#le bonnet amsterdam
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Broadway Theatres
There are currently 41 operating Broadway theatres, & I have been lucky enough to visit most of them. In descending order by most visited, here is a list of all the productions I’ve seen & the year I attended for each theatre.
Belasco Theatre: Hedwig & the Angry Inch (2014) / Hedwig & the Angry Inch (2015) / Hedwig & the Angry Inch (2015) / Farinelli & the King (2018) / Network (2019)
Neil Simon Theatre: Jesus Christ Superstar (2012) / Big Fish (2013) / All the Way (2014) / Angels in America Part 1 (2018) / Angels in America Part 2 (2018)
Richard Rodgers Theatre: Cat on a Hot Tin Roof (2013) / Romeo & Juliet (2013) / If/Then (2014) / Hamilton (2016) / Hamilton (2018)
Studio 54: The Mystery of Edwin Drood (2013) / Cabaret (2014) / Cabaret (2015) / The Lifespan of a Fact (2019) / Pictures From Home (2023)
Longacre Theatre: First Date (2013) / Of Mice & Men (2014) / Allegiance (2016) / The Prom (2019) / Leopoldstadt (2023)
Brooks Atkinson Theatre / Lena Horne Theatre: Peter & the Starcatcher (2013) / Spring Awakening (2016) / Spring Awakening (2016) / Waitress (2017) / SIX (2023)
Bernard B. Jacobs Theatre: It’s Only a Play (2015) / The Color Purple (2016) / The Ferryman (2018) / Company (2020) / Parade (2023)
Circle in the Square Theatre: Godspell (2012) / Fun Home (2016) / In Transit (2017) / Once on this Island (2018)
Booth Theatre: The Glass Menagerie (2013) / The Elephant Man (2015) / American Son (2019) / Kimberly Akimbo (2023)
Music Box Theatre: Pippin (2013) / The Heidi Chronicles (2015) / Dear Evan Hansen (2017) / Purlie Victorious (2023)
Broadhurst Theatre: The Front Page (2017) / Anastasia (2018) / Jagged Little Pill (2020) / A Beautiful Noise (2023)
Imperial Theatre: Les Miserables (2014) / Natasha, Pierre & the Great Comet of 1812 (2017) / Carousel (2018) / Bad Cinderella (2023)
Broadway Theatre: Cinderella (2014) / Fiddler on the Roof (2016) / West Side Story (2020) / Here Lies Love (2023)
Ethel Barrymore Theatre: The Bands Visit (2018) / The Inheritance Part 1 (2020) / The Inheritance Part 2 (2020) / Harmony (2023)
Al Hirschfeld Theatre: How to Succeed in Business Without Really Trying (2011) / Kinky Boots (2013) / Moulin Rouge (2020)
Nederlander Theatre: Newsies (2014) / Honeymoon in Vegas (2015) / Pretty Woman (2019)
St. James Theatre: Bullets Over Broadway (2014) / Something Rotten! (2016) / Frozen (2018)
Shubert Theatre: Hello Dolly (2018) / To Kill a Mockingbird (2019) / Some Like it Hot (2023)
Winter Garden Theatre: School of Rock (2016) / Beetlejuice (2020) / Back to the Future (2023)
Lunt-Fontanne Theatre: The Addams Family (2011) / Finding Neverland (2016) / Tina - The Tina Turner Musical (2020)
Lyceum Theatre: The Realistic Jones (2014) / A View From the Bridge (2016)
Marquis Theatre: Wonderland (2011) / Evita (2012)
American Airlines Theatre: Violet (2014) / On the Twentieth Century (2016)
Samuel J. Friedman Theatre: Casa Valentina (2014) / Constellations (2015)
Palace Theatre: Annie (2013) / Sunset Boulevard (2017)
Gerald Schoenfeld Theatre: The Bridges of Madison County (2014) / Come From Away (2018)
August Wilson Theatre: Mean Girls (2019) / Funny Girl (2023)
Stephen Sondheim Theatre: Anything Goes (2012) / & Juliet (2023)
Cort Theatre / James Earl Jones Theatre: The Cripple of Inishmaan (2014) / Gutenberg! The Musical (2023)
Hudson Theatre: Toured the theatre (2019) / Merrily We Roll Along (2023)
Eugene O'Neill Theatre: The Book of Mormon (2012)
Minskoff Theatre: Easter Bonnet Competition (2014)
Majestic Theatre: The Phantom of the Opera (2016)
New Amsterdam Theatre: Aladdin (2014)
Walter Kerr Theatre: A Gentleman’s Guide to Love & Murder (2016)
Hayes Theatre: Lobby Hero (2018)
Gershwin Theatre: Wicked (2020)
John Golden Theatre: The Shark is Broken (2023)
Ambassador Theatre: Chicago (2023)
Lyric Theatre: N/A
Vivian Beaumont Theatre: N/A
Shows seen multiple times: Hedwig & the Angry Inch (3), Cabaret (2), Hamilton (2) & Spring Awakening (2).
108 shows, 1 event & 1 tour
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L'homme de décembre
L’homme de décembre est un homme qui se déguise. D’abord en saint Nicolas, puis en Père Noël, enfin en Roi mage. Le premier accoste sur un vapeur à Amsterdam et poursuit sa route sur un cheval blanc, entouré d’acolytes qui sèment à tout vent des oranges et des friandises. Il est accompagné aussi par Nicodème, qui agite son fouet à l’adresse des enfants paresseux, désobéissants ou bagarreurs. Cet homme de décembre a tous les attributs de l’épiscopat. C’est un prélat de plein vent, auquel ne manque aucun signe de l’institution canonique. Du commun des mortels il se distingue par la mitre, la crosse fleurie, la croix pectorale et l’anneau d’améthyste qu’on baise à genoux. Au lieu du bleu de chauffe et du paletot élimé, qui vont si bien à l’homme de la rue, il est habillé d’un rochet, d’une cape tissée de fils d’or et d’un camail violet. Et il bénit les enfants d’une main gantée de velours grenat.
