#le ciel est couleur cocktail
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Quelques trucs bien. Aout 2023
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode.
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme.
Finir la saison en apothéose avec la fête de mon anniversaire et une nuit blanche
Penser et repenser à comment écrire ce discours pour le mariage de ma fille. Tenter de parler d’amour et de couple sans parler de ma propre expérience. Réaliser que j’ai probablement été meilleure mère qu’épouse
Faire la rentrée de bonne humeur, encore énergisée par la fête récente et le week-end d’amitié avec mon amie C.
Voir (encore) un arc-en-ciel. Présager le meilleur pour les jours à venir
Organiser une fête d’anniversaire au dernier moment et à l’auberge espagnole : dépasser l’anxiété sociale. Youpi !
Passer plus d’une heure au téléphone avec ma cousine. Prendre l’apéro en écoutant ses confidences, puis dans une légère ivresse, lui envoyer une carte postale de remerciement
Faire une prise de sang Check up le jour de mon anniversaire de 50 ans. Analyses impeccables ! Pourvu que ça dure
Remercier mon fils qui pense à me préparer à manger
Voir un arc-en-ciel pendant la canicule
Espérer que l’armure se se fissure et que je trouve le courage de dire mes failles et mes désirs. Accepter d’être vulnérable
Pouponner mon petit M. qui a déjà deux mois, prend du poids et des biscotos qu’adoucissent ses premiers sourires
Bricoler avec mon fils pour rénover le mur coloré de sa chambre. M’émerveiller de son adresse et de son ingéniosité
Préparer un cocktail Prosecco et sirop de fleurs de sureau. Trouver une alternative au Spritz trop amer
Organiser un apéro dînatoire sous l’arbre en soirée. Mettre une nappe bleue pour donner une autre couleur à ce moment plus intimiste
Accueillir Tatie M. à la maison pour quatre jours. Me sentir moi aussi un peu en vacances
Sentir encore une accroche avec quelqu’un. Nous sentir engoncés l’un l’autre dans la timidité. Hésiter encore à prendre l’initiative de la rencontre
Sortir manger une glace avec maman au village. La sentir en vacances un moment suspendu
Trouver tous les accessoires pour le mariage de ma fille : sac pochette, bijoux, etc.
Prendre de la distance avec ma sœur qui est partie deux semaines en vacances. Me dire qu’elle avait certainement besoin de couper et qu’elle ne vit pas dans la culpabilité comme moi
Accepter les pertes de mémoire de maman. Me réconforter en me persuadant que c’est moins douloureux pour sa conscience de la perte d’autonomie
Accompagner ma fille pour l’essayage de sa robe de mariée. La rassurer sur la beauté de son épanouissement de jeune femme et de jeune mère. Ce sera un des jours de sa vie où elle sera la plus belle
Me voir offrir par les copines un bouquin intitulé « Fous à lier » parce que ça a immédiatement fait penser à moi
Trouver du plaisir à jardiner : arroser le jardin et tailler les fleurs fanées
Retrouver un ami de presque 30 ans pour une soirée. Reprendre le fil des confidences comme si le temps s’était suspendu depuis
Passer une soirée entre filles à faire débat autour d’un roman féministe de Chloé Delaume. Finir la soirée en lecture à voix haute pour les copines de sororité
Découvrir une nouvelle forme fixe de poème : ghazel
Surprendre une biche qui traverse la piste devant ma voiture. Surprise réciproque
Découvrir une petite tarente perdue au plafond de ma chambre. Tenter de la chasser et m’endormir sans crainte
Aller chez le notaire avec ma fille. Me sentir enfin légitime après tant d’années
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Île des pins - du 6 au 8 mai
Décollage au petit matin pour l'île des Pins, le ciel est redevenu clément pour le petit vol qui nous sépare de l'île... Le survol de 30 minutes est bien court et les paysages marins d'atolls entourés de récifs et d'eau bleu turquoise font vite passer le temps.
Bon, on ne va pas mentir, on ne s'attendait pas à une telle claque à notre arrivée. Après avoir passé tant de temps à travers brousse et petites villages, on a trouvé l'endroit où sont prises toutes les photos qui illustrent les cartes postales! Ciel bleu , mer transparente, plages de sable blanc et cocotiers... Il ne manque rien... Ah si, un cocktail au bord de l'eau (on y remédie direct!)
Le programme de ces trois jours sur l'île se cale sur la beauté des paysages: ballades le long de la plage et en pirogue, promenade dans la forêt tropicale, baignade dans des piscines naturelles où les poissons rivalisent de couleurs et de formes plus originales les unes que les autres. A se demander si on ne serait pas tombés dans l'aquarium ! Notre séjour se termine par une sortie en mer où raies mantas, tortues et requins sont au rendez-vous. Le temps est vraiment passé trop vite...
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NEW FANFIC SERIE - PROBLEMATIC SEASON 3
18+ content, minors dni
/!\ MAJOR SMUT, +18 CONTENT /!\
NOTE : this is all for fun, please keep in mind that no hate is sent to any of the people mentioned, THIS IS A FANFIC FOR FUN 🩷
All of the people mentioned in the fanfic are adults
FR FANFIC
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EPISODE 5 PARTIE 1 : TEMPTATIONS
Assise dans le canapé, Jang lui sourit et lève la main afin de se commander un cocktail avant de reprendre la parole en te regardant.
“Et sinon, vous vous connaissez depuis combien de temps vous deux ? Tu m’avais caché cette petite bourgeoise insolente ?” en pointant Iroha du doigt.
Iroha ricane et répond “On se connaît depuis la rentrée, je viens d’arriver à Los Angeles”.
Haewon sert le cocktail de Jang avec élégance, le déposant soigneusement sur la table basse devant le canapé. La couleur chatoyante du mélange réfléchit la lumière ambiante du salon.
“Merci Haewon” lui dit Jang avant de lui donner un billet.
Tu la regardes en levant un sourcil avant de lui dire “Depuis que je te connais, je t’ai pas vu laissé un pourboire UNE SEULE FOIS” à un barista.
Jang prends une gorgée de son Pornstar Martini avant de répondre “San m’a demandé d’être un peu plus gentille avec les prolétaires”
“Haewon est littéralement la fille du premier ministre” réponds Iroha.
“Et ? Elle fait son stage ici dans le bar/café du Campus” répond Jang.
“Ça fait pas d’elle une prolétaire, elle avait juste pas de stage” tu lui répond en levant les yeux au ciel.
“Si tu le dis” répond elle avant de scroller sur son fil d’actualité Twitter.
Jang s’étouffe sur sa gorgée, se retourne et balaie la salle du regard, cherchant soudainement quelqu’un ou quelque chose.
“Qu’est ce qui se passe ?” tu lui demandes.
Elle te montre son téléphone.
Tu y vois une photo de toi, Iroha et Jang assises sur le canapé, prise de dos.
Postée par X Updates.
La description de la photo : Les deux serpents de Paradise se sont réconciliés ? Vont-elles encore tout détruire sur leur passage ? Restez abonnés à X Updates pour en savoir plus.
“JE VAIS ÉVENTRER CETTE SALOPE DE CHAEWON ET FAIRE DE LA CORDE À SAUTER AVEC SES BOYAUX” crie Jang.
Les étudiants présents dans le Luna Loinge se retournent sur Jang.
« C’est une façon de parler » répond Jang en levant les yeux au ciel.
Iroha ravale sa salive avant de répondre « Sharon c’est pas la sœur du mec super sexy qu’on a croisé là ? ».
“Chaewon, et oui, c’est la sœur de Juyeon” tu lui réponds avant de continuer “Mais je ne pense pas que ce soit elle, elle était avec Juyeon ce soir”.
“Comment tu sais ça toi ma coquine ?” demande Jang en souriant en coin.
“Juyeon passe toutes ses soirées dans le mini casino du Campus à jouer au poker et Chaewon ne le laisse plus sortir seul depuis qu’elle a vu la vidéo de Juyeon et moi…” tu lui réponds.
“QUELLE VIDÉO ?” demande Iroha, les yeux ébahis.
Jang ricanne « On pouvait y voir Juyeon lui mettre le petit Jesus dans la crèche, vraiment un chef d’œuvre du 7e art ».
Iroha s’étouffe avec son cocktail en ricanant.
“C’est une longue histoire, je te raconterai demain …” tu réponds à Iroha.
Iroha, toutefois curieuse, respecte ton choix de ne pas vouloir en parler maintenant.
Elle regarde l’heure sur son téléphone avant de te dire “Eh mais on a l’exam de prod demain matin ? On ferait mieux d’aller se coucher”.
Tu avais oublié l’examen du projet de production de demain matin, tu te lèves, dis au revoir à Jang avant de commencer à partir avec Iroha.
“Bonne chance pour demain !” te dis Jang en se retournant vers ta direction en croisant les doigts en l’air.
Iroha et toi sortez du Luna Lounge, emportant avec vous les souvenirs d'une soirée animée. L'air nocturne caresse doucement ton visage alors que vous marchez en direction de Nymphéa. Les lumières tamisées des lampadaires ponctuent le chemin, créant une atmosphère calme et mystérieuse.
Arrivées à Nymphéa, vous entrez et vous rendez compte que les filles sont déjà couchées.
“Bonne nuit, oublie pas ton réveil cette fois” te dit Iroha en te faisant un clin d’œil.
“Bonne nuit Iroha” tu lui réponds en souriant.
Épuisée, tu passes à la salle de bain, reviens dans ta chambre et t’écroules sur tes doux draps de soie.
Tu appuies sur la télécommande posée sur ta table de chevet afin de régler la teinte de ta baie vitrée, la rendant complètement opaque pour bénéficier d’une chambre plongée dans le noir.
Tu t’endors quelques secondes après.
*Ton réveil sonne*
Tu éteins la sonnerie, te lèves et va prendre une douche.
C’est halloween aujourd’hui, tu reviens dans ta chambre et diminue l’opacité de ta baie vitrée, tu aperçois que des étudiants ont décoré tout le campus cette nuit; probablement après que vous soyez rentrées Iroha et toi car vous ne les aviez pas vu hier soir.
Tu profites du temps que tu as en avance.
Tu mets le costume que tu as acheté hier sur cintre et va t’habiller pour ton examen de ce matin. Heureusement, c’est le seul “cours” de la journée, cet après midi vous avez prévu d’aller aider à décorer les résidences avec Ning et Youngseo.
Tu enfiles une petite jupe à volant, une chemise blanche crop top, des chaussettes blanches avec des chaussures à talons hauts et larges.
Tu rejoins le salon et aperçoit Iroha déjà toute prête, elle a même deja déjeuné.
“Déjà ?” tu lui dis.
“Oui c’est mon premier Halloween en amérique je suis toute excitée” réponds Iroha.
Si seulement elle savait comment la soirée allait se dérouler ..
Tu prends un croissant, ton sac, et tu pars avec Iroha en direction de l’amphithéâtre pour votre examen.
Vous vous installez chacune sur votre chaise, vos noms étant répartis aléatoirement sur les tables, vous n’êtes pas assises à côté.
Tu t’assoies, prépare tes stylos et essaie de te détendre. Quelqu’un s’assoie à côté de toi, tu te tournes.
“Bonjour rivale, j’espère que t’as bien révisé au Luna Lounge” te dit Junghwan en te taquinant.
“Très drôle Junghwan, t’as fait quoi de ta soirée toi ?” tu lui demandes.
“Moi ? J’ai révisé sur le canapé pendant qu’Eric et Seunghan étaient en train de comparer leurs abdos” il te répond en sortant ses affaires et posant son café noir habituel sur sa table.
“Seunghan ?” tu lui demandes.
“Oui, c’est un de nos coloc, il est sympa du peu que j’ai pu discuter avec lui” te répond Junghwan, commençant à se concentrer.
Le professeur arrive dans la salle, distribue les sujets et vous commencez à plancher sur l’examen.
Le professeur circule dans la salle, observant attentivement les progrès des étudiants. Des graphiques, des diagrammes et des documents relatifs au projet sont projetés sur un grand écran pour permettre une meilleure compréhension.
L’examen porte sur divers aspects du projet, incluant la planification, la gestion du budget, la coordination d’équipe et la résolution de problèmes. Les étudiants doivent démontrer leur compréhension approfondie des concepts liés à la production, tout en appliquant les compétences acquises au cours du semestre. L’ambiance dans la salle oscille entre la tension et la détermination, chaque étudiant cherchant à donner le meilleur de lui-même pour réussir cet examen crucial.
“Terminé, lâchez vos stylos et rendez moi vos copies s’il vous plaît” annonce le professeur.
“Alors princesse problèmes ? Tu l’a trouvé comment l’examen ?” te demande Junghwan en te regardant avec un air joueur.
