#le bonheur du jour ou les grâces à la mode
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artdecoandmodernist · 1 year ago
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George Barbier, Le Bonheur du jour ou Les Grâces à la Mode, detail, 1920.
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justineportraits · 11 months ago
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George Barbier (1882–1932) Cupid, illustration from Le Bonheur du Jour ou les Grâces à la Mode 1924
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desimonewayland · 2 years ago
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Georges Barbier
Le bonheur du jour ou Les grâces à la mode / texte et dessins par George Barbier
{BnF
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claudehenrion · 2 years ago
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Un essai de réponse à Poutine…
  Chacun des discours récents de Poutine contient quelques (longs) paragraphes consacrés à la décadence de l'Occident, à “l'échec du succès” de ses politiques –qui souvent se déroulent bien… mais finissent en conséquences délétères… Il serait stupide de mépriser ces accusations sans même les regarder, au seul motif que leur auteur a commis une erreur stratégique de premier ordre en envahissant l'Ukraine (NB : jusqu'à ce “pas de trop”, il avait le droit et la morale pour lui, les provocations américaines ayant depuis longtemps dépassé l'acceptable). Il n'est pas sage, ni prudent, de rejeter tout ce qui vient de Moscou, comme c'est la mode.
II n'est pas dans les capacités (humaines, éditoriales, intellectuelles et autres…) de ce Blog de reprendre point par point ses remarques acerbes. En revanche, rien n'interdit de se poser quelques questions sur le bien-fondé de ses observations aigres sur l'état actuel de la France… ce qui est déjà un gros morceau, pour notre format “A4”… Mais le seul fait de lire d'un œil “pas que obstinément fermé” la page de l'Histoire de France qui s'écrit devant nous –contre nous ?–, nous aiderait peut-être à comprendre pourquoi tout va mal, autour de nous, Poutine ou pas, d’ailleurs.
Au commencement, donc, était “LA FRANCE” (ce commencement-là se situant, mettons, dans les années ‘50). Ce qui allait devenir les “30 glorieuses” commençait à être perceptible, juste après la guerre, et le soleil avait tendance à briller de mille succès plus souvent qu'à chouiner derrière des marches blanches. La France était à la pointe de toutes les technologies : nucléaire civil et militaire, TGV, paquebot “France”, Concorde, sous-marins nucléaires, nos ‘’Mirages’’ grands vainqueurs de la “guerre des Six Jours”, Ariane, la Caravelle, la Dauphine, le “Beurre Président” et les inventions géniales de Jean Mantelet (Moulinex). On roulait en bagnole à 140… on se garait sans PV… l'essence était abordable et les radars vicieux, inconnus… les avions étaient une partie de notre rêve… les impôts étaient supportables… la Terre se portait bien et l’horrible ‘’transition’’ était incréée… Avec une croissance de 5 à 6 % (qui allait durer trente ans), la France ne connaissait pas le chômage, ni l’insécurité. Jamais le français n’avait connu une telle explosion du niveau de vie.
Une immigration majoritairement européenne ne demandait qu’à s’intégrer. Des italiens, des espagnols et des portugais, et quelques maghrébins aussi, pris par le mouvement, épousaient des françaises et/ou donnaient des prénoms français à leurs enfants qui allaient rester fidèles à leurs origines tout en faisant passer avant elles les nouveaux “devoirs”, nés de leurs nouveaux “droits” : aller passer ses vacances chez les grands-parents ? se faire enterrer “au bled’' ? Bien sûr… mais d'abord avoir des enfants qui seraient de vrais petits français… et fiers de l'être. En fait, ils s'en trouvaient bien : le progrès quotidien était palpable, visible et concret. Ajoutons que Vatican II n'étant pas encore passé par là, ces nouveaux membres de notre vieille nation s'intégraient facilement jusque dans nos églises, qui étaient plus pleines grâce à ceux qui ‘’y allaient’’… et dans notre magnifique culture, pour tous..
La France des Trente Glorieuses ressemblait un peu à un paradis. Notre pays voyait sa croissance caracoler et notre ’'modèle français” pas encore dénaturé par des idéologies pourries et des folies dites ‘’sociétales’’ était envié par le monde. On se demande comment et pourquoi tous les “jeunes” d'aujourd'hui, si ratatinés dans des terreurs faussement écologiques, des faux problèmes raciaux, des mensonges épidémiques et le souci de leur retraite dès leur adolescence, etc… (sottises que leurs parents n'avaient pas connues, d'où leur bonheur), ignorent totalement que, par exemple, en 1980 encore, les français avaient le cinquième niveau de vie au monde, juste derrière les USA, et trois grands “petits pays” privilégiés, “hors épure” par leur taille : la Suisse, le Luxembourg et la Suède, alors que nous sommes tombés aujourd'hui à la 32 è place du PIB/Habitant, en attendant pire. La honte !
Car soudain… Patatrac ! Mai 68, premier d'une longue série de catastrophes, a tout effacé. En quelques décennies –en temps économique (c’est-à-dire le temps des constatations chiffrées), mais en un clin d’œil en temps “vrai” (juste le temps de constater que l'irréversible est bien là), tout ce merveilleux édifice a été balayé, notre bonheur ex-pérenne s'est envolé (ne laissant de place qu'à de courts instants de joies domestiques volées à un appareil de lois perverses, qui sont liberticides à en être anthropophages). L’héritage du général de Gaulle a été dilapidé par des fossoyeurs de la nation, de droite comme de gauche, dans une grande entreprise de démolition qui a fait de la France un pays ruiné, dangereux, désintégré, souvent sans loi, mais sans foi, donc en voie d'islamisation, et ne pensant plus qu'à la retraite, donc sans aucun avenir.  De cette époque heureuse, il ne reste qu’un champ de ruines. Mondialisation, immigration, gabegie, incompétence, trahisons, mensonges, décisions absurdes, théories perverses, choix mauvais, et lâcheté des uns et des autres… ont tout emporté, comme une gigantesque coulée de boue…
L’école, à la fois source, base et fondement de tout futur possible, est en plein naufrage. Depuis Jules Ferry c'était un sanctuaire respecté puisque respectable, dédié à la transmission du savoir, dans la recherche de l'épanouissement des enfants. Ce n'est plus qu'un espace où on apprend de moins en moins (le vrai mot est : “rien”), de plus en plus islamisé, où règne l’insécurité et où se propagent la haine de la France, des drogues ravageuses et des idées absurdes. Notre (?) Éducation nationale (qui n'éduque plus personne et n'a de “nationale” que le nom) est une usine à cancres : chaque mise à jour du classement Pisa nous voit reculer honteusement… au point qu'un bachelier ne saura plus s'exprimer dans “la langue de Molière” –et se demandera qui était cet “influenceur”; introuvable sur tik-tok !).