Le deuxième homme de décembre se déguise en Père Noël. Comparé au précédent, il paraît bien moins catholique. C’est un bonhomme tout en rondeurs, qui contraste avec le profil émacié du saint évêque. Il se fait remarquer par un embonpoint, que ne parvient pas à cacher une défroque écarlate bordée d’hermine. Son bonnet de même couleur coiffe une abondante chevelure bouclée qui se termine par une longue barbe blanche. De toute évidence, ce n’est pas là un homme d’église, encore moins un saint promis aux honneurs de l’autel. Il lui manque la diplomatie onctueuse qu’on acquiert à force de monter patiemment dans la hiérarchie consacrée. Sa hotte débordant de douceurs et de jouets est contrebalancée par une ample bedaine, qui ne l’empêche pas de se faufiler dans les cheminées. Comment fait-il pour acheminer tous ces cadeaux, « tous ces beaux joujoux que je vois en rêve », toute cette électronique « made in China » ? Comment parvient-il à déposer tout ça « dans mon petit soulier » ? C’est qu’il habite en Laponie, un pays près du cercle polaire, fait de neiges éternelles, de lueurs boréales et de rennes. Des rennes qu’il a attelés à un traineau de parade, lequel glisse d’abord sur la piste enneigée, puis s’élève dans les airs tel un drone et se déplace à la vitesse de la lumière, pour se poser tantôt sur le toit d’un gratte-ciel, tantôt à proximité d’une humble chaumière. Sur la banquette du conducteur il y a le Père Noël, qui mène et dirige l’engin avec des rênes. Oui, c’est bien ça : il mène ses rennes avec des rênes. Car à Noël, le ciel est plein d’assonances, d’allitérations et de rimes riches.
Le troisième homme de décembre joue le rôle d’un Roi mage dans une pastorale provençale. C’est le plus vieux, le plus digne et le mieux nippé. Comme il est un peu astrologue, il a deviné qu’un roi de l’univers va bientôt naître dans un pays du Moyen Orient. Rompu à la diplomatie à l’ancienne, il a jugé opportun d’être parmi les premiers à lui remettre ses lettres de noblesse et à lui présenter ses devoirs. Être en bons termes avec un nouveau-né promis à un règne universel, n’est-ce pas un gage de paix et de prospérité pour son propre royaume ? Dès l’équinoxe de printemps, il a donc donné des instructions à son grand vizir, pour qu’on fasse préparer la caravane avec le personnel et les livreurs attitrés du palais. Ces derniers sont chargés d’une intendance suffisante pour un voyage aller-retour de plusieurs mois. Pour transporter hommes, armes et bagages, sans parler des lingots d’or pour le cadeau royal, on attèlera non pas des rennes comme en Laponie, mais des chameaux et des dromadaires, animaux coutumiers des longs périples en caravanes. Quand tout est fin prêt, le roi met sa plus belle livrée et sa couronne de lys. Or avant qu’il ne donne le signal du départ, son vizir lui demande la direction à suivre. Là encore, ses dons d’astrologue sont d’un grand secours. Il ouvre donc la bouche, prend la parole et dit : « N’ayez cure, mes chers sujets ! La naissance d’un grand roi est toujours accompagnée d’une étoile à longue queue. Vous n’aurez qu’à la suivre à travers campagnes, montagnes et déserts. » Et le cortège royal de s’ébranler en partant de l’orient, d’où vient toute lumière. Chemin faisant il est rejoint par deux autres caravanes, celle d’un satrape oriental, puis d’un monarque africain à la peau d’ébène. Tant et si bien que vers le solstice d’hiver, tout ce beau monde arrive à Bethléem, où l’étoile prend la parole : « Vous êtes arrivés à destination ! Votre destination se trouve sur une voie sans issue, avec au fond une baraque à vaches ! C’est tout droit, vous ne pouvez pas vous tromper ! »
Résumons-nous : l’homme de décembre raffole de déguisements. Non content de faire le saint Nicolas, le Père Noël et le Roi mage, il profite de la Saint-Sylvestre pour se coiffer d’un tutu en fourrure, mettre un faux nez et souffler dans un serpentin doré. À minuit il tire son feu d’artifice, fait exploser les pétards, admire la chandelle et applaudit le bouquet final. Après quoi il rentre, se couche sous un épais édredon et s’endort en comptant les moutons. Parfois il rêve d’anges, de sapins, de neige et de bergers. D’autres fois, d’un Nouvel An débordant de nougats, de caramels et de spéculoos.
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By Passian Smit for Le Bonnet Amsterdam
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A French fashion plate circa 1860 advertising bonnets, lingerie, and a child’s outfit. Purchased in Amsterdam. It appears to be an original print torn from a catalog published in London. The items are numbered 1 through 9. The text reads:
Legastelois Imp. Paris Ad. Goubaud, Edit’ à Paris
LE MONITEUR DE LA MODE 743^bis
Paris, Rue Richelieu 92
Coiffeurs et Lingerie de La Balayeuse, Place Vendôme, 4.
Costume d’Enfant de la Mon. De st. Augustin. r. Nve. L. Augustin, 45.
The legible portion of text at the bottom of the page reads:
(Illegible) LONDON (illegible) publisher of the Englishman’s Domestic Magazine, 248, Strand, WC. MADRID P. J. De la Pena
Here is an English translation. My translations of the abbreviations may not be completely accurate:
Legastelois Printers (or Printing), Paris.
Ad. Goubaud, edited in Paris.
THE MONITOR OF FASHIONS
92 Richelieu street, Paris
Hairpieces and lingerie by (of) The Sweeper, 4 Vendôme Place.
Child’s costume by (of) Mr. Saint Augustin, 45 Nve. L. Augustin street.
I cannot tell what Bis and Nve stand for.
[Image ID: all of the colors on this print are the same shade. For example, the purple ribbons on images one and six are printed with the same color of ink. IDs are Clock wise from the top, which is why the numbers are out of order.
#1: White bonnet trimmed in wide purple ribbon which is ruched or pleated above the brow and decorated with white butterflies and green grass. The ribbon trails down the wearer’s back.
#3: White bonnet trimmed with white lace with circular eyelet patterns and a light blue ribbon which forms a multi-looped bow on each side of the lace at the center of the brow. The lace trails down the wearer’s back.
#5: Light blue ribbon hair piece with a central bow, trimmed with light blue berries, small, dual colored roses of pink and light pink, and small green leaves.
#8: The upper half of a white chemise or corset cover with a small lace collar trimmed with thin ruched or pleated ribbon. The yoke is triangular with a thin, vertical lace or pleated pattern. This yoke is bordered by a wide ribbon trimmed with pleats, and the same decorates the button band down the center. The arm scyes (I do not know how to spell that word, please leave a comment educating me) are dropped with a ruched section before the sleeve begins.