Princesse problèmes ? le surnom est amusant mais peu flatteur.
“J’ai tout déchiré.” tu lui réponds en souriant en coin.
“On verra ça” répond Junghwan avant de se lever et se mettre en file pour rendre sa copie.
Après avoir rendu sa copie, Iroha revient vers toi avant de te dire “J’AI PENSÉ À LA SOIRÉE TOUT LE LONG”.
“T’as réussi l’examen au moins ?” tu lui demandes en levant un sourcil.
“Oui franchement, c’était relativement simple.” elle te répond avant de continuer “J’ai commandé sushis pour nous féliciter d’avoir bien bossé, on va manger ça sous le chêne ?”
Tu acquiesces et vous vous dirigez à la table de picnic sous le chêne.
Jang, Ning, Kazuha et Youngseo vous y rejoignent.
“Alors cet examen ?” vous demande Kazuha.
“Tranquille” tu réponds avant qu’Iroha continue “Elle était à côté de son brun mystérieux” en ricanant.
“QUOI ? QUI ? OÙ ? DANS QUELLE POSITION ?” demande Jang.
“C’est Junghwan, c’est juste un mec de la promo avec qui je m’entends bien mais il est doué …” tu réponds.
“Il est doué avec quoi ? Sa langue ? Ses doigts ?” demande Jang, les yeux d’un air taquin.
“LA PROD, espèce de grosse cochonne” tu lui réponds en fronçant les sourcils.
“Ça va… Ça fait 2j qu’on a rien fait avec San parce qu’il est plongé dans ses révisons ..” réponds Jang.
“Ça doit être dur pour une affamée de la bite comme toi” répond Kazuha avant de prendre une bouchée de son Avocado toast.
Jang mime une fellation en poussant sa langue contre sa joue en disant “HmmmMINGI”.
Kazuha se retourne tout de suite mais Jang s’exclame “JE TE TAQUINES C’EST BON”.
“Je préfère ça” répond Kazuha.
Youngseo s’attache les cheveux avant de dire “Vous êtes prêtes à décorer les résidences cet après midi ? Ça va être sympa on va peut être rencontrer de nouvelles personnes !”
“Je pense qu’on a déjà fait le tour des mecs sexy de l’uni” répond Jang en faisant tourner sa fourchette au fond de sa salade.
“Faux, j’ai entendu une petite discussion ce matin… Éric et Junghwan ont un nouveau coloc et il a des ABDOS” ricanne Iroha.
Jang lâche sa fourchette avant de répondre “NOM ? ÂGE ? SIGNE ASTRO ? TAILLE DE SA BITE ?”
“T’es pas déjà mariée toi ?” lui réponds Kazuha en la jugeant du regard.
“J’ai plus le droit de m’informer ?” répond Jang avant de bloquer le regard avec Iroha.
“Il s’appelle Seunghan je crois ? pour la bite je sais pas” répond Iroha en ricanant.
“Bizarrement tu retiens bien les noms quand ils ont des abdos” tu lui réponds.
Iroha ricane avant de manger un sushi.
“De toutes façons on croisera sûrement de nouvelles personnes ce soir, comme l’a dit Youngseo” tu réponds.
“C’est vrai, je suis déguisée en Evoli Sexy, vous savez, le petit pokémon marron avec des petites oreilles de lapin là. San est déguisé en chasseur de pokémons; on va être trop SLAY” annonce Jang, toute fière d’elle.
“Il est en chasseur de pokémon parce que t’aime être dans ses boules ?” continue Kazuha.
Ning s’étouffe avec un morceau de pain alors que Youngseo essaie de se retenir d’exploser de rire.
“Très drôle, cette idée de DA est pas mal mais NON, on va juste être mignons ce soir” réponds Jang en levant le menton.
Vous terminez de manger, Jang, Kazuha et Iroha retournent à Nymphéa alors que Ning, Youngseo et toi vous dirigez vers la salle de réunion de l’université afin de savoir quelle résidence vous allez devoir décorer cet après-midi.
“Merci à toutes et à tous de vous porter volontaire afin de décorer la plus grosse résidence de l’université qui va accueillir la soirée d’Halloween de ce soir, c’est grâce à vous que la soirée sera encore plus mémorable” annonce Soojin, présidente du comité des activités de l’université et du campus.
Oh oui, tu ne savais pas qu’elle allait être gravée dans ta mémoire à jamais.
“Vous allez donc décorer la résidence ShinSoo cet après midi, les cartons vous attendent devant la bâtisse et si vous avez besoin de fournitures supplémentaires de type scotch, cordes… Vous pouvez venir en reprendre ici, je reste ici pour les commandes traiteurs etc..” termine Soojin.
Vous vous rendez donc à la résidence ShinSoo.
Youngseo et Ning échangent des idées enthousiastes sur la décoration pour la fête de ce soir.
Elles discutent des thèmes possibles, des couleurs à utiliser et des accessoires pour créer une atmosphère effrayante et festive. L'excitation est palpable alors qu'elles planifient chaque détail pour s'assurer que la fête soit mémorable.
Vous arrivez à la résidence ShinSoo et prenez un carton alors que Jinsik, le bras droit de Soojin, vous indique quelle partie de la résidence vous allez décorer, Youngseo, Ning et toi.
“Vous trois, ce sera la salle au troisième étage, la boule disco est déjà au plafond, vous devez décorer le reste, surtout n’oubliez pas les balustrades et balcons.” dit-il en vous donnant un plan de la résidence.
Cette résidence n’est pas mise à disposition des étudiants pour loger dedans, c’est plutôt pour des événements comme celui ci ou alors des expositions pour les étudiants en arts, des salles pour passer des examens …
“C’est dingue qu’on ait accès aux trois étages pour la soirée d’Halloween !” s’exclame Ning.
“C’est vrai que cette résidence est immense, j’ai entendu dire que l’université a atteint un nombre record d’inscriptions cette année, ils veulent peut être que tout le monde soit en sécurité et c’est pour ça qu’ils nous laissent accès aux trois étages ? Genre, éviter un potentiel mouvement de foule ou quoi que ce soit si on est trop dans une seule pièce.” réponds Youngseo.
Vous continuez de discuter alors que vous entrez dans la salle Seol, celle qui vous a été attribuée.
La salle "Seol" est une vaste pièce animée par l'éclat d'une boule disco déjà suspendue au plafond.
Les balcons et les balustrades offrent une vue plongeante sur la piste de danse située au sol vitré, où des néons colorés ajoutent une touche électrique à l'atmosphère. L'ensemble crée un lieu dynamique, prêt à accueillir une nuit de festivités mémorables.
Youngseo, pleine d'énergie, fixe avec habileté des chauves-souris et des fantômes au plafond, créant une atmosphère mystérieuse.
Ning ajoute des toiles aux balustrades, apportant une touche d'élégance effrayante à l'ensemble. Pendant ce temps, tu ajustes les néons et les spots, veillant à ce que chaque coin de la salle soit baigné dans une lumière suggestive. Votre collaboration crée une ambiance envoûtante, parfaite pour la célébration d'Halloween ce soir.
Youngseo prend la parole « Les filles ? »
Tu réponds « Hm ? » et Ning répond « Oui ? »
Youngseo continue "On n'a pas trop eu le temps de faire connaissance, je suis pas la fille la plus visible de la résidence, mais je voulais vous dire que j’apprécie énormément le temps que je passe avec vous. J’ai jamais eu trop d’amies parce que je suis relativement introvertie et donc je sais jamais trop quoi dire quand on est ensembles. J'espère qu'on pourra partager encore plus de moments ensemble et construire des souvenirs… Merci de m'inclure dans votre cercle, ça signifie beaucoup pour moi."
« Oh viens là toi » dis Ning en tendant les bras en direction de Youngseo.
Youngseo et Ning s’enlacent alors que Youngseo lâche une petite larme qu’elle essuie très vite.
Tu souris et te rapproche d’elles afin de te joindre au câlin.
« Merci les filles » répond Youngseo, avant de continuer « Bon, on a encore pas mal de boulot à faire on y retourne ».
Vous riez toutes les trois et retournez décorer.
Tu branches la playlist que Karina a fait pour ce soir et laisse défiler la musique pendant que vous effectuez les test lumières.
“Hunter vient ce soir ? Ça fait un moment que je l’ai pas vu.” tu demandes à Ning en réglant les couleurs d’un des spots.
Ning fait une petite moue “Avec Hunter ça va pas trop bien en ce moment, il est un peu distant, il me raconte pas ses journées ou ses cours et il a jamais le temps pour qu’on se voit…”
Tu te rapproches d’elle et va lui faire un câlin avant de lui dire “Ça doit être le stress, il fait partie de l’équipe de football américain et le niveau est plus complexe que l’année dernière…”
“Ça doit être ça” répond Ning avant de se forcer à sourire et se concentrer sur les toiles d’araignée qu’elle était en train d’installer.
Tu sais que son sourire n’est pas franc mais au stade actuel tu ne peux pas vraiment faire quelque chose pour ça, il faut qu’Hunter et Ning communiquent plus.
Plusieurs heures passent pendant que vous décorez la salle Seol.
La pièce, métamorphosée pour la fête d'Halloween, respire une ambiance mystérieuse et festive. Des chauves-souris suspendues au plafond ajoutent une touche effrayante, tandis que des toiles d'araignée ornent les balustrades, créant une atmosphère “spooktaculaire” comme le dit Youngseo.
Les néons habilement réglés illuminent l'espace, projetant des ombres dansantes sur les murs. L'éclat des spots met en valeur chaque détail, créant une symphonie visuelle parfaitement adaptée à la célébration de la nuit d'Halloween.
Soojin et Jinsik entrent dans la pièce.
“Vous êtes encore là ? OH WOW” s’exclame Soojin.
“Vous avez vraiment fait du bon boulot” continue Jinsik, regardant chaque coin de la pièce.
Vous vous tenez toutes les trois devant Soojin et Jinsik, fières d’avoir métamorphosé la pièce.
Soojin prend quelques photos de la salle, heureuse de vous avoir fait confiance.
“Franchement les filles, je suis épaté, on va signaler vos dossiers a la direction de l’établissement, vous aurez une note de contribution à la vie étudiante qui sera ajoutée à votre bulletin, ça vous aidera si vous avez pas la moyenne à un examen ou devoir.” continue Jinsik.
Vous remerciez Jinsik.
“Qu’est ce que vous faites encore là ? Allez vous préparez ! Vous allez quand même fêter votre travail bien fait non ?” s’exclame Soojin en vous regardant.
Vous rigolez toutes les trois et quittez la résidence ShinSoo et vous dirigez vers Nymphéa afin de vous préparer.
Tu rentres dans ta chambre et attrape la tenue que tu as mise sur cintre ce matin.
Tu te glisses dans la tenue de fraise sexy, revêtant le body rouge qui représente le fruit avec élégance.
Les bottes en fourrure verte ajoutent une touche ludique à l'ensemble, tandis que le petit sac à main et le serre-tête, arborant la tige de la fraise, complètent le look d'une manière à la fois espiègle et charmante. Prête pour la soirée d'Halloween, tu t'admires dans le miroir, appréciant le détail de chaque accessoire.
“Ça te fait de super belles fesses” te dit Natty, s’appuyant sur le cadran de la porte.
“T’es déguisée en … Chucky ?” tu lui demandes en te retournant, la voyant avec une perruque rousse, vêtue d’une salopette bleue tachée de sang.
“Bien vu ma petite fraise” elle te répond en sortant un couteau en plastique de sa poche.
Vous riez toutes les deux.
“Et moi ? on reconnaît mon déguisement ?” demande Youngseo en se présentant dans le cadran de porte également.
“Hum… pas vraiment” lui répond Natty en la regardant de haut en bas avant de répondre “Cependant la barbe est sympa”.
Tu regardes Natty et lui dit “T’es sérieuse ? On reconnaît tout de suite !”
Youngseo te regarde et sourit.
“C’est Bob Ross !” tu t’exclames.
“Connaît pas” répond Natty.
Youngseo lève les yeux au ciel et retourne dans le salon avec sa perruque frisée et sa barbe.
“Tu comptes draguer qui ce soir ma belle ?” te demande Natty en s’asseyant sur le rebord de ton lit.
Alors que tu retravailles la fourrure de tes bottes, tu lui réponds “Personne, je me concentre sur mes études cette année, je veux pas d’un mec qui va me déstabiliser”.
“Et pourquoi pas une nana ?” demande Natty en ricanant.
Tu lui donnes une tape sur l’épaule en riant.
Vous vous rendez toutes les deux dans le salon en attendant les autres filles avant de partir.
