#lac des miroirs
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2014. Dans le Boulonnais, à Hardelot, le Lac des Miroirs. Foulques, Poules d’eau, hérons et des champignons (dont je ne connais hélas pas le nom...Si un mycologue peut m’aider...)
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Un soir au lac par brigitte lagravaire Via Flickr : 2014-08-02-Parc (14)
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Sur mes cahiers d’écolier Sur mon pupitre et les arbres Sur le sable sur la neige J’écris ton nom
Sur toutes les pages lues Sur toutes les pages blanches Pierre sang papier ou cendre J’écris ton nom
Sur les images dorées Sur les armes des guerriers Sur la couronne des rois J’écris ton nom
Sur la jungle et le désert Sur les nids sur les genêts Sur l’écho de mon enfance J’écris ton nom
Sur les merveilles des nuits Sur le pain blanc des journées Sur les saisons fiancées J’écris ton nom
Sur tous mes chiffons d’azur Sur l’étang soleil moisi Sur le lac lune vivante J’écris ton nom
Sur les champs sur l’horizon Sur les ailes des oiseaux Et sur le moulin des ombres J’écris ton nom
Sur chaque bouffée d’aurore Sur la mer sur les bateaux Sur la montagne démente J’écris ton nom
Sur la mousse des nuages Sur les sueurs de l’orage Sur la pluie épaisse et fade J’écris ton nom
Sur les formes scintillantes Sur les cloches des couleurs Sur la vérité physique J’écris ton nom
Sur les sentiers éveillés Sur les routes déployées Sur les places qui débordent J’écris ton nom
Sur la lampe qui s’allume Sur la lampe qui s’éteint Sur mes maisons réunies J’écris ton nom
Sur le fruit coupé en deux Du miroir et de ma chambre Sur mon lit coquille vide J’écris ton nom
Sur mon chien gourmand et tendre Sur ses oreilles dressées Sur sa patte maladroite J’écris ton nom
Sur le tremplin de ma porte Sur les objets familiers Sur le flot du feu béni J’écris ton nom
Sur toute chair accordée Sur le front de mes amis Sur chaque main qui se tend J’écris ton nom
Sur la vitre des surprises Sur les lèvres attentives Bien au-dessus du silence J’écris ton nom
Sur mes refuges détruits Sur mes phares écroulés Sur les murs de mon ennui J’écris ton nom
Sur l’absence sans désir Sur la solitude nue Sur les marches de la mort J’écris ton nom
Sur la santé revenue Sur le risque disparu Sur l’espoir sans souvenir J’écris ton nom
Et par le pouvoir d’un mot Je recommence ma vie Je suis né pour te connaître Pour te nommer
Liberté.
Paul Eluard
Poésie et vérité 1942 (recueil clandestin) Au rendez-vous allemand (1945, Les Editions de Minuit)
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Le lac bordé de grands sapins,
Caressé par le vent, frissonnait.
Assis à ses côtés je m’évadais
Emporté dans mes pensées,
Perdu dans mes songes.
Dans ce beau miroir limpide,
La nature en mouvement se reflétait.
Moi, le regard perdu dans le ciel,
Je voyais défiler le fil de ma vie.
.
“Même quand nous dormons nous veillons l'un sur l'autre
Et cet amour plus lourd que le fruitmûr d'un lac
Sans rire et sans pleurer dure depuis toujours
Un jour après un jour une nuit après nous.” Paul Eluard
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La chanson de ma mie L'eau, dans les grands lacs bleus Endormie, Est le miroir des cieux : Mais j'aime mieux les yeux De ma mie. Pour que l'ombre parfois Nous sourie, Un oiseau chante au bois : Mais j'aime mieux la voix De ma mie. La rosée, à la fleur Défleurie Rend sa vive couleur : Mais j'aime mieux un pleur De ma mie. Le temps vient tout briser. On l'oublie. Moi, pour le mépriser, Je ne veux qu'un baiser De ma mie. La rose sur le lin Meurt flétrie ; J'aime mieux pour coussin Les lèvres et le sein De ma mie. On change tour à tour De folie : Moi, jusqu'au dernier jour, Je m'en tiens à l'amour De ma mie. THÉODORE DE BANVILLE
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Or, ce jour-là, c’était le plus beau qu’eût encore Versé sur l’univers la radieuse aurore ;
Le même séraphique et saint frémissement Unissait l’algue à l’onde et l’être à l’élément ; L’éther plus pur luisait dans les cieux plus sublimes ; Les souffles abondaient plus profonds sur les cimes ; Les feuillages avaient de plus doux mouvements ; Et les rayons tombaient caressants et charmants Sur un frais vallon vert, où, débordant d’extase, Adorant ce grand ciel que la lumière embrase, Heureux d’être, joyeux d’aimer, ivres de voir, Dans l’ombre, au bord d’un lac, vertigineux miroir, Étaient assis, les pieds effleurés par la lame, Le premier homme auprès de la première femme. L’époux priait, ayant l’épouse à son côté.