Notre industrie a pratiquement disparu du paysage : hautement performante en 1975, elle a perdu 3,5 millions d’emplois (de 6,2 à 2,7 millions), et sa part dans notre PIB a chuté de 25 % à 10 %. Ayant tout vendu, fermé ou délocalisé (comme l’a confirmé la crise sanitaire) la France détient ainsi le bonnet d’âne de l’UE…   Notre agriculture est dans le rouge : troisième exportateur mondial en 2005, la France est derrière les États-Unis, les Pays-Bas, l’Allemagne, le Brésil et la Chine, et devient, cette année, importatrice de produits agricoles basiques, un comble ! Mais des incapables ont écrasé nos paysans de charges, de taxes, de règlements, de folies européennes, de normes sanitaires, environnementales et autres qui assassinent nos pauvres agriculteurs qui ont  350 euros par mois pour survivre –pendant qu’un seul soi-disant “mineur isolé” coûte plus de 50 000 euros par an au contribuable… Le réseau de la SNCF est en lambeaux… Nos réacteurs sont en panne, faute d’entretien… La Défense est en déclin mortel… La Police est à l’abandon… Et la Justice, digne de son “mur des cons”, qui s'est perdue dans un dédale syndicalo-progressiste sans issue, a son apothéose avec Dupond-Moretti !
Le secteur de la santé, qui faisait notre fierté, est en pleine implosion. Alors que la crise du covid a démontré que tous nos décideurs se trompaient sur absolument tout…  on continue à fermer des hôpitaux, à supprimer des lits par centaines, à diminuer les effectifs, à refuser de réintégrer ceux qui ont eu le courage de dire la vérité… Ce “modèle français” qui se prétendait (et se croyait) le meilleur du monde, a dû euthanasier ses vieux faute de moyens et appeler à l'aide pour soigner nos patients. In cauda venenum, l’insécurité’', nouveau nom de la ‘’sécurité” pour coller au réel, a été multipliée par 5 en 30 ans par laxisme judiciaire, dans le seul pays où les commissariats sont attaqués et incendiés et où les policiers, présumés coupables par une presse indigne, ont peur de tirer, même pour sauver leur peau !
Il semble qu'il serait sage de se demander si notre morale publique défaillante, la moralité individuelle en pointillés, le laxisme des mœurs, la destruction de toute autorité, l'abandon de tout “Bien” au profit (?) d'un “Mal” général, inexplicable et indéfendable mais “en voie de normalisation avancée”… ne donneraient pas un peu raison à Poutine, même hyper-critiquable (ceci est un autre sujet !).  Et si on ajoute à ce tableau horrible les déconnances majeures de l'ultra gauche, le wokisme, la cancel culture, les féministes folles, LBGQ-istes, abortistes, décroissantistes, et les intégristes écolos (qui affirment dans une même phrase que “la Nature n'existe pas”… et que “il faut la protéger”), il reste une seule réponse : la folie est sortie des asiles. On devrait parfois écouter ceux qui ne vous veulent pas que du bien : leur rejet de ce que nous sommes devenus peut nous remettre sur le chemin du salut !
En ce qui me concerne (mais qui suis-je pour raconter mes états d'âme?), j'ai trop mal à ma France pour reconnaître que le mot “décadence” pourrait être le bon. En revanche, je pense que nous sommes plus dans un mouvement de chute verticale que dans une ascension vers des sommets glorieux. J’espère bien me tromper…
H-Cl
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omagazineparis · 5 months ago
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Les plus belles coiffures à réaliser avec des extensions de cheveux
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Qui n'a jamais voulu changer de tête du jour au lendemain ? Vite fait avant d’aller au boulot ou plus élaborées pour les soirées, les coiffures à la mode prennent une longueur d’avance grâce aux extensions de cheveux. Attachés, détachés, tressés, il y en a pour tous les styles. La saison des mariages, des week-ends à la plage et du batifolage reviennent pour le plus grand bonheur des chevelures parisiennes. Pour se mettre sur son 31 jusqu’à la pointe des cheveux, osez les extensions capillaires qui offrent volume et longueur tout en restant naturelle. Les techniques de rajout de cheveux sont nombreuses, entre la fixation à la kératine, la pose d’anneaux ou encore le smart system. Le plus important est de demander conseil à un salon d'extension de cheveux professionnel pour choisir la meilleure méthode selon son type de cheveux. Il faut également vérifier l’origine des mèches, sachant que les cheveux naturels garantissent un résultat plus discret et de longue durée. Extensions de cheveux : Évasion capillaire à Paris Vous passez votre été dans la capitale ? Offrez un voyage à votre chevelure comme si vous sortiez de la plage. Le style wavy donne un air léger aux cheveux longs alliant volume et glamour. L’effet mouillé, dit « wet hair », se marie parfaitement avec les cheveux ondulés, bouclés ou même souples. Idéal pour une soirée élégante, il suffit d’appliquer votre huile capillaire à la sortie de la douche. Pour une meilleure tenue, vous pouvez également utiliser de la laque. Imparfait et parfait à la fois, le chignon sauvage est la coiffure pratique en toute occasion. Avec la pose d’extension de cheveux, le résultat est plus volumineux et toujours aussi naturel. Conseils shopping : Conseils pour adopter la frange rideau et sublimer votre coiffure Les Coiffures tressées de l’été La tresse cascade et la tresse africaine sont les grandes tendances de l’été 2019. Pour toutes les variantes, la technique est plus ou moins la même, mais reste plus facile sur les cheveux longs. Avec un rajout de cheveux, il faut privilégier les mèches de bonne qualité pour une meilleure tenue. https://youtu.be/jjxOs6wUmKY Le revival des années 80 grâce aux extensions de cheveux Les extensions de cheveux de Brooke Shields Le brushing souple et bouclé de Brooke Shields donne des envies de volume et de longueurs XXL. C’est également le retour de la demi queue de cheval, aussi bien décontractée pour la journée que chic pour le soir. A lire : A la recherche de la meilleure restauration capillaire : analyse comparative entre la France et la Turquie Les extensions capillaires sont une bonne solution pour devancer le long processus de la pousse des cheveux. C’est pourquoi il faut en prendre soin. Trouver le bon salon de coiffure est impératif pour avoir des produits de qualité. Les instituts professionnels offre également l’avantage d’une pose d’extension grâce à des techniques respectueuses de nos cheveux. Read the full article
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christophe76460 · 7 months ago
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Ecclésiaste Chapitre 2 verset 1 à 26
Je me suis dit en moi-même : « Va donc, teste les plaisirs, et goûte à ce qui est bon. » Mais cela aussi est dérisoire. Du rire, j’ai dit : « C’est absurde », et de la joie : « À quoi cela m’avance-t-il ? » (Ecclésiaste 2:1-2).