#6: White bonnet with two pieces of black lace running vertically down the center back, with a purple ribbon tied in a large central bow along the bottom edge. The front and side edges are trimmed in ruched lace, decorated with two large red poppies and yellow wheat. The ribbon trails down the wearer’s back.
#7: I believe this image is a corset cover. It is in the shape of a diamond yoke and looks like a small cape for the chest, back, and shoulders. The garment is white. The collar is thin and trimmed in ruched ribbon, beneath which is a large triangular section of dotted lace or fabric. Triangular, lace-fringed epaulettes with light blue ribbon bows at the bottom sit low on the shoulders. The bottom edge of the garment is trimmed in a layer of wide ruched ribbon with a ruching and eyelet border, followed by two layers of scalloped ruched lace with eyelets. At the bottom center is a large, double bow of light blue ribbon.
#4: Green ribbon hair piece with box pleats above the brow. At the center is an ornament of a cloud with a small, dark bird driving downwards. The ribbon trails down the wearer’s back. The piece is styled with a yellow hair pin and matching tear drop earrings.
#2: Light pink bonnet trimmed with center-ruched ribbon along the edge and half way up the center back. Two long, wide, light pink ribbons trail down the wearer’s back. The center bottom edge is decorated with a small, dark pink bow with long ribbons. The center top is decorated with a pile of dark pink loops of ribbon, with an additional dark pink ribbon trailing to the bottom edge.
#9: The central figure, a preteen girl. She wears a light blue snood with center-ruched ribbon on the head band, a pearl necklace, and black boots. Her outfit is a white bodice with cuffed peasant or bishop sleeves and a large, black and white gingham yoke. Her skirt is light blue, wide, and falls to just below the knee. It has a wide black belt pointed at center front top and bottom, with a single, descending black ribbon which asymmetrically and slightly raises the skirt to reveal a petticoat with an abstract floral border. End ID]
I absolutely adore this print. If you know what sort of garment #7 is, please comment to let me know. The large bows seem impractical for a corset cover. The most remarkable aspect of this page is the girl’s dress, which features the only asymmetric skirt I have ever encountered in a primary source. The shape of skirt suggests the early and middle 1860s, when this layering of skirts was not yet popular, but because children rarely wore cage crinolines it could also be from the end of the decade. I was very lucky to find this and some other prints at a street vendor who claimed they were originals.
Let me know if you know anything about determining if a print is an original, or if you have seen this print before or know of other examples of asymmetric skirts. Or, of course, if you know these French abbreviations. I am not a native speaker.
#fashion#fashion history#victorian fashion#antique#fashion plate#french fashion#image#itsgonnacostsomuchtoframeallthese
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La vita del cineasta Jean Vigo fu breve, nasce a Parigi il 26 aprile 1905 e muore a ottobre del 1934. Egli realizzò soltanto quattro film la cui durata complessiva non raggiunge le tre ore. Ma L'Atalante e Zéro de conduite [Zero in condotta] sono dei film notevoli per la loro poesia ed il loro spirito di rivolta.
26 Aprile 1905: Jean Vigo
Non è possibile parlare di Jean Vigo senza evocare la vita di suo padre Miguel Almereyda. La sua morte drammatica nel 1917 avrebbe profondamente segnato Jean Vigo. Nato nel 1883, si reca a Parigi all'età di quindici anni ed esercita il mestiere di fotografo e conosce presto la prigione. Sarà condannato per furto poi per fabbricazione di esplosivi e per diversi reati di stampa.
Nel 1903 Almereyda aveva incontrato una militante, Emily Cléro. Il loro figlio detto Nono, nasce nel 1905. I suoi genitori vivevano in una miseria nera. Per sopravvivere, hanno anche stampato denaro falso. Queste condizioni di vita difficili avranno probabilmente delle conseguenze sulla salute di Jean.
Dopo aver partecipato al Congresso antimilitarista di Amsterdam, Almereyda crea nel 1906 il giornale La Guerre Sociale con Gustave Hervé, socialista rivoluzionario. Crea anche le Jeunes gardes révolutionnaires [Le Giovani guardie rivoluzionarie] che si battono contro i realisti ma anche con gli individualisti del giornale L'Anarchie. A poco a poco si allontana dalle idee libertarie. Da pacifista, diventerà militarista rivoluzionario poi semplicemente militarista. Nel 1913, crea il giornale Le Bonnet rouge [Il Berretto rosso] che nel 1914 sostiene l'entrata in guerra della Francia.
La Guerre Sociale poi Il Bonnet rouge avevano conosciuto un enorme successo. Così, il tenore di vita di Almereyda era completamente cambiato: automobili, residenze, amanti... Nel 1917, constatando i guasti della guerra, cambia direzione, ritrova delle posizioni pacifiste e sostiene la Rivoluzione russa. La destra e l'estrema destra vogliono la sua pelle. Un affare di assegno di origine straniera serve da pretesto per il suo arresto. Il 13 agosto 1917, è ritrovato morto nella sua cella. Non si sa ancora se si tratta di un crimine o di un incidente
Per tutta la sua vita, Jean Vigo rimarrà segnato dall'amore e dal culto che dedica a suo padre. Non avrà sfortunatamente il tempo di ottenere la sua riabilitazione.
A dodici anni, Jean Vigo è accolto da Gabriel Aubès, suocero di Miguel Almeyreda. Conosce anni molto difficili: è già colpito dalla tubercolosi, è privo di padre, è allontanato da sua madre che si disinteressa di lui e si ritrova internato . Il suo soggiorno al collège de Millau dal 1918 al 1922 gli ispirerà la maggior parte delle scene di Zéro en conduite [Zero in condotta]. Dal 1922 al 1925, è al liceo di Chartres dove ottiene il diploma. Mentre sta seguendo delle cure mediche a Font-Romeu, incontra Lydou (Elysabeth Losinska), figlia di un industriale polacco. Risiedono successivamente a Nizza.