Iroha sort de sa chambre, elle incarne une version audacieuse de Belle de "La Belle et la Bête". Son costume met en valeur ses courbes avec un soutien-gorge jaune orné de manches papillon élégantes. Un porte-jarretelles jaune accentue sa silhouette, surplombé d’un léger volant de la même couleur, révélant ses jambes gracieuses. L'ensemble dégage une sensualité raffinée tout en restant fidèle au personnage emblématique de Disney.
C’est au tour de Ning de sortir de sa chambre, métamorphosée en une version féérique d'Alice au Pays des Merveilles. Elle porte une robe bleue claire évoquant le célèbre personnage, ornée de détails délicats. Ses cheveux sont agrémentés d'un bandeau assorti, ajoutant une touche adorable à son déguisement. Un tablier blanc finit d'ajouter une note authentique à sa transformation en cette héroïne bien-aimée de contes.
Kazuha quant à elle, incarne le personnage emblématique de Béatrix Kiddo de "Kill Bill". Elle porte la combinaison jaune caractéristique du film, ajoutant une touche de mystère et de puissance à son look. Ses cheveux sont soigneusement coiffés, et elle porte une épée en plastique à la ceinture, capturant parfaitement l'esprit de l'héroïne de Tarantino.
“Jang nous rejoint directement la bas avec San” tu annonces en lisant le message que Jang vient de te laisser.
Vous quittez Nymphéa.
En vous rendant à la résidence ShinSoo, vous croisez une variété étonnante d'étudiants déguisés.
Certains arborent des costumes extravagants avec des masques mystérieux, tandis que d'autres optent pour des tenues sexy qui attirent l'attention. Certains étudiants ont également choisi des costumes plus traditionnels, créant une ambiance éclectique et festive dans l'atmosphère vibrante de la soirée d'Halloween.
“J’aime bien ton costume, c’est original” te dit Ning pendant que vous marchez.
“Oh merci, j’aime beaucoup le tiens aussi, je trouve qu’il te correspond très bien” tu lui réponds en souriant.
Vous arrivez à la résidence ShinSoo, et dès que vous franchissez le seuil, vous êtes accueillie par les notes percutantes de "Beautiful Liar" de MONSTA X, qui résonnent à un volume maximum à travers les enceintes de la résidence.
L'ambiance est électrique, avec des personnes dansant au rythme de la musique, d'autres discutant joyeusement tout en tenant des verres à la main, et quelques-unes profitant de l'air frais à l'extérieur tout en fumant. La soirée d'Halloween s'annonce déjà comme une expérience inoubliable.
Alors que tu te faufiles afin d’atteindre le bar, tenant la main d’Iroha, ton visage tape contre le torse d’un homme déguisé avec le masque de Ghostface, cependant, habillé d’un léger débardeur noir déchiré avec du sang.
“Voilà une jolie petite fraise perdue avec son amie la princesse un peu moins farouche” dit il en relevant son masque.
“Pousse toi Éric” tu lui réponds.
“Seulement si ta copine me fait un bisou ici” dit-il en pointant sa joue.
Iroha ricane et lui fait un léger baiser sur la joue avant de dire “La jolie princesse t’a embrassé mais tu restes toujours un crapaud”.
Éric baisse son masque sur un sourire en coin avant de s’écarter et vous laisser passer.
Vous atteignez le bar et apercevez Julie et Natty qui dansent ensemble sur « Peek A Boo » de Red Velvet.
À leur habitude, elles enflamment le dancefloor en envoûtant tous les autres avec leurs mouvements de bassin.
Tu tournes la tête vers le bar alors que tu vois Taesan en train de discuter avec Hunter au bar.
Julie est déguisée en une version sexy de Buzz l'Éclair. Elle porte un soutient gorge blanc avec une petite armure blanche par dessus, ainsi qu’un short moulant rappelant l'uniforme de l'astronaute emblématique, mettant en valeur ses formes. Les détails du casque et des ailes sont présents, ajoutant une touche ludique et coquine à son déguisement. Son sourire malicieux et son assurance font de son costume une interprétation unique et séduisante du personnage de Disney.
Hunter lui, s’est concerté avec Ning et incarne le Lapin Blanc d'Alice au Pays des Merveilles, adoptant une version sexy du personnage.
Il porte un serre-tête avec des oreilles de lapin blanc, mettant en valeur son look ludique. Son torse est nu, ajoutant une touche sensuelle à son costume, tandis qu'il porte un pantalon blanc. Un petit pompon sert de queue, complétant le style espiègle et coquin de sa tenue.
Quant à Taesan, il est déguisé en mercenaire. Il porte un ensemble noir ajusté qui met en valeur ses muscles, avec des détails tactiques qui donnent une touche authentique à son costume, comme le fusil d’assaut qu’il a d’accroche dans le dos. Il arbore un t-shirt moulant noir qui moule parfaitement ses abdos bien définis. Ses bottes montantes complètent l'ensemble, ajoutant une note audacieuse à son allure de mercenaire.
“Sympa vos costumes !!” s’exclame Iroha.
“Merci princesse” répond Taesan en analysant sa tenue.
Alors qu’Iroha fait une révérence à Taesan face à sa petite remarque, un homme étant vêtu du costume emblématique de Patrick Bateman dans American Psycho lui met une petite fessée.
« Eh ? Ça va pas ? » dit Iroha en se retournant, mettant sa main sur sa fesse.
Tu te retourne vers lui avant de dire “T’es sérieux Mingi ? Tu sais vraiment pas te tenir ?”
Iroha te voyant sermonner Mingi, elle se retourne et continue sa conversation avec Taesan et Hunter.
Taesan ne semble pas être indifférent au charme d’Iroha, contrairement à Hunter qui ne la regarde pas plus que ça, peut être cherchant Ning du regard.
“C’est Halloween, détends toi un peu pour une fois” te répond Mingi en passant son bras derrière ton cou.
Tu lèves les yeux au ciel, il a probablement déjà un peu bu.
“Sympa ton costume” tu lui dis en remarquant son effort pour une fois.
“Oh tu aimes ? Tu connais le personnage ?” dit-il, le regard plongé dans le tiens.
“Oui, Patrick Bateman est un personnage super connu Mingi, c’est pas le costume le plus original mais c’est mieux que d’avoir un simple masque de Ghostface en étant torse nu.” tu lui répond en regardant Éric dansant sur la piste, son débardeur ayant disparu en 5 minutes.
“Tu sais que je suis un homme plus réfléchi, plus pointilleux, qui fait plus attention aux détails..” te réponds Mingi, faisant glisser la lame de son couteau le long de ta mâchoire.
Tu sens le froid de la lame sur ton visage, il n’a pas prit un couteau en plastique.
Il fait glisser la lame du couteau sur ton cou, avant de descendre sur ta poitrine.
Ton cœur bat très fort, il sait y faire.
Il remonte le couteau sur ton menton, avant de mettre le dos de la lame devant ta bouche et de te dire “lèche”.
Tu le regardes, son regard est empli d’une lueur sombre, tu ne sais pas ce que c’est mais tu sais que le couteau n’est pas un factice, que Mingi a probablement bu et que tu ne veux pas d’entaille sur ton visage ce soir.
C’est la version raisonnable de ton cerveau ça, toi, tout ce que tu veux faire maintenant, c’est entrer dans le jeu de Mingi.
Tu sors ta langue, et lèche le dos de la lame du couteau, du manche jusqu’a la pointe, du bout de la langue; tout en gardant le contact visuel avec Mingi.
Tu peux voir qu’il aime ce qu’il voit, il s’en lèche les lèvres.
“Bonne fille” dit-il en rétractant la lame de son couteau, avant de le ranger dans sa poche.
Il retire son bras de derrière ton cou et s’éloigne dans la foule en te faisant un petit clin d’œil.
Ce mec est vraiment taré.
Tu t’approches du bar afin de prendre un cocktail.
Pendant que tu patientes, tu aperçois une silhouette se tenant face à toi à l’autre bout de la pièce. Tu plisses un peu les yeux et distingue que cette personne est déguisée en Diable Rouge, exactement le même que dans Scream Queens : pantalon Noir, cape rouge, armure abdominale rouge et le fameux masque du diable rouge.
Le costume est sympa, pas tout le monde à la référence, c’est quelqu’un qui a du goût.
Il avance dans ta direction, d’un pas déterminé.
Alors que ton regard est bloqué sur lui, il s’avance de plus en plus rapidement, avec ce qui semble être un couteau à la main.
Tu es soudée et ne peux bouger, la peur envahit ton corps, il se rapproche dans la foule devant toi.
Soudain, tu le perd de vue, tu regarde partout mais ne peut le voir à nouveau.
Le barmaid t’interpelles et te tend ta boisson, interloquée, tu secoues la tête en pensant que c’est juste la fatigue qui te fait halluciner.
Iroha revient vers toi en te disant « J’ADORE TAESAN »
« Étonnant qu’il t’ai laissé entière alors qu’il te dévorait du regard » tu lui répond en la regardant en coin.
« Ça vaaaaa, c’est la fête ce soir ! » dit-elle en commençant à danser, se frottant à toi, déjà bien plus alcoolisée que toi.
Tu lui prends la main et vous divaguez dans la grande résidence.
« Tu va baiser ce soir ? » te demande Iroha, complètement déchirée.
« T’as bu combien de verres Iroha ? » tu lui demandes alors que vous vous arrêtez devant les escaliers.
« 2 ! » te répond elle en montrant 3 doigts.
« Et t’es déjà bourrée ? » tu lui réponds en faisant la moue.
« Mais je suis pas bourrée je suis heureuuuuse » elle te répond en marchant de travers avec ses talons de 15 centimètres.
Alors que vous prenez (difficilement pour Iroha) les escaliers pour monter à l’étage, quelqu’un t’interpelle. Tu te retournes et aperçoit Junghwan, déguisé en médecin.
“Tu t’amuses ?” te demande t’il, ses lunettes sur le nez et son stéthoscope autour du cou.
“Oui docteur mais je pense souffrir d’hallucinations” tu lui répond en le taquinant.
“Il va falloir que j’examine ça alors” dit-il avant de te prendre la main et te tirer dans une autre direction.
« Non attends je dois surveiller Iroha elle va pas trop bien » tu lui réponds.
« MAIS NON VA T’AMUSER MA BELLEEEE » répond Iroha en s’asseyant sur les marches.
« Elle va très bien Iroha, aller viens ! » dit-il avant de te tirer avec lui dans le placard d’entretien.
Tu as une impression de déjà vu.
“Qu’est ce que tu fous Junghwan ?” tu lui demandes, sentant des picotements dans ton bas ventre alors que vous êtes collés l’un contre l’autre.
Tu peux ressentir les pectoraux de Junghwan contre ta poitrine, son souffle frôlant ta joue.
“Tu connais 7 minutes au paradis ? C’est ce qu’on va faire tout de suite” dit-il en souriant.
Il continue “On va se répondre à nos questions mutuellement et sincèrement pendant 7 minutes”.
Tu t’attendais à quelque chose de plus sexy pour halloween.
Tu acquiesces.
“Très bien, je commence” dit-il avant de continuer “Crème chantilly ou Chocolat fondu ?”
“Chantilly” tu lui réponds presque instantanément.
Il sourit en coin.
“À mon tour” tu commences, “Action ou vérité ?”
“action” répond Junghwan, ses yeux emplis de compétition.
“Pose ton index et ton majeur sur ma bouche” tu lui réponds.
Junghwan est en train d’approcher ses doigts de ta lèvre inférieure alors que soudainement, tu sors ta langue et suce ses doigts en le regardant dans les yeux.
Tu vois le regard de Junghwan se perdre en regardant ses doigts, sa respiration devient saccadée, tu sens même sa queue durcir contre toi.
Tu maintiens le regard et enfonce ses doigts plus profondément dans ta bouche.
“Ça fait 7 minutes” répond t’il avant d’appuyer sur la poignée de la porte, vous faisant sortir tous les deux du placard.
Vous tombez sur Jang, habillée en Evoli Sexy.
“Qu’est ce que vous faisiez là dedans vous deux” dit-elle en se tenant les hanches et levant un sourcil.
Junghwan répond “absolument rien” avant de partir en direction opposée à la vôtre en un éclair.
Jang s’approche de toi avant de te dire “Tu va pas tourmenter ce pauvre garçon quand même ?”
On peut rien cacher à Jang, en faisant ce tout petit acte sur Junghwan, tu l’as peut être assez déstabilisé. Toi tout ce que tu veux, c’est ton stage.
“Non, promis” tu lui réponds en souriant.
Elle t’attrape la main et vous montez toutes les deux à l’étage.
