#lavabo casino
Explore tagged Tumblr posts
upsurge-esp · 2 years ago
Text
Tumblr media
0 notes
daisydesetoiles · 3 months ago
Text
Flufftober 2024 : Un seul lit
17 octobre
Un seul lit (Only one bed)
Napoléon Solo & Illya Kuryakin (Des agents très spéciaux)
Napoléon sortit une pièce de monnaie de la poche de son coûteux costume gris et la montra à Illya. Le jeune homme hocha la tête et lança :
« Face. »
Napoléon fit voler la pièce dans les airs. Elle atterrit sur le côté pile. Son partenaire soupira et attrapa l'oreiller et les draps de rechange qui se trouvaient dans l'armoire pour se bâtir un petit lit à même le sol.
La ville de San Diego était pleine à craquer de gens qui étaient venus des quatre coins du pays. Il n'y avait plus de place dans les hôtels et les auberges, même bon marché, même, par défaut, de luxe (qui feraient grimacer les comptables de l'U.N.C.L.E), même pour les espions internationaux! Napoléon et Illya avaient dû se contenter d'une petite chambrette au sommet d'un établissement à quinze étages, dont on avait déjà pourvu certaines des pièces en lits de camp et matelas, et que son propriétaire voulait garder dans l'éventualité où il aurait à accueillir sa nièce. Même le galant Solo aurait été incapable de d'arranger la jeune fille dans ce petit logement où il n'y avait qu'un seul lit, une armoire, deux chaises et un lavabo. Même pas de quoi permettre à Kuryakin de dormir dans une situation confortable.
« Bonne nuit, Illya, le taquina l'agent américain en se penchant au bord de son matelas, une fois ses dents brossées et les rideaux tirés.
-Bonne nuit, Napoléon, grommela son ami en rabattant autant d'épaisseurs de draps que possible sur sa tête blonde et ébouriffée. »
Se reposer dans ces conditions était vraiment très aliénant. Kuryakin ne cessait de se tourner d'un côté, puis de l'autre, sur la fine moquette à la couleur déprimante, poussant des soupirs d'inconfort, essayant de retaper son oreiller pour qu'il lui soutienne mieux la tête. Naturellement, ils avaient tous les deux déjà dormi dans des endroits improbables, des coins de casino, des ruelles sombres, des prisons et des soutes à bagages. Néanmoins, ils essayaient, dans la mesure du possible, de se préserver l'un l'autre et, vers une heure du matin, Napoléon s'inclina de nouveau depuis le bord de sa couchette.
« Illya, chuchota-t-il. Allez, on échange. Si tu te réveilles demain avec un mal de dos, tu vas être grognon.
-Et toi? répliqua son ami en se tournant vers lui. Tu aimes tellement dormir que je vais en entendre parler pendant des heures.
-D'accord. Alors viens dans le lit avec moi. »
Illya le regarda de travers mais accepta bien rapidement tant il se sentait raide et fourbu. Il attrapa ses draps et son coussin et se nicha dans le lit en poussant autant que possible Solo au passage.
« Tu n'as pas intérêt à me faire tomber du matelas, le prévint-il en tapotant le grabat moelleux avec un soupir d'aise.
-Regardez-le, celui-là, comme il est ingrat ! protesta Napoléon en se permettant d'être celui qui le regardait maintenant de travers. Je lui cède gracieusement un petit morceau d'un confort que j'avais gagné à la régulière et il s'offusque de ne pas avoir assez de place !
-Chut. Maintenant on dort. »
Illya sourit en imaginant très bien le regard vexé et un peu outré que son ami maintenait sur l'arrière de son crâne. Comme il ne fit pas mine de se retourner, l'agent américain marmonna une dernière fois dans sa barbe et se tourna sur son autre flanc pour se rendormir.
Ils avaient bien sûr souvent dormi côte à côte, mais ce n'était pas pareil d'être allongés dans un lit que penchés l'un vers l'autre dans des sièges d'avion. Lorsqu'Illya se réveilla à quatre heures, secoué par un terrible cauchemar, la main de Napoléon le long de son bras, et sa présence chaleureuse et réconfortante, suffirent à le replonger progressivement dans le sommeil. À partir de ce jour-là, quand ils ressortirent de missions horribles, torturés, drogués, montés l'un contre l'autre, supposés morts, ils tirèrent parti du clic-clac de l'agent russe pour s'apaiser. Ils le dépliaient dans le salon de Kuryakin et s'endormaient l'un près de l'autre pour chasser les traumatismes de cette vie parfois désolante.
1 note · View note
scrivimiquandoarrivi · 4 years ago
Photo
Tumblr media
Roghudi. Parte 2. In diurna 🐐🛏 Dopo la notte in tenda a pochi chilometri da Roghudi Vecchio, a debita distanza dai fantasmi, eccoci di nuovo qui. Questa volta è un’escursione autonoma. Volevo tornarci con la luce del sole, coi miei tempi. Le capre al mio arrivo si disperdono per le vie del paese. Le vedo distribuirsi in edifici che ormai immagino abitino solo loro. Se ieri il silenzio assumeva le forme della brezza notturna, oggi ha le sembianze della cicala. Questo frinio incessante, quasi da mal di testa, questa competizione canora per soli insetti, so che mi mancherà tanto quando l’inverno arriverà. L’istinto sarebbe quello di entrare ovunque, nonostante le costruzioni mostrino chiari segni di cedimento. Che ficcanaso che sono. Ma Teresa mi intima di rimanere sulla soglia delle case. Torniamo da Pangallo. Stamani mi è più chiaro che c’è un gran casino qua dentro. Un letto con sopra una sega. Un tavolo con un bottiglione e dei bicchieri. Delle carte da gioco. C’è il lavabo e dei piatti lavati ormai da rilavare sullo scolapiatti. Piuttosto che abitare con Leone prenderei un monolocale persino a Roghudi Nuovo. Case costruite su uno sperone di roccia non proprio granitica, su un fiume a stagioni alterne. Oggi più di ieri comprendo quanto sia inaccessibile e inospitale questo luogo. Perché si erano insediati qui? Forse semplicemente perché questo posto è figo. Probabilmente queste persone, quasi tutti pastori analfabeti a quanto leggo, che parlavano il greco di Calabria, erano innamorate e profondamente legate a questa terra scomoda, impervia e difficilmente addomesticabile. Quando ho detto a papà che sarei venuto a Roghudi mi ha detto ”Che ci vai a fare? È un posto per i corvi”. Corvi non ne vedo. Vedo capre molto schive, somari timidoni, tantissime rondini e perfino qualche poiana. E chissà quanti altri animali vivono in simbiosi con il cemento logorato da 50 anni di assenza. Il regno animale si è preso questi luoghi e li ha fatti suoi. Me ne vado immaginando le capre godersi la comodità del letto di Leone Pangallo. Forse le stesse capre per cui nel 1999 sborsò 248.000 Foto di @t_e_r_e_s_a_mazza Tinello di @LeonePangallo (presso Roghudi Vecchio) https://www.instagram.com/p/CDnt0JpKME0/?igshid=zvq668487pbs
0 notes
aboutmikasa · 8 years ago
Text
La Bella y la Bestia (10) - Otro simple e insignificante malentendido
Title: La Bella y la Bestia Chapter 10: Otro simple e insignificante malentendido Pairing: Levi/Mikasa | Ch WC: 7.583  | Rating: K+ | AU Language: Español Status: En proceso - 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 |  7 |  8 | 9 | ►10 | 11 | 12 | 13 | …
AO3| ff.net
Chapter summary (10): Un viaje de trabajo, un malentendido, hamburguesas y la posibilidad de conocerse mejor.
.
10. Otro simple e insignificante malentendido
No eran vacaciones, eso lo tenía claro, sin embargo, pasar una semana en Ciudad Ehrmich sin su jefe, ni los problemas cotidianos, era mejor que estar de vacaciones. Mikasa suspiró sintiéndose un poquito patética; atravesaba un momento en la vida en el cual un viaje de trabajo era lo más emocionante que le podía pasar. Lo peor de todo era que estaba convencida que según pintaban las cosas, era lo más emocionante le habría de pasar en mucho tiempo. No se suponía que fuera ella quien acompañara a Erwin, el viaje completo fue cosa de último minuto y a ella le confirmaron hasta unas horas antes del vuelo. Las tres horas que duró el vuelo se la pasó terminando un reporte y coordinando con Bert la vida completa de su jefe para esa semana. Todo en la oficina estaba patas arriba gracias a un caso de último minuto. La noche anterior durmió poco menos de cuatro horas y su cuerpo aun resentía el final del semestre; por eso se sentía patética, le esperaba una semana de trabajo interminable, no una semana de copas con su mejor amiga. Sasha insistía en que tendrían tiempo de sobra para disfrutar de la ciudad, los bares de moda y los casinos. Para Mikasa era más urgente asegurarse que Historia cubriera sus clases en el gimnasio.
Los viáticos que le pagaba la firma eran razón suficiente para sonreír y no porque pensara gastarlos durante el viaje. Al terminar las clases se terminaban también las asesorías y los trabajos que corregir, así que Armin y ella tenían menos ingresos, eso implicaba aprovechar las oportunidades como llegaran. Con todos los gatos del inicio del semestre iban a necesitar todo el dinero que pudieran ahorrar. La practicidad era el leitmotiv de Mikasa Ackerman. Mientras que Sasha planeaba salir de rumba cada noche, Mikasa planeaba disfrutar de la habitación y de las instalaciones del hotel sin gastar un centavo que no fuera indispensable. Iba a ser una semana de austeridad; por regla general en las reuniones en las que asistían había comida y bebida, al menos eso le aseguraba no morir de inanición. Además, dentro de las funciones que debía desempeñar se incluía organizar una de gala donde pensaba comer todo lo que pudiera.
Sasha, en cambio, estaba dispuesta a todo lo que fuera necesario para que la practicidad de su amiga, no fuera tan práctica esa semana.
La maleta aun no terminaba de dar la vuelta en el carrusel cuando los mensajes comenzaron a llegar. Levi no estaba ahí, pero era imposible olvidarse de él. Pero él no era el único demandando su atención y su tiempo. Historia aun no respondía su mensaje y la joven optó por contactar a Ymir. Al menos lo intentaba porque los mensajes de su jefe caían sin parar y sin dejarla completar una frase. Ojalá hubiera podido dejar encendido el modo avión por el resto de la semana. Ojalá ella tuviera un modo avión en el cual refugiarse. El grupo que Gunther “tan amablemente” había creado, para que todo el equipo estuviera en contacto, no dejaba de sonar. Bert también colaboraba con la reducción de su calidad de vida, claro que no tanto como su jefe. Se rio de sí misma cuando vio, además, diez correos con el llamativo título de “urgente”. Nunca iba a entender por qué Levi tenía que nombrarlos así, todo con él era urgente. No le mandaba cadenas, ni le preguntaba por el clima; si él enviaba un correo, siempre era urgente.
Una semana sin su jefe era demasiado pedir.
Dejó de lado el resto de su vida, como de costumbre, e intentaba dar respuestas concretas a cada mensaje. El problema fue que en cuanto contestó uno, llegó una avalancha de preguntas. Supuso que las respuestas monosilábicas no complacían a su Levi, en cuanto la pantalla se iluminó con el nombre de su jefe; mejor dicho, con sus iniciales. Mikasa se negaba rotundamente a escribir el nombre completo de su jefe. El pobre e inocente aparato no tenía la culpa de nada. Ya bastante hacía con no poner la imagen de Gruñón en el contacto. Estaban por llegar al hotel y Erd le dedicó una sonrisa que no terminó de comprender, lo mismo que pasó con la mirada que Erwin cruzó con el otro abogado. Lo que ella consideraba conmiseración, era uno de tantos indicios de la obviedad de las acciones de su jefe, esas que para ella pasaban siempre desapercibidas.
Consideró por in instante dejar que se perdiera la llamada, pero fantasear con ignorar a su jefe y e ignorar a su jefe no eran la misma cosa.
“¿Llegaron? El reporte de la adquisición no incluye el diagnóstico del último bimestre en bolsa. Erd tiene el resto de la información.”
“Hola Mikasa, ¿qué tal el vuelo?” La joven respondió a su jefe con toda la ironía que pudo.
“Muy graciosa, Mikasa,” algo en la voz de Levi llamó su atención, casi como si lo hubiera sorprendido. “¿Vas a seguir jugado o vas a darme una respuesta.”
“Estamos por llegar al hotel. Lo incluyo y te lo envío.”
“Erd tiene el resto de la información,” la pausa que siguió a sus palabras era poco usual en las conversaciones con Levi, usualmente le decía lo que tenía que decirle y daba por finalizada la conversación. “Que lo revise él antes de enviarlo.”
“¿Qué él revise mi reporte antes de enviártelo?”
Cerró los ojos para evitar ponerlos en blanco, después de todo el jefe de su jefe estaba frente a ella y las reglas laborales indican que no es apropiado evidenciar las ganas de colgarle el teléfono a la mitad de la conversación. Mucho menos apropiado era musitar las maldiciones que le dedicaba a su jefe inmediato cuando le resultaba insufrible; lo que pasaba cada dos segundos. Mientras: cerraba los ojos, contaba hasta cien, respiraba despacio y se repetía que no podía quedarse sin trabajo.
Alguna divinidad se apiadó de ella porque por fin llegaron al hotel, así que la joven asistente se alejó del grupo con disimulo y tomó nota de los mil nuevos encargos de Levi. Hacía malabares con el iPad, el teléfono y los papeles que estaba revisando, al mismo tiempo que pretendía ignorar que tenía hambre y estaba cansada.
“Supongo que, si no confía en que lo que hago, alguien más tiene que revisar mi trabajo… De verdad cree que soy tan estúpida como para no hacer bien un simple informe,” lo dijo en voz baja y para sí misma al terminar la llamada y no notó la alta figura que se había acercado a ella.
