#le bal des cadets
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Simon Granville est le frère cadet de Henry Granville, peintre et mentor de Benedict Bridgerton. Contrairement à son frère qui a choisi la voie de la peinture, Simon est plus un penseur et philosophe ce qui n'est pas bien vue dans la société, mais qui le rend tout de même homme respectable. Bien qu'il ait toujours refusé de se marier, il est toujours vu comme un bon parti. Son frère Henry vit sans doute de ses rentes, mais Simon continue dans les affaires dans le but de toujours gagner plus. Durant son enfance, il a côtoyé les Bridgerton, mais cela ne dura que quelques années. Son amitié avec Anthony se termina mal. Il existait toujours une sorte de concurrence entre eux et aujourd'hui encore. Les années ont passé et aujourd'hui, bien qu'ils se respectent mutuellement, ils n'ont jamais regagné leurs confiances aveugles d'autrefois. Simon a continué de mener sa petite vie, participant aux bals et autres événements où il était convié et contrairement à son frère qui se fait discret, Simon n'est pas quelqu'un qui reste dans l'ombre. Et cela tombe plutôt à point nommé lorsque Lady Whistledown, fera son arrivée avec ses chroniques, qui, comme tout le monde, l'intéresse particulièrement. Il n'a pas spécialement fait de nombreuses pages, mais on lui prête tout de même des relations scandaleuses. Il a volé la pureté de plus d'une fille sans jamais s'en cacher. Si ces dernières ont perdu leur honneur, lui n'a jamais eu la moindre remarque. Simon fut en collaboration avec le Duc Simon Basset sur de nombreuses choses qui apportaient autant à l'un qu'à l'autre. Simon a tout ce qu'il désire. Une grande maison, des domestiques, une bibliothèque remplit, de l'argent à ne plus savoir quoi en faire et pourtant, il lui manque quelque chose. C'est ainsi qu'il quitta le monde des célibataires endurcis. Il est présent à chaque présentation des jeunes filles à marier et s'intéresse toujours à beaucoup d'entre elles dans l'espoir d'y voir une fille comme il le désire. Mais peut-être est-il trop exigent. En trois ans, il n'a hélas rencontré personne. En attendant, il continue de participer aux soirées pas toutes recommandables, il faut le reconnaître. Bien qu'il évolue plus loin que son frère, il sait parfaitement les petits plaisirs d'Henry et n'a jamais porté le moindre jugement à son sujet. Ils restent proches, laissant la fameuse phrase loin des yeux, loin du coeur, totalement fausse. Je ne fais pas un copier/coller de la série mais je m'en inspire. Il peut se jouer à toutes les temporalités de la série. Saison 1,2, 3 etc… Par conséquent, ce n'est pas une obligation de voir Kate et Anthony finir ensemble ou Daphné avec Simon.
Joue avec : Amélia Swanson ; Alice de Merteuil
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Qui c'est ??? 🤔🤔🤔
1968 Where Were You When the Lights Went Out? Margaret Garrison
1968 Il y a un homme dans le lit de maman Abby McClure 1967 Le Ranch de l'injustice Josie Minick
1967 Opération Caprice Patricia Foster
1966 La Blonde défie le F.B.I. Jennifer Nelson
1965 Do Not Disturb Janet Harper
1964 Ne m'envoyez pas de fleurs Judy Kimball
1963 Pousse-toi cherie Ellen Wagstaff Arden
1963 Le Piment de la vie Beverly Boyer
1962 Jumbo, la sensation du cirque Kitty Wonder
1962 Un Soupçon de vison Cathy Timberlake
1961 Un Pyjama pour deux Carol Templeton
1960 Piège à minuit Kit Preston
1960 Ne mangez pas les marguerites Kate Mackay
1959 Trains, amours et crustacés Jane Osgood
1958 Le Chouchou du professeur Erica Stone
1958 Père malgré lui Isolde Poole
1958 Confidences sur l'oreiller Jan Morrow
1957 Pique-nique en pyjama Babe Williams
1956 L'Homme qui en savait trop Jo McKenna
1956 L'aile de la mort Julie
1955 Les Pièges de la passion Ruth Etting
1954 Mademoiselle Porte-bonheur Candy Williams
1954 Young at Heart Laurie Tuttle
1953 La Maîtresse de Papa Marjorie Winfield
1953 La blonde du Far-West Calamity Jane
1952 The winning team Aimee Alexander
1952 Avril a Paris Ethel S. 'Dynamite' Jackson
1951 Starlift Elle-même
1951 Escale à Broadway Melinda Howard
1951 La femme de mes rêves Grace LeBoy Kahn
1951 Le Bal du printemps Marjorie 'Marjie' Winfield
1951 Storm Warning Lucy Rice
1950 Les Cadets de West Point Jan Wilson
1950 La Femme aux chimères Jo Jordan
1950 No, No, Nanette Nanette Carter
1949 Les Travailleurs du chapeau Judy Adams
1949 Il y a de l'amour dans l'air Martha Gibson
1948 Romance à Rio Georgia Garrett
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L'École Militaire
Nous retrouvons Ange-Jacques Gabriel, l'architecte des grands hôtels de la place de la Concorde, cette fois outre-Seine, dans le 7ème arrondissement, au sein d'une grande perspective parisienne, courant du Trocadéro au rond-point de Breteuil, scandée par des monuments iconiques telle la Tour Eiffel, ou cette institution qu'est l'École militaire, à l'autre bout du Champ-de-Mars.
Fondée en 1751 par Louis XV, proposée par le maréchal de Saxe, appuyé par Madame de Pompadour, financée par Joseph Pâris Duverney, l'École militaire a pour vocation initiale d'instruire à l'art militaire cinq cents jeunes gens nobles et nés sans fortune. Gabriel, le premier architecte du roi, avait pour projet un ensemble monumental plus grandiose encore que les Invalides, situés sur la même plaine de Grenelle. Mais les "guerres en dentelle" menées par Louis XV vident les caisses du royaume, ce qui pousse l'architecte à revoir son projet à la baisse. Les travaux s'éternisent, mais dès 1756, 200 premiers cadets sont accueillis dans les premiers bâtiments de service achevés alors. Le roi achète à l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés les carrières de Vaugirard (alors une commune située en dehors de Paris, mais proche du chantier -dans l'actuel XVème arrondissement), afin d'accélérer la construction. Les travaux ne s'achèvent qu'en 1780, sous le règne de Louis XVI. Gabriel aura tout de même réussi à édifier un ensemble monumental d'une emprise très respectable de 13 hectares. Pour le corps central (surnommé "le Château"), il s'inspire de l'architecture des pavillons du Louvre, au dôme quadrangulaire, avec une façade monumentale côté "Champ"(de Mars) à laquelle répond une façade toute aussi grandiose côté cour (d'honneur), arborant une horloge par dessus son fronton, encadrée par deux statues, l'une d'une vieille femme aux pieds nus tenant un livre, allégorie de l'étude, l'autre d'une jeune femme aux seins nus montrant l'heure, représentation de Madame de Pompadour.
Cette horloge, dûe à Jean-Baptiste Lepaute, est toujours entretenue par l'entreprise Lepaute, 250 ans après son installation. Le "Château" abrite un escalier d'honneur monumental, une salle des gardes, un salon dit "des Maréchaux", la bibliothèque patrimoniale, ainsi qu'une chapelle, consacrée au saint patron des armées, Saint-Louis (comme aux Invalides). Cette chapelle vit en 1785 la confirmation du cadet Bonaparte, futur Napoléon, qui y donnera un bal monumental vingt ans plus tard, pour célébrer l'anniversaire de son sacre, l'École étant fermée depuis 1787, faute de fonds... Devenue caserne Impériale sous le Premier Empire, elle est finalement désaffectée, servant de dépôt de matériel. Il faudra attendre 1878 pour qu'elle rouvre, avec la création de l'École supérieure de Guerre.
Les deux ailes encadrant le "Château" sont alors modifiées, l'une dévolue à l'artillerie, avec magasins (de stockage), l'autre destinée à la cavalerie, avec manège (d'équitation), chacune de ces ailes enclosant des cours. La Cour Morland verra la dégradation du capitaine Dreyfus en 1895, et la cour Desjardins accueillera sa réhabilitation en 1906. Le centre des hautes études militaires s'installe dans l'école en 1911, puis de nombreuses institutions et associations militaires au cours du XXème siècle. L'École a même accueilli le collège de défense de l'OTAN, de 1951 à 1966, année où De Gaulle fait sortir la France du commandement intégré de l'OTAN.
De grands travaux de purge et de ravalement ont été entrepris en 2012, permettant la mise en valeur volontaire de nombreux stigmates balistiques, à l'intérieur comme à l'extérieur, précieux témoins des affrontements qu'a connu le monument. De la Révolution française de 1789, des impacts sont visibles sur les premières marches de l'escalier d'honneur. De la Commune de 1871, une balle est fichée dans le grand miroir du salon des Maréchaux, tirée par un homme de la troupe versaillaise du général Douay, lors des combats visant à reprendre l'École, alors tenue par les fédérés. De la Première Guerre Mondiale, des éclats de bombe, d'un raid aérien allemand en juin 1918, sont visibles contre un mur de l'aile d'artillerie. Enfin, de la Seconde Guerre Mondiale, des centaines d'impacts de tirs alliés, dirigés contre les occupants allemands, dont certains profonds de 15cm, témoignent de la fureur des combats de la Libération de Paris, en août 1944 (cf. Ministère de la Guerre).
Le Champ-de-Mars, avec ses 24,5 hectares en faisant l'un des plus grands espaces verts de Paris, tire son nom (et son aménagement) de la création de l'École militaire, nécessitant un vaste espace dédié aux manœuvres et aux parades (inspiré en cela du champ de Mars romain, nommé d'après leur dieu de la guerre).