Salomon s’est laissé aller à tout ce qui lui faisait envie. Après tout, le c��ur n’est-il pas le souverain juge en matière de bonheur ? Comme il pouvait se permettre absolument tout, on peut sans peine imaginer à quoi sa poursuite effrénée du plaisir a pu ressembler surtout quand on sait qu’il avait 1 000 femmes et concubines ; il devait être un expert en sexologie.
Si vous jetez un simple coup d’œil aux couvertures des magazines d’un kiosque à journaux, vous êtes forcé d’en déduire que les gens doivent être fous du sexe, car il y en a de partout. La conséquence est que le niveau de moralité est au plus bas, et certaines maladies vénériennes ou MST, comme on les appelle, ont atteint un niveau épidémique.
Salomon entretenait aussi des troupes de comédiens en tous genres à sa cour pour le distraire lui et ses courtisans, et surtout pour lui faire oublier tout ce que la condition humaine peut avoir de décevant et de pénible. S’il avait voulu, à lui tout seul, il aurait pu monter un spectacle qui aurait fait pâlir d’envie le Moulin Rouge à Paris. Pourtant, la réponse à sa quête du plaisir ne s’est pas fait longtemps attendre. De toutes les vanités, c’est de l’hédonisme dont on se lasse le plus vite.
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Puis j’ai décidé en moi-même de m’adonner au vin, tout en continuant à me conduire avec sagesse, et j’ai résolu de me lancer dans la folie, le temps de voir ce qui est le mieux pour les hommes qui s’affairent sous le soleil pendant les jours qu’ils ont à y vivre (Ecclésiaste 2:3).
Rapidement dégoûté de ses pulsions primaires, Salomon décide d’entreprendre une nouvelle expérience. Cette fois-ci, au lieu d’assouvir ses instincts les plus bas, et tout en gardant l’esprit lucide, il va tester les plaisirs mondains que ce monde peut offrir et donc se payer du bon temps symbolisé par le vin. Il appelle ça la folie.
C’était le mode de vie que nos rois Louis et leurs courtisans menaient à Versailles et ailleurs. Mais Salomon veut seulement agir ainsi jusqu’à ce qu’il se rende compte si la frivolité vaut la peine d’y consacrer son énergie et son temps. Son but est toujours d’arriver, grâce à la sagesse, à une conclusion objective.
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spiritgamer26 · 8 months ago
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[CP] Tortues Ninja : Les Mutants se Déchaînent
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Tortues Ninja : Les Mutants se Déchaînent
Outright Games, Paramount Game Studios et Maximum Entertainment France ont le plaisir de dévoiler un premier aperçu de Tortues Ninja : Les Mutants se Déchaînent, le tout nouveau jeu vidéo très attendu basé sur le récent film à succès de Paramount Pictures, Ninja Turtles : Teenage Years.Capturant l'esprit ludique des adolescents les plus appréciés du monde, Leonardo, Raphael, Donatello et Michelangelo, les Tortues Ninja font preuve d'un humour contagieux et d'aptitudes au combat dans ce Brawler/Platformer 3D scénarisé, alors qu'elles affrontent de nouveaux mutants.Débordant d'énergie et doté d'un scénario original et captivant, ce jeu bourré d'action fait suite au film Ninja Turtles : Teenage Years sorti en 2023 ayant rapporté plus de 180 millions de dollars au box-office et été acclamé dans le monde entier pour son style d'animation unique.
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Dans Tortues Ninja : Les Mutants se Déchaînent, après avoir été finalement acceptées dans la société et avoir réalisé leur rêve de fréquenter un lycée normal, les Tortues voient leur nouveau bonheur brusquement interrompu par une nouvelle vague de mutants qui sèment le chaos dans la ville de New York. Les joueurs prennent le contrôle des quatre héros masqués, chacun ayant son propre style de jeu, et traversent les égouts et les rues de New York. Avec un monde immersif à explorer à la fois en surface et sous terre, rencontrez des visages familiers tandis que les héros à carapace se préparent à régaler les fans à la maison avec leurs exploits chaotiques. Les joueurs peuvent se préparer à commander une pizza et à partir à l'aventure en solo ou en équipe avec un ami en mode coopératif local à deux joueurs dans le courant de l'année. Nous sommes ravis de poursuivre notre collaboration avec Paramount pour offrir un nouveau chapitre exaltant dans l'incroyable univers des Tortues Ninja. Cette franchise, qui a vu le jour dans les bandes dessinées et qui est devenue un phénomène mondial, ne pourrait pas nous rendre plus enthousiastes à l'idée d'offrir aux fans, anciens et nouveaux, une expérience interactive pleine d'énergie et axée sur l'histoire. Nous sommes impatients de partager davantage l'univers dynamique que nous avons créé avec A Heartful of Games dans les mois à venir Stephanie Malham, directrice de l'exploitation d'Outright Games Après l'incroyable succès de Ninja Turtles : Teenage Years, nous sommes ravis de collaborer avec Outright Games pour donner vie à l'univers des Tortues. Alors que la franchise célèbre son 40e anniversaire et continue d'attirer de nouveaux fans, nous sommes impatients de voir les joueurs plonger dans l'univers du dernier film grâce à ce nouveau jeu fantastique. Doug Rosen, Senior Vice-Président pour la partie Jeux et Médias Émergeants de Paramount Read the full article
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yes-bernie-stuff · 1 year ago
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Bonjour Bernard,
« L'Éternel est mon berger : je ne manquerai de rien. Il me fait reposer dans de verts pâturages, Il me dirige près des eaux paisibles » (Psaumes 23:1-2). Des nombreuses prières de David, certainement que celle-ci est des plus connues. Ce que j’apprécie dans cette prière, c’est la confiance totale et absolue que David met en l’Éternel. Il n’est pas dans le mode plainte, ou supplication ; il est dans le mode proclamation de foi ! Il ne dit pas : « Éternel, sois mon berger, … », mais il dit : « l’Éternel est mon berger… ». Dans d’autres circonstances, David a supplié Dieu ; il a demandé à Dieu de le délivrer, de le protéger… Mais, dans cette prière, il est dans une attitude de foi ; il proclame ce qu’est Dieu pour lui. Le bon berger ! David, qui a été berger avant d’être oint pour devenir roi, sait très bien ce que c’est d’être un bon berger, mais il sait aussi ce que c’est d’être une brebis protégée, défendue, guidée, rassasiée. N’a-t-il pas exposé sa vie pour défendre ses brebis de la gueule de l’ours et de celle du lion. Alors, dans ce psaume, il proclame haut et fort, que l’Éternel est son berger, son protecteur, son défenseur… Je vous invite à prier avec David une telle prière de foi : « Seigneur, je déclare avec foi que tu es mon berger, celui qui me protège face aux attaques du lion rugissant qui voudrait me dévorer. Tu t’es battu pour moi, en combattant l’ennemi, et en triomphant de lui à la croix. Alors je ne crains rien ! Seigneur, alors que je passe par un moment de solitude, de désert, que je chemine dans une vallée obscure, je proclame par la foi, que je ne manquerai de rien. Tu me donnes du repos au sein de la tempête. Tu me donnes de l’espérance, alors même que je suis dans la maladie, et traverse le deuil. Même si mon frère, mon beau-père, mon épouse, mon fils, mes amis me rejettent et me jugent, Seigneur, c’est en toi que j’espère ; ta grâce me remplit de bonheur, elle m’accompagne encore en ce jour, et chaque jour de ma vie. Merci Seigneur pour ta présence à mes côtés ; quelle grâce d’être ta brebis ! Amen ! » Avec amour, Paul
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felixinclusis · 1 year ago
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lesanneeselegantes​: George Barbier Le Bonheur du jour ou Les Grâces à la Mode
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mote-historie · 7 years ago
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George Barbier, Au lido (At the beach), 1924, engraved by H. Reidel, in Barbier's Le bonheur du jour, ou les grâces à la mode (Paris: Jules Meynial, [1920-1924]), plate 14. Reproduced from the original in the Beinecke Rare Book and Manuscript Library, Yale University.