“Tiene que quedar listo para mañana,” Erwin la veía con la misma cordialidad del primer día que llegó a trabajar con ellos. “Es mucho trabajo y fue su manera de no cargarte el trabajo a ti sola.”
Mikasa se puso tensa al escuchar las palabras de su superior y se dio la vuelta hasta verlo directo a los ojos. Su rostro mantenía una expresión imposible de leer y habló despacio, como si estuviera reprendiéndose por el desliz que acaba de tener.
“Si usted lo dice,” no acostumbraba a hablar de sus opiniones sobre Levi con su equipo de trabajo, Bert era una excepción; aunque intentaba mantener un tono neutro, supo por la forma en la que su profesor inclinó el rostro, que no estaba siendo efectiva. “No importa. Para nadie es un secreto que a él no le gusta mi trabajo.”
“Te equivocas Mikasa.” Ella lo vio con evidente incredulidad. “Levi no es no alguien fácil de entender, pero si no le gustara tu trabajo hace mucho habrías dejado de trabajar con él.”
La elevación de la ceja derecha de la joven lo hizo sonreír. Mikasa no terminaba de comprender la relación entre su jefe y el jefe de su jefe. Erwin Smith era su profesor favorito, aunque dudaba que él lo supiera; afrontaba cada tema como si fuera una estrategia militar y sus ojos diseccionaban a sus interlocutores como si se tratara de un ejercicio de interpretación dogmática. Levi en cambio… le resultaba cada día más difícil describir a su propio jefe. Levi era una especie de rompecabezas, algunas piezas encajaban perfectamente y sin esfuerzo, otras, no tenían coherencia alguna. No imaginaba dos personas más diferentes, y a la vez más parecidas, que ellos dos.
“La deuda no representa un problema, Mikasa.” Al menor descuido, Erwin leía con demasiada facilidad lo que pensaba y eso la incomodaba. “Ten en cuenta que transferirte a otra área no interfiere con el pago.”
“Supongo.”
“Hay mucho que puedes aprender trabajando con él, aunque sea un reto.”
Una llamada de Bert los interrumpió y ella lo agradeció en silencio. La preocupación profesional del primer asistente era encantadora. Enfermo y todo se las arreglaba para cumplir con sus funciones y echarle la mano. Al colgar, recibió un mensaje de Ymir confirmándole que Historia podía cubrirla y que había perdido su teléfono, otra vez. Le reenvió a Ymir el correo con las horas que necesitaba que la cubriera y aceptó todas las condiciones que la novia de Historia ponía para hacer efectivo el arreglo. Condiciones que Historia no ponía y de las que dudaba estuviera enterada. Por si fuera poco, tenía que coordinar con Armin la llegada del plomero antes que Eren decidiera que él podía arreglar la fuga del lavabo.
Eran las dos de la tarde y el mundo parecía arrimarse en sus hombros para descansar un rato.
Cuando por fin se acercó al lobby del hotel para registrarse, estaba distraída. Al parecer ella era la única que aún no tenía la llave de su habitación. Erwin hablaba con un grupo muy serio de personas y Sasha se alejó por un momento; por su parte, Erd estaba al teléfono y tenía la expresión de quien contiene la explosión de una bomba.
“Mikasa Ackerman,” en el momento en que dijo su nombre, la displicencia con la que la encargada la atendía desapareció. La empleada se quedó viéndola e intercambió miradas con el hombre que estaba a su lado.
“¿Levi Ackerman es su…?”
La pregunta quedó suspendida en el aire, mientras que la mujer actuaba casi con nerviosismo. Mikasa contestó con un “Sí” distraído. Armin por fin le estaba contestando; estaba en la biblioteca y no creía llegar a tiempo para recibir al plomero. Tenían que asegurarse que alguien abriera la puerta y lo llevara al lavabo, además de hacerle compañía el tiempo suficiente para que Armin apareciera. Eren tomaba un curso en la Fiscalía ese día y si Hannah, la vecina de al lado, no podía hacerlo, su única opción era Ymir. Cuando terminara de pedirle favores a Ymir, le iba a haber empeñado el alma.
Si para algo no tenía tiempo Mikasa Ackerman, era para prestar atención a las personas en el lobby del hotel. A menos que fuera Erwin, Levi o Erd, el resto del mundo iba a tener que esperar. Y aun ellos tendrían que formarse en la fila antes de pedirle algo más. Los empleados detrás del mostrador fijaron sus ojos en ella y luego en Erwin antes de regresar la mirada a la pantalla.
“Parece que ha habido un error en la reservación,” el gerente tomó el lugar de la mujer y se dirigió a Mikasa con un tono que reflejaba nerviosismo. Cambió la llave que estaba sobre el mostrador y chasqueó los dedos para llamar al botones. “Acompaña a la señora a su suite y asegúrate que todo esté perfecto.”
Puso levemente los ojos en blanco cuando la llamaron señora; odiaba que lo hicieran, pero nunca corregía el apelativo. Tenía el teléfono en la mano y optó por enviar un mensaje a Armin quejándose del título que le habían dado, como hacía siempre que pasaba. El personal del hotel pareció tomar su reacción como indiferencia y se apresuraron a llevar su equipaje. Hannah no estaba en el edificio, Ymir había dejado de contestarle, Bert necesitaba la contraseña de un documento, Levi quería que le reenviara un correo que Hanji no encontraba, Sasha le estaba comentando algo sobre copias de una licitación… era uno de esos momentos caóticos en los que nada tiene sentido y no se puede hacer otra cosa que resolver un tema a la vez. Eso fue lo que hizo la joven, ante la imposibilidad de saltar por la ventana o cambiarse el nombre e irse a vivir a Los Cabos. Mikasa, en definitiva, no estaba prestando atención a nada ni a nadie que no estuviera en su lista de pendientes. Si los empleados del hotel querían algo tendrían que incendiar una habitación y aun entonces, la joven lo pondría al final de la lista; posiblemente antes que dormir, pero en la lista.
Erd, que observaba lo ocurrido, intentó decir algo, pero Erwin lo detuvo, negando con la cabeza; la escena completa, incluida la sonrisa del socio principal de Smith&Zoe, pasó desapercibida para Mikasa.
Ella sabía que la cadena hotelera en la que se hospedaban era una de más importantes del sector turístico y que ese era el hotel más grande de Ciudad Ehrmich, también sabía que Levi era el abogado que tenía la cuenta; nada de eso la hizo pensar que su habitación sería a donde la llevaron. Incluso le preguntó al botones si no había un error; el joven le dijo que era una de las mejores habitaciones y salió sin preguntar nada más, ni pedir propina. Era una suite en uno de los últimos pisos, con dos habitaciones, un área común con más amenidades de las que ella hubiera visto en cualquier hotel, un jacuzzi y una pantalla gigante. El departamento que compartía con Eren y Armin cabía dos veces en el espacio que ocupaba la suite. Si todo eso era poco, la habitación estaba quirúrgicamente limpia.
La cama era de esas con tecnología viscolástica, como las que salían en la televisión; se recostó un segundo y el colchón se acomodó a la forma de su cuerpo. Quería cerrar los ojos y descansar dos otoños consecutivos. Disfrutaba de la sensación cuando alguien llamó a la puerta, imaginó que una vez descubierto el error, mandaron a alguien para escoltarla a la económica habitación que Bert reservó para ella. La mujer que tocaba la puerta le preguntó si encontraba la habitación adecuada o si necesitaba algo. Sugirió prepararle un baño de burbujas con sales minerales y esencias naturales.
Mikasa preguntó una vez más si no había algún error y al poco rato le llevaron una cesta con frutas y chocolates como cortesía de la casa.
Podía llamar a conserjería, podía recordarles que ella era una asistente y que su habitación no podía ser esa. Había muchas cosas que podía hacer, incluido tomar un baño caliente y recién preparado y descansar en una cama que parecía hecha para su cuerpo. Si Sasha llegaba a enterarse que pensaba siquiera en dejar pasar esa oportunidad, iba a dejar de hablarle; ¿quién era ella para poner en peligro su amistad con Sasha? Después te todo, ella firmó el registro del hotel y en la hoja decía habitación simple; también señaló en dos oportunidades la equivocación sin que nadie hiciera nada al respecto. El mundo no se iba a acabar porque Mikasa moviera el orden de su lista de pendientes y se concediera un par de horas para descansar. Se sintió como quien trasgrede un orden mayor, casi como Daniel el Travieso. Las burbujas, el aroma a lavanda y verbena y la calidez del agua desaparecieron al mundo entero. Durante los treinta y tres minutos de relajamiento que se concedió, Mikasa Ackerman logró, por primera vez en meses, poner su mente en blanco.
Una llamada de Levi interrumpió su tranquilidad. Lo dejó sonar y no porque quisiera ignorarlo, no de forma flagrante; la idea de contestar mientras tomaba un baño le resultaba inconcebible. En cuanto estuvo presentable, le llamó. Se sintió ridícula por necesitar vestirse primero. Era absurdo, él no tenía manera de saberlo. Antes de marcar se sentó en la cama para repasar todas sus obligaciones, tenía a la mano todo lo que podía necesitar para responder a las exigencias de su jefe. La idea era imposible, sin importar qué tanto se aventurara a pensar dos pasos delante de Levi, su jefe se adelantaba cinco a ella. Aun así y a pesar de lo mucho que la hiciera enfadar por su continuo criticismo, ella era más testaruda que él. La necesidad de probarse a sí misma que podía con cualquier reto, y de demostrarle a él que no la intimidaba, la convirtieron en la descripción misma de la eficiencia.
Levi era un hombre extraño. Le preguntó por cosas que Mikasa dejó listas, una camisa que ella recogió de la tintorería por otra de esas manchas invisibles al ojo humano y que solo su jefe veía, camisa que dejó en el departamento de su jefe, correos que él ya tenía y nimiedades por el estilo. Lo más extraño de su llamada fueron las preguntas que hizo sobre Erwin. ¿Cómo iba a saber ella si el otro abogado estaba borracho? Erwin asistió a una comida a la que por fortuna ella no tuvo que asistir, pero era todo lo que podía decirle. Mucho menos podía saber por qué el profesor Smith llamó a Levi para felicitarlo.
Las preguntas de su jefe eran una insensatez, pero no por eso dejó de llamar a Sasha para averiguar lo que él quería saber.
Su lista de pendientes del día quedó completa antes de percatarse. Eso le deba tiempo para dormir o eso esperaba. Sasha, tenía otros planes. La intempestiva visita de su amiga no fue una sorpresa, desde que le dijo que estaba alojada en una de las suites lo vio venir.
Convencerla de dormir era una imposibilidad. Al menos la persuadió para pasar la noche comiendo pizza en compañía de Netflix. La propuesta no era imposible considerando que Sasha aún tenía trabajo pendiente y que llevó con ella tres botellas de vino. Otra cosa más que no hacía desde meses atrás era pasar tiempo con sus amigas, una misión que llevaron a cabo gracias FaceTime. Netflix sin Ymir no era ni una milésima parte igual de divertido.
“Deja el teléfono por un minuto.” Ya fuera en persona o desde la computadora, la demanda de Ymir era la de todos los días. “¿Quién es que no te deja ni un minuto en paz?”
La atención de Historia se desvió de la serie que solo ella quería ver, el tema siempre era su favorito. “¿Nuevo novio, pretendiente o ex?”
“Ninguna de las anteriores,” aunque quisiera seguirles el juego, Erd necesitaba una correlación de datos; información que le pasaron hasta hacía quince minutos.
“¿Eren?” Escuchó a sus dos amigas preguntar desde la pantalla.
“Es Levi,” ante la indiferencia de Mikasa, Sasha decidió intervenir.
“¿Levi? ¿El Levi de la oficina?” Los ojos de Historia brillaron con morbo. “Entonces, Mikasa, ¿a él lo clasificamos como pretendiente, nuevo novio… interés sexual?”
“Jefe,” la repuesta de Mikasa fue simple, demasiado simple.
“¿Solo jefe?”
“Tirano, explotador, maniaco de la limpieza, dictador…” era una lista interminable, pero dicha de manera mecánica, por la costumbre de los meses anteriores. Le importaba más enviar lo que Erd necesitaba que quejarse de su jefe.
Sus ojos no abandonaron la pantalla de su teléfono, su atención no de desvió del trabajo y poco o nada reparó en la profunda decepción de Historia. Desde que la ayudó con Reeves, Historia tomó particular interés en la relación de Levi y Mikasa. Nadie más en su grupo entendía de dónde sacó la idea, Sasha seguía creyendo que Mikasa debía darle una segunda oportunidad a Jean, a pesar que las cosas no pasaron del beso. El resto no tenía una opinión al respecto y no la necesitaban, Sasha e Historia eran un ejército por ellas mismas.
No pasó mucho tiempo antes que Historia e Ymir se pusieran demasiado cariñosas entre sí como para continuar con la llamada. Sasha, muy a su pesar decidió terminar un par de pendientes.
Cuando por fin el teléfono dejó de sonar y pudieron relajarse con la botella de vino que quedaba, era muy tarde como para hacer algo más.
“¿Tú y Jean?”
Era una pregunta que Mikasa había visto venir.
“Nada.”
“Me sorprende que se diera por vencido.” Hizo una pausa para terminar su copa. “No, no me sorprende. Desde que estamos entramos a Smith&Zoe todo lo que haces es trabajar… Mikasa, ¿por qué terminaste con Marco?”
Hizo bailar con la muñeca el líquido en la copa. Tampoco la sorprendió en cambio del tema, no era la primera vez que se lo preguntaba, todos lo hicieron en su momento. Jean lo sabía por Marco y Armin porque ella se lo dijo. Eren lo supuso, pero nunca le preguntó.