Iroha n’est plus sur les marches de l’escalier, tu t’inquiètes et demandes à Jang « T’as pas vu Iroha ? »
“Non, il faut que je trouve ce Seunghan” dit-elle, déterminée.
“Pourquoi ?” tu lui réponds avant de continuer “Et San ?”
“Rohhhh, c’est juste de la curiosité, j’aime connaître tout le monde” dit-elle.
Tu te retournes pour regarder derrière toi et aperçoit la silhouette du diable rouge en bas des escaliers, te regardant.
Tu arrêtes Jang en tirant sur ton bras et lui dit “Jang attends, je crois que ce mec me suit”.
Jang se retourne, et te dit “Quel mec ?”
Tu te retournes également avant de répondre “Il était juste là, le diable rouge, tu l’as pas vu ?”
Jang attrape son téléphone portable, active son flash avant de le pointer vers tes yeux et dire “T’as bu toi non ?”
“Je te jure que non Jang, y’avait un gars déguisé en diable rouge” tu lui réponds.
“Tout le monde est déguisé ce soir, c’est Halloween, t’as oublié ?” te répond t’elle.
Tu soupires et suit Jang, tu deviens peut être parano.
Alors que vous arrivez dans la salle Seol, Jang crie “IL EST LÀ”.
“Comment tu sais ?” tu lui réponds.
“Éric m’a dit que Seunghan était déguisé en prêtre, et c’est le SEUL prêtre que j’ai vu de la soirée” te répond t’elle en te tirant dans sa direction.
Vous arrivez à la hauteur de Seunghan.
“Coucou” commence Jang avec une petite voix aguicheuse.
Seunghan se retourne.
Il est bien déguisé en prêtre, soutane, petites lunettes, cheveux gominés et même une petite bible.
“Salut” dit-il en souriant, les dents aussi blanches que le lavabo de ta salle de bain.
“Je t’ai jamais vu ici, je pense que je m’en serais souvenue … t’es nouveau non ?” répond t’elle.
“Exact, j’étais à New York l’année dernière mais l’appel du soleil de la côte ouest était trop puissant” dit-il en riant avant de continuer “Moi c’est Seunghan”.
“Enchantée, moi c’est Jang, t’as insta ?” dit-elle avant qu’il ne lui indique son instagram.
Tu lèves les yeux au ciel, t’es vraiment la troisième roue du carrosse alors que Jang est avec San.
Mais Jang à raison, Seunghan est plutôt mignon, et ce costume de prêtre … fais que dieu ne puisse pas lire tes pensées.
“Merci mon beau, à plus tard” dit-elle avant de lui envoyer un bisou.
Seunghan te fait signe alors que Jang te tire de l’autre côté de la pièce.
“Tu crèves la dalle toi c’est pas possible” tu lui dis.
“J’ai pris son insta pour toi, ça va te faire du bien de voir un mec qui a l’air sympathique, il est nouveau, c’est pas ton rival académique et il a pas l’air toxique, de ce qu’Eric m’a dit” te répond t’elle.
“Ah parce que ERIC SOHN s’y connaît en toxicité ?” tu lui réponds en croisant les bras.
“Je t’ai envoyé son profil sur insta » dit-elle en souriant, avant de continuer avec « de rien ».
Tu soupires.
“Je dois aller surveiller San, on se revoit plus tard ?” te dit-elle.
“C’est pas plutôt San qui devrait te surveiller ?” tu lui réponds en regardant sa tenue presque plus révélatrice que celle d’Iroha.
Jang ricanne et s’éloigne.
Tu t’adosses contre le mur et bois l’intégralité de ton verre.
Tu sens que l’alcool monte rapidement à ta tête et tu te sens un peu excitée.
Tu en profites pour envoyer un message à Jay, il doit être super sexy avec son costume d’Halloween.
*T’es à la résidence ShinSoo ?*
*Oui*
*T’es déguisé en quoi ? 👀*
*J’ai un masque de Ghostface*
tu soupires
*y’a genre 50 masques de Ghostface ici*
*Je suis en costume, avec un masque de Ghostface, tu devrais me reconnaître depuis le temps*
Tu souris, il doit être super sexy.
Alors que tu te balades dans les couloirs, tu aperçois une silhouette en costume avec un masque de Ghostface, c’est Jay.
Tu t’approches de lui, et lui dit « J’ai envie de toi »
Il se retourne et t’attrapes la taille sans rien dire.
Il la joue comme dans Scream, c’est super sexy.
Tu lui prends la main et tu cherches une salle vide.
Vous entrez dans la salle de musique, avec tous les instruments pour les cours de musique.
Tu plaques Jay contre le mur de la pièce vide, Il appuie sur ton épaule et te mets à genoux.
Il déboutonne sa chemise, laissant une vue imprenable sur ses abdominaux saillants.
Tu lèves les yeux et voit juste le masque de Ghostface te regarder de haut alors qu’il déboucle sa ceinture.
Il t’attrape le menton avec une main et serre tes joues afin que tu ouvres la bouche.
Il baisse son pantalon à ses genoux.
Il fais glisser tes paupières avec ses doigts, de manière à te faire fermer les yeux.
Tu entres dans son jeu, tu fermes les yeux.
Tu l’entends grogner alors qu’il sort son pénis déjà dur de son caleçon.
Tu sens le bout de son gland frôler tes lèvres, tu ouvres délicatement la bouche et commence à le sucer.
Jay passe ses mains dans tes cheveux alors que tu t’appliques à lui donner ce que tu ne lui a pas donné depuis longtemps.
Il paraît plus épais que d’habitude, tu as plus de mal à le faire rentrer dans ta bouche.
Cependant, ça fait longtemps que tu n’as pas pu lui donner ce plaisir, ce qui expliquerait pourquoi elle paraît plus imposante que d’habitude.
Les yeux toujours fermés, tu entends des pas dans la pièce; tu t’arrêtes dans ton action et tournes la tête.
Un autre Ghostface en costume cravate ferme la porte à clé derrière lui en riant dans son masque.
Tu es perdue.
« Jay ? » tu commences.
« Oui ? » répondent les deux Ghostface en même temps.
Les voix sont étouffées dans le masque, c’est impossible qu’il y ai deux Jay ?
Tu tentes de te relever mais le premier Ghostface t’appuies sur l’épaule afin de te garder à genoux.
Tu le regardes, il te fait signe « non » de la tête.
Alors qu’il te tient l’épaule avec la main gauche, il se branle avec la main droite, attendant que tu te remette au travail.
« Suce le » t’indique l’autre Ghostface, sur un ton plus qu’autoritaire.
Tu t’exécutes.
L’autre Ghostface se rapproche en débouclant sa ceinture.
Il se place à côté de l’autre Ghostface et sort sa queue en se masturbant, gémissant au bout de quelques frictions.
Le Ghostface que tu suces te dis « Suce le lui aussi ».
Tu attrapes la queue du deuxième Ghostface et le branle avant de le sucer également.
Le Ghostface étant arrivé en second, tapote son gland sur ta langue avant de caresser ton visage pendant que tu le suces.
Tu t’approches du premier Ghostface quand soudain il t’agrippe violemment les cheveux derrière ta tête avant d’enfoncer plus que difficilement tout sa longueur dans ta gorge.
Tu confirmes qu’il est bien plus épais que la dernière fois, tu peux ressentir chaque veine dans ta gorge tellement sa queue est épaisse.
Il maintient ta tête dans ses mains alors que tu t’agrippes à ses cuisses pendant qu’il donne de violents coups de reins dans ta gorge.
« Eh doucement, va pas l’abîmer » dit le second Ghostface.
« T’as raison » répond t’il avant de tirer sur tes cheveux en arrière pour refaire sortir sa longueur.
Tu te recules un peu afin de reprendre ta respiration, un long filet de bave relie sa queue de tes lèvres.
Il passe son pouce sur ta joue pour essuyer tes larmes.
Il t’attrape, te soulève et te couche sur le dos, sur l’une des tables de la classe.
Il se rapproche à nouveau pour que tu te remettes à le sucer, c’est ce que tu fais alors qu’il tient ta tête pour un meilleur appui.
Le deuxième Ghostface te rapproche du bord de la table en attrapant tes hanches.
Il fait glisser ton body sur le côté, passe sa main sous le masque afin de cracher dedans et étaler sa salive sur sa queue.
« T’es toute mouillée j’ai même pas besoin de te préparer » dit-il avant de relever légèrement son masque pour donner un long coup de langue sur ta chatte humide.
Il se redresse, frotte le bout de son gland sur ta fente et enfonce toute sa longueur en quelques secondes.
Tu gémis fortement, alors que le premier Ghostface agrippe à nouveau tes cheveux et te baise la bouche comme il ne l’a jamais fait auparavant, sa poigne est si puissante, si violente.
Alors que tu sens les coups de reins s’intensifier, signifiant qu’il arrive à l’ejaculation, tu fais glisser ta langue en traçant de petits contours alors que sa queue fait des va et viens dans ta gorge.
Le deuxième Ghostface, celui qui te tient par les hanches en te baisant, te détruit complètement le vagin en te martelant de coups de reins, les claquements résonnent bruyamment dans la pièce tellement ces deux hommes sont violents.
« T’aimes ça salope hein ? » te dit le Ghostface entre tes jambes alors qu’il a tes jambes sur ses épaules pendant qu’il abuse de ta chatte.
Tu gémis pour acquiescer à sa demande.
« Bonne chienne ça » répond le Ghostface que tu suces alors que ses coups de reins dans ta bouche s’accélèrent.
Tu sens l’orgasme arriver, ton dos se cambre alors que les deux Ghostfaces t’utilisent pour leur plaisir mais te donne également énormément de plaisir.
Alors que ton gémissement est étouffé à cause de la queue que tu suces, ta chatte se resserre sur la queue du deuxième Ghostface suite à ton orgasme.
Lors d’un coup de rein plus sec, le Ghostface que tu suces maintient ta tête, de manière à ce que toute sa longueur soit dans ta gorge.
Il éjacule au fond de ta gorge en gémissant.
L’autre Ghostface, voyant la scène, agrippe plus fermement tes hanches, ses ongles plantés dans la chaire de ton bassin.
Ses gémissements deviennent de plus en plus forts, les coups de reins te martèlent le vagin lorsqu’il se retire pour éjaculer par terre.
Alors qu’il se retire de ta bouche, tu en profites pour reprendre ton souffle. Tu t’essuies la bouche et l’entend reprendre sa respiration également.
Le Ghostface que tu suçais retire son masque pour respirer l’air frais, son orgasme l’étouffant à cause de la chaleur sous le masque.
Il laisse tomber son masque sur le sol avant de soupirer de plaisir « Oh bordel ».
« MINGI ?! » tu t’exclames, encore sonnée de ses coups de reins.
« J’ai bien cru que j’allais devoir le garder jusqu’à ce que je sorte de cette putain de pièce» répond t’il en souriant.
Tu tournes la tête pour regarder l’autre Ghostface alors qu’il retire son masque également.
C’est Jay.
« Surprise » dit-il en souriant en coin également.
« Pourquoi ? » tu réponds en t’asseyant sur le rebord de la table.
�� Pour te calmer ? Ça va mieux ? Tu va lâcher Junghwan maintenant ? » répond Jay en remettant son pantalon.
Tu clignes plusieurs fois des yeux avant de lui répondre « T’as fait ça parce que t’es jaloux ? »
« J’ai fait ça parce que t’es une salope » répond t’il en resserrant sa cravate.
« T’es vraiment un connard » tu lui réponds, toujours essayant de reprendre ton souffle.
« J’ai autant aimé que toi si ça peut te rassurer » répond t’il en reboutonnant sa chemise.
Tu dois avouer que c’est mal… cependant tu as adoré la manière dont Jay et Mingi- NON
« Et toi ? Pourquoi tu m’as pas dit que c’était toi ? » tu dit à Mingi en le regardant s’appuyer contre le mur.
Il te réponds « T’aimes jouer avec les gens, tu t’es bien amusée à Paradise, la roue tourne beauté » en ne te lâchant pas du regard.
« Je veux plus te revoir avec Junghwan maintenant, c’est compris ? » dit Jay.
« Sinon quoi ? » tu lui réponds en levant les sourcils.
« Ne m’oblige pas à prendre de plus grosses mesures, tu sais que j’en ai le pouvoir maintenant » répond t’il en s’approchant de toi, te laissant un baiser sur le front.
Tu le repousses.
« Je te laisse te reposer, t’en a bien besoin » dit-il avant de quitter la pièce, remettant son masque.
Tu te lèves de la table, tu fouilles dans ton sac à main, attrape ton téléphone et porte ton téléphone à ton oreille.