— Victor Hugo, Le sacre de la femme, La légende des siècles vol. I
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La nuit n’avait rarement été aussi claire ni l’eau aussi foncée. Harry avait l’impression que le lac était un abîme, un abysse dantesque qui avalerait sans remord les étoiles si jamais elles tombaient. La Lune brillait. Elle scintillait comme le dernier des diamants aux milieux des milliers d’étoiles incandescentes.
Sa peau semblait constituée de lumière. Même sans sa nyctalopie induite par sa condition d’animagus, Harry aurait pu le voir parfaitement. Draco était un soleil. Et les yeux de Draco, deux phares braqués sur lui.
Il savait. Harry était frustré sans fin par la clairvoyance de cet homme, mais également vivifié par cela. Draco le reconnaîtrait sous n’importe quelle forme, tout comme Harry pressentiraient chacune de ses idées. Ils se connaissaient si bien.
Se détestaient si bien.
Ils s’égalaient. Leur jeu intellectuel était une danse pleine de défis. Ils anticipaient l’autre, ses idées, ses envies, son tempérament, ses frustrations. La moindre de leur incartade, le moindre changement d’émotions était perçu par l’autre malgré tous les efforts respectifs qu’ils mettaient à se le cacher.
Et maintenant, ça. Draco sourit. Entre pénombre et lumière, ses lèvres se plissèrent d’un amusement agacé et Harry put voir son torse se dégonfler. Il était beau. Diablement, divinement beau. Mortellement beau. La Lune ne semblait exister que pour embellir cette peau diaphane, ces épaules élégantes et ce torse maigre. Ses longues jambes avaient disparues sous l’eau noir mais Harry percevait la forme des écailles sur les larges hanches. Il avait envie de s’approcher, de mieux les percevoir. Étaient-elles toutes de la même taille ? Quelles couleurs avaient-elles ? Que sentaient-elles ? Mais il ne bougea pas d’un pouce — il resta parfaitement immobile, couché dans l’herbe fraîche, les sens aux aguets.
Ils étaient seuls au monde. Poudlard n’avait jamais été aussi vide, aussi silencieuse qu’en cette nuit. La forêt semblait s’épanouir sous la clarté lunaire, une atmosphère mystique épaississait les lieux. Le sourire de Draco avait quelque chose d’irréel.
Il n’y avait pas la moindre brise pour créer des vagues, le lac noir n’avait jamais aussi bien porté son nom. Il était aussi lisse qu’un miroir et pourtant ne reflétait pas la moindre étoile — son immobilité était aussi terrifiante que celle de Harry. Leur attente était d’un autre ordre : celui du surnaturel.
Draco bougea. Il salua Harry d’un signe de tête et se retourna, sa forme était humaine lorsqu’il scinda les eaux pour rejoindre les roches anguleuses qui parvenaient parfois à crever la surface plane du lac. Son corps était clairsemé d’écailles à partir de la taille jusqu’en bas, Harry n’essaya pas de les dénombrer. Plus Draco avançait, plus il avait pied et plus il se découvrait. C’était un spectacle dont Draco en était l’acteur parfaitement conscient. Harry observait la silhouette, l’effort pour marcher dans l’eau avec des jambes humaines. Cette silhouette, à présent qu’elle se découpait clairement dans les rayons lunaires. Cette carrure qu’il connaissait si bien pour l’avoir observé des milliers de fois depuis sa première année. Dans les couloirs, en classe, au Quidditch, à la Grande Salle. Cette silhouette en équilibre entre l’athlétisme et l’androgynie. Ces cheveux pâles, à présent baignés de blanc.
Il plongea. La fourrure de Harry se hérissa instinctivement — l’action avait été d’une prodigieuse rapidité. Un instant, il était là, demi-dieu parmi les mortels : soudainement plus rien, il avait sauté avec une grâce qu’on aurait pensé réservée aux animaux célestes. Harry avait du mal à restituer ce qu’il avait vu : la courbure de son dos, le passage des jambes à la queue, la brillance des écailles et plus rien. Il avait disparu dans les eaux sombres, seules restaient les vagues, signe qu’il était bel et bien entré dans ce lac abyssal. Bientôt, plus rien ne témoignait qu’il fut même là un jour, Harry pourrait venir à en douter s’il ne sentait pas encore son odeur dans l’air.
