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Jacula #80 - Le Bal des vampires - Éditions Elvifrance, July 1977.
#jacula#le bal des vampires#elvifrance#horror art#horror comics#fumetti#french edition#french comics
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"Hello Alfred from Bal Vampirov." "Hello Homa from Viy."
#sparkledork-art#tanz der vampire#bal vampirov#dance of the vampires#le bal des vampires#vámpírok bálja#alfred tdv#viy#homa#homa brut#ruslan gerasimenko#alexander kazmin
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∞ ETHEL CAIN is the TREMERE
I'm deep into Vampire the Masquerade V5 lore, trying to write new arcs for my Hecata oc and it got me buzzing with an idea.
So I'm starting this Halloween special serie centered around the 13 VTM clans. Opening the ball is the clan Tremere and Ethel Cain has the perfect dark witchy vibes. I can picture her perfectly hands covered in blood preparing for a blood sorcery ritual. (Also, she's definitely a follower of Carna).
One thing about the most controversial clan, never let them have a drop of your Vitae, they already know TOO MUCH.
En ce moment je suis plongée dans le lore Vampire la Mascarade V5 pour préparer un nouvel arc pour mon oc Hecata et j'ai eu une idée.
Du coup je me lance dans une série spéciale Halloween autour des 13 clans de VTM. Pour ouvrir le bal, je vous présente le clan Tremere représenté par Ethel Cain qui a les vibes parfaite de sorcière. J'arrive à parfaitement l'imaginer les mains dans le sang en train de préparer un rituel de sorcellerie du sang. (Je pense d'ailleurs qu'elle fait partie de la Maison Carna).
Si vous devez savoir une chose sur le clan le plus controversé, ne les laissez jamais récolter une goutte de votre Vitae. Ils en savent déjà trop.
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png credits go to abbysdian and coloursource
#ethel cain#ethel cain avatar#400*640#400x640#avatars rpg#vampire the masquerade#vtm#vtm v5#tremere#rpg#faceclaim#Halloween#spooky season
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Le musicien fantôme
L’averse me réveilla subitement. Karen ne semblait pas dormir non plus. Ses yeux mi-clos laissèrent plutôt à penser qu’elle somnolait. Soudain, je réalisai une chose importante. Elle leva la tête en même temps que moi.
Merde, le coffre !
Aussitôt, je me levai et sortis de la tente suivi par ma compagne. Effectivement, j’avais oublié la bâche de la petite carriole attachée à mon vélo. Elle servait pour mettre nos affaires pendant notre voyage. C’était l’idée de Karen que de faire un road-trip entre Prague et Paris…à bicyclette. C’était aussi son idée du camping sauvage. Surtout que nous étions perdus en pleine campagne autrichienne.
Bien qu’elle fut déjà rempli et nos affaires trempées, je m’acharnai à recouvrir la carriole. Karen récupéra son sac fourre-tout pour en sortir une lampe qui m’aida à y voir mieux. Tout-à-coup un éclair illumina le ciel. Je vis la foudre tomber sur un arbre qui prit feu instantanément. En dessous, notre tente n’échappa à l’incendie, s’enflammant aussi rapidement que l’éclair suivant, qui était déjà à plusieurs kilomètres.
Pétrifiés par cet accident naturel, trempés, fatigués, nous restâmes à regarder la tente se réduire en cendre. Cependant, la pluie continuait de tomber. Ma copine regarda son téléphone, il n’y avait pas de réseau. Le mien était resté à côté de mon sac de couchage…dans la tente, avec mes papiers, mon portefeuille… Bref, je me retrouvai perdu dans un pays étranger sans papier.
Il y avait un mur ! Je me souviens qu’il y avait un mur plus loin quand nous sommes arrivés, dit Karen.
Hé ?
Qui dit mur, dit maison. Ajouta-t-elle en haussant les épaules. C’est évident !
