En vrai si le dernier porteur de flamme c'est l'homme au masque de fer c'est hilarant parce que c'est une ref incroyable et le mystère ultime de l'histoire française et on valide fort
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🇫🇷 Il y a 317 ans, le 19 novembre 1703 mourrait le prisonnier au masque de fer. Le mystère qui entoure son existence a fait de lui l’un des plus célèbres prisonniers de l’histoire de France.
🔎 C’est d’ailleurs à cette date que l’affaire de cet homme, dont nul ne connaît ni le nom ni le motif de son incarcération, débute. Voltaire lance la légende car il lui consacre une partie du chapitre XXV de son ouvrage “Le Siècle de Louis XIV”, qu’il publie en 1751.
🔒 De nombreuses hypothèses sont ressorties des fanatsmes de chacun, on a d’abord dit qu’il était le frère jumeau de Louis XIV, mais aussi Nicolas Fouquet ou un amant de la Reine.
Et vous qu’en pensez-vous ?
🌍 317 years ago, November 19, 1703 died the prisoner in the iron mask. The mystery surrounding his existence has made him one of the most famous prisoners in French history.
🔎 It was on this date that the case of this man, of whom no one knows the name or the reason for his imprisonment, begins. Voltaire launches the legend because he devotes part of chapter XXV of his work “Le Siècle de Louis XIV”, which he published in 1751 to it.
🔒 Many hypotheses emerged from everyone’s fanaticism, it was first said that he was the twin brother of Louis XIV, but also Nicolas Fouquet or a lover of the Queen.
And you what do you think ?
📷 Auteur anonyme, 1789.
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watchlist for 2020
2020 reading list
last updated 8.1.2020
I know there aren’t a lot of films directed by women or non-Western directors on this list, so if any of you have any recommendations I would love to hear them! I’m going to do some of my own research, but if you guys know any lesser known ones I’d love to add them to my list!
Faust (1926) dir. F. W. Murnau
Rebecca (1940) dir. Alfred Hitchcock
Rope (1948) dir. Alfred Hitchcock
Secret beyond the Door (1948) dir. Fritz Lang
Noita palaa elämään / The Witch (1952) dir. by Roland af Hällström
North by Northwest (1959) dir. Alfred Hitchcock
1960s
Et mourir de plaisir (1960) dir. Roger Vadim
Persona (1960) dir. Ingmar Bergman
The Pit and the Pendulum (1961) dir. Roger Corman
Cleo from 5 to 7 (1962) dir. Agnès Varda
I tre volti della paura / Black Sabbath (1963) dir. Mario Bava
Lilith (1964) dir. Robert Rossen
Vampirisme (1967) dir. Bernard Chaouat; Patrice Duvic
The Satanist (1968) dir. Zoltan G. Spencer
Le viol du vampire (1968) dir. Jean Rollin
1970s
Le frisson des vampires (1970) dir. Jean Rollin
The Vampire Doll (1970) dir. Michio Yamamoto
La rose écorchée / The Blood Rose (1970) dir. Claude Mulot
Ovoce stromu rajských jíme / Full of Paradise (1970) dir. Vera Chytilová
+Trzecia część nocy / The Third Part of the Night (1971) dir. Andrzej Żuławski
Les Lèvres Rouges / The Red Lips (1971) dir. Harry Kümel
Una lucertola con la pelle di donna / A Lizard in a Woman’s Skin (1971) dir. Lucio Fulci
Viskningar och Rop / Cries and Whispers (1972) dir. Ingmar Bergman
Diabeł (1972) dir. Andrzej Żuławski
La notte dei diavoli / Night of the Devils (1972) dir. Giorgio Ferroni
Ángeles y querubines / Angels and Cherubs (1972) dir. Rafael Corkidi
The Blood Spattered Bride (1972) dir. Vicente Aranda
La morte negli occhi del gatto / Seven Deaths in a Cat’s Eye (1973) dir. Antonio Margheriti
Cannibal Girls (1973) dir. Ivan Reitman
+Ganja & Hess (1973) dir. Bill Gun
La Rose de Fer / The Iron Rose (1973) dir. Jean Rollin
Lady Snowblood (1973) dir. Toshiya Fujita
+Messiah of Evil (1973) dir. Gloria Katz & Willard Huyck
Female Vampire (1973) dir. Jesús Franco
Thriller – en grym film / Thriller: A Cruel Picture (1973) dir. Bo Arne Vibenius
Bloody Murder / …la main à couper (1974) dir. Etienne Périer
+La Bête / The Beast (1975) dir. Walerian Borowczyk
Dzieje grzechu / The Story of Sin (1975) dir. Walerian Borowczyk
La Marge / The Stalker (1975) dir. Walerian Borowczyk
+Sebastiane (1975) dir. Derek Jarman
Profondo rosso / Deep Red (1975) dir. Dario Argento
+Salomé (1976) dir. Téo Harnadez
+Die Marquise von O… / The Maquis of O… (1976) dir. Éric Rohmer
The Witch Who Came from the Sea (1976) dir. Matt Cimber
The Uncanny (1977) dir. Denis Héroux
Death Bed: The Bed That Eats (1977) dir. George Barry
Portret (1977) dir. Stanisław Lenartowicz.