Il se releva lentement, s’ébroua, hésita à s’approcher de l’eau. Ses instincts étaient contre. Le lac noir n’avait jamais semblé si dangereux qu’en cette nuit lumineuse et ce n’était pas à cause du calamar.
Étrangement, il se sentit inquiet. Il n’aimait pas voir Draco là où lui ne pouvait le voir. Son hurlement déchira la nuit et les autres animaux s’excitèrent à son appel. Harry savait pourquoi il s’était annoncé. Il espérait que son rugissement avait percé la surface d’ébène qui lui faisait face. Et sans plus s’appesantir sur la question, il courut vers la forêt dont les branches ressemblaient étrangement à de noires tentacules.
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Sigonia.
FULL NAME. Sigonia, Academy of Witchcraft. LOCATION. Gambiers’ islands. CREATOR. Medeia Grimsbane. OTHER TITLE. the pearl of wizarding society. SPECIALITY. having classes and education like university in the muggle world. HOUSES. the ambries, the begrims, the gisarme and the regma. OTHER SPECIALITY. having the complexity of two mottos: accepting everyone and creating excellence and prestige.STORY OF THE BEAUTIFUL SCHOOL OF SIGONIA.
genesis Medeia Grimsbane avait un rêve, celui de créer une école en hommage à sa mère, la défunte Ellenwell et que le prestige et l’éducation de la maison Grimsbane soient partagés avec ces élèves extrêmement chanceux d’accéder à ces opportunités. Néanmoins, Medeia, après avoir mis toute son âme dans la création de cette magnifique école cachée entre deux îles de l’archipel des îles Gambiers, pensa à son futur et quitta ses espérances professionnelles pour son grand amour, déménageant en France. Elle offre alors l’opportunité à sa grande soeur, Cedonia Grimsbane. La jeune femme acceptait le défi avec un plaisir et une excitation sans équivoque, malgré son deuxième mariage récent. Mais à peine quelques mois après cette responsabilité, et cette école qui commençait enfin à voir le bout du tunnel, Cedonia se donna la mort de façon aussi étrange que celle de sa mère, en laissant une perle de sirène à côté de ses affaires près du lac où Ellenwell s’était également ôté la vie. L’école était donc mise en péril face à ces péripéties tragiques et potentiellement radicales pour la réputation de la prochaine école de magie. Medeia n’avait encore moins envie de s’emparer du projet, de son rêve, car elle ne pouvait pas quitter son mari, et elle était bien trop perturbée par la mort de sa plus jeune soeur. Zander Grimsbane, le dernier fils de cette génération, pris alors la responsabilité de cette école. Zander n’avait ni enfant, ni partenaire, mais adorait partager son savoir. Qui de mieux pour mener à la baguette cette école de magie ? Sans mauvais jeu de mot, évidemment.
first steps Il n’y avait pas eu besoin de beaucoup de publicités pour que tous veulent que leurs enfants soient enlistés dans cet déjà célèbre institut. Après tout, la famille Grimsbane était considérée presque comme la famille royale moldue. Mais comment faire le tri ? Comment gérer cet afflux ? Et surtout, comment faire fonctionner et se faire une place aux côtés des autres écoles de magies qui regroupent, sur papier, tous les petit.e.s sorcier.es ? Premièrement, Zander et son petit cercle de personnes qui deviennent des professeurs par après ont bien vite compris que, non, les autres écoles de magies n’étaient pas suffisantes pour tous les élèves mondiaux. Une école magique en plus permettra donc d’amener de la légereté dans toutes les autres instituts. Deuxièmement, tout le monde peut être accueilli à Sidonia, mais le niveau doit impérativement garder de sa puissance. Pour cela, ils décident donc de mettre en place un concours d’entrée. Celui-ci n’est pas uniquement pour les capacités magiques, physiques ou mentales, mais aussi d’autres capacités, la place prise au sein d’un groupe, les réactions psychiques, la capacité à se fondre dans une société ou au contraire à se démarquer. Tout cela dépend de l’enfant, mais également des profils généraux des autres enfants. Tout a été fait pour que l’entente soit la plus cordiale possible.