Nous partîmes éclairés par les lampes de nos vélos. La charrette que je tirai parut lourde à cause de l’eau. Aussi, je me retrouvai à aller moins vite que mon amie. Après quelques kilomètres, nous aperçûmes le fameux mur. Il nous a suffi de le longer pour trouver son entrée. La chance fut de notre côté car la grille n’était pas fermée.
Dès lors, nous pénétrâmes dans l’enceinte. Curieusement, des lampadaires éclairaient la route amenant à un grand manoir. Avec ses tours sur le côté, il aurait eu sa place parmi les châteaux de la Loire. Nous descendîmes et posâmes nos vélos contre un muret, avant de grimper un escalier. La porte principale était grande ouverte. Le hall éclairé par un lustre semblait vide si ce n’est cet étrange personnage habillé d’un costume de domestique. Il restait debout, les jambes raides, le dos droit tel un mannequin de devanture.
Karen expliqua nos déboires dans un allemand imparfait. Mais, l’homme sourit et répondit en français. Je trouvais que sa barbiche n’allait pas avec sa tenue de maitre d’hôtel.
Soyez les bienvenus, le concert va bientôt commencer.
Il nous pria de le suivre. Aussitôt nous entrâmes dans une grande salle aux plafonds profonds. Une vingtaine de personnes attendaient silencieusement, assis sur des chaises aux pieds de fer. Nous étions en plein contraste avec eux. Nous étions trempés, les cheveux dégoulinant d’eau. Je portais un bermuda et un sweet-shirt à capuche, Karen était habillée d’un short et d’un pull marin. Tandis que les vêtements des spectateurs semblaient sortir des plus grands magasins de vêtements de luxe de Paris ou de Vienne.
Je me retournai pour demander une serviette, mais notre hôte était déjà parti. Alors, nous avançâmes sous les regards curieux. Ils semblaient blafards, le teint d’une pâleur extrême. Tout leur corps parut voilé. De même, un léger bourdonnement agaça mon esprit. Nous marchâmes dans un silence glacial. Hélas, les deux seules places disponibles étaient devant. Elles n’attendaient que nous.
A ton avis, c’est quel genre de spectacle, murmura ma chérie.
Le bal des vampires, répondis-je.
Elle pouffa de rire, mais fut réprimandée par un « chut » qui imposa de nouveau le silence. C’est à ce moment qu’une porte, au fond de la salle, s’ouvrit. Un homme de taille moyenne, le visage jeune, les cheveux bruns coiffés en arrière, le regard d’un bleu profond, entra. Il avait aussi le visage blanc, et une sorte de voile se déplaça en même temps que lui. Je remarquai la présence d’un piano.
Cependant, le musicien tenait un violon. Il posa son instrument sur son épaule, et à l’aide son archet, il commença à jouer. Dès les premières notes, je fus subjugué par la musique. Elle m’envahissait, me prenait les tripes. Il jouait merveilleusement bien. Il impressionnait si bien que je ne pus retenir une larme, je sentis un frisson parcourir les poils de mes bras. J’écoutais dieu qui jouait du violon.
Il joua de tout, Chopin, Haendel, Brahms, Vivaldi, Tchaïkovski…Chaque mouvement était juste et touchait le cœur. Chaque note reflétait sur le mur, se transformait en personnage et dansait au rythme de la musique. Elle racontait une histoire. Mon amie posa sa tête sur mon épaule tout en serrant mon bras. Elle était fascinée par cette harmonie. Jamais nous n’aurions pensé écouter pareil concerto et jamais, nous n’aurions pensé ressentir autant d’émotion en écoutant un artiste jouer. Etonnamment, peut-être par respect, personne n’applaudissait entre les morceaux.
Je ne peux dire combien de temps cela dura exactement. Il finit son concert par le canon de Pachelbel. Encore une fois, sa musique toucha les âmes. Il glissait avec son archet sur les cordes de son violon. Je ne réalisai pas que personne ne jouait au piano. Il était seul et pourtant, j’entendais aussi le piano jouer.
