#le Droit De Vivre
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oanthore · 5 months ago
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Penser les valeurs d'hier en lien avec les sciences et les technologies du passé est essentiel, car cela prépare à créer les valeurs de demain, dans un monde scientifiquement et technologiquement différent.
Serge Tisseron - “Un déni peut toujours être remplacé par un autre”
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lasimonee · 1 month ago
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Coup d'gueule d'une RPgiste
J'en ai sincèrement ras le cul de prendre des pincettes quand j'écris et je sais que je ne suis pas la seule dans ce cas, y'en a marre que sous couvert de vouloir bien faire et ne heurter personne bah les joueurs qui n'ont rien demandés, savent jouer et se montraient déjà respectueux avant que cette dictature ne soit mise en place en pâtissent. Non, parce que c'est le cas, ça fait des mois pour pas parler d'années que je mords ma langue et que je retiens mon coup de gueule parce que ça me pèse et que je sais qu'en allant contre la mêlée je risque de m'en prendre plein la gueule. Mais STOP, trop c'est trop. La communauté rpgique francophone est devenue toxique sous couvert de vouloir faire plaisir à tout le monde, de contenter absolument toutes les âmes qui vivent et écrivent du coup. SAUF QUE putain, à la base c'est un hobby, une passion, un truc dans lequel tu retrouves des amis pour passer un bon moment, faire vivre des aventures à ton ou tes personnages dans des univers que toi même tu connaitras jamais ET MAINTENANT, non, c'est plus possible, parce qu'on a tout un tas de putains de barrières. Genre, j'suis désolée mais j'emprunte des traits, pas tout un packaging et y'a pas de politique derrière le choix que je fais, juste j'me suis réveillée un matin en ayant envie de jouer untel et d'en faire un Français dans un coin perdu de l'irlande POINT Et ça m'saoule parce que même en essayant d'y mettre les formes j'vais passer pour un boomer réactionnaire alors que tout ce que je demande c'est que même cette putain de POLICE de forumactif auto proclamée foute la paix aux forums qui ont envie de rétablir la fa��on de jouer qu'on avait à l'ancienne. Genre foutre des TW, c'est pas une mauvais chose du tout, un truc que le progrès nous a ramener et c'est sympa et essentiel hein, mais quand tu débarque sur un city sombre ou un forum de genre qui aborde des sujets sensibles pour personnes averties faut pas venir chouiner au sujet des TW Genre c'est simple, maintenant même les forum du genre violent et sombre NE LE SONT PLUS DU TOUT, parce qu'on te regarde de haut dès que tu décide de jouer tel ou tel personnage que la dictature imposée rpgiquement maintenant estime trop LIMITE-LIMITE. On te juge même dans ton hobby, on t'impose des règles qui ne sont pas forcément nécessaires, c'est stupide, c'est de la merde, j'déconne même pas, je ne me retrouve plus dans cette communauté auprès de laquelle je m'amusais tant avant que le covid débarque, parce qu'en vrai c'est réellement parti en couilles à cette période là. Putain y'a pas si longtemps on pouvait jouer ce qu'on voulait, comme on le voulait, débarquer sur un city avec un personnage réellement nuancé et s'y intégrer et le développer convenablement. J'me suis pris un vent, une fois, parce que j'avais crée un petit gars qui avait des soucis et déprimait, on m'est tombée dessus en me prévenant que si je ne mettais pas un peu de positif dans sa fiche de présentation on ne me validerait pas. ALED. ALLO ? On en est là ? Que certains forums n'acceptent pas ce genre de personnages et le précisent désormais dans leurs règlement, bon beh c'est écrit dessus comme le fromage dont j'ai oublié de nom, baaaaah ok, j'ai pas à me plaindre, mais là c'était aucunement le cas et du coup mêem qu'est-ce que ça veut dire, que malgré tout les créateurs/joueurs ils ont un droit de regard sur des créations qui m'appartiennent ? Mon imagination subit les limites qu'on m'impose en tout temps et partout, nan mais PARDON ? Je sais que mon message va pas passer, que je risque de me manger une shitstorm, mais si dans le lot de personne qui s'arrête pour lire ceci y'en a qui sont d'accord avec moi et qui, quelque part, aimeraient retrouver ce bon vieux goût d'antant, d'éclectisme et de liberté dans leur façon d'aborder leurs personnages et leurs créations, hésitez pas à tomber dans mes messages privés, surement qu'on se trouvera un petit quelque chose entre "gens à l'ancienne" pour s'amuser sans se faire emmerder par tout ça. Prenez soin d'vous.
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janus-cadet · 9 days ago
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Ce fut serré, mais le sondage a malgré tout fait son choix ! Voici donc Constance, la fille de la boulangère (et n'est-ce pas un peu bizarre, en soit, de l'appeler ainsi après l'évolution drastique de son personnage ?) en tant que Cinq d'Epées !
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Constance est un perso que je trouve fascinant, et c'était trop cool de la dessiner, en glissant pleins de petits détails dans l'arrière plan ! Mais, dites donc voir, pourquoi donc ce choix de carte ?
Magnifique transition, je sais. Passons ensemble sous la coupure.
Si le Cinq d'Epées apparaît dans votre tirage, sapristi ! Vous vous êtes sans doute disputé avec quelqu'un de proche, récemment. Ou alors, vous avez eu un désaccord ; toujours est-il que vous vous êtes éloignés, et que vous gardez, en vous, une sacré dose de ressentiment, de colère et de détresse face à toute la situation. Ces émotions là vous rendent amère, plus froide que vous ne l'étiez autrefois, et vous empêchent de penser à autres choses. Vous voulez absolument gagner face à cette personne, à tout prix, c'est une obsession ; mais vous savez très bien que vous avez tout autant à perdre, si ce n'est plus, que votre opposant. Ce combat obsessif que vous menez a coûté la confiance que vous aviez en autrui, et qu'autrui avait en vous ; ça vous a isolée, et vous avez été la première à faire les pas dans cette direction. Vous devez vous demander si votre point de vue, vos convictions, valent vraiment tout ce que vous sacrifiez pour les atteindre, ou si vous ne pourriez pas, peut-être, trouver un compromis. Plus que cela, demandez vous pourquoi vous nourrissez ces convictions. Y croyez vous vraiment, ou n'écoutez vous que votre ressentiment ? Avez vous oublié que, fut un temps, il y a des années de cela, vous étiez une jeune femme bien différente, qui rêvait encore de sauver le monde sans briser des destins ?
Vous devez impérativement vous remettre en question, dit le Cinq d'Epées ; parce que le chemin que vous empruntez vous mène droit vers l'échec. Malgré tout vos efforts, vous risquez fortement d'être vaincue, encore, et encore, et encore.