De nombreux grands événements de l'histoire de France s'y déroulèrent, sous le regard des statues de Jean-Baptiste Pigalle couronnant le fronton de l'École. La F��te de la Fédération du 14 juillet 1790, grand moment d'allégresse révolutionnaire, y tint lieu, mais également la tragique fusillade du 17 juillet 1791, le guillotinage de Bailly en 1793, la démente Fête de l'Être Suprême, organisée par Robespierre en 1794, les Olympiades de la République sous le Directoire, puis la première Exposition des produits de l'industrie française, préfigurant les Expositions Universelles devant s'y tenir au XIXème siècle. Napoléon y distribua ses aigles à ses grenadiers en 1804, Louis-Philippe ses étendards tricolores à la Garde Nationale en 1831, la Fête de la Concorde s'y déroula en 1848... Un gigantesque bâtiment, le Palais Omnibus, fut construit afin d'accueillir l'Exposition universelle de 1867, ayant pour emprise la totalité du Champ-de-Mars. Construit en un temps record de 2 ans, il fut démoli en un temps également record de 2 mois, dès la fin de l'exposition... Le Palais du Champ-de-Mars, édifié à l'occasion de l'Exposition universelle de 1878, connu le même destin éphémère. Tout comme la gigantesque Galerie des Machines, faisant face à l'École militaire, bâtie à l'occasion de l'Exposition universelle de 1889, démantelée 20 ans plus tard. La même chose aurait pu advenir de la "Tour de 300 mètres" fermant le Champ, élevée la même année, mais elle fut pérennisée (nous y reviendrons dans le prochain article...) Enfin, le monumental Palais de l'électricité, édifié au milieu du Champ pour l'Exposition universelle de 1900, n'existe plus qu'en photographie... Renouant avec la tradition de ces monumentales constructions temporaires, le Grand-Palais Éphémère, toutefois conçu de manière éco-responsable, délocalisant les activités et expositions du Grand-Palais durant ses travaux de rénovation, reflétera jusqu'en 2024 la façade de l'École militaire dans ses vastes baies vitrées, abritant la statue équestre du maréchal Foch, tel un écrin artistique à la gloire militaire.
Crédits : ALM’s
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Endormi(e)
A peine revenu de sa surprise d'avoir vu l'infranchissable rideau de ronces et d'épines s'écarter pour lui faire passage, le prince le regarde se refermer derrière lui. A l'intérieur de la muraille végétale, il s'attendait à trouver une nature dense et sauvage - pensez donc, en un siècle, elle aurait eu le temps de reprendre ses droits. Mais les abords du château et la cour intérieure sont impeccables. Les parterres sont aussi nets que si les jardiniers du palais s'y étaient affairés le matin même. Pas la moindre mauvaise herbe ne pousse entre les pavés. Il est vrai qu'ainsi qu'on le lui a raconté, le château n'est pas abandonné. Juste endormi, afin que la princesse le retrouve, à son réveil, exactement tel qu'elle le connaissait.
Le spectacle est saisissant. Endormis, gentilshommes et damoiseaux, gardes et marmitons. Endormies, dames de compagnie et filles d'honneur, gouvernantes et femmes de chambre. Même les animaux - chiens de chasse et leurs puces, chevaux et leurs mouches - sont plongés dans un profond sommeil. Pour quiconque, le silence serait oppressant. Le prince, lui, apprécie ce délectable sentiment de solitude. Si seulement son propre palais pouvait être aussi calme !
Il pose le pied sur la première marche de l'escalier de la plus haute tour, au sommet de laquelle dort sa promise - tel est le contrat : qui la réveille l'épouse. Un somptueux mariage en perspective. Des milliers d'invités prestigieux venus de tout le royaume et des royaumes environnants. Des gens devant lesquels il va devoir danser. A qui il va falloir sourire. A qui il va falloir parler. Le prince soupire, regarde la seconde marche et, plutôt que de la gravir, s'y assied. Après tout, rien ne presse. On n'est plus à une heure près. Il peut encore profiter un peu de la tranquillité du palais figé et silencieux. Personne devant qui jouer un rôle en permanence, guetté, scruté, le moindre faux pas pouvant prendre des proportions monstrueuses. Personne pour attendre de lui, en tout lieu et en tout instant, rien moins que la perfection. Pas d'emploi du temps minuté, de réunions militaires interminables, de bals soporifiques.
Et si… et s'il restait ici ? Après tout, nul ne sera surpris de ne pas le voir revenir : tous les candidats précédents ont fini vidés de leur sang dans la mortelle haie d'épines. Sa propre mort était une éventualité tacitement admise. Et il n'y a pas grand risque d'être découvert par le prochain veinard à franchir l'obstacle, vu le taux de réussite. Quant à son royaume… son frère, qui s'est toujours plaint de sa position de cadet, sera parfaitement heureux d'assurer la succession sur le trône le moment venu. Il peut tenir une conversation insipide avec une duchesse pendant des heures ; il accueille les doléances des paysans avec un sourire désarmant ; il embrasse même les bébés lors des bains de foule. Bref, il est populaire. Et il ne rechigne pas à participer aux cérémonies et autres réceptions. Pis : il aime ça.
Non, vraiment, c'est un plan parfait. Le château regorge de provisions qui ne se gâtent jamais et il doit y avoir quelque part une bibliothèque suffisamment fournie pour tenir l'ennui à distance pendant des années. Le prince ressent bien une pointe de culpabilité en songeant à la princesse mais, bon, elle est endormie, n'est-ce pas ? Ce n'est pas comme si elle se rendait vraiment compte…
Il se relève d'un bond, avec un rire d'enfant qui n'en croit pas sa chance. Pour la première fois de sa vie, il est libre de faire ce qu'il veut. Et ce qui le tente le plus, là, tout de suite, c'est une bonne petite sieste.
(4/08/21)
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Notas: El Lote Malo ep. 14
Vaya episodio que nos dieron esta semana. Yo ya sabía que nos iban a soltar algo muy muy duro pero no tenía idea de que terminaría de esa forma. No puedo esperar a la próxima semana para saber que pasa, recuerden que oficialmente estamos ya en la recta final, así que cualquier cosa puede pasar.
Primer acto
La animación de verdad es bellísima
¿Quién eres y porqué te persiguen?
Uy no, ya lo agarraron
Segundo acto
Omega sigue imitando a Hunter :')
¡Rex!, yo quería volver a verlo :')
Team ❤️ || / Team 🧠 |
Echo le metió presión a Hunter para ir por el reg
Tercer acto
Están... ¿evacuando Kamino?
Nala Se: sisi, lo que tu digas cadete
Uy no, con la cancelación del contrato ya valieron m*dre
Amonos antes de que nos maten jajaja
Cuarto acto
El planeta de día es precioso :')
Hunter siendo... Hunter (cazador, rastreador, cualquiera)
¿Pero que no estaba deshabitado el planeta?
Probablemente no lo notaron, pero Tech casi se cae cuando van corriendo montaña arriba
Santa madre de dios, ahorita vemos que p*do
Esos ya no son clones Echo ):
Jajajaja, Echo usó el mismo truco de persuasión que usa Omega con Hunter
Pero, en Skako Minor tenían a Anakin ):
Ah sh*t, here we go again (Hunter ya se ve harto de eso amikos)
Quinto acto
Wrecker y Omega me recuerdan a ese video que se llama "When mama isn't in home"
La música se siente... diferente, como muy Imperial ):
¡Gregor!, que bueno verte en esta época
¡Ahora que hiciste cabr*n!, nosierto bb, no sabías que eso iba a pasar :'
Ese trooper se parecía mucho a Kallus, pero no es el, la neta dudo que sea el
Recuerden que cantidad no equivale a calidad
Sexto acto
Tranquila Omega, me pones más nerviosa :'
¡Bal*siaron a Gregor!
¡No m*mes se madrearon a Tech! (aquí la ansiedad me jugó chueco y creí que le habían disparado también)
Los clones comando eran otro rollo definitivamente
Esto me hace sentir como cuando escaparon con Echo en Skako Minor por allá en la lejana temporada 7 de Clone Wars
¡¡OMEGA AL VOLANTE!!
Gregor: asumakina, si está altito eh
No tienen idea de cuanto amo la dinámica de hermanos que hay entre Omega y Tech, son muy lindos
Si Hunter no empuja a Echo probablemente estaríamos llorándole a el ):
Wey, los TK son tan idiotas que le disparan a todo lo que se mueve, no se detienen a ver a quién, ni a su instructor xd
Gonky y Omega al rescate de la Havoc Marauder
Una vez más, presentando a Tech en Bad Batch: reto Daro
¡¡HUNTEEEEEER!!
Ah, está vivo
¿No tienen el presentimiento de que algo muy malo va a pasar?
Tech no se quería ir ):
Oh por dios, Omega suplicándole a Hunter que les ordene regresar por él, de verdad me hizo llorar (en inglés, la verdad el doblaje me quedó a deber)
Séptimo y último acto
Ese compa ya esta muerto...
Esperen, ¿dónde está Crosshair?, ¿de verdad anda en solitario cazando a sus hermanos?
Nomás no le han avisado... ay Drake creo que si se lo echaron :'
"Contigo me basta" ora que mam*das
¡Nos vemos la semana que sigue!, de verdad espero que nadie muera ):
#the bad batch#el lote malo#tbb hunter#tbb omega#tbb echo#tbb tech#tbb wrecker#tbb crosshair#tbb gregor#tbb rex#hunter#omega#echo#tech#wrecker#crosshair#rex#gregor#captain rex#star wars#star wars en español
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GAY-o
Alors que l'univers de Game of Chess était entrain de prendre forme, d'autres préparaient le Gayo Daejun... Parmis eux, Elrick, Malia, Ewan et Lucie. Si il avait été convenu qu'Elrick chanterait en Duo avec Minho, la chanson restait de leur choix, Malia avait opté pour un pianovoix assez doux, Ewan lui avait eu la surprise de chanter avec Jungkook et Lucie avait la scène pour elle.