Puis, il s’arrêta subitement. Il écarta les bras en croix avant de baisser la tête en signe de remerciement et de salut. Je me mis à applaudir, accompagné par Karen. Surpris de ne pas entendre les autres, faire de même, je tournai la tête et fus stupéfait de ne voir personne. Il ne restait que des chaises vides.
Où sont-ils passés ? demanda ma compagne.
Et lui ? demandai-je aussi en pointant le doigt vers la petite estrade.
Le violoniste avait aussi disparu. Je ne m’étais pas non plus rendu compte que les bourdonnements venaient de cesser. Nous restâmes abasourdis et seuls dans la salle qui devint tout-à-coup immense.
Soudain, trois gros coups résonnèrent, puis un rire…un rire glacial…un rire qu’on n’oublie pas. Karen se colla à moi. Nous regardâmes les portes mais personne n’entra. Nous restâmes un long moment dans le silence à attendre sans savoir quoi faire. Nous entendîmes un oiseau piailler. Dès lors, nous comprîmes que le jour se levait. Nous profitâmes de cet instant pour quitter la salle. Mon amie constata les énormes toiles d’araignées un peu partout dans la salle et le hall. Je découvris la porte à moitié abimée, Nous quittâmes le lieu qui paraissait abandonnée. D’ailleurs la majeure partie des fenêtres n’avait plus de carreau intact. Cependant, j’aperçus un rideau s’écarter mais aucune silhouette visible.
La pluie ayant cessé, nous pûmes regagner un village proche. On nous dirigea vers un poste de police, car j’avais besoin de déclarer la perte de mes papiers suite à l’incendie de la tente. Je racontai en anglais notre nuit. Le policier demanda à mon amie, ensuite à un traducteur leur version. Il semblait horriblement embêté. Il se leva discuta avec un collègue, prit ma déposition, au moins pour l’assurance, et nous conseilla un bon hôtel restaurant.
Après une douche, un peu de repos, nous descendîmes nous restaurer. La patronne, qui parlait français, nous interpela tout en nous installant à une table.
Donc, vous avez passé la nuit au Rotes Herrenhaus? Tout le monde a peur d’aller là-bas. Il parait qu’il est hanté.
Mais, il est bien habité ? Questionna mon amie.
Ah non ! Plus depuis au moins la guerre.
Nous restâmes muets tout en la dévisageant. Nous ne savions pas si elle se moquait de nous, si elle avait discuté avec les policiers, les seuls qui étaient au courant de notre nuit. Mais elle interrompit notre silence :
Il parait que le dernier propriétaire était si bon musicien qu’un jour, le diable serait venu lui proposer un défi musical. S’il gagnait, il obtiendrait ce qu’il voudrait. Mais s’il perdait, son âme et son don appartiendrait au diable. Il aurait gagné, mais le diable, mauvais perdant, lui vola tout, le poussant au suicide. Ce qui l’envoya en enfer. Le diable, se sentant coupable d’avoir obtenu une âme aussi facilement, accepta qu’il revienne dans son château chaque nuit d’orage pour jouer.
Et il y a eu un orage cette nuit. Ajouta-t-elle avec un petit sourire.
Je remerciais la dame pour ses explications, ajoutant que c’était une belle histoire. Je préférais laisser cette histoire aux légendes du coin. D’ailleurs, Karen était d’accord : Confirmer une histoire de fantôme pouvait nous être nuisible ainsi qu’au fantôme. Dès lors, je pris le menu et commandai une escalope viennoise. Elle était succulente.
Alex@r60 – août 2023
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"Depuis 1945 les Américains ont fait 52 guerres, ils ont déclenché une guerre directement ou indirectement 52 fois depuis 1945. vous vous rendez compte, c'est le record du monde est de très loin jamais aucun pays n'a fait autant de guerres en si peu de temps"
Alain Juillet ... Mais Le bal des vampires va bientôt prendre fin, merci Vladimir Poutine
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A playlist for an Armand (The Vampire Chronicles) that includes French and Italian music.