Ou peut-être, comme vous le dit la carte renversée, peut-être que vous savez déjà que vous allez perdre. Vous vous dites peut-être même déjà que vous avez déjà perdu, encore et encore : c'est là, d'ailleurs, que vient votre ressentiment. Vous auriez pu, par exemple, vivre une vie normale, rangée, heureuse ; parfois, vous y pensez peut-être, au bureau que vous avez dans cette brigade futuriste, et vous peinez à reconnaître la jeune femme qui s'était présentée, un jour, sourire aux lèvres, devant le bureau de Simon Lopez. Vous réalisez que vous n'avez cesser de pousser, pousser, toujours plus loin de celle que vous étiez- et que le résultat, l'aboutissement, ne vous laisse qu'un sentiment de vide et de colère inassouvie. La personne contre qui vous vous battez ressent peut-être la même chose ; lorsque vous vous tournez tout deux vers le passé, vous en ressortez avec la terrible impression de vous être perdus, tout les deux, dans le combat que vous menez. Cette situation ne pourra pas connaître de résolution tant que vous n'aurez pas appris à pardonner, et à oublier ; tant que vous vous battrez, tant que vous fuirez, le conflit s'imposera à vous, et ne fera qu'empirer.
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En tout est pour tout, le Cinq d'Epées est une carte de conflit ; un conflit qui déchire deux personnes qui auraient pu être proches, mais qui se trouvent incapable de s'entendre. C'est un conflit trempé de tristesse et d'amertume- et ça correspond très bien, selon moi, à la relation qui pourrit entre Constance et Renard dans la série et le film.
Voilà tout, donc, pour aujourd'hui ! Constance rejoint donc notre liste de cartes du VDF. Mais qui sera la prochaine ?
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coovieilledentelle · 2 months ago
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Dans le célèbre langage des fleurs, le mimosa est chargé de symboles : la sensibilité, la tendresse, la certitude, l'élégance. Mais, le plus répandu est celui de l'amour secret .
De toute évidence, les abondants pompons dorés du mimosa lui valent d’être comparé au soleil. Un parallèle plutôt flatteur pour cet arbre, dont on dit qu’il serait un symbole d’affection, de chaleur humaine et de joie. Offrir du mimosa est donc une attention remplie de tendresse. C’est un signe d’amitié et de profonde estime envers son destinataire. Gorgé de lumière, le mimosa se prête également très bien aux gestes de réconfort adressés à quelqu’un qui traverserait une période difficile.
Lorsqu’il apparaît dans les rêves, le mimosa est porteur d’un message rassurant. Il vient dire au songeur “Tout va bien, tu es en sécurité”.
En Italie, le mimosa est traditionnellement offert à la gent féminine le 8 mars, à l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes.
Mais par-dessus tout, le mimosa est un symbole d’ouverture. Il est particulièrement conseillé aux personnes introverties ou timides, qui ont tendance à se replier sur elles-mêmes et peinent à nouer des liens avec les autres.
Le mimosa est préconisé pour amener de l’harmonie dans les relations. Lorsqu’une personne éprouve de la difficulté à s’ouvrir aux autres, elle peut parfois adopter une attitude hostile, comme une carapace qui la protègerait d’un éventuel rejet tout en le provoquant. Ce cercle vicieux entraîne un isolement qui peut être difficile à vivre, et celui ou celle qui le subit n’a souvent qu’une envie : s’en défaire.Grâce à son aura solaire, le mimosa aide à voir le monde d’un autre œil, à retrouver la joie de vivre et le mordant qui nous fait parfois défaut. Pour transformer les plus gros ronchons en joyeux lurons, il faudra sans doute plus que quelques branches de mimosa, mais c’est un premier pas ! … Voilà la petite histoire
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ernestinee · 1 month ago
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Des stylos gel mignons, qui glissent bien, avec lesquels les enfants prennent plaisir à écrire, interdits dans certaines écoles.
Alors les arguments sont pareils que pour les cartes pokémon, les élastiques ainsi que tout ce qui plaît ou a plu aux enfants. Ça crée des conflits, des vols, des écarts sociaux entre ceux qui en ont et ceux qui n'en n'ont pas.
Alors dans les écoles c'est toujours la même rengaine, on interdit plutôt que d'éduquer. On sanctionne plutôt que de leur apprendre à partager et à ne pas discriminer, notamment sur base des possessions matérielles. Comme si l'école n'était pas leur premier modèle de vie en société, comme s'ils n'allaient jamais être face à des inégalités.
Non, on interdit, on sanctionne, et après on s'étonne d'avoir des connards qui votent à droite parce qu'ils n'ont jamais appris à vivre ensemble.
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pompadourpink · 2 months ago
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Children's story - Corduroy
Corduroy is a bear who once lived in the toy department of a big store. Day after day he waited with all the other animals and dolls for someone to come along and take him home. The store was always filled with shoppers buying all sorts of things, but no one ever seemed to want a small bear in green overalls. Then one morning a little girl stopped and looked straight into Corduroy's bright eyes. “Oh, Mommy!” she said. “Look! There's the very bear I've always wanted.” “Not today, dear.” Her mother sighed. “I've spent too much already. Besides, he doesn't look new. He's lost the button to one of his shoulder straps.” Corduroy watched them sadly as they walked away. “I didn't know I'd lost a button,” he said to himself. “Tonight I'll go and see if I can find it.”
Corduroy est un ours qui vivait autrefois dans le rayon jouets d'un grand magasin. Jour après jour, il attendait, avec tous les autres animaux et poupées, que quelqu'un vienne le chercher pour le ramener chez lui. Le magasin était toujours rempli de clients qui achetaient toutes sortes de choses, mais personne ne semblait vouloir d'un petit ours en salopette verte. Un matin, une petite fille s'arrêta et regarda droit dans les yeux brillants de Corduroy. « Oh, maman ! dit-elle. « Oh, maman, dit-elle, regarde ! Voilà l'ours que j'ai toujours voulu ! « Pas aujourd'hui, ma chérie ». Sa mère soupire. « J'ai déjà dépensé trop d'argent. En plus, il n'a pas l'air neuf. Il a perdu le bouton d'une de ses bretelles ». Corduroy les regarda tristement s'éloigner. « Je ne savais pas que j'avais perdu un bouton », se dit-il. « Ce soir, j'irai voir si je peux le retrouver. »
Late that evening, when all the shoppers had gone and the doors were shut and locked, Corduroy climbed carefully down from his shelf and began searching everywhere on the floor for his lost button. Suddenly he felt the floor moving under him! Quite by accident he had stepped onto an escalator – and up he went! “Could this be a mountain?” he wondered. “I think I've always wanted to climb a mountain.” He stepped off the escalator as it reached the next floor, and there, before his eyes, was a most amazing sight – tables and chairs and lamps and sofas, and rows and rows of beds. “This must be a palace!” Corduroy gasped. “I guess I've always wanted to live in a palace.” He wandered around admiring the furniture. “This must be a bed,” he said. “I've always wanted to sleep in a bed.”