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artdecoandmodernist · 1 year ago
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1920 George Barbier, Le Bonheur du jour ou Les Grâces à la Mode, detail
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clawmarks · 2 years ago
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L’Apres-midi d’un faune. Le bonheur du jour ou Les grâces à la mode  - George Barbier  - 1925 - via Gallica
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koala-ronchon · 3 years ago
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Les tropes sur le handicap qu'on en a marre de voir
TW : validisme, eugénisme, mort Disclaimer : ceci est une traduction, avec quelques modifications et ajouts du thread de Cindy Baldwin sur Twitter, une autrice malade chronique : https://twitter.com/beingcindy/status/1222216179873271809?s=20
Généralement, quand le handicap est abordé dans les fictions, il est souvent représenté pour les valides (les personnes sans handicaps), par les valides. Il reste donc enfermé dans une vision du handicap par des personnes qui ne le vivent pas de l'intérieur, et ne remet que peu en question les modes de narration répétitifs autour du sujet. De plus, cette représentation tend encore à éclipser des visions qui seraient plus familières et vraies pour les personnes handi' et malades chroniques.
Les schémas de narration autour de personnages handicapés tendent à se répéter, et, devine, ça commence à être casse-pieds pour peu qu'on soit nous-même concernés. Voici donc une liste de ces tropes qu'on ne veut plus voir :
Trope 1 : La guérison miraculeuse
Pendant une partie de l'histoire, le personnage est handicapé, puis, par magie, grâce à la science, en travaillant etc., iel parvient à "surmonter" son handicap. Celui-ci disparaît subitement, comme par magie.  Dans les mains d'un.e créateurice handicapée, ce trope pourrait être une bonne occasion de s'interroger sur ce qu'est être handicapé, ce que cette condition définit pour soi-même et ce qui nous entoure, comment elle influe sur notre identité et toute sa construction, mais généralement, ce n'est absolument pas ça... Le trope de la guérison miraculeuse est plus vue comme une victoire, quelque chose qui dirait que le personnage pourrait ENFIN être heureux (oui, on a pas le droit au bonheur si on est handi'). C'est un trope extrêmement frustrant, voir invisibilisant à l'égard des personnes handicapées pour plusieurs raisons, la première étant qu'il n'y a pas de remèdes miracles existant dans la vraie vie. La plupart des handicaps sont pour la vie, et c'est difficile de s'identifier à un personnage pour ensuite découvrir qu'iel va changer d'une manière qui ne te sera jamais accessible. Dans le cas d'autres personnes, le handicap est une part complexe liée à tout le reste de leur existence, et dont ils ne veulent pas se débarrasser. C'est une idée encore une fois compliquée à saisir pour des personnes valides, mais beaucoup de personnes handicapés sont heureuses, et demandent à ce qu'on les accepte et aménage l'espace plutôt qu'on les "corrige" (c'est une idée très fréquente dans les mouvements neurodivergents par exemple, qui réclame le droit d'avoir un fonctionnement neurologique différent et l'acceptation de ces différences).
Trope 2  : la mort inspirante
C'est un trope très commun dans les médias, qu'on trouve presque systématiquement s'il y a plusieurs personnages handicapés, et souvent même s'iel n'y en a qu'un (ce qui est pire). C'est l'histoire où souvent, ce personnage se bat avec bravoure, mais finit par mourir, inspirant les valides autour à aller de l'avant et accomplir des choses en son nom. C'est une espèce de condamnation systématique de ces personnages, qui de toute évidence met plutôt mal à l'aise le public handicapé, dont les représentations sont au final des petits chiots à écraser sur la route en cours d'aventure pour faire pleurer les chaumières et faire avancer les non-handicapés. Donc, juste, arrêtez, on a assez vu de meurtres systématiques de ces personnages pour inspirer les valides. (et les handis veulent des personnages handis qui survivent, merci) Trope 3 : le personnage handicapé isolé qui a absolument besoin d'un.e valide pour s'en sortir. (et lae valide qui est tellement super trop géniale de traîner avec un-e handi' parce que oh là là, c'est difficile vous savez)
C'est souvent ce personnage en soutien, un personnage secondaire, dont le personnage principal (valide) devient lae premier-e ami-e. Le personnage principal "sauve" en quelques sorte celui handicapé, qui après va encore gagner de nouveaux amis. C'est vraiment démoralisant que tant que personne handicapée (ce trope revenant souvent pour des personnes neurodivergentes), comme un message qui dirait "Vous ne pouvez pas ��tre aimé pour ce que vous êtes tant qu'une personne valide ne vous a pas validé comme le méritant". On le trouve souvent dans de véritables histoires, à la "ce populaire joueur de basketball a emmené une fille trisomique au bal de fin d'année". C'est cool de voir les gens briser des barrières, mais il faut arrêter de porter les valides qui considèrent les handicapés comme des humains comme des héros. En finir avec ça aussi dans les narrations de vos écrits, ça serait vraiment génial.
