#le coeur synthétique
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lesformationsdelouis · 1 year ago
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randomchaoss · 2 years ago
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el orso
Une beauté céleste. Un brin nonchalant. Un brin dans les nuages. Mais c'est cette personnalité lunaire qui fait chavirer les coeurs des amis del orso. Un regard noir, l'aigle solitaire. L'iris rougit par la synthétique, il recherche des sonorités bien précises dans son répertoire sacré : la 3x filtré. Il se décide enfin, élance ses longs doigts vers le volume, et fait danser les démons jusqu'à la rosée du matin. Des doutes il en a. Il n'a pas encore dressé ses chiens noirs. Ils rodent. Ils observent et se transforment en pensées obscures, oscillant entre dépression et anxiété. Cependant, ce gamin il a de l'or dans les doigts. Le bois devient sa meilleure compagne et ils se prélassent durant des heures, sans monotonie aucune. Il en ressortira un magnifique meuble, qui finira surement sa route chez un oligarque russe. Le meuble supportera deux enceintes massives en acajou, accompagnées d'un magnifique lecteur vinyle vintage.
Sa bague argentée voltige dans les airs, suivant à la perfection les mélodies exotiques prodiguées par les caissons noirs de charly. Il y a des fois où la flamme sacrée s'éteint, un regard vide se creuse, une absence se créé. C'est là où les amis doivent être présents, pour raviver ce feu sacré, et le faire grandir jusqu'au fin fond de l'univers. Brule gamin, prend le soleil pour meilleur ami et brule gamin !
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boutsdelivres · 4 years ago
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Elle n'aura pas été longtemps célibataire, pourtant cette parenthèse marque une éternité. La solitude c'est quand se meurt le mot amour.
Chloé Delaume, Le cœur synthétique
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Se retrouver seule avec elle-même ne constitue pas le problème, le problème, c'est l'absence d'amour.
“Le cœur synthétique”, Chloé Delaume, Seuil, 2020, p. 10
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petit-atelier-de-poesie · 2 years ago
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NOTE DE LECTURE :  Le coeur synthétique. Chloé Delaume. 2020
Adélaide est une femme comme les autres : juste 46 ans mais déjà périmée, sociable mais invisible, sans enfant mais avec un chat, divorcée mais dépendante affective, bref une de plus. L'autrice dissèque le coeur meurtri de cette femme middle-aged : ses espoirs et ses illusions, ses attentes et ses angoisses, et c'est drôle de vérité ! De loin en loin, il y a l'ombre des ex, du futur Prince Charmant, du possible amant et de la solitude. Autour d'Adélaide gravitent heureusement les copines, sorcières à leurs heures, qui comprennent, soutiennent, accompagnent le chemin illuminé de la sororité, la seule voie possible pour Adélaide et toutes les autres. Un roman lu d'une traite, avec sourire aux lèvres et baume au coeur, même synthétique.
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estelle-perge-prost-blog · 3 years ago
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Le coussin coeur : un miracle
Ma poupée, tout un été a fait des dizaines de coussins coeur pour octobre rose via son association, et le moment venu de mon diagnostic, elle m’a promis me faire mon petit coussin. Ce coussin a été élaboré par une médecin Américain
Oui mais voilà, pris par le temps, et je comprends très bien que ma poupée n’a pas eu le temps de me faire mon petit coussin.
Après avoir eu deux jour un peu intensifs, en ayant conduit sur Bordeaux, visite à mon médecin, restaurant, visite chez ma mère, réveillon visio jusqu’à 1h, de nouveau conduite et noël chez maman, en milieu de journée hier j’avais vraiment une gêne sous le bras et mes cicatrices tiraient. Je n’ai pas vraiment mal au point de prendre un doliprane, mais c’est désagréable sous le bras et très gênant.
Arrivée le soir chez moi, j’ai décidé de chercher le modèle du coussin pour m’en faire un. C’est vraiment très très facile à trouver. J’ai imprimé sur du papier bristol pour faire un patron solide. Je me suis dit que j’attendrais le lendemain pour le fabriquer, mais une heure après, je n’étais pas bien. Ni une, ni deux, j’ai trouvé du tissu coton chez moi (j’en ai pas mal vu tous les masques que j’ai fais pendant les confinements et surtout au début où notre merveilleux gouvernement disait qu’ils n’étaient pas utiles.), de la bourre et hop j’ai fabriqué mon coussin coeur. Une fois terminé, j’ai pu constaté en le mettant sous mon bras qu’immédiatement la gêne c’est estompée, les tensions sont retombés, et j’ai ressenti un bien être. C’est fou, mais c’est d’une efficacité redoutable.
Je vais m’en faire plusieurs parce qu’il va falloir les laver souvent. Directement mis sous le bras pendant plusieurs heures quand on ne peut pas utiliser de déodorant, pas besoin de précision. Il est important que les coussin soient en tissu de coton pour être à même la peau et éviter tous risques d’irritations avec des tissus synthétiques. Il est aussi important de mettre un certains grammage particulier, 170g de ouate, pour maintenir une pression antalgique sur les cicatrices.
La seule chose que je peux dire c’est que c’est miraculeux, et que l’apaisement a été immédiate. Je vais en faire des tas de petits coussins pour donner à l’association Lisa de Bordeaux.
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Voici mon premier petit coussin coeur, très exotique !
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fallenrazziel · 5 years ago
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Les Aventures d'Erwin & Livaï #11
Recueil d'OS EruRi, constitué de petites scénettes qui me trottent dans la tête et que j'écris quand l'envie est trop forte^^ Ils seront donc écrits et publiés selon mes émotions du moment. Bien que je place ces OS dans un contexte canon, ils ne font pas partie des Chroniques de Livaï, mais de mon headcanon. Ils ne sont pas non plus publiés dans l'ordre chronologique. Certains épisodes peuvent se suivre mais tous peuvent être lus séparément. Ces OS peuvent être tour à tour romantiques, comiques, tristes, émouvants, coquins ou drôles (pas de sexe explicite). 
