#la rémi cavagna
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LA REMI CAVAGNA
A Saint-Just-en-Chevalet, le 8 septembre 2024
3eme édition de cette cyclosportive « à domicile » dans le département de la Loire et dont le parrain n’est autre que Rémi Cavagna, coureur pro chez Movistar Team. Si Rémi ne sera pas là cette année, l’organisation a tenu compte des remarques de l’an dernier en proposant un parcours beaucoup plus en adéquation avec ce qu’on attend de ce genre d’évènement : exit donc les routes en bien mauvais état de l’an dernier (et le peu de « vrais » difficultés) pour retrouver un circuit plus dans l’esprit de la 1ere édition : 141km pour 2340m de D+ annoncés et un enchainement de 3 difficultés presque sans temps mort une fois passé la mi-course. Côté météo la chance est avec nous : il a plu le samedi et s’il reste un peu d’humidité matinale, elle sera vite dissipée pour laisser place à un ciel variable tandis que plus au sud du département, le temps est bien moins favorable !
Après le court déplacement effectué en compagnie de Clément Cambier, on arrive tôt sur place et on apprend même que le départ sera à 9h30 au lieu de 9h15 puisque le grand et moyen parcours partiront finalement ensemble. Du coup on n’est pas dans le jus et on en profite pour faire un petit tour et reconnaitre l’arrivée… qu’on aura mal reconnu ! La concurrence s’annonce ardue et estampillée FFC : une armada de coureurs du CR4C de Roanne contre un duo de grande qualité de l’ECSEL : Rémi Arsac et Axel Chatelus (double vainqueur). Il faudra aussi compter sur le duo du team Matériel-Vélo : Clément donc et Alexandre Banegas sans oublier Nicolas Chadefaux que j’ai vu sur la liste des inscrits.
Sitôt de départ donné je ne perds pas de temps pour me placer dans les 1eres positions du peloton où Rémi et Axel sont déjà là : ça sent le départ rapide ! Après 8kms sans histoire, on attaque la montée de St-Marcel-d’Urfé : 2,5km à 5% qui va faire le tri ! Bien placé je recule doucement et me trouve un peu loin lorsque ça accélère franchement. Déjà à bloc je vois 4-5 hommes s’échapper avec Rémi, Axel, Nicolas et Clément. Je laisse faire n’ayant de toute façon pas bien le choix et je m’accroche au sommet où on a juste 10’’ de retard ; les gars du CR4C sont motivés et ça embraye fort pour vite boucher l’écart. Nous ne sommes plus qu’une quinzaine à filer vers St-Martin-la-Sauveté où je crains encore le talus qui me fut fatal l’an dernier ; ce coup ci ça attaque aussi mais je passe le cap et la 1ere mission est remplie puisque je suis dans le bon coup !
Pas de vraie difficulté pour la suite mais nous ne sommes pas vraiment sur une cyclosportive ; plutôt sur une course FFC où ça s’attaque sans arrêt ! Je suis vigilent dans la descente et sur les relances à rester toujours au contact et nous voilà dans la plaine du côté de Pommiers-en-Forez. Lilian Chemier parvient alors à sortir seul tandis que les escarmouches continuent dans notre groupe. Au km42, Amaury Lac prend quelques longueurs d’avance et l’air de rien je le rejoins : nous voilà 2 où l’on passe une partie un peu vallonée à St-Paul-de-Vézelin pour traverser la Loire au pont de la Vourdiat mais sans revenir sur Lilian, c’est au contraire le reste du groupe qui nous reprend dans une petite remonté alors que j’envoyai tout de même 400W voir plus ! Le long du fleuve est très beau avec le Château de la Roche à notre gauche mais il faut rester vigilent car il y a plusieurs « coup de culs » et sur l’un d’eux un peu plus long, nouvelle attaque et nouvelle alerte pour moi où ça passe encore de justesse. Cette première partie de course prend fin au km59 au pont de Presle où l’on retraverse le fleuve et les difficultés vont alors s’enchainer crescendo.