Tard dans la soirée, lorsque tous les clients furent partis et que les portes furent fermées et verrouillées, Corduroy descendit prudemment de son étagère et commença à inspecter le sol pour trouver son bouton perdu. Soudain, il sentit le sol bouger sous lui ! Tout à fait par hasard, il était monté sur un escalator - et il montait ! « Est-ce que c'est une montagne ? se demande-t-il. « Je crois que j'ai toujours voulu escalader une montagne ». Il descendit de l'escalator au moment où celui-ci atteignait l'étage suivant, des tables, des chaises, des lampes, des canapés et des rangées de lits. « C'est sûrement un palais ! s'exclame Corduroy. « Je crois que j'ai toujours voulu vivre dans un palais. » Il se promène en admirant les meubles. « C'est sûrement un lit », dit-il. « J'ai toujours voulu dormir dans un lit. »
And up he crawled onto a large, thick mattress. All at once he saw something small and round. “Why, here's my button!” he cried. And he tried to pick it up. But, like all the other buttons on the mattress, it was tied down tight. He yanked and pulled with both paws until POP! Off came the button – and off the mattress Corduroy toppled, bang into a tall floor lamp. Over it fell with a crash! Corduroy didn't know it, but there was someone else awake in the store. The night watchman was going his rounds on the floor above. When he heard the crash he came dashing down the escalator. “Now who in the world did that!” he exclaimed. “Somebody must be hiding around here!” He flashed his light under and over sofas and beds until he came to the biggest bed of all. And there he saw two fuzzy brown ears sticking up from under the cover. “Hello!” he said. “How did you get upstairs?”
Il s'est mis à ramper sur un grand et épais matelas. Tout à coup, il vit quelque chose de petit et de rond. Il s'écria : « Voilà mon bouton ! » Et il essaya de le ramasser. Mais comme tous les autres boutons du matelas, il était bien attaché. Il tira avec ses deux pattes jusqu'à ce que POP ! le bouton se détache et Corduroy tomba du matelas, heurtant de plein fouet un grand lampadaire. Celui-ci tomba avec fracas ! Corduroy ne le savait pas, mais il y avait quelqu'un d'autre d'éveillé dans le magasin. magasin. Le veilleur de nuit faisait sa ronde à l'étage du dessus. Lorsqu'il entendit le fracas, il descendit précipitamment l'escalator. « Qui diable a fait ça ? s'exclama-t-il. « Il doit y avoir quelqu'un de caché dans les environs ! » Il passa sa lampe en dessous et au-dessus des canapés et des lits jusqu'à ce qu'il arrive au plus grand des lits. Et là, il vit deux oreilles brunes et duveteuses qui sortaient de la couverture. « Bonjour ! » lui dit-il. « Comment est-ce que tu es arrivé à l'étage ? »
The watchman tucked Corduroy under his arm and carried him down the escalator and set him on the shelf in the toy department with the other animals and dolls. Corduroy was just waking up when the first customers came into the store in the morning. And there, looking at him with a wide, warm smile, was the same little girl he'd seen only the day before. “I'm Lisa,” she said, “and you're going to be my very own bear. Last night I counted what I've saved in my piggy bank and my mother said I could bring you home.” “Shall I put him in a box for you?” the saleslady asked. “Oh, no thank you,” Lisa answered.
Le gardien a mis Corduroy sous son bras et a pris l'escalator pour le ramener à l'étage en dessous et l'installa sur l'étagère du rayon jouets avec les autres animaux et poupées. Corduroy se réveillait à peine lorsque les premiers clients entrèrent dans le magasin le matin. magasin le matin. Et là, le regardant avec un large et chaleureux sourire, se trouvait la même petite fille qu'il avait vue la veille. « Je m'appelle Lisa, dit-elle, et tu vas devenir mon ours rien qu'à moi. Hier soir, j'ai compté ce que j'avais économisé. Hier soir, j'ai compté ce que j'avais économisé dans ma tirelire et ma mère m'a dit que je pouvais te ramener à la maison. « Est-ce que je vous l'emballe ? » demande la vendeuse. « Oh, non merci », répond Lisa. And she carried Corduroy home in her arms. She ran all the way up four flights of stairs, into her family's apartment, and straight to her own room. Corduroy blinked. There was a chair and a chest of drawers, and alongside a girl-size bed stood a little bed just the right size for him. The room was small, nothing like that enormous palace in the department store. “This must be home,” he said. “I know I've always wanted a home!” Lisa sat down with Corduroy on her lap and began to sew a button on his overalls. “I like you the way you are,” she said, “but you'll be more comfortable with your shoulder strap fastened.” “You must be a friend,” said Corduroy. “I've always wanted a friend.” “Me too!” said Lisa, and gave him a big hug.
Et elle a ramené Corduroy chez elle en le tenant dans ses bras. Elle monta en courant les quatre étages, entra dans l'appartement de sa famille et se rendit directement dans sa propre chambre. Corduroy cligna des yeux. Il y avait une chaise et une commode, et à côté d'un lit de petite fille se trouvait un petit lit de la bonne taille pour lui. La chambre était petite, rien à voir avec l'énorme palais du grand magasin. « C'est sûrement une maison », dit-il. « Je sais que j'ai toujours voulu avoir une maison ! Lisa s'assit et mit Corduroy sur ses genoux et commença à coudre un bouton sur sa salopette. « Je t'aime comme tu es, dit-elle, mais tu seras plus à l'aise avec ta bretelle attachée. « Tu es sûrement mon amie », dit Corduroy. « J'ai toujours voulu avoir un ami. » « Moi aussi », dit Lisa, et elle le serra dans ses bras.
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christian-dubuis-santini · 14 days ago
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C'est ainsi que je me suis retrouvé parmi les rapetisseurs de monde, les postmodernes, les transhumanistes, les mondialistes, les globalistes, les journalistes, les technologistes, les algorithmés du bulbe, les scientistes, les socialistes, les progressistes, les transexualistes, les climatistes, les covidiotistes, les antiracistes, les antifascistes, les attestationistes, les confinistes, les vaccinistes, les enfermistes, les cul-erre-codistes, les maquinnesaitistes, les phoquechèqueuristes… je n'exigeais pas grand-chose et j'étais prêt à en trouver encore moins. Des barbares depuis des temps immémoriaux sont devenus encore plus barbares par la diligence, la science et même la religion, profondément inaccessibles à toute transcendance, abîmés jusqu'à la moelle à tous les degrés de l'exagération et de l'insuffisance, ternes et inharmonieux, je ne connais pas de peuple plus divisé en lui-même que les occidentés, vous y voyez des ingénieurs, des avocats, des artisans, des chefs d’entreprise, des financiers, des docteurs, des influenceurs, des journalistes, des écrivains, des maîtres et des esclaves, des jeunes et des anciens, mais pas d'hommes - n'est-ce pas comme un champ de bataille où les mains et les bras et tous les autres membres sont démembrés en tas, tandis que le sang de la vie s'écoule dans le sable ?