welcoming Zander et sa petite équipe accueille donc une cinquantaine d’enfants la première année. Et tout se passe à merveille, ces cinquante enfants sont alors répartis dans quatre maisons, miroir de la célèbre école de magie, Poudlard, car tous les Grimsbane, à quelques exceptions près — Alastair et Daegal pour ne pas les citer, sont respectivement été envoyés à Durmstrang et Koldovstoretz pour “régler leurs problèmes”, évidemment, cela n’a pas fonctionné — ont fait leurs études là-bas. Il y a donc les Ambries, les Begrims, les Gisarme et les Regma. Plus les années passent, et plus les élèves sont nombreux, et Zander est réellement fier du chemin qu’il a parcouru pour ces petits sorciers qui grandissent sous ses yeux. Les deux moments les plus marquants pour lui étaient en premier voir ceux qu’il a accueilli la première année, des petits monstres d’onze ans, les diplômer sept ans plus tard. Le déchirement avait été compliqué pour l’âme sensible et protectrice de Zander, l’oncle que tout le monde adorait. Le deuxième était de voir défiler ses nièces et neveux. Le directeur Grimsbane n’avait jamais eu la prestance grâce à son regard noir, sa grosse voix ou ses punitions, non, il laissait cela aux professeurs qui faisiaent de l’excellent boulôt. Zander, lui, pouvait être sérieux, mais n’était pas le directeur sadique ou cauchemardesque.
classes and locations Les cours au sein de l’école Sigonia était relativement classiques, suivant le programme scolaire comme toutes les autres écoles magiques. Le directeur étant l’un des meilleurs joueurs de Quidditch de sa génération, ayant stoppé sa carrière à cause d’une malheureuse chute, le Quidditch est donc enseigné à Sigonia. Mais l’école se spécialise également sur une matière très importante, la maîtrise des quatre éléments fondateurs de leur magie; effectivement, des professeurs spécialisés font en sorte que les élèves apprennent à séparer leur magie pour mieux la contrôler: les deux éléments les plus dominants à Sigonia sont l’eau et l’air, grâce à leur localisation plus que spéciale.
upper studies L’école de Sigonia est bien rapidement devenue une académie, car Zander a perçu une opportunité que personne d’autre à l’époque n’avait compris. Des études supérieures, pour se spécialiser, étaient très rares et seulement pour quelques débouchées spécifiques comme Auror ou Médicomage, mais il y avait tellement d’autres possibilités que Zander et son équipe voulaient mettre l’accent dessus. Voici donc, quelques années plus tard, l’ouverture de l’Académie de Sigonia! Il y a beaucoup de branches, souvent similaires aux collègues moldus. Néanmoins, il y a tout de même quelques nouveautés afin d’ouvrir le champ de possibilités dans une mesure professionnelle: des psychomages, des botanistes, des chercheurs de traces magiques dans les civilisations, des archéologues magiques, des soigneurs de créatures magiques et des dompteurs des quatres éléments. Tout est fait pour que tous les méties puissent être mis en valeur et prendre de l’importance hiérarchique. La supériorité de Sigonia venait encore d’ajouter un cachet à d’autres déjà bien remplis.
first problems Néanmoins, il ne faut pas confondre des résultats spectaculaires avec une école utopiste où tout se passe parfaitement et dans les règles. Zander et son équipe n’est pas stupide, les enfants de la haute société sont quelques fois les pires. Comment le savaient-ils ? Ils en faisaient évidemment parti, quelques années auparavant. De plus, des personnes pas spécialement issues de ce genre de milieu étaient très rapidement conviées aux débaucheries par effet de groupe. Ils n’étaient pas dupes, ils savaient que certaines soirées se passaient, certains duos se retrouvaient dans des pièces sombres…Les punitions allaient à la hauteur de la gravité, mais pas vu, pas pris, n’est-ce pas ? Tout ceci était bon enfant. C’était sans compter la prochaine génération de sa famille. Les Grimsbane étaient chez eux, et étaient aussi débauchés qu’en colère contre le monde. Des royaux aux moyens démesurés, avec une impression que tout le monde était contre eux, et des hormones en folie…Zander a de quoi s’accrocher. Peut-être que là, il va devoir faire des gros yeux et hausser la voix… BEWARE OF THE TALES OF MERMAIDS. THEY’RE AMONG US THE FOUR HOUSES OF THE SCHOOL OF