Jean Vigo sa che vuole diventare cineasta. Grazie al padre di Lydou, può comprare una macchina da ripresa. Incontra Boris Kaufman. Nato nel 1906, quest'ultimo sarà (non si è sicuri della cosa) il fratello del realizzatore sovietico Dziga Vertov (1895-1924), pioniere del cinema documentario, creatore del cinema verità. Dalla fine del 1929 a marzo 1930, Vigo e Kaufman percorreranno le vie di Nizza allo scopo di realizzare il loro primo film A propos de Nice [A proposito di Nizza].
Jean vigo ha detto di A propos de Nice che si trattava di "un punto di vista documentato" e non di un documentario. È influenzato dalle teorie di Vertov. Questo film è uno sguardo satirico sul mondo fortunato dei vacanzieri estivi. Nizza è una città che vive del gioco. Vigo ci mostra i grand Hotel, le straniere, la roulette, tutto un mondo che contrasta con i quartieri poveri. Si tratta di una violenta critica sociale.
Il suo primo film è stimato positivamente, Jean Vigo può affrontare la sua carriera di cineasta con ottimismo. Nel 1930 a Nizza, crea il ciné-club Les amis du cinéma. Gli aderenti poterono scoprire tra l'altro dei film sovietici. Nel 1931 realizza un film su ordinazione di undici minuti sul campione di nuoto Jean Taris. Questo film è soprattutto notevole per le prese di vista sottomarine che Vigo riutilizzerà in L'Atalante. Lo stesso anno Jean e Lydou hanno una figlia, Luce. Nel 1932 incontra a Parigi Jacques-Louis Nounez. È un uomo d'affari che ama il cinema, si sente vicino a Vigo ed accetta di essere il suo produttore.
Tra dicembre 1932 e gennaio 1933, Vigo gira Zero in condotta. Il direttore della fotografia è Boris Kaufman, la musica è di Maurice Jaubert- È un'opera autobiografica poiché il film mette in scena dei bambini all'interno di un collegio- La disciplina è così severa che i bambini preparano una cospirazione. L'allievo Tabard dice merda al professor Mielleux che gli accarezzava la mano. Convocato presso il preside, esortato a dare una spiegazione, non ha che una risposta: "Signor professore, vi dico merda!". Questa risposta è ispirata da un titolo di La Guerre sociale indirizzata al governo da Almereyda: "Vi dico merda!". Più tardi, la rivolta scoppia nel dormitorio. Le penne volano, il sorvegliante è legato al suo letto. Il giorno seguente è giorno di festa al collegio. Gli ufficiali invitati (prefetto, prete, militare) ricevono ogni genere di proiettili da parte dei bambini saliti sul tetto. Il disordine è generale, la bandiera con il teschio è issata, i bambini fuggono dai tetti poi in campagna.
Zero in condotta fu criticato dal potere. Le proteste furono numerose, soprattutto quelle dei padri di famiglia organizzati. Per essi, il film elogiava l'indisciplina e costituiva una attentato al prestigio del corpo insegnante. Dopo una proiezione unica, il film è vietato dalla censura ed i cinefili dovranno attendere il 1945 per vederlo. Vigo aveva preso le parti dei bambini che rappresentavano l'immaginazione e la creatività contro gli adulti, borghesi ipocriti e cattivi. Questo film non è tuttavia manicheo perché i bambini non sono tutti dei santi: possono essere anche falsi e perversi. Zero in condotta ha una profonda sensibilità libertaria. Di fronte alle difficoltà alla libertà ed alla felicità, la rivolta è necessaria. Jean Vigo rappresenta i sostegni del potere che sono lo Stato, la Chiesa e l'esercito sotto forma di marionette che bisogna abbattere in un gran gioco al massacro.
Malgrado la censura, Jacques-Louis Nounez ha sempre fiducia in Jean Vigo ed è pronto a produrre un nuovo film. Vigo ha diversi progetti. Uno di questi Evadé du bagne [Evaso dai lavori forzati] ci interessa particolarmente. Si tratta dell'adattamento della vita di Eugéne Dieudonné. Quest'ultimo era un illegale legato ai membri della Banda Bonnot. Alla fine dell'anno 1911, Bonnot ed i suoi compagni avevano aggredito a Parigi un cassiere della Società generale per rubargli 20.000 franchi in banconote e 5.000 franchi in oro. Delle retate hanno luogo negli ambienti anarchici. Dieudonné, operaio carpentiere di 27 anni, è arrestato; il cassiere afferma di riconoscerlo benché egli assicuri che al momento dei fatti, si trovasse a Nancy. Benché scagionato da Bonnot prima della sua morte, con una lettera di Garnier e le dichiarazioni di Raymond la Science al processo, Dieudonné è condannato a morte. Sarà graziato ma spedito ai bagni penali in Guyana.
Eugène Dieudonné tenterà per due volte di evadere ma sarà ripreso ogni volta. Il terzo tentativo avrà successo. Dopo aver sfiorato molte volte la morte, giunge in Brasile. È minacciato di estradizione. Il celebre giornalista Albert Londres assume la sua difesa ed ottiene la grazia. Dieudonné rientra in Francia dove riprende il suo mestiere di ebanista. Durante il suo processo nel 1912, Almereyda lo aveva sostenuto. Jean Vigo conosceva bene Dieudonné che aveva fabbricato i mobili del suo appartamento. Lo incarica di abbozzare un primo adattamento cinematografico seguendo i testi di Albert Londres. Dieudonné aveva accettato di svolgere il proprio ruolo e Vigo aveva prospettato di girare il film nella stessa Guyana. Benché molto avanzato, questo progetto fu abbandonato perché i rischi di censura erano molto alti, i rischi finanziari anche. Nell'agosto del 1933, Nounez affida a Vigo un nuovo progetto. La censura non potrà intervenire e Vigo potrà effettuare un'opera personale. Questo film, L'Atalante sarà il capolavoro di Vigo ma anche il suo ultimo film.
L'Atalante fu girato dal novembre 1933 a gennaio 1934. La sceneggiatura originale di Jean Guinée è stato rimaneggiato in profondità da Jean Vigo e Albert Riéra. Boris Kaufman è sempre il direttore della fotografia. La coreografia di Francis Jourdain che fu amico di Almereyda. Il montaggio di Louis Chavance di orientamento libertario. Questo film beneficia di più mezzi dei precedenti. Ha una vera distribuzione: Michel Simon, Dita Parlo, Jean Dasté...