« Tu fais quoi là ? » te demande Mingi en s’approchant d’un pas déterminé, la chemise toujours ouverte.
« J’appelle les filles » tu réponds alors que tu attends que Jang décroche.
Mingi se rapproche de toi, son visage n’est plus qu’à quelques centimètres de ton visage alors qu’il te répond « Oh, tu veux vraiment que Kazuha apprenne que tu m’a emmené dans cette pièce pour me vider les couilles ? »
Tu le regardes, tu ne sais pas quoi répondre.
*Allo ? Je t’entends pas ???* dit Jang dans le téléphone.
« Maintenant raccroche » t’ordonnes Mingi en te regardant dans les yeux.
Tu raccroches.
« Bien » dit-il avant de se retourner pendant qu’il reboutonne sa chemise.
Il ramasse son masque par terre, s’approche de l’encadrement de la porte avant de te dire « Joyeux Halloween Princesse ».
Tu t’assoies par terre, contre la table.
Tu essaie de réaliser ce qu’il vient de se passer.
Tu repenses à ce qu’il s’est passé, les mains de Mingi, son souffle, sa poigne…
La manière dont Jay te baisait était tellement passionnelle … Non, il faut que tu arrêtes d’y penser, Jay a fait ça pour t’éloigner de Junghwan alors qu’il ne se passe absolument rien de sérieux entre vous. De plus, tu ne dois rien à Jay, tu n’es absolument pas sa petite amie.
Tu décides d’aller te rafraîchir dans la salle de bain.
Tu entres dans la salle de bain, heureusement vide, t’appuies contre le lavabo et te passes un coup d’eau sur le visage.
Maintenant que tu as reprit tes esprits, tu reprends ton téléphone pour répondre aux messages d’Iroha mais ton téléphone n’a plus de batterie.
Tu fouilles ton sac mais tu te rends compte qu’avec l’excitation de la soirée, tu as oublié ta batterie externe et ton chargeur dans ta chambre.
Tu traverses la résidence ShinSoo en évitant les espaces bondés et emprunte un des chemins en direction de Nymphéa pour aller chercher ta batterie.
Tu prends le chemin principal, cependant, il faut bien marcher 8 minutes avant de pouvoir atteindre Nymphéa et le sentier n’est pas si éclairé que ça, certains lampadaires sont éteins pour des raisons écologiques.
Tu te perds dans tes pensées, 8 minutes de calme ou tu n’entends que le bruit des graviers sous tes pieds. Tu te détends en marchant paisiblement.
Alors que tu marches seule, tu entends soudainement le gravier mais cette fois ci, derrière toi.
Le bruit derrière toi prend de l’ampleur, résonnant dans le silence nocturne du campus.
Ton cœur s’accélère, l’inquiétude grandit à chaque pas. Tu jettes un regard furtif en arrière, percevant une ombre indistincte qui semble te suivre.
Tu accélères légèrement la vitesse de tes pas mais tu entends que la vitesse de l’ombre derrière toi accélère également.
Tu te retournes complètement, tu n’en crois pas tes yeux.
La silhouette du diable rouge se tient ici, à quelques mètres de toi, sous le lampadaire, et ne bouge plus.
Ton cœur s’emballe, tous les étudiants sont à la soirée, t’es juste éméchée, personne ne te suit tu hallucines.
Alors que tu te retournes en secouant la tête, tu décides de continuer ton chemin, tu jettes un coup d’œil derrière toi et aperçoit toujours la silhouette te suivre.
Tu accélères le pas, il faut que tu atteignes Nymphéa au plus vite, cette silhouette est plus que menaçante.
Tu te mets à courir, tu l’entends courir derrière toi également.
Alors que Nymphéa ne se situe qu’à quelques mètres de toi à présent, un de tes talons se casse sous la pression en ayant marché sur un caillou.
Tu chutes et t’égratigne le genou.
La douleur lancinante se propage dans ton genou égratigné alors que tu tombes au sol, ton talon cassé gisant à côté de toi. La poussière des graviers se mêle à la plaie, intensifiant la sensation désagréable. Le bruit persistant se rapproche davantage, et tu te sens vulnérable, gisant sur le sol sombre du campus.
Tu entends le diable rouge courir en ta direction.
La peur parcourt chaque fibre de ton être alors que le diable rouge s’approche. Ton cœur bat à tout rompre, l’adrénaline pulsant dans tes veines alors que la panique s’installe.
La douleur dans ton genou t’empêchant de te relever, tu décides de crier « AIDEZ MOI S’IL VOUS PLAÎT » et te mets à pleurer alors que tu rampes dans les graviers.
La scène te plonge dans une terreur palpable, le bruit des graviers sous tes mains résonnant dans le tumulte de la soirée d’Halloween.
Les cris déchirent ta gorge, mais la cacophonie joyeuse de la soirée d'Halloween étouffe chaque appel à l'aide. L'isolement s'accentue, une sensation étouffante de vulnérabilité enveloppant le cri perdu dans la nuit festive.
La détresse s'intensifie alors que tu cherches désespérément une issue à cette situation oppressante.
La silhouette menaçante du diable rouge s’approche implacablement, amplifiant ta panique alors que chaque cri semble englouti par la nuit.
La peur s’intensifie, une danse macabre entre l’isolement et l’ombre menaçante qui s’approche.
La silhouette arrive à ta hauteur s’agenouille au dessus de toi, t’attrape l’épaule avant de te retourner sur le dos.
Tu le vois sortir un couteau reflétant bien trop la lueur des lampadaires pour être un couteau factice.
Tu pleures mais garde les yeux ouverts et essaie d’atteindre son masque pour lui retirer.
Il prend soudainement un puissant élan avec le couteau afin de te porter un potentiel coup au visage. Dans un dernier espoir tu portes ta main au visage en criant.
La lame du couteau s'enfonce dans le sol à quelques centimètres de ta tête, créant une tension palpable dans l'air. Le diable rouge maintient cette menace, te laissant trembler d'effroi face à cette situation angoissante. Les secondes s'étirent alors qu’il se relève.
Tu retires ta main de ton visage et vois la silhouette te regarder de haut.
Il retire son masque.
Alors qu’il lâche le masque au sol, ta mâchoire lâche avant que tu ne t’exclames :
« Intak ?! »
FIN DE L’ÉPISODE 5 PARTIE 1
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❓❓Et vous, Connaissez-vous les vins des Côteaux des Baronnies ❓❓
🍇🍷IGP Côteaux des Baronnies rouge 2021 cuvée Le Ciel de @domaine_larougejouvence 🍇🍷:
🍇 :
100% Grenache
💰:
Non communiqué par le Domaine
👁️ :
Robe de couleur grenat avec des reflets violet
👃 :
Un nez sur des notes de fruits noir (myrtille, cassis, prune)
💋 :
En bouche on a un vin avec des tanins souples, une belle rondeur, légèrement épicé. Sur des arômes de cassis, griotte, fraise des bois. Une bonne longueur en bouche avec une finale sur les notes chocolatées et la réglisse.
📜En résumé📜 :
Un coteaux des Baronnies qui m'a particulièrement plu. Un vin d'une belle gourmandise et très aromatique. Si vous ne connaissez pas cette IGP foncé la découvrir avec cette belle cuvée.
🧆Dégusté sur un plateau de charcuterie 🧆.
🙋♂️Un grand merci au @domaine_larougejouvence pour l'envoi de cette bouteille, dans les prochains jours je vous présenterai d'autres vins de domaines différents. Restez connecté pour en savoir plus🙋♂️.
🗣️N'oubliez pas, boire un canon c'est sauver
un vigneron. Allez voir le site internet du @domaine_larougejouvence pour voir toutes les cuvées et promotions du moment 🗣️.
🔞« L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération »🔞
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Je vous guette du haut de mes bulles d'air 💭
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New City Gas entame sa 10ème année avec une programmation du Grand Prix signée Red Bull Racing
À l’aube de son 10ème anniversaire, le New City Gas annonce une programmation haute en couleur dans le cadre du Grand Prix de Formule 1 du Canada. Combinant art, musique, technologie et gastronomie, l’offre permettra à tous les publics de vivre une expérience unique sur le site historique situé en plein cœur du quartier Griffintown. « Il y a 10 ans, c’est lors du Grand Prix de Formule 1 que le New City Gas a permis à Montréal d’entrer dans une nouvelle ère de divertissement et de culture. C’était important d’amorcer cette nouvelle décennie avec une programmation à l’image de notre évolution: diversifiée, rassembleuse et innovante », explique Alex K, propriétaire du New City Gas et de l’agence Produkt.
Programmation musicale La collaboration avec l’écurie de Formule 1 en tête du championnat permettra le retour en sol montréalais d’icônes de la scène musicale internationale. Patrón, partenaire officiel du pilote Sergio Perez et du F1 Paddock Club, présentera vendredi le concert du duo Canadien Loud Luxury. Samedi, Red Bull Racing présentera le DJ international Steve Aoki. Celui-ci deviendra le premier artiste à performer à 6 reprises au New City Gas, ses 5 derniers concerts ayant été à guichet fermé. Fidèle à ses habitudes, Guy Laliberté sera aux platines pour les festivités du dimanche lors d’une soirée signée par la Maison de champagne Dom Pérignon. En plus des têtes d’affiches, une foule d’artistes locaux viendront compléter la programmation afin de permettre aux talents d’ici de rayonner sur une scène de calibre internationale. Pour voir la programmation complète, rendez-vous sur le site web de New City Gas. Retour de Bazart et des jeudis 5 à 7 Fort du succès connu l’été dernier, la cuisine méditerranéenne de Bazart fait un grand retour dans les espaces extérieurs du New City Gas. Spécialisé en mezze et grillades sur charbon, le menu propose des produits locaux dans un environnement inspiré des restaurants de plage de Mykonos, Ibiza et Tulum. Les lieux extérieurs ont à nouveau été transformés pour permettre à la clientèle de voyager au coeur d’une oasis urbaine aux couleurs épurées et à la végétation luxuriante. En plus de l’expérience culinaire en salle à manger, les jeudis 5 à 7 font également un retour, alors que l’intime cours intérieure permet aux visiteurs de savourer des cocktails rafraîchissants dans l’environnement signature de Bazart. Les réservations sont ouvertes dès maintenant (bazart.ca). Galerie NFT En partenariat avec 0x Society, le New City Gas accueille une toute nouvelle exposition d’art crypto intitulée Super Real Edition: Letters to the future. Située dans la toute première galerie de NFTs au Canada, l’exposition explore ce que l’avenir réserve aux créateurs numériques par l’entremise d’œuvres surréalistes. La galerie est accessible gratuitement du mercredi au dimanche et sur rendez-vous via le site web de 0x Society, un organisme à but non lucratif qui a pour mission de démocratiser l’art crypto en offrant des expositions à la fois virtuelles et en personne. Galerie d’art à ciel ouvert Accessible en tout temps, la galerie d’art à ciel ouvert soulignera les 10 ans du New City Gas avec une exposition combinant des œuvres colorées et des photos de certains des plus beaux moments des 10 dernières années. Cette galerie extérieure est ouverte à tous, en tout temps, et est accessible par la rue Ottawa.
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Elle jaillit de ses sangles ,là où le sang criait dans son corps.
Harmonie Lébrund était rousse comme une jolie mousse terre de sienne ambrée d'un de jaune écarlate.
La morgue elle l'avais traversée plusieurs fois et vu tandis que sous drogue ,des démons abominables possédaient son minable être .
La fenêtre à d'ailleurs failli receuillir son âme .
C'était une petite fille du nom de Alice qui cherchait à retenir ce monstre brun et malsain qui voulait la jetter du haut du 5 ème étage ,tout cela dans le même corps lors d'un bad trip ,dans celui d'Harmonie .
Que les coquelicots étaient beaux dans son champ près des pavots de Californie Orange ,des rhododendron pleins de passions et des écarlates tulipes près des myosotis Bleu de Jour !
Harmonie pleurait des arbres tout en racontant une histoire .
Cette dernière avait connu tant de choses ,d'un point de vu cosmique ,des voyages ,des danses de l'esprit immense et cosmiques menant à l'extase ,à la transe ,à la puissance exaltée .
Elle avait aussi malheureusement vécu le vol de sa peau et de ses membres, perchée sur le haut d'un arbre , dérobés par un oiseau aux yeux noirs et perçants .
Harmonie cherchait auparavant une autre famille d'oiseau pour la protéger en tant qu'humaine mais les volatiles qu'elles avaient rencontrées étaient des mauvais êtres ,les ailes et le regard barbouillée de vice .
Son corps saignait tandis que se glisse un message sous sa peau .
Tout son être se décomposait tandis qu'elle était vivante mais ses yeux dansaient toujours .