SIGONIA. i. ambries Aussi doux que dangereux, ils sont très attachés au côté social. Dès qu’ils ont trouvé leur “personne”, ils peuvent tout faire pour eux. Les cas extrêmes ? Se tuer ou tuer, cela n’a jamais été le cas, yet. Ils sont représentés par deux anneaux dorés et nacrés entrelacés. Board. ii. begrims Ceux entourés de barrière, ce sont souvent des êtres dôtés d’une grande intelligence, capable d’analyser une situation et tel un caméléon, s’adapter à celle-ci. Ils sont représentés par une silhouette verte sans visage, capée. Board. iii. gisarme Aussi impulsifs que pleurnichards, ils sont les émotifs et les sensibles. Deux catégories très différentes peuvent être distinctes dans cette maison, un peu comme le feu et l’eau. Ils sont représentés par l’arme du même nom, le gisarme, aux couleurs mauvâtres. Board. iv. regma Les consultants, les conseillers, les “sages”. Ils sont essentiels, mais trop souvent vu comme parfaits. Ceux-ci ont beaucoup de pression. Ils sont également touchés sur un tout autre plan par les animaux. Ils sont représentés par une tortue portant une couronne. Board. v. pearl Il arrive quelques fois que la Cérémonie n’arrive pas à répartir un enfant. Il est donc nommé la “Perle”. Il y a des avantages mais aussi des inconvéniants. Il n’a eu que deux perles pour le moment, et beaucoup pensent que c’est très biaisé car ce sont deux Grimsbane. vi. academy Si les étudiants suivent des études supérieures à Sigonia, la plupart le font d’ailleurs, les quatre maisons s’unissent en une, bien que des espaces sont créées pour répondre aux besoins de chaque membre des maisons attribuées.
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La vulve s'était vidée de ses pensées, Et faite lac, miroir au fond duquel le Phallus magnifié se pâmait, cyclope noir, aux plus belles heures du jour.
Le livre de Centhini
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2014. Dans le Boulonnais, le château d’Hardelot et le Lac des Miroirs.
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NAGEZ 3 MINUTES DANS L'EAU GLACÉE
Localisez le plan d'eau naturel le plus froid près de chez vous où la baignade est autorisée. Déshabillez vous complètement avant d'entrer dans l'eau ou portez vos sous-vêtements. Restez dans l'eau pendant trois minutes.
Là où je suis, je ne dispose pas vraiment d'un plan d'eau naturel accessible par les transports. Nous sommes en septembre, et je sais d'avance que cette expérience sera unique. Après toutes ces années passées à poser nue pour des cours de modèle vivant, je suis devenue frileuse - et je ne supporte pas le moindre vent coulis.
J'appréhende cette performance tout autant qu'elle m'excite. Comme une première fois. Paraît-il que les douches ou bains glacés font du bien, que de se rouler dans la neige après un sauna permet de vivifier le corps et l'âme. Cela me semble étrange. Moi qui suis si habituée à mon confort d'eau chaud - voire très chaude. J'aime sentir la vapeur flotter dans l'air, depuis ma peau, jusque sur les miroirs de la salle de bain.
Pour des raisons de logistiques, je vais donc réaliser cette expérience dans la douche commune de l'étage. Une minuscule pièce au carrelage bleu ciel; avec un vasistas, un lavabo, un siège de bain, une patère pour accrocher sa serviette, une petite poubelle, un trou d'évacuation d'où il faut parfois (souvent) attraper les cheveux des baigneurs précédents pour les jeter à la poubelle. Il y a également une petite bassine bleu roi pour nettoyer le sol, faire partir la mousse, à grandes jetées d'eau. Je ne sais pas pourquoi, mais j'aime cet endroit; peut-être par son ton minimaliste.
Bon. J'y vais.
Je suis sortie de la salle de bain avec la sensation d'avoir été nettoyée de l'intérieur. Purifiée, presque. C'était donc vrai, tout ce que ceux que je traitais d'imbéciles, de fous ?
Pour ma part, j'ai vu que la poignée de la douche était déjà tournée à droite, au plus froid.
Sans réfléchir, j'ai ouvert l'eau et me suis lancée dessous. J'ai senti mon souffle se couper et des milliards de lames de rasoirs sur ma peau.
Alors, j'ai fait une sorte de douche écossaise : en commençant par de l'eau bouillante, puis en descendant d'un seul coup sec vers le froid. Si, au début, la sensation de ce changement brutal fut plus qu'agréable, ce fut le grand retour des lames de rasoirs.
