#le quartanier
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Le jeudi 20 juin, joignez-vous à nous pour célébrer la parution des deux plus récentes œuvres de Jacob Wren, RICHES ET PAUVRES et LA JOIE CRIMINELLE DES PIRATES, traduits de l’anglais (Canada) par Christophe Bernard.
Plus d'informations ici: https://www.facebook.com/events/7405869036189772
Nous en profiterons pour souligner la sortie en poche de nos titres du printemps dans la collection Écho : MILLE SECRETS MILLE DANGERS d’Alain Farah, TESTAMENT et DRAMA QUEENS de Vickie Gendreau, JARDIN RADIO de Charlotte Biron, ORNITHOLOGIE de M.K. Blais, et MARCHE À VOIX BASSE de Nelly Desmarais.
Des rafraîchissements seront servis. Au plaisir de vous revoir et de trinquer avec vous!
Portrait de Jacob Wren : Justine Latour © Le Quartanier
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La version que tout le monde devrait s’intéressé!
Emmanuelle Pierrot.
La version qui n’intéresse personne. 358 pages.
Le Quartanier.
La version qui n’intéresse personne, c’est l’histoire inouïe et cruelle d’une victime imparfaite qui, comme si c’tait tout naturel, deviendra l’accusée. C’est le cri d’impuissance et de rage qu’elle adresse à celles et ceux qu’elle voyait comme son unique famille, afin que son humanité lui soit rendue. C’est son ultime tentative d’être comprise, crue, aimée. Avec ce premier roman déchirant et subversif, Emmanuelle Pierrot porte un regard radicalement lucide sur les forces qui poussent les groupes d’humains à commettre des actes terribles en restant convaincus d’exercer la justice.
Mon avis :
J’aime adorer cette lecture, parfois assez dark, surtout la relation entre les personnages. Le roman est en deux parties. La première est la compréhension des personnages, les situations et les relations qu’ils ont les uns envers les autres. Tout en étant dans la tête du personnage principale. J’avais l’impression de lire un journal intime parfois. La deuxième partie, c’est là où je suis restée sans voix. Que tout ce temps, ce que la fille principale vivait dans la première partie, ce n’est pas si léger. Elle vivait des trucs et encaissait des coups que personne ne devrait ressentir. Elle s’est fait mettre de côté par des proches qu’elle considérait comme de la famille. L’histoire est assez intense par moment que je devais prendre des respirations par moment. Demandez de l’aide dès que vous vous sentez prête!
Avez-vous lu ce roman?
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Le zeugme du dimanche matin et de William S. Messier
«Les semaines qui pr��cèdent l’opération, je pars souvent seul après l’école avec rien d’autre que mon Discman et ma mauvaise humeur. Je marche longtemps. Je tente de chasser des pensées obsédantes : toutes les façons dont j’aurais pu mourir.» William S. Messier, le Miraculé. Récit, Montréal, Le Quartanier, série «QR», 187, 2024, 162 p., p. 111. (Une définition du zeugme ? Par là.)
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#fiction#fiction québécoise#figure de style#français#langue#langue française#littérature#littérature québécoise#québec#récit#récit québécois#rhétorique#style#trope#zeugma#zeugme
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A Thousand Secrets, A Thousand Dangers wins the Club des Irresistibles prize
Alain Farah’s novel A thousand secrets, a thousand dangers won this Thursday the price of the Club of the irresistible of the libraries of Montreal. Posted at 12:00 p.m. The 108 members of the jury chose the work published in 2021 by Le Quartanier (and which received the Governor General’s Literary Prize last fall) after a very tight fight, according to Marie-Anne Poggi, the instigator of the…
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Jour encore, nuit à nouveau, Tristan Saule (Le Quartanier) - Aurélie et Yann
Une trilogie à découvrir
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“(...) I write a book to send off the notion of mourning, a book to say that the dead remain with us and it’s despicable to put them in a place where they won’t disturb us anymore, refusing to admit that they are here and that it isn’t for us to decide when they should visit us.”