Un marinaio sposa una giovane contadina che si ambienta male in una chiatta dove regna un vecchio originale (Michel Simon). Quando la chiatta giunge alla periferia di Parigi, la donna lascia suo marito. Entrambi sono disperati ma si ritrovano e si amano di nuovo. Vigo ha trasformato un soggetto di un'estrema banalità in una poesia d'amore pazzo in cui la critica sociale non è assente. Sin dall'inizio, durante le nozze soltanto gli sposati sembrano simpatici; il resto degli assistenti è ridicolo e si tiene a distanza, ostile. Jean Vigo affronta i problemi sociali del suo tempo. mostra la campagna in via di industrializzazione (piloni, terreni devastati), file di disoccupati, i conflitti tra il marinaio ed il suo padrone, il linciaggio da parte della folla di un presunto ladro. La cambusa di Michel Simon è un vero deposito di cianfrusaglie surrealista: vi si vedono delle mani tagliate in un boccale, degli automi, un vecchio fonografo che meraviglia la giovane sposa. Lo sguardo che porta Vigo sulla coppia non è moralista; c'è incomprensione tra gli sposati e se la moglie fugge, è perché vuole fuggire al grigiore della vita quotidiana. Il marinaio deve tuffarsi in fondo all'acqua per ritrovare il volto della sua beneamata.
La critica riserverà una buona accoglienza a L'Atalante. Sfortunatamente la Gaumont, temendo la censura e non trovando il film abbastanza commerciale, lo fece uscire in una forma mutilata. Delle scene sparirono (Michel Simon faceva fumare la donna tatuata sulla sua pancia), un canzonetta (Le chaland qui passe) fu sostituita alla musica di Jaubert. Non è che dopo molti anni che si poté vedere una versione più conforme al lavoro di Vigo. La sua carriera cinematografica si arresterà lì perché muore nell'ottobre del 1934, sua moglie Lydou morirà cinque anni dopo.
Jean Vigo è stato segnato dalla sua infanzia mal vissuta ed il ricordo ossessivo di un padre assassinato. Sarà in rivolta contro una società opprimente. Continuerà a frequentare gli amici del padre: Francis Jourdain, Fernand Desprès, Victor Méric, Jeanne Humbert. Molti di loro, entusiasti della Rivoluzione russa, hanno raggiunto le fila del Partito comunista. Jean Vigo non vi aderirà perché è un sostenitore di un'unione di tutte le forze di sinistra. Nel 1932 prende parte alle attività di tutte le forme dell'AEAR (Association des écrivains et artistes révolutionnaires).
Ogni anno il Premio Jean Vigo premia l'autore "di un film che si caratterizza per l'indipendenza del suo spirito e la qualità della sua realizzazione". I film di Jean Vigo hanno influenzato molti cineasti francesi. Per concludere, lasciamo la parola a François Truffaut : "Ho avuto la fortuna di scoprire i film di Jean Vigo in una sola seduta, un sabato pomeriggio del 1946, al Sèvres-Pathé, grazie al Ciné-club della camera nera animato da André Bazin... Ignoravo entrando in sala persino il nome di Jean Vigo ma fui preso presto da un'ammirazione sterminata per quest'opera la cui totalità non raggiunge i 200 minuti di proiezione".
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ENTRETIEN - Le géographe a théorisé la fracture grandissante entre France des métropoles et territoires périphériques dans plusieurs ouvrages qui ont marqué. Il voit dans le mouvement du 17 novembre un nouvel indice du déclassement des classes moyennes.
LE FIGARO.- Comment caractériser la démonstration de force des «gilets jaunes» samedi?
Christophe GUILLUY.- La mobilisation a été la fois massive et dispersée sur tout le territoire. C'est une confirmation de la confrontation entre la France périphérique et la France des métropoles. Nous ne sommes pas en face d'un mouvement marginal et catégoriel. C'est pourquoi le terme de «jacquerie» me paraît inapproprié. La fronde dépasse le monde rural et touche l'ensemble des catégories modestes. On a vu défiler des ambulanciers, des routiers, des retraités. Les détracteurs du mouvement avaient entrepris, ces dernières semaines, d'imposer l'image d'un rassemblement hétéroclite de «beaufs». Or cet essai de disqualification a échoué. Les enquêtes d'opinion indiquent un soutien massif des Français aux «gilets jaunes». Les partis d'opposition l'ont d'ailleurs compris, car nombre de politiques étaient présents samedi. Surtout, je crois que nous sommes face à un processus de réaffirmation culturelle des classes moyennes.
En quoi peut-on analyser le mouvement des «gilets jaunes» comme un mouvement de révolte de la France périphérique?
Les métropoles sont de nouvelles citadelles médiévales, avec une bourgeoisie qui se claquemure derrière ses remparts
Des «bonnets rouges» sous François Hollande aux «gilets jaunes» en 2018, aussi bien d'ailleurs que dans les autres pays occidentaux marqués par des mouvements populistes, on observe la même sociologie: ouvriers, employés, paysans, petits indépendants, bref, le socle de la classe moyenne occidentale. On constate également la même géographie: territoires ruraux, petites villes et villes moyennes. Ces personnes ont pour point commun de vivre désormais dans les territoires qui créent le moins d'emplois. Pour elles, la sédentarisation est de plus en plus forte, les perspectives de mobilité tendent à baisser. Ces individus se sentent fragilisés socialement et culturellement. Le mouvement des «gilets jaunes» s'inscrit dans cette situation d'ensemble.
Les partis politiques semblent dépassés par un mouvement émanant de la base…
Les partis traditionnels ont été créés pour représenter une classe moyenne qui est en train de se déliter. On relève un décalage gigantesque entre la réalité de la société française et ces partis qui continuent à s'adresser à une classe moyenne mythique, supposée stable, alors qu'en réalité ils n'en captent plus que les héritiers -pour la droite les retraités, pour la gauche la fonction publique. Cette classe moyenne en déclin a pourtant des demandes simples: elle ré clame une intégration économique et la préservation d'un capital social ainsi que culturel.
La question de la voiture cristallise-t-elle l'opposition entre France périphérique et France des métropoles?