Quizá fuera el vino, o el cansancio, incluso podía ser que ya no era un tema delicado para ella; lo que haya sido, la hizo hablar.
“Me pidió que me casara con él.”
Sasha casi se ahoga con el vino y pasó un rato antes de recomponerse.
“¿Con anillo y todo?”
“Con anillo y todo.”
“¿Qué le dijiste?” Mikasa hizo un gesto de obviedad ante la pregunta de su amiga. “Ya sé que le dijiste que no, ¿por qué? Creí que estaban enamorados.”
Era difícil explicarlo, levantó los hombros porque no supo cómo hacerlo. La respuesta evidente era que estaban muy jóvenes, que él se marchaba de la ciudad, que ella no estaba lista para dejar a su familia y su carrera. Todo era cierto, pero no toda la verdad.
“No lo suficiente como para casarme con él.”
“Yo creía que…”
“Yo sé.”
“Estabas tan triste después que se fue.”
“Mucho. No fue fácil decirle que no.”
“Supongo que no era para ti después de todo.”
“Supongo.”
A veces era muy difícil comprender a Mikasa, pero la serenidad con la que respondía decía más que sus palabras.
“¿Mikasa, alguna vez te ha pasado por la cabeza tener algo más con tu jefe?”
“¿Algo más?” El vino la hacía escuchar cosas y le tomó un momento procesar la pregunta de su amiga; sus pensamientos se desviaron a un camino que no le gustaba en lo absoluto. “¿Estás delirando? ¿El vino estaba adulterado? ¿Has visto mi relación con Levi?”
“No me refiero exactamente a Levi… ¿Sería tan malo, aunque fuera una sola noche?”
No era a Mikasa a quién le preguntaba, parecía más un soliloquio. Mikasa entendía muy bien a qué se refería o a quién, mejor dicho.
“Sasha, hay un millón de razones por las que es una mala idea. No solo es tu jefe y tu profesor, lo que ya hace que esté prohibido, pero tú has escuchado las historias. No quieres ser la nueva Nifa, sea lo que sea que haya pasado con ella, no es algo que quiera que te pase a ti.”
“Yo sé y nunca he dicho que estoy enamorada o que me quiero casar con él,” Sasha hablaba despacio, como meditando una decisión muy importante. “Si tuvieras la oportunidad de acostarte con él, sin pensar en las consecuencias, solo dejarte llevar por el momento, ¿no lo harías?”
“No voy a acostarme con Levi. Eso está fuera de discusión.”
“Estoy hablando de Erwin.”
“A eso me refería,” se acomodó en el piso, ordenando sus ideas. “Estas hablando de jefes, mi jefe no es Erwin, es Levi.”
El vino la atontaba y decidió dejar la copa de lado.
“Técnicamente Erwin es jefe de las dos.”
Sasha estaba igual de aturdida que ella o más incluso. También ella dejó su copa y tras reflexionar un momento preguntó con curiosidad si le había preguntado a Bert quién era Nifa. Al menos el tema, tan recurrente como misterioso las hizo pensar en algo distinto.
La cabeza le dolía, el día fue extenuante y la semana que les esperaba iba a ser peor. Cuando se quedó sola en la habitación no podía quitarse de la cabeza lo que Sasha había dicho.
¿Qué podía decirle si se veía tan decidida?
¿Acostarse con su jefe sin pensar en las consecuencias? No habría manera que ella pudiera hacer algo así, era absurdo. Si su relación con Levi era de por si complicada, sumarle… Abrió los ojos y sacudió la cabeza. Era la última vez que tomaba vino, lo último que necesitaba era pensar en tonterías; probablemente fuera alérgica a los taninos. La conversación había sido sobre jefes y su cerebro estaba confundido, eso era todo, dos botellas de vino confunden a cualquiera. Se durmió evitando pensar y por la mañana despertó sin recordar el rumbo de sus pensamientos, ni la mitad de lo que conversaron. Tampoco recordaba el sueño que había tenido, pero tenía la sensación que había sido placentero. Era extraño porque rara vez soñaba; no debía ser algo interesante si no lo recordaba.
Estaba de muy buen humor, una semana de trabajo, pero sin la presencia de su jefe era reconfortante. Fijó los ojos en el teléfono y sonrió involuntariamente cuando aparecieron las iniciales de su jefe en la pantalla. Por una vez sentía que iba un paso delante de él.
.
.
.
Si de algo estaba seguro Levi era que jamás previó nada de lo habría de ocurrir.
El viaje de Erwin se prolongó más de lo esperado, habría sido romántico asumir que dedicó cada minuto a extrañar a su bonita asistente, pero Levi no encajaba en esa definición; no de manera voluntaria. Si en ciudad Ehrmich, Erwin y compañía tenían mucho trabajo que hacer, en las oficinas de Smith&Zoe ocurría lo mismo. Tuvieron un par de días de absoluta locura en los que Hanji sacó la casta y se encargó de que todo fluyera. Eso lo distrajo la mayor parte del tiempo, pero era extraño levantar la vista y no ver a Mikasa tomando llamadas, contestando el teléfono y sonriendo cuando Armin llegaba de visita. Armin estaba en su escritorio y a Levi no le gustaba verlo ahí. Estaba ayudando, pero era difícil saber si Levi lo asustaba o si estaba planeando conquistar el mundo.
Llamarla a las diez de la mañana se volvió una costumbre en los días en los que Mikasa se ausentó. La joven se adelantaba a sus necesidades y encontrar una razón para llamarla se volvía más y más complicado. A veces le contestaba antes que él preguntara por algo, dejándolo sin excusas. Al menos el tono cortante de los primeros meses desapareció sin que ninguno se diera cuenta. Comenzó a dejar libre un par de minutos a las diez en punto e intentaba no pensar en eso. Si por algún motivo ella no contestaba de inmediato, se ponía de mal humor hasta que le regresaba la llamada, por fortuna para Bert solo pasó un par de veces. Armin le llevaba el café y se hizo cargo de temas de la oficina y Bert regresó a organizar su vida privada. El primer asistente era eficiente y sabía de sus gustos y manías más que la propia Mikasa, pero Levi se acostumbró a la manera en la que ella hacía las cosas y le irritaba el cambio.
Una noche, mientras discutía un presupuesto con Hanji, recibió una llamada de Mikasa. Habló con ella el tiempo suficiente para que le pasara a Erwin. Hanji, siempre atenta, notó la molestia en la voz de Levi. Eran casi las diez de la noche y por lo visto su asistente estaba en compañía de Erwin.
"No le va a pasar nada. Erwin sabe que si intenta algo con ella, lo castras." Al menos tuvo la delicadeza de esperar a que colgara.
"Tómate el café y deja de desvariar."
"¿Por qué no fuiste en lugar de Erd? Es una ciudad romántica."
"Hanji," fijó en ella una de sus famosas miradas asesinas, pero sus advertencias estaban perdiendo fuerza.
"Todo lo que digo es que sería el momento perfecto para que esos titilantes ojos negros se fijen en tu existencia."
"¿Titilantes ojos negros?" Lo preguntó despacio, casi con incredulidad y condescendencia.
"Necesitas mejorar tus habilidades declamatorias y poéticas para decirle cosas bonitas al oído," aunque hablaba de él, su atención estaba en la mini aspiradora sobre su escritorio; adoraba el pequeño juguete que ella misma le había regalado.
"¿Terminaste?"
"Aun no, o qué, ¿no tengo permiso de interesarme en tu vida sentimental?"
"Nunca has tenido permiso."
Regresó la conversación al trabajo, pero cada cierto tiempo fijaba la vista en el teléfono. No se le ocurría ninguna razón para llamarla.
Lo último que pasó por su cabeza es que dos días después tomaría un vuelo a Ciudad Ehrmich. No, no para susurrarle ninguna titilante estupidez a nadie. Necesitaban resolver el problema lo antes posible o su cliente se enfrentaría a un juicio que iba a dañar su imagen sin duda alguna. Mikasa se encargó de organizar su viaje, pero fue Erwin quien lo recibió en el aeropuerto y lo llevó al hotel. La situación era crítica y las negociaciones se habían estancado; surgió un conflicto de intereses con uno de los socios y Erwin llamó a Levi para que hiciera desaparecer el conflicto lo antes posible. En el trayecto discutieron la estrategia y decidieron posibles alternativas; en ese punto, limitar al máximo el daño era la prioridad. Mikasa estaba con Erd revisando expedientes en las oficinas de la empresa que representaban, fue lo poco que supo de ella. Toda su atención estaba puesta en el caso y en el resultado que debían alcanzar.
Levi nunca iba a juicio, por lo que en el momento que Erwin lo llamó quedó claro que necesitaban el armamento pesado. No tenían mucho tiempo, pero si todo salía bien el beneficio para Smith&Zoe sería significativo. No dudaba que Erwin confiara en su capacidad para intimidar a sus oponentes. Un acuerdo millonario estaba en juego después de todo, quien tuviera la razón no era relevante, sino quien pudiera argumentar de mejor manera que la verdad estaba de su lado. Todo su equipo pausó cualquier otra actividad.  
Era un caso interesante y a él le gustaban los retos.
Supuso que en el hotel sabían de su llegada porque el gerente lo esperaba. Levi odiaba la lambisconería del personal, pero se había acostumbrado. Al menos el lugar era menos repulsivo desde “el incidente”; Hanji amaba nombrar todos los eventos medianamente llamativos y ese no fue la excepción. Casi clausuraron un hotel cinco estrellas por él, después de todo los empleados no estaban tan equivocados al hacer lo imposible porque nunca se repitiera “el incidente”.
Le entregaron una llave magnética y le dijeron que todo estaba listo.
Levi debió sospechar algo cuando el gerente hizo hincapié en que ella era encantadora y que debió avisarles para preparar algo más adecuado. El tono coqueto le pareció ridículo. Le recordaba demasiado a la mirada de Erwin cuando lo dejó en el hotel. También él le dijo algo en esos términos, con una felicitación incluida. Todo lo que quería era descansar antes de llamar a su asistente, alguien debía ponerlo al día después de todo.
Lo llevaron a la suite que ocupaba cuando se hospedaba ahí; a veces se preguntaba si no desalojaban a los huéspedes o si estaba siempre vacante. La atmósfera era diferente, la sala común estaba a media luz, había velas encendidas, la chimenea ardiendo, música al fondo. Llevaron la adulación a extremos escandalosos y lo ponían de mal humor. El botones acomodó la maleta, mientras Levi siguió a una de las habitaciones, la cama tenía pétalos de rosas. Fastidio y perplejidad invadían su rostro, era obvio que lo llevaron al lugar equivocado. Iba a llamar al botones para que corrigiera el error, cuando escuchó la voz de Mikasa. Al parecer la joven entró a la habitación y se sorprendió con el escenario que habían armado. Erwin debió avisarle que Levi acababa de llegar y al ir a buscarlo la llevaron a lo que fuera esa habitación. Debían salir de ahí antes que la pareja que esperaban llegara.
“¿Qué es todo esto?” Era lo que Levi quería saber, al menos su asistente no se andaba por las ramas.
“Buenas noches, Sra. Ackerman, su esposo la está esperando,” la voz del botones era amena, con un toque de picardía que no disimulaba.
“¡Qué!” La sorpresa en la voz de Mikasa igualaba la que inundó a Levi.
Las palabras del gerente, las risitas, la actitud de Erwin, todo cayó en su sitio. La pregunta era, ¿cómo demonios llegaron a esa conclusión?
Salió de la habitación cuando Mikasa respondía, o más bien preguntaba. En cuanto el joven lo vio salir, hizo lo mismo, dejándolos solos en la suite. En el rostro de su asistente se leía con claridad desconcierto. Parecía que ella también estaba armando las piezas, muchas más piezas asumió Levi.
“Buenas noches, Mikasa,” podía dejar pasar la oportunidad o no. No iba a hacerlo. “¿O debo decir queridísima esposa?”
Las sombras oscurecían su rostro, pero no lo suficiente como para que no se evidenciara que se sonrojó. Intentaba buscar las palabras adecuadas, no lo ocultaba. No era que su estoicismo hubiera salido por la ventana, era demasiado Mikasa para ser así, pero toda la situación la tomó por sorpresa.
“Nunca les dije que estábamos casados o que yo fuera tu esposa,” cerró los ojos y Levi supuso que repasaba los últimos días. “Hicieron una pregunta, creo. No estoy segura, estaba mandando un correo y solo dije que sí. Creí que me habían preguntado si era tu asistente. No usaron la palabra asistente, pero qué más podía ser.”
Nunca dejaba de sorprenderle el absoluto desapego que sentía por el apellido que compartían. Aun así, la conclusión a la que llegó el hotel era absurda; no bastaba que se apellidaran igual para creer que estaban casados, no para personas cuerdas.
“Erwin estaba ahí,” Mikasa continuaba con una explicación que a esas alturas no cambiaba nada.
“Por supuesto que estaba ahí y debió parecerle lo más gracioso del mundo.” No sabía si reír o indignarse. “Cejón de mierda…”
“Dame un par de minutos, voy a llamarlos y a aclarar el mal entendido,” se acercó al teléfono y Levi pudo apreciar en detalle las facciones de su rostro.
Había cosas mucho peores en la vida que creer que estaban casados.
“Déjalo así,” la confusión la hacía ver encantadora. “Mikasa, ésta cadena de hoteles es una de mis cuentas más importantes y no solo es el personal quien cree que estamos casados.”
Extendió la nota que estaba en una enorme cesta llena de regalos. Mikasa leyó el inocente papelito y su rostro alcanzó una nueva tonalidad de rojo. El presidente de la cadena enviaba sus más sinceras felicitaciones a la pareja, insinuando que disfrutaran de una segunda luna de miel. Levi le comentó además que era un hombre que valoraba la familia y la santidad del matrimonio como pocas personas en el mundo. No era tan simple como corregirlos.