Chacun a droit à son écran, direz-vous, et je le dis aussi. Seulement, chacun doit être ce qu'il est, avec de l'amour, il doit être ce qu'il est, car c'est ainsi qu'un esprit vit dans ses actes, et s'il est poussé dans une profession où l'esprit ne peut vivre, qu'il la repousse avec mépris et qu'il apprenne à lire, à écrire, à dessiner, à composer, à labourer la terre, à pêcher, à chasser, à se battre ! Mais les occidentés se contentent du néant de la vie, et c'est pour cela qu'il y a tant de travail bâclé chez eux et si peu d'activités libres et agréables. Pourtant, cela pourrait être le travail de l'homme, s'il n'était pas si dépourvu de sentiment pour toute la beauté de la vie, si seulement la malédiction de la pseudo-culture ne pesait pas partout sur ce peuple éclaté.
Les vertus des anciens ne sont que des vices éclatants, comme l'a dit une mauvaise langue, je ne sais plus laquelle, et pourtant leurs vices eux-mêmes sont des vertus, car ils ne sont pas des vices ; un reste de l'esprit d'enfance et de beauté vivait encore parmi eux, et de tout ce qu'ils faisaient, rien n'était fait sans âme. Mais les vertus des occidentés sont un mal éclatant, rien de plus que la peur de l'homme, de la femme, de l’enfant, des efforts serviles arrachés au cœur stérile, et qui laissent sans esprit l'homme qui, gâté par la sainte harmonie des natures plus nobles, ne peut supporter les sursauts de la discorde qui crie dans tout l'ordre mort de ces hommes.
Je vous le dis: il n'y a rien de saint qui ne soit profané, qui ne soit dégradé dans ce peuple qui a perdu le rapport à son origine, même les sauvages, ces barbares calculateurs les poursuivent comme on applique un calcul, et il ne peut en être autrement, car là où un vice de l'homme s’est une fois formé, là il sert son but, là il cherche son profit, il est jaloux de ses profits, il n'est plus emporté par l'enthousiasme, à Dieu ne plaise ! et quand il fête, quand il aime, quand il prie, et même quand arrive la belle fête du printemps, quand le temps de la réconciliation du monde dissout toutes les inquiétudes et fait naître l'innocence dans un cœur coupable, lorsque, enivré par les chauds rayons du soleil, l'esclave oublie joyeusement ses chaînes et, apaisé par l'air divinement vivifié, les ennemis de l'homme sont aussi paisibles que les hommes, paisibles comme des enfants - quand même les chenilles poussent des ailes et les abeilles pullulent, l’occidenté,
l’occidenté, lui, reste confiné à sa profession, à son divertissement. Il ne se préoccupe guère du temps qu'il fait !
Mais c'est toi qui jugeras, sainte nature ! Car s'ils étaient humbles, ces hommes, s’ils ne se faisaient pas la loi pour le pire d'entre eux !
s'ils ne dénigraient pas ce qu'ils ne sont pas, et pourtant qu'ils dénigrent, s'ils ne se moquaient pas de Dieu, des dieux anciens!
Ou bien n'est-ce pas le divin que vous, occidentés, raillez et appelez sans âme ? L'air que vous buvez n'est-il pas l'air que vous buvez ? ne vaut-il pas mieux que vos bavardages ? que vous tous nourrissez, hommes astucieux ? Les sources de la terre et la rosée du matin rafraîchissent votre bosquet ; pourriez-vous faire cela ? Vous pouvez tuer, mais vous ne pouvez pas donner la vie, non pas sans l'amour, qui ne vient pas de toi, que tu n'as pas inventé. Tu t'inquiètes, tu fais des projets pour échapper au destin, et tu ne comprends pas que ton enfantine technique n'est d'aucun secours ; pendant ce temps, les étoiles se meuvent inoffensives au-dessus de toi.
Vous dégradez, vous détruisez la nature patiente là où elle vous tolère, et pourtant elle vit dans une jeunesse infinie, et tu ne peux pas bannir son automne et son printemps, vous ne gâtez pas son éther.
Ô elle doit être divine, car tu peux détruire et pourtant elle ne vieillit pas, elle ne vieillit pas, et malgré toi le beau reste beau.
C'est aussi un déchirement quand on voit vos artistes, et tous ceux qui respectent encore le génie, qui aiment le beau et le cultivent. Les bonnes âmes ! Elles vivent dans le monde comme des étrangers dans leur propre maison, elles sont comme le patient et souffrant Ulysse lorsqu'il s'asseyait à sa porte déguisé en mendiant, tandis que les prétendants éhontés clamaient dans la salle et demandaient : Qui nous a apporté le vagabond ?
Pleines d'amour, d'esprit et d'espoir, ses jeunes Muses grandissent pour le peuple disparate des occidentés ; on les revoit sept ans plus tard et ils errent comme des ombres, silencieux et froids. Ils sont comme la terre que l'ennemi sème avec du sel pour qu'il ne pousse jamais un brin d'herbe ; et quand ils parlent, malheur à celui qui les comprend !
Qui ne voit, dans leur titanesque projet comme dans leurs technologies protéiformes, la bataille, le combat désespéré que leur esprit troublé livre aux barbares contre les barbares auxquels il a affaire.
Tout ce qui existe sur terre est imparfait - c'est la vieille chanson des occidentés. Si quelqu'un pouvait dire une fois à ces âmes perdues que tout n'est si imparfait chez eux parce qu'ils ne laissent rien de pur sans être corrompu, rien de saint n'est épargné par leurs mains grossières et leur esprit grossier, que rien ne prospère parmi eux parce qu'ils ne respectent pas la racine, le germe de l'épanouissement, l’origine divine, que la vie parmi eux est rassise, lourde de soucis et pleine de discordes froides et muettes, parce qu'ils méprisent le génie de l'homme qui apporte la force et la noblesse dans les actes humains, la sérénité dans la souffrance, l'amour et la fraternité dans les villes et les maisons..
C'est aussi pour cela qu'ils ont si peur de la mort et qu'ils subissent, au nom de leur vie en coquille, toutes les disgrâces, parce qu'ils ne connaissent rien de plus élevé que l'œuvre bâclée qu'ils se sont donnée.
Là où un peuple aime le beau, où il honore le génie de ses artistes, là où l'esprit commun flotte comme l'air de la vie, là l'esprit timide s'ouvre, la suffisance se dissout, et tous les cœurs sont pieux et grands, et l'enthousiasme donne naissance à des héros. La patrie de tous les hommes est dans la langue, et l'étranger lui-même peut s'y attarder avec plaisir. Mais là où la nature divine et ses artistes sont ainsi insultés, là le plus beau plaisir de la vie est écarté et toute autre étoile est meilleure que la terre. Là, les hommes deviennent de plus en plus stériles, de plus en plus désolés, de plus en plus dégénérés alors qu'ils sont tous nés beaux ; la servilité s'accroît, et avec elle l'impudence, l'ivresse s'accroît avec les soucis, et l'abondance, la faim et la crainte de la famine ; la bénédiction de chaque année devient une malédiction, et tous les dieux s'enfuient.