Le bilan carbone de l'aéronautique n'est jamais évoqué, puisqu'on ne peut pas taxer le kérosène dans un contexte de mondialisation des transports. La pollution des «riches» mobiles est donc moins taxée que celle des «pauvres» sédentaires. De façon plus générale, les métropoles sont de nouvelles citadelles médiévales, avec une bourgeoisie qui se claquemure derrière ses remparts, et entend même instituer bientôt des péages urbains - le retour de l'octroi! Dans ces espaces clos, les habitants ont simplement besoin de liaisons pour sortir - avions, TGV - et la voiture est, pour eux, obsolète. Inversement, aujourd'hui les catégories populaires vivent de plus en plus loin de l'emploi et ont un besoin vital de leur voiture. Dans la chasse à la voiture menée par les élites se manifestent une forme d'inconscience des difficultés réelles de ces concitoyens et même un mépris de classe. La réaction du monde politique d'en haut est d'accuser les classes populaires de ne pas avoir conscience de l'enjeu écologique! Les conflits sociaux ont toujours existé, mais c'est la première fois dans l'histoire qu'il y a une perte de contact aussi grande entre le haut et le bas de la société. C'est une véritable désaffiliation. Aujourd'hui Paris est beaucoup plus éloigné de l'hinterland français que de Londres, Barcelone ou Amsterdam, et la situation est la même dans les autres pays occidentaux. Autant de facteurs qui favorisent les mouvements spontanés et incontrôlés comme les «gilets jaunes».
La défense de l'écologie, comme la promotion de la «société ouverte», est devenue un outil de distinction sociale
La question de l'écologie illustre donc une divergence de préoccupations entre métropoles et France périphérique?
Tous les Français souhaitent préserver l'environnement. Personne ne roule au diesel par plaisir. De la même manière, si l'on considère la question du multiculturalisme, tout le monde souhaite une préservation de son capital culturel et un rapport à l'Autre distancié. Mais il faut distinguer les objectifs et les moyens. Si j'ai les moyens de mettre à distance l'Autre, en contournant la carte scolaire par exemple, je peux faire l'apologie de la «société ouverte» sans difficulté. Il en va de même en matière d'écologie. On peut facilement tenir un discours sur la nécessité de préserver l'environnement quand on a les moyens de s'offrir une voiture électrique ou de consommer bio. La défense de l'écologie, comme la promotion de la «société ouverte», est devenue un outil de distinction sociale. Certains continuent à présenter le mouvement des «gilets jaunes» comme le rassemblement des ploucs, des Français «qui fument des clopes et roulent en diesel», comme dirait Benjamin Griveaux, qui a ajouté: «Ça n'est pas la France du XXIe siècle que nous voulons.» Ces propos sont extravagants. La France qu'ils pensent déclinante, vieillissante et vouée à disparaître peut potentiellement constituer la majorité des électeurs. En réalité, la technostructure est incapable de répondre aux attentes de ces catégories majoritaires, hier socle de la classe moyenne, mais qui ne sont plus sa référence culturelle.
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du blanc et du blanc
Environ un an après que mon choix de destination ait été validé, ça y est, le jour J arrive, je m’envole pour la Finlande 🇫🇮. Un peu d’impatience, de peur, de tristesse et de bonheur. Je fait un gros bisous à Clémentine et Martin, je dit au revoir aux parents, un câlin aux copains, un “à dans 6 mois” aux Fich et un “à très vite” accompagné de quelques pleurs à Sam ❤️. Pas facile de partir quand on est autant attaché aux gens qui nous entoure !
Mais l’avion décolle à 07:00, ce qui ne laisse pas le temps de trop réfléchir. J’enchaine les avions, de Lyon à Amsterdam, d’Amsterdam à Helsinki et de Helsinki à Oulu. Et mince, il fait déjà nuit 🌙
J’atterris donc à Oulu sous une petite tempête de neige à -20°C avec deux valises de 23kg. Il faut que je prenne le bus 8 jusqu’à Kemintie. Le chauffeur ne comprends rien à mon accent franco-anglo-finnois mais j’arrive à bon port et Aliisa, ma “kummi”, autrement dit ma tutrice, m’attend sous son bonnet, ses moufles et sa combinaison de ski. Elle m’aide à rejoindre mon appartement et me donne mes clefs. J’entre et je découvre alors Jordyn, ma coloc, américaine à souhait. J’espère que tout va bien se passer 🇺🇸.
Ma première nuit a été glaciale : le service immobilier nous dit que la température idéale d’une chambre est de 22°C mais nous n’atteignons pas les 18°C .. d’autant plus que ma couette est trop petite. Ca fait partie du voyage ! J’irais me consoler plus tard dans le sauna au rez-de-chaussée.
04/01 : Réveil à 06h, pour le premier jour je veux être à l’heure. Aujourd'hui, c’est sessions d’informations de 08h à 16h. Je découvre plein de nouvelles personnes, surtout des français ! Mais aussi une autre américaine, Morgan, qui habite dans mon immeuble. On s’entraide tous pour remplir les papiers administratifs, pour ne pas se perdre dans l’immense bâtiment etc. La fac est très colorée, les trottinettes roulent à fond dans les couloirs, on tombe sur des salles réservées à la sieste, et .... on ne voit pas le jour. Une journée entière sans que je n’aperçoive un rayon de soleil ! Il était pourtant présent, de 10h30 à 14h30. En rentrant à la maison, à 16h30, je me perds avec Morgan sur les routes enneigées d’Oulu. C’est tout blanc ici ! Pas facile de repérer le bon arrêt de bus quand il fait nuit. Mais j’ai confiance, un peu d’entrainement et on devrait y arriver.
Demain je pars avec d’autres étudiants erasmus faire des jeux d’hivers. Aucune idée de ce que cela veut dire pour des Finlandais, ce sera la surprise ! Maintenant je n’ai qu’un objectif : enfin apercevoir une aurore boréale.
des bisous d’Oulu (à prononcer /ˈou̯lu/)
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Desigual Vestes Soldes
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L’homme de décembre
L’homme de décembre est un homme qui se déguise. D’abord en saint Nicolas, puis en Père Noël, enfin en Roi mage. Le premier accoste sur un vapeur à Amsterdam et poursuit sa route sur un cheval blanc, entouré d’acolytes qui sèment à tout vent des oranges et des friandises. Il est accompagné aussi par Nicodème, qui agite son fouet à l’adresse des enfants paresseux, désobéissants ou bagarreurs. Cet homme de décembre a tous les attributs de l’épiscopat. C’est un prélat de plein vent, auquel ne manque aucun signe de l’institution canonique. Du commun des mortels il se distingue par la mitre, la crosse fleurie, la croix pectorale et l’anneau d’améthyste qu’on baise à genoux. Au lieu du bleu de chauffe et du paletot élimé, qui vont si bien à l’homme de la rue, il est habillé d’un rochet, d’une cape tissée de fils d’or et d’un camail violet. Et il bénit les enfants d’une main gantée de velours grenat.