Entre les démons qui pénétraient son ventre ,les anges qui jouaient de la flûte sous son oreiller ,le vide ,le trop pleins ,le chaos ,la grande joie lucide apparu la création bariolée et diapré de plumes et de couleurs flamboyantes .
Harmonie était le terrain des conflits et des paix , dramatique,comique ,mutante , extravagante et mordante de vie .
Je me demande ce que deviens Harmonie .
Je m'appelle George et aujourd'hui j'ai environ 70 ans et quelques poils noirs sur la tête au milieu de ma tignasse poivre et sel de vieux soixante huitard aigris .
J'ai connu Harmonie dans un carnaval avec pleins de clowns ,elle et sa frimousse pleine de tâches de rousseurs qui sont enfaites ses cicatrices .
Elle me raconte alors ses peines ,ses ardeurs ,ses douleurs et je dénote une excentricité provocatrice,insolente et fulgurante.
Avec du recul j'aperçu au final également une intense retenue étrange,sauvage et expressive dans son grand regard noisette.
Tout cloche chez Harmonie mais le son de l'instrument malgres sa discordance est étrangement appaisant et violent à la fois .
Elle aime les pompons,les têtes de mort ,les poupées et les ovni .
Je buvais le thé avec elle et ses démonstrations de danse cosmique endiablées de regard et de mots extraterrestre mais si beau d'un point de vu humain et poétique.
Elle me raconte qu'elle aimait les cocktails sans alcool à la mangue et à la fleur d'hibiscus et les air de samba expérimentaux avec des paroles olé olé .
C'est là que tout à dégénéré.
Harmonie me dévoile absolument toute son histoire ,me parle de son lapin ,de son voyage dans le Sud avec un artiste bohème voir un peut punk ,de ses extase et transe spirituelles .
Elle me parle des accents parfois comiques des êtres qu'elle à rencontrés et même d'un de ses ébats avec une fille dans un parc .
Harmonie a des originaires bretonnes de sa mère et brésilienne de son arrière grand père ,ce qui lui donne un visage et un teint particulier malgres ses beaux cheveux très roux dont je ne comprend pas vraiment la provenance.
J'ai couper tout contact avec Harmonie suite à une photo de son corps totalement denudé sous ses grandes boucles rouilles qu'elle m'avait adressée et par la suite elle avait tenter de mettre un terme à sa vie .
Je me suis au final rendue dans cet hôpital blafard aux couloirs stridents dans lequel la jeune femme végétait dans le coma .
Harmonie se réveille quelques temps plus tard et elle à perdu toute notions qui elle était développant une grave amnésie partielle.
La police m'avait interrogé m'accusant presque concernant le rôle flou et abstrait que j'avais engagé auprès de ce spécimen atypique et pleins de talent .
L'enquête ne donne rien et on me laissa en paix mais en rentrant chez moi les larmes coulaient sur mes joues froides comme une pluie morte.
J'appris alors des choses que je ne savais pas sur Harmonie en parlant à son amant,un homme très libéré qui n'avait pas la langue pendue surtout sur son amie.
Harmonie avait d'ailleurs retrouvé toute sa mémoire.
Elle était fabuleuse , aimait les chapeaux Noires et les vestes Bleu turquoise ,était profondément croyante et douce .
Elle aimait beaucoup les chèvres ,les animaux en général ,les ateliers de mosaïques,le jazz et cachait souvent pudiquement le haut de son corps avec ses mains .
J'ai donnée un point de rencontre à Harmonie pour prendre de ses nouvelles .
Elle à refuser ma visite à contre cœur en pleurant et souhaitait couper contact .
Elle s'était retrouvée par la suite ,seule et droguée de part toutes choses et tout comportement extrêmes .
Harmonie cherchait comme une petite fille de 2 ans un nouveau père dans une sorte de relation fusionnelle et intense malsaine .
J'ai appris au final qu'elle l'avait trouver dans le regard du ciel ,d'une couleur ,d'un soleil ,d'une fleur.
La musique avait pénétrer son être .
En jouant un air de piano Harmonie avait au final trouver sa mélodie.
Nébuleuse
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Gestion de crise
Le long du GR7 au-dessus de Labastide-Rouairoux
Crédit photo et légende : Gérard Maynadié
Les vieux-vieux contes du vieux-vieux temps commencent tous par « il était une fois ». Car on croyait naguère que cette fois-là était absolument unique et merveilleuse. On en tirait un récit surnaturel et mirifique rabâché par une aïeule noircie au feu de bois qui écossait des petits pois près de l’âtre enfumé. Le récit était toujours le même car l’histoire magique n’avait aucune chance de se répéter de la même façon. Las ! On sait depuis lors que l’Histoire, celle avec une grande hache, ne fait pas que se répéter, elle tourne en boucle, elle balbutie, elle radote. Aussi ce récit commencera par « il était une fois de plus ». Et donc, une fois de plus, le peuple populaire décida de se révolter contre la tyrannie du Monarque. Ne me demandez pas son nom, oublions-le le plus tôt possible. De toute façon, c’est dans la nature humaine, il y aura toujours quelqu’un pour le remplacer. Mais cette fois-là, sa domination était plus terriblement pesante encore, ses impôts avaient augmenté bien plus vite que ne croissait le blé, il avait une poigne de fer, des cachots profonds et les sbires à ses ordres avaient de très mauvaises manières. Aussi la plèbe voulut courir sus à sa cité fortifiée gardée par des mercenaires à sa solde. Quand on est riche, on a toujours des mercenaires à sa solde car premièrement on a des richesses à protéger et secondement, avec ces richesses on a de l’argent pour payer la solde des mercenaires qui protègent les richesses qui vous restent quand on a fini de payer la solde des mercenaires. C’était un beau jour de juin en lande grasse et les mésanges voletaient gaiement au dessus de l’immense colonne qui s’étirait bien au-delà de chaque horizon. Ah, il fallait voir cette joyeuse foule bigarrée, et ces drapeaux, et ces couleurs, ces équipages, entendre ces cris, ces mots d’ordre et ces chants pour se donner de l’entrain. Ah, ce coup-ci ce ne serait pas comme la dernière fois, on irait lui faire rendre gorge au Monarque dont j’ai oublié le nom. Et redistribuer ses richesses au peuple qu’il avait consciencieusement tondu pendant des années. Recycler ses mercenaires en marchands des quatre-saisons, ses janissaires en pépiniéristes et ses reitres dans des stages au point de croix. Alors l’énorme foule protestataire des gens pas d’accord se mit en marche. Ça faisait sacrément chaud au cœur de voir tout ce monde ligué comme un seul homme dans cette immense jacquerie. Arrivés au grand carrefour qui mène à la capitale, ils trouvèrent deux panneaux plantés au bord des deux grands chemins royaux : sur celui de gauche, il y avait « chemin pour ceux qui veulent en découdre » et sur celui de droite, il y avait « voie de la non-violence ». La troupe s’arrêta, on délibéra, il y eut des palabres, des conseils de sages et des débats en commission. Au terme de trois nuits de veille et deux assemblées générales extraordinaires, faute d’une majorité qualifiée, l’on se sépara : armée de bâtons durcis au feu, de piques, de faux et de cocktails à la recette tenue secrète, une partie de la troupe prit la voie de gauche en entonnant des chants de marche tandis que le reste de la troupe opta pour la voie de droite en entonnant des chants de marche. Plus loin, sur chacun des itinéraires se trouvait une fourche : d’un côté avec banderoles, calicots, enseignes et drapeaux qui claquent au vent, de l’autre sans drapeaux ( à cause d’un tunnel étroit, haut de sol et bas de plafond, mais qui offrait un sérieux raccourci ). On se sépara docilement en deux colonnes. Un peu plus loin, un autre panneau indiquait : « chemin spécial pour les hommes virils, les vrais de vrais, fort taux de testostérone » tandis que l’autre précisait : « chemin plus facile, exprès pour les personnes âgées, les personnes en situation de handicap, les dames et les enfants ». On se sépara encore. Oh, il y eut bien des effusions, de belles embrassades, on se promit de se retrouver dès que possible, on échangea des numéros de téléphone, on essuya quelques larmes furtives et l’on se scinda en deux groupes. Un peu plus loin, ils trouvèrent : « parcours ludique, spécial enfants » et « parents non autorisés ». Un petit pincement au cœur, les mamans virent partir les enfants joyeux sur un joli chemin bordé de sucres d’orge et de sodas caloriques qui menait à la grande roue d’un parc d’attractions. Au prochain carrefour, on trouva deux écriteaux en lettres majuscules: « avec papiers » et « sans papiers ». Les légalistes invoquèrent les textes, les juristes le droit. Les uns l’usage, les autres la raison. Les jusqu’au-boutistes préconisèrent d’aller jusqu’au bout, les autres de s’arrêter un peu avant. On finit par s’exécuter. Ce n’est pas parce que l’on veut la tête du Monarque que l’on est prêt à bafouer ses lois : une partie de la troupe prit donc un chemin, le reste l’autre. Plus loin, deux nouveaux panneaux indiquaient : « gens de couleur » - « gens incolores ». Une fois longuement débattu des nuances, des teintes, des colorations, des gradations de couleur, des bronzages et des reflets, les marcheurs se scindèrent encore. Arrivés en vue de la cité du Roi des Riches, les chemins divergeaient encore : « avec hébergement» - « sans hébergement ». Docilement, les assaillants se séparèrent encore. Plus loin, ils trouvèrent : « avec réservation » - « sans réservation ». Sous les remparts de la cité, les panneaux se faisaient plus nombreux : pour ceux qui sont contre / contre ceux qui sont pour- omnivores/végétariens/crudivores/végétaliens/ vegan/régimehypocalorique - ceux qui croient au ciel/ ceux qui n’y croient pas - tribunes/orchestre - première classe/deuxième classe- groupes /individuels - travailleurs salariés/demandeurs d’emploi - public/ privé - au comptant/à crédit- diesel/essence- fumeurs/non fumeurs- sans sel, diabétiques, iconoclastes, iconolâtres, Verseau ascendant Scorpion, ambidextres, psychotiques, hypermétropes, arachnophiles, anorexiques, pochetrons, bibliophobes, pédagogues, etc.... Fidèle à ses convictions intimes, à la loi non écrite du tri et au respect intangible de la sainte différence, chacun prend un chemin plutôt qu’un autre. Si bien que de la joyeuse troupe de l’immense peuple populaire qui court sus au château du Monarque, il ne reste que des individus isolés qui se présentent séparément et un par un à la barbacane de la porte qui défend le seul accès de la cité. Les deux gardes répètent invariablement : « mot de passe non valide » et tranchent à tour de rôle le col de chaque marcheur dont il jettent le corps dans la fosse commune. De temps en temps Monarque apparait à la fenêtre du château et frappe gaiement dans ses mains. Si j’étais un moraliste, j’ajouterais une moralité à la fin de ce conte. Mais je ne suis pas un moraliste, ce récit n’a vraiment aucune morale et celui qui a les yeux en face des trous n’est pas un imbécile.
Gérard Bastide
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(Zoya) “I’m just curious, is it serious ?”, “I love you.”, “Stop taking all the ice cream !”
“I’m just curious, is it serious ?”
C’est une bonne question. Et Zoya a ce don pour soulever les points délicats. Dolly se tourne vers son amie et hausse un peu des épaules, le pinceau qu’elle utilise pour peindre les décors de théâtre à moitié levé, prêt à être utilisé, mais le geste coupé en pleine réflexion. “Je ne sais pas.” La blonde avoue à demi-mots avant de détourner le regard en se mordant la lèvre, achevant finalement son geste en terminant de peindre la proue du bateau. “C’est toi qui joues le rôle de la sirène ?” Dolly demande, distraitement, presque pour changer de sujet, alors que son regard reste sur le bateau, son esprit concentré dessus, sur les couleurs qu’elle doit encore utilisée. Pourtant, la seconde d’après, ce sont deux yeux bleus, remplis d’une curiosité sans limite, qui lui font face. Le petit sourire de Zoya étire ses lèvres alors qu’elle replace une mèche brune derrière son oreille. “Ca ne peut pas être qu’une fois comme ça, non ? Il y a forcément quelque chose entre vous, Dolly, je peux le sentir !” Elle ponctue sa phrase d’une exclamation qui pousse presque Dolly à la croire et pourtant, un petit rire nerveux passe les lèvres de la louve alors qu’elle baisse son regard. “Je ne sais pas, il y a toujours eu ces hauts et bas avec Odalys.” Elle reprend, un petit sourire aux lèvres mais son amie secoue sa tête. “Cette fois, je sens que c’est différent.” Et elle se penche, pose un baiser sur la joue de la blonde, avant de se redresser et de tendre les bras vers le ciel. “Oui ! C’est moi qui joue le rôle de la sirène.” “Je ne voyais personne d’autre pour le rôle de toute manière.”