Et malheur à l'étranger qui erre par amour et arrive chez un tel peuple, et malheur trois fois à celui qui arrive chez un tel peuple comme je l'ai fait, poussé par une grande joie comme je l'ai fait, ou poussé par un grand chagrin, cela revient au même ! Assez ! tu me connais, lecteur, et tu le prendras bien, car j'ai parlé en ton nom.
Je parlais aussi pour tous ceux qui sont dans ce pays et qui souffrent comme j'ai souffert.
(Hymne à Friedrich, XXIe siècle)
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nemosisworld · 6 months ago
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Comme un dialogue amoureux, le cœur ne fait qu’une seule bouche Toutes les choses au hasard, tous les mots dits sans y penser, Les sentiments à la dérive, les hommes tournent dans la ville, Le regard, la parole et le fait que je t’aime, Tout est en mouvement, il suffit d’avancer pour vivre, D’aller droit devant soi vers tout ce que l’on aime, J’allais vers toi, j’allais sans fin vers la lumière, Si tu souris, c’est pour mieux m’envahir, Les rayons de tes bras entrouvraient le brouillard.
Paul Eluard
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oanthore · 1 month ago
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Ce à quoi nous assistons avec la désinformation complotiste est d’une nature très différente de l’usage raisonné du mensonge en politique. Le mépris assumé pour les faits et la démagogie qui est en train de métastaser l’ensemble de l’échiquier politique sont une catastrophe pour notre civilisation démocratique.
Rudy Reischstadt - "La pensée magique a fait un retour tonitruant dans nos sociétés démocratiques"
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girafeduvexin · 9 months ago
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Vraiment heureuse d'avoir pu vivre la guerre civile Copé/Fillon en 2012, Bygmalion en 2014, les primaires de la droite en 2016, François "rend l'argent" Fillon en 2017, et aujourd'hui, 12 juin 2024, la fin de Ciotti. Merci la droite pour ces grands moments.
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rollinginthedeep-swan · 1 year ago
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RPG et anxiété.
Tw : Anxiété généralisée.
Encore un sujet qui va me stresser une fois publié, dont j'avais envie de parler sans trop savoir comment et, ce soir, je tente le coup. Parlons "relations" sur les réseaux/rpg et anxiété ! C'est quelque chose dont je souffre et contre lequel je lutte à peu-près chaque jour. Les pensées intrusives sont terribles, la crainte qu'un quiproquo débile plus encore suite à des évènements passés qui, j'en suis certaine, auraient pu être évités. Je peux me prendre la tête et réfléchir trop vite, trop longuement, sur des petits riens un peu insignifiants tout en craignant que certaines situations passées se reproduisent. Quand c'est comme ça, j'ai tendance à serrer les dents, attendre que mes craintes soient indirectement contredites et respirer de soulagement après en silence, et hop ni vu ni connu ! (Appelez moi la houdini du stress. Bon par contre, les maux de ventre sont un peu moins fun. ) L'objectif n'étant pas de me flageller mais ne pas empiéter sur l'espace des autres. Oui, c'est contraignant, mais mes troubles ne doivent jamais empiéter sur le loisir des autres. C'est mon problème, je suis suivie pour ça.
Néanmoins, tout ce que je peux dire c'est qu'il est plus qu'essentiel de :
Tenter de communiquer en cas de doutes. Et surtout, ne pas faire de suppositions qu'on valide par le biais de nos propres certitudes et rejeter une personne sous prétexte qu'elle n'a pas su communiquer une information selon vos propres critères. (on le rappel, les troubles dys, la neuAtypie, la fatigue etc... existent.) En discutant, on se rend très souvent compte qu'en réalité, ce n'est pas du tout ce qu'on pensait. On s'épargne ainsi un drame inutile - a-t-on vraiment le temps pour ça, btw ? (NON.) - et l’opportunité de, peut-être, renforcer des liens entre Rpgistes tout en mettant à la porte des comportements problématiques qu'on a trop longtemps laissé passer par le passé. (En évitant de mettre de côté des personnes sous prétexte qu'elles sont un peu différentes, au passage.)
Ne pas oublier qu'on ne sait pas tous forcément parler de nos doutes ou qu'on a pas toujours envie de le faire par crainte d'agacer l'autre, qu'on est des êtres humains avec une vie en dehors du RPG, de tumblr, de discord, et qu'on est désormais nombreux-ses à être plus qu'adulte avec une vie IRL franchement déjà assez compliquée. (Et puis bon, les étudiant-es et/ou les plus jeunes aussi ont le droit d'être crevé-e-s, et on connaît ni la vie des autres, ni leurs contraintes ou l'état de leur santé.)
On va pas le répéter - si - mais la bienveillance, vraiment, c'est un banger. À consommer sans modérations.
Pour ma part, je ne peux que conseiller aux personnes de venir me parler si quelque chose a été mal perçu. Et sentir sans avoir de confirmations, tourner en rond sur 'ce truc qui ne va pas mais impossible de savoir quoi', c'est quelque chose de profondément déstabilisant ?
En ce qui concerne la gestion de ma propre anxiété, je ne sais toujours pas totalement comment vraiment vivre avec, mais je le fais au quotidien et je suppose que je chaque jour, je me débrouille un peu mieux. C'est pas mes seules contraintes, néanmoins, les autres sont bien plus privées.
Bref, je sais pas trop si ce poste est bien utile ou sera bien perçu mais voilà.
Des bises sur vous,
Swan qui ne sait pas si elle va laisser ce poste ?
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inemi · 21 days ago
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IL SUFFIT D'AVANCER ... !
youtube
Ta voix, tes yeux, tes mains, tes lèvres,
Notre silence, nos paroles,
La lumière qui disparaît, la lumière qui revient,
Un seul sourire pour nous deux,
Du besoin de savoir, j'ai vu comment la nuit créait le jour sans que nous changions d'apparence,
Oh, bien-aimé de tous et bien-aimé d'un seul,
En silence ta bouche promettait d'être heureuse,
De loin en loin, ni haine,
De près en proche, toujours l'amour,
Par les caresses nous échappons à notre enfance,
Je vois de mieux en mieux la forme humaine,
Comme un dialogue amoureux, le cœur ne fait que parler.
Tout est accidentel, tous les mots prononcés sans réfléchir,
Les sentiments dérivent, les hommes tournent dans la ville,
Le regard, le mot et le fait que je t'aime,
Tout est en mouvement, il suffit d'avancer pour vivre,
Aller droit vers tout ce que tu aimes,
J'ai marché vers toi, j'ai marché sans fin vers la lumière,
Quand tu souris c'est pour mieux me pénétrer,
les rayons de tes bras disperseraient la brume.
