seule ai foi.
Mort, ne me retiens plus! Moi, je garde en mémoire Que je suis née pour la lutte, pour la victoire. Ma nation est une armée de survivants N’abandonnant ni ses enfants, ni ses parents. Ma mère, guerrière, est brave et réconforte. Devant elle, quelle Amazone est assez forte? Agile comme un cerf, rusée comme un renard, Puissante comme un ours, la chasse est son grand art. Sur mon père noyant dans l'alcool son chagrin Se posera, telle la rosée du matin, Un nouvel avenir. Quoi, il pleuvra des cordes? C’est pour qu’aigle et tortue y grimpent sans discorde. Des cordes, des planches... Combien en faut-il pour Construire un pont vers le pardon et vrai amour? Le soleil d’un totem se lèvera un jour Sur tous, qu’ils turluttent ou frappent un tambour. Alors, nos corps et cœurs dansant au même rythme, Dans le cercle sacré se rejoindront nos rites. Nous partagerons le calumet de la paix, Québécois d’icitte et d’ailleurs, dans le respect.
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coolvieilledentelle · 1 year ago
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Raconte-moi la mer, dis-moi le goût des algues Et le bleu et le vert qui dansent sur les vagues
La mer c'est l'impossible, c'est le rivage heureux C'est le matin paisible quand on ouvre les yeux C'est la porte du large ouverte à deux battants C'est la tête en voyage vers d'autres continents C'est voler comme Icare au-devant du soleil En fermant sa mémoire à ce monde cruel La mer c'est le désir de ce pays d'amour Qu'il faudra découvrir avant la fin du jour
Raconte-moi la mer, dis-moi ses aubes pâles Et le bleu et le vert où tombent des étoiles
La mer c'est l'innocence du paradis perdu Le jardin de l'enfance où rien ne chante plus C'est l'écume et le sable, toujours recommencés Et la vie est semblable au rythme des marées C'est l'infinie détresse des choses qui s'en vont C'est tout ce qui nous laisse à la morte saison La mer c'est le regret de ce pays d'amour Que l'on cherche toujours et qu'on n'atteint jamais
Raconte-moi la mer, dis-moi le goût des algues Et le bleu et le vert qui dansent sur les vagues.
Jean Ferrat
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aurevoirmonty · 1 year ago
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"Le rythme s'accélère, le cercle de la "civilisation" occidentale menace de se refermer. Il existe trois attitudes possibles face à cela. Soit se retirer, ériger des barrières, laisser ces déviants et traîtres à eux-mêmes ; briser les ponts - avant que les "fils de Muspell" n'y pensent - pour empêcher leurs contagions d'atteindre nos coins les plus reculés. Soit attendre la solution, accélérer le rythme du "progrès", attendre la fin, ou, si ce n'est pas suffisant, aller jusqu'à la provoquer, de sorte que le terrain soit prêt pour la montée immédiate du nouvel arbre. Soit s'unir, en attendant, en appelant à la conscience et à la révolte, en s'opposant patiemment, opiniâtrement, impitoyablement, d'une part avec une force destructrice, d'autre part avec une force créatrice, contre la marée qui menace d'engloutir les parties encore saines de l'Europe."
Julius Evola, Impérialisme païen
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onceupontimebrl · 6 months ago
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Les montagnes je les aimes,
Toile de fond de mon enfance,
Horizon barant le ciel annecien,
Terrain de jeux de nos après-midi.
J'aime leur immensité qui rappelle et quel point on est rien,
Là où la trace de l'humain s'estompe,
Ne laissant que cailloux et végétaux,
Façonnés par les années.
J'aime attendre à chaque fois la saison suivante,
Pleine de promesses et de nouveaux paysages,
Qui ne demandent qu'à être traversés.
On est là où chacun sait que,
Qui joue trop finira bien par perdre un jour,
Et où plus qu'ailleurs,
On part ensemble,
On rentre ensemble.
Mais hier on m'a demandé là où je me sentais le mieux,
Et j'ai rien pu dire d'autre que l'océan.