De suite la montée de Bully (3,7km à 4,2%) va être déterminante. A 5,5w/kg je reste bien calé dans les roues mais le duo ESCEL attaque : seul Clément réagit pendant que les autres essaient d’hausser le ton. Le travail du CR4C maintiens un semblant d’espoir mais l’écart grandit : à 20’’ Nicolas sent le danger et place un contre dévastateur que seul Fabrice Goutaudier tente de suivre… pas longtemps ! Perso je sens bien que je n’ai pas le punch pour y aller alors je tente de participer à la poursuite dans un groupe où le CR4C est majoritaire mais semble avoir déjà abandonner la bataille ! Amaury, Franck Guyon sont bien plus actifs et on se dirige ainsi vers la Croix du Lac après une partie vallonée du côté de St-Jean-St-Maurice où le quatuor de tête nous devance d’une bonne minute.
Dans la Croix du Lac Franck et Amaury font l’essentiel du travail : au seuil parfois plus, on commence à perdre du monde et la pression ne se relâche pas sur les longs faut plats menant à la Croix Trévingt : autour des 300W dans leurs roues je commence à trouver le temps long et ça va un poil mieux sur la reprise des pourcentages. On a repris Lilian et à l’approche de la Croix Trévingt, on aperçoit Clément qui n’a pu suivre le désormais trio de tête tandis qu’Amaury et Lilian bifurquent pour aller gagner le moyen parcours. On continue donc de grimper quasiment jusqu’à la Loge des Gardes et nous sommes 6 en course pour la 4eme place : Fabrice, Franck, Clément, 2 CR4C Jules Cretin et Mathis Pascal et moi. Toujours gros tempo sur la fin on bascule au sommet avec près de 5’ de retard et 5 grosses minutes d’avance sur nos 1ers poursuivants. Franck met tout le monde en file indienne et je suis encore très limite, à 2 doigts de passer par la fenêtre avant qu’il ne file finalement seul dans la descente sur St-Priest-La-Prugne. En sursis, je sens que la suite va être compliquée.
Pas de temps mort en bas où on attaque le col de la Charme : 7,2km à 4.7%. Franck pas loin, Clément fait le forcing pour revenir et au seuil je craque aussi bien mentalement que physiquement. Mathis en fait de même mais parvient à prendre ma roue ; je fais alors tout le col tempo où j’essaie de maintenir 300W… jusqu’à un replat où je souffle un peu et je fini péniblement les 2 derniers kms, a même pas 4w/kg ! Mon compagnon d’infortune qui a bien souffert dans cette montée fais alors la descente puis on se relaie sur la courte transition nous menant au col de St Thomas : 1,2kms à 11,3% !
Après avoir avalé un gel je retrouve un petit peu d’énergie et maintient un peu plus de 300W dans cette difficulté malgré les crampes qui arrivent ; débout ça passe un peu mieux, Mathis à craqué avant même les gros % et j’aperçois devant mes anciens compagnons de routes mais à 1’30 voir 2’… je ne risque pas de revenir et au contraire au sommet un motard m’annonce 5 gars derrière ! En me retournant je n’ai pas pu en savoir plus et le doute s’installe pour sauver ce top 10 (en réalité la plus grosse menace vient d’Alex qui est revenu à 2’ au sommet mais je ne le sais pas). Il reste alors 20kms et je n’ai presque plus d’eau, les crampes toujours aux aguets ! Ce n’est pas non plus tout en descente avec quelques petites remontées ou des faux plats : je m’attelle à garder une bonne position, regarde souvent derrière, sans rien voir et la délivrance interviens enfin à 1km de l’arrivée où je n’ai toujours personne derrière. L’autre bonne nouvelle, c’est la ligne d’arrivée qui est vite là après une petite montée mais sans le gros coup de cul qu’on avait repéré plus tôt le matin avec Clément !