« Biiiien je galère un peu ... » soupira Morganna « Alors à partir de maintenant ... C'est Zazou qui gère le Gayo. » fit-elle en sortant de la salle.
« Zazou... » Ewan soupira en riant « Un jour Miss Holmes daignera l'appeller Zhen »
« Ou pas mon gars, ou pas. » Fit Elrick hilare
« Comment tu gères le fait de faire Game of Chess et le Gayo ? » demanda Malia
« Game of Chess est encore en développement mais Morganna a rêver de cet univers depuis longtemps. » dit Elrick « Et puis j'ai pas encore reçu la chanson donc je peux tranquillement attendre et me préparer à ce Gayo Daejun avec le sourire » dit-il en souriant
« C'est cool comme univers Game of Chess » fit Minho
« L'univers des contes inventés par Ian est très vaste. » dit Ewan calmement
« Qui c'est Ian ? » demanda Minho
« Le père de Morganna » Fit la voix grave du ténor qu'était Zhen « C'était un militaire avec l'âme d'un écrivain. »
« Oh » Minho comprit à l'usage du passé qu'il n'était plus des leurs
« Mais assez parler de Game of Chess. » dit Zhen « On a du boulot ne pensez-vous pas ? »
« Minho et moi on cover Love line de DBSK » fit Elrick « Allez belle gueule on va bosser » dit-il en caressant les cheveux de Minho
« Tu peux pas m’appeler Minho comme tout le monde ? » demanda-t-il
« Nan. Parce que je suis pas tout le monde mon cœur. » fit Elrick en ricanant
« I ship it. » fit Malia
« I do too » dit Lucie
« I approve it. » dit Ewan en souriant
« What the fuck ? » fit Zhen...
Et àa côté Minho rougissait alors qu'Elrick enlevait son pull pour commencer à répéter la danse .... Elrick se tourna vers le coréen puis le filles ... S'approcha à pas de félin du plus jeune et vint l'embrasser avec tendresse. Minho se laissa faire approfondissant le baiser. Oh ça faisait quelques semaines qu'il draguait le blond alors quand il l'avait clamer comme sien, Minho l'avait laisser faire. Elrick l'avait rendu accroc à lui en peu de temps et il regardait son amant avec un regard amoureux.
« Please don't show any of your relationship on scene. » soupira Zhen
« The only guy I kissed on scene has red hair ... and it was needed. » dit Elrick
« Cause we played a gay couple in high school yeaaaars ago. » soupira Ewan
« You kissed Elrick ? » fit Malia hilare
« Once. » soupira Ewan « Can we move on ? I still need a duo to sing with Jungkook. » fit Ewan
« Well how about some DBSK too ? With Jungkook you can step it up. » dit Zhen
« I don't really know... » fit Ewan
« Maybe i can suggest you a song ? » fit Lucie
« Go ahead ? » fit Ewan
« How about 'Baby Don't Stop ?' » demanda Lucie
« J'aime bien ! » fit Jungkook en entrant « Mais euh... Ewan ? Tu sais danser ? » demanda-t-il
« Il a fait du ballet. » balança sans gêne Elrick « Il a jouer Billy Elliot a 15 ans. »
« Je te hais. » siffla Ewan
« Oh you don't. » Fit Elrick en riant
« Oh sometimes I do... » soupira Ewan
« Du ballet ? Donc t'es souple... » fit Jungkook en souriant
« Très. » fit Zhen « DONC ! On ne flirt pas sur scène je veux pas de Scandale. Lucie tu te démerdes. » Et voilà que Zhen s'en alla blasé.
Ewan rougit violemment et enleva sa cravate pour se préparer... Il s'en alla se changer et revint en jogging et marcel... il était fin le Lord... très fin mais musclé. Jungkook avala de travers. C'était rare. Très rare qu'il voit Ewan comme ça. Le Lord lui était concentrer et répétait avec diligence, comme Minho, alors que Jungkook matait son cul, comme Elrick matait celui de Minho. Lucie elle entra dans la salle et fixa les deux couples... avant de rire doucement. Elle avait déjà prévue sa performance, quand a Malia elle regardait sa partition avec un sourire doux aux lèvres.
« Tu nous fais quoi toi ? » demanda Lucie
« Eh-bien .... Love Shot » dit-elle doucement
« Oh-ho... A confession ? » demanda Lucie
« Yes. » Malia sourit doucement « Et toi ? Gri ? »
« Oh il s'attend à une de ses chansons, mais je pense qu'un peu de modestie ne peut lui faire de tort. » dit Lucie doucement « Zhen m'a donner les moyens alors je vais faire une performance digne de mon sang mais sur une chanson d'un de nos amis qu'on a en commun. » dit-elle doucement « Taeyang m'a proposer de lui apprendre cette leçon tout en douceur » dit Lucie « CL m'a proposer une façon chaude... » Lucie rit « J'ai décider de mélanger le tout. »
« Je doute que tu lui apprendras surtout l’abstinence ou la frustration. » dit Malia en souriant « Si c'est du Samael que tu chantes... »
« il a des textes géniaux ton frère » dit Lucie
« Je sais, c'est moi qui les écrits. » dit Malia en riant.
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Les premiers à ouvrir le bal du Gayo Daejun c'était Elrick et Minho. Minho portait une chemise en jeans à manches courtes et ses cheveux avaient été brosser en arrière, Elrick portait un jeans et une chemise blanche entrouverte sur son torse. Le blond avait les cheveux brossé en arrière comme Minho et le duo commença a chanter Love Line de DBSK sans soucis. Elrick s'amusait et Minho gardait le sourire. Après la performance ils eurent un bon brohug et sortirent de scène. Ensuite ce fut à Malia de monter. Elle portait une sublime robe bourgogne, des longs gants en soie noire et ses cheveux remontés en chignon agrémentés de fleurs. Elle s'installa au piano et commença une version piano-voix de Love Shot. Kyungsoo l'observait en se mordant la lèvre. Il était fou d'elle et Baekhyun murmura doucement a Kyungsoo que si Malia existait en double il en prendrait bien. Bien hélas pour Baekhyun et heureusement pour Kyungsoo, Malia était un exemplaire unique qui lui appartenait. Elle termina la chanson en douceur et retourna s'asseoir à sa table entre les filles de SNSD. Yoona lui murmura qu'elle avait un talent et des couilles de faire un piano-voix live. Vint ensuite Lucie. Elle arriva dans un superbe ensemble de Madame loyale Sexy, des énormes cuissardes en cuir noire aux jambes. Elle montait sur la scène avec une bonne musique electro et des danseurs. Elle dansait comme les plus grandes danseuse de Kpop. Son regard d'or souligné d'un maquillage charbonneux. Sa façon de bouger, sa façon de chanter. Sa souplesse quand elle glissait lentement en grand écart .... Seungri serrait très très fort son fauteuil alors que Mino se foutait de sa gueule. La version de Lucie de Can't be tamed.... était bandante et Seungri gémissait... Parce qu'elle faisait exprès ... elle avait fait un grand écart glissé devant lui. Cette française voulait sa mort. Vinrent enfin Jungkook et Ewan. Ewan portait un jeans blanc et une chemise blanche, ses cheveux replié avec classe vers l'arrière quand à Jungkook il portait un pantalon en cuir noir et une chemise noire a manche courte. Leurs version de Baby don't Stop impressionnait. D'autant par la justesse des pas que par la dévotion des deux danseurs. Jungkook regardait Ewan avec un regard brûlant et le regard indulgent et doux d'Ewan pour son cadet était tellement visible. Ils terminèrent leur préstation sous les applaudissements et les hurlements.
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« YET ANOTHER GAYO passed ... and for debriefing this one, I have non other than the GREAT RM to join me this evening » fit Miyuki « But first... let me tell you. There are some ships sailing... and one ship took off yesterday. » fit Miyuki « Sooo RM are you aware of Shipping ? »
« I am... I know internet. » fit Namjoon en souriant
« Know that after this, you'll be shipped with me. » dit Miyuki en riant « But let's talk about one performance that got me in complete awe. » Miyuki sourit « Elrick and Minho showed us something sweet ... and for fucks sake... have you seen Elrick being that sweet ? »
« He has stepped up his act. » dit RM doucement
« True. But Lucie... ooohhh Lucie... she showed us what some french skilled performer looks like. » dit Miyuki
« Hands down one of the best female performers... but I have a sweet spot for Malia. » dit RM
« Boi Hands off, SM confirmed !!! KyungLia is sailing guys. And oh boi... Love shot on the piano.... I was just completely speachless »
« She has some talent, I wonder if she would love too colaborate. » dit RM
« If she's not available... you can always ask our Lord and savior ... Winchester-Sama... FOR FUCKS SAKE !! I loved him at his Billy Elliot Years ago but with Jungkook he stepped up A LOT... 10 points for the perfomance 10 for the eye sex... I'm convinced of one thing. JungWan is my new OTP fight me. And if you don't ship it ... honey are you blind ? »
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L'entrée en lice du Brésil face au Canada ce samedi ouvre le bal de la Coupe du monde U17 au pays de Neymar Jr. Comme les autres 4 sélections africaines, le Cameroun va connaître son baptême de feu dans quelques heures en affrontant le Tadjikistan. En attendant cette rencontre très attendue pour ces jeunes Lions U17, en stage depuis plus de 2mois (passé par Yaoundé et la Turquie ensuite le Brésil), la phase finale passe par l'acquisition des mécanismes du tournoi, les lois de jeux et la Var. [ 206 more words ] https://zonefoot.net/2019/10/26/bresil-mondial-u17-dernier-tournant-pour-les-lions-cadets/
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Re-bonsoir. Question d'art : Connaîtrais-tu l'histoire du sublime tableau "Madame Rimsky Korsakov" de Franz Winterhalter? Je ne trouve rien sur cette oeuvre en particulier... Et je suis plutôt fascinée par la beauté et la grâce de celle qui est ainsi représentée.