Puis très vite, mon souffle se coupa et je dû réaliser des efforts de plus en plus soutenus pour me maintenir debout sous le jet d'eau glacial. Étrangement, le fait de devoir contrôler ainsi sa respiration fut pour moi une sorte de révélation. A l'instar d'une voix de tête passant d'un coup en voix de ventre, mon souffle pu se révéler ici plus profond, plus fort. J'avais beau ne pas contrôler la température extérieure (ni intérieure), je savais que le simple fait de respirer plus fort pouvait m'aider à ne pas sentir trop fort ces lames de rasoirs, de moins en moins nombreuses.
Je ne sais pas combien de temps je suis restée dans cet état. Probablement moins de trois minutes. N'est pas Marina qui veut. De plus, il y a une grande différence entre rester debout sous une douche glacée plutôt que de nager dans un lac glacé. Les membres qui bougent permettant de supporter la douleur.
Dorénavant, je sais que je vais porter davantage d'attention à mon souffle et à son impact sur ce que je vis, dans un instant présent.
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Selfloss
https://www.youtube.com/watch?v=A9VVYOkkB-o
Selfloss : Plongée dans l’Abîme des Émotions et des Mythes
Dans un recoin oublié du monde, où le temps semble avoir suspendu son vol, se trouve un gouffre insondable, enveloppé de mystères et d’obscurité. Ce précipice, véritable crevasse de l'angoisse, dévore toute lumière et sert de théâtre aux légendes arcaniques et aux peurs ancestrales. Les récits racontent d’un lieu où la réalité se dilue, où les lois de l'univers se plient à la volonté de l'inconcevable. Peu d'explorateurs, mus par la curiosité ou le courage, osent s’approcher de cette abyssale profondeur. Ceux qui ont eu l’audace de s’en approcher n'ont rapporté que des ombres de désespoir et des échos de panique, reflets tangibles de la peur de l’inconnu. Chaque coup d'œil vers cet abîme révèle une vérité troublante : il n'est pas seulement un vide, mais un miroir des ténèbres qui habitent notre âme. Cette peur, semblable à celle dépeinte par les écrivains d'antan, notamment l'immortel Lovecraft, explore notre vulnérabilité essentielle. C’est l’horreur de faire face à l’infini, à ce qui défie la compréhension rationnelle, brouillant ainsi les frontières entre le tangible et l’invisible. L’abîme se transforme alors en un symbole puissant de ce qui demeure inaccessible, obscurcissant nos certitudes et amplifiant la terreur de l'inconnu.Dans les anciennes terres de steppes et de lacs, bien avant que les frontières entre le monde humain et celui des esprits ne soient établies, les baleines étaient vénérées comme des créatures sacrées dans les traditions slaves. Elles n’étaient pas de simples géants des mers, mais des incarnations d’anciennes divinités aquatiques, gardiens des mers et des rivières, régissant le cycle de la vie et de la mort. Selon les légendes, ces créatures seraient nées du souffle de Mokosh, la déesse-mère de la terre et protectrice des eaux, insufflant sa force vitale dans les océans. Majestueuses, les baleines incarnaient la sagesse ancestrale, détentrices des secrets du monde souterrain. On disait qu’elles étaient les gardiennes des portails reliant le royaume des hommes à celui des esprits ; écouter leur chant était perçu comme un appel des forces invisibles de l'univers. Tuer une baleine était un tabou, et même croiser l'une de ces créatures était considéré comme un signe divin. Leurs ossements, souvent retrouvés sur les rivages, étaient traités avec un respect sacré, utilisés pour ériger des autels ou des outils rituels, conservant ainsi une part du pouvoir de l’animal. Le caractère sacré des baleines symbolisait le lien intime entre les anciennes populations slaves et la nature. Les eaux profondes, mystérieuses, abritaient le sacré, et ces géantes des océans étaient les incarnations de mystères insondables que l'homme pouvait seulement honorer. Aujourd'hui encore, certaines populations du Nord tentent de raviver cette sagesse oubliée.Goodwin Games, un studio indépendant dirigé par Alex Goodwin, s'est distingué dans le paysage vidéoludique par sa capacité à créer des expériences narratives engageantes, en mettant l'accent sur l'exploration émotionnelle et les mondes inspirés des mythes. Leur approche se démarque par une attention particulière à des histoires thématiquement riches, souvent entremêlées de symbolisme et de références culturelles.Selfloss, mot-valise fusionnant « soi » et « perte », illustre l'idée de l'aliénation et de la crise existentielle. Ce terme évoque un profond sentiment d’égarement, une perte du lien avec son soi authentique. Selfloss propose une aventure narrative émotionnelle immergeant les joueurs dans un univers inspiré des traditions slaves, où le caractère sacré de la nature et le pouvoir de guérison sont centraux. L'équipe de développement a brillamment matérialisé cet aspect du sacré, tissant un contexte narratif captivant qui s'entrelace harmonieusement avec d'autres éléments plus polarisés. Le jeu réussit à exprimer la quête de tradition et la douleur de la perte, une odyssée entre générations. Ce parcours est traversé par des émotions complexes telles que la peur, la douleur et le regret.