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Erwin Smith s'était débarrassé de son dispositif de manoeuvre depuis déjà une bonne heure mais c'était comme si les lanières de cuir lui enserraient toujours le corps, lui comprimaient les muscles, pénétraient même ses organes... Il se sentait toujours comme un demi-homme à chaque retour d'expédition, quand il devait redéposer les deux pieds sur terre et laisser sa tête se remplir de préoccupations plus quotidiennes.
Las, la chair endolorie et l'esprit surmené, il alla s'assoir à son bureau afin de régler les formalités indispensables. Il n'était pas encore habitué à ses nouveaux quartiers, dans l'ancien QG du bataillon de Karanes remis presque à neuf. Il vit, comme s'il s'était trouvé sur place, les hommes de Livaï nettoyant chaque recoin sous les ordres du caporal, afin de s'assurer que la pièce soit digne de lui... Il crut même voir la jeune Petra Rale disposer des fleurs fraîches dans un vase près de son lit... Il tourna la tête et aperçut les fleurs, à présent fanées... Triste allégorie de ce qui était arrivé à la jeune femme...
Oui, il n'était pas encore habitué à ces lieux ; mais ce n'était pas un problème. Son problème actuel était de devoir annoncer aux familles des sacrifiés la tragique nouvelle. Cette habitude-là, il avait peur de la prendre ; de le faire si machinalement, sans plus y penser, que cela deviendrait un automatisme. Mais en même temps, ce serait peut-être la seule manière pour lui de continuer à faire son travail. S'y habituer... se taire, garder la tête haute, rester froid, faire bonne figure... N'était-ce pas ce qu'on attendait de lui ?
Parfois il se le demandait. Il se souvenait des mots prononcés en sa présence par ces deux nouvelles recrues qui ne s'étaient pas gênées pour le qualifier de monstre inhumain et sans coeur. Livaï était venu l'appuyer, prenant une partie de ces insultes sur ses propres épaules, mais il ne pouvait s'empêcher de penser que ceci lui était malgré tout adressé, à lui. Livaï ne faisait qu'obéir à ses ordres, et c'était pour cette raison que certains avaient une si mauvaise idée de lui. Si seulement ils savaient à quel point Livaï chérissait chaque vie, à quel point il était meilleur que lui...
Il prit une feuille de parchemin et commença la première missive de condoléances. Il savait qu'il la recopierai des dizaines de fois, et même s'il avait quelque chose de particulier à dire sur chaque soldat tombé, il ne pouvait perdre de temps à trop personnaliser. Il se souvenait de leurs noms, de leurs visages... Ils iraient rejoindre ceux qui le poursuivaient déjà dans ses cauchemars.
Il écrivit ainsi trois lettres avant de s'arrêter pour se masser les paupières. Les cris, les invectives, les bouches tordues de haine, les mains crispées en poings... Ils n'avaient évité les pierres que de peu cette fois. Il ressentait encore toutes ces ondes négatives l'attaquer, le regard, le visage figés de Livaï quand le père de Petra Rale était venu lui parler... Il ne lui avait rien dit de leur discussion ; Erwin l'avait envoyé dans ses quartiers au plus vite, dépêché un médecin auprès de lui et aux dernières nouvelles il était cloué au lit par obligation. Erwin sourit amèrement en se disant qu'ils n'auraient pas leur dîner en tête à tête cette fois. Cela se faisait de plus en plus rare, Erwin n'ayant aucun appétit quand les expéditions se passaient mal.
Ils avait certes appris des choses cruciales sur leurs ennemis, mais le nombre de victimes avait excédé ses estimations, et cela le tourmentait. Il ne remettait que très rarement en question ses aptitudes à commander - même s'il était nécessaire de le faire pour garder la tête sur les épaules -, mais ces jours-ci, cela lui arrivait de plus en plus souvent. En voyant la cohorte de survivants éclopés passer la porte de Trost, les citoyens avaient sûrement dû se demander ce qu'un incapable comme lui faisait encore à ce poste... Et maintenant, cette question était la sienne.
Que faisait-il ici ? Pourquoi tout le monde le suivait-il ? Cette nouvelle crise n'était-elle pas trop difficile à gérer pour lui ? Devait-il abandonner l'humanité et ses propres ambitions pour le bien de tout le monde ? Passer la main ? Lui qui s'était toujours dit qu'il ferait mieux que Keith, il se demandait aujourd'hui s'il n'avait pas été trop orgueilleux...
Il se leva et se dirigea vers le canapé dans un coin de la pièce. Il s'y laissa tomber, posa ses coudes sur ses genoux et son menton dans ses mains. Il voulait être seul avec lui-même mais quelque chose lui chuchotait que ce n'était pas une bonne idée. Il lui faudrait attendre le lendemain pour oser se montrer de nouveau à ses troupes et jauger leur motivation. Pour l'instant, c'était la sienne qui faisait défaut, et il ne cessait de se sermonner.
"Quelqu'un doit faire ce travail", "personne ne peut le faire mieux que toi", "qu'importe ce qu'ils pensent, garde le cap"... Chacune de ces injonctions mentales rendaient son bolo plus lourd, et il était à présent presque courbé en deux quand la porte de son bureau s'ouvrit doucement, presque sans bruit. Erwin releva brusquement la tête, reprit contenance, jeta un oeil sur celui qui s'introduisait ainsi dans son intimité et s'apprêta même à le renvoyer. Mais quand il vit de qui il s'agissait, il n'en fit rien, et prit un ton faussement indigné pour lui lancer :
- "Tu n'es pas censé quitter ta chambre, tu sais ? Les médecins ont dit..." - "Tu n'as qu'à me renvoyer alors", rétorqua le visiteur.