L'océan que j'effleure à peine de la rive,
Le temps des vacances.
Qui me berce au rythme de ses marées,
et des vagues qui se brisent sur la côte.
Ça m'appelle et m'apaise à la fois.
Je crois que de tout ce qu'on s'est dit hier,
C'est pour cet échange là,
Que je veux te revoir.
Car ce sentiment,
On le partage,
Ensemble.
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rageinthesky · 1 year ago
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BLURRYFACES - rpg city sombre
tw du forum : disparitions annuelles, clivage social.
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BLURRYFACES ≡
-things we lost in the waves-
BLURRYFACES est un forum city sombre se déroulant à Blurrydale, ville fictive située dans la région de Cape Cod, Massachusetts (USA).
≡ contexte (extrait) • à la pointe de cape cod, cette bourgade côtière à deux heures de boston a été le lieu d'accostage des pilgrim fathers, premiers colons européens en amérique, marqué par un célèbre monument. au fil des siècles, blurrydale est devenue une station balnéaire qui vibre au rythme du tourisme, accueillant jusqu’à 60 000 visiteurs en période estivale. pourtant, l’hiver venu, c’est un tout autre visage de la ville qui se dévoile. le quartier bordant la côte nord, ayant abrité historiquement les baleiniers dont le commerce a fait prospérer la ville, a été dévasté par un raz-de-marée il y a quatre-vingts ans. si ce drame reste autant ancré dans les mémoires, c’est que chaque année, à la date anniversaire, un·e jeune habitant·e de blurrydale disparaît sans laisser de traces (...).
≡ good to know • contexte évolutif • une réponse rp par mois • min. 300 mots demandés • faceclaims réels (écart 5 ans) • inclusivité et respect des tw.
≡ lien du forum:
Rejoignez-nous et prenez part à l'aventure ! 🌊
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les-faits-plumes · 1 year ago
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Les temps eaux
loin d’êtres éteintes j’ai mis les moteurs en marche le jour Geai est enfin arrivé le vaisseau est fonction ailes loin du temps ma prairie flottante m’emportera loin des marées cages qui donnent le rythme de ces jours nés oubliant le tempo des eaux dormantes © Les faits Plumes
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francoise-larouge · 1 year ago
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Derniers exemplaires sont en vente à 30 euros plus transport
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mysadecstasy · 2 years ago
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C’est une errance. Une pluie de questions sans réponse au cœur d’un désert sans horizon. Je n’aime pas raconter des histoires. Je préfère la peinture, les couleurs et le mouvement, la musique et la chair. Je préfère que ça transpire et ne m��ne nulle part. Je veux décrire le sang et la brillance de ton regard. Décrire les ventres noués et les attentes insolubles sous le porche mitraillé par une pluie drue dans la nuit enchevêtrée de lumières blêmes. Je veux embrasser le ciel, je n’ai rien à dire je ne sais que ressentir.
C’est une errance, une déviance, un va et vient de l’âme, une dévotion à l’Éternel. Une errance douce amère sur les eaux saumâtres des fleuves qui meurent en mer. Qui se répandent et se désagrègent dans l’infinie pureté de l’océan. Vague après vague, en combien de temps une goutte parcourt elle les océans ? Errance sous les falaises laiteuses comme ta peau, marcher le long de la grève entre les bateaux échoués à marée basse. Mouettes rieuses et galets blancs. Marcher et revenir. Le retour paraît toujours plus court. La découverte rallonge le temps. Sous les falaises coiffées d’herbe grasse. Soleil couchant par delà les vagues écumeuses. Blanches comme un linceul.
C’est une errance, éternel recommencement, ta main dans la mienne nous allons boire du vin dans une petite auberge de briques rouges. Un grand magnolia en fleur sur nos têtes égarées. Le temps arrêté. Je te bois, je me perds en songe dans tes yeux hurlants. Seule nourriture ou presque. Admirer ton existence et accueillir ton étreinte comme une bénédiction. Chaque soir, dans le noir qui m’effraie tant, tes doigts pianotent sur mon dos. C’est la dernière extase.