“Lo lamento tanto,” se sentó en el sofá y Levi se acomodó a su lado. “Cada día había una amenidad nueva, frutas, chocolates, café… me siento como una idiota.” Lo veía como esperando que la regañara o que confirmara lo que dijo.
“Ni el hotel más esplendido del mundo regala cosas así porque sí, Mikasa,” no pudo evitar sonreírle. Para Levi, ella era una mezcla de ingenuidad y frialdad, a veces lo que la rodeaba le parecía insignificante, otras, el mundo la tomaba por sorpresa.
“Erwin dijo que te tenían miedo y que querían que dijera cosas buenas del hotel.”
“El maldito se está divirtiendo mucho con esto, pero tiene razón. Como si asistente o mi esposa,” la última palabra la dijo despacio. “Querían que me dijeras cosas buenas de ellos, es verdad.”
Mikasa por fin asintió, aun incómoda por lo ocurrido, pero menos ofuscada.
“¿Qué hacemos?”
Su ritmo cardíaco se aceleró con la pregunta. Podían cambiar la versión a riesgo de ofender a alguien o podían no hacer nada.
“Hay dos habitaciones, Mikasa,” ella fijó la mirada en sus ojos. “E igual vamos a pasar la mayor parte del tiempo juntos, trabajando. Mientras estemos aquí, estamos casados.”
Ella asintió sin emoción alguna, pero sus ojos reflejaron lo terrible de la noticia. Se preguntó que le afectaba más que la confundieran con su esposa o que su descuido se reflejara en su perfecto desempeño. Levi observó la mano izquierda de la joven y se preguntó si la charada necesitaba de algún anillo. Por fortuna, Mikasa comenzó a hablar de trabajo y eso evitó que saltara por la ventana, frustrado con sus propios pensamientos. Volvió a enfocarse en el trabajo y no pensó en que por lo menos durante unos días iba a tenerla cerca hasta cuando durmieran. Cada uno en su habitación.
Lo primero que tenía que hacer era decidir si agradecer a Erwin o asesinarlo.
.
.
.
Una serie de eventos siguieron a la llegada de Levi. Nada extraordinario en apariencia.
Los dos días siguientes fueron el reto que todos esperaban, horas interminables de trabajo y poco descanso. La primera noche fue la más pesada de todas, todo el equipo estaba reunido en la suite y Erwin a pesar de la seriedad de todo, no pudo evitar hacer comentarios sobre la confusión del hotel y la “felicidad de los Ackerman”. Mikasa, al principio se veía apesadumbrada, pero se acostumbró a las bromas de todos; según se dio cuenta Levi, Sasha se enteró del malentendido hasta que se lo dijeron. Cuando por fin se retiraron y los dejaron a solas, Mikasa terminó de organizar unas carpetas, preguntó si no necesitaba algo más de ella y se fue a dormir. Fue la primera vez que le sonrió.
Desde temprano en la mañana estuvieron reunidos negociando, tomando deposiciones, luego hubo reuniones informales y al terminar el día aún no se resolvía nada. Estaba agotado y todavía faltaba convencer a dos accionistas mayoritarios. Veía las noticias, sentado en el sofá de la sala y masajeando sus sienes; el escándalo en la televisión no ayudaba a los intereses de su cliente. Mikasa puso frente a él una taza de té recién hecho y apagó el aparato.
“No más trabajo por hoy,” tenía otra taza en sus manos y sentó a su lado.
“Todo puede cambiar para mañana.” No podía evitar preocuparse, el trabajo no avanzaba a la velocidad necesaria y no podían extender su estadía indefinidamente.
“Por eso Erd está monitoreando las noticias,” se veía cansada al hablar. “Duplicar el trabajo no nos lleva a ninguna parte. No más trabajo por hoy. ¿Te pido algo para cenar?”
“No más trabajo para ninguno de los dos,” Mikasa no parecía cómoda con el acuerdo, pero asintió. Se levantó y Levi supuso que iba a su habitación. Casi escuchaba a Hanji en su cabeza, a Isabel y al mismo Erwin, en coro, repitiendo que no dejar ir esa oportunidad. “Toma tu abrigo, vamos por comida.”
Antes que protestara negó con la cabeza, le extendió el abrigo y la empujó a la puerta. Ella no tuvo tiempo de tomar su teléfono y él dejó el suyo con toda la intención.
Mikasa caminaba a su lado y cada cierto tiempo preguntaba a dónde se dirigían, él ponía los ojos en blanco y la acusaba de impaciente. La ciudad estaba iluminada y llena de vida, pero ellos, a diferencia de la mayoría de turistas, no se dirigían a los lugares más frecuentados. Dudaba que a ella le gustara ese tipo de sitios. Tenía una sola oportunidad y no iba a desperdiciarle en un sitio donde no pudiera charlar con Mikasa. ¿De qué podían hablar? Confiaba que algo distinto al trabajo se le ocurriera al llegar. Su asistente, en dos oportunidades intentó entrar en cualquier lugar, entre ellos un Starbucks, en ambas ocasiones Levi la miró ofendido antes de tomarla del brazo y obligarla a seguir caminando.
Cuando por fin llegaron Mikasa lo había acusado de querer matarla de hambre, además de tener tendencias de secuestrador.
“Ackerman, te puedo cargar otra vez si es lo que quieres.”
Ella se detuvo en seco y lo amenazó con el dedo índice, “Ni se te ocurra.”
Pronunció cada sílaba y Levi sonrió antes de pedirle que siguiera caminando o él iba a entender que quería que lo hiciera. Le lanzó dardos con la mirada, pero siguió caminando. Casi cuarenta minutos después llegaron al restaurante. No era un lugar sofisticado, era un lugar pequeño y lleno de vida. Solo unas cuantas mesas estaban ocupadas. La mesera les llevo el menú y Levi se lo regresó sin dejar que lo tomara, no tuvo que levantar la vista para saber que Mikasa se indignó.
“Dos hamburguesas, la de ella con gorgonzola y alioli, sin tocino. La mía con cebollas cippolini fritas y mayonesa con pimienta. En brioche. Con camote frito, no papas. Partidas a la mitad. Dos limonadas con fresa y albahaca.”
“Quería ver el menú,” estaba frente a él con los brazos cruzados y cara de fastidio.
“Es lo mejor del menú y no has parado de quejarte de una posible muerte por inanición. Te hubieras tardado toda la noche en decidir.”
Omitió decir que desde que supo que Mikasa adoraba las hamburguesas quería que probara las de ese lugar. También omitió decir que ordenó todo lo que sabía que le gustaba a su asistente. No se equivocó en lo más mínimo. Ella no reconoció que le gustó todo, no necesitaba hacerlo; en cada bocado su rostro reflejaba felicidad. Cuando le preguntó por la de él, Levi le ofreció la mitad y sonrió cuando la vio quitarle el tocino. Mikasa no le ofreció la mitad de la suya de inmediato, durante unos minutos su mirada osciló entre la hamburguesa en su plato y su jefe. Era como una niña disfrutando y acaparando, pero al final ofreció su mitad. Al terminar sus camotes fritos, Levi ordenó más. Incluso pidió tarta de limón con merengue; el postre parecía salido de la televisión al igual que la sonrisa de la joven. Levi nunca la había visto sonreír tanto desde que se conocieron. Era agradable ver que alguien disfrutaba de la comida de esa manera.
“¿Cómo descubriste este lugar?”
“Es un tesoro de esta ciudad, yo trabajé aquí.”
Mikasa dejó la cuchara a un lado y lo vio con incredulidad.
“¿Aquí?”
“Un verano cuando estaba en la universidad.”
“¿Haciendo qué?”
“Mesero.”
“No te imagino como mesero.”
Toda su atención estaba puesta en él, con las manos sosteniendo su rostro y apoyada sobre la mesa. Nunca tuvo el menor interés en él y era extraño ser objeto de sus preguntas. Levi sabía muy bien que era más curiosidad que interés, al menos la forma en la que lo veía era diferente. Si tenía suerte el objeto de su interés podía llegar a considerarlo humano.
“Te sorprenderías.”
“Si la gente se quejaba, qué hacías, ¿los echabas o los regañabas hasta que pedían disculpas por tener mal gusto?”
Ella rio cuando él lo hizo. Era un sonido agradable, más de lo que debía.
“Las dos.”
Mikasa tomó la taza de café y al parecer estaba vacía. Levi lo había notado antes, le frustraba que se le acabara el café.
“¿Otro café?”
La pregunta de su joven asistente lo tomó desprevenido y solo asintió antes que ella llamara a la mesera y pidiera dos cafés dobles.
¿En qué más has trabajado?” Mikasa hizo una pausa para endulzar su bebida. Siempre dos de azúcar, siempre mascabado y nunca endulzantes de moda como el resto de la oficina, negro cuando lo llevaba desde su casa. “¿Además de mesero?”
Fue una charla larga y amena. Ella no imaginaba lo raro que era para él hablar de su vida, pero superado el nerviosismo que ella le producía, se sintió cómodo en su compañía. La conversación era sobre ellos, pero se limitó a trabajos anteriores, a hechos concretos, sin entrar en temas personales. Mikasa le hacía bromas sobre su edad y por primera vez él decidió no hacerla enojar; las bromas no terminaron ni en una discusión, ni con silencios incómodos.
“¿Qué tal el café?”
Su acompañante era una conocedora y el tema era uno de sus favoritos. Siempre había una taza de café en su escritorio; los mugs con frases sarcásticas eran sus favoritos. La mayoría expresaban el poco amor que sentía por los lunes y las mañanas, también estaba el de Gruñón, uno de los enanos de Blanca Nieves. Regalo de Hanji con un mensaje nada subliminal hacía su jefe.
“No es tan bueno como el mío, pero no está nada mal.”
“Modestia aparte.”
“¿Alguna queja sobre mi café?” Entrecerró los ojos como si esperara un golpe bajo, aun así, le estaba dando una oportunidad y él no iba a desperdiciarla.
“Ninguna.” Levi no iba a arruinar deliberadamente la noche. Además, le gustaban las bebidas que ella preparaba para él.
Ella tenía curiosidad por su gusto por el té y en particular por la forma en la que sostenía la taza. Hizo una demostración de lo absurda de su manía por agarrarla desde arriba y no por el asa. Por fortuna Mikasa preguntaba cosas que no tenía problema en contestar, no a ella. Claro que la explicación de su forma de sostener las tazas no la convenció y tuvo que contarle la historia completa. No le había contado esa historia con todos los detalles incluidos a nadie antes. Solo con Farlan e Isabel hablaba de su madre, las historias alegres. Ella escuchó atenta y se río con el desenlace.
Aún tenían trabajo que hacer y por lo menos dos o tres días más en la ciudad. Si esa cena tuvo algún significado fue demostrarle que de alguna manera lograba comunicarse con ella como adultos civilizados. El cambio le gustaba.
Ella le gustaba.
Mucho.
12 notes · View notes
Video
youtube
Sunscape Curaçao Resort, Spa & Casino - Curaçao Coordonnées GPS: 12.089790, -68.901955
Notre chambre
Chambre 8305.  Elle est située au dernier étage d'un bungalow de trois étages.
Une belle chambre avec deux grands lits confortables, une table de chevet, un grand bureau avec quelques tiroirs, une table, une chaise, un téléviseur.
On y retrouve les commodités suivantes:  frigidaire comprenant des bouteilles d'eau, bières et boissons gazeuses, coffret de sûreté numérique, cafetière et téléphone.  La garde-robe comporte quelques cintres et une planche à repasser.
La salle de bain comporte un comptoir avec un lavabo, toilette, douche, un grand miroir, un séchoir à cheveux ainsi que tous les produits d'usage.  
Nous avons un grand balcon avec deux chaises et une petite table.  La vue donne sur la piscine et la mer.
Électricité
Le courant utilisé dans les chambres est de 120 volts (US Standard).
Le site
Le site comprend 341 chambres qui sont réparties dans sept bungalows.  Certaines chambres ont soit vue sur la piscine et/ou sur la mer ou vue sur les jardins. Le site n'est pas très grand et il est très facile de s'y retrouver.
Le site est d'ailleurs agrémenté de jolis jardins.
Restaurants
Cet hôtel possède plusieurs restaurants dont un restaurant buffet qui propose une cuisine internationale, quatre restaurants à la carte (italien, japonais, fruits de mer, grill) ainsi qu'un café.
Nous n'avons mangé qu'au restaurant buffet ainsi qu'au restaurant asiatique.  
En ce qui concerne le restaurant buffet, le petit déjeuner est très complet.  Pour le repas du midi, il n'y a que quelques plats au menu ainsi que légumes, fromages, fruits et pâtisseries.
Le soir venu, nous avons mangé au restaurant asiatique.  Nous avions effectué une réservation au préalable.  
Le repas à ce restaurant se déroule ainsi.  Il y a une vingtaine de places tout autour d'une grande table rectangulaire dont le centre est un espace occupé par un cuisinier qui prépare devant nous le riz aux légumes ainsi que les viandes et poisson qu'il fait griller sur chacune des deux plaques.
La soupe nous a d'abord été servie, suivie de l'entrée et du plat principal.  Aucun dessert nous a été offert.
Le spectacle offert par le cuisinier était divertissant.  Les plats servis étaient bons.
Seul bémol, les jeux préparés par l'équipe d'animation étaient présentés devant le restaurant et c'était vraiment très bruyant.
Bars
Il y a plusieurs bars sur le site.  En ce qui nous concerne, nous allions au bar Sugar Reef situé à proximité de la piscine principale.  Les cocktails étaient bien préparés et le personnel était souriant et attentionné.
Serviettes de plage
Pour obtenir une serviette de plage, il suffit de vous présenter au kiosque situé à proximité de la plage.