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Le caporal Livaï se tenait à la porte, le pied bandé, l'air soucieux. Il portait encore sa veste et sa chemise, mais arborait un pantalon civil, plus commode pour les soins qu'il avait dû recevoir. Il s'était longtemps demandé s'il devait aller rejoindre son supérieur pour l'aider dans ses tâches post-expédition, comme à son habitude. Il remarqua alors qu'aucun dîner n'était préparé - il s'en était douté - mais que le bureau d'Erwin était constellé de papiers. Il avait déjà commencé, sans lui. Livaï pensait confusément que comme tous les membres de son escouade étaient décédés cette fois, il se devait au moins d'écrire lui-même les lettres à leurs familles... accompagnées des écussons qu'il avait pu conserver, ultimes souvenirs des héros tombés ; les explorateurs avaient été obligés de se débarrasser des corps pour échapper aux titans...
Il n'avait pas encore pleinement réalisé qu'ils n'étaient plus là même si cela faisait son chemin dans son esprit, lentement. Il était habitué à perdre des camarades, mais ici il s'agissait de ses subordonnés directs, dont il avait la charge, et dont il devait assumer, du moins le croyait-il, la protection, dans une certaine mesure. Il avait failli à sa tâche. Le choix d'options avait été mince à ce moment-là, et il ne savait pas encore s'il avait choisi la bonne.
Avait-il trop tardé à se ravitailler ? Il ne semblait pourtant pas avoir perdu de temps. Ses hommes étaient morts depuis déjà pas mal de temps quand il était arrivé sur les lieux. Aurait-il même pu les sauver ? Cette incertitude le tuait à chaque fois...
Mais il devina ce soir que quelqu'un en souffrait peut-être encore plus que lui. Il n'avait que très rarement surpris Erwin en position de faiblesse ; il faisait toujours en sorte que personne ne voit jamais ces moments-là. Mais Livaï remarquait quand même quand il n'allait pas bien. Il n'en parlait jamais, n'y faisait jamais allusion, mais cela le blessait quand Erwin perdait courage ou confiance. C'était comme si une partie très profonde de sa propre personnalité se fissurait... Il s'en voulait parfois de placer tant de ses attentes, de ses espoirs sur le dos d'Erwin, mais il ne pouvait s'en empêcher. Il fallait qu'Erwin aille bien, qu'il garde confiance, sinon lui-même, Livaï, serait perdu...
Il ne lança pas un mot de plus à son supérieur - qui ne le renvoya pas dans sa chambre - et claudiqua vers le bureau. Il nota que les lettres qu'il avait déjà écrites étaient celles de ses subordonnés. Il avait pensé à eux en premier et cela le toucha plus qu'il ne l'imaginait. Mais il resta stoïque et synthétique.
- "J'peux m'occuper de celles-là moi-même, tu sais...", souffla-t-il à la silhouette de dos. "J'ai vu l'père de Petra déjà... J'ai pas pu lui dire mais, il vaut mieux qu'ce soit..." - "... Toi qui lui parle de sa fille", compléta Erwin. "Tu as raison. Tu es le mieux placé pour trouver les mots justes pour tes soldats..." - "Ce s'rait pas la première fois qu'je m'y collerai, tu sais... J'en ai déjà perdus..."
Mais Livaï se sentit illégitime de se plaindre sans en avoir l'air. Il n'avait finalement perdu que peu de soldats sous ses ordres directs ; Erwin, lui, en tant que major, était responsable de toutes les morts dans son régiment. Ils ne se situaient pas tout à fait sur la même ligne. Cette ligne continuerait de les séparer toujours, même si Livaï faisait toujours en sorte de la franchir dès que c'était possible.
Devait-il la franchir ce soir ? Le visage décomposé qu'Erwin essayait de lui cacher en lui tournant ostensiblement le dos ne lui avait pas échappé. "Il est encore en train de tout prendre sur lui, comme si on était pas une équipe. J'aime pas quand il fait ça. Il peut pas m'laisser à l'écart..."
Il boita jusqu'au canapé et resta debout face à Erwin, de nouveau le visage baissé dans ses mains, attendant qu'il le regarde franchement. Il avait évité son regard depuis leur retour et cela ne lui plaisait pas du tout. Alors il trouva la seule phrase capable de le ramener à lui, de le laisser franchir cette ligne tendue entre eux par le major harassé :
- "Rien n'est de ta faute".
Erwin releva le visage vers lui et c'était comme s'il voyait les sillons creusés sur ses joues au fil des années par des larmes innombrables mais toujours invisibles. N'importe qui aurait pu le trouver pitoyable en cet instant, mais pas Livaï. Il le lui dirait sans doute plus tard, quand Erwin irait mieux, à quel point il avait paru pitoyable ; c'était presque un jeu entre eux, comme une espèce de formule magique signifiant "je sais que t'es crevé et que t'en as marre, mais tu vas remonter la pente, parce que t'es le meilleur". C'était sa façon bien à lui de dire à Erwin à quel point son existence était irremplaçable pour lui.
Les deux hommes se tenaient immobiles face à face, Erwin assis, le visage levé, et Livaï debout, une jambe légèrement fléchie, la tête penchée. Ils communiquèrent un instant par leur regard fixe, le major et son subordonné, abîmés dans une même tristesse mais impossible à verbaliser. Alors Erwin ouvrit les bras, s'empara du corps du caporal et le pressa contre lui.