Quelques minutes plus tôt Axel et Rémi avaient passé la ligne d’arrivée main dans la main après avoir fait craquer Nicolas dans les derniers kms seulement. Pour moi 8eme (comme l’an dernier) et 2eme de catégorie c’est plutôt satisfaisant après avoir passé 15 jours sans de grandes sensations. Peut-être y avait-il moyen de faire un peu mieux en tentant de s’économiser déjà sans tenter de contre puis en répondant plus efficacement aux attaques aussi car je passe parfois trop de temps « à la limite » mais ça reste positif de s’être trouvé dans ce groupe de tête !
Classement
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Cyclisme : Rémi Cavagna et Cédrine Kerbaol sacrés champions de France du contre-la-montre.
See on Scoop.it - JamesO
Compétitions sportives : le Clermontois s'est offert le jeudi 22/06/23 un deuxième titre de champion de France de contre-la-montre devant le tenant du titre Bruno Armirail. Chez les femmes, la Bretonne a devancé Audrey Cordon-Ragot.
JamesO's insight:
Via l’agence JamesO Média❗️N.D.L.R. : article de presse (temps de lecture : 1 minute) publié par Franceinfo (France Télévisions) le jeudi 22/06/23.
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Rémi Cavagna (Deceuninck Quick-Step), champion de France de contre-la-montre en titre.
(Luis Angel Gomez/Presse Sports)
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La VUELTA’19 Stage 10: Roglic – New Vuelta King! Pt.3
Jumbo-Visma's Primož Roglič was the big favourite to win the individual time trial and take the lead of the 2019 Vuelta a España. The Slovenian was by far the fastest on the difficult and technical course to Pau in southern France. Roglič now leads the Spanish Grand Tour by 1:52 from World champion, Alejandro Valverde (Movistar).
Vuelta a España Stage 10 Result: 1. Primož Roglič (Slo) Jumbo-Visma in 47:05 2. Patrick Bevin (NZ) CCC at 0:25 3. Rémi Cavagna (Fra) Deceuninck - Quick-Step at 0:27 4. Lawson Craddock (USA) EF Education First at 0:48 5. Nelson Oliveira (Por) Movistar at 1:02
Vuelta a España Overall After Stage 10: 1. Primož Roglič (Slo) Jumbo-Visma in 36:05:29 2. Alejandro Valverde (Spa) Movistar at 1:52 3. Miguel Ángel López (Col) Astana at 2:11 4. Nairo Quintana (Col) Movistar at 3:00 5. Tadej Pogačar (Slo) UAE Team Emirates at 3:05
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Installé à Yssingeaux depuis février, Rémi Cavagna sera l'un des têtes d'affiche du Critérium du Dauphin��
Installé à Yssingeaux depuis février, Rémi Cavagna sera l’un des têtes d’affiche du Critérium du Dauphiné
Maillot bleu, rouge et blanc sur les roues et vélo chrono, Rémi Cavagna traverse Yssingeaux, ce jeudi matin à 10 heures, jour de marché, anonymement ou presque. Il faut dire que le champion de France en titre, figure majeure du cyclisme mondial, est là où il ne s’est pas fait attendre… Le coureur clermontois, coéquipier de Julian Alaphilippe, était domicilié dans la cité des cinq coqs depuis…
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JULIO JIMÉNEZ gewinnt die erste schwere Bergetappe der TOUR 2021/22 und holt sich das GELBE TRIKOT!
Der sympathische Spanier, der bisher immer nur als treuer Vasalle seines Kapitäns JOOP ZOETEMELK im TEAM WERNER aufgefallen war, feiert seinen ersten Rennsieg überhaupt und streift sich nach der 3.Etappe der diesjährigen TOUR auch das GELBE TRIKOT über.
Aber was war das für ein Ritt!
Über gleich vier Gipfel der Pyrenäen geht es von Pau aus bevor am Ende nach kurzer Abfahrt die Zielankunft in Bagnères-de-Luchon auf Höhenmeter 643m erreicht wurde.