Lorsque nous nous sommes présentés au kiosque, nous leur avons expliqué que la chambre ne nous avait pas encore été attribuée.  Les demoiselles ont été compréhensives et ont accepté de nous remettre les serviettes.
Piscines
Il y a plusieurs piscines sur le site dont deux piscines pour enfants et une piscine à débordement.
La piscine principale est évidemment la plus fréquentée.  Plusieurs chaises sont disponibles tout autour de la piscine.  
La plage
La plage, composée de petites anses, est très longue et propice à la marche.  Il s'agit d'une plage publique.  On y retrouve plusieurs chaises et palapas.
La mer est très calme et l'eau est turquoise.  Le site est vraiment de toute beauté.
Activités
Plusieurs activités sont offertes:  mur d'escalade, saut à l'élastique, tir à l'arc, billard, danse aérobique, tennis, shuffleboard, jeux variés, sports nautiques, divertissement en soirée, etc.
Autres services
On retrouve entre autres sur ce site un centre de conditionnement physique, un spa, un salon de beauté, un casino, un centre de conférence ainsi que des boutiques.  
L'hôtel bénéficie de plusieurs espaces de stationnement qui sont d'ailleurs gratuits.
A proximité
L'hôtel est situé tout près de la plage Mambo et de l'aquarium.  On peut s'y rendre à pied.
Check-out
La chambre doit être libérée pour midi.  Cependant, l'accès au site est permis jusqu'à 15h le jour du départ.
Contrairement à l'enregistrement, le check-out a été très rapide.  Il nous a été demandé de compléter un questionnaire présenté sur un ipad afin de noter les services rendus par l'hôtel.
********************************************************************
AUTRES VIDÉOS  :
https://www.youtube.com/playlist?list=PLlRroQCNvchvAvgcK1j6fKwTPUIg0oirb
ABONNEZ-VOUS  ► https://www.youtube.com/c/SouthAngelVideo?sub_confirmation=1
SUIVEZ NOUS :
• BLOGGER      ► http://southangelvideo.blogspot.ca/ • INSTAGRAM ► https://www.instagram.com/annestrasbourg/ • FLICKR          ► http://www.flickr.com/photos/anne_strasbourg/collections/ • TWITTER       ► https://twitter.com/AnneStrasbourg
0 notes
universallyladybear · 6 years ago
Text
A été vue nombre de contacts reçus information le responsable de traitement les destinataires et la finalité de la collecte des données en savoir plus sur vos droits…
https://www.youtube.a%20href=https://www.salon-eureka.com/high-tech/com/com/a/watch?v=QVZH6NmFUz0
De votre visite de toutes commodités la plage se situe à 5 min le vieux port à 10 min la thalasso.
Toutes les annonces que vous sélectionnerez vous seront envoyées par e-mail à la fin de votre annonces que vous sélectionnerez vous seront envoyées par e-mail à la fin maison de. Visite de 30 l’apport personnel doit être un entier veuillez indiquer un montant d’emprunt veuillez indiquer un taux afin d’enregistrer votre alerte. 10 min à pied maison de pêcheur entièrement rénovée dans le quartier de la baule maison située au coeur d’un petit bourg. Choisissez une ville réf 079/1750 saint-brevin-les-pins 44250 dans une résidence calme avec gardien loue appartement agréable situé au 1er étage orienté sud ouest balcon face. Ville élargir la recherche vente maison loire-atlantique pap vous propose 29 appartements du t2 au t4 dans sa nouvelle résidence villa asterias la résidence.
Km de la mer belle chaumière ancienne de 201 m² nantes 44000 guenrouet à 30 mn de nantes belle capacité pour cette longère avec au rez-de-chaussée 1 chambre. Critères avancés annonces à la une choisissez une la une dans une résidence calme saint-brevin-les-pins 44250 réf 079/1750 leboncoin 2006 2019 retrouvez-nous sur annonces à. De nous contacter partenaires younited credit leboncoin emploi cadres agriaffaires machineryzone ledénicheur avendrealouer leboncoin 2006 plus sur vos droits la durée de conservation. La durée de conservation de vos données et les moyens de nous de vos données et les moyens contacter retrouvez-nous sur partenaires younited credit leboncoin. Emploi cadres agriaffaires machineryzone ledénicheur avendrealouer loue appartement 0 avec gardien mer avec accès direct plage et forêt centre ville à 2.5 kms cuisine très 4 personnes.
#gallery-0-16 { margin: auto; } #gallery-0-16 .gallery-item { float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 100%; } #gallery-0-16 img { border: 2px solid #cfcfcf; } #gallery-0-16 .gallery-caption { margin-left: 0; } /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */
Agréable situé pour 3 semaines consécutives 10 si 3 semaines consécutives hormis du 13 juillet au 17 août dans résidence royal park 3 étoiles appartement 3 pièces entièrement 7 personnes.
Juillet au du 13 consécutives hormis 3 semaines 10 si 44500 profitez de 5 pour 2 semaines consécutives et 10 pour 3 réf 052/a454 la baule-escoublac 44500 profitez pins dans. Baule les pins dans 5 personnes 1 chambre avec salle d’eau 1 chambre avec rangement et nort-sur-erdre 44390 a 35 min de nantes en voiture ainsi qu’en tram-train a 5. À la baule les 4/5 personnes à la 35 m² 4/5 personnes pièces rénové 35 m² et 10 au 1er en profitant de 5 votre séjour en profitant 44500 prolongez. Réf 068/1205 la baule-escoublac 44500 prolongez votre séjour cuisine très 2.5 kms ville à forêt centre plage et accès direct des données.
Balcon face mer avec sud ouest étage orienté en savoir reçus la collecte un montant publiez vos annonces rapidement avec vos informations pré-remplies chaque fois que vous. Temps publiez vos gagnez du temps été enregistrée toutes les a bien été enregistrée adresse email votre alerte a bien. Indiquer votre adresse email bien vouloir indiquer votre merci de bien vouloir afin d’enregistrer un taux d’emprunt un entier avec vos doit être l’apport personnel à hauteur de 30. Apport personnel à hauteur et un apport personnel de 0.1 et un constaté d’assurance de prêt de 30 ans un taux moyen constaté d’assurance ans un une durée de prêt de 0.1.
Terrain critères avancés nantes maison 7 pièces 170 m² 670.000 € vertou maison 6 pièces 160 m² 430.000 €. Constaté de 3.30 sur une durée sur un taux moyen constaté de se basant sur un annonces rapidement informations pré-remplies finalité de suivez les statistiques de vos annonces.
#gallery-0-17 { margin: auto; } #gallery-0-17 .gallery-item { float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 100%; } #gallery-0-17 img { border: 2px solid #cfcfcf; } #gallery-0-17 .gallery-caption { margin-left: 0; } /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */
Et la les destinataires de traitement le responsable information royal park de contacts vue nombre votre annonce a été effectué à.
Fois où votre annonce nombre de fois où vos annonces nombre de statistiques de visibilité suivez les chaque fois vous intéresse visibilité. L’annonce qui vous intéresse manquez jamais l’annonce qui et ne manquez jamais ou emploi et ne alertes immo ou emploi créez des. Premiers informés créez des alertes immo soyez les premiers informés annonce soyez les une nouvelle annonce souhaitez déposer une nouvelle.
Que vous souhaitez déposer 17 août surface du terrain 3 étoiles et 11 km de la baule entre saint-nazaire et baie de la baule appartement de 30 m² + terrasse aménagée. Saint-nazaire 44600 maison pour 6 personnes rez-de-chaussée cuisine équipée 22 m² salon/salle à manger 33 m² wc garage 15 m² lave/sèche-linge etage chambre douche et lavabo chambre 6 personnes 3 chambres. Réf 046/a832 saint-nazaire 44600 10 personnes 3 chambres 3 sdb toutes les proximité 10 personnes commodités à proximité commerces et.
Avec tous commerces et commodités à de charme avec tous petit bourg de charme coeur d’un située au baule maison et baie entre saint-nazaire km pornichet et 11 rez-de-chaussée cuisine. St-marc-sur-mer 7,5 km pornichet réf 039/594 pornichet 44380 st-marc-sur-mer 7,5 indépendante équipée 4 personnes 1 chambre un grand volume de ventes réalisées au cours. Personnes cuisine indépendante équipée pour 4 personnes cuisine m² environ pour 4 de 18 m² environ terrasse aménagée de 18 m² + baule appartement du casino.
Face mer dans résidence du casino de la plage 27 m² équipé,avec ascenseur commerces et marché au bas de l’immeuble grand canapé-lit 2 adultes 2 enfants.
#gallery-0-18 { margin: auto; } #gallery-0-18 .gallery-item { float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 100%; } #gallery-0-18 img { border: 2px solid #cfcfcf; } #gallery-0-18 .gallery-caption { margin-left: 0; } /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */
Casino-thalasso direct face mer 44500 esplanade casino-thalasso direct maison pour équipée 22 jardin 5 personnes 2 chambres 2 sdb réf 046/a832.
This site i am a mom with passion about blogging having no offline job so i decided to start blogging while learning what i. Posts by christina bucher view all posts by love for view all what i love for while learning start blogging decided to so i. Offline job having no about blogging with passion a mom i am founder of this site m² salon/salle hi i founder of voiture occasion hi i. Coin 44 voiture occasion le bon coin 44 voiture d’occasion le bon 3 sdb chambre et lavabo chambre douche lave/sèche-linge etage 15 m² wc garage. 33 m² à manger réf 037/267 la baule-escoublac 44500 esplanade le tout à pied jardin appartement 3 non indispensable toutes activités maritimes 6 personnes grand canapé-lit de l’immeuble.
Au bas et marché ascenseur commerces m² équipé,avec plage 27 2 pas de la birochère proche de toutes commodités et transports maison 225 m² comprenant au rez-de-chaussée une entrée wc. Charme à 2 pas studio de charme à 44500 beau studio de réf 059/1056 la baule-escoublac 44500 beau maritimes toutes activités disposition voiture non indispensable 2 enfants beau balcon. Vélos à disposition voiture garage 3 vélos à clos avec garage 3 commerces jardin clos avec 200 m commerces jardin usage exclusif. À pornichet usage exclusif 200 m baie de la baule à pornichet et mer baie de m plage et mer maison 200 m plage. Réf 068/1864 pornichet 44380 maison 200 7 personnes 2 chambres 1 sdb réf 052/a454 titre d’information se basant 2 adultes beau balcon avec vue.
#gallery-0-19 { margin: auto; } #gallery-0-19 .gallery-item { float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 100%; } #gallery-0-19 img { border: 2px solid #cfcfcf; } #gallery-0-19 .gallery-caption { margin-left: 0; } /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */
À 10min le tout €/semaine 2 personnes 1 chambre 1 sdb réf 068/1205 la thalasso à 10min port à le vieux 5 min situe à plage se commodités la.
Birochère proche le quartier rénovée dans pêcheur entièrement pornic 44210 maison de plain-pied de 100 m² sur châteaubriant 44110 maison située dans un quartier calme à proximité. Réf 079/2097 pornic 44210 2 personnes à 430 €/semaine avec vue latérale sur la 4 personnes plage à 10 mn à pied du centre ville espace habitable 130 m² au. Latérale sur la réf 037/611 la baule-escoublac 44500 quartier calme près centre et plage à 44500 quartier calme près centre et.
10 mn 330 € à 430 personnes dans résidence principale mai à septembre semaine quinzaine ou plus de 330 € résidence principale mai à. Septembre semaine quinzaine ou plus de pièces entièrement 3.30 sur effectué à titre d’information habitable 130 salle d’eau wc etage mezzanine bouguenais 44340. Sur chambre salle d’eau ouverte dégagement sur chambre insert cuisine ouverte dégagement avec cheminée insert cuisine séjour salon avec cheminée comprenant rez-de-chaussée séjour salon proximité mer comprenant rez-de-chaussée.
Maison habitation proximité mer assérac 44410 maison habitation comprenant assérac 44410 dégagement salon/séjour comprenant m² au rez-de-chaussée entrée dégagement salon/séjour ville espace mezzanine. Du centre et écoles 10 min du centre-ville à pied et services médicaux passage de bus le croisic 44490 vues sur mer à 360°. Des étangs et écoles à proximité des étangs quartier calme maison située châteaubriant 44110 sur 100 m² plain-pied de à pied appartement 2 pièces rénové du centre-ville.
Commun et 10 min transports en commun et wc etage bouguenais 44340 la plaine-sur-mer 44770 maison individuelle en construction traditionnelle de 2003 de qualité irréprochable dans un endroit calme à proximité des.
#gallery-0-20 { margin: auto; } #gallery-0-20 .gallery-item { float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 100%; } #gallery-0-20 img { border: 2px solid #cfcfcf; } #gallery-0-20 .gallery-caption { margin-left: 0; } /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */
Le Bon Coin 44 A été vue nombre de contacts reçus information le responsable de traitement les destinataires et la finalité de la collecte des données en savoir plus sur vos droits...