Livaï le laissa faire, ressentant chaque angle du visages du major contre son ventre. Ses grandes mains enserraient sa taille, malaxaient le tissu de sa chemise lentement, comme s'il voulait s'imprégner de l'essence même de Livaï. Le caporal caressa les cheveux du major avec une tendresse très inhabituelle, serra sa nuque tout contre lui, et le souffle d'Erwin transperça la fibre de ses vêtements, réchauffant sa chair meurtrie... Il y avait comme un sanglot contenu dans cette étreinte, en même temps que le désir de quelque chose de bien plus intime et personnel...
Erwin leva son visage vers lui et Livaï contempla sur ses traits le sourire le plus triste du monde. Il garda les lèvres serrées, ne voulant pas empêcher Erwin de s'épancher à sa guise. Mais le major ne lui dit qu'une seule chose :
- "Juste quelques minutes, encore..." "Je sais... Vas-y, te retiens pas..."
Les mains d'Erwin remontèrent le long de son dos, massant légèrement ses omoplates et Livaï se pencha sur lui pour l'enlacer franchement cette fois, insoucieux de qui pourrait passer le seuil de la pièce et les surprendre dans cette position compromettante. Mais ils s'en moquaient tout deux, car pour eux elle n'avait rien de compromettant. C'était leur manière bien à eux de s'exprimer sans mots. La seule qui puisse être efficace à cet instant précis.
Livaï respira l'odeur de la chevelure dorée, familière, laissa ses lèvres descendre jusqu'au front haut légèrement humide, les y abandonna un moment, indécis... Quand il sentit la bouche d'Erwin imprimer sur son cou un baiser fiévreux, mais hésitant, une conscience aigüe de ce qui pouvait se passer maintenant, peut-être, s'empara de lui et se transforma en perspective à la fois alléchante et terrifiante. Il leva le menton afin de laisser le champ libre au major, regarda le plafond un moment et ferma les yeux. Le bouton supérieur de sa chemise sauta... Il sentit ses tétons se durcir malgré lui...
Livaï était prêt à laisser Erwin aller plus loin, à le laisser passer ses mains sous ses vêtements, le coucher sur le divan, toucher des parties de son corps que personne n'avait touchées depuis des années, à le laisser raviver sa flamme à la sienne si c'était nécessaire ; même si cela l'effrayait pour une raison obscure. Il voulait qu'Erwin retrouve vite son feu, sa maîtrise, sa propre estime, afin que lui, Livaï, puisse de nouveau s'en nourrir. La façon dont il se sentait lié à Erwin le sidérait parfois mais il savait aussi qu'il en avait besoin ; que si c'était nécessaire, il en passerait par cette méthode. Qu'elle ne serait pas un gros sacrifice... même pas un sacrifice du tout... peut-être même un plaisir coupable et inavouable... Il se surprit à penser à tout ceci comme à un genre de cérémonie, de rituel sacré qui leur serait propre, à eux seuls, et que personne d'autre ne serait capable de comprendre.
"Pourquoi ne prends-tu pas ce qui t'appartient ? Si cela peut te permettre d'aller mieux, tu peux faire tout ce que tu veux de moi... Tu sens que je suis avec toi, que rien ne pourra me séparer de toi, même la mort ?"
Mais le major ne sembla pas prêt à aller aussi loin. Sa chaleur quitta le cou et le torse de Livaï, et il repoussa alors gentiment son caporal en arrière. Il resta assis encore quelques secondes, puis se leva sans vaciller, ferme sur ses jambes, dominant de nouveau Livaï de toute sa taille. Le caporal remarqua que quelque chose était revenu habiter Erwin, quelque chose qui l'avait quitté pendant un petit moment mais sans trop s'éloigner. Il percevait confusément que c'était une des choses qu'il aimait et admirait le plus en lui. Il reprit lui-même ses esprits, tâta son front en sueur, referma les pans de sa chemise froissée en hâte, désireux d'effacer les traces de ce qui venait de se produire... ou avait failli se produire.
L'intimité entre eux passée, Erwin rajusta sa mise à son tour, recoiffa ses cheveux en arrière et revint vers son bureau. Livaï voulut l'y accompagner en boitillant mais Erwin lui opposa un refus clair.
- "Je vais me charger de ces lettres, c'est mon rôle de le faire. Mais je te laisse la tâche d'écrire celle de tes soldats." - "J'peux l'faire ici...", proposa Livaï, peu pressé de laisser son major de nouveau seul avec lui-même. - "Hors de question. Tu vas retourner t'allonger et je vais te faire amener un écritoire et du thé. Tu n'auras pas besoin de t'assoir car cette position prolongée n'est pas bonne pour ta jambe."
Livaï ne répliqua pas, et Erwin s'empara de sa plume pour commencer à noircir une autre page.
- "T'es sûr que...", commença Livaï. - "Oui. Je vais bien, merci... J'ai besoin que tu gardes la forme, Livaï, alors obéis-moi sans discuter."
Comme si ce qui s'était passé n'avait été qu'une illusion, Erwin avait reprit sa morgue habituelle, qu'il n'adoptait en sa présence que lorsqu'il était occupé à des choses importantes et n'avait pas de temps à lui consacrer. Mais Livaï s'en félicitait ; après tout, il l'avait remis sur pieds, sans avoir à user de remède désagréable pour l'un ou l'autre.
Le visage d'Erwin avait laissé une marque de feu sur son corps. Il pouvait se contenter de ça. Alors il le salua comme un bon soldat et se retira lentement vers la porte.
- "A tes ordres, major."
Il se dirigea vers la sortie mais avant de refermer derrière lui, un dernier caprice se mit à tambouriner contre sa poitrine. "Tcchh, c'est trop bête d'en rester là... J'vais pas t'laisser t'en tirer comme ça." Il se retourna une dernière fois avant de disparaître et prononça une des choses les plus folles qu'il ait jamais dites à son supérieur :
- "Si t'as encore besoin d'un câlin, tu sais où m'trouver."