Escalofrío / Satan’s Blood (1978) dir. Carlos Puerto
+Nosferatu: Phantom der Nacht (1979) dir. Werner Herzog
Les Sœurs Brontë / The Brontë Sisters (1979) dir. André Téchiné
A Mulher Que Inventou o Amor / The Woman Who Invented Love (1979) dir. Jean Garrett
+Fascination (1979) dir. Jean Rollin
Les héroïnes du mal / Immoral Women (1979) dir. Walerian Borowczyk
1980s
Aus dem Leben der Marionetten / From the Life of the Marionettes (1980) dir. Ingmar Bergman
La Dame aux camélias / The Lady of the Camellias (1980) dir. Mauro Bolognini
Inferno (1980) dir. Dario Argento
La nuit des traquées / The Night of the Hunted (1980) dir. Jean Rollin
+Dressed to Kill (1980) dir. Brian de Palma
Docteur Jekyll et les femmes (1981) dir. Walerian Borowczyk
+Possession (1981) dir. Andrzej Żuławski
Blow Out (1981) dir. Brian de Palma
La morte vivante / The Living Dead Girl (1982) dir. Jean Rollin
Tenebre (1982) dir. Dario Argento
Lovely Devil (1982) dir. Nobuhiko Obayashi
Angst (1983) dir. Gerald Kargl
The Gold of Love (1983) dir. Eckhart Schmidt
The Legend of Suram Fortress (1984) Sergei Parajanov
Body Double (1984) dir. Brian de Palma
+Caravaggio (1986) dir. Derek Jarman
+Der Rosenkönig (1986) dir. Werner Schroeter
Sous le soleil de Satan / Under the Sun of Satan (1987) dir. Maurice Pialat
Vlčí bouda / Wolf’s Hole (1987) dir. Věra Chytilová
+Babette’s Feast (1987) dir.Gabriel Axel
Nekromantik (1987) dir. Jörg Buttgereit
1990s
Mirror Mirror (1990) dir. Marina Sargenti
+Malina (1991) dir. Werner Schroeter
Raising Cain (1992) dir. Brian de Palma
The Piano (1993) dir. Jane Campion
Little Death (1995) dir. Francois Ozon
A Casa (1997) dir. Šarūnas Bartas
2000s
The Cell (2000) dir. Tarsem Singh
Trouble Every Day (2001) dir. Claire Denis
Stages of Mourning (2004) dir. Sarah Pucill
Perfume: The Story Of A Murderer (2006) dir. Tom Tykwer
À l'intérieur (2007) dir. Alexandre Bustillo and Julien Maury
Barbe Bleue / Bluebeard (2009) dir. Catherine Breillat
Viola di Mare (2009) dir. Donatella Maiorca
Le masque de la Méduse (2009) dir. Jean Rollin
2010s
Phyllis (2010) dir. Zina Saro-Wiwa
Crime d’amour / Love Crime (2010) dir. Alain Corneau
Passion (2012) dir. Brian de Palma
Goodnight Mommy (2014) dir. Veronika Franz & Severin Fiala
Cosmos (2015) dir. Andrzej Żuławski
The Lure (2015) dir. Agnieszka Smoczynska
Evolution (2015) dir. Lucile Hadzihalilovic
+Raw (2016) dir. Julia Ducournau
+As Boas Maneiras / Good Manners (2017) dir. Marco Dutra & Juliana Rojas
+Portrait de la jeune fille en feu (2019) dir. Céline Sciamma
+Parasite (2019) dir. Bong Joon Ho
Darlin’ (2019) dir. Pollyanna Mcintosh
Brian De Palma’s Filmography
Jean Rollin’s filmography
Alfred Hitchcock’s filmography
Dario Argento’s filmography
finished
A Girl Walks Home Alone at Night (2014) dir. Ana Lily Amirpour
Red Dragon (2002) dir. Brett Ratner
Faust (2011) dir. Alexander Sokurov
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Nous sommes nombreux à ne l’avoir jamais visité. Il reste cependant le monument emblématique des catalans. Pour autant, rares sont ceux qui en connaissent véritablement son histoire… Franchissons-en ensemble la porte pour une immersion dans l’Histoire à la découverte de mystères….