Barbara Dimitrievna Mergassova Rimskaïa Korsakova est née le 1 ͤ ͬ février ou le 1 ͤ ͬ novembre 1833 (elle est enterrée au cimetière russe de Nice, où elle morte le 18 décembre 1878) à Varsovie, à trois-cents kilomètres au nord-est de Moscou. Son père, Dimitri Vassilievitch Mergassov, était un très riche marchand. Parce qu’elle était aussi belle que riche, on lui fait épouser le jeune comte NikolaïSergueevitch Rimsky-Korsakov ; le mariage eut lieu à Moscou le 20 mai 1850 : elle avait seize ans, lui vingt-et-un. Classique, pour l’époque et le milieu.
La famille Rimsky-Korsakov vivait à Saint-Pétersbourg où le conte Sergueï donnait souvent des bals célèbres courus par toute l’aristocratie russe, qui raffolait particulièrement de ses fêtes costumées. Son fils lui ressemblant beaucoup, il inspira Tolstoï qui en fit dans Anna Karénine le personnage de Yegorushka Korsunsky, « meneur de cotillons » aimable et superficiel :
Ils causèrent à bâtons rompus de Korsunsky et de sa femme, que Wronsky dépeignit gaiement comme d’aimables enfants de quarante ans (…). [Chapitre 23]
Tolstoï décrit le jeune comte comme « un fantastique danseur, marié, très beau et puissamment bâti », mais il n’est pas que décoratif : c’est un homme intelligent et cultivé, diplômé de l’université de Moscou. Les époux brillent ensemble, ils sont aimés, admirés, et unis. Ils ont rapidement trois fils : Serge (né vers 1851, qui mourra jeune), Nicolas (né en 1853) et Dimitri (né en 1855).
L’année où naît le cadet des garçons éclate la terrible guerre de Crimée et, contre toute attente, Nicolas s’engage et part pour Sébastopol. Il s’illustrera au combat et sera décoré pour sa bravoure. Malheureusement, la guerre l’avait beaucoup marqué, mûri et changé : en 1856, Barbara reconnaissait à peine son mari.
C’est deux ans plus tard qu’elle pose pour la première fois pour le peintre académique allemand Franz Xaver Winterhalter (0805-1873) : en 1858, elle a vingt-quatre ans.
Les époux se séparent officieusement en 1861 : Barbara prend un amant parmi la noblesse moscovite, ce qui n’a rien de scandaleux pour l’époque, d’ailleurs, du moins pas en Russie ni en France, si cela se fait avec assez de discrétion et en choisissant parmi des prétendants respectables. Assez vite, pourtant, une dispute incite Barbara à demander le divorce : elle l’obtient et quitte Moscou pour Paris, accompagnée de son amant. Comme tous les aristocrates russes, elle parle un français parfait, puisqu’il est la langue de la cour du Tsar.
Madame Rimsky-Korsakov eût été célèbre et célébré sans cela, mais il se trouve qu’à son arrivée à Paris elle fait la connaissance d’une aristocrate italienne délicieusement scandaleuse, d’une beauté légendaire qu’elle mit au service du gouvernement de son pays en entrant dans le lit de l’Empereur : nous sommes à l’apogée du Second Empire. Virginia Oldoini, comtesse de Castiglione, fascine par ses mœurs autant que par son époustouflante garde-robe… L’histoire de la robe invraisemblable qu’elle s’était faite faire pour le bal qui servit à la présenter à Louis-Napoléon est assez croquignolette mais elle ne vaut pas celle du costume qu’elle a porté à un certain bal masqué…
En réalité, les deux jeunes femmes partagent un goût prononcé pour les robes osées et elles furent également familières du palais des Tuileries. Elles furent toutes les deux maîtresses de Napoléon III, surtout pendant que l’impératrice Eugénie part bouder en voyage, et ne ratent aucun des bals somptueux que celle-ci donne à son retour. En 1963, Barbara paraît ainsi costumée en Tanit, prêtresse du roman Salaambô de Flaubert : en fait, elle est très clairement nue sous une espèce de gaze. Au bal de cette charmante écervelée de Pauline de Metternich, Barbara porte une robe si décolletée qu’elle lui tombait sur les coudes. À Biarritz où le couple impérial se retirait dès la fin du printemps elle vient à un bal comme à la sortie du bain, ce qui lui vaut aussitôt le surnom de « Vénus tatare » ! En 1866, elle débarque à un bal du ministre de la Marine couverte de plumes multicolores… mais les jambes nues, ce qui émut fort la belle société parisienne.
En 1864, quand elle pose pour Winterhalter pour la seconde fois, l’Allemand est devenu le peintre officiel de la cour de France : Eugénie l’adore, il n’a pas son pareil pour camoufler les petits détails disgracieux. Barbara a trente-et-un ans et il la peint dans une pose plutôt suggestive pour l’époque, disons aguichante, les cheveux dénoués et la robe tombant des épaules comme si elle était sur le point de la perdre… (Au fait, ce portrait est troublant de ressemblance avec celui que Winterhalter réalise la même année de Sissi, l’impératrice Élisabeth d’Autriche.)
La notice du tableau à Orsay indique que le modèle a payé l’artiste 9000 francs pour son portrait, dont ses fils Nicolas et Dimitri feront don à l’État français dès après sa mort, en 1879 (avant de se retrouver à Orsay, le tableau aura fait quelques allers-retours entre le musée du Luxembourg et celui du Louvre). Nicolai Sergueevitch était mort trois ans avant Barbara, jamais remarié non plus. Leur aîné Nicolas liquida tous les biens français de sa mère et la fit enterrer à Nice, là où elle avait passé ses dernières années après la chute de l’Empire en 1870, comme beaucoup d’aristocrates russes exilés en France à l’époque…
Post scriptum : contrairement à ce que l’on lit (presque) partout, Barbara n’était pas la tante du célèbre compositeur Nikolaï Andreevitch Rimsky-Korsakov (1844-1908), auteur entre autres du Vol du bourdon. Les comtes Rimsky-Korsakov et lui étaient apparentés, mais à la x-ième génération, étant issus tous deux d’un couple ayant vécu au XVII ͤ siècle… Qu’on se le dise. (Ne pas rater la version pour trompette du plus grand trompettiste de tous les temps, Maurice André !)
#answers#cashmerebrunette#culture-toi avec tatie hel#qui est incollable sur les grandes pouffes du xixe siècle#en même temps ça ne manquait pas#et n'allez surtout pas croire que je ne les aime pas ces chipies#gallomancy#dix-neuvième siècle
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pj princess
Je suis une princesse en pyjama,
et ma tour est une petite chambre asymétrique ou je peux à peine m’allonger.
Ma fenêtre sur le monde est ouverte sur des milliers d’onglets,
Ou je navigue ,assise, les yeux dans le vague.
et mon carrosse est une nissan grise, ou un bus de lijn,
Et ma robe de bal, un peignoir en laine
J’ai tout ce que je veux, sans vraiment l’avoir,
et la reine continue de regarder son reflet dans le miroir,
et le roi assis sur le trône de la salle à manger,
n’a pour reine que sa volonté,
qui tyrannique et sanglante
étouffe les sujets du petit royaume,
la garde royale est ma conscience,
qui pendant longtemps m’a imposé le silence,
face au mécontentement du roi,
parce que l’héritière ne convenait pas
et que le prince cadet est trop frivole,
et que dans les autres royaumes tout semble bien se passer?
et quand au prince, il ne viendra pas,
parce que les garçons ne veulent pas de princesse en pyjama
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En 1867, un « voyage extrordinaire »
Parmi les morts nouveaux devenus d’usage courant ces dernières semaines, celui de déconfinement: même si le déconfinement reste virtuel, nous pouvons nous y livrer en voyageant par la pensée. Laissons (exceptionnellement!) de côté pour aujourd’hui notre thème principal, celui des livres, pour nous arrêter sur un «voyage extraordinaire» réalisé à travers l’Europe en 1867, à l’occasion de l’Exposition universelle de Paris. La Science pittoresque annonce en effet, le 10 janvier 1867: Le port voisin du Champ de mars recevra au printemps prochain des steamers de toutes les parties du monde. On en a annoncé des États-Unis, de Suède et d’ailleurs. D’après le Fremdenblatt de Vienne, il en viendrait un de Pesth en Hongrie. En effet, le comte Széchényi aurait demandé au Gouvernement français la permission d’utiliser, pour son steamer, le canal du Rhin à la Marne. Il irait de Pe[s]th à Kehlheim, se rendrait par le Ludwigkanal dans le Rhin en passant par le Mein, affluent de ce fleuve. De Strasbourg il se dirigerait vers Nancy, et de là vers le confluent de la Seine et de la Marne.