Il se mit à marcher dans le couloir, à son rythme, très satisfait de lui, en imaginant le major, assis dans son fauteuil, la plume en l'air, rougissant sans aucun doute jusqu'aux oreilles.
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cendres-et-volcans · 6 years ago
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Dans l'incertitude et le silence, quand invisible aux yeux du monde, je tremble au milieu des flashs inconnus, prend ma main.
Laisse mes mots se perdre dans la fureur, laisse mes interrogations glisser le long de cette nuit que l'on abandonne, et guide moi vers la douceur de cette lumière vitale.
La haut, enlace moi, allonge moi et murmure moi ces mensonges qui me font tenir encore, seul, debout, face aux affres de mes synthétiques désespoirs.
Remonte moi une dernière fois au sommet, je veux revoir la vie à travers ton regard, et sentir ton coeur battre dans ma main.
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kaobang · 5 years ago
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15-17 juillet - Panglao
Pour les trois derniers jours à Bohol, direction Panglao, reliée par un pont à sa voisine. On nous avait vanté les larges étendues de sable blanc de cette île plutôt touristique, mais nous ne trouverons ici que de minces bandes un peu sales, ponctuées des transats des hôtels qui se livrent une concurrence acharnée. Le dimanche sera l’occasion de s’y baigner au milieu des familles philippines, qui ont coutume de se tremper habillées. L’impudeur de mon deux-pièces détonne. Nous avons choisi une maison d’hôte assez particulière, au prix un peu plus élevé que nos tarifs habituels (30e la nuit avec petit dej). Un berger allemand fait des bonds sur les quelques mètres carrés de pelouse synthétique qui bordent les cinq chambres. C’est kitsch, mais il y fait bon vivre, et c’est enfin un plaisir de manger des œufs au plat réussis et de se tremper dans une piscine digne nettoyée, discrètement chlorée et à la profondeur salutaire. Une séjour bienvenu car la météo nous fait vite défaut ; un typhon menace les côtes et le ciel crache en continu une pluie plus ou moins dense. Le matin du 16 juillet, notre ferry en partance pour l’île de Siquijor est annulé, ce qui nous conduit, après des heures perdues dans l’atmosphère étouffante du terminal à essayer de changer nos billets, à passer 24h de plus dans la grisaille de Bohol, dans la ville portuaire (et sans intérêt) de Tagbilaran. Les transits sont parfois longs et pleins d’embûches et parfois c’est aussi ça le voyage : savoir prendre son mal en patience. Nous découvrons que nos voisins de chambre, deux allemands presque grabataires, à la panse flasque et au visage couperosé, sont chaque soir en excellente compagnie : de jeunes philippines d’à peine vingt ans partagent leurs nuits, et nos hôtes ferment les yeux. Nous en croisons d’autres, au restaurant italien un peu « européanisé » que nous fréquentons. Concernant nos Allemands, ce qui s’apparente de prime abord à du trafic d’être humains semble en plus saupoudré d’une consternante naïveté. Le dernier matin, l’un des deux me salue à la table du petit-déjeuner dans un français presque parfait. Après les banalités d’usage, il me révèle qu’il est ici « accompagné de sa fiancée philippine, avec qui il espère se marier l’an prochain ». « La TRÈS jeune fille que nous avons aperçu hier », je rétorque, un brin cinglante Oui, et j’aurais aimé, peut être par curiosité un peu malsaine, en savoir plus. Qu’espérait cette jeune fille, qui semblait presque mineure ? Était-elle véritablement consentante? L’idée d’une autre vie, au confort matériel avéré, supplantait-elle le reste ? Notre ami ventripotent était-il sincèrement convaincu du bien-fondé de son union? J’avais le coeur serré pour elle et pour les autres,et du mal à dissimuler mon dégoût envers ces « sugar papys » mais qui sommes nous pour juger ?
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frenchdeath · 6 years ago
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C’est euphorique
Il est dans chacun de nous, caché quelque part; certain ne jouit que d’une infime partie de lui, d’autre s’en régale complétement et d’autre n'embrasse que sa lueur éclatante et vivent avec l’espoir de lui approcher un jour; il est de couleur blue, il est de couleur rouge, il est d’une palette de million de nuances. On le frôle souvent sans se rendre compte qu’il est à côté de nous, il se cache en nous, dans les personnes qui nous entourent, il est dans les plus banals gestes du quotidien. On le reconnaît quand il part, on l’ignore quand il frappe à notre coeur. Je vous parle de la seule et unique quête de l’existence, la seule chose que toute personne sans expectation cherche à aquerir; il est doux, il est majestueux, je vous parle du bonheur, je vous parle d’un sentiment qui ne laisse personne indiffèrent, mais qui reste insaisissable. Il illumine nos nuits, il donne de la beauté à nos jours. C’est une femme sublime, que tout humain cherche à séduire, l’avoir que pour lui, elle est de nature difficile, elle vous envoute; et là, nous misérable être, on continue à croire aux illusions qu'elle nous procure, elle vous fait croire qu'elle est à côté de vous, elle vous dresse à sa merci et on ne peut qu'espérer qu'elle ne reste à jamais prêt de nous. On se gèle derrière l'effet que le bonheur nous procure, il est là, mais on sait qu'il n'est pas éternel, on essaie de profiter tant qu'il demeure en nous. C'est un paradoxe, c'est une énigme digne des plus grands livres philosophique, c'est une matière synthétique, c'est un ensemble de tout et rien, c'est un itinéraire inconnu, c'est un émoi directionelle; hélas, il reste introuvable à l'exclusion de ceux qui ne le cherche pas, dans la poitrine des hommes déjà accomplie.