Le deuxième homme de décembre se déguise en Père Noël. Comparé au précédent, il paraît bien moins catholique. C’est un bonhomme tout en rondeurs, qui contraste avec le profil émacié du saint évêque. Il se fait remarquer par un embonpoint, que ne parvient pas à cacher une défroque écarlate bordée d’hermine. Son bonnet de même couleur coiffe une abondante chevelure bouclée qui se termine par une longue barbe blanche. De toute évidence, ce n’est pas là un homme d’église, encore moins un saint promis aux honneurs de l’autel. Il lui manque la diplomatie onctueuse qu’on acquiert à force de monter patiemment dans la hiérarchie consacrée. Sa hotte débordant de douceurs et de jouets est contrebalancée par une ample bedaine, qui ne l’empêche pas de se faufiler dans les cheminées. Comment fait-il pour acheminer tous ces cadeaux, « tous ces beaux joujoux que je vois en rêve », toute cette électronique « made in China » ? Comment parvient-il à déposer tout ça « dans mon petit soulier » ? C’est qu’il habite en Laponie, un pays près du cercle polaire, fait de neiges éternelles, de lueurs boréales et de rennes. Des rennes qu’il a attelés à un traineau de parade, lequel glisse d’abord sur la piste enneigée, puis s’élève dans les airs tel un drone et se déplace à la vitesse de la lumière, pour se poser tantôt sur le toit d’un gratte-ciel, tantôt à proximité d’une humble chaumière. Sur la banquette du conducteur il y a le Père Noël, qui mène et dirige l’engin avec des rênes. Oui, c’est bien ça : il mène ses rennes avec des rênes. Car à Noël, le ciel est plein d’assonances, d’allitérations et de rimes riches.
Le troisième homme de décembre joue le rôle d’un Roi mage dans une pastorale provençale. C’est le plus vieux, le plus digne et le mieux nippé. Comme il est un peu astrologue, il a deviné qu’un roi de l’univers va bientôt naître dans un pays du Moyen Orient. Rompu à la diplomatie à l’ancienne, il a jugé opportun d’être parmi les premiers à lui remettre ses lettres de noblesse et à lui présenter ses devoirs. Être en bons termes avec un nouveau-né promis à un règne universel, n’est-ce pas un gage de paix et de prospérité pour son propre royaume ? Dès l’équinoxe de printemps, il a donc donné des instructions à son grand vizir, pour qu’on fasse préparer la caravane avec le personnel et les livreurs attitrés du palais. Ces derniers sont chargés d’une intendance suffisante pour un voyage aller-retour de plusieurs mois. Pour transporter hommes, armes et bagages, sans parler des lingots d’or pour le cadeau royal, on attèlera non pas des rennes comme en Laponie, mais des chameaux et des dromadaires, animaux coutumiers des longs périples en caravanes. Quand tout est fin prêt, le roi met sa plus belle livrée et sa couronne de lys. Or avant qu’il ne donne le signal du départ, son vizir lui demande la direction à suivre. Là encore, ses dons d’astrologue sont d’un grand secours. Il ouvre donc la bouche, prend la parole et dit : « N’ayez cure, mes chers sujets ! La naissance d’un grand roi est toujours accompagnée d’une étoile à longue queue. Vous n’aurez qu’à la suivre à travers campagnes, montagnes et déserts. » Et le cortège royal de s’ébranler en partant de l’orient, d’où vient toute lumière. Chemin faisant il est rejoint par deux autres caravanes, celle d’un satrape oriental, puis d’un monarque africain à la peau d’ébène. Tant et si bien que vers le solstice d’hiver, tout ce beau monde arrive à Bethléem, où l’étoile prend la parole : « Vous êtes arrivés à destination ! La destination se trouve sur une voie sans issue, avec au fond une baraque à vaches ! C’est tout droit, vous ne pouvez pas vous tromper ! »
Résumons-nous : l’homme de décembre raffole de déguisements. Non content de faire le saint Nicolas, le Père Noël et le Roi mage, il profite de la Saint-Sylvestre pour se coiffer d’un tutu en fourrure, mettre un faux nez et souffler dans un serpentin doré. À minuit il tire son feu d’artifice, fait exploser les pétards, admire la chandelle et applaudit le bouquet final. Après quoi il rentre, se couche sous un épais édredon et s’endort en comptant les moutons. Parfois il rêve d’anges, de sapins, de neige et de bergers. D’autres fois, d’un Nouvel An débordant de nougats, de caramels et de spéculoos.
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28/02
bon j’ai pleuré. j’ai commencé à paniquer pour le retour et j’avais pas pleuré depuis que je suis ici encore et ça devait bien finir par arriver. après avoir pleuré je savais plus quoi faire et je suis allée voir des photos de kstew et stella maxwell qui s’embrassent sur le l chat. je crois que c’est un de mes plus gros secrets embarrassants. encore plus embarrassant que mon amour pour la la land. j’oserais jamais avouer à austin et daeja que j’ai aimé la la land mais je suis encore plus mortifiée par ma passion pour kristen stewart. nanna m’a dit que j’allais lui manquer ce matin. i’m actually going to miss you. j’étais justement en train de me punir mentalement de pas réussir à avoir de conversations profondes avec les gens, parfois j’ai l’impression que je parle comme j’écrivais mes disserts à la fac, sans rien comprendre en profondeur. j’ai dit à daeja que je voulais aller m’exiler dans la forêt en parlant de cv parce qu’elle était en train de faire son cv, j’ai plus envie de me torturer dès que je parle à quelqu’un ça m’épuise, je suis fatiguée d’être paranoïaque. est-ce que je peux vivre isolée de tout? mais je veux aussi être aimée. et je veux aimer. i just want to loooove. et être installée sur le canapé avec perlou et regarder the voice.