Selfloss : Kazimir et le Voyage Émotionnel au Coeur des Légendes
Dans Selfloss, l'épopée de Kazimir s'inscrit dans un monde où les baleines ne sont pas de simples créatures marines, mais des entités sacrées, vénérées comme des gardiennes de sagesse et de protection. Ce paysage, inspiré des traditions slaves, se déploie tel un tableau éthéré, où la beauté naturelle se mêle à des émotions intenses. Ici, le lien entre l’homme et la nature est sacré et indissoluble. Le vieux guérisseur est poussé par deux forces : la nécessité de trouver un remède à l'ombre qui obscurcit son âme et la conscience aiguë que son voyage pourrait être sa dernière chance de rédemption.Le Miasme, une calamité sombre et insidieuse, enveloppe le monde d'un brouillard de corruption, menaçant l'équilibre délicat entre le sacré et le profane. Le récit se déroule à travers une série d'épisodes captivants où Kazimir navigue entre îles mystérieuses et terres oubliées. Chaque étape de son voyage est une exploration profonde des émotions humaines, révélant leurs manifestations tangibles dans le monde environnant. Ces îles, chacune riche en symboles et en histoires, représentent des étapes cruciales dans sa quête de compréhension et de guérison.Le bâton magique de Kazimir, source de lumière et d’espoir, devient son unique arme contre les miasmes. Mais ce n'est pas simplement un outil de combat ; il incarne sa force intérieure, sa capacité à illuminer les ténèbres. Chaque utilisation de ce bâton est une double action : il combat les miasmes tout en affrontant les ombres de son âme, explorant ainsi ses propres peurs et faiblesses.L'intrigue de Selfloss s’articule comme une méditation sur la rédemption et le défi d’affronter l’inconnu. Kazimir ne cherche pas uniquement un rituel pour guérir son âme, mais découvre que le véritable chemin vers la guérison passe par une introspection profonde et une acceptation de soi. Ce voyage épique devient une réflexion philosophique sur l'équilibre entre lumière et obscurité, entre sacré et profane, traçant un chemin inéluctable vers le salut intérieur.Prendre soin de son âme n'est pas une tâche aisée, et Kazimir s'engage dans ce voyage idyllique à la découverte du monde qui l’entoure. Il doit faire face à des moments difficiles, où des créatures sacrées se dressent pour défendre la terre contre le mal. Chaque île qu’il explore représente un défi unique, truffé d’énigmes et de rencontres avec des êtres fantastiques, enveloppé dans un récit oscillant entre mystère et lyrisme.La force de l'intrigue ne réside pas uniquement dans sa structure linéaire, mais dans sa capacité à toucher les cordes profondes de l’âme humaine. Le thème du sacrifice, omniprésent dans l'œuvre, n'est pas un simple artifice narratif, mais une réflexion sur l’altruisme, la perte et la rédemption. La relation entre Kazimir et son environnement va au-delà de l’interaction : elle est profondément émotionnelle, écho des liens ancestraux qui unissent l’homme à la nature.Selfloss est ainsi un rituel magique, conçu pour guérir les blessures internes de l’âme. Le jeu se déploie comme un long voyage, découpé en cinq chapitres distincts, chacun avec des décors uniques. La durée de l’aventure dépend largement des choix du joueur et de son interaction avec le monde, totalisant environ six heures de jeu, sans compter les objets de collection et les missions secondaires. Bien que la longévité soit relativement moyenne, le titre offre une suite cohérente à son intrigue fascinante, sans s’égarer dans des détails superflus.L’expérience se déroule dans un monde d’une sensibilité et d’une délicatesse remarquables, où les miasmes continuent leur avancée inexorable, menaçant le bien et l'âme des autres. Cet aspect rappelle les derniers chapitres de The Legend of Zelda, où la calamité s’abat sur le monde, créant une atmosphère de peur et de mystère. Il évoque aussi Neva, le prochain projet de Nomada Studio, connu pour Gris.