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mediumsuisse-blog · 5 years ago
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voyance suisse par téléphone
Notre spécialiste en oracle sur la ligne voyance officielle est une vraie amoureuse de ces arts. Vous avez besoin d’une réponse synthétique et rapide sur un sujet qui vous tient a coeur, cette voyance par email est faite pour vous. Il est lui-même doué de don de voyance et hypersensible par rapport à ses ressentis redoutables. Vous nous l’envoyez, en ayant pris soin d'ajouter une adresse fax officialisée, et nous vous repondons dans un delai court. Vous avez besoin d’une reponse synthétique et rapide sur un sujet qui vous tient a coeur, cette voyance par email est faite pour vous.
Le 3ème œil est une métaphore venue d’Orient pour traduire, au-delà des deux yeux et de la vue, un œil supplémentaire : celui de la connaissance de soi. Tout le monde connaît le signe de cet œil indien, la meilleure marque sur le front située entre les sourcils. Que montre le 3ème œil dans l’hindouisme et le bouddhisme ? Pourquoi l’œil indien est-il culturellement placé au milieu du front ? Comment ouvrir son 3ème œil ?
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christophe76460 · 2 years ago
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CHRIST EST VENU SAUVER LES PÉCHEURS DONT JE SUIS LE PREMIER (2)
1 Timothée 1:15-16
[15]C'est une parole certaine et entièrement digne d'être reçue, que Jésus Christ est VENU dans le MONDE pour SAUVER les PÉCHEURS, DONT JE SUIS LE PREMIER.
[16]Mais J'AI OBTENU MISÉRICORDE, afin que Jésus Christ fît voir en moi le premier toute sa longanimité, pour que je servisse d'exemple à ceux qui CROIRAIENT en lui POUR la VIE ÉTERNELLE.
Shalom à tous,
Je rend grâce à Dieu encore ce matin car il m'a donné le coeur de partager encore la bonne nouvelle afin que ceux qui demeurent pécheurs à cause de ce verset puissent être libérés du péché une fois pour toute.
Je vous conseille vivement de lire le premier module avant de commenter celui-ci.
Dans le premier module nous avons expliqué synthétiquement le verset [13] montrant noir sur blanc que Paul donne son témoignage , lorsqu'il était persécuteur de l'église, il dit qu'il était incrédule face à l'evangile de Jésus mais gloire soit rendue à Jésus car il a reçu la miséricorde de passer de la mort à la vie , il a obtenu la justice de Dieu (Ephesiens 2).
Avant Jésus Paul était pécheur et après Jésus il a reçu la justice gratuite de Dieu.
Nous avons montré qu'en Jésus il n'y a pas des pécheurs, nous n'étions pas des pécheurs à cause de nos actes et nous ne sommes pas des justes à cause de nos actes. Celui qui pause un mauvais acte et viens de présenter devant Dieu comme étant pécheur à cause de son acte n'a jamais reçu le vrai salut de Dieu en Jésus.
Il n'y a donc aucun pécheur en Jésus.
Que comprendre d'abord d'un pécheur ?
☑️Un pécheur est condamné
☑️ Un pécheur est séparé de Dieu
☑️ Un pécheur est un enfant du diable
☑️ Un pécheur est dans le ténèbres
☑️ Un pécheur est un candidat de l'enfer
☑️ Un pécheur n'est pas sauvé
☑️...
Nous voyons clairement qu'il ne peut pas y avoir un pécheur en Jésus, dire que nous sommes PÉCHEURS en Jésus signifie que nous sommes des condamnés en Jésus (rom 8:1 sera donc un mensonge), nous sommes séparés de Dieu en Jésus (2 cor 5:19-21 sera donc un mensonge), nous sommes des enfants du diable en Jésus (jean 1:11-13 sera donc un mensonge), nous sommes ténèbres ( actes 26:13-16 sera donc un mensonge car il dit que nous sommes passés du ténèbres à la lumière) que dire des autres versets qui vont contredire parfaitement le tentative d'être pécheur en Christ.
Regardons maintenant notre verset de base.
🔰 CHRIST EST VENU SAUVER LES PÉCHEURS.
Nous voyons clairement que être pécheur c'est la condition avant le salut. Voyez-vous ?
Un pécheur est donc en danger c'est pourquoi christ est venu sauver les pécheurs.
Sauver un pécheur c'est lui donner la justice de Dieu. Amen
Un pécheur qui vient d'être sauvé devient juste , il ne reste pas pécheur.
Romains 4:5
[5]et à celui qui ne fait point d'oeuvre, mais qui croit en celui qui justifie l'impie, sa foi lui est imputée à justice.
Nous voyons véritablement qu'un impie est sauvé en lui imputant la justice de Dieu, c'est pourquoi il est écrit dans romains 4:25 que Jésus est ressuscité pour notre justification. Quiconque se réclame encore pécheur ce qu'il n'a jamais cru à la résurrection de Jésus.
Paul dit que christ est venu sauver les pécheurs, en d'autres mots il dit que christ est venu déclarer justes les pécheurs
Esaïe 53:11
[11]A cause du travail de son âme, il rassasiera ses regards; Par sa connaissance mon serviteur JUSTE JUSTIFIERA beaucoup d'hommes, Et il se chargera de leurs iniquités.
Esaïe 53:12
[12]C'est pourquoi je lui donnerai sa part avec les grands; Il partagera le butin avec les puissants, Parce qu'il s'est livré lui-même à la mort, Et qu'il a été mis au nombre des malfaiteurs, Parce qu'il a porté les PÉCHÉS de beaucoup d'hommes, Et qu'il a intercédé pour les COUPABLES.
Nous voyons avec certitude que christ était venu pour justifier beaucoup d'hommes, c'est ça ce que la bible appelle " sauver les coupables (PÉCHEURS)".