— Mathieu Arsenault, La Morte, 2020.
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«L’évasion d’Arthur ou la commune d’Hochelaga» est le premier roman de Simon Leduc, jeune auteur originaire de la Rive-Sud de Montréal. On peut lire en quatrième de couverture: «c’est des enfants, des poqués, des anars, des malades, qui prennent leur vie en main et exigent l’impossible; c’est le roman comique d’un écrivain à l’esprit contestataire et à l’optimisme radical». Si ça vous semble beaucoup, c’est que ça l’est! Il y a beaucoup de personnages, beaucoup de voix aussi: parfois on entend celle du petit Arthur, 10 ans, parfois celle de Styve, un petit bum, une fois celle d’une chauffeuse d’autobus et souvent celle du narrateur qui raconte les histoires d’un dandy schizophrène, d’un policier désabusé ou d’une mère exténuée. Dans la commune d’Hochelaga, tout le monde veut changer le monde. Et c’est ce qui est beau dans ce roman: la fureur de vivre de chacun des personnages. J’ai aimé, j’ai souri (ça devient un peu surréaliste par moments) mais je reproche peut-être à l’auteur d’avoir voulu en faire un peu trop... Tout de même une belle découverte 💜
6/10/19
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Dans le 9ème, jour 10...
En ce 10ème jour de confinement, le 9ème est confronté à une nouvelle crise sanitaire. Ce matin, cloué à notre porte, un décret officiel de la mairie, nous fait part d’une épidémie de gastro fulgurante. Dans quel monde vivons-nous? Le PQ est désormais rationné. Des tickets nous serons distribués et les stocks ont été confisqué à la mairie. Je trouve cela choquant que nos dirigeants nous infantilisent à ce point.
Malgré cette nouvelle, je suis en joie... Il n’y a plus aucune boite de Chloroquine dans mon panier ce matin.
Ma rue est calme et silencieuse. Ça fait du bien.
En récupérant mon panier, je n'ai pu m’empêcher de lever la tête vers la fenêtre de la voisine d’en face. Hier, elle n’était pas à l’appel de 20h. Sa fenêtre est restée désespérément close. Quelques lumières bleutées flottaient de ça et là au travers du fin voile de ses rideaux, prouvant un léger signe de vie. Mais nous ne sommes plus dupes. Le regard de mon voisin, au constat de cette absence, fut plus éloquent que n’importe quel discours. Oui maintenant, nous savons.
Grâce à mon réseau d’écoute, d’une efficacité sans pareil, j’ai pu me rendre compte que nous n’étions pas seuls à avoir noté cette absence. Ma voisine a doublé ses séances de sport, faisant trembler de sa rage, les murs de mon appartement. Dimanche, j’avais peur de plus avoir de toit, aujourd’hui je ne suis pas sûre d’avoir un plafond d’ici la fin du confinement.
L’autre sujet en tendance est la réforme du Code du Travail... Je n’avais pas vu autant de radicaux de gauche depuis mes années facs... Mais arrêtons nous là! Il serait dangereux pour moi d’aborder ce sujet pour le moment.
Le Kebab n’ouvre plus que le soir. Je soupçonne une entente entre le dealer et le proprio pour qu’il se fixe sur ses plages horaires. Quelle décadence ces jeunes! Aucune volonté, aucun esprit d’entreprenariat! J’ai mal à ma France.
J’ai reçu un appel du front ardéchois. Les nouvelles sont mauvaises. En effet, la Fermeture précipitée de la chasse a donnée aux sangliers l’opportunité de se structurer. Il semblerait que des traces d’une nouvelle ville soient apparues sur le plateau du Coiron. De plus, un poste frontière à vu le jour au niveau de la côte du pin. Nous sommes sans nouvelle des villes de Lamastre, Grozon et Alboussière. La préfecture chercherait activement un interprète, car le dernier en date ne donne plus signe de vie.