C’est une errance, le vrai voyage. Ne se fixer que très peu de points de repères, avancer avec son cœur, ne pas trop spéculer sur les voies impénétrables. Être humble. Ne pas s’éparpiller en rêves mais embrasser l’instant comme une félicité. Et repartir nu, les poches vides, l’amour à sec, le cœur essoré, tout donner et encore plus. Telle est la mélodie de mon cœur écharpé. Toujours battant. Qui n’attend rien mais déguste la vie par petits bouts. Note après note jusqu’au final enragé. Après la grande escalade c’est un soleil rougeoyant comme les enfers qui nous éblouit. Sur ta peau rosée par l’effort il scintille de mille feux. Nous le regardons se noyer derrière les montagnes voluptueuses au loin. Lumière dorée, reflets majestueux, sur une traîne de nuage s’imprime un rose angélique. La nuit enserre la lumière il faut se hâter. Tes pas dans mes pas. L’émerveillement intouchable. À la nuit tombée les étoiles s’allument une à une. Nous n’avons pas compté le temps.
C’est une errance, un émerveillement de chaque instant. Tout doit aller plus vite. À cette époque du tout maintenant et tout de suite, les plus belles choses gardent leur pureté virginale. L’amour se construit lentement, pierre par pierre on bâtit sa pyramide. La nature va toujours au même rythme et les jours n’ont pas rallongé. Vouloir aller trop vite c’est oublier le bonheur et le plaisir qu’offre le fait de surmonter difficultés et souffrance, travail et échecs. L’expérience ne s’achète pas et c’est elle qui nous façonne. C’est elle qui nous façonne dans notre touchante balbutiante errance. Ne pas savoir quel chemin prendre est un don du ciel. Avoir le droit de se tromper est une chance. Et on ne peut rien réussir d’autre que de voir sourire ceux qu’on aime.
Ta main dans la mienne sous la voûte criblée du ciel. J’erre encore. J’errerai toujours dans ce labyrinthe schizophrénique. Entre horreurs et merveilles. Silence glaçant quand la musique s’arrête. Plaisir indicible quand sous un soleil cinglant je plonge mon corps entier dans des fontaines de marbre. Dans une torpeur soudaine mille souvenirs m’envahissent. Les odeurs, les textures remontent à mon âme. On pourra tout me voler sauf mes souvenirs et mon désir d’abandon à l’instant présent. Mi acteur, mi marionnette, qu’est-ce que le libre arbitre ? Sans penser je vogue sur un bout de bois sur la mer infinie des possibles. Je vogue le sourire aux lèvres jusqu’à l’inéluctable noyade.
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infinitesofnought · 2 years ago
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Comme je descendais des Fleuves impassibles, Je ne me sentis plus guidé par les haleurs : Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs. J'étais insoucieux de tous les équipages, Porteur de blés flamands ou de cotons anglais. Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages Les Fleuves m'ont laissé descendre où je voulais. Dans les clapotements furieux des marées Moi l'autre hiver plus sourd que les cerveaux d'enfants, Je courus ! Et les Péninsules démarrées N'ont pas subi tohu-bohus plus triomphants. La tempête a béni mes éveils maritimes. Plus léger qu'un bouchon j'ai dansé sur les flots Qu'on appelle rouleurs éternels de victimes, Dix nuits, sans regretter l'oeil niais des falots ! Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sures, L'eau verte pénétra ma coque de sapin Et des taches de vins bleus et des vomissures Me lava, dispersant gouvernail et grappin Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème De la Mer, infusé d'astres, et lactescent, Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blême Et ravie, un noyé pensif parfois descend ; Où, teignant tout à coup les bleuités, délires Et rythmes lents sous les rutilements du jour, Plus fortes que l'alcool, plus vastes que nos lyres, Fermentent les rousseurs amères de l'amour ! Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes Et les ressacs et les courants : Je sais le soir, L'aube exaltée ainsi qu'un peuple de colombes, Et j'ai vu quelque fois ce que l'homme a cru voir ! J'ai vu le soleil bas, taché d'horreurs mystiques, Illuminant de longs figements violets, Pareils à des acteurs de drames très-antiques Les flots roulant au loin leurs frissons de volets ! J'ai rêvé la nuit verte aux neiges éblouies, Baiser montant aux yeux des mers avec lenteurs, La circulation des sèves inouïes, Et l'éveil jaune et bleu des phosphores chanteurs ! J'ai suivi, des mois pleins, pareille aux vacheries Hystériques, la houle à l'assaut des récifs, Sans songer que les pieds lumineux des Maries Pussent forcer le mufle aux Océans poussifs ! J'ai heurté, savez-vous, d'incroyables Florides Mêlant aux fleurs des yeux de panthères à peaux D'hommes ! Des arcs-en-ciel tendus comme des brides Sous l'horizon des mers, à de glauques troupeaux ! J'ai vu fermenter les marais énormes, nasses Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan ! Des écroulement d'eau au milieu des bonaces, Et les lointains vers les gouffres cataractant ! Glaciers, soleils d'argent, flots nacreux, cieux de braises ! Échouages hideux au fond des golfes bruns Où les serpents géants dévorés de punaises Choient, des arbres tordus, avec de noirs parfums ! J'aurais voulu montrer aux enfants ces dorades Du flot bleu, ces poissons d'or, ces poissons chantants. - Des écumes de fleurs ont bercé mes dérades Et d'ineffables vents m'ont ailé par instants. Parfois, martyr lassé des pôles et des zones, La mer dont le sanglot faisait mon roulis doux Montait vers moi ses fleurs d'ombre aux ventouses jaunes Et je restais, ainsi qu'une femme à genoux... Presque île, balottant sur mes bords les querelles Et les fientes d'oiseaux clabaudeurs aux yeux blonds Et je voguais, lorsqu'à travers mes liens frêles Des noyés descendaient dormir, à reculons ! Or moi, bateau perdu sous les cheveux des anses, Jeté par l'ouragan dans l'éther sans oiseau, Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses N'auraient pas repêché la carcasse ivre d'eau ; Libre, fumant, monté de brumes violettes, Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur Qui porte, confiture exquise aux bons poètes, Des lichens de soleil et des morves d'azur, Qui courais, taché de lunules électriques, Planche folle, escorté des hippocampes noirs, Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques Les cieux ultramarins aux ardents entonnoirs ; Moi qui tremblais, sentant geindre à cinquante lieues Le rut des Béhémots et les Maelstroms épais, Fileur éternel des immobilités bleues, Je regrette l'Europe aux anciens parapets !
J'ai vu des archipels sidéraux ! et des îles Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur : - Est-ce en ces nuits sans fond que tu dors et t'exiles, Million d'oiseaux d'or, ô future Vigueur ? -
Mais, vrai, j'ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes. Toute lune est atroce et tout soleil amer : L'âcre amour m'a gonflé de torpeurs enivrantes. Ô que ma quille éclate ! Ô que j'aille à la mer !
Si je désire une eau d'Europe, c'est la flache Noire et froide où vers le crépuscule embaumé Un enfant accroupi plein de tristesses, lâche Un bateau frêle comme un papillon de mai.
Je ne puis plus, baigné de vos langueurs, ô lames, Enlever leur sillage aux porteurs de cotons, Ni traverser l'orgueil des drapeaux et des flammes, Ni nager sous les yeux horribles des pontons.
– Arthur Rimbaud, "Le Bateau ivre"
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mysteriis-moon666 · 1 month ago
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CRYSTAL VIPER - The Silver Key
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Depuis 2003 le groupe Polonais Crystal Viper emmené par la frontmwoman Marta Gabriel (Basse, guitares, piano, chant, paroles, composition), fonce au service du heavy metal, composé aujourd’hui de Lukasz Halczuch Guitares (lead, rythmique), écriture de chansons (pistes 2, 4), Éric Juris Guitares (lead, rythmique) et de Galwas de Kuba (Batterie, percussions).