🔰 DONT JE SUIS LE PREMIER
Paul ne dit pas qu'il est pécheur en Jésus, en lisant ce verset les pécheurs se glorifient en faisant croire aux gens que Paul disait : [je suis le premier des pécheurs en christ] un mensonge grave.
Paul dit qu'il est le premier pécheur en Christ ? Non. Il dit qu'il est le premier parmi les pécheurs que christ est venu déclarer JUSTE.
Pour dire que dans la liste des pécheurs que christ est venu pour déclarer juste son nom se trouve au dessus.
[Christ est venu sauver(rendre juste) les pécheurs dont je suis le premier]
Paul s'identifie comme le premier parmi les pécheurs que Jésus était venu sauver. Il est claire que Paul ne dit pas qu'il est PÉCHEUR en Jésus mais il montre que parmi les pécheurs que Jésus est venu sauver dans ce monde lui il est le premier ou le pire par eux à être sauvé.
Pour faire simple bien que verset a été déjà rendu clair, je vais utiliser d'autres versions de la bible.
15. La parole que voici est certaine, elle mérite d’être reçue sans réserve : « Jésus-Christ est VENU dans ce MONDE pour SAUVER des pécheurs. » Je suis, pour ma part, l’exemple type d’entre EUX.
1 Timothée 1:15 BDS
Paul dit qu'il est l'exemple type d'entre eux(les pécheurs) que Jésus est venu dans ce monde pour sauver(rendre juste).
Est-ce que Paul est pécheur en Jésus ?
Paul fait référence de son état en Jésus-Christ ?
Il montre clairement que sur la liste des pécheurs que Jésus est venu sauver vous verrez mon nom en premier.
15. Voici une parole certaine, digne d'être accueillie par tous: Jésus-Christ est venu dans le monde pour SAUVER LES pécheurs. Je suis le PIRE D'ENTRE EUX,
1 Timothée 1:15 BFC
Français courant explique avec simplicité que Paul dit qu'il est le PIRE d'entre les pécheurs que christ était venu sauver(rendre juste)
Vous pouvez bien lire ça dans le verset 13 où il montre comment à cause de l'incrédulité il a persécuté l'Eglise. Il était la bête noir de l'église avant qu'il soit sauvé.
Il est donc le pire parmi les pécheurs qui ont été rendu juste par Jésus.
Paul ne dit pas qu'il est le premier pécheur en Christ, il dit qu'il est le premier ou le pire parmi les pécheurs que Jésus a sauvé.
Pour expliquer d'avantage, voici une écriture encore plus claire:
Romains 5:8
[8]Mais Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous ÉTIONS encore des PÉCHEURS, CHRIST est mort pour NOUS.
☑️ LORSQUE NOUS ÉTIONS ENCORE DES PÉCHEURS.
Paul est-il encore PÉCHEUR? Non.
Il explique que lorsque nous étions des pécheurs ( séparé de Dieu, fils du diable, ténèbres, candidat de l'enfer...) CHRIST EST VENU NOUS SAUVER c'est-à-dire mourir pour nos péchés.
Romains 5:9
[9]A plus forte raison donc, maintenant que nous SOMMES JUSTIFIÉS par son SANG, serons-nous sauvés par lui de la colère.
Paul est plus clair que jamais, l'enchaînement de Paul est correcte, il explique que lorsque nous étions des pécheurs Jésus est mort pour nous et nous sommes MAINTENANT justifiés par son sang. Voyez-vous ?
Il est donc impossible d'être en Jésus et être pécheur sous prétexte de la chair ou de l'humilité incrédule.
Paul montre donc que s'il y a des pécheurs que Jésus est venu rendre juste, je suis le pire d'entre eux.
Il ne dit pas qu'il est pécheur en Jésus, il fait référence aux pécheurs que Jésus était venu sauver dans ce monde, lui Paul est le premier donc le pire.
🔰 J'AI OBTENU MISÉRICORDE
Voyez-vous ? Lui qui est le pire des pécheurs a obtenu la miséricorde de Dieu, il est donc justifié, lui qui auparavant persécutait l'église par son incrédulité.
La miséricorde du sauveur vis à vis du pécheur c'est de lui rendre juste (romains 4:4-5).
🔰pour que je servisse d'exemple à ceux qui CROIRAIENT en lui POUR la VIE ÉTERNELLE.
Il est clair que Dieu a sauvé le pire d'entre les pécheurs afin qu'il soit un exemple pour ceux qui CROIRAIENT à Jésus pour la vie éternelle.
Nous savons clairement que la foi en Jésus nous impute la justice par conséquent seulement les justes qui iront à la vie ÉTERNELLE.
Matthieu 25:46
[46]Et ceux-ci iront au châtiment éternel, mais les JUSTES à la vie ÉTERNELLE.
Toi qui prend 1 Timothée 1:15 pour faire de ça ton appui afin de croire que Paul était pécheur en Jésus que par cette prédication soit libérée et cherche à écouter l'evangile pur.
[Dont je suis le premier] ne fait donc pas référence aux pécheurs en Jésus ce qui est d'ailleurs impossible mais il fait référence au pire d'entre les pécheurs que Jésus est venu sauver(justifier).
Que le seigneur soit avec vous
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boutsdelivres · 4 years ago
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Elle n'a plus envie de personne, est soulagée d'être sans liens. Elle traverse les mois, les semaines et les journées plus forte et plus légère. Consciente d'être privilégiée, bientôt ce sera la fin du monde. Adélaïde se réjouit chaque jour de ne pas avoir fait d'enfants. La collapsologie s'impose mais ne l'atteint pas.