Und schon zu Beginn legt das französische Dummie-Team LA VIE CLAIRE los wie der Teufel. Dessen Kapitän Rémi Cavagna fährt im
gepunkteten Bergtrikot - und das verleiht dem ansonsten als notorischem Bummler und Weintrinker verschrienen Dummie offenbar ungeahnte Kräfte! Cavagna reisst aus - unterstützt zunächst von seinen Teamkollegen Richard Virenque* und Eugène Christophe*. Und bald kämpft sich auch Julio Jiménez vom TEAM WERNER zu den drei Ausreißern nach vorn. Am Fuße des ersten Berges haben die vier Ausreißer 40 Sekunden Vorsprung auf das Hauptfeld, angeführt von Robert "Philippa" Millar (PEUGEOT).
Im Anstieg zum COL DU TOURMALET, der ersten schweren Bergprüfung dieser Etappe und der gesamten TOUR lassen JIMÉNEZ und CAVAGNA dann die anderen beiden zurück und machen den prestigeträchtigen Kampf um die Berpunkte unter sich aus. Und Cavagna zeigt nicht die geringste Schwäche: er holt sich die HC-Bergwertung um eine Reifenbreite vor JIMÉNEZ, während
im Peloton nur halbherzig von BIANCHI und PEUGEOT Tempo gemacht wird, denn der Rückstand von Cavagna* und JIMENEZ in der Gesamtwertung scheint doch zu groß, als dass einer von beiden eine ernstzunehmende Gefahr werden könnte. BIANCHI ist zudem nicht daran interessiert, die Verfolgung anzuheizen, da ihr Mann in GELB, Rolf Wolfshohl, zu beginn des Rennens offenbar ganz schlechte Beine und ernsthafte Probleme hat, das recht Tempo mitzugehen. Zwischenzeitlich fällt er sogar um 30 Sekunden aus dem Peloton heraus. Doch mit Hilfe seines Teamkollegen Thaler gelingt es ihm im Anstieg zur zweiten Bergwertung des Tages wieder zu den direkten Konkurrenten Thevenet, Voigt und Zoetemelk aufzuschließen - ja, sogar an THÉVENET, der nun ebenfalls arg leidet und offenbar einen "Hungerast" erwischt hat, vorbeizuziehen! Nur um kurz darauf, während der rasenden Abfahrt auf inzwischen regennasser Fahrbahn auszugleiten und zu stürzen.
Währenddessen haben sich die beiden an der Spitze offensichtlich auf einen Nichtangriffspakt geeinigt und machen weiter Tempo. Vor allem Cavagna leistet unermüdliche Führungsarbeit. JIMÉMEZ hält sich vornehm zurück und bleibt konsequent am Hinterrad des Dummies. Er hat natürlich kein Interesse (und vermutlich auch nicht die Erlaubnis), seinem Kapitän ZOETEMELK allzu weit davon zu fahren.
MIt angespannter Mine verfolgt Torsten Maferro die Aufholjagd seiner beiden Mannen, der neuverpflichtete Bergfahrer Karl-Heinz KUNDE zieht seinen Kapitän WOLFSHOHL auch über den letzten Berg, den COL de PEYESOURDE - doch der Abstand zu den Ausreißern will einfach nicht kleiner werden. Schon jetzt ist JIMÈNEZ virtueller Träger des GELBEN TRIKOTS und es bleiben nur noch zwei Runden bis zum Ziel...
Auf dem weeg dorthin haben die beiden Ausreißer alle vier Bergwertungen unter sich ausgemacht - und jedesmal blieb RÉMI CAVAGNA Sieger. Eine unglaubliche Vorstellung des Mannes in Polkadot - und natürlich bleibt er auch auf der 4.Etappe der Träger des begehrten Bergtrikots- mit großem Vorsprung vor JIMÉNEZ!
Doch dieser vierfache Triumph in den bergwertungen hat ihn natürlich auch Kraft gekostet. Die entscheidenden Körner, die ihm dann ganz am Ende fehlten. Und so passiert, was passieren musste:
JULIO JIMÉNEZ, zieht mit einer letzten Attacke auf der Abfahrt in' Richtung Ziel an CAVAGNA vorbei und auch wenn es diesem noch gelingt, an seinem Hinterrad zu bleiben, so gewinnt der Spanier doch den Zielsprint klar und holt sich am Ende das, was er wahrscheinlich die ganze Zeit im Hinterkopf hatte: den Tagessieg und - das GELBE TRIKOT!