“I love you.”
Du bout des doigts, Zoya vient essuyer les larmes qui coulent sur les joues de la louve et lui offre un sourire, tellement pur que Dolly ne peut s’empêcher de laisser échapper un sanglot en le voyant. “Zoya-” La blonde commence avant de fermer les yeux, essayant de ravaler la boule qui s’est formée dans sa gorge et qui l’empêche de dire plus d’un mot clairement. Pourtant la brune est déjà en train de passer ses doigts sur la nuque de Dolly et de la caresser du bout des doigts, venant jouer ensuite avec le bout de sa queue de cheval. “Et je t’aimerais plus que n’importe qui au monde. Et puis zut, de l’univers même, et tu sais ce que ça implique.” Dolly ne peut s’empêcher de pouffer doucement en entendant Zoya et de rouvrir les yeux pour la regarder, un petit sourire se frayant sur ses lèvres malgré les larmes. “Que tu m’aimes vraiment beaucoup.” La louve murmure alors que le visage de Zoya s’illumine et qu’elle passe déjà ses bras autour de la blonde pour venir s’installer rapidement sur ses genoux et poser un baiser sur son nez. “C’est clairement ce que ça veux dire. Et puis, je t’abandonnerais pas moi, je te le promets.” La brune affirme alors que Dolly revoit encore ses parents quitter la maison pour la énième fois et la laisser seule dans cet endroit bien trop grand pour elle. Il lui suffit d’un regard vers Zoya pour sourire finalement, doucement, et de souffler dans sa direction. “Hey, je t’aime aussi.��
“Stop taking all the ice cream !”
“Ch’est pas moi !” Dolly lance, autour de la cuillère dans sa bouche, et reste figée dans cette position. Prise sur le fait mais prête à se défendre quand même face à Zoya qui vient de débarquer dans le salon. Ce soir c’est soirée pyjama, et elles ont prévu la totale, à commencer par les pots de glace Ben&Jerry, deux parfums différents pour plus de plaisir, et il faut dire que Dolly n’a pas pu résister. Elle est faible. Et lorsque la brune venait de faire son retour dans le salon, c’est dans son pot de glace que Dolly était en train de piocher pour goûter. “Bien sûr que c’est toi, tu vas être punie.” Zoya lance en la pointant du doigt malgré le verre qu’elle tient, ou plutôt les verres qu’elle tient, deux cocktails maison, une recette que la brune a insisté pour faire, qui lui vient tout droit de sa planète, et qui met déjà Dolly en joie. C’est sûr, la blonde ne boit pas vraiment, mais lors d’une soiée pyjama et proposé si gentiment par Zoya, elle ne peut pas refuser. “Je te laisse choisir le film ou le dessin animé de ce soir si tu veux.” Dolly propose avec une petite moue alors que Zoya pose les verres sur la table et se tourne vers elle, attrapant la main qui tient la cuillère. “Ca c’est sûr, et arrêtes de prendre toute la glace, Dolly.” La voilà qui fait les gros yeux et Dolly ne peut s’empêcher de rire, laissant Zoya attirer sa main jusqu’à elle et la regarde manger la glace sur sa cuillère. Un sourcil haussé, Dolly finit par sourire. “Alors, elle est bonne ? Tu vois pourquoi je n’ai pas pu résister.” Un battement de cils angélique plus tard et c’est sûr qu’elle est pardonné.
#prompts#prompts:zoya#ooc: excusez moi je suis en train de pleurer#elles sont trop mignonnes#help me jesus
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[CLIP] NELICK – LE CIEL EST COULEUR COCKTAIL Nelick revient avec Le Ciel Est Couleur Cocktail, 1er extrait de son nouveau projet "LOAD 94%". Le clip est réalisé par Vesq Mojo & 2022 Production.
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Constellation.
Constellation nuançée Contrastant avec ton teint de princesse enneigée Ta douleur ne s'calme qu'avec cocktail et opiacées Qu'avec plaisir futiles et fugaçes Péché de chair et excès de zèle Ton amour chaque jour te rapproche de la mort L'or de tes cuisses ne l'intéresse plus depuis que son " Art " tapisse ton corps Ton âme, t'emprisonnant aux fins fonds des abysses Te réduisant, à une simple enveloppe charnelle Assouvissant ses désirs avilissants, poupée froide et sans ressentiments, Elle expire son dernier souffle et regarde le ciel Pluies d'étoiles mourantes Quand l'ciel se teinte D'une couleur pourpo-violacée Comme ta peau après une bonne fessée Funambule sur le fil du rasoir Apprenti chimiste comme Jesse Pinkman J'cherche le remède à l'humanité Me demande comment, on a fait pour tout foirer, Il aura fallu quelques milliards d'années Pour que nous soyons enfanter Pourtant pas reconnaissant De ce cadeau inestimé Du ciel j'ai été chassé Parce que le fruit d'la femme j'l'ai convoité Ses seins les ai tourmentés Dans un délice de douleurs J'ai séduit la douceur de ton coeur Consommé la fleur du plaisir Et succombé aux effluves du désir Rejoins-moi sur les toits du monde D'en haut même la misère brille de mille feux Mes rêve m'glaçent le sang J'frissonne quand j'vois que l'temps passe Que le bonheur est éphèmére comme un orgasme On court tous après un flash de quelques secondes J'ai oublié ce que je chérissais tant J'cours après ma vie j'ai plus l'temps J'vois les portes s'refermer d'vant moi Le train est parti sans moi
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ORIGINAL TIKI SHOW PARTY 2022
L'Original Tiki show refait son show le samedi 11 juin avec La Ferme des Artisans. Mettez votre chemise à fleurs et découvrez la culture tiki pop et exotica ! /////Au Programme : . Exposition dès 14h : Retrouvez EvvHill et Manatiiscult, les férus de la culture tiki au vernissage de leur exposition collective "Inspiration papou". Découvrez leurs deux univers liés aux folklores ancestraux des îles du Pacifique.
.Musique live et exotica dès 18h : Rejoins-nous jusqu'à 22h, au comptoir de la Fabuleuse cantine. "Mets ta chemise à fleurs et vient siroter des cocktails."Nous vous proposons un événement chaleureux dans une ambiance exotique aux couleurs de la tikipop culture.
-Animations cocktails avec La fabuleuse cantine -Ambiance musicale style exotica -Trio exotica The Rondells bandcamp -Exposition de Manatiiscult et Evv Hill de 14h à 20h.
Lien FB : https://www.facebook.com/events/5278994385501320/ En co-partenartiat avec : La Ferme Des Artisans - 1000m² d'espace de vie - Artisanat - Épicerie - Bar - Resto - Shop. La Ferme Des Artisans est un lieu au cœur de Villeurbanne qui promeut la végétalisation, l'artisanat et l'économie bleue et circulaire. instagram.com/la_ferme_des_artisans/ Laboratoire extérieur des Gratte-Ciel Gratte-Ciel centre-ville / Métropole de lyon / Ville de villeurbanne / SERL / GIE
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Nelick est un rappeur originaire du 94. Ce jeune rappeur de 21 ans se fait appeler par ses fans "kiwi bunny ". Nelick est un vrai espoir du rap français . Il se fait connaitre de plus en plus a chaque sortie de son .
Comme beaucoup de gens j'ai connu nelick grâce au son "VIP" qui était rester pas mal de temps dans la playist spotify " Fresh rap " . Dés la première écoute j'ai accrocher . J'ai vraiment été surpris mais je n’étais pas au bout de mes surprises . Apres avoir écouter en boucle "VIP" je décide d'aller sur son profil . Sur spotify le premier son remonte à 2017 donc c'est très récent . Le premier titre s’intitule "Le ciel est couleur cocktail " et cela n'a rien a voir à "VIP" . Ce son n'a rien de spécial mais n'est pas mauvais , je l'ai pas beaucoup écouter et je vais pas m’attarder sur ce titre . Ce qui permet de dire que Nelick est un espoir du rap français vient après. En 2017 il passera aussi sur la chaîne youtube du règlement avec un freestyle prometteur même si son flow est assez basique , le texte est plutôt sympa et on sens une légère amélioration par rapport au premier son . Cette année Nelick c'est complètement transformée avec la sortie d'un album contenant une dizaine de titre , un EP et 2 single . Son album "KiwiBunnyTape" est une réussite . Il a son flow a lui et les instrus sont très bonne puis les musiques nous rentre facilement dans la tête . Mention spécial aux son " range rover " et "candy up" qui est ça boisson préféré .Dans cette album on y trouve trois feat avec andy luidje , le sid et lord esperenza . Son single "Pour le love" feat Le sid est aussi une réussite . Mais Nelick s’arrête pas la et sort un EP qui s'appelle " Qui peut sauver kiwibunny ?" à l’intérieure on y trouve trois son qui sont d'une excellente qualité avec mes deux sons préférés qui sont " VIP" et "kendall jenner" on peut y voir une belle amélioration encore une fois et son dernier single ne fait que le confirmer avec " L'amour et les dollars ". En 2018 Nelick est très actif même sur instagram . Il a annoncer qu’un autre album “ dieu sauve kiwibunny” sortira le 30 novembre prochain . C’est un album très attendu par sa communauté .Si Nelick reste aussi constant et performant , il prendra une jolie place dans le rap français.
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Onysos 2.0
Librement inspiré de Onysos le furieux, de Laurent Gaudé.
Toi qui passe par ici,
Toi qui lis ces lignes,
Laisse-moi te conter le récit de mon histoire,
Le récit d’Onysos l’encore furieux.
Tu as sûrement déjà entendu parler d’Onysos,
Cet homme mi-dieu mi-dément qui est né et mort et rené,
Qui est né d’une femme, mort d’un homme, et rené d’un dieu.
Cet homme qui enrage les femmes et détruit les hommes,
Cet homme qui vit de sang et de fêtes, de tambours et de conquêtes.
Tu as sûrement déjà entendu sa légende millénaire,
Plus vieille que le plus vieux des conteurs, que la plus vielle des prophéties ;
Sa légende sourde qui fait frémir les cœurs de désirs et de craintes,
Sa légende qu’on raconte dans les bouches arides de désirs, craquelées de craintes.
Pourtant, tu ne connais que la moitié de sa légende :
Onysos, l’éternel guerrier affamé de terres, de corps, de chair,
Qui a conquis son monde, a soumis les hommes et libérées les femmes,
Qui trop plein de gloire a chu de la cime la plus haute,
Qui a chu jusqu’au souterrain le plus bas, plus bas que celui des morts,
Et qui erre dans le désert glacé du vide, ivre de ses souvenirs et du vin rouge d’humain qui lui reste.
Cette légende est vraie.
Mais cette légende est incomplète.
L’errance d’Onysos un jour a pris fin, un jour il est remonté à la surface, un jour il est revenu parmi les hommes et les femmes.
Et ce jour-là il était encore furieux.
Furieux que le monde ait continué de tourner sans lui,
Furieux des hommes libres et des femmes soumises,
Furieux des fêtes qui ne le célébraient pas,
Furieux de ne trouver ni bouche aride, ni lèvres craquelées,
Furieux qu’on ait pu penser que sa légende avait fini de s’écrire.
Heureusement, j’étais là, puisque cette histoire c’est la mienne.
J’ai vécu Onysos comme personne ne pouvait le vivre,
Et aujourd’hui je vais te raconter Onysos comme personne ne le pourra jamais.
Onysos est revenu des morts le jour où les humains changeaient d’année, car il aimait passer là où il y avait un passage.
Mais il lui fallut trois jours pour se recomposer, pour être sûr de son effet.
Au quatrième matin de l’année, il poussa son premier cri,
Et le monde sut qu’il était vivant.
Mais le monde ne savait pas encore qu’Onysos était de retour, de retour depuis plus bas que les morts.
Patience.
Les parents d’Onysos auraient pu être n’importe qui, mais il se trouvait que c’était cet homme et cette femme.
Le foyer d’Onysos aurait pu être n’importe quoi, mais il se trouvait que c’était cet immense immeuble de petits appartements.
Onysos comprit vite que tant qu’il ne serait pas Onysos, il y aurait plein de choses qu’il ne contrôlerait pas, qui pouvaient être n’importe quoi, et qui seraient telles qu’elles sont.
Patience.
Avant même d’avoir son premier souvenir, les parents déménagèrent, et Onysos quitta le centre de sa renaissance.
Il se fit une promesse : « Le jour où je serai adulte, je reviendrai. »
Il tint sa promesse.