“C’est la guerre.”
Ma grand mère m’a soufflé ces mots dans un murmure, la voix chevrotante. Un silence a suivi. Elle s’est ensuite raclée la gorge et m’a informée de sa décision. Lasse de l’inaction de l’Etat, elle et ses amis du club du troisième âge, ont fondé la première cellule de résistance ardéchoise. Je suis fière d’elle et ne peux m’empêcher de penser que nous avons beaucoup à apprendre des petits villages français... Grâce à leurs réseaux, de nouveaux volontaires arrivent chaque jours et de plus en plus nombreux.
Du haut de ses 93 ans, elle se lèvera chaque jour pour former par Skype, cette nouvelle génération prête à lutter contre l’envahisseur quartanier. Mais comme elle me le rappelle si bien: la liberté n’a pas de prix.
Moi qui me pensais génie hier, je me trouve si petite face elle qui porte sur ses frêles épaules l’avenir tout entier de l’Ardèche.
L’Ardèche vit, l’Ardèche Vaincra!
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#littérature québécoise#littérature générale#le quartanier#mathieu arsenault#la vie littéraire#compte rendu
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Le Plongeur Stéphane Larue 2016, Le Quartanier, 568 pages
ISBN-10: 2896982728 ISBN-13: 978-2896982721
Nous sommes à Montréal au début de l’hiver 2002. Le narrateur n’a pas vingt ans. Il aime Clive Barker et Lovecraft, le métal, les comic books et les romans de science-fiction des années soixante et soixante-dix que lui prête son père. Étudiant en graphisme, il dessine depuis toujours et veut devenir bédéiste et illustrateur, comme ses idoles Moebius et Tibor Csernus. Mais depuis des mois, il évite ses amis, ment, s’endette, aspiré dans une spirale qui menace d’engouffrer sa vie entière : c’est un joueur. Il joue aux loteries vidéo et tout son argent y passe, de même que celui qu’il emprunte à sa copine Marie-Lou et à son cousin Malik. L’hiver installé, il se retrouve à bout de ressources, sans appartement.Il devient plongeur au restaurant La Trattoria, projeté dans un rush dès le premier soir. Le cuisinier qui l’accueille et lui donne son training accéléré, c’est Bébert, ogre infatigable au bagou de rappeur, encore jeune à vingt-cinq ans mais qui a travaillé partout, déjà usé par l’alcool et le speed. Pendant un mois et demi, ils enchaîneront ensemble les shifts de soir et les doubles, et Bébert tiendra auprès du plongeur le rôle de mentor malgré lui et de flamboyant Virgile de la nuit. On découvre ainsi le train survolté d’un restaurant à l’approche des fêtes et sa galerie mouvante de personnages, propriétaire, chef, sous-chefs, cuisiniers, maîtres d’hôtel, serveuses, busboys et suiteurs.Si certains d’entre eux semblent plus grands que nature, tous sont dépeints au plus près des us du métier, avec une rare justesse. C’est en leur bruyante compagnie que, débordé de toutes parts, le plongeur tente de juguler son obsession pour les machines de vidéopoker, traversant les cercles d’une saison chaotique rythmée par les rush, les luttes de pouvoir et les décisions néfastes. Œuvre de nuit qui brille des ors illusoires du jeu, Le plongeur raconte un monde où chacun dépend des autres pour le meilleur et pour le pire. Roman d’apprentissage et roman noir, poème sur l’addiction et chronique saisissante d’une cuisine vue de l’intérieur, Le plongeur est un magnifique coup d’envoi, à l’hyperréalisme documentaire, aussi héritier du Joueur de Dostoïevski, de L’homme au bras d’or de Nelson Algren et du premier récit d’Orwell, celui d’un plongeur dans le Paris des années vingt.
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Dépendance difficile.
Stéphane Larue.
Le plongeur. 568 pages.