« The Silver Key » via Listenable Records est leur 9ème album studio débutant avec une intro « Return To Providence » synthétisée dans la veine des B.O de John Carpenter, l’opus délivre un heavy/power metal d’inspiration NWOBHM, alternant les effets de tempo afin d’apporter une atmosphère différente sur chaque titre. Les solos en mode shredding de la paire Eric Juris/Andy Wave apportent et transportent avec une technicité et fluidité approfondissant les effets des lignes mélodiques en power metal et des accélérations de speed metal puissantes. Les soubassements en heavy lourd et offensif typés la vierge de fer demeurent la pierre philosophale et filiation du groupe. Le groupe vient parfois mettre des pincées de death et de black pour varier les plaisirs et augmenter sa ligne de front. Ça fonctionne vraiment bien tant l’équilibre trouvé performe. Cette belle dynamique emporte tout sur son passage. Le chant de Marta propage cette veine épique Heavy/power que ne renierait pas le dernier chasseur de Dragon Ronnie James Dio, et vers les contes d'HP Lovecraft. Ce chant personnalise le son des malédictions et les cris rauques qui sortent du delta des enfers. Cette voix a traversé les siècles et se propage en résonance éternelle comme le battement du cœur du désert.
Le disque nous fait regagner vers ces points de mémoires où nous revenons pour renaître à chaque fois par de puissantes marées. De sa peau nacrée des parfums jaillissent comme des épées. Chaque titre apporte son souffle et le rythme de son sang.
En traitant les possibilités comme des probabilités Crystal Viper a pris un virage avec la même flamboyance que les Canadiens d’Unleash The Archers, d’ailleurs le titre « The Silver Keys » en est le synonyme, et son solo céleste voilà ce qui peut faire de cette terre un jardin. Le groupe a une très bonne stature pour conter et donner vie et corps à toute sa musique.
« Wayfaring Dreamer » est une ballade au piano comme un bal des abysses, où la danse vous noie dans son alcôve orageuse avec la poursuite après vers d'autres titres plus heavy, et le final pour les covers de « Gods Of Thunder Of Wind And Of Rain » (Bathory) et « Scream ! » (Misfits et Glen Danzig).
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colloque---sentimental · 2 months ago
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je suis né d’une erreur du vent et de la mer
c’est pourquoi j’ai vécu au rythme des marées
entre les hommes et dieu je n’ai pas pu choisir
poisson-lune égaré sur un trottoir vitreux
je n’ai fait que passer sans pouvoir respirer
un enfant replié s’est pris dans ma mémoire
qui m’empêche d’atteindre au pays d’où je viens
quand trouverai-je enfin de quoi crever mes yeux
sur le plancher glissant d’une barque fantôme
si je viens à mourir qu’on me jette à la mer
dans l’aube bleue des sables je trouverai ma route
j’arriverai enfin à cette grande fête
où mon corps fait surface à l’intérieur du sel
Tristan Cabral
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zehub · 6 months ago
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Les marées sont en train de perdre leur rythme, et c'est une mauvaise nouvelle
Les marées font partie de ces rares choses de la nature qui sont extrêmement prévisibles. Qui l’étaient, tout du moins. Parce qu’un nouvel élément semble venir perturber ce cycle bien établi
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japonais-shop · 6 months ago
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referenceshoteliers-blog · 6 months ago
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1voyance · 9 months ago
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La Pleine Lune de Février 2024: Résonances et Révélations Zodiacales
La Pleine Lune, cet astre énigmatique qui rythme les marées de notre existence, prévoit de dévoiler ses mystères sous le manteau de la "Lune des Neiges" le 24 février 2024. Un spectacle céleste qui promet d’être aussi captivant qu’influent, particulièrement pour les signes du Lion et de la Vierge. Cet événement lunaire, baigné dans la lumière argentée de l’hiver, invite à une introspection…
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