Mais patience.
Onysos vit dans les terres du Sud,
Terres de lavande et de croix occitanes,
Où les châteaux sont en pierre et les maisons en brique rose,
Où les hommes ont les mains rocailleuses et les femmes la voix chantante.
Onysos est toujours le seul à savoir qu’il est Onysos,
Car tout le monde l’appelle par un nom qui n’est pas le sien,
Un nom qu’il n’a pas choisi ;
Mais les enfants savent qu’il n’est pas un des leurs,
Car ils ne jouent pas avec lui,
Et Onysos sait que cette école n’est pas son royaume,
Qu’avoir trois ans, six ans, neuf ans n’est pas son âge de gloire,
Qu’il n’a pas encore poussé son second cri.
Patience.
Sa solitude est passive,
Le temps glisse sur lui sans altérer son âme d’enfant,
Son corps change, mais juste assez pour se fondre dans la masse,
Il n’est pas encore quelqu’un.
Patience.
Son âme d’enfant puise au fond d’elle-même pour chercher son ancienne âme de guerrier,
Raviver les batailles antiques, et la traversée du néant.
Son âme marche dans les empreintes qu’il a laissé,
S’imprègne de la sueur qu’il a transpiré,
S’imprègne du sang qu’il a fait couler
S’imprègne du foutre des grandes jouissances.
Patience.
Onysos se prépare à devenir plus grand qu’Onysos.
Il n’a que faire d’être intégré,
Lui qui se prépare à désintégrer tout le monde.
Il n’a que faire des moqueries,
De ses larmes amères pousseront les orties qui piqueront leurs pieds,
Quand ils courront pour tenter de le fuir.
Il n’a que faire des compliments,
Il sait qu’un jour à nouveau on lui vouera un culte.
Patience.
Onysos a vu passer son enfance comme on regarde le vol des oiseaux,
En un instant,
Et puis on oublie.
Onysos a une décennie – à quelques millénaires près.
Ses parents, forts de symbolique, décident d’organiser la plus grande fête qu’il ait jamais eue.
La maison est pleine de visages, de couleurs, de bonbons, de musiques, d’activités.
Onysos sourit,
Mais son plaisir est pastel :
Comment ce maigre anniversaire pourrait-il rivaliser avec les célébrations saturées qu’il a déjà vécues ?
Ou avec les orgies arc-en-ciel qui l’attendent de pied ferme ?
Patience.
Les couleurs reviendront à l’artiste qui ose les chercher.
Et Onysos est le plus grand des artistes.
Et cette fête a au moins le mérite d’interpeler le Temps,
Qui jusque là l’avait laissé tranquille,
Qui n’avait pas encore vu son retour depuis l’au-delà.
Patience.
Onysos commence à s’épanouir, il est de plus en plus libre, libre de ses choix, libre d’être.
Il n’est plus seul,
Il s’entoure de ses premiers fidèles,
Des premiers qu’il peut appeler amis.
Il n’est plus seul.
Onysos est le Dieu de tous ceux qui ne veulent plus être seuls.
Dans ses premières vies, Onysos n’a jamais eu d’amis.
Il a eu des putains, des fidèles, des ennemis, plus qu’on ne pourrait en compter.
Mais pas d’amis.
Il découvre alors cette relation particulière, fragile, précieuse,
Il découvre le groupe,
Il découvre ce que c’est d’être intégré,
Lui qui voulait tout désintégrer.
Alors pendant sa seconde décennie, il se dit qu’il va laisser une chance aux humains,
Et particulièrement aux hommes.
Puisque les femmes peuvent être autre chose que des putains,
Peut-être que les hommes seront autre chose que des ennemis.
Il a raison : les hommes sont aussi des putains.
Et il a tort : les hommes sont toujours des ennemis.
Déception.
Onysos vit sa seconde décennie dans la déception.
Il a dix-neuf ans, il est dans la fleur de l’âge, et il est déçu.
Déçu des humains, déçu de leur avoir laissé une chance,
Une chance de les épargner de sa fureur,
Du torrent de sa fureur qui coule sous terre,
Là où personne ne peut la sentir,
Jusqu’au jour où elle éclatera en geyser,
Et sera un raz-de-marée rouge sur le monde.
Patience.
Onysos est le Dieu de tous ceux qui désobéissent au passé.
Onysos a dix-neuf ans, il a quitté ses n’importe qui de parents, et son n’importe quoi de foyer.
Il vit par lui-même, pour lui-même.
Il fait ses propres choix et ses propres erreurs.
Il change très vite, le Temps le rattrape.
Il est sur le chemin de celui qu’il a toujours été, et de celui qu’il doit devenir.
Il a dix-neuf ans, c’est le temps des vendanges, le début d’une nouvelle année.
Les terres du Milieu lui ouvrent de nouvelles portes,
Les portes de l’élite,
Les portes de la fête,
Les portes de son royaume.
Là où l’alcool est pas cher, où les corps sont célébrés,
On lui conte des traditions de week-ends,
Des rituels d’intégration et de désintégration ;
Il est charmé qu’on parle enfin sa langue,
Que sa langue soit autant dans la bouche des autres.
Onysos peut enfin être Onysos.
Et, dans la dernière nuit du week-end,
Enivré des cocktails et de la fin de l’été,
Au milieu des torses couverts de sueurs,
Au plus près du caisson qui va l’accoucher,
Onysos renaît pour la quatrième fois,
Et pousse son second cri.
De ce cri il déchire le Passé,
De ce cri il défie l’Avenir,
De ce cri il toise sa chute et son errance,
Les prend de haut et les met à terre,
De ce cri jaillit d’autres cris de ses fidèles
Fidélisés par la transe et la mélodie rythmée,
Qui le regardent enfin comme s’il était quelqu’un,
Parce qu’il est enfin quelqu’un :
Il est Onysos.
Onysos est le Dieu de tous ceux qui ne peuvent plus attendre.
Impatience.
Onysos est de retour parmi les humains, en chair et en os.
Sa chair s’est délectée des plaisirs que ce monde avait à lui offrir,
Et ses os sont articulés pour le mouvoir à s’en délecter d’autres.
Onysos est Onysos.
Impatience.
Il a des terres à explorer, mais
Il a du monde autour de lui, mais
Il a envie d’ailleurs, mais.
Impatience.
Onysos est tiraillé, il se sent à sa place mais sent que sa place est ailleurs.
Qu’est-ce que l’ailleurs a à lui offrir ?
Impatience.
Onysos a faim.
Onysos a soif.
Onysos bande.
Impatience.
Aucune nourriture ne rassasie son ventre,
Aucun fluide ne tarit sa gorge.
Aucun corps ne satisfait sa bite.
Impatience.
Onysos a vingt-et-un ans, il est le maître du monde.
Alors il part,
Il part explorer le monde.
Il part découvrir son terrain de jeux.
Il n’en pouvait plus de ce toujours pareil dans lequel il était,
Il n’en pouvait plus de la médiocrité,
Il n’en pouvait plus des fleurs qui fanent,
Il n’en pouvait plus d’être curieux,
Il n’en pouvait plus d’être impatient.
Onysos est le Dieu de tous ceux qui n’ont pas de foyer.
Onysos choisit d’aller dans les contrées plus au Nord que le Nord, de retrouver le froid du désert qui l’a transformé.
Il trouve les nuits septentrionales, ces nuits qui durent toute la journée, qui bercent les rêves d’aurores boréales ;
Il trouve les neiges éternelles, plus blanches que blanches, encore vierges de son passage, qu’il peut déflorer en faisant pousser des edelweiss ;
Il se retrouve lui, Dieu de son monde intérieur.
Là où personne ne le connaît encore, il peut être n’importe qui ;
Là où il ne restera que quelques mois, il peut surtout essayer d’être qui il n’est pas.
Est-il vraiment un homme ?
La queue est-elle son seul désir ?
La fureur est-elle son unique arme ?
Onysos voyage en quête de réponses,
Il voyage à travers le monde, et en lui.
Il est une transformation ambulante, un tapis qu’il tisse chaque jour et défait chaque nuit,
En attendant le retour des certitudes.
Ses convictions vivent une odyssée,
Sont clamées chaque jour,
Et questionnées chaque nuit.
Et chaque fois qu’Onysos rentre au bercail,
C’est pour mieux repartir, en restant chaque fois un peu moins.
Onysos sait qu’ici n’est plus chez lui,
Que cette chambre n’est plus sa chambre,
Que ses parents auraient pu être vraiment n’importe qui,
Que son vrai foyer est ailleurs.
Mais où ? Mais quand ?
Bientôt.
Onysos est le Dieu de tous ceux qui n’ont pas peur de mourir.
Bientôt arrive plus vite qu’il ne le pense.
C’est dans les montagnes de l’Est qu’Onysos trouve sa terre promise,
Ce lieu qu’il pourra appeler son royaume.
C’est ici qu’il trouve sa Famille,
Plus que des fidèles, des amis ;
Et plus que des amis, des frères.
Trois frères de l’hiver, qui dansent sous les étoiles de la montagne, et qui parlent sa langue des plaisirs amers.
Onysos est parfaitement là où il doit être.
Et les humains ont tout de même une tradition qui l’enchante : commencer l’été par la Fête de la Musique.
Leur jour le plus long est leur jour le plus mélodieux.
Onysos découvre ce qui sera son temple.
Une nuit en transe, une nuit en ecstase.
Les corps sont fluides comme un harmonieux ballet aqueux,
Les corps sont libres,
Les corps sont, ils sont tellement là, il sont tellement présents et matériels,
Onysos peut palper ces corps, palper la chair en mouvement, sentir les cœurs battre.
Cette nuit, la vie est phosphorescente sous les néons,
La lumière violette est une lumière violente,
Le croissant de lune est un sourire de chat vicieux,
Le pays des merveilles est un souterrain accessible,
Le pays imaginaire devient plus réel que jamais.
Cette nuit, tous les pays se rassemblent sous le même étendard,
La bannière des plaisirs, le drapeau de la liberté.
Cette nuit, Onysos a répondu à l’appel de son destin,
Et les prochaines nuits tout le monde répondra à l’appel d’Onysos.
Cet été le transcende à jamais.
Onysos devient plus Onysos qu’il n’a jamais été.
Et se jure que, qu’importe les risques,
Il sera cet Onysos pour toujours,
Onysos 2.0.
Onysos est le Diable qui vit en chacun de nous.
Toi qui lis ces lignes, tu penses enfin tout savoir de la légende d’Onysos,
De ce Dieu qui a conquis l’Univers, erré dans le Néant, et ressuscité encore pour faire des humains des bêtes festives,
Et tu penses que son histoire est enfin finie, puisqu’il n’y a rien à ajouter après un « pour toujours ».
Tu te trompes.
Car il te manque de savoir la Vérité d’Onysos,
La dernière pièce du puzzle,
Cette vérité qu’on cherche à démentir et faire taire depuis l’aube de l’Humanité.
Approche, je vais te le dire.
Onysos c’est toi.
Onysos c’est moi.
Onysos c’est chacun de nous.
Nous sommes tous une part d’Onysos, une part de sa légende,
Tout comme Onysos est en nous une marque indélébile.
Quand tu fais la fête, c’est Onysos.
Quand tu es ivre, c’est Onysos.
Quand tu jouis, c’est Onysos.
Quand tu touches un corps de désir, quand tu pars en voyage, quand tu te venges, c’est Onysos.
Même quand tu saignes et lèches le sang qui coule ou qui sèche, c’est Onysos.
Onysos est tout ce qu’il y a de vivant en toi,
Tout ce qui te fait avancer, tout ce en quoi tu crois et pour quoi tu te bats,
Tout ce que tu veux, et tout ce que tu rejettes,
Tous ceux que tu aimes, et tous ceux que tu détestes,
Tout.
Chaque fois que tu choisis et que tu refuses, c’est Onysos.
Le seul moyen de lui échapper, c’est l’indifférence,
C’est n’être plus rien,
Car même la Mort se plie face à Onysos, lui qui a erré des millénaires en quête d’assouvir sa fureur.
Maintenant tu sais,
Tu sais toute la légende d’Onysos,
Et que ta vie sera une bataille pour le plaisir.
Alors maintenant tu as le choix :
Tu peux essayer sans succès de contenir Onysos, comme il a essayé lui-même de se contenir pendant une décennie et l’a regretté ;
Ou tu peux le libérer, te battre à ses côtés et faire de lui ton allié le plus fidèle,
Un allié qui te guidera dans son meilleur des mondes,
T’offrira avec joie la plus belle des vies,
Et t’offrira sans peur la plus belle des morts.
Tu as le choix.
Tu auras toujours le choix.
Alors choisis.
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