Ödon (Edmond) Széchényi est né à Presbourg en 1839: fils cadet d’István et petit fils de Ferenc Széchényi, il est tout particulièrement intéressé par la navigation, mais il se lance aussi dans l’organisation de corps de pompiers, d’abord à Budapest, et plus tard à Constantinople –nous y reviendrons. Mais c’est un autre épisode de sa carrière qui nous retient aujourd’hui, à savoir son voyage à Paris, par voie d’eau, en 1867. Il s’agit pour lui de profiter d’un événement d’importance planétaire, l’Exposition universelle (du 1er avril au 3 novembre 1867) pour démontrer la faisabilité d’une navigation régulière vers l’Europe occidentale et jusqu’à Londres par la Manche. Le comte prépare son projet de longue date, peut-être depuis 1861. Il a déjà effectué à plusieurs reprises le trajet sur le Danube jusqu’à la Mer Noire, sur des vapeurs du service régulier, et il est titulaire du brevet de capitaine. Il parachève sa formation auprès du mathématicien Ármin Vész. Bien évidemment, la construction sera hongroise: Széchényi feita dresser les plans par Alajos Folmann, et se tourne vers les chantiers József Hartmann, alors encore installés près du Pont des chaînes (avant de venir à Újpest / Neupest), pour passer commande de son yacht. Le Hableány (la Sirène) aura de 20m de long sur 2,33m de large, et un tirant d’eau de 0,56m seulement –soit, selon le modèle anglais, un navire adapté à l’étroitesse des canaux et des écluses. L’embarcation à coque métallique est propulsée par une machine à vapeur de 6cv à la pression de 4 atmosphères, laquelle actionne deux roues à aubes. Elle est livrée le 6 novembre 1866: [Le yacht] est peint en blanc avec des moulures et des ornements en or. L’installation intérieure est des plus confortables: on y remarque le salon avec ses divans, son piano et sa bibliothèque, la chambre à coucher et la cuisine. Le départ vers l’ouest a lieu le 6 avril 1867: le comte est assisté de son second, Aloïs Folmann, d’un mécanicien et d’un chauffeur en charge de la machine, et de deux matelots, dont un jeune garçon de 12 ans faisant aussi office de cuisinier. Les voyageurs, qui doivent remonter le fleuve alors que le courant est très fort en ce début de printemps, sont aidés par le remorqueur Orsova, et parviennent à Presbourg / Bratislava en quatre jours. (10 avril). Malgré un incident à Vienne, c’est, deux semaines plus tard, la frontière allemande (Passau, 25 avril). Parvenu à Kelheim (près de Ratisbonne / Regensburg) le 28 avril, le navire s’engage pour trois jours sur le Ludwigkanal, inauguré en 1845 et assurant la liaison du Danube au Main. Le canal les conduit à Bamberg, d’où la navigation se poursuit, par la Regnitz et le Main, jusqu’à Francfort.
À Francfort, des hommes compétents avaient prédit que le yacht ne pourrait traverser le Rhin sans courir de grands dangers, et ils conseillaient l’emploi d’un remorqueur. Le comte Széchenyi, plein de confiance dans le courage et la persévérance de son équipage et dans l’excellence de sa machine, dédaigna ces conseils peut-être prudents et continua sa route (La Petite Presse, 23 mai). Après avoir remonté le Rhin jusqu’à hauteur de Strasbourg (6 mai), le comte s’engage dans le canal de la Marne au Rhin, achevé en 1853. À Vitry-le-François, c’est le cours de la Marne puis, à hauteur de Charenton, le confluent avec la Seine. Le 18 mai, Széchényi et son équipage accostent enfin à Paris, après un périple de 42 jours, et ils sont accueillis par Jules Verne. Le Habléany est le premier navire battant pavillon hongrois à accoster à Paris. L’Angleterre n’a qu’une embarcation à vapeur, toutes les autres chaloupes appartiennent à la Suède, à la Belgique et à la France, et sont rassemblées près de la Dahabié égyptienne, contre la berge française. Là se trouvent réunis, le Vauban, le canot des forges et chantiers de la Méditerranée, qui a remporté l’autre jour le premier prix aux régates internationales, des chaloupes à vapeur, la Sophie, élégante suédoise bien digne du deuxième grand prix, sa sœur la Mathilde, fine, élégante et accorte comme elle, l’Éole de M. Durène, la Mouche, appartenant au prince Napoléon, et la Fille des ondes (Habléany), coquet bateau à aubes de la force de six chevaux, parti de Pesth pour venir, en remontant le Danube et les fleuves de l’Allemagne et de la France, à l’Exposition de Paris (Rapport de l’Exposition universelle, Matériel de sauvetage et navigation de plaisance). Quatre jours plus tard, François-Joseph est couronné roi de Hongrie et, le mercredi 29 mai, jour de signature du Compromis austro-hongrois, l’ambassadeur Richard Klemens von Metternich donne un somptueux bal dans sa résidence de l’Hôtel de Rothelin-Charolais (101 rue de Grenelle). L’orchestre de soixante musiciens est conduit par Johann Strauss (fils), et les plus hauts personnages sont présents, autour de Napoléon III et d’Eugénie, du roi des Belges et d’un véritable parterre de souverains… Metternich présente à cette occasion le comte Széchényi à l’Empereur: Puis une valse est dansée par le prince Alfred, duc d’Édimbourg, avec la princesse Eugénie, pendant laquelle le prince de Metternich présente à l’Empereur le comte Edmond Szécheniji, qui vient d’accomplir sur un bateau de 30 mètres de long et de large [sic] le trajet de Pesth à Paris par le Danube, le Rhin, etc. L’Empereur interrogea longtemps le comte sur les incidents de la traversée, puis le voyageur désormais célèbre fut présenté à l’Impératrice par la princesse de Metternich. La relation de ce voyage sera faite par votre correspondant X… dans le Constitutionnel (La Petite presse, 30 mai).
Le yacht Hableány sera distingué par la remise d’un diplôme d’honneur à l’Exposition, tandis que son propriétaire est fait chevalier de la Légion d’honneur. Son voyage s’achève pourtant à Paris, où il aurait été vendu à Félix Tournachon, plus connu comme photographe sous son pseudonyme de Nadar. Armé sur la Marne pendant la Guerre de 1870, il aurait été saisi par les vainqueurs et utilisé sur le Rhin jusqu’à sa destruction, par suite de l’explosion de la chaudière, en 1874. Quant au comte, il est précisément appelé cette même année à Constantinople par le sultan pour y organiser le service des pompiers: il décédera dans cette ville en 1922, et est inhumé au cimetière catholique de Feriköy (cliché 4).
Napló gróf Széchenyi Ödön által « Hableány » nevü saját gözösén: Pestről Párizsig a Dunán, Lajos-csatornán, Majnán, Rajnán a franczia összekötő-csatornán, a Marnán és Szajnán tett vizi-utról [= Tagebuch über die von Graf Ödön Széchenyi auf seinem eigenen Dampfschiff namens « Hableány » von Pest bis Paris auf der Donau, dem Ludwigskanal, dem Main, dem Rhein, dem französishen Verbindungskanal, auf der Marne und der Seine unternommene Shiffahrt], Budapest, Wiking Marina Budapest Kft., [2000]
Et, pour vous distraire quelques billets en particulier: sur l’Abrégé chronologique du Président Hénault sur Anvers à l’époque de Plantin et nos trois billets de début d’année sur Raphaël et son École d’Athènes (premier billet, deuxième billet , troisième billet) Retour au blog
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HAUTS DE GARONNE
4 > 5 / 12 > 13 juillet Lormont, Bassens, Floirac, Cenon (33)
Seun Kuti - © Johann Sauty
Cosmopolitisme de proximité et dépaysement total. À deux pas de Bordeaux, les Hauts de Garonne prennent leurs quartiers sur la rive droite du fleuve, sous la forme de quatre soirées de musiques du monde dans des sites naturels d’exception. Le festival est aussi fameux pour son village associatif, à retrouver chaque soir de concert, à partir de 19 h 30, pour profiter des popotes de cuisines du monde ; demandez donc aux habitués. À Lormont, sous les arbres du Bois Fleuri, vous mettrez votre plus belle chemise pour applaudir Bonga, figure de proue de la musique angolaise. À Bassens, sur la pelouse du domaine de Beauval, vous découvrirez la fusion psychédélique unique entre cumbia, jazz et dub de l’expérience canadienne de post-rock afro-cubain The Battle of Santiago. Synthés et darbouka même combat : Sofiane Saidi et Mazalda assureront l’after electromaghrébin le plus groovy entre Paris et Sidi Bel Abbes.
À Floirac, dans le joli parc du Castel, sur des rythmes tonga modernisés d’afropop, venus du Zimbabwe, les six musiciens survitaminés de Mokoomba vous chanteront, au choix, ode aux chutes Victoria ou conseils en cas de rencontre avec un lion. À Cenon, sous les feuillages du parc Palmer, Posidonia, ensemble à cordes passeur de la musique traditionnelle des îles Baléares, fera l’ouverture osée d’un live de Seun Anikulapo Kuti, fils cadet du grand Fela Kuti, garçon féru de géopolitique et de saxophone ténor afrofunk.
À noter sur votre carnet de bal sans frontières. Tous les concerts sont gratuits. Le world n’a jamais été aussi proche. www.lerocherdepalmer.fr
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27/06/2018 Communiqué de presse 📰 Les temps forts de cet été 2018 aux Orres !
VTT, rando, trail, nouveautés, ciel bleu et évènements marquants, vos meilleurs moments se passeront aux Orres !
Retrouvez les temps forts qui rythmeront votre été 2018.
Opening
La saison estivale débute ce samedi 30 juin en continu jusqu'au 2 septembre avec les télésièges de Prélongis et de Pousterle.
Le Bike Park et les télésièges joueront les prolongations les week-ends du 8-9, 15-16 et 22-23 septembre.
RDV le samedi 30juin 2018 !
Plus d’infos sur lesorres.com
1er juillet : Fête de l’Amontagnage
Organisée par le comité des fêtes des Orres, la traditionnelle journée festive de l’Amontagnage aura lieu le dimanche 1er juillet à partir de 11h : messe en plein air pour la bénédiction des troupeaux, musique traditionnelle, animations, saucisses grillées, verre de Sangria offert. RDV le dimanche 1er juillet à partir de 11h à la Chapelle Saint Pierre, Le Grand Vallon, 05200Les Orres
Contact :[email protected] ou au 06 72 86 18 84
14 juillet : Fête Nationale
Concert DJ à 21h sur le centre station 1650, et grand feu d’artifice vers 22h
RDV le samedi 14 juillet, à partir de 21h, Centre station 1650
Plus d’infos sur lesorres.com
14 et 15 juillet : Coupe régionale PACA de descente
6 étapes sont au programme de la Coupe, Les Orres étant la 4ème.
Cette épreuve de descente se déroule selon un système basé sur deux manches, où le meilleur temps de l’une des deux manches compte pour le résultat final.