Tracklist:
stanlefantome, Sokuu, Cianboy, Zoyou - Le bal des vampires
Cloud - Sangue
Bauhaus - Bela Lugosi's Dead
Will Wood - Yes, to Err is Human, So Don't Be One.
I Gattini Di Salem - Vampiri
Aurelio Voltaire - The Night
Samy Parak - O Mon Serviteur
Roberto Donati - Cannibal Ferox
You can listen to it here.
Mod Haze (☀️Sol)
#fictionkin#the vampire chronicles kin#interview with the vampire kin#armand kin#gothic music#gothic rock#dark cabaret#acoustic music#instrumental#movie soundtrack#italian music#french music#indie music#alternative music#playlist#☀️#mod haze
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Vladimir Poutine : « Les élites occidentales ont un très fort désir de geler la situation injuste qui existe dans les affaires internationales. Elles ont l’habitude depuis des siècles de remplir leur ventre de chair humaine et leurs poches d’argent. Mais elles doivent comprendre que le bal des vampires touche à sa fin. » (le Kremlin, 13 mars 2024) LIRE CET ARTICLE : https://bityl.co/Ou4N.
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Eirene
Âge inconnu || 18 novembre Mesure 1 mètre 72
Démone
Eirene est née d'une union interdite entre un puissant démon et une déesse. Apparemment, la déesse qui l'a enfantée aurait été décapitée et le démon aurait été enfermé dans les profondeurs des Enfers.
Détestée par les dieux, elle a été refusée dans le Royaume Divin. Ce sont les démons qui l'ont acceptée et éduquée comme n'importe lequel de leur semblable. Selon eux, la petite n'était pas responsable de la trahison de son père et ses pouvoirs méritaient leur attention. Elle a été adoptée par une famille dont elle n'a pas conservé le nom, évitant de justesse d'être envoyée dans le monde des humains.
Eirene est une personne relativement mystérieuse et cruelle. Tirant une satisfaction de la vue du sang et de la souffrance des autres, elle n’hésiterait pas à torturer ses victimes en leur infligeant des blessures diverses, avant de les achever.
Peu bavarde au premier abord avec ses pairs, elle garde généralement une expression neutre mais déborde de confiance. Certains la pensent insensible, d'autres estiment qu'elle ne veut juste pas se dévoiler à n'importe qui. Elle déteste les dieux et ne manquerait jamais l'occasion d'en tuer.
Cette démone a l'apparence d'une jeune femme dans la vingtaine. Elle a une poitrine bien développée, des lèvres pulpeuses et des yeux rubis captivants. Ses cheveux blonds lui arrivent en dessous du coccyx.
Elle a pour habitude de vêtir des robes noires relativement près du corps qui semblent avoir été créées pour elle.
En plus de sa faux, Ravena, Eirene a des pouvoirs très puissants qu'elle tient de ses deux parents. Elle utilise cependant exclusivement ceux hérités de son père, ceux de sa mère étant trop purs à son goût.
Son arme est aussi sa compagne de route, étant donné que Ravena possède une conscience et prend l'apparence d'un corbeau avec lequel elle peut communiquer quand elle n'est pas utilisée.
Quand elle arrive sur un champ de bataille, elle signale sa présence en créant des papillons rouges avec sa magie.
• Univers medieval fantasy plutôt sombre. • Son nom se prononce « Eilin » (ɛiliŋ) • Comme décrit, Eirene n'est pas seule. Ravena l'accompagnera toujours, faisant d'elle un personnage secondaire récurrent. • Eirene peut tout aussi bien rester dans les Enfers que voyager dans le monde des humains. • Si elle est jouée dans le monde des humains, elle peut adopter une identité adaptée à son environnement et, ainsi, avoir un nom d'emprunt. • De petites adaptations peuvent être apportées après discussion.