Paul Éluard
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e642 · 1 month ago
Note
Bah je t'en supplie raconte nous le septum maintenant 🍿
Bon d'accord, j'en fais des caisses alors que c'est des stories time naze jpp merci 😌
Le septum je l'ai fait à 17 ans dans le non consentement total de mes parents. Ils ne voulaient pas c'était dit, c'était clair, c'était explicite. J'ai de la famille à Bordeaux. Pendant 1 séjour je me suis dit que ce serait une bonne idée d'aller me faire piercer et de le rentrer dans mon nez jusqu'à mes 18 ans et le paf le sortir. Donc j'y suis allée, je me suis fait piercer, c'était le top. Cependant, j'avais bcp saigné et j'avais pas vu que ça avait taché mon t shirt blanc, donc déjà ça avait posé quelques questions le jour j. Mais donc personne n'avait vraiment piercé (lol) e secret. Je vis ma vie, je le sortais de mon pif que quand yavait pas mes parents. J'excellais, j'allais pas tarder à avoir 18 ans, et genre un mois avant, on est en repas de famille (famille bien de droite en plus bien ce qu'on aime pas trop trop) et là, j'ai le pif qui me gratte. J'éternue. Je continue de vivre mais pas les autres car en effet, cet éternuement a fait descendre directement mon piercing à la vue de tous et toutes (éternuement 7/8 échelle de Richter jpense). Jme suis fait incendier, j'ai mis quelques minutes à réaliser que tous ces mois d'efforts pour un éternuement mal contrôlé 😭
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lisaalmeida · 10 months ago
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Que recherchons-nous à travers nos relations, rencontres et échanges ?
Quel est le sentiment que nous désirons ardemment éprouver, tout au long de notre vie ?
L’amour est évidemment la réponse à toutes ces questions.
L’amour est ainsi le principe et la source de toute vie, sans quoi rien ne pourrait exister ni subsister.
L’amour est la force qui fait tourner les mondes, l’énergie qui maintient la cohésion des atomes comme des planètes.
L’amour est au cœur des mystères que nous sommes venus appréhender et expérimenter sur cette Terre.
Chacun ressent et pressent, même confusément, que l’amour vrai est la clé et la solution de tous nos maux, individuels et surtout collectifs, économiques, politiques et sociaux.
Mais l’amour véritable n’est pas acquis d’emblée : il est à rechercher, ressentir, découvrir.
Il n’est ni instinct de possession, ni dépendance fusionnelle, ni suivisme grégaire, car il émane de soi.
Il est le résultat de l’alchimie intérieure, le fruit de la reconnexion à l’être essentiel et à la puissance de vie.
L’amour est la joie d’être, le signe d’une conscience éveillée et lumineuse, un présent accordé, offert et partagé.
L’amour est ce que nous sommes éternellement, en dépit de nos souffrances, illusions et désillusions et parfois grâce à elles ; il est notre état naturel, notre aspiration à une vie riche, fascinante, magique, inattendue, utile et initiatique.
L’amour est partout, omniprésent et protéiforme ; il se pare de toutes les couleurs et de toutes les fréquences, et se manifeste de multiples manières : amour du compagnon ou de la compagne, des amis, des enfants, des animaux, de la nature, de la beauté, des œuvres de l’esprit…
Mais c’est la relation amoureuse qui se révèle son territoire de prédilection, car alors le sentiment se mêle au désir, à la sensualité et à l’attraction des corps, lieu de toutes les convoitises, de tous les délires et de toutes les extases.
Ce que l’on nomme amour est rarement digne de ce nom : l’amour qui blesse et qui déchire, qui conquiert et qui rompt, qui domine et qui soumet, qui idolâtre et qui méprise, n’est qu’une caricature égotique, une maladie infantile du cœur, un balbutiement du sentiment.
L’amour qui prend fin n’a jamais existé ; l’amour qui se meut en haine ou indifférence, n’était qu’illusion, transfert, projection, malentendu.
Les relations évoluent et donnent souvent lieu à séparation, éloignement, divergence. Mais comment peut-on rejeter, nier ou diaboliser l’être que l’on a tenu tendrement dans ses bras, si ce n’est précisément à cause de la douleur créée par son absence ?
L’amour véritable est patient, sincère, honnête et compréhensif ; il se nomme bienveillance, bonté, compassion, douceur, tendresse, sollicitude ou empathie.
De la nature de l’amitié, il dure la vie entière, car il n’est pas fondé sur l’image ou les apparences, mais sur les liens invisibles et mystérieux qui unissent les âmes et les cœurs.
Aussi le chemin de l’amour, que tous nous empruntons à notre manière, est-il un apprentissage, qui mène de l’égoïsme à l’altruisme, de l’aveuglement à la connaissance, de la consommation au partage, de la prédation au don.
L’amour est éternel car il est spirituel ; il est la joie libre du cœur qui s’est ouvert ; il ne sait que grandir, fleurir et embellir.
L’amour est si puissant qu’il se joue des barrières, frontières, critères, normes et interdits.
Car l’amour est libre et il souffle où il veut ; il ne peut être contraint, obligé ou mis en cage ; l’autre ne nous appartient pas et l’emprisonner, ce n’est pas l’aimer.
L’amour ne donne ni droits, ni devoirs ; il est une extraordinaire opportunité de vivre des moments merveilleux et magiques, une chance à ne surtout pas laisser passer.
Et si l’amour était sagesse, philosophie éminemment subtile, art et science oubliés, à retrouver, découvrir, réinventer ?
L’amour est un défi. Saurons-nous y répondre ?
LA SAGESSE AMOUREUSE
Yann Thibaud
Extrait de «L'Alchimie émotionnelle ou la métamorphose du coeur»
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epine-dorsale · 2 months ago
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RECAPITULONS
Résolution Pas de résolution Pour l'instant Du moins
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La plante d'un ami rend l'âme
Je lui parle pour qu'il parte plus Facilement
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Balec Jme barre Balec Jreviendrai pas Balec Je mdétache Les poches vides d'angoisse
*
Seulement les esseulés
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Juste Aphone Pas Muet
*
Somme ou produit ?
*
L'actu
Mon
Actu
*
Reste
*
Cause I'm
*
Faire des listes de vie
S'y
Tenir
*
Univers Mouvant
*
Je suis un artiste avec un a privatif
*
En ce moment c'est boulot Boulot Mais le Jura s'immisce dans mes draps Je fais pas exprès
*
Loose lover
*
Même si on n'est pas dans un dessin animé
Tout le lit c'est mon côté
*
Vers l'impossibilité d'être ?
*
Exclu de l'internet Pour avoir montré ses fesses en public
*
Redouter l'avalanche Ou L'attendre impatiemment
*
Dessiner c'est précieux
*
Doumdoum Et ça fait Poumpoum tchac
*
À défaut d'amies Des feuilles plein le lit
*
C'est pas de ma faute Je suis juste Triste
*
Des questions plein la tête Des envies plein le slip Ou l'inverse ?