Samedi : reconnaissance Dimanche : manches chronométrées
RDV le samedi 14 et dimanche 15 juillet, Centre station 1650
Plus d’infos sur lesorres.com
Les mardis de l’été
L’occasion de passer une soirée en montagne, avec un concert gratuit en plein air à partir de 20h.
Des artistes variés qui s’emparent des Orres pour mettre l’ambiance et vous offrir une soirée conviviale.
FaT.T(Swing et musiques du monde) - 17 juillet 2018 – 20h – Les Orres 1800
Lemonpepper(Rock 70’s) - 24 juillet 2018 – 20h – Centre station 1650
Jeff Jell(Afro, funk, salsa, folk et reggae) – 31 juillet 2018 – 20h – Les Orres 1800
CONSORTIUM (Pop actuelle) - 7 août 2018 – 20h – Centre station 1650
Les Marmailles(Pop, reggae, funk, rock festif) - 14 août 2018 – 20h – Les Orres 1800
Purple feelings (Rock et blues 60’s & 70’s) - 21 août 2018 – 20h – Centre station 1650
RDV les 17, 24, 31 juillet et 7, 14 et 21 août à partir de 20h
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21 et 22 juillet : Faster Than You by Commençal
Un week-end de ride, organisé par COMMENCAL, ouvert à tous, en présence des riders Anne Caroline Chausson et Pierre Edouard Ferry.
Le programme :
Samedi : Challenge RAW MTB - Via l’application mobile qui vous chronomètrera sur une piste donnée, vous pourrez vous mesurer à vos amis mais également défier nos pro-riders qui réaliseront les temps de référence. Pourront également être récompensés ceux qui auront fait le plus grand nombre de descentes dans la journée ! BBQ party - On s’occupe de la braise, apportez vos chipolatas… Soirée - Après avoir partagé un petit apéro COMMENCAL sous le stand, la soirée se poursuivra dans un bar de la station.
Dimanche : Contest en tout genre - que ce soit le plus gros drift, du saut en hauteur, le plus beau virage « carte postale »… l’ambiance sera au rendez-vous !
RDV le samedi 21et dimanche 22 juillet, Centre station 1650
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22 juillet : Fête de la Madeleine et feu d’artifice
Fête de la Sainte Marie Madeleine organisée par le comité des fêtes des Orres avec concours de pétanque, animations enfants et en soirée, grillades, bal et grand feu d'artifice.
RDV le dimanche 22 juillet à partir de 14h, Chef Lieu, 05200 Les Orres
Contact :[email protected] ou au06 72 86 18 84
28 et 29 juillet : Enduro Series France (3ème manche)
La station reçoit cette compétition pour la 4ème année consécutive, ainsi que la 2ème manche des European Continental Enduro Series.
Plus de 200 compétiteurs sont attendus.
RDV le samedi 28et dimanche 29 juillet, Centre station 1650
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3 au 6 août : Les nuits des étoiles – observation du ciel nocturne des Orres
Les nuits des étoiles auront lieu les 3, 4, 5 et 6 août 2018. La commune des Orres avec la participation de l'AMAS, proposent gratuitement des observations du ciel et des conférences. De plus l’éclairage public sera éteint durant ces 4 nuits afin de profiter au mieux des étoiles.
RDV le vendredi 3, samedi 4, dimanche 5 et lundi 6 août
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7 au 9 août : Festival des familles en Orres, les 5 ans !
Pour la 5ème année, le festival des Familles en Orres revient. 3 jours d'animations non-stop et de spectacles pour petits et grands : tournois, grands jeux, mousse-party ; de quoi partager des fous rires en famille et en compagnie de la mascotte des Orres, L’Happy.
RDV le mardi 7, mercredi 8 et jeudi 9 août aux Orres 1650 et 1800
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15 août : Fête des Pompiers
Journée festive avec les sapeurs-pompiers des Orres : animations, concours de pétanque, et soirée musicale. Un vide grenier est organisé le matin.
RDV le mercredi 15 août, Le Mélézet, 05200 Les Orres
Organisation : amicale des Sapeurs-Pompiers des Orres
18 août : Bell Bike Tour
Déjà organisé en Angleterre, Les Orres fera office de station test en France pour cet évènement. Programme de la journée : test de matériel libre, sessions pour rider avec pilotes Bell et les Ambassad'Orres et concert en soirée pour se retrouver et passer un bon moment !
RDV le samedi 18 août aux Orres 1650
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22 août : Col Réservé, la montée des Orres fermée aux voitures
Cyclos, VTT, tandems et vélos électriques pourront se partager la route fermée (D40) à la circulation motorisée de 9h30 à 11h30, afin de venir à bout des presque 18km et 780m de dénivelé.Les cols réservés font une étape aux Orres. Accès gratuit, ouvert à tous, sans inscription, sans classement, ravitaillement offert.
Infos pratiques sur la montée des Orres: • Altitude : 1650 m • Départ : Baratier parking 2ème entrée avant montée D40 • Longueur : 17.70 km • Dénivellation : 780 m • % Moyen : 4.41% • % Maximal : 8.3%
RDV le mercredi 22 août de 9h30 à 11h30
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2 septembre : DH Kids
Compétition de descente VTT, catégories poussins à cadets, organisée par le club PJPC, en collaboration avec la station des Orres
RDV le dimanche 2 septembre, Centre station 1650
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22 et 23 septembre : Closing du Bike Park
Venez avec nous fêter le dernier week-end d'ouverture du Bike Park ! De nombreuses animations vous attendent sur ces 2 jours : piste chrono, course �� l'américaine, contestpumptrack, big air, piste chronométrée, démos freestyle, …
RDV le samedi 22 et dimanche 23septembre !
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Idée et Résumé
Quand j'ai vu la bande annonce de Jump forces, j'avais une idée en tête. Comme les personnages des univers des mangas (DBZ, One Piece et Naruto ect) qui sont projeté dans le monde réel, pourquoi je ne mets pas les personnages des univers de Disney et les youtubeur français. Comme ça, ça va ressembler à Tekken Tag Tournament 2 et Tekken 7 ou les personnages des univers parle leurs langues origines.
Par exemple, les personnages de DBZ Naruto et One Pices parle en Japonais, les personnages de Disney parlent en anglais et les personnages youtubeur parle français. Certain personnages seront des personnages principaux d’autres des personnages secondaire
Voici le résumé de l’histoire : « Après la défaite de Bill Crypto, Jeremy Johnson (Jean Crypte) retourna dans son repère pour mettre un plans. Après trois mois rester dans le sous-sol à Gravity Falls, Jeremy Johnson découvre un nouveau pouvoir, il à commencer à invoqué les personnages venue des univers des mangas. Malheureusement, il a invoqué accidentellement les héros et pas les méchants. Phineas et Ferb quant à eux, fabrique un acrobranche. Candice, comme d’habitude va essayer de montrer les inventions de ses frères à sa mère. Dipper Mabel et Dandinou retournèrent à Gravity Falls avec leur parent. Star et Marco combattirent les méchants sur terre. Jean se lit amitié avec Candice et Squeezie trouva un talisman. Georges et Rilley font la rencontre de Phineas et Ferb »
Comme de gemturtles, Super Smash Bros et Tekken 7, ce fanfic se déroule dans les univers réel et manga. Comme celle des mangas, il y aura des 5 ou 9 arcs. Ce fanfic est inspiré de Sonic forces et celle de la destruction comme Sonic 2006.
Comme dans Avengers: Infinity War, Podcast Jump Force sortira en deux parties (trois Arc en gros.)
Le premier arc est inconnue faudra attendre l’année 2019. On sait que le méchant sera pas Bill Crypto, mais un personnage qui va essayer de lui ramener à la vie.
Le deuxième arc c’est pareil.
Et le troisième sera donc un combat à la victoire d’un méchant. On ne sait pas qui mais, c’est trois arc sortira en 2019
Arc 1 : ? Arc 2 : ? Arc 3 : ?
Personnages principaux
Personnages Univers de DBZ
Gokü/Kakarotte : c’est le principal protagoniste des mangas Dragon Ball z. l’âge de Goku est inconnue il cependant un l’âge adulte. L’histoire de Goku est inconnue dans ce fanfic
Personnages Univers de Naruto Shippuden
Naruto Uzumaki : Il est le personnage principal du manga Naruto. Naruto est un adolescent âgé de 16 ans. L’histoire de Naruto est inconnue dans ce fanfic
Personnages Univers de One Piece
Monkey D. Luffy : Monkey D. Luffy, surnommé d'une manière récurrente Luffy au chapeau de paille, est un personnage de fiction et principal protagoniste de la franchise japonaise One Piece. Contrairement aux autres, Luffy n’est pas un ados mais un adulte âgé de 19 ans. Comme d’autres personnages des Manga, Luffy à une histoire un connue. On ignore comment il est arrivé dans le monde réel avec Goku et Naruto.
Personnages Univers de Death Note
Light Yagami :
Ryuk :
Personnages Univers de Bleach
Ichigo Kurosaki :
Rukia Kuchiki :
Aizen Sōsuke :
Personnages Univers de Phineas et Ferb
Phineas Flynn : Il sera le garçon de 11 ans que nous le connaissions. Au début, Phineas et son frère commencer à fabriqué un accrobranche dans le jardin. Comme dans la série original, Phineas son demi frere Ferb, Isabella, Baljeet, Buford, Marc, Rilley, Dipper, Mabel et les autres, doivent aider Goku et tous les autres personnages de manga à rentrer chez eux dans leur univers.
Ferb Fletecher : Il sera le garçon de 11 ans que nous le connaissions. Au début, Ferb et son frère commencer à fabriqué un accrobranche dans le jardin. Comme dans la série original, lui son demi frere Phineas, Isabella, Baljeet, Buford, Marc, Rilley, Dipper, Mabel et les autres, doivent aider Goku et tous les autres personnages de manga à rentrer chez eux dans leur univers.