TEAM WERNER um seinen triumphierenden directeur sportif WERNER POST hat nun mit JIMÈNEZ (in gelb) und ZOETEMELK (1'20 zurück) komfortable zwei Eisen im Feuer, um auf der 4.Etappe, der Königsetappe der diesjährigen TOUR alle taktischen Trümpfe auszuspielen... Und der sympathische JULIO JIMÈNEZ darf nun vom größten Erfolg seines Sportlerlebens träumen...
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Les vélos de Rémi Cavagna pour les Championnats du monde 2021
Les vélos de Rémi Cavagna pour les Championnats du monde 2021
Notre champion de France sur route en titre , Rémi Cavagna, va s’aligner sur le chrono et la route aux Championnats qui Monde 2021 ! Il faudra compter avec lui… Membre de l’équipe Deceuninck-Quickstep, Rémi Cavagna va s’aligner aux championnats du Monde de cyclisme 2021 sous la bannière de l’équipe de France. Il conservera cependant son équipement habituel à savoir des S-Works Tarmac SL 5 et…
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2020 Olympics France Roster
Athletics
Ethan Cormont (Créteil)
Pierre-Ambroise Bosse (Nantes)
Morhad Amdouni (Porto-Vecchio)
Djilali Bedrani (Toulouse)
Wilhem Belocian (Basse-Terre)
Gabriel Bordier (Laval)
Kévin Campion (Vénissieux)
Sidi-Hassan Chahdi (Cluses)
Yohann Diniz (Épernay)
Pascal Martinot-Lagarde (Saint-Maur-Des-Fossés)
Alex Miellet (Dijon)
Nicolas Navarro (Aix-En-Provence)
Benjamin Robert (Toulouse)
Ludvy Vaillant (Fort-De-France)
Jimmy Vicaut (Bondy)
Gabriel Tual (Prayssas)
Azzedine Habz (Paris)
Baptiste Mischler (Haguenau)
Jimmy Gressier (Boulogne-Sur-Mer)
Hugo Hay (Bressuire)
Aurel Manga (Paris)
Wilfried Happio (Bourg-La-Reine)
Louis Gilavert (Corbeil-Essones)
Alex Phelut (Beaumont)
Mouhamadou Fall (Beaumont-Sur-Oise)
Méba-Mickaël Zézé (Saint-Aubin-Lès-Elbeuf)
Ryan Zézé (Saint-Aubin-Lès-Elbeuf)
Gilles Biron (Schœlcher)
Thomas Jordier (Noisy-Le-Sec)
Muhammad Kounta (Paris)
Ludovic Ouceni (Villepinte)
Augustin Bey (Sarrebourg)
Benjamin Compaoré (Bar-Le-Duc)
Jean-Marc Pontvianne (Nîmes)
Melvin Raffin (Bourg-La-Reine)
Renaud Lavillenie (Barbezieux-Saint-Hilaire)
Valentin Lavillenie (Barbezieux-Saint-Hilaire)
Lolassonn Djouhan (Montargis)
Quentin Bigot (Hayange)
Kevin Mayer (Argenteuil)
Susan Jeptoo-Kipsang (Paris)
Carolle Zahi (Paris)
Yanis David (Les Abymes)
Mélina Robert-Michon (Voiron)
Alexandra Tavernier (Annecny)
Gémima Joseph (Cayenne, French Guiana)
Amandine Brossier (Cholet)
Rénelle Lamote (Coulommiers)
Cyréna Samba-Mayela (Champigny-Sur-Marne)
Laura Valette (Saint-Herblain)
Cynthia Leduc (Créteil)
Orlann Ombissa-Dzangue (Sens)
Floria Gueï (Nantes)
Sokhna Lacoste (La Couronne)