Trope 4 : La présence de la personne handicapée inspire les autres (et c'est tout)
C'est encore une fois effacer en partie l'humanité des personnes handicapées, en niant qu'elles sont aussi complexes que des personnes valides. On parle souvent d'inspiration porn dans ce cas. On met la personne sur un piédestal, en la réduisant à un exemple, un espèce d'ange, au final un objet qui n'a qu'un impact positif sur les autres. Trope 5 : Le handicap n'a que peu (voir pas) d'impact sur la vie du personnage, qui réussi des choses incroyables et "dépasse son handicap"
Juste en lisant, tu vois certainement le soucie. On parle d'un personnage présenté comme handicapé, qui rencontre peu ou pas de difficultés, et arrive à faire pleins de choses. On l'érige en exemple, à la "regarde ce qu'iel fait alors qu'iel est handicapé-e !". C'est un peu le modèle du "iel dépasse son handicap", mais avec un handicap qui est juste en décoration, et n'influe pas sur le personnage. Et donc, ce personnage fait pleins de choses incroyables, qui arrachent des "waouw, trop fort". Justement, ça renforce le fait que des personnes qui n'y arrivent pas, ne font rien d'incroyable, ou ratent des choses "banales" à cause de leur(s) handicap(s) sont considérés comme "ne l'ayant pas surmonté", ayant échoué. Mais on peut avoir une très belle vie sans faire de choses incroyables, sans battre de records, en restant à la maison, voir au lit. On peut avoir une belle vie, même sans pouvoir parler, et même en devant enchaîner seize heures de sommeil à la suite. Continuer à écrire des histoires comme ça massivement, c'est juste un moyen de faire se sentir encore plus mal les personnes handicapées. Parce que non, personne ne "dépasse son handicap", il est toujours là, on vit avec, il empêche de faire des choses, et on n'a pas besoin d'accomplir quelque chose d'incroyable pour mériter d'exister.
Trope 6 : "Suivre un traitement pour ta maladie, ce n'est pas vraiment vivre" ='c
Ce trope là est beaucoup trop fréquent, et je suis certain que tu l'as déjà croisé quelques part. Souvent, c'est ce personnage qui dit à un autre suivant un traitement sensé lui sauver la vie, ou au moins la préserver, qu'iel est en train de rater la "vraie vie". Pourtant, si tu as un traitement qui te garde en vie, c'est quand même un peu évident qu'il n'y a pas de "vraie vie" sans celui-ci. Sans ça, tu peux mourir ???? Et en quoi c'est bien de dire à des personnes malades/handicapées que c'est mieux d'avoir une vie courte mais bardée d'activités "trop cools", une vie conforme, alors que c'est super dangereux ? Tout cela en donnant l'impression que suivre un traitement, d'adhérer à un mode de vie strict pour vivre plus longtemps, c'est gâcher sa vie, être égoïste et "ne pas vraiment vivre".
Trope 7 : "Ne laisse pas le handicap te définir" / "Tu n'es pas ton handicap"
Oui, on comprend l'intention, t'inquiète pas. On sait que ce n'est pas pensé méchamment, que pour les valides c'est une manière de nuancer pour ne pas nous définir uniquement par notre handicap. Sauf que généralement, les personnes handicapées sont partiellement définies par ce handicap. Être handicapé-e, c'est organiser l'entièreté de sa vie, et l'entièreté de ses actions autour de questions comme "Comment ça va impacter ma santé ?", "Les conditions me permettent elles de faire ça ?", "Comment puis-je le faire sans me faire du mal ?", "Comment puis-je le faire sans avoir besoin de plusieurs jours de repos ?", "Quel sera le prix à payer sur ma santé pour cette action ?" etc. Etre handicapé-e, c'est passer une quantité monstrueuse de temps à organiser chaque actions, chaque sorties, chercher à tout organiser, à deviner tous les imprévus pour ne pas se retrouver dans une situation dans laquelle on ne pourrait pas s'en sortir, planifier un repos etc. Oui, le handicap réduit les choses que l'on peut faire, les endroits où l'on peut aller, et si on peut s'y rendre ou le faire, le coup serait juste trop important pour s'y risquer parce qu'on ne pourra pas s'en remettre comme il faut. Il influe sur des questions comme "Qu'est ce que je vais manger ce matin ?", comme des "Est-ce que je peux avoir des enfants ?" ou "Est-ce que je n'ai pas d'autres choix que de travailler à la maison ?". Et ici, on ne parle même pas des traitements, des soins, des thérapies... Ni des crises, évidemment, puisque dans ce cas, très peu d'activités sont possibles... Le handicap influe sur l'ensemble de la vie des personnes handicapées, son identité se construit tout autour de celui-ci. Le "C'est chouette, tu ne laisses pas le handicap te définir", c'est nier tous les efforts de la personne pour vivre avec son handicap, et pas contre, et ainsi en subir les répercutions. Dire ça, c'est comme refuser de voir le travail qu'il faut, et a fallut pour en arriver là. Faire des choses en étant handicapé-e est fondamentalement différent de faire des choses en étant valide. Souvent, la même action pour une personne handi' a demandé une quantit�� massive d'énergie, beaucoup de préparation, et de choses que vous ne pouvez pas voir. Laisser les personnes handicapées, et donc aussi vos personnages handicapées, se définir par leur handicap, ce n'est pas un problème. Ca n'efface aucune autre part de leur identité, ça n'enlève rien de leurs accomplissements, et ce n'est pas une défaite face au handicap. Ca veut dire qu'iel est un-e combattant-e, qui arrive à vivre et à concilier tout le reste de son identité avec. Trope 8 : "Dépasser son handicap" (en général) Cela rejoint ce qui a été abordé plus tôt, mais trop de fictions autour du handicap se centrent sur l'idée de dépasser le handicap, d'aller plus loin, en guérissant, en accomplissant des choses incroyables etc. Pour les personnes handicapées, ça donne l'impression quand ça ne va pas, qu'iels sont obligé-e-s de rester chez elle, ou au lit, qu'iels ont à dépasser leurs limites, et à faire quelque chose de génial pour montrer qu'iels sont plus fort-e-s que leur pathologie. La vérité derrière ça, encore une fois : ce sont des valides qui écrivent pour des valides. Les personnages handicapés sont écrits sans penser à un public handi', sans songer à l'impact que ça a sur elleux, parce qu'iels ne sont pas le public, que cette représentation au fond n'est pas faîtes pour leur donner des modèles et se sentir bien, mais pour que les valides se sentent bien. Les personnages handicapés sont là pour l'inspiration, et encourager les valides à faire mieux, et aller de l'avant, le fameux "si ce personnage a fait ça alors qu'iel est handicapé-e, qu'est ce qui m'empêche de le faire ?". Pour les valides cette idée de "dépassement du handicap" est bien, pour les personnes handicapé-e-s c'est juste blessant. Beaucoup de personnes handicapées ont ainsi négligé leur santé mentale et physique, en essayant de surmonter au lieu de vivre avec. Ce qui est oublié par les valides
dans leur narration, c'est que le handicap, ce n'est pas un dragon à combattre, et qui peut-être vaincu. Le handicap c'est une partie de la personne handicapée, qui devrait être respectée. De la même manière qu'il est vraiment nul d'exiger d'une personne aux cheveux roux de se les teindre en plus foncé, il est tout aussi nul d'exiger d'une personne handicapée qu'elle fasse tout comme les valides, de la même manière que les valides. De plus, réussir pour une personne handi', ce n'est pas forcément pareil que pour une personne valide. C'est réussir à s'asseoir sur une chaise après avoir été incapable de travailler autre part qu'à moitié allongé-e sur un matelas, ou à se faire à manger après avoir été incapable de cuisiner, ou juste de manger tout court. Faire les choses différemment parce qu'on ne peut pas le faire de la même manière que les valides le feraient, ce n'est pas non plus abandonner ou rater quoi que ce soit. Se reposer plus que les valides, ce n'est pas non plus un mal, c'est prendre un repos dont on a besoin, et préserver sa santé.