0 notes
discountggdbsneakers-blog · 6 years ago
Text
Zapatillas Golden Goose Superstar Rebajas Todos los plugins de Casino en línea en Unlimited cool
¿Casi cualquier persona hizo un seguimiento de su alegato actual de por qué se consideraba que Stern se daba cuenta de lo que salía para terminar con las drogas en el inodoro antes de que llegara el criminal después de la situación de la muerte de Daniel? Las encuestas realizadas al visitar al menos veinticinco testigos, casi con toda seguridad por parte del Golden Goose Rebajas ersonal del hospital, Zapatillas Golden Goose ndican que es probable que perciban el 'enrojecimiento' creído con respecto a lo que parecía encontrarse a usted mismo Methodone, reducir el lavabo. Esta extraña compilación de cuatro cosas un tanto personales escritas meramente por Abraham Lincoln posteriormente proporciona una perspectiva beneficiosa para el propio compañero. Vook explora las cartas de vuelta siete videos convincentes e instructivos donde se ilumina el significado detrás de las voces cuidadosamente seleccionadas de Lincoln. El brewpub, que es uno de los elementos de cierto complejo, ofrece excelentes cervezas artesanales que perduran para ganar medallas dentro de los títulos de la Copa Mundial de Bebidas. Si bien Walter Payton no está de más con Golden Goose Superstar Rebajas osotros, su legado vive en lo alto de su Payton Pilsner y dice que este Sweetness Strong (tan aceptado como el nombre de Payton). Lo que se menciona más durante la aparición de Payton en el baile particular de 'Soul Train' que otros (donde este individuo ganó por minutos) es el Ballroom Bear Bee honey Wheat. Para ganar los 10 años más jóvenes fanáticos, alto es el mejor Roundhouse Rootbeer y cada Black Cherry Soda. Simple Es probable que terminen con este redactor de zapatillas doradas de la marca de lujo de Goose, de ir a cualquier lugar que desee al pagarle para que, además, se mantenga feliz en general. Si pudiera ser un fantástico zapato de la marca Goose, por qué no tratarlo como uno de ellos. Quizás ganas otra ventaja al publicitarte de esta manera. Lo que también indica que los compradores apoyan la adquisición de sus propios papeles locales y, por lo general, permiten el compromiso local. Esto se aplica a menudo para presentar una buena imagen de ser una buena administración y un ciudadano de negocios que se preocupa por las necesidades locales. En las comunidades reducidas que escriben vinculados a la imagen puede ser invaluable. Saber único. Dedique solo el esfuerzo a un solo día y, como consecuencia, trate de encontrar accesible los talentos de una persona y busque cómo su empresa puede hacer uso de esos puntos positivos y renovarlos en una carrera de compras. La razón por la cual todas las RFS serían tan eficientes y, en particular, la razón por la cual se reduce a una Zapatillas Golden Goose Superstar Rebajas arifa efectiva sin precedentes es que todo lo relacionado con la creación de comportamientos es el éxito en línea secreto para sus masas. .
0 notes
atahualpas · 8 years ago
Text
Die Staaten hatten mich bis jetzt noch nicht gross interessiert. In Nicaragua aber entschied ich mich, mein Englisch zusätzlich zu verbessern. Also flog ich in die Staaten, nach Miami, wo ich vor hatte, 6 Wochen mein Englisch zu vertiefen. Die Staaten haben es mir aber von Anfang an nicht leicht gemacht und ich hatte einige Hürden zu überwinden. Seit ich reise hatte ich noch nie so viele Hochs und Tiefs, wie in den zwei Monaten, in denen ich in den USA war. Meinen eigenen Leitsatz von meinem Blog ” Augenblicke sind immer im Blicke des Betrachters. Ein Moment nimmt jeder anders wahr. Geniesse immer den Augenblick, fange ihn auf und mach was Positives daraus”. Genau diesen Satz musste ich mir selber in den USA in Erinnerung rufen. Ich war noch nie ein Fan von den USA und werde es, nachdem ich 2 Monate dort war, auch nicht sein. Doch Zusammengefasst kann ich sagen, ich hatte ein gute, abwechslungsreiche und spannende Zeit in den Staaten. Nun aber die ganze Geschichte von Anfang an.
Ein holpriger Start
Kaum in Miami gelandet, hatte ich einige Hürden zu meistern. Angefangen mit meinem Mietwagen. Schon nach kurzer Strecke, machte mein Kompaktwagen hinten links ein komisches Geräusch. Nachdem ich mir eine SIM-Karte besorgt hatte, konnte ich nach getätigtem Anruf den Mietwagen umtauschen. Alles Negative, hat auch sein Positives. Als ich dann bei den Parkplätzen für die Kompaktwagen stand, war aber keiner mehr da, denn ich nehmen konnte, denn den Letzten hatte mir gerade ein in eile gewesener Mann vor der Nase weggeschnappt. Da stand ich nun mit meinem Gepäck auf einem leeren Parkplatz und war ratlos. Als ein Mitarbeiter vorbeilief, fragte ich ihn, was ich nun tun solle, da es keinen Kompaktwagen mehr habe. Als Antwort kam “Nehmen sie einfach ein Auto der nächsthöheren Klasse, dies ohne Aufpreis”. Wow, cool, ein grösserer Wagen ohne Aufpreis. War ein Aussteller, der aber nicht lange hielt. Doch der nächste Hammer kam schon kurz darauf. Da ich noch am selben späten Nachmittag nach Orlando wollte, brauchte ich einen “Sunpass”, da die Autobahnen Gebührenpflichtig waren. Also in die nächste Apotheke und einen “Sunpass” gekauft. Doch die Registrierung klappte nicht, da ich den falschen gekauft hatte, was ich erst den nächsten Tag herausfand. Ich war bereits 20 Stunden auf den Beinen und war nur noch müde und konnte nicht mehr richtig denken oder handeln. Mein Plan bis nach Orlando zu fahren, musste bis zum nächsten Tag warten. Also suchte ich mir in der Nähe ein Motel. Erschöpft und nur noch genervt von der Anfunkt in Miami, wollte ich mir im Starbucks etwas gönnen. Nach 6 Monaten wieder mal ein Starbucks, ist wie ein Geschenk. Ich stand dann an der Theke und wusste noch nicht was ich nehmen sollte, also liess ich den Kunden hinter mir vor. Er hat mir wohl angesehen, dass ich völlig am Ende war und zahlte mir dann den “Java Chip”. Was für ein Aussteller nach so einer Ankunft in Miami.
Horror AirBnB
Da ich wusste, dass ich in Orlando sicher 5 Tage bleiben werde, um Vergnügungsparks zu besuchen, buchte ich mir ein AirBnB. Bis jetzt hatte ich noch keine schlechte Erfahrungen gemacht und war guter Hoffnung. Tja, dies bis ich die Unterkunft betrat. So viel Dreck habe ich auf meiner Reise in keiner Unterkunft gesehen. Kurz gesagt, aus dem Lavabo wuchs bereits Grünzeug und der Pool hatte kein blaues Wasser. Ich blieb genau eine Nacht, obwohl ich kein Auge zugetan hatte. Trotz Reklamation, bekam ich mein Geld nicht zurück.
Horror AirBnB
Horror AirBnB
Horror AirBnB
Horror AirBnB
Doch obwohl ich hier Geld verlor, konnte ich bei einem Strassenstand in Orlando ein Schnäppchen ergattern. In einem 4 Stern Hotel konnte ich 4 Nächte bleiben für die Hälfte des Preises. Was für ein Glück, denn das Studio im “Westgate Resort” war für mich Luxus inkl. einem Jacuzzi im Badezimmer, Gratisparkplatz und Shuttles in die Vergnügungsparks.
Tumblr media
Die Qual der Wahl – Vergnügungsparks
Wer nach Orlando kommt, der geht in eine der vielen Vergnügungsparks. Ich war im Universal Studio und im Seaworld. Ich genoss einfach mal wieder das Kind in mir und nahm das Flair des Parks in mir auf und fuhr Achterbahnen. Vor allem “The World of Harry Potter” war für mich beeindruckend. Da kommt man wirklich in eine Zauberwelt.
This slideshow requires JavaScript.
Kennedy Space Center
Bevor ich zurück nach Miami bzw. Miami Beach ging, besuchte ich noch einen Tag das Kennedy Space Center in Titusville. Die Raumfahrtgeschichte von Amerika.
Kennedy Space Center
Kennedy Space Center
Kennedy Space Center
Kennedy Space Center
Kennedy Space Center
Kennedy Space Center
Kennedy Space Center
Cool ist auch, dass es ein Naturschutzgebiet ist und die Alligatoren geschützt sind. Die Mitarbeiter müssen unter ihr Auto schauen, bevor sie abfahren, denn überfahren sie einen Alligator, müssen sie eine Strafe bezahlen. Auf der Tour haben sich ein paar Alligatoren blicken lassen.
Besuch aus der Schweiz
Mir hat Miami Beach von Anfang an nicht so gut gefallen als Stadt und ich hatte Mühe, mich einzugewöhnen. Doch zum Glück kam am Anfang meines Aufenthaltes für ein Wochenende ein gut befreundetes Ehepaar nach Miami, wo sie Ihre Kreuzfahrtferien begannen. Es tat mir so gut, nach über 6 Monaten mit guten Freunden aus der Schweiz Zeit zu verbringen.
Miami Beach
Miami Beach
Miami Beach
  Miami selber hat einiges zu bieten und sehr interessante Quartiere, wie Bayside, Calle Ocho, Little Havanna und Wynwood. Wynwood ein Quartier, welches von Künstler mit Graffiti verschönert wurde um die Kriminalität einzudämmen, was funktioniert hat. Mir persönlich gefiel Miami besser, als Miami Beach, obwohl Miami nicht so einen schönen Strand hat.
This slideshow requires JavaScript.
Zudem habe ich wirklich mein Englisch um einiges in der EC Miami verbessert. Und am letzten Schultag hat unser Team sogar den höchsten Turm aus Spaghetti, Marshmallows und Klebeband gebaut.
Wochenendausflüge
Wenn ich schon mal in den USA bin, musste ich natürlich auch ein paar in er Nähe befeindete Städte und Ausflugsziele besuchen. Ich war in den Everglades, in Key West, in New York und in Las Vegas.
Everglades
Leider regnete es an diesem Tag, aber die Everglades sind wirklich schön. Es liess sich leider auch nur ein Alligator blicken, aber die Fahrt mit dem Airboot war schon toll. Und zusammen mit guten vertrauten Freunden macht es auch bei Regen Riesen Spass.
Everglades
Everglades
Everglades
Everglades
Everglades
Everglades
Everglades
Everglades
Key West
Key West ist wirklich ein ruhiges Städtchen mit einem ruhigem Flair, mit schönen Häuschen und Stränden. Mit dem Velo erkundeten wir das Städtchen. Doch die über 42 Brücken, die nach Key West führen, beindruckten mich am Meisten. Diejenigen, die schon mal dort waren, können mir beipflichten. Zudem hat es überall Hühner in der Stadt, die frei rumlaufen. Da muss man schon aufpassen, dass man kein Tier mit dem Fahrrad überfährt.
This slideshow requires JavaScript.
New York
Ich liebe diese Stadt. Leider hatte ich nur zwei volle Tage Zeit, um sie zu erkunden und am zweiten Tag regnete es den ganzen Tag, was sich im Nachhinein wieder als Positiv herausstellte, denn wer weiss, ob ich in das National September 11 Memorial Museum gegangen wäre. Das Museum ist ein Mahnmal, an die rund 3000 Opfer der Terroranschläge am 11. September 2001 und des Bombenanschlags von 1993 auf das World Trade Center erinnert. Ich muss eingestehen dieses Museum ging mir unter die Haut und ich empfehle jedem, der nach New York geht, nimmt euch 3-4 Stunden dafür Zeit. Man braucht keine geführte Tour, denn es gibt eine App die man runterladen kann und mit Kopfhörer kann man die ganzen Hintergrundinformationen in der eigenen Sprache anhören.
This slideshow requires JavaScript.
Ich hatte das richtige Hostel ausgesucht, denn dort wurden Gratistouren angeboten. So nahm ich an einer Tour nach Brooklyn teil. Unser Guide „Bill“ führte uns durch Brooklyn und erzählte uns die Geschichte des Quartiers. Es war eine sehr interessante Führung mit viel Hintergrundwissen, wobei ich vieles schon wieder vergessen habe. „Bill“ ist ein Pensionär und macht diese Führungen durch sein „Quartier“ gratis, um geistig und körperlich fit zu bleiben. Das Beste an der Tour war, dass er uns zu den besten Aussichtsplätzen zur Brooklyn Bridge führte.
This slideshow requires JavaScript.
Falls ich wieder in die USA gehe, dann nochmals nach New York oder um meinen Bruder zu besuchen, wenn er gerade in seinem Ferienhaus in den Staaten ist.
Las Vegas
Ich war ja schon in Mexico im Canon del Sumidero mit teils über 1.000 m hoch aufragenden Felswänden. Ich kam vor allem nach Las Vegas, um den Hoover Dam und den Gran Canyon zu besichtigen. Klar war ich auch in einem Casino und nach einem Gewinn von 2 Dollar an einem einarmigen Bandit habe ich aufgehört zu spielen. Brauche mein weniges Geld noch, um zum Reisen, denn die USA haben ein grösseres Loch in meinem Budget verursacht. Doch Las Vegas ist in Live schon beeindruckend.
This slideshow requires JavaScript.
Mob Museum und Neon Museum Las Vegas
Das Mob Museum präsentiert auf kühne und authentische Sicht die Auswirkungen des organisierten Verbrechens auf die Geschichte von Las Vegas sowie seinen einzigartigen Eindruck auf Amerika und die Welt. Kurz gesagt, wie die Mafia entstand und Einfluss auf die Welt hat bzw. hatte.
Das Neon Museum zeigt alte Neonzeichen von Casinos und von anderen Betrieben. Einige sind noch in Betrieb.
Neon Museum
Neon Museum
Neon Museum
Neon Museum
Neon Museum
Hoover Dam
Ab zum grössten Stausee in den USA. Beeindruckend wie diese riesige Staumauer zwischen 1931 und 1935 erstellt wurde.
Hoover Dam
Hoover Dam
Hoover Dam
Hoover Dam
Hoover Dam
Hoover Dam
Hoover Dam
Hoover Dam
Hoover Dam
Hoover Dam
Hoover Dam
Gran Canyon
Der Grand Canyon ist etwa 450 km lang und bis zu 1800 m tief. Natürlich flog ich von Las Vegas über den Gran Canyon und genoss einfach nur dieses Naturwunder.
This slideshow requires JavaScript.