Brigitte Ntiamoah (Mulhouse)
Rouguy Diallo (Nice)
Boxing
Samuel Kistohurry (Lormont)
Billal Bennama (Blagnac)
Sofiane Oumiha (Toulouse)
Mourad Aliev (Nice)
Maïva Hamadouche (Albi)
Canoeing
Martin Thomas (Mainxe-Gondeville)
Boris Neveu (Lourdes)
Maxime Beaumont (Boulogne-Sur-Mer)
Étienne Hubert (Sedan)
Guillaume Burger (Schiltigheim)
Adrien Bart (Orléans)
Marjorie Delassus (Vaires-Sur-Marne)
Marie-Zélia Lafont (Orthez)
Léa Jamelot (Obernai)
Vanina Paoletti (Rennes)
Manon Hostens (Roubaix)
Sarah Guyot (Vannes)
Cycling
Benjamin Thomas (Lavaur)
Rémi Cavagna (Clermont-Ferrand)
Benoît Cosnefroy (Cherbourg)
Kenny Elissonde (Longjumeau)
David Gaudu (Landivisiau)
Guillaume Martin (Paris)
Rayan Helal (Saint-Martin-d’Hères)
Sébastien Vigier (Palaiseau)
Florian Grengbo (Bourg-En-Bresse)
Donavan Grondin (Saint-Pierre)
Victor Koretzky (Béziers)
Jordan Sarrou (Saint-Étienne)
Sylvain André (Cavaillon)
Joris Daudet (Saintes)
Romain Mahieu (Saint-Quentin-En-Yvelines)
Anthony Jeanjean (Montpellier)
Mathilde Gros (Lens)
Marion Borras (Pontcharra)
Clara Copponi (Aix-En-Provence)
Coralie Demay (Nogent-Sur-Marne)
Valentine Fortin (Toulouse)
Marie Le Net (Pontivy)
Juliette Labous (Roche-Lez-Beaupré)
Victoire Berteau (Lambres-Les-Douai)
Pauline Ferrand-Prévot (Reims)
Loana Lecomte (Annecy)
Axelle Étienne (Vaujours)
Manon Valentino (Valréas)
Diving
Alex Jandard (Écully)
Matthieu Rosset (Lyon)
Alaïs Kalonji (Paris)
Fencing
Romain Cannone (Paris)
Alexandre Bardenet (Paris)
Yannick Borel (Pointe-A-Pitre)
Enzo Lefort (Châtenay-Malabry)
Julien Mertine (Saint-Germaine-En-Laye)
Maxime Pauty (Paris)
Erwann Le Péchoux (Pertuis)
Boladé Apithy (Dijon)
Ronan Gustin (Fontaine-Lès-Dijon)
Coraline Vitalis (Pointe-A-Pitre)
Anita Blaze (Baie-Mahault)
Pauline Ranvier (Paris)
Ysaora Thibus (Les Abymes)
Astrid Guyart (Suresnes)
Cécilia Berder (Morlaix)
Manon Brunet (Lyon)
Charlotte Lembach (Strasbourg)
Sara Balzer (Strasbourg)
Gymnastics
Sam Aït-Saïd (Champigny-Sur-Marne)
Loris Frasca (Forbach)
Cyril Tommasone (Villeurbanne)
Allan Morante (Drancy)
Marine Boyer (Saint-Benoît)
Mélanie Dos Santos (Sainte-Etienne)
Aline Friess (Obernai)
Carolann Héduit (Angers)
Léa Labrousse (Chamalières)
Judo
Luka Mkheidze (Sucy-En-Brie)
Kilian Le Blouch (Clamart)
Guillaume Chaine (Colombes)
Axel Clerget (Saint-Dizier)
Alexandre Iddir (Villepinte)
Teddy Riner (Paris)
Shirine Boukli (Aramon)
Amandine Buchard (Noisy-Le-Sec)
Sarah-Léonie Cysique (Sarcelles)
Clarisse Agbegnenou (Rennes)
Margaux Pinot (Besançon)
Madeleine Malonga (Soisy-Sous-Montmorency)
Romane Dicko (Paris)
Karate
Steven Da Costa (Mont-Saint-Martin)
Leïla Heurtault (Chartres)