Trope 9 : Le handicap comme symbole d'imperfection et de faiblesse
On le voit surtout dans les dessins animés pour enfants à vrai dire. Le personnage handicapé n'est là que pour être sauvé, ne sert à rien (littéralement), est montré comme un boulet, ou alors c'est le méchant. Les méchants sont souvent aveugles, défigurés, difformes etc. Le handicap, c'est soit pour le personnage à sauver qui sert à rien sinon à être sauvé par le héros, soit le méchant. Cool pour les gosses handi' dont les modèles sont donc ces personnages là ?
Trope 10 : Les personnes handicapées sont fainéantes, et doivent se libérer de leur entourage indulgent pour se bouger le derrière
Dans les oeuvres avec ce trope, le personnage handicapé est souvent critiqué et moqué tout du long, avec l'entourage qui force ce personnage à travailler, alors qu'iel se dit pas prêt-e ou incapable. Sauf que bien sûr, iel y est forcé-e, et au lieu d'être montré comme un truc nul, c'est célébré. Souvent, la chose s'accompagne de commentaires rassurés à la "cette personne ne sera donc plus un poids pour son entourage", voir avec d'extrêmement nauséabonds "toute façon, iel n'était pas vraiment handicapé-e". Cette attitude est mise en valeur en politique et dans les médias, qui parle de "bien être dans le travail", prétextant que les allocations pour invalidité sont versées qu'à des paresseux. C'est une idée qui tue littéralement les handicapés (en France, faire un dossier MDPH et avoir une réponse de celle-ci, c'est un survival game, beaucoup d'handi' arrivent pas au bout, donc les valides qui disent que c'est facile, qu'il y a trop d'assistés, clairement j'vous emm*rde, merci) C'est aussi nier que toutes ces idées participent au fait que les personnes handicapées aient du mal à respecter leurs limites, parce qu'elles ne souffriraient "pas assez" pour être de "vrais zhandicapés", qu'au fond iels exagéreraient, et donc avec toutes les conséquences sur leur santé mentale et physique qui découleront de tout ça.
Trope 11 : Tout est mieux qu'être handicapé-e *paillettes*
"L'euthanasie et le suicide, c'est mieux qu'être handicapé-e. Avoir une pathologie très rare mais soignable, c'est mieux qu'être handi' aussi." Est-ce que je dois vraiment expliquer en quoi c'est horrible ? C'est horrible, mais pourtant on le voit souvent à la télévision, dans les romans, les dessins-animés etc. Vous vous souvenez de Me before You ? C'est littéralement un film qui invite les personnes handicapées physique à se suicider pour le bien de leurs proches en leur disant qu'elles ne seront jamais vraiment heureuses ainsi. C'est en gros dire aux personnes handi', que vu qu'elles sont handi, leurs vies méritent pas d'être vécues.
Trope 12 : La personne handicapée riche qui embauche une personne valide jeune, pauvre, et pas formée au handicap.
Invraisemblable, n'est ce pas ? Pourtant, c'est le cas dans plusieurs œuvres ! Intouchable ? Me Before You ? Il y a plusieurs soucies avec ce trope, le premier étant : pourquoi tu embaucherais quelqu'un qui n'y connaît rien au handicap pour t'aider au quotidien, alors que cette personne risque surtout de te blesser sans faire exprès ? C'est tout à fait absurde ! Ensuite, cette récurrence des personnages handicapés avec pleins d'argent donne l'idée que de manière générale, les personnes handicapées ont des moyens. Or, l'accès aux soins et à tout ce qui pourrait permettre aux gens de survivre ou de souffrir moins est très limité (MÊME en France), et les personnes handicapées en majorité précaires, voir très précaires. Cette abondance de personnages handicapés riches a donc aussi ses dangers, puisque dans l'imaginaire, on imagine mal que les gens soient souvent livrés à eux-même. Il y a donc souvent un espèce d'éloignement émotionnel, et un oubli complet des personnes handicapées dès qu'on parle d'inégalité sociales. Voici donc pour les tropes qu'on ne veut plus voir. Si tu es valide, ça serait cool que tu gardes ça en tête, et que si tu intègres un-e ou des personnages handicapé-e-s, tu contournes ces clichés vraiment nuls. En tant qu'handi' on a presque tous vu je pense des personnes qu'on adore promouvoir et dire plein de biens d'œuvres qui pour nous sont vraiment blessants. Il ne faut pas oublier que la fiction a un impact énorme sur notre manière de voir le monde, notre façon de penser. La représentation compte, beaucoup. Si tu es handicapé-e et que d'autres exemples te viennent à l'esprit, n'hésite pas à commenter (que si tu es handicapé-e, honnêtement, si tu es valide, ton avis m'intéresse pas sur ce sujet).
Comme d'habitude, prends soin de toi,
(de la documentation supplémentaire sur le validisme pour aller plus loin si tu veux.