Longueur 3 m largeur de 15m hauteur de 20 m, épaisseur des murs 3,5m
C’est en août 1368 que l’Infant Don Joan d’Aragon, fils aîné du Roi Pierre IV fait ériger un fortin (véritable petit-château : Castellet) la porte dite al portal del Vernet” voie de communication nord entre la ville et le faubourg.
Le Castillet (Photo La Gazette Catalane)
La légende
1475. Lors du siège de la ville par les troupes françaises, celles-ci capturent le capitaine de l’armée de Catalogne, fils du consul de Perpignan. Les Français menacent le Consul Joan Blanca (équivalent actuel du maire) d’exécuter son fils s’il n’ouvre pas les portes de la ville. Joan Blanca résiste et proclame : “ Je déclare que par dessus tout, je suis fidèle à mon roi et à ma patrie, la Catalogne, et je préfère la mort de mon seul fils, que la traîtrise”. et d’ajouter : ” Français , si vous avez besoin d’armes pour tuer mon fils, voici les miennes”. Les Français exécutent capitaine de l’armée de Catalogne au pied des murailles de Perpinyà. Pour avoir résisté à ce long et pénible siége, Joan II roi d’Aragon Comte de Barcelona, décerne le titre de “Fidelíssima Vila” à la ville de Perpinyà.
Espionner à l’intérieur sa population
1477. La ville est aux mains des troupes françaises. La population hostile donne des signes de soulèvement latent ; afin de la dissuader le roi de France, Louis XI réalise rapidement des travaux (de 1478 à 1479) Les objectifs ? Surveiller les extérieurs de la ville et surtout espionner à l’intérieur sa population. C’est ainsi que des meurtrières sont percées, davantage côtés ville que côtés extérieur ; l’escalier principal est surélevé chapeauté du lanterneau typique. Peine perdue ! Le 2 septembre 1493, par le traité de Narbonne, le roi de France Charles VIIIle transmet le Roussillon à l’Espagne.
En 1542, Charles Quint fait couvrir le Castillet au nord au moyen d’un bastion polygonal construit avec des matériaux provenant de la démolition de la Chapelle Notre-Dame du Pont face au Castillet.
Les catalans hostiles à l’hégémonie de la France
La statue de la Vierge nichée en façade date de 1864. (Photo La Gazette Catalane)
Cependant, à l’issue de la guerre de Trente Ans (1618-1648) est signé en 1659 le traité des Pyrénées, rattachant le Roussillon, le Vallespir, le Conflent, la moitié du comté de Cerdagne à la France. Les catalans hostiles à l’hégémonie de la France, se révoltèrent en vain ! A cette époque, le Castillet trouve sa vocation de prison où sont jetés, si possible torturés et voire assassinés de nombreux opposants. En 1697, le Castillet est déclaré prison d’Etat très pratique pour embastiller de très nombreux hommes et femmes lors des guerres de religion et sous la Révolution française. En 1888, si une partie conserve sa vocation de prison, l’autre devient “Foyer du Soldat”, un cercle de garnison. Le Castillet a failli disparaître lors de la démolition des remparts de Perpignan, mais fut sauvé de justesse par les Monuments historiques.
Découverte d’un squelette d’enfant
En 1948, lors de travaux les ouvriers découvrent un squelette d’enfant dans une pièce murée ! Un moment il a été évoqué le dauphin de Louis XVI (un 2°masque de fer corps de Louis XVII ? ) Même si des tests ADN effectués bien plus tard ont tordu le cou à la légende, on ne sait toujours pas qui est ce malheureux emmuré.
142 marches qui les mèneront jusqu’au donjon pour apprécier une vue panoramique sur Perpignan. n Un symbole vieux de 650 ans Construit en 1368 sous la domination aragonaise, en tant que porte principale de la ville, le Castillet est un des rares vestiges des anciens remparts de Perpignan.
Le Castillet possède en son sein le musée des arts et traditions populaires, la Casa Pairal. où est conservée la flamme du Canigou qui sert à allumer le brasier au sommet du Canigou, le soir de la St Jean.
Visites jusqu’au 31 Mai – Renseignement 04 68 35 42 05
Horaires : Ouvert du mardi au dimanche, de 11h à 17h30.
Le Castillet, la légende ! Nous sommes nombreux à ne l'avoir jamais visité. Il reste cependant le monument emblématique des catalans. Pour autant, rares sont ceux qui en connaissent véritablement son histoire...