*
Tenons-nous bien droits À carreaux À distance Mais n'oublions pas que les regards Se foutent de la distance
*
Les arbres qui pleurent Ceux-là seuls n'oublient jamais
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Rassembler sa peine Se tromper de compte Et Cueillir la paix
*
Stalkez-moi SVP
*
Arrêt sur image La longer du regard Sans rien N'oser
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Sauter Sans Filet
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Dans chaque percée de ciel à travers les nuages C'est le bleu des yeux de mon père
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Après tout Les non-histoires Ne fissent pas
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Les mains qui nous ont polis Se souviennent De nos douleurs
*
Chemin lumineux C'est dangereux
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Il veille sur mes rêves Et Tient la mort à distance
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Ne sois pas inquiet Rassure-toi Tout va
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Non non non Je ne dirai jamais plus Jamais
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Et vivre
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Vu d'ami
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La vie arrive Sans crier Gare !
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Et d'un coup Tout se Réveille
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Le roi Printemps dégage le vieil Hiver à coups de pied bien placés
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La première boule de la saison A été tirée en moins de temps Qu'il n'en faut Pour le dire
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Toujours avec moi À chaque sortie À chaque retour
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Partout ensemble
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Poudreuse pour la Tête
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Sentir la Sève Monter Et Conduire sa vie à 100 Au moins quelques instants
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#neveralone
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Des bleus plein le ciel
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Nononon Rien ne change Sauf qu'un jour On meurt
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On entre en scène comme le Léopard fondant sur sa proie On se rappelle quand on était enfant et qu'on croyait à la Petite souris Et tout se mêle Les dents mortes, Tom et Jerry et les croque-monsieur du dimanche soir Que souligne ton sourire quand Nos regards s'entrechoquent Comment parer les attaques des romains sans Magique potion Heureusement Obé n'est pas tombé dans la drogue Ramener la vie à un soupir Juste avant de s'endormir Les bleus des jambes sont autant d'étoiles qui ne demandent qu'à filer
*
Soleil De trousse Soleil De bureau
*
Le creux de ta main Me manqu E
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Mickey prend le frais
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Joue moi Un air De Déjà-vu
*
Les cercles se rapprochent Se resserrent Quand les chèvres Gardent quelques choux Pour la fin de l'hiver #chienetloup
*
Rétablir Une certaine polarité Sans oublier la Terre #électricité
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À base de vis Je fixe mes étagères Et alors que les fous mangent la poussière L'hôpital danse le touvamal sans s'occuper d'aérer #dance
*
Cauchemar Quelqu'un entre dans ma chambre Allume la lumière Alors que je dors, couché dans mon lit tourné contre le mur Je ne peux me réveiller ni bouger Il traverse la pièce Puis revient et sort Je force pour me réveiller Mal de crâne et douleur dans la poitrine Heureusement ce n était qu'un Cauchemar
*
Le temps n'existe pas Ici
*
Yep Pourquoi tu dis yep ? Yep
*
L'histoire Sera
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Je vous demande Pardon #scuseme
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Le loup guette Le renard Ruse
*
Quand on sait plus si on est dehors ou dedans C'est qu'on Tient le bon bout
*
La magie voudrait Réapparaître Alors Allumons le Grand Feu
*
Regarder ses pieds Et se tourner vers Ce qui les Entoure #Senséeffe
*
Ciel d'un bleu selon Les Conditions d'achat
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C'est la panique Panique
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Et le jour se lève Quand même
Je suis al
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Tout Doument
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La caille
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Soleil qui bientôt Sera De Nouveau
*
Quand l'avec devient Ou Disparaît
*
Ici On est déjà Et c'est super
*
Finalement faire la vie n'est pas si facile
*
Se réveiller dans un Dessin
*
En chien Je N'y Connais rien
*
Tout le monde S'éclate
*
Avec une petite pelle à l'épaule
*
Comment sortir alors que non mais oui ?
Sous toi Sous moi Sous le lit Sous le monstre Rien que de la Vie Et encore Heureux
*
Quand on Découvre les confins De sa solitude Tout S'enflamme S'illumine
*
C'est compliqué Tu vois ?
*
Les yeux des yeux sont Toujours Larmoyants
*
Bonjour Excusez-moi de Vous Déranger Je Zboum
*
-Moi, J'aime bien tu vois Quand c'est un peu... -Sauvage ? -Oui
*
Vaches en pixels
*
Désopasdéso Pour cette Avalanche
*
Appelle-moi Ou pas Mais ne m'oublie Pas
*
Un loup entre chaque cil Regard qui Dévore
#wolfgang
*
V comme vrille Je vous envoie des bonnes bises Les zous Zous
*
Y Rev'nir
*
Je ne demande qu'à retrouver mon souffle
*
Dessiner Dévoiler Dessiner Embrasser Dessiner Rompre la distance
*
Jusque-là Ce que j'ai oublié Ne compte Pas ?
Retourner son tapis Et S'envoler Roi des voleurs Robin ou Aladin De mon côté Je suis dans mon lit
*
C'est l'histoire d'un homme Il vit Fin
*
Trop l'artiste J'vais en Philo
*
Hé La beauté n'est pas toujours Là où on le croi t
*
Mon royaume S'étendait entre deux champs de Colza Vie de chien
*
Retrouver le Printemps Sans cesse Se souvenir Et renoncer aux Caresses
*
Et nos fleurs Ne faneront qu'une fois
*
Rester sans Voir Que tout recommence Mais surtout Ne pas oublier
*
Arbres
Bombez le tronc et Retrouvez votre Majesté Quand l'hiver n'est plus Il faut Sortir
*
Egotrip Mais pas que Car toutes ces mains ne M'appartiennent pas Cependant Toutes ont pris soin de Moi
*
Sans forcément Montrer Être vu
*
Et au-dessus de nos têtes Les mêmes Branches
*
À l'intérieur de nos bras Se cache La douceur d'un Chien
*
Oué oué Oué Oué
*
Rassembler ses flèches Et partir à la Chasse aux
Fleurs
*
La mémoire se double J'ai mis mon manteau C'était pas prévu
*
La vie l'amour Je n'ai que faire d'hier et de Demain Pourvu qu'aujourd'hui Existe
*
Un jour sans dessin Le lendemain Tout est moche Heureusement que ça n'arrive pas Souvent
*
Les chevaux Dans mes rêves Galopent au Plafond Alors que je les monte À cru
*
Et tous ces mots Qui restent en suspens Alors que Nous n'avons pas fait exprès de les Penser
*
La belle Rouge
*
Je me suis aperçu de Sa présence trop Tard Mais Où courir Quand les portes sont closes ?
*
Vert présage d'orage Et puis goutte après Goutte Le masse de nuages se dissipe Vers quelle constellation devons-nous nous tourner pour Adresser nos prières ?