Le validisme, du "bon sentiment" qui pourrit la vie à la discrimination affichée : https://www.france24.com/fr/20200212-handicap-le-validisme-du-bon-sentiment-qui-pourrit-la-vie-%C3%A0-la-discrimination-affich%C3%A9e?ref=tw_i "Combien de temps allons nous encore croire que le handicap ne peut être que tragédie ?" https://auxmarchesdupalais.wordpress.com/2015/03/01/combien-de-temps-allons-nous-croire-que-le-handicap-ne-peut-etre-que-tragedie-1/ Handicap et culpabilité : http://cultureh.canalblog.com/archives/2020/02/01/37989744.html Pathologisation abusive des femmes, et rejets des femmes neurodivergentes : http://www.zinzinzine.net/elle-doit-etre-folle.html La stigmatisation sociale participe à dégrader la santé mentale https://www.sciencedaily.com/releases/2018/10/181022122910.htm idées reçues sur l'isolement et la contention : https://igorthiriez.com/2017/02/25/4-idees-recues-sur-lisolement-et-la-contention/ Une personne schizophrène pourquoi elle est fâchée avec le cinéma : https://medium.com/@sirdandelion/pourquoi-je-suis-en-col%C3%A8re-avec-le-cin%C3%A9ma-7387c5fe5c3d L'inspiration porn à partir du handicap avec l'exemple du film Hors-Normes : https://cle-autistes.fr/hors-normes/ Comment les personnes neurotypiques invalident abusivement les avis et sentiments des personnes fols en s'appuyant sur leurs pathologies : https://twitter.com/lyingrain/status/1098161992676847616)
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journaldenimportequi · 3 years ago
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Jeudi 14 octobre 2021
L'écriture, Paris et la nostalgie
Il me fallait quelque chose de motivant, pour reprendre l'écriture, il fallait quelque chose pour m'y pousser et me donner le sentiment que tout ça avait un sens : ce fut la découverte de Paul Léautaud. Il aura passé sa vie (relativement longue) à rédiger un journal quotidien, je retrouve en lui un peu le même genre d'amour pour l'écriture que dégageait Pessoa. Ces mecs là avaient ça dans le sang. Oh, je suis loin d'avoir un centième de leur talent et de leur intelligence, j'en suis conscient, mais en eux je trouve du réconfort, comme si ce journal éternel avait, finalement, un sens. Je ne vois donc pas de raison de m'arrêter, et je continuerais cette entreprise jusqu'à ma mort. J'essaierais d'en faire régulièrement imprimé des receuils que je conserverais chez moi en espérant qu'un jour ils tombent entre les mains de quelqu'un qui pourrait y trouver un peu d'intérêt (mes descendants ? Peut être mon neveu, je pense toujours à lui comme mon descendant le plus direct étant donné que je suis mal parti pour avoir mes propres enfants). J'aime l'idée qu'une plongée dans mon journal soit une façon pour les gens du futur d'avoir un aperçu de ce qu'était la vie dans les années 2020. Bon, je ne suis pas vraiment un bon exemple parce que ma vie est particulière, je ne suis pas monsieur tout le monde avec mon mode de vie excentrique, mais, tout de même, ce serait un aperçu.
D'ailleurs, pour parler de l'époque dans laquelle je vis, il faut bien que j'évoque le covid, cette pandémie qui dure, et qui dure... Eh bien nous sommes encore en plein dedans et cette histoire dure depuis bientôt deux ans. Je me suis fais vacciner, tout comme les gens de ma famille, mais ça n'a pas tout résolu. Il en est résulté l'instauration d'un pass sanitaire, très contreversé, générant des manifestations et des débats houleux au sein de la population : le pass sanitaire est un peu l'équivalent de l'affaire Dreyfus, comme à l'époque, ce sujet divise, il y a les pour, il y a les contres. Je suis pour.
L'autre jour je me suis remis au dessin, le temps d'une session en soirée. J'avais pensé à faire l'inktober et puis j'ai tellement galéré avec le premier thème que j'ai vite abandonné l'idée. Le dessin est encore une souffrance pour moi. Ca me frustre énormément. J'aime le dessin intensément, admirer de beaux dessins me procure beaucoup de bonheur et des sensations intenses mais mon propre dessin me désole. J'espère arriver à reprendre le crayon bientôt, puisqu'il n'y a pas de secret, pour savoir bien dessiner, il faut beaucoup pratiquer ! Mais pour pratiquer régulièrement une activité, il faut de l'auto discipline, chose dont je manque assurément. Je rêve qu'on m'obliger à le faire chaque jour. Il faudrait m'enfermer quelque part, 10 heures par jours avec du papier, un crayon et une guitare ou un piano. Ainsi, j'en ressortirais avec de nombreux croquis et quelques chansons. Enfermez-moi ! Seul, je n'ai aucune volonté ! Je procrastine, je ne sais faire que ça ! Je ne crée rien ! Je ne crée rien alors que je ne pense qu'à l'art, jour et nuit ! Quel paradoxe ! Le drame de ma vie !
L'autre jour il s'est passé un événement relativement important dans ma petite existence, puisque je suis allé voir mon psy pour la dernière fois après 9 années de suivi régulier. Il part à la retraite. Quasiment une décennie qu'il m'aide et qu'il me suit. Sans lui ma vie ne serait pas la même. C'est grâce à son traitement que je suis sorti de la dépression et c'est aussi grâce à lui que je bénéficie de l'aah, et donc que je vis de façon décente. La séance s'est passée comme d'habitude puis vint le moment de se quitter. Et là, je me suis senti bête, je lui ai juste dis au revoir comme si ce n'était pas la dernière fois de ma vie qu'on se voyait. En y réflechissant, je me sens con, j'aurais dû lui dire merci pour tout et lui souhaiter une bonne retraite ! Il m'a rédigé une lettre à donner à mon prochain psy. J'espère que ce dernier se trouvera facilement. J'espère aussi en trouver un qui me comprennent autant que le docteur Thiriat. Si vous passez là, docteur, merci pour tout !
J'écris divers notes dans le bloc note de mon téléphone, des choses en vrac, des thèmes à évoquer dans mon journal et quelques réflexions bien spécifiques qui me viennent à l'esprit de temps en temps. L'autre jour, j'étais en train de penser aux femmes de ma vie et j'ai noté ça :
Il y eu jusqu'ici trois femmes dans ma vie amoureuse : Sarah fut un miracle, Marz fut une âme sœur et Lauriance fut une erreur.
L'autre jour, j'ai acheté mes billets de train pour aller à Paris en novembre. J'y reste cinq jours, comme la dernière fois. J'ai prévu de retourner au musée Picasso. Il faut abslument que je me retrouve parmi ses œuvres ! Pas un jour ne se passe sans que je consulte des ouvrages sur lui, ou que je n'admire ses œuvres en photos. Ces dernières semaines j'ai acheté beaucoup de bouquins sur lui. J'ai terminé ma troisième biographie sur le sujet et j'en ai commandé une quatrième, qui ne sera sûrement pas la dernière. Chaque biographie adopte un point de vu différent, qui les rendent ainsi toutes pertinentes. Celle que je viens de terminer est récente et son auteure est une femme, féministe de surcroît, alors son livre n'est pas une hagiographie et en le lisant on prend conscience du mal qu'à pu faire Picasso aux femmes qui l'entouraient. Je sais désormais tout ça, et depuis longtemps à vrai dire, ce qui ne m'empêche pas d'admirer toujours l'artiste qu'il était. Enfin, voilà pourquoi j'ai très envie de retourner à son musée. Il m'avait fait une belle impression lors de ma première visite. Quel bonheur c'était de pouvoir observer ses œuvres de mes propres yeux ! Je veux revivre ça, j'en ai besoin !
J'ai aussi prévu de me balader à nouveau dans Saint-Germain-des-Près. Je retournerais au café de Flore. En ce moment je lis un livre sur Karl Lagerfeld et le café de Flore y est régulièrement mentionné. Comme Picasso, Sartre, Vian et des tas d'autres personnalités, il était un client régulier du café. J'aime l'idée de passer après tous ces illustres gens. Plus récemment, Patti Smith elle aussi s'y est rendue. Je crois que je vais en faire une tradition : à chaque passage à Paris, je me rendrais au café de Flore.