• Recherches :
- Un complice dans ses futures manigances → Vampire, loup-garou... peu importe. Eirene est à la recherche d’un second partenaire, en plus de sa fidèle Ravena, pour apporter la ruine où elle le souhaite. Lorsqu’elle aura le regard poser sur une personne suffisamment intéressante, que ce soit en fouillant dans les bois, dans les lieux terrifiant les humains ou au détour d’une bataille, elle ne lâchera pas l’affaire. Elle saura utiliser son charme naturel pour gagner un allié.
- Un autre démon → Vivre dans les Enfers peut paraître ennuyant. Alors, rencontrer Eirene lors d’un bal organisé par les hauts placés pour asseoir leur dominance et présenter leur conquête pourrait bien changer la donne. → Une bataille rejointe dans le monde des humains. Amusée par la présence d’un semblable, Eirene manifesterait un certain intérêt pour lui et pourrait bien souhaiter le revoir très vite. Quitte à l’inviter directement à l’accompagner dans ses voyages.
- Un chevalier → Les combats contre d'autres armées ou des monstres font partie du quotidien des chevaliers et chevalières. Lors d'un énième affrontement, Eirene montre le bout de son nez et lance un combat censé être à mort. Elle provoque son adversaire avec son attitude désinvolte et moqueuse. Son objectif ? Capturer l'ennemi qui a attiré son attention pour en faire son jouet.
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So remember back when I ranked the songs from the "Mélusine: Chansons à écouter au coin de feu" album? After that, I went into a web spiral to gain the lyrics from these songs. The problem was that this album was created by the cartoonist and his team (they all sing and play instruments in it) and was sold with the comic "Pilote", so finding the lyrics online is almost impossible. But I did manage to regain the lyrics for three songs: "Inferno", "Philtres et breuvages" and "Ora pro nobis".
Let's start with the first song "Inferno".
youtube
Paroles:
Bienvenue dans le monde des sorcières.
"Alpha Bravo attend vos ordres, paré pour le décollage. Bon von"
Versé 1:
Au plus profond de la nuit
Dans le ciel s'envole sans bruit
Mélusine et son balais
Les sorcières en vol groupé
Refrain 1:
C'est au douzième coup de minuit
Que nombre d'yeux rougeoient partout
Vampires, fantômes et loup-garous
Monsters velus sortant de puits
C'est le heure du bal des sorcières
Versé 2:
Échappées de nos cauchemars
Elles ricanent sous l'astre blafard
À cheval sur leur bouts de bois
Elles se rendent au Sabbat
Refrain 2:
C'est au douzième coup de minuit
Qu'elles entament leur farandole
Sorcières succombes de Malpertuis
Rabouteuses prenant leur envol
C'est le heure du bal des sorcières
"Tour de contrôle les gars au leader, resserrez la formation mon vieux"
Refrain 1
Refrain 2
Refrain 3:
C'est au douzième coup de minuit
Qu'à la queue là sur leur balais
Parle la lune, nuage de jais
Les sorcières s'envolent dans la nuit
C'est le heure du bal des sorcières
Lyrics:
Welcome to the world of witches.
"Alpha Bravo awaits your orders, ready for takeoff. Good flight "
Verse 1:
In the depths of the night
In the sky flies away noiselessly
Mélusine and her broom
The witches in grouped flight
Chorus 1:
It's at the twelfth blow of the midnight
Let many eyes glow everywhere
Vampires, ghosts and werewolves
Hairy monsters coming out of wells
It's time for the witches' ball
Verse 2:
Escaped from our nightmares
They sneer under the pale star
Astride their buttocks wood
They go to the Sabbath
Refrain 2:
It's at the twelfth stroke of midnight
They begin their farandole
Succumb witches of Malpertuis
Stitchers taking flight
It's time for the witches' ball
"Control tower to the leader, group tight buddy"
Chorus 1
Chorus 2
Chorus 3:
It's the twelfth stroke of midnight
In line there on their brooms
Speaks the moon, cloud of jet
The witches fly away in the night
It's time for the witches' ball
#Youtube#bande dessinée#mélusine#melusine#album#chansons à écouter au coin de feu#inferno#i may do the other two songs later that day#stay tuned
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[Test] Castlevania: Dominus Collection
https://www.youtube.com/watch?v=VXWMtB4lM0s
Castlevania: Dominus Collection ! Un voyage nostalgique sur deux écrans, enfin presque...