*
Ouvrir tous les cartons Et Crier dedans
*
Les mots pensés sont des fauteuils qui attendent D'être prononcés
*
Quand le lilas Chuchote son odeur partout dans l'air Attacher trois poules entre elles Et laisser couver Une nuit
*
Quand comprendras-tu les Mensonges Sans sourciller ?
*
Tu restes la même Partout dans ma tête Fabuleuse Insaisissable Mais Jamais tendre Je n'aime pas ma façon D'aimer
*
Il ne manque rien Juste les yeux perdus D'une femme qui n'a jamais Embrassé en souriant
*
Et penser Sans s'arrêter de Vivre Surtout vivre en fait
*
Les histoires sont toujours différentes Selon le rétro dans lequel on Regarde
*
J'ai cru que vous étiez dans ma Tête Mais vous n'existez qu'à Grande peine
*
Que dire quand L'envie n'est plus ? Heureusement le vert est là
*
Rassembler son Courage et S'affronter
*
Vert Honte
*
Sous moi le lit Et En-dessous Il n'y a Personne
*
Je ne pense pas qu'à moi Mais j'essaie juste de faire Au mieux
*
Rouvrir les plaies Que le passé n'a pas refermées Saupoudrer Laisser reposer
*
Je ne sais plus Ce que je veux Et bla et bla et bla Ça sonne comme des balles qui partent et s'enfoncent dans le matelas
*
Je vous amène L'eau Demain Dansons sans y penser
*
Pour voir Ajoutons un peu de Volume
*
Radieuse L'aube mord le ciel jusqu'au Sang
*
Hier On n'avait qu'à regarder Les murs se dresser Aujourd'hui courir sous les nuages Pieds nus Dans l'herbe Frôle la Volupté
*
Il paraît que les ours Savent Et que les hommes se trompent
*
Il est un temps hors du temps On l'appelle L'hiver
*
Écrire une légende Si seulement
*
Ne pas se Méprendre Avancer sans comprendre C'est déjà beaucoup
*
Ces endroits Qui n'appartiennent pas
*
Et les autres Qui les invente ?
*
Rentrer sa tête Et fermer les volets de sa carapace Écrire partout Même dans la marge Dessiner debout Pisser dans les intercalaires
*
Je trouve plus quelle est la Mission Ignorance Vaut mieux que conviction ?
*
Les pleurs des morts S'entendent à travers les Oreillers
*
Revenir du couloir blanc N'a rien de comparable Tenter de grimper dans les arbres Sans faire tomber la moindre feuille C'est ainsi que nous devrions tous Vivre
*
Rester Humble Mais ne pas Confondre Cardamine hirsute Et arabette de Thalius
*
Les correspondances Nous font faire N'imp Battons en retraite
*
Attraper Le temps perdu Saler Poivrer Servir chaud et Savourer le temps qui Bientôt aura été Ingurgité
*
Rassembler Ses forces Et affronter la nuit
*
Et les autres Tu sais Celles qui ont des yeux qui voient à Travers Comment le leur dire ?
*
Tous les morts Une fois allongés dans L'herbe Se Ressemblent
*
Et déjà Tout est souvenir Même les fesses que mes mains n'ont pas connues Surtout ces fesses-là D'ailleurs Patience est plus importante désormais
*
En vrai De Vrai Mais alors surtout Fermer sa bouche lorsque Ces mots Surgissent
*
Zoome et Dieu apparaîtra
*
Des lignes noires Pour cerner les yeux afin d'y voir plus Clair Je voudrais ne jamais mourir mais ne jamais mourir tout en Ignorant mon immortalité Là est la sagesse
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Tout est dépeuplé Mais Un seul être vous manque
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Les enfants sages Ont de l’eczéma Dès qu'ils grandissent Pourquoi ?
*
Soit Soit Soit Ou sinon Soit
#zouzou
*
Écoutilles ouvertes Toutes voiles dehors Que dirait Barbosa ?
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Change Si tu veux Mais change bien Si possible
*
Amener l'eau entre Ses Deux yeux Laisser couler sans déglutir Servir encore Brûlant
*
Maxime a tord
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Dans le lit Je répète Je Suis Dans le lit
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Scrogneugneu Achetez des fenêtres pas des Vêtements
*
Retour à la case Départ Je gagne 20000 et j'évite la Prison Sans rigolade Je suis le roi du game
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Qui va à la chasse ?
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Pas de règle sans exception
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Actualisation du fil Et Maladroitement S'avancer sur la Poutre
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Rase ta rockette
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Zoome et tu sauras Tout Sur moi
#midiminuit
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Ouvrir la Verrière Respecter les distances de Sécurité Eternuer dans l'éternité
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Conquérir sa planète La laisser vivre plutôt
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Se rouler des pelles à même la Paille
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Défaire Et tisser de nouveau Éternelle Pénélope
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C'est comme Une thérapie Ne pas oublier De s'écarter de la Recette
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Écouter le Silence qui Se Répand
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Trente-trois tours D'espoir
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Éviter les Picots
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Devant Touchant son front avec le mien Je ne pouvais me résoudre à la nommer
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Tourner en Rond ou En Bourrique ?
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Je crois que Manset est une des plus belles choses sur Terre Jusqu'au moment où j'ouvrirai un nouvel onglet D'où un rap sacré Se déversera
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Et nous vivrons heureux Sur ma moto bleue En cueillant le coton Habillés de satin
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Et tombe l'or
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Vieillesse et souffrance sont-elles Indissociables ?
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Je ne me comprendrai Jamais
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Ici ou la Rien n'égale l'amitié Générosité est un mot comme les autres Somme toute
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Tourner la cuillère dans le Pot Remuer quoi
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Il y a sous Chaque dessin Un souvenir Dominant
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Prends-en soin C'est une vieille Dame
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Mais où sont les amis ? Quand il n'y a plus que soi avec soi Autant ne rien Dire
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Pour désinstaller un Programme Brûler votre PC Mettez-vous à Genoux Et Priez que Dieu Vous entende
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4 3 2 1 Les anciens n'ont que faire du Feu Leur corps habité par une flamme de bougie Ils avancent Se protégeant du vent de peur que son souffle les Eteigne
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À la conquète De l'univers Avec ou sans Chaussettes
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Quand les amis sont précieux Il faut le leur Dire
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On tient un truc on tient un truc On tient un Truc Ne pas le lâcher Des yeux Ne pas le laisser partir Car sinon Pas sûr qu'il revienne
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Et les coureurs Couraient Alors que le dragon S'essayait à la paraphrase Les arbres eux N'avaient que faire du pourquoi
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Souvenirs Enfance Joie et Insouciance J'y retournerais Sans me poser de question Quand tu veux Sauf que Ça a pas l'air d'être dans tes cordes
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Changer de papier comme Le serpent change de Peau
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tesia-a-138 · 3 months ago
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Si une plante ne peut pas vivre selon la nature, elle meurt, et un homme aussi. Il est souhaitable de cultiver le respect. La seule obligation que j'ai le droit d'assumer et de toujours faire ce qui est juste.
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