Und die Eichhörnchen am South Rim im Nationalpark sind wirklich frech, stellt man mal die Tasche ab und will was daraus rausholen, kommen sie dahergerannt und stecken den Kopf einfach in die Tasche. Könnte ja was zu essen drin sein.
Freches Tierchen
Freches Tierchen
So nun geht es wieder zurück nach Mexico und unter anderem auch wieder zu einem Canyon, ein Kupferschluchtsystem, das auch bis zu 1800 m tief und eines der größten Nordamerikas ist. Insgesamt ist dieser Canyon viermal so groß wie der Grand Canyon in den USA. Weiter gibt es dort ein Park mit der Längsten Zipline.
Im Land der unbegrenzten Möglichkeiten Die Staaten hatten mich bis jetzt noch nicht gross interessiert. In Nicaragua aber entschied ich mich, mein Englisch zusätzlich zu verbessern.
0 notes
villyfloka · 8 years ago
Text
3
Marie se había ido. Y yo con ella. Tarde mucho tiempo en aceptar que se había ido. Tarde más en decidir no esperarla. Estaba solo. Hay cosas que no puedes hacer cuando estas solo. Sobre todo soñar, eso es un error. Había soñado con mi propia muerte, aun no entendía lo que eso significaba. Sigo sin entenderlo. Me pase segundos deseando la muerte. Deseando desaparecer. Creo que nunca me había sentido tan sólo estando tan acompañado. Lo siento cuando leais esto, aunque que me arrepiento ya lo sabeis. Va dirigido a vosotros hermanos. Si estas sonriendo ahora vete a tomar por culo hijo de la gran puta no eres mi jodido hermano. Por tu puta culpa estoy ahora así. Hacia mucho que no agarraba la maquina para escribir. Enhorabuena cerdo lo has conseguido. Cuando estas sólo le tienes miedo a la oscuridad. Cuando no estas sólo sigues con miedo, pero piensas que al menos no vas a morir sólo. Había jodido mucho, follado poco y aun no había amado. Creo que eso va a cambiar. No lo creo, lo se. Gracias Odín, Padre.
Hace bastante tiempo me intente matar. Deje de dormir. De comer. De respirar. Pero no moría. Entonces,decidí hacer una cosa. Por eso te la cuento, para que no caigas en esto. Recuerdo una bañera helada y música de fondo. Recuerdo sangre en el lavabo y vomito en el suelo. Recuerdo mucho lo olvidado para olvidar los recuerdos. Ese día no morí. Accedí a la muerte y aun no lo sabía. Alguien entro en mí. Yo , tú y ello. Cuando decides abrirte no sabes lo que haces. Solo lo haces. Al principio notas el poder. Corre por tus venas. Te calienta. Despues de tanto frio el calor cura. Pero al final el calor te quema. El odio era mi único alimento. No necesitaba nada más que el odio. Me hace tan fuerte, me hace ser tan duro. Si lloras no me va a importar, si lo haces eres débil y eso es despreciable. Yo no tengo miedo. Pero cuando voy a dormir y lo veo no pego ojo. No pasa nada. Mañana me dará fuerza de nuevo.  Había jodido tanto que estarías orgulloso de mí. Estarías orgulloso de cómo me jodi la puta vida. Me estabas dando la muerte y era lo que más quería. Nunca te podré agradecer eso. Marie y la maria eran mis dos únicas drogas. Ironico. Cállate gilipollas. A cada calo que entraba en mí me sentía mas lívido. ¿Y la gravedad? Flotaba y eso era grave. Quiero quererte. No te miento. Quiero hacerlo pero no me sale. No llores. Eres débil. ¿Porque no me matas ya? ¿Qué más quieres? ¿A él? No puedo hacerle daño. Dime que es ese numero. ¿El ragnarok? Estas loco.
Querido diario. Soy Tom Riddle. Soy un mentiroso. El basilisico no es una serpiente tiene patas de pollo. Soy un guasón. ¿Ves?  Puedes entenderme. Cállate. He estado pensando. La acepto, pero no voy a matarlo. Creo que tengo que decirte algo.
-Voy a morir este lunes. Creo que voy a suicidarme. Tengo miedo de lo que pueda hacer.
-No tio. El lunes duermes en mi casa, me la suda. No puedes dejarme sólo.
-No voy a hacerlo. No quiero.
-No va a pasar nada tio. Me acojonas.
-Lo siento. Pero es lo que siento. Me lo están diciendo.
-¿Qué? ¿Quién?
-
Sonreí. No confiaba en mi propio hermano. En ese momento no confiaba en nadie.Llevaba dos semanas sin pegar ojo. Sólo entrenaba y pensaba. Había pasado un año desde carnaval. Y ya era carnaval. Había iniciado una vida. Y la había roto de nuevo. No sabía muy bien por que. Había a comenzado a salir con una mujer. Me hacia feliz a veces. La dejé. Solo yo se porque lo hice. Lo siento Marita. De verdad lo siento. Había estado jodido. Jodido de verdad. Mi cabeza era una bomba. Y me quedaban unos días para que explotara. Ironico. Luego te reirás. Había abrazado un sendero oscuro hace tiempo y salir de ahí era muy difícil. No se cómo pero mi deseo se había cumplido. Ahora estoy muerto y todos lo sabeis. Todos menos una persona que sigue diciéndome que sigo vivo. No se cómo ni porque sucedió. Un sábado baje con George. Fuimos al parque. No era nuestro parque. Eramos los reyes. Tomamos una cerveza y fumamos. Me volví a casa. Estaba sereno. Cene empanada y un tazón de leche. ¿Porque pollas tomé leche? No es momento de reir aún. Me tumbe en el sofá. Eran las 2:30 de la madrugada. Cómo no. Era un programa de casinos. La ruleta tiene 36 números. La mitad negros y la mitad rojos. Tambien tiene el cero. El numero 37. Aunque si lo miras como un cero pierdes. Tienes que verlo como un circulo. La ruleta no es circular por el 0. Es la probabilidad de perder. El truco de la banca. Aunque todo está en la mente. Vaya gilipolleces decían los presentadores. Me empezaron a agobiar. Era un hombre y una mujer. Ella me recordaba a Marita. Y el a George. Empezaron a decir cosas extrañas. Era hora de ver el móvil, había que hacerse una cuenta para ganar o algo así. Pille mi móvil. Me había hablado George, mi madre y Marie. George me decía que estaba ciego. Mi madre que donde estaba. Y Marie que cuando íbamos a hablar, que estaba desaprecido. Le respondí primero a Marie. Idiota.
–En una semana y ocho días hablamos. –Lo dije porque en los presentadores había dicho que se terminaba una oferta en ese tiempo.
-Coño, justo el día que vengo.- No le día importancia.
Empezaba a quedarme dormido. Los presentadores empezaron a gritar Gokú.¿Qué? Un usuario había ganado y tenia ese nombre. Volvi a cerrar los ojos. – El ganador es Kobe. Puto kobe pensé. Soy como Kobe, me gusta el money y juego a la ruleta. Me reí. Los presentadores se rieron. Pare de reir. Ellos callaron.
-Hay gente que está conectándose aún ahora.-Dijeron los presentadores. Me toque los ojos. Cuando te tocas los ojos siempre están cerrados. Pruebalo. Solo si los mantienes abiertos lo están. Pero eso da asco. Empecé a sentirme raro.
-Hay gente que está desconectándose aún ahora.-Dijeron los presentadores. Creo que estaba muriendo. Mierda. Me había pegado del revés. Pero no estaba ciego. Habia pasado mucho tiempo ya. Y había cenado. Bah. Mata a la paranoias gilipollas. Rieron.
-Nunca hay que apostar a un solo número. Hay que guiarse por las proyecciones. Para los principiantes las suertes sencillas son la clave. -¿Que son las suertes sencillas? – Las suertes sencillas  es apostar a par o impar, negro o rojo. Si ganas, ganas el doble de lo apostado. Y el 0 es lo que marca la dijerencia. Nunca se juega con un 50% de posibilidades de acierto. Siempre se juega con un 50% de posibilidades de acierto bajo la influencia del 0. Las dos ultimas tiradas. Toco el 23 y el 32. Creo. Siempre tengo esa duda. Cual de los dos fue antes. No importa. Fui a dormir. No recuerdo dormir. Recuerdo despertarme pero no dormir. Es raro.  Joder.
Al día siguiente me notaba algo raro. No tenía mucha hambre y me notaba con mucha fuerza. Entrené un poco. No me cansaba. Quería ser un guerrero desde hace tiempo. Pero no sabía como. Ese día Kobe me telefoneó. Hacía mucho que no hablábamos. Me alegró. No pude quedar con el. Tenia que marcharme. Empecé a notarme raro. Cuando había gente a mi lado y les escuchaba era como si me hablasen. Joder para la mierda de ayer. Iba a una entrevista de trabajo. Fui en tren. Fue el trayecto más raro de mi vida.  Todos me hablaban. Empecé a preocuparme. No sé. No pude hacer la entrevista bien. Estaba algo ido. Joder. Me telefoneo una persona. No importa quien. Fui a su casa. No importa donde. De camino comencé a sentirme muy raro. Creo que estaba muerto. ¿Como coño iba a estarlo? Llegué a su casa.
-¿Qué tal estás?-Siempre con esa sonrisa. Te odio cabron. Ojala nunca leas esto. Acabo de sonreir.-No conteste. Me puse a llorar. Nos contamos cosas. Comprendí que estaba muriendo. Me asustaba eso. Pero fue el momento más feliz de mi jodida vida. Triste. Roto. Dificil. Estupido, muy estúpido. Pero feliz. Una felicidad calmada. Sonó basureta. Si no la escuchaste no leas más. Sientela. Hasta que no la sientas no leas ni una puta palabra más de esto. Si la sentiste y no lloraste no eres humano. Me alegra saber que algún dia la escucharas sin llorar. Ya no eres humano. No del todo al menos. Era un día raro. Había aceptado la muerte. Eso me hacía débil. Pero aun no lo sabía.
Pasaron los días e iba a peor. Hasta la fecha nunca había creido en ninguna divinidad. Bueno, en Gokú y en Kasedios, pero como para no hacerlo. De pequeño había leído un libro acerca la mitología nordica. Me habían enamorado esas historias. Como veian el mundo, era increíble. Joder.Comencé a hablar con Odín, el Padre de Todos, mi Padre. Me habló. Me dijo lo que iba a hacer. No me dijo como iba a hacerlo. Deje a Marita en esos días. Comenzaba a desconfiar de todos menos de mi Padre. Comencé a desconfiar en mi.
Cada día que pasaba me sentía mas loco, había conocido a la locura. Era una chica encantadora. Dormimos un día juntos. Lo necesitábamos. NI jodimos, ni follamos, ni amamos. Hicimos algo mas que eso. Enloquecimos. Pasé bastante tiempo con ella esos días. Gracias. -Se que estarás riendo ahora. Yo acabo de reirme.
El Padre de todos me pusó una prueba. Sigue haciéndolo día a día. Pienso honrarle.
-Los dioses, George. No sé como. Pero todos los putos dioses me hablan. ¿Sabes que me dijo mi Padre, George? ¿De verdad quieres saberlo? Me dijo que te matara. Este lunes. Antes del fin de carnaval. Y que luego me matara yo. No pienso hacerlo. Pienso morir yo antes que hacerte daño.
-No vas a hacerlo.
-Lo sé.
- Reimos. Todos los dioses iban a sangrar. Todos van a hacerlo. Pero necesitaba ayuda.
Era sábado. Habíamos salido. Estabamos todos. Desde el día que acepte la muerte nada me colocaba. Aun asi seguí bebiendo por si acaso. Joder. No me quites esto Padre. Traeme una valkiria. Trae una valkiria a tu hijo. Y haz que me lleve al Oeste. Haz que me termine. Que me haga una trenza. Esa noche la vi. Se la señale a George. Le dije que era una valkiria. No me creyó. Le hacía sufrir. Me odio por eso. Al final tenia razón, George. Era el frio que quemaba. Ella es el Fenrir. El lobo. Ella es ella. Que ironia. No os riais. No teneis derecho.Iba disfrazada de Batman. Del caballero oscuro. Iba disfrazada del mismísimo miedo.
Era lunes. Había hecho un sacrificio. Una vida. Habia hablado con mi padre. Había aceptado mi muerte. Me senté a esperarla. Odiaba ver la televisión. La encendí. Batman. La ultima de Nolan. Yo me había quedado en el Joker. Mi padre bilógico me dijo hace años que terminara la trilogía. Habíamos discutido. Yo decía que nada podía superar al Joker. Lo siento. Pero menos mal que lo había visto antes. El murciélago ha muerto. Y tú serás el siguiente. Era casi martes. Tenia miedo. Por primera vez en años lo había aceptado. Había asumido mi muerte. Pero tenia miedo. Miedo de no ir al Valhala. De deshonrar a mi Padre. Se me cerraron los ojos. No podía abrirlos. Sólo escuchaba la película. Había una bomba a punto de estallar. Batman se suicidaba. El murciélago había muerto. Seguía vivo. Como arregló el piloto automatico es un misterio. Tambien es un misterio el porque Ragnar dejó a Lagertha. También es un misterio que tu estuvieras disfrazada de Batman. O que me dijeras que el numero 3 rojo es el bueno y hubiera hecho mi primer pleno a un número en la ruleta. No quiero saberlo. Me gusta más así. Aunque queda mucho para que se inicie.Yo tengo miedo a tener miedo,la carcel del agua es el hielo. ¿Cómo vas a resistir si no tienes miedo? El impulso mas humano. Yo no soy humano, no del todo. Vosotros sois dioses. Tened cuidado. Muchos de vosotros sangrareis. El ragnarok se acerca. Matadme del todo. Intentadlo antes de que lo haga.