L'autre jour j'ai reçu un message sur messenger. Eric T., un ami facebook et abonné d'instagram depuis une bonne décennie, m'a proposé qu'on se rencontre pour prendre un pot lors de mon prochain séjour parisien. J'ai accepté, c'est toujours une bonne idée de rencontrer des gens qu'on suit virtuellement depuis si longtemps.
Et je pense qu'il est bon de tisser des liens et de se créer un réseau. Ca peut créer des opportunités, qui sait !
Voilà, j'ai casé tous les sujets que je voulais évoquer dans ce récit là. Au moment où j'écris ces lignes, le thème bouleversant de Forrest Gump se joue depuis mon lecteur Spotify. Voilà qui me rend encore nostalgique, et la nostalgie n'est jamais bien loin de la tristesse, vous le savez. Je suis très nostalgique. Régulièrement je m'écoute des chansons d'autrefois qui me remémorent mon enfance et mon adolescence. J'aime ça. C'est comme une drogue... Bon, il est temps d'en finir avec ce récit ! Je te remercie, toi qui me lit régulièrement, surtout si tu arrive à en retirer un certain plaisir (on peut rêver non?). A bientôt !
Bande son : Playlist random
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omagazineparis · 5 months ago
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Les plus belles coiffures à réaliser avec des extensions de cheveux
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Qui n'a jamais voulu changer de tête du jour au lendemain ? Vite fait avant d’aller au boulot ou plus élaborées pour les soirées, les coiffures à la mode prennent une longueur d’avance grâce aux extensions de cheveux. Attachés, détachés, tressés, il y en a pour tous les styles. La saison des mariages, des week-ends à la plage et du batifolage reviennent pour le plus grand bonheur des chevelures parisiennes. Pour se mettre sur son 31 jusqu’à la pointe des cheveux, osez les extensions capillaires qui offrent volume et longueur tout en restant naturelle. Les techniques de rajout de cheveux sont nombreuses, entre la fixation à la kératine, la pose d’anneaux ou encore le smart system. Le plus important est de demander conseil à un salon d'extension de cheveux professionnel pour choisir la meilleure méthode selon son type de cheveux. Il faut également vérifier l’origine des mèches, sachant que les cheveux naturels garantissent un résultat plus discret et de longue durée. Extensions de cheveux : Évasion capillaire à Paris Vous passez votre été dans la capitale ? Offrez un voyage à votre chevelure comme si vous sortiez de la plage. Le style wavy donne un air léger aux cheveux longs alliant volume et glamour. L’effet mouillé, dit « wet hair », se marie parfaitement avec les cheveux ondulés, bouclés ou même souples. Idéal pour une soirée élégante, il suffit d’appliquer votre huile capillaire à la sortie de la douche. Pour une meilleure tenue, vous pouvez également utiliser de la laque. Imparfait et parfait à la fois, le chignon sauvage est la coiffure pratique en toute occasion. Avec la pose d’extension de cheveux, le résultat est plus volumineux et toujours aussi naturel. Conseils shopping : Conseils pour adopter la frange rideau et sublimer votre coiffure Les Coiffures tressées de l’été La tresse cascade et la tresse africaine sont les grandes tendances de l’été 2019. Pour toutes les variantes, la technique est plus ou moins la même, mais reste plus facile sur les cheveux longs. Avec un rajout de cheveux, il faut privilégier les mèches de bonne qualité pour une meilleure tenue. https://youtu.be/jjxOs6wUmKY Le revival des années 80 grâce aux extensions de cheveux Les extensions de cheveux de Brooke Shields Le brushing souple et bouclé de Brooke Shields donne des envies de volume et de longueurs XXL. C’est également le retour de la demi queue de cheval, aussi bien décontractée pour la journée que chic pour le soir. A lire : A la recherche de la meilleure restauration capillaire : analyse comparative entre la France et la Turquie Les extensions capillaires sont une bonne solution pour devancer le long processus de la pousse des cheveux. C’est pourquoi il faut en prendre soin. Trouver le bon salon de coiffure est impératif pour avoir des produits de qualité. Les instituts professionnels offre également l’avantage d’une pose d’extension grâce à des techniques respectueuses de nos cheveux. Read the full article
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christophe76460 · 9 months ago
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Ecclésiaste Chapitre 2 verset 1 à 26
Je me suis dit en moi-même : « Va donc, teste les plaisirs, et goûte à ce qui est bon. » Mais cela aussi est dérisoire. Du rire, j’ai dit : « C’est absurde », et de la joie : « À quoi cela m’avance-t-il ? » (Ecclésiaste 2:1-2).
Salomon s’est laissé aller à tout ce qui lui faisait envie. Après tout, le cœur n’est-il pas le souverain juge en matière de bonheur ? Comme il pouvait se permettre absolument tout, on peut sans peine imaginer à quoi sa poursuite effrénée du plaisir a pu ressembler surtout quand on sait qu’il avait 1 000 femmes et concubines ; il devait être un expert en sexologie.
Si vous jetez un simple coup d’œil aux couvertures des magazines d’un kiosque à journaux, vous êtes forcé d’en déduire que les gens doivent être fous du sexe, car il y en a de partout. La conséquence est que le niveau de moralité est au plus bas, et certaines maladies vénériennes ou MST, comme on les appelle, ont atteint un niveau épidémique.
Salomon entretenait aussi des troupes de comédiens en tous genres à sa cour pour le distraire lui et ses courtisans, et surtout pour lui faire oublier tout ce que la condition humaine peut avoir de décevant et de pénible. S’il avait voulu, à lui tout seul, il aurait pu monter un spectacle qui aurait fait pâlir d’envie le Moulin Rouge à Paris. Pourtant, la réponse à sa quête du plaisir ne s’est pas fait longtemps attendre. De toutes les vanités, c’est de l’hédonisme dont on se lasse le plus vite.
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Puis j’ai décidé en moi-même de m’adonner au vin, tout en continuant à me conduire avec sagesse, et j’ai résolu de me lancer dans la folie, le temps de voir ce qui est le mieux pour les hommes qui s’affairent sous le soleil pendant les jours qu’ils ont à y vivre (Ecclésiaste 2:3).
Rapidement dégoûté de ses pulsions primaires, Salomon décide d’entreprendre une nouvelle expérience. Cette fois-ci, au lieu d’assouvir ses instincts les plus bas, et tout en gardant l’esprit lucide, il va tester les plaisirs mondains que ce monde peut offrir et donc se payer du bon temps symbolisé par le vin. Il appelle ça la folie.
C’était le mode de vie que nos rois Louis et leurs courtisans menaient à Versailles et ailleurs. Mais Salomon veut seulement agir ainsi jusqu’à ce qu’il se rende compte si la frivolité vaut la peine d’y consacrer son énergie et son temps. Son but est toujours d’arriver, grâce à la sagesse, à une conclusion objective.
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