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Emblème des catalans… 30 m de long, 15 m de large, 20 m de haut, 3,5m d’épaisseur, 142 marches jusqu’au donjon… Nous sommes nombreux à franchir sa porte sans ne l’avoir encore visité ? Dés lors, rares sont ceux qui en connaissent véritablement son histoire. Un mystère persiste toujours…
Longueur 3 m largeur de 15m hauteur de 20 m au niveau des terrasses, épaisseur des murs 3,5m
C’est en août 1368 que l’Infant Don Joan d’Aragon, fils aîné du Roi Pierre IV fait ériger un fortin (véritable petit-château : Castellet) la porte dite al portal del Vernet” voie de communication nord entre la ville et le faubourg.
Le Castillet (Photo La Gazette Catalane)
La légende
1475. Lors du siège de la ville par les troupes françaises, celles-ci capturent le capitaine de l’armée de Catalogne, fils du consul de Perpignan. Les Français menacent le Consul Joan Blanca (équivalent actuel du maire) d’exécuter son fils s’il n’ouvre pas les portes de la ville. Joan Blanca résiste et proclame : “ Je déclare que par dessus tout, je suis fidèle à mon roi et à ma patrie, la Catalogne, et je préfère la mort de mon seul fils, que la traîtrise”. et d’ajouter : ” Français , si vous avez besoin d’armes pour tuer mon fils, voici les miennes”. Les Français exécutent capitaine de l’armée de Catalogne au pied des murailles de Perpinyà. Pour avoir résisté à ce long et pénible siége, Joan II roi d’Aragon Comte de Barcelona, décerne le titre de “Fidelíssima Vila” à la ville de Perpinyà.
1477. La ville est aux mains des troupes françaises. La population hostile donne des signes de soulèvement latent ; afin de la dissuader le roi de France, Louis XI réalise rapidement des travaux (de 1478 à 1479) Les objectifs ? Surveiller les extérieurs de la ville et surtout espionner à l’intérieur sa population. C’est ainsi que des meurtrières sont percées, davantage côtés ville que côtés extérieur ; l’escalier principal est surélevé chapeauté du lanterneau typique. Peine perdue ! Le 2 septembre 1493, par le traité de Narbonne, le roi de France Charles VIIIle transmet le Roussillon à l’Espagne.
En 1542, Charles Quint fait couvrir le Castillet au nord au moyen d’un bastion polygonal construit avec des matériaux provenant de la démolition de la Chapelle Notre-Dame du Pont face au Castillet.
La statue de la Vierge nichée en façade date de 1864. (Photo La Gazette Catalane)
Cependant, à l’issue de la guerre de Trente Ans (1618-1648) est signé en 1659 le traité des Pyrénées, rattachant le Roussillon, le Vallespir, le Conflent, la moitié du comté de Cerdagne à la France. Les catalans hostiles à l’hégémonie de la France, se révoltèrent en vain ! A cette époque, le Castillet trouve sa vocation de prison où sont jetés, si possible torturés et voire assassinés de nombreux opposants. En 1697, le Castillet est déclaré prison d’Etat très pratique pour embastiller de très nombreux hommes et femmes lors des guerres de religion et sous la Révolution française. En 1888, si une partie conserve sa vocation de prison, l’autre devient “Foyer du Soldat”, un cercle de garnison. Le Castillet a failli disparaître lors de la démolition des remparts de Perpignan, mais fut sauvé de justesse par les Monuments historiques.
En 1948, lors de travaux les ouvriers découvrent un squelette d’enfant dans une pièce murée ! Un moment il a été évoqué le dauphin de Louis XVI (un 2°masque de fer corps de Louis XVII ? ) Même si des tests ADN effectués bien plus tard ont tordu le cou à la légende, on ne sait toujours pas qui est ce malheureux emmuré.
142 marches qui les mèneront jusqu’au donjon pour apprécier une vue panoramique sur Perpignan. n Un symbole vieux de 650 ans Construit en 1368 sous la domination aragonaise, en tant que porte principale de la ville, le Castillet est un des rares vestiges des anciens remparts de Perpignan.
Le Castillet possède en son sein le musée des arts et traditions populaires, la Casa Pairal. où est conservée la flamme du Canigou qui sert à allumer le brasier au sommet du Canigou, le soir de la St Jean.
Visites Période: Du 1 Juin au 30 Septembre 2017
Dimanche:10:30-18:30
Lundi:10:30-18:30
Mardi:10:30-18:30
Mercredi:10:30-18:30
Jeudi:10:30-18:30
Vendredi:10:30-18:30
Samedi:10:30-18:30
Renseignement 04 68 35 42 05
Perpignan : Le Castillet, la légende ! Emblème des catalans... 30 m de long, 15 m de large, 20 m de haut, 3,5m d'épaisseur, 142 marches jusqu’au donjon...
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