un taxi va venir me chercher ici et j’arrive pas à y croire. pourquoi ils peuvent pas directement m’envoyer un avion privé avec des sièges-lits en velours à l’intérieur et des télés avec la rediffusion de the voice et des chips de banane et ils me déposeraient directement à la maison ou sur la piste d’atterrissage du centre hospitalier. daeja veut se trouver un travail dans un magazine à chicago en rentrant pendant qu’austin va retourner à son école de cinéma et elle veut travailler sur son portfolio pour s’inscrire dans une école d’art, fine arts. nanna est en train de faire ses applications pour des écoles de danse à berlin et amsterdam, elle veut faire une espèce d’hybride de danse et de théâtre, écrire ses propres chorégraphies, ça a l’air bien. j’aimerais bien faire un truc comme ça aussi mais juste parce que j’ai aucune conscience de mon corps ni de notion de rythme quand je danse toute seule dans la cuisine c’est tout et ça m’embête. tout le monde retourne à l’école. j’ai mal aux fesses et l’assurance m’a toujours pas rappelée et je trouve pas molly sur fb. j’en ai marre et je me sens seule.
oh boy je suis invitée à manger à heima ce soir et j’en peux plus d’être assise à cette table dans la cuisine et je meurs d’envie de revoir molly et lucy jane turpin aussi et j’arrive toujours pas à croire qu’un taxi va venir me chercher devant la maison demain. un taxi. s’ils pouvaient m’envoyer un taxi pour m’amener à heima ce soir aussi please p.l.e.a.s.e. pour ma défense, encore, parfois j’arrive à avoir une conversation normale sans crispation mentale comme avec amanda tout à l’heure par exemple. j’aime bien son bonnet rose. à chaque fois que j’entends son nom je pense à amanda’s chronicles de youtube qui s’appelle maintenant miles parce qu’il/elle est trans maintenant et ça me fascine. je me demande s’il existe un équivalent de they en français, comment font les non-binaires francophones pour échapper au gender binary?
j’ai fait une deuxième crise de sanglots encore plus grosse que la première quand nanna est partie à heima j’arrivais plus à m’arrêter et j’arrêtais pas de penser à molly. je pleurais comme cameron diaz dans the holiday sauf que moi je pleurais en vrai mais je pleurais comme dans un film, et puis nanna m’a appelée et elle est venue me chercher en voiture avec lena et je suis arrivée à heima en pyjama sans soutien-gorge les yeux encore humides et les joues baignées de larmes séchées et je téléphonais avec l’assurance dans l’escalier et molly est descendue et elle s’est mise à côté de moi à table et je viens de me rendre compte que je l’ai même pas remerciée avant de partir ni personne d’ailleurs à part lena mais quel genre de monstre d’ingratitude je suis? elle est de nova scotia, et tout d’un coup elle s’est levée parce qu’elle venait de se rappeler qu’elle avait une deadline pour une résidence en allemagne dans quarante minutes et je lui ai même pas demandé ce qu’elle faisait, alors que j’aimerais vraiment savoir. on a joué à un jeu qui s’appelle bananagram et j’ai fait nice ass avec mes lettres et puis je les ai mélangées et elle a dit i see what you’re trying to do here et j’ai pas osé la regarder. elle a un tatouage au dessus de chaque coude, un trait horizontal avec un petit trait en diagonale comme un slash dessous, je crois, l’autre je sais plus, mais je les ai trouvés très beaux. j’ai oublié de le lui dire. je crois qu’elle est pas sur fb et je la reverrai sans doute jamais et ça me brise un peu le coeur mais je suis tellement contente de l’avoir dans un coin de ma tête, j’aime bien collectionner les gens que je rencontre et qui m’apportent une certaine sérénité, comme ludvig, et puis penser à eux quand j’en ai besoin. et j’adore être entourée d’artistes aussi, même s’ils prennent trop de place parfois mais c’est fascinant, enfin ça dépend qui, mais ce soir à heima ils parlaient tous de résidences comme s’ils faisaient que ça sauter d’une résidence à l’autre d’un pays à l’autre trop cool la vie. lucy donne des cours à l’école d’art de reykjavik et elle a du faire une pause dans sa résidence à heima parce qu’elle a du rentrer à johannesburg pour travailler parce qu’elle avait plus un sou, emma s. enseigne l’art à san francisco, et lena veut travailler comme hôtesse de l’air pendant les vacances d’été. j’adore entendre comment les gens qui ont une vie intéressante vivent et se débrouillent. à un moment sean parlait de sa mère qui est morte et molly voulait dire i’m sorry mais elle a été coupée et puis elle l’a redit après et je sais pas pourquoi à ce moment je me suis dit que je pouvais y arriver aussi, trouver mon chemin comme molly et être plus à l’aise avec moi-même en société et avec les gens. j’aimerais tellement connaître son histoire, son chemin à elle. j’adorerais pouvoir passer des nuits avec des gens que je choisis pour qu’ils me racontent leur vie. nanna a été adorable avec moi toute la journée, ce matin elle s’est levée avec moi et quand on a vu ala descendre de sa maison elle a couru dehors pour lui demander si elle pouvait nous amener à l’hopital et elle est venue avec moi et ce soir elle me regardait parfois comme pour me rassurer et elle m’a donné le dernier chocolat à la guimauve que j’ai partagé en deux pour en donner la moitié à molly. je suis contente d’avoir enfin appris à mieux connaître nanna, j’avais une relation bizarre avec elle mais maintenant qu’on est un peu plus familières l’une de l’autre l’affection est plus sincère. avant on se connaissait pas vraiment et je trouvais ça toujours un peu bizarre, qu’elle m’embrasse sur le front par exemple. elle m’a expliqué une méthode de comment on peut faire un projet site-specific qu’elle a appris dans un workshop de danse en grèce l’année dernière et j’ai adoré et je me suis dit que j’allais l’appliquer à la maison et essayer de faire quelque chose sur la Maison. en continuation de mon film peut être. ce soir à heima emma s. m’a demandé si je faisais des films et je suis devenue toute rouge et j’ai dit que j’aimais bien faire des vidéos comme ça for fun et je savais pas trop quoi dire, si y a une chose que je déteste c’est de parler de mon travail parce que je me sens absolument pas légitime, et puis nanna m’a encouragée et elle m’a dit qu’emma k. lui avait parlé de mes vidéos et j’étais toute ravie et aussi embarrassée. j’ai pas du tout fait mes preuves encore et c’est très intimidant et gênant d’en parler avec des Vrais Artistes.
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