Alexandra Feracci (Ajaccio)
Pentathlon
Valentin Belaud (Le Chesnay)
Valentin Prades (Cannes)
Marie Oteiza (Mont-De-Marsan)
Élodie Clouvel (Saint-Priest-En-Jarez)
Sailing
Thomas Goyard (Nouméa)
Kévin Pepponet (Saint-Jean-De-Luz)
Émile Amoros (Paris)
Lucas Rual (Paris)
Quentin Delapierre (Vannes)
Jean-Baptise Bernaz (Fréjus)
Jérémie Mion (Paris)
Marie Bolou (Lorient)
Aloïse Retornaz (Brest)
Manon Audinet (La Rochelle)
Charline Picon (Royan)
Camille Lecointre (Harfleur)
Albane Dubois (Roubaix)
Lili Sebesi (Marseilles)
Shooting
Clément Bessaguet (Montpellier)
Éric Delaunay (Saint-Lô)
Emmanuel Petit (La Rochelle)
Jean Quiquampoix (Paris)
Carole Cormenier (Les Baliveaux)
Mélanie Couzy (Romorantin-Lanthenay)
Lucie Anastassiou (La Rochelle)
Céline Goberville (Senlis)
Mathilde Lamolle (Aubagne)
Océanne Muller (Schiltigheim)
Climbing
Bassa Mawen (Nouméa)
Mickaël Mawen (Nouméa)
Julia Chanourdie (Chambéry)
Anouck Jaubert (Saint-Étienne)
Surfing
Michel Bourez (Taohotu)
Jérémy Florès (Réunion)
Johanne Defay (Réunion)
Pauline Ado (Anglet)
Swimming
Yohann Ndoye-Brouard (Chambéry)
David Aubry (Saint-Germain-En-Laye)
Florent Manaudou (Villeurbanne)
Marc-Antoine Olivier (Denain)
Jonathan Atsu (Carhaix-Plouguer)
Théo Bussière (Arnas)
Maxime Grousset (Nouméa)
Léon Marchand (Toulouse)
Mehdy Metella (Cayenne, French Guiana)
Jordan Pothain (Échirolles)
Mewen Tomac (Évreux)
Antoine Viquerat (Toulouse)
Clément Mignon (Aix-En-Provence)
Charles Rihoux (Nice)
Hadrien Salvan (Paris)
Enzo Tesic (Amiens)
Lara Grangeon (Nouméa)
Mélanie Henique (Amiens)
Marie Wattel (Lille)
Charlotte Bonnet (Enghien-Les-Bains)
Cyrielle Duhamel (Béthune)
Béryl Gastaldello (Marseille)
Fantine Lesaffre (Roubaix)
Margaux Fabre (Perpignan)
Anouchka Martin (Saint-Dizier)
Lucile Tessariol (Paris)
Assia Touati (Sarraguemines)
Charlotte Tremble (Compiègne)
Laura Tremble (Compiègne)
Wrestling
Koumba Larroque (Arpajon)
Mathilde Rivière (Dreux)
Archery
Thomas Chirault (Moreuil)
Pierre Plihon (Nice)
Jean-Charles Valladont (Besançon)
Lisa Barbelin (Ley)
Badminton
Brice Leverdez (Saint-Maur-Des-Fossés)
Thom Gicquel (Paris)
Xuefei Qi (Rostrenen)
Delphine Delrue (Sarcelles)
Basketball
Frank Ntilikina (Strasbourg)
Timothé Luwawu-Cabbarot (Cannes)
Thomas Huertel (Béziers)
Nicolas Batum (Lisieux)
Guerschon Yabusele (Dreux)
Evan Fournier (Saint-Maurice)
Nando De Colo (Cholet)
Vincent Poirier (Clamart)
Andrew Albicy (Sèvres)
Rudy Gobert-Bourgarel (Saint-Quentin)
Petr Cornelie (Calais)
Moustapha Fall (Paris)
Marine Fauthoux (Pau)
Nwal-Endy Miyem (Reims)
Alexia Chartereau (Le Mans)
Sandrine Gruda (Cannes)
Héléna Ciak (Dunkirk)