Chloé Delaume, Le cœur synthétique
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Adelaïde a pris conscience que jamais dans le réel n'existera Vladimir. Qu'elle correspond statistiquement aux exclues du marché, les femmes surdiplômées trouvent moins facilement de compagnon. [...] Les femmes trop cultivées effraient, fatiguent, déstabilisent. Adélaïde appartient à une génération peuplée de mâles alpha, qui rendent sa condition de femme hétérosexuelle difficile à gérer. Elle se refuse à devenir misandre, pourtant parfois elle se dit que ça lui pend au nez.
“Le cœur synthétique”, Chloé Delaume, Seuil, 2020, p. 189
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its-zhangjiashuai-us · 3 years ago
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fallenrazziel · 7 years ago
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Les Chroniques de Livaï #269 ~ CE QU'ON LAISSE DERRIERE SOI (octobre 844) Hanji Zoe
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. ​Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes.
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Comme c'est morose, ici. La vue de Moblit ne me redonne même pas le sourire.
J'ai l'impression d'être partie très longtemps. C'est moi qui ait été envoyée à Trost afin d'informer les brigades spéciales des résultats de la dernière expédition. J'en menais pas large. Je suis restée synthétique, sans en faire trop. Et même si j'ai essayé de minimiser le total des victimes, ça a pas donné grand chose. La réprobation se sentait dans chaque pièce, chaque couloir, alors je me suis vite sauvée.
Je leur ai remis la carte avec les nouveaux relevés, ensuite on a acheminé le chariot de minerai jusqu'à la ville industrielle. Le grand chef de la guilde Maja aurait préféré voir Erwin je pense, mais notre cargaison l'a vite ramené à des considérations plus terre à terre. Il s'est déclaré très satisfait et prêt à de nouveaux arrangements afin de réitérer le processus. Les sacrifices consentis pour cette réussite lui importent peu, ça peut se comprendre. Pour la majorité des citoyens, les soldats n'existent que pour les protéger ou leur rendre service. Enfin, avec cette nouvelle promesse de don, ça poussera peut-être les parlementaires à conserver le bataillon.
Parce que vus les derniers évènements, rien n'est moins sûr. Le major, de son côté, a fait un saut jusqu'à la capitale afin de rendre les comptes qu'il doit. Il rentrera après moi. Erwin, lui, est déjà revenu depuis plusieurs heures. J'ai pas eu besoin de lui poser des questions pour comprendre que ça a été éprouvant. N'importe qui serait épuisé après tout ça. On a bien mérité de se reposer, au chaud.
Habituellement, des masseurs professionnels viennent de tout le royaume à cette période de l'année proposer leurs services aux explorateurs. Comme ça, on passe l'hiver détendus. Ce serait payé de ma poche - l'Etat nous offre pas ce genre de chose -, mais je pense bien y avoir recours. Mes muscles me font vraiment mal et rien que l'idée de me faire papouiller par des mains expertes me fait déjà me sentir mieux ! La plupart du temps, c'est un service qu'on se rend les uns aux autres, et certains de nos camarades y sont devenus très compétents.
Moblit ne me lâche pas d'une semelle depuis que je suis revenue. Il a toujours plein de choses à me raconter quand je m'absente. Notamment l'incident qui est arrivé à la cantine l'autre jour. Greta aurait "perdu la tête", selon lui. Ca ne lui ressemble pas, ça. Laisse-moi deviner ? Ce serait pas ce m'as-tu-vu de Ansgar ? Il en fait vraiment des caisses, celui-là. Il serait temps qu'un gradé lui rappelle la discipline et l'esprit d'équipe. Etonnant qu'Erwin ne l'ai pas encore fait... Après tout, c'est sur son investissement d'un mètre soixante qu'il crache.
Peut-être qu'Erwin est déçu de Livaï, après tout... Ca a dû lui coller une vraie gifle de constater qu'il est finalement pas si invincible. A moi aussi, je dois dire. Quand on le voit se battre, on l'imagine pas tomber pour si peu. Livaï ne s'est pas confié sur le détail de ce qui s'est passé - il prétend ne pas s'en souvenir -, alors on ne sait pas vraiment... Enfin, il reste un bon soldat, et c'est une bonne chose qu'il soit vivant. Un petit coup de mou, sans doute. Il reviendra au top l'année prochaine.
Bon sang, j'espère qu'il y aura une année prochaine... Il est hors de question que le bataillon soit dissous, sinon je peux dire adieu à mes recherches ! Tout cela aura été fait en vain ! Tous ces députés à l'aise dans leurs pantoufles doivent bien comprendre que les sacrifices sont nécessaires si on veut avancer ! Erwin est d'accord avec ça, j'en suis sûre ! Lui non plus n'abandonnera pas !
Tandis que Moblit m'aide à monter mes bagages à l'étage, je lui demande comment est le moral des troupes. Il sait pourquoi je le fais, c'est un rituel de fin d'année. Les soldats du bataillon sont autorisés à donner leur démission s'ils ont participé à au moins une expédition. Or, les fêtes familiales de l'hiver, après un baptême du feu, donnent souvent à réfléchir. Certains décident de revenir à la vie civile et de fonder eux-mêmes un foyer, au lieu de revenir en enfer. On peut pas le leur reprocher. Mais si beaucoup choisissent de se barrer, il nous faudra du temps avant de remplir de nouveau nos effectifs. Et donc, la prochaine expédition devra attendre. Or, je déteste attendre.
Et parce que je déteste ça, je vais de suite me remettre à mes expériences. De toute façon, j'ai pas grand chose d'autre à faire. Je pense même pas rentrer voir ma famille cette année. J'ai trop de taches importantes à accomplir ici, j'ai pas de temps à perdre. Et puis, si je trouve quelque chose d'intéressant, une piste à exploiter, ça donnera du grain à moudre à nos "têtes pensantes". Sans compter mes nouvelles cultures de plantes soporifiques. C'est pas Livaï qui ira s'en occuper !
Moblit, va me chercher des bougies, histoire que je me remette à l'aise au plus vite !
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