Candice Flynn : comme dans la série originale, elle va essayer de montrer à sa mère les inventions de ses frères. Mais, elle n’arrive pas. Jean lui vin en l’aide pour essayer de les démasqué. Elle a 15 ans. Quand les personnages des univers des mangas arrivent dans son monde, elle pense que les personnages sont les inventions de ses frères.
Perry l’ornithorynque :
Personnages Univers d’Avengers
Tony Stark /Iron Man :
Bruce Banner/Hulk :
Thor :
Peter Parker / Spider-Man :
Personnages Univers de Youtube
Jean Christivoirien : Comme Candice, il à 15 ans il est le seul personnage masculin principal âgé de 15 ans. Il est fan de Mortal Kombat. Il se lie amitié de Candice Wendy et leurs amis.
Lucas Squeezie : Squeezie est un youtubeur âgé de 16 ans. Quand il rencontre les personnages des mangas, il les rejoint pour les aidé à rentrer chez eux (Jean et Alice excepté)
Marc Chrisitivoirien : le frère cadet de Jean âgé de 13 ans il aime bien les personnages manga comme Végéta et Zorro. Il aide Phineas et Ferb à envoyer les personnages de manga chez eux
Georges Dewitt : c’est un ados âgé de 14 ans comme Marco Diaz. Il s’est battre comme lui. Avec Candice, Wendy, Jean, Jeremy, Stacy et Robbie, il aide Star et Marc et les autres à sauvez Mewnie
Rilley Dewitt : il a 12 ans il aide les frères Flynn Fletcher à envoyer les personnages des mangas chez eux.
Personnages Univers de Gravity Falls
Dipper Pines : maintenant 13 ans, ses parents venait d’emménagé de Piedment à Gravity Falls. Dipper fait la rencontre de Phinéas et Ferb. Il aide les personnages des mangas à rentrer chez eux
Mabel Pines :
Mousse :
Wendy Corduroy : comme dans la série d’original il a 15 ans. Avec Candice, Georges, Jean, Jeremy, Stacy et Robbie, il aide Star et Marc et les autres à sauver Mewnie
Personnages Univers de Star Butterfly VS the Evil
Star Butterfly : elle est le personnage principal de cette série d'animation et la princesse de Miou . Enthousiaste, souriante et blonde aux yeux bleus, elle ne lâche rien et est toujours partante. Celle-ci part vivre chez les Diaz, le temps qu'elle apprenne à utiliser sa baguette. Elle ne maîtrise pas ses pouvoirs et ne sait pas encore qu'elle détient un énorme potentiel magique. Star se lie d'amitié avec Marco, Janna, Jackie plus ou moins et plusieurs autres sur Terre. Avec Candice, Wendy, Jean, Jeremy, Stacy et Robbie, Jackie, Janna et Star 13, elle sauve Mewnie
Marco Diaz : Marco est le meilleur ami de Star, personnage principal aussi. Il est quelquefois agacé par le comportement de Star qui est énergique, mais est content de l'avoir à ses côtés. Il est amoureux de Jackie Lynn Thomas depuis la maternelle, et n'a osé lui parler que depuis qu'il est avec Star. Malgré tout cela, Marco est courageux et peut accomplir de nombreuses choses par lui-même, y compris des Nachos. Marco pratique aussi du karaté au dojo, où il est souvent confronté à Jérémy. Il déteste Tom Lucitor la première fois qu'ils ont fait connaissance et quand il a voulu le tuer en gâchent sa tentative de lier son âme à celui de Star au bal de la lune rouge et se retrouve son âme lie à Star. Avec Candice, Wendy, Jean, Jeremy, Stacy et Robbie, Jackie, Janna et Star 13, Alfonso et Ferguson il sauve Mewnie
Personnages secondaires
Personnages Univers de Naruto Shippuden
Sasuke Uchiwa :
Personnages Univers de One Piece
Roronoa Zorro :
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« Nous faisons le meilleur whisky qu'il soit au monde»
Portant le nom de code (CHAMPAGNE), mais cela reste secret défense – il se prénomme en réalité (HENRY SCOTT BRAVOR) mais il ressemble à s'y méprendre à (JEFF BRIDGES) [mais ce n'est pas celé dans la pierre]. Il sait comment être (ACCUEILLANT) et (RIGOLARD) mais également (LACONIQUE) et (FRANC) c'est pourquoi il est (LE BON VIVANT). Il fait parti des Statesman depuis maintenant (30 ANS) et nous lui en souhaitons bien plus.
Mr. (BRAVOR) est âgé de (63) ans, il est d'ailleurs né dans (UNE FERME TEXANE) le (23/10/1964), c'est pourquoi il est de nationalité (AMERICAINE), d'ailleurs ses parents sont (CIVILS).
On peut dire beaucoup de choses sur Henry Bravor, en revanche ce qu'on ne peut pas dire c'est qu'il n'accorde pas de valeurs à ses agents. Car si Henry sait bien une chose, c'est que chacun a un caractère différent et il suffit de l'écouter pour en comprendre les facettes. Mais Henry n'a pas toujours été aussi sage et r��fléchi, il suffit de remonter dans sa prime enfance pour comprendre le personnage. Il est né dans une ferme Texan, où les cow-boy continuent de prospérer. Une famille simple qui ne posséde ni télé, ni téléphone à cadran et encore moins eau courante. Des conditions de vie à la dure pour un enfant cadet de déjà six frères. Henry apprend très tôt à garder les troupeaux, il sait à peine marcher qu'il monte déjà sur un cheval et manie le lassos avec brio. Il fait plusieurs kilomètres pour aller à l'école chaque matin, mais vous pouvez être sûr que jamais un gémissement n'est sorti de sa bouche. Lors de son dix-huitième anniversaire, il décide de s'engager dans la US NAVY, Henry aspire plus qu'à une vie de labeur, le rôle de fermier ne lui correspond pas. Il est très jeune mais ne manque pas de dynamise, il est simple marin sur un bateau de guerre et il aurait pu le rester longtemps si son acte de bravoure héroïque n'avait pas permis de le faire monter en grade. En effet, alors que la bateau se voyait attaqué, l'un de ses camarades est passé par dessus bord. Sa tête ayant percuté la coque, il est demeuré inconscient, Henry n'a pas hésité un seul instant, il s'est précipité dans l'eau, sous les tirs croisés pour tirer le jeune homme de là. Remercié et décoré, il accède à un poste plus important. Il restera dix ans dans la US Navy, jusqu'à ses vingt huit ans et en sortira maintes fois décoré. Mais voilà, le jeune homme a rencontré l'amour de sa vie. Elle s'appelle Elisabeth, elle est belle, c'est une Texane elle aussi, rencontrée à un bal alors qu'il était en permission. Elisabeth est secrète sur sa vie mais Henry met ça sur le compte de la timidité, tous les deux, ils vont se marier et fonder une famille. C'est ce qui aurait dû se passer dans la théorie…
Oui mais voilà, un beau matin et à peine mariés, Elisabeth disparaît avec toutes les économies de Henry. Il se sent trahit, a un goût amère dans la bouche. Henry est quelqu'un de bon, mais la trahison peut le faire changer de visage, il décide alors de se mettre en quête de la jeune femme, la retrouver et lui demander les yeux dans les yeux si elle l'avait vraiment aimé. Mais Elisabeth qui s'appelle en réalité Mona, cache de lourds secrets. De fil en aiguille, Henry découvre que cette femme n'en est pas à son premier larcin, ni à son premier meurtre et il se retrouve bientôt dans les pattes de la CIA qui est aussi sur les traces de la dite Mona. La CIA aurait pu lui mettre des bâtons dans les roues et tout faire pour qu'il abandonne ses désirs de vengeance… Mais voyez-vous, rien n'est plus tenace qu'un homme blessé et c'est encore mieux si il a un passé militaire. Le deal est simple : La CIA laisse carte blanche à Bravor, en échange, il leur livre Mona. Bravor accepte, mieux vaut avoir les puissants de son côté. Il lui faut deux ans pour enfin la retrouver, elle est méconnaissable et n'a plus rien de la douce jeune femme dont il est tombé amoureux. Mais un deal est un deal, il livre Mona à la CIA. Henry se prépare à retourner à sa petite ville tranquille, il pense même ouvrir un magasin de bricolage, se ranger tout simplement. C'est sans compter sur les Statesmans qui ont entendu les prouesses de l'homme. Ils lui proposent de rentrer à leur service, mais Henry hésite, le Champagne de l'époque lui dit qu'une vie rangée n'est pas faite pour lui. Bravor se rend à l'évidence, il a raison. Il entre alors en compétition avec des jeunes gens pour obtenir la place de Tequila récemment décédé. Plus ingénieux, plus réfléchi, Henry n'a pas de mal à réussir les épreuves et à convaincre Champagne qu'il fera l'affaire.