Sarah Michel (Ris-Orangis)
Valériane Vukosavljević (Bordeaux)
Iliana Rupert (Sèvres)
Gabby Williams (Sparks, Nevada)
Marine Johannès (Lisieux)
Alixandra Duchet (Roanne)
Diandra Tchatchouang (Villepinte)
Ana Căta-Chițiga (Paris)
Laëtitia Guapo (Clermont-Ferrand)
Marie-Ève Paget (Annecy)
Mamignan Touré (Nevers)
Equestrian
Alexandre Ayache (Lantosque)
Karim Laghouag (Nogent-Le-Rotrou)
Christopher Six (Limours)
Nicolas Touzaint (Angers)
Simon Delestre (Sologne)
Mathieu Billot (Deauville)
Nicolas Delmotte (Douai)
Isabelle Pinto (Paris)
Morgan Barbançon (Paris)
Maxima Collard (Paris)
Pénélope Leprevost (Rouen)
Soccer
Paul Bernardoni (Évry)
Pierre Kalulu-Kayatengwa (Lyon)
Melvin Bard (Écully)
Timothée Pembélé (Beaumont-Sur-Oise)
Niels Nkounkou (Pontoise)
Lucas Tousart (Arras)
Arnaud Nordin (Paris)
Enzo Le Fée (Lorient)
Nathanaël Mbuku (Villeneuve-Saint-Georges)
André-Pierre Gignac (Martigues)
Téji Savanier (Montpellier)
Alex Beka (Paris)
Clément Michelin (Montauban)
Florian Thauvin (Orléans)
Modibo Sagnan (Saint-Denis)
Stefan Bajić (Saint-Étienne)
Anthony Caci (Forbach)
Randal Kolo-Muani (Bondy)
Ismaël Doukouré (Lille)
Isaac Lihadji (Marseille)
Dimitry Bertaud (Montpellier)
Golf
Romain Langasque (Andorra La Vella, Andorra)
Antoine Rozner (Paris)
Céline Boutier (Montrouge)
Perrine Delacour (Orlando, Florida)
Handball
Nedim Remili (Créteil)
Romain Lagarde (Lorient)
Melvyn Richardson (Marseille)
Dika Mem (Paris)
Nicolas Tournat (Niort)
Vincent Gérard (Woippy)
Nikola Karabatić (Strasbourg)
Kentin Mahé (Dormagen, Germany)
Yann Genty (Engheins-Les-Bains)
Timothey N’Guessan (Massy)
Luc Abalo (Ivry-Sur-Seine)
Michaël Guigou (Apt)
Luka Karabatić (Strasbourg)
Ludovic Fabregas (Perpignan)
Hugo Descat (Paris)
Valentin Porte (Versaille)
Méline Nocandy (Saint-Claude)
Blandine Dancette (Firminy)
Pauline Coatanea (Saint-Renan)
Chloé Bouquet-Valentini (Morteau)
Allison Pineau (Chartres)
Coralie Lassource (Maisons-Laffitte)
Grâce Zaadi-Deuna (Courcouronnes)
Amandine Leynaud (Aubenas)
Kalidiatou Niakaté (Aubervilliers)
Cléopatre Darleaux (Mulhouse)
Laura Flippes (Strasbourg)
Béatrice Edwige (Paris)
Pauletta Foppa (Amilly)
Estelle Nze-Minko (Saint-Sébastien-Sur-Loire)
Alexandra Lacrabère (Pau)
Rowing
Guillaume Turlan (Bordeaux)
Thibaud Turlan (Bordeaux)
Matthieu Androdias (La Rochelle)
Hugo Boucheron (Lyon)
Hélène Lefebvre (Paris)
Élodie Ravera-Scaramozzino (Nice)
Claire Bové (Augergenville)
Laura Tarantola (Annemasse)
Violaine Aernoudts (Lille)
Margaux Bailleul (La Havre)
Marie Jacquet (Pontoise)
Emma Lunatti (Saint-Martin-d’Hères)
Rugby
Pauline Biscarat (Tours)
Jade Ulutule (Fécamp)
Fanny Horta