Une Expérience de Gameplay Émotionnelle et Contemplative
Dans Selfloss, l’expérience de gameplay est fondée sur une aventure narrative immersive qui fusionne exploration, combat et résolution d’énigmes, tous liés à la quête de guérison et de rédemption du protagoniste, Kazimir. Le jeu propose une conception contemplative, mettant l'accent sur l'interaction émotionnelle avec l'environnement et un rythme lent qui accompagne le voyage intérieur de son héros. Ce choix stylistique pourrait rappeler d'autres titres comme Tunic ou Death's Door, mais Selfloss s'en distingue en proposant une approche moins axée sur des combats complexes.L'un des éléments centraux du gameplay est le système de combat basé sur l’utilisation du bâton magique de Kazimir. Ce bâton, qui canalise la lumière, est utilisé pour combattre les manifestations physiques des miasmes — des créatures sombres et corrompues — ainsi que pour résoudre des énigmes environnementales. Il devient une métaphore tangible du voyage de Kazimir vers la rédemption, et chaque amélioration du bâton reflète les progrès spirituels et narratifs du personnage.Le combat repose davantage sur la stratégie que sur la vitesse. Les joueurs doivent maîtriser le timing et la gestion de l'espace, en tirant parti des capacités défensives et offensives du bâton selon les circonstances. Les ennemis ne sont pas de simples obstacles, mais des représentations métaphoriques des traumatismes et des peurs de Kazimir, apportant ainsi une profondeur psychologique aux affrontements.Les énigmes sont profondément intégrées à la structure narrative et émotionnelle du jeu. Elles sont souvent liées à la guérison du monde affligé par les miasmes, demandant aux joueurs de restaurer l'équilibre naturel en utilisant le pouvoir du bâton et leur compréhension du monde environnant. La lumière magique sert à purifier les ténèbres, interagir avec des artefacts anciens et débloquer des chemins secrets, ce qui enrichit l’expérience de jeu.L'exploration joue également un rôle crucial dans Selfloss. L'environnement ne se limite pas à un simple décor visuel ; les conditions météorologiques dynamiques et le cycle jour/nuit influencent la difficulté des combats et l'accès à certaines zones. Cette mécanique fait écho à des titres comme Dredge, où l'alternance jour/nuit modifie l'expérience du joueur. Le rythme délibérément lent du jeu encourage une immersion totale, permettant aux joueurs de s’imprégner de l’atmosphère mélancolique et contemplative.La bande-son et les paysages sonores, enrichis de chants évocateurs et de sons naturels, participent à créer cet état méditatif. La musique engage le joueur sur des plans cognitif et émotionnel, amplifiant ainsi sa connexion avec le monde du jeu.Visuellement, Selfloss se distingue par son esthétique low poly, mariant simplicité et détails raffinés. Sur PC, et notamment sur Steam Deck, le titre offre une expérience graphique de haute qualité. Techniquement, le jeu est stable, avec seulement quelques bugs mineurs susceptibles d'être corrigés rapidement. Le framerate est généralement constant, et la qualité des textures se situe entre moyenne et élevée.En somme, Selfloss se présente comme une expérience de jeu unique, alliant une approche narrative immersive à un gameplay réfléchi. En combinant exploration, combat, énigmes et une esthétique soignée, le jeu réussit à capturer l’essence d’un voyage émotionnel et introspectif. Si vous recherchez une aventure où l’âme et la nature s’entrelacent, Selfloss mérite d’être exploré.
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La chanson de ma mie
L'eau, dans les grands lacs bleus Endormie, Est le miroir des cieux : Mais j'aime mieux les yeux De ma mie.
Pour que l'ombre parfois Nous sourie, Un oiseau chante au bois : Mais j'aime mieux la voix De ma mie.
La rosée, à la fleur Défleurie Rend sa vive couleur : Mais j'aime mieux un pleur De ma mie.
Le temps vient tout briser. On l'oublie. Moi, pour le mépriser, Je ne veux qu'un baiser De ma mie.
La rose sur le lin Meurt flétrie ; J'aime mieux pour coussin Les lèvres et le sein De ma mie.
On change tour à tour De folie : Moi, jusqu'au dernier jour, Je m'en tiens à l'amour De ma mie.
THÉODORE DE BANVILLE
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Comment dépasser l'égo quand on est hypersensible
Imaginez un lac calme au clair de lune, un miroir parfait reflétant la beauté du monde. Mais quand une pierre est jetée dans l’eau, les vagues brouillent l’image. L’ego, c’est cette pierre. Pour les hypersensibles, chaque émotion, chaque pensée, chaque jugement peut sembler être une pierre jetée dans ce lac. Comment alors retrouver la sérénité du miroir lisse ? Comment dépasser l’ego quand on est…
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