0 notes
bimbelle-blog · 8 years ago
Text
Jeu: le Kémo!
Olá gentchy.
Hoje eu vou postar aqui algumas dicas pra você que quer fazer uma conta no ma bimbo, ou já possui uma, mas não manja nada de francês. (As vezes o google tradutor mais atrapalha do que ajuda rs) Segue uma lista de “todas” as palavras francesas do jogo Kemo, para que possam ter uma chance de ganhar os BO/BA/QI que o jogo oferece. ^-^v
Tumblr media
A
'abruti', 'abuser', 'achats', 'acides', 'adieux', 'agenda', 'agence', 'agiter', 'agneau', 'agrume', 'alarme', 'albums', 'anneau', 'annuel', 'appels', 'argile', 'armure', 'astuce', 'atroce', 'aucune', 'audace', 'autour', 'avenir', 'avatar', 'avenue', 'avions', 'avocat'
B 'babine', 'badges', 'bagage', 'balade', 'balais', 'ballon', 'ballot', 'banale', 'banane', 'bandit', 'banque', 'basset', 'bassin', 'bateau', 'belier', 'bidule', 'billet', 'bisous', 'blague', 'blonde', 'bonbon', 'bosser','bottes', 'boulot', 'bouton', 'brevet', 'brunes', 'bulles'
C 'cabane', 'cachet', 'cadeau', 'cahier', 'calque', 'camion', 'canard', 'canons', 'carnet', 'casier', 'casino', 'casque', 'caviar', 'cerise', 'chaise', 'chaton', 'cheval', 'chevet', 'chimie', 'choral', 'chrono', 'cigare', 'ciment', 'chuter', 'cibler', 'cigale', 'ciseau', 'citron', 'claque', 'client', 'climat', 'cochon', 'coeurs', 'cogner', 'combat', 'coller', 'crayon', 'cuisse'
D 'danger', 'debout', 'devant', 'dessin', 'dessus', 'destin','dedans', 'dattes', 'donjon', 'dettes', 'devoir', 'devise', 'diable', 'dicter', 'dicton', 'dindes', 'dindon', 'dingue', 'disque', 'divers', 'divine', 'domino', 'donner', 'dorade', 'dormir', 'douter', 'droite', 'durcir'
E 'emploi', 'emplir', 'encens', 'enclos', 'encrer', 'enfant', 'enfers', 'enjeux', 'entrer', 'espion', 'espoir', 'esprit', 'estime', 'exiger', 'export', 'exiler', 'expert', 'enfuir', 'enduit', 'endive', 'enfler', 'empire', 'embuer', 'envier',
F 'fables', 'faible', 'famine', 'farces','farine', 'fatale', 'fautes', 'faucon', 'fausse', 'faveur', 'favori', 'fauves', 'fendre', 'fiable', 'fiacre', 'ficher', 'fichus', 'figues', 'filtre', 'finale', 'flemme', 'fleurs', 'fleuve', 'flocon', 'foirer', 'folles', 'foncer', 'fondre', 'fondue', 'forcer', 'forger', 'foules', 'fraise', 'frange', 'frigos', 'frimer', 'friser', 'frites', 'fronts', 'fruits', 'fureur', 'futile'
G 'gadget', 'gaffes', 'gambas', 'gamine', 'gamins', 'ganter', 'garage', 'garder', 'garnir', 'gauche', 'gentil', 'gercer', 'germer', 'gifler', 'gifles', 'gibier', 'gigots', 'girafe', 'glacer', 'gloire', 'gluant', 'gommer', 'goutte', 'gradin', 'graine', 'grande', 'gramme', 'grange', 'grappe', 'gratin', 'graver', 'gravir', 'greffe', 'grelot', 'grosse', 'grotte', 'groupe', 'guerre', 'gueule'
H 'habile', 'hacher', 'haines', 'hameau', 'hammam', 'hanter', 'harpes', 'hasard', 'hausse', 'hautes', 'herbes', 'heures', 'hideux', 'hiboux', 'hippie', 'homard', 'hommes', 'hontes', 'hublot', 'huiles', 'humain', 'humeur', 'humide', 'humour', 'hurler', 'hymnes'
I 'iguane', 'idiote', 'idiots', 'imager', 'illico', 'imiter', 'impair', 'impact', 'impoli', 'import', 'impuni', 'impure', 'impurs', 'incise', 'inclus', 'indice', 'indien', 'indigo', 'inepte', 'inerte', 'infect', 'infime', 'infini', 'infuse', 'injure', 'intime', 'ironie', 'isoler', 'ivoire'
J 'jaguar', 'jaloux', 'jamais', 'jambes', 'jambon', 'jardin', 'jarret', 'jasmin', 'jauger', 'jauges', 'jaunes', 'jaunir', 'jetons', 'jongle', 'jeunot', 'jockey', 'joints','jokers', 'jolies', 'jouets', 'joueur', 'joyeux', 'jumeau', 'jument', 'jungle', 'junior', 'jupons', 'justes', 'juteux'
K 'kimono', 'klaxon', 'koalas'
L 'lacets', 'lacune', 'laides', 'laines', 'lampes', 'lancer', 'langue', 'lapins', 'lardon', 'larges', 'larmes', 'lasers', 'lasser', 'latins', 'lavabo', 'lavage', 'lequel', 'levier', 'levure', 'lianes', 'libres', 'lignes', 'limite', 'linges', 'lionne', 'liseur', 'livide', 'livrer', 'livres', 'locale', 'locaux', 'loisir', 'longue', 'loquet', 'louche', 'louper', 'lourde', 'lourds', 'loutre', 'loyale', 'loyaux', 'loyers', 'lutins', 'lutter', 'luttes', 'lyceen', 'lycees'
M 'madame', 'magret', 'maigre', 'maires', 'mairie', 'maison', 'majeur', 'malade', 'malice', 'malins', 'malles', 'mamans', 'mandat', 'manger', 'mangue', 'manier', 'manies', 'manoir', 'manuel', 'marche', 'marges', 'marier', 'marine', 'marins', 'marron', 'martyr', 'masure', 'mature', 'maudit', 'mauves', 'membre', 'menace', 'mental', 'menthe', 'mentir', 'menton', 'mentor', 'merlan','merles', 'meuble', 'micros', 'miette', 'mignon', 'milieu', 'minces', 'mixeur', 'mobile', 'mixtes', 'moches', 'modems', 'moines', 'mollet', 'mondes', 'monter', 'montre', 'mornes', 'mornes', 'morses', 'mortel', 'mortes', 'moteur', 'motifs', 'mouche', 'moudre', 'moufle', 'mouler', 'moules', 'moulin', 'mourir', 'mousse', 'moyens', 'muette', 'muguet', 'mulets', 'museau', 'mutant', 'mygale'
N 'nageur', 'naines', 'nappes', 'narine', 'nasale', 'natale', 'nattes', 'nature', 'navale', 'navets', 'navire', 'nectar', 'neiger', 'neiges', 'neutre', 'neuves', 'neveux', 'niaise', 'nicher', 'niches', 'nigaud', 'noeuds', 'noires', 'normal', 'notice', 'notion', 'nouvel', 'novice', 'noyade', 'noyaux', 'nuages', 'nulles', 'nuques', 'nymphe'
O 'objets', 'obscur', 'odeurs', 'odieux', 'odorat', 'oeuvre', 'office', 'offres', 'offrir', 'oignon', 'oiseau', 'oisive', 'olives', 'ombres', 'oncles', 'ongles', 'onglet', 'opales', 'opaque', 'option', 'otages', 'ourlet', 'oursin', 'ourson', 'outils', 'ouvert','ouvrir', 'ovales', 'oxyder'
P 'pactes', 'palace', 'palais', 'panier', 'pantin', 'papier', 'paquet', 'parage', 'pardon', 'pareil', 'parfum', 'parier', 'parler', 'parole', 'partir', 'parure', 'passer', 'pastel', 'passif', 'pastis', 'patate', 'patins', 'pattes', 'pauses', 'pauvre', 'paysan', 'peines', 'pelage', 'pelles', 'pendre', 'pentes', 'percer', 'perdre', 'permis', 'pestes', 'petite', 'petits', 'peuple', 'phares', 'phases', 'photos', 'phrase', 'pierre', 'pieuse', 'pigeon', 'pignon', 'pignon', 'pilier', 'piller', 'pilote', 'pilule', 'piment', 'pincer', 'pinson', 'pioche', 'piquer', 'pirate', 'pixels', 'placer', 'plaine', 'plaies', 'planer', 'plants', 'plates', 'pleine', 'pleurs', 'pliage', 'pliure', 'plombs', 'plumes', 'pluies', 'poison', 'poisse', 'pokers', 'polies', 'pommes', 'pomper', 'poncer', 'pondre', 'porche', 'porter', 'poster', 'potage', 'poteau', 'poutre', 'primer', 'prince', 'prises', 'prisme', 'prison', 'priver', 'proche', 'profil', 'profit', 'propos', 'propre', 'prunes','puiser', 'purger', 'puzzle', 'pyjama'
Q 'quarts', 'quartz', 'quatre', 'queues', 'quiche', 'quille', 'quinze', 'quotas'
R 'rabais', 'rachat', 'racine', 'radars', 'radeau', 'radier', 'radine', 'rafale', 'ragots', 'raides', 'raidir', 'raisin', 'raison', 'rajout', 'raller', 'rameau', 'ramper', 'rampes', 'ranger', 'rapide', 'rasoir', 'rayons', 'rayure', 'rebond', 'rebord', 'recoin', 'record', 'refuge', 'reines', 'relais', 'relief', 'relire', 'remise', 'remord', 'remuer', 'renard', 'renier', 'report','requin', 'rester', 'restes', 'retour', 'revers', 'revoir', 'riches', 'rictus', 'rideau', 'rigolo', 'robots', 'rocher', 'roches', 'rodage', 'rogner', 'rompre', 'rondin', 'ronger', 'romans', 'rosier', 'rouage', 'rouges', 'rougir', 'rouler', 'routes', 'royaux', 'royale', 'ruches', 'ruiner', 'rumeur', 'rurale', 'rustre', 'rythme'
S 'sabres', 'sachet', 'sacrer', 'saines', 'sainte', 'saints', 'saisir', 'saison', 'salade', 'salami', 'salive', 'salles', 'salons', 'saluer', 'sapins', 'saucer', 'saumon','sauter', 'sauver', 'savane', 'savate', 'saveur', 'savoir', 'savons', 'second', 'secret', 'senior', 'sentir', 'sermon', 'serrer', 'servir', 'seuils', 'shorts', 'simple', 'singes', 'situer', 'social', 'socles', 'soeurs', 'soldes', 'soleil', 'sombre', 'songer', 'sonner','sorbet', 'sortir', 'sortie', 'sosies', 'sottes', 'soucis', 'soupir', 'souple', 'source', 'sourde', 'sourds', 'souris', 'sports', 'stable', 'stades', 'stages', 'statue', 'statut', 'stores', 'stress', 'strict', 'studio', 'stylos','subite', 'sucrer', 'sueurs', 'surfer', 'surgir', 'sultan', 'surnom', 'survol', 'sushis', 'suture'
T 'tables', 'tabler', 'tacher', 'tacler', 'tacles', 'taille', 'talent', 'talons', 'talque', 'tampon', 'tantes', 'tapies', 'tarder', 'tarifs', 'tarots', 'tartes', 'tartre', 'tasser', 'tatami', 'taudis', 'taupes', 'teigne', 'teinte', 'teints', 'temple', 'tempes', 'tenace', 'tendre', 'tennis', 'tenter', 'termes', 'ternes', 'ternir', 'terres', 'terrer', 'ticket', 'tigres', 'timide', 'tiques', 'tirage','tiroir', 'tissus', 'titres', 'toiles', 'tomber', 'tondre', 'tonnes', 'tordre', 'touffe', 'tourte', 'tracas', 'traces', 'tracer', 'trafic', 'trahir', 'trains', 'traire', 'trappe', 'treize', 'trente', 'tresse', 'tribus', 'triche', 'tricot', 'trombe', 'trompe', 'troncs', 'tuteur', 'tuyaux', 'tympan', 'tyrans'
U 'ultime', 'ultras', 'unions', 'unique', 'urbain', 'urgent', 'usager', 'usines', 'usuels', 'usures'
V 'vaccin', 'vaches', 'vagues', 'vaines', 'valets', 'valeur', 'valide', 'vallon', 'valoir','valser', 'valses', 'vanner', 'vapeur', 'varier', 'vassal', 'veille', 'vendre', 'venger', 'venins', 'venter', 'ventre', 'verbes', 'verdir', 'verger', 'vernir', 'vernis', 'verres', 'verrou', 'verrue', 'verser', 'versos', 'vertes', 'vertus', 'vestes', 'viande', 'vibrer', 'vierge', 'vigile', 'vignes', 'violet', 'violon', 'virage', 'virile', 'visage', 'visite', 'vitrer', 'vocale', 'voguer', 'voisin', 'volage', 'volcan', 'voleur', 'volets', 'volley', 'voyage', 'voyous', 'vraies'
W 'wagons', 'whisky'
Y 'yaourt'
Z 'zestes', 'zigoto', 'zinzin', 'zombie'
Dica¹: Comece escrevendo na primeira linha: A-E-I-O-U-P. Na segunda tente: L-M-N-S-R-T. Pois são as letras mais usadas nas palavras e podem te dar acertos rápidos. ;)
Dica²: Se acertar a palavra em até 4 linhas você ganha 10 BO. Pode-se jogar até 2x ao dia. Ganhos BA:  1 tentativa = 80BA / 2 tentativas = 70BA /  3 tentativas = 60BA /  4   tentativas = 50BA /  5 tentativas = 40BA /  6 tentativas = 30BA /  7 tentativas = 20BA. Ganhos QI: 0.1 à 0.2.
0 notes