C'est lui et lui seul qui obtient le poste de Tequila. Il passe vingt longues années aux côtés des Statesman à protéger les populations et à déjouer des complots internationaux. Puis vient une chose inespérée. Champagne tombe gravement malade, il décide d'élire son successeur, son choix se porte sur Henry. Touché d'une telle nomination, Henry accepte. Cela fait dix ans qu'il est devenu Champagne et l'agence ne s'est jamais aussi bien porté que depuis qu'il en est le chef. C'est en parti grâce à lui que les Kingsman peuvent compter sur un soutien sans faille de la part de leurs cousins. Néanmoins, ne croyez pas que c'est un homme niais et sans courage juste parce qu'il est un peu porté sur le whisky. Champagne peut-être sans pitié avec ses ennemis et il compte bien l'être avec les successeurs de Poppy qui s'amusent à faire du nettoyage sur son territoire. ✦ liens à venir
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Walking the streets of old ghost town ⸙ (4/10)
Madame Pince commençait déjà à les fusiller du regard. Il faut dire qu'Elijah n'était pas l'élève le plus discret du monde. Il avait beaucoup de mal à se retenir de rire face à la réaction de la demoiselle. Et il faut dire que personne ne s'en plaindrait – mis à part la bibliothécaire. Il était plutôt rare de le voir si expressif, étant habituellement plus sobre, linéaire et calme, lui donnant cet air de jeune homme hautin qui ne se soucis de rien. Bien que ce soit une réalité : peu de personne attirait son attention. Et pourtant elle y parvenait sans problème. C'était à ne rien y comprendre. Même lorsqu'ils se haïssaient, le regard du garçon était comme attiré vers cette silhouette pourtant peu attrayante. Des pull amples, des cheveux attachés en pagailles, rien de bien sexy en soit. Alors était-ce le fait qu'elle n'avait pas peur de lui, qu'elle ne se laissait nullement influencée par sa personne et qu'elle lui tenait bien souvent tête ? Il y avait peut-être de cela, en effet. Il devait l'avouer, cela l'amusait au moins un petit peu, tout autant que ça l'avait agacé jusqu'à présent. « Ouh, mais excusez-moi chère demoiselle. Je ne voulais pas marcher sur vos plates-bandes ! » Il en oubliait presque de chuchoter. Mais il fit bien plus attention lorsqu'il l'invita à enfreindre les règles de l'école. Très peu – peut-être même personne – ne connaît les lieux où il songe emmener ces jeunes filles et il ne tenait pas à ce que tout le monde le découvre et encore moins qu'ils se fassent chopper. Il fut cependant ravis d'entendre qu'elle était partante pour le suivre aveuglement. Visiblement, il avait définitivement gagné sa confiance.
« Rendez-vous devant notre salle commune peu avant le couvre-feu. Mais soyez discrète, nous ne devons pas nous faire repérer. La subtilité est de sortir peu avant la fin de la ronde des préfets, parce que Rusard arrive toujours avant qu'on ait fini. Alors ne soyez pas en retard ! ». Il était assez confiant. En effet, il était de ceux charger de vérifier que personne ne traîne dans les couloirs ce soir, de ce fait, il serait assez facile pour eux de pouvoir sortir sans être repéré. Leur discussion se conclu alors et vint enfin madame Pince qui se retenait depuis bien trop longtemps d'intervenir. Elijah fut particulièrement amusé par sa tentative de frapper Shoena avec le livre qu'elle avait entre les mains. « Et ça vous fait rire ? » Il tenta de la contre-dire mais ne put éviter de recevoir ce coup fatal qui lui fut finalement destiné. Suite à cela, il se leva, rassemblant ses affaires qui étaient restés à la table qu'il avait quitté quelques instant plus tard pour à son tour quitter les lieux. Il était bientôt temps pour lui de faire son travail. Et c'était loin d'être passionnant. Car il était bien rare que des élèves – mis à part lui et ses amis les plus proches – essaie de resquiller à l'heure du couvre-feu. Sans compter qu'ils étaient seuls pour vérifier le périmètre demandé, car seulement quatre des préfets étaient désignés chaque soir, ce qui était amplement suffisant pour faire le tour du château – en tout cas de ce qui leur était autorisé d'accès.
L'heure du couvre feu approchait et alors il accéléra la cadence, se précipitant jusqu'à leur salle commune – qui par chance était déjà vide – pour rejoindre sa chambre et enfiler des vêtements plus approprié. Il dit alors adieu aux couleurs de sa maison pour mettre un vieux t-shirt blanc recouverts de tâches tenaces et troués par endroit, toutefois bien moins troué que son jean noir en fin de vie. Seule sa veste – elle aussi noire – était en parfaite état. Et alors qu'il enfila des chaussures plus appropriés, il fut de voir Jonathan faire son entrée dans cette chambre qu'ils partageaient avec deux troisièmes années, qui par chance se trouvaient encore dans la salle de bain. « Tu vas à un bal costumé ? » Il semblait avoir retrouvé le sourire, ce qui rassurait Elijah. « Je sais que tu te doute parfaitement de ce que je vais faire. - Et je sais aussi que c'est de la folie de se rendre là-bas seul. - Et c'est pourquoi je serais accompagné de Shoena et de sa copine blonde. - Comme si elle avait d'autres amis... - Oh, et j'oublais : tu viens avec nous. - Pardon ? C'est non. J'peux pas faire ça. - C'est bon, allez. Si elle arrive à me faire confiance, à moi, elle peut très bien te pardonner. - Mais Ismaël ? S'il apprend qu'on est avec elle il va... - On l'emmerde Ismaël. Personne ici me dit ce que je dois faire, ni avec qui je dois le faire. Et tu devrais penser un peu pareil. » Elijah termina de préparer son sac, prenant soin d'apporter avec lui le matériel nécessaire, tel que de l'eau, une lampe torche ou mieux encore : une lampe frontale – choses dont il ignorait l’existence avant de connaître Jonathan. Et il était bon parfois d'agir en parfait moldu. « Alors ? » Il s'était levé, posant son sac sur le dos. « Bon, t'as gagné. Laisse-moi cinq minute le temps de me changer et de préparer mon sac. - Fais vite alors, faudrait pas que Jean-Jacques et Roberto nous voient comme ça. - Le plus sale de nous deux c'est quand même toi... Mais attends, c'est vraiment leur nom ? - Aucune idée. »
Quelques minutes plus tard, tout deux sortirent de la salle commune dans la plus grande des discrétisions. Ces demoiselles les attendaient déjà et les deux amis échangèrent un regard amusés les découvrant. « Eh bah, à côté on ressemble à de parfait pouilleux. » Elijah ne put se retenir de rire. « J'espère qu'elles ne tiennent pas à leurs vêtements. - Moi j'espère surtout qu'elles n'ont pas cours de bonne heure demain matin. » Le roux haussa les épaules. C'était le cadet de ses soucis. Et ils n'eurent à peine le temps de faire un pas que l'une d'elle bondit vers Elijah, ce qui le surprit légèrement. Mais la véritable surprise fut celle de découvrir sa question. Il eut une petite moue de surprise, clignant à plusieurs reprises des yeux comme persuadé de ne pas avoir compris. Il resta toutefois sans voix, regardant alternativement Shoena et Rose. Ce fut alors Jonathan qui brisa la glace en éclatant de rire sans retenu. Elijah se retourna, le fusillant du regard, particulièrement parce qu'il était trop bruyant. Par réflexe, son ami mit sa main devant sa bouche, tâtant sa lèvre inférieur de son index, comme un enfant conscient d'avoir fait une bêtise. Il ne pouvait toutefois se retenir de sourire. Ce qui fut communicatif puisque Elijah partagea cet amusement, se tournant de nouveau vers Rose. « On verra quand vous serez majeur. Et peut-être même qui tu passeras dans mon lit avant ton amie. » Il aimait l’audace de cette jeune fille. Il est vrai que des conquêtes, il en avait eut et sans doute qu'il en aura encore beaucoup vu à la vitesse où il les enchaîne. Mais il se refusait d'avoir une quelconque relation avec une élève n'étant pas minimum en quatrième année, bien qu'il ait déjà enfreint cette règle qu'il s'était imposé. « Pour toute autre question, je te prierais de bien vouloir attendre. Si on reste ici plus longtemps, on risque de gros problèmes. »
Ils se mirent ainsi en route, se faufilant furtivement jusque dans la cours. Il sortit alors une carte qu'il semblait avoir dessiné lui-même. Elle était relativement grande et retraçait chaque recoin du réseau qu'ils s'apprêtaient à emprunter. « On va être obligé de faire un détour si on veut aller là. Je n'ai pas trop confiance en ces tableaux, surtout qu'on est avec des secondes années. - Hm, mieux vaut être hors de la vue de qui que ce soit. - Ouai. Et il faudrait qu'on se décider où aller, histoire de ne pas tourner en rond. - Pourquoi pas leur montrer les catacombes ? - C'est à des kilomètres d'ici et la dernière fois qu'on a voulu y aller le passage était inondé... - Et bah on se mouillera un peu. - J'sais pas, on pourrait aussi... » Les garçons discutèrent encore quelques secondes ainsi en désignant divers points sur la carte avant de finalement se tourner vers les filles. « Bon, Jo' aimerait aller faire un tour vers les catacombes... Ça va, personne n'est phobique des squelettes ? » Ils s'équipèrent ensuite de leurs lampes frontale en s'avançant vers la bouche d'égout au milieu de la cours qu'ils soulevèrent à deux, laissant Rose et Shoena entrer en premier. « Faites attention, si vous tombez de cette hauteur, c'est la mort assurée. »
Elijah fut le dernier à descendre, refermant soigneusement cette plaque d'une lourdeur incroyable. Il avait l'habitude de venir ici et surtout d'emprunter ce passage, alors il avait fin par trouver une mécanique pour ne pas se blesser. Il ne pouvait pas non plus utiliser sa baguette au risque de la faire tomber et de la retrouver en milles morceaux à l'arrivée. Une fois en bas, il vit la mine peu rassurée de Shoena. Il ignorait si c'était la descente qui l'avait impressionné ou si c'était sa peur du noir qui reprenait le dessus. Il se souvenait comme elle s'était agrippé à lui dans la forêt, de cette peur dans son regard. Alors qui retira de sa tête cette lumière éclairant tout sur son passage pour le déposer sur celle de Shoena. « Je crois que t'en as plus besoin que moi. » Il hésita un instant, fouillant finalement dans son sac pour attraper sa lampe torche. Il préférait risquer cette chose tant qu'elle fonctionnait plutôt que sa baguette. Mais aussitôt, Jonathan et lui échangèrent leur dispositif pour une question de praticité ; Elijah avait besoin d'avoir les mains libres pour consulter la carte à tout moment et Jonathan avait un trop mauvais sens de l'orientation pour le faire à sa place.
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