La Nintendo DS, ah cette petite merveille portable qui a conquis le monde avec ses 154 millions d'unités vendues. Autant dire que Nintendo a frappé fort, donnant à Castlevania une belle rampe de lancement avec trois opus qui allaient marquer la décennie 2000. Dawn of Sorrow a ouvert le bal en 2005, suivi par Portrait of Ruin en 2006 et enfin Order of Ecclesia en 2008, à une époque où, miracle, il ne fallait pas des années pour que notre saga de vampires préférée sorte un nouvel épisode. Oui, cette ère dorée où on ne mourait pas de vieillesse en attendant un nouveau Castlevania...Konami, qui aime bien nous rappeler qu’ils savent parfois faire autre chose que des machines à sous, a su maintenir Castlevania dans le paysage vidéoludique malgré l’évolution rapide du marché. Le trio de la DS prouvait que les chasseurs de vampires pouvaient aussi briller sur les consoles portables, tout en restant fidèles à cette bonne vieille 2D, déjà immortalisée dans Symphony of the night. Le tout en y ajoutant des touches de modernité : entre autres, des mécaniques exploitant astucieusement les deux écrans de la DS. Par exemple, dans Dawn of Sorrow, il fallait dessiner des sceaux magiques sur l’écran tactile pour achever les boss, ces derniers devenant de plus en plus complexes au fil de l’aventure de Soma Cruz. Un mini-jeu dans le jeu, histoire de vous rappeler que vaincre un boss, ça se mérite.Et puisque Dominus Collection ne fait pas les choses à moitié, elle intègre aussi un joyau d’antan : Haunted Castle, le titre arcade de 1987, plus célèbre pour sa difficulté sadique que pour ses mécaniques de gameplay révolutionnaires. Disons qu’il était taillé sur mesure pour vous ruiner en quelques minutes, et faire de la borne d’arcade un gouffre à pièces.Alors, pourquoi la Nintendo Switch est-elle la plateforme idéale pour cette collection ? Tout simplement parce qu’elle préserve en partie l’essence tactile de la DS. Certes, il manque le deuxième écran, mais en mode portable, vous pouvez toujours utiliser vos doigts pour dessiner ces fameux sceaux, recréant un peu la sensation du stylet DS. Et en mode dock, la magie opère grâce à une combinaison de la gâchette ZR et du stick droit, un système astucieux, bien qu’imparfait. Le studio M2, en charge de cette collection, mérite toutefois des applaudissements pour son souci du détail. On n’est pas dans une recréation parfaite, mais l’effort pour nous replonger dans ces sensations perdues est là.