Le Quartanier Édition.
Nous sommes à Montréal au début de l’hiver 2002. Le narrateur n’a pas vingt ans. Il aime Lovecraft, le métal, les comic books et la science-fiction. Étudiant en graphisme, il dessine depuis toujours et veut devenir bédéiste et illustrateur. Mais depuis des mois, il évite ses amis, ment, s’endette, aspiré dans une spirale qui menace d’engouffrer sa vie entière; c’est un joueur. Il joue aux loteries vidéo et tout son argent y passe. Il se retrouve à bout de ressources, isolé, sans appartement. C’est à ce moment qu’il devient plongeur au restaurant La Trattoria, où il se liera d’amitié avec Bébert, un cuisinier expérimenté, ogre infatigable au bagou de rappeur, encore jeune mais déjà usé par l’alcool et le speed. Pendant un mois et demi, ils enchaîneront ensemble les shifts de soir et les doubles, et Bébert tiendra auprès du plongeur le rôle de mentor malgré lui et de flamboyant Virgile de la nuit. On découvre ainsi le train survolté d’un restaurant à l’approche des fêtes et sa galerie mouvante de personnages : propriétaire, chef, sous-chefs, cuisiniers, serveurs, barmaids et busboys. Si certains d’entre eux semblent plus grands que nature, tous sont dépeints au plus près des usages du métier, avec une rare justesse. C’est en leur compagnie que le plongeur tente de juguler son obsession pour les machines de vidéopoker, traversant les cercles d’une saison chaotique rythmée par les rushs, les luttes de pouvoir et les décisions néfastes.
Mon avis :
Un roman où l’on suit le narrateur dans une chute en enfer de sa dépendance aux machines à sous et à l’argent. Par moment, je me disais « ne va pas là, non! » C’est tellement insidieux, car on le suit quasi quotidiennement, donc on se rend compte à un moment que ça ne va vraiment pas bien. Il emprunte à tout son entourage, sans nécessairement leur remettre l’argent. Sa famille ne voit rien du tout, car il le voit rarement. Quand sa famille le voit, tout va bien. Bref, la chance était présente pour lui, car un ami s’en ai rendu compte pour l’aider avant que tout bascule. Soyez vigilent, personne n’est à l’abri de dépendance.
L’avez-vous lu?
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Accouplements 230
(Accouplements : une rubrique où l’Oreille tendue s’amuse à mettre en vis-à-vis deux œuvres, ou plus, d’horizons éloignés.) Dans le roman les Déliaisons, de Martin Robitaille (Montréal, Québec Amérique, coll. «Littérature d’Amérique», 2008, 240 p.), le narrateur travaille brièvement à la revue Parallaxe. Dans le Roman d’Isoline, de David Turgeon (Montréal, Le Quartanier, «série QR», 186, 2024,…
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Irresistible Club Prize | The five finalists are revealed
Irresistible Club Prize | The five finalists are revealed
The Irresistibles Club of Montreal Libraries unveiled this Thursday the finalists of the 15e edition of its annual award. Posted at 12:00 p.m. The five titles selected are A thousand secrets, a thousand dangersby Alain Farah (Le Quartanier), The Villages of Godby Emmelie Prophet (Inkwell Memory), The girl with the braidby Françoise de Luca (leaf merchant), Blizzardby Marie Vingtras (Éditions de…
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Fraîchement paru au Quartanier, au Québec : Rochery et Savage dans le même livre ! Deux déchanteurs pink pour le prix d'un, c'est pas beau ça ?
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Le modèle de Nice Nouveau roman d’un ami écrivain qui a eu le plaisir d’obtenir de belles critiques dans Le Devoir et La Presse lors du lancement de son dernier livre chez Le Quartanier. Je vous laisse le plaisir de découvrir son imaginaire littéraire entrecoupé de nombreuses incursions culturelles, ce dont il fait de bons usages. -- M.B. Décembre 2018
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