Castlevania : Dominus collection ! Trois épopées, un seul maître des ténèbres
Que serait Castlevania sans son thème central indéboulonnable ? Les chasseurs de vampires, souvent membres du prestigieux clan Belmont, sont là pour renvoyer Dracula dans sa tombe – ou du moins, essayer, car le vieux bougre ne cesse de ressusciter avec son château maléfique. Dans la Dominus Collection, on retrouve cette formule, mais cette fois, on met de côté Haunted Castle (qui ne brille pas vraiment par son scénario) pour se concentrer sur les trois autres opus.Commençons par Dawn of Sorrow, qui fait directement suite à Aria of Sorrow sur Game Boy Advance. On y retrouve Soma Cruz, un adolescent à l’existence plutôt banale... si l’on excepte le fait qu’il a découvert être la réincarnation de Dracula. Rien que ça. Le jeu nous projette en 2036, une époque futuriste où Soma essaie de mener une vie normale avec son amie Mina. Mais bien sûr, quand on a un destin aussi sombre, la tranquillité n’est jamais qu’une illusion. La prêtresse Celia Fortner, grande fan du prince des ténèbres, n’a qu’une idée en tête : ressusciter Dracula dans le corps de Soma. Plusieurs fins sont possibles dans ce chapitre, qui marque l’ambition de Koji Igarashi de renouveler la série, avec un soupçon de futurisme qui dénote avec les châteaux gothiques des épisodes précédents.Passons ensuite à Portrait of Ruin, qui nous catapulte en pleine Seconde Guerre mondiale, en 1944, une année déjà bien chargée en horreurs. Comme si le conflit mondial ne suffisait pas, voilà que le château de Dracula se réveille à nouveau. Jonathan Morris, héritier d'une autre célèbre lignée de chasseurs de vampires, et la jeune sorcière Charlotte Aulin prennent les armes pour stopper les plans du sinistre Brauner, un vampire profitant du chaos ambiant. L’originalité du titre ? Le duo de protagonistes, qui ajoute une belle dynamique au gameplay. En combinant leurs compétences – Jonathan pour le corps à corps, Charlotte pour la magie – le joueur doit résoudre des énigmes et survivre à des affrontements intenses. Le château lui-même offre une grande variété, avec des tableaux qui transportent les héros dans des mondes différents, apportant une touche d’aventure rafraîchissante.Enfin, Order of Ecclesia, sorti en 2008, se démarque par sa difficulté, et elle n’a pas pris une ride. Si vous cherchez un défi, c’est ici que ça se passe. Mais ce qui rend cet opus mémorable, c’est surtout son héroïne, Shanoa, l’une des figures féminines les plus iconiques du jeu vidéo. Forte, déterminée, indépendante, Shanoa est membre de l’Ordre d’Ecclesia, un groupe mystique cherchant à contenir les pouvoirs de Dracula. Mais comme on peut s’y attendre, tout ne se passe pas comme prévu. En tant que porteuse désignée du glyphe Dominus, un artefact renfermant l'essence de Dracula, Shanoa se voit volée ses pouvoirs, déclenchant une quête pour retrouver les fragments du Dominus. Les glyphes sont au cœur du gameplay, servant à la fois d’armes et de compétences pour progresser à travers les niveaux labyrinthiques du jeu.En revisitant Dawn of Sorrow, Portrait of Ruin et Order of Ecclesia, on se rend compte que ces trois titres, bien qu’appartenant à une même collection, ont chacun leur propre identité. Ils restent incroyablement plaisants à jouer, même après toutes ces années, confirmant qu’ils ont su conquérir la critique et les joueurs dès leur sortie.
Une collection soignée où l’art rencontre la nostalgie... et quelques frustrations
Dans la lignée des précédentes collections de Castlevania, comme l'Anniversary Collection et l'Advance Collection, Konami continue de nous gâter. Cette fois, en plus des jeux, ce sont des trésors cachés qui sont déterrés, sous forme d'œuvres d'art inédites et de scans des livrets d'instructions originaux. Ah, ces manuels ! Un véritable saut dans le passé pour ceux d'entre nous qui ont grandi en feuilletant ces petites merveilles d'illustrations et de conseils avant de lancer un jeu. Aujourd’hui supplantés par l’ère du numérique et l’abondance de guides en ligne, les voir réapparaître est un geste de préservation du patrimoine vidéoludique. Une touche vintage qui accompagne avec grâce les trois chapitres DS de la Dominus Collection.Sur le plan artistique, on peut dire que Dawn of Sorrow, Portrait of Ruin, et Order of Ecclesia ont eu droit à un lifting qui fait plaisir aux yeux. La musique, l’un des points forts de toute la série, a également été magnifiquement retravaillée. Pas de dénaturations ici, juste une touche moderne pour sublimer les compositions originales. Si vous êtes fan de la bande-son de Castlevania, préparez-vous à être à nouveau transporté dans cet univers gothique et envoûtant.Petite nouveauté bien pratique : la possibilité de rembobiner le temps. Un game over face à un boss trop coriace ? Pas de souci, un petit retour en arrière et hop, vous pouvez retenter votre chance. Mais attention, ne vous laissez pas trop tenter par cette fonctionnalité. Après tout, une bonne partie du charme de Castlevania réside dans la satisfaction d'obtenir ce foutu objet rare après des heures de grind. Heureusement, les puristes peuvent choisir de jouer sans cette aide, en s'en tenant aux points de sauvegarde originaux pour vivre une expérience aussi authentique (et frustrante) que possible.Du côté des graphismes, les jeux DS de cette collection surpassent largement leurs homologues GBA de la précédente collection. Même si M2 avait fait un bon boulot sur la Advance Collection, le passage du temps était encore visible. Ici, Portrait of Ruin et Order of Ecclesia se distinguent par une direction artistique qui tient toujours la route, même selon les standards actuels. Des décors variés, une multitude de détails visuels, et une atmosphère que seul Castlevania sait distiller. La refonte sonore, quant à elle, est tout aussi impressionnante, avec une bande-son qu’on peut même écouter dans le menu principal. Un véritable régal pour les oreilles.Côté jouabilité, évidemment, la Switch n’a pas les deux écrans de la DS. M2 a dû ruser en proposant plusieurs configurations. Si vous jouez en mode portable, ne vous attendez pas à une clarté optimale si vous optez pour le mode portrait. Voir deux écrans superposés sur une petite Switch peut vite virer à la migraine. Par contre, avec un bon gros téléviseur, l’expérience devient bien plus agréable. Après quelques essais, la configuration par défaut, avec l’écran principal à gauche et le tactile à droite, s’avère être la plus efficace dans la majorité des cas.Le menu principal, avec ses illustrations inédites, est un ajout esthétique qui vaut le détour. Pour les amateurs d’art et de raretés, c’est un pur plaisir. Et bien sûr, impossible de ne pas mentionner le travail effectué sur Haunted Castle. Bien que la version originale soit le maillon faible de la collection (un jeu d’arcade conçu pour vider vos poches, soyons honnêtes), M2 semble avoir pris un malin plaisir à revisiter cet opus. Résultat : une version rafraîchie qui, sans égaler les gloires DS, offre une expérience intrigante, un peu entre l’ancien et le moderne.En résumé, la Dominus Collection est une lettre d’amour à l’histoire de Castlevania. Entre respect des œuvres originales, révisions artistiques et ajouts paratextuels précieux, cette collection se déguste avec passion. Si certains choix de configuration sur Switch peuvent frustrer, le plaisir de retrouver ces classiques l’emporte largement.
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#Castlevania:DominusCollection#Konami#KonamiComputerEntertainmentTokyoInc.#KonamiDigitalEntertainment
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Portrait of a vampire...
#sparkledork-art#tanz der vampire#bal vampirov#le bal des vampires#dance of the vampires#vámpírok bálja#ivan ozhogin#graf von krolock#иван ожогин#vampires#vampire
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Archives de nos histoires queer
La petite maison des mémoires qui n'y sont pas. Le cumul des regards et la Vampire Nue.
Dans ces vieux journaux et discussions et magazines, il y a la danse du tapis, des rencontres queer par minitel, de l'outing et le procès. Les photos volées dans un bal.
Notre petit groupe mange des pastèques en discutant de notre Histoire.
1978. La vie du monsieur qui collecta les documents dans cette merveilleuse pièce fumée.
La tarte n'est pas bien cuite. Je regarde un peu, vite, les archives de Lesbia.
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Dans la comédie horrifique "Le Bal des Vampires" (1968), des morts-vivants sortent de leurs tombes, repoussant les stèles enneigées qui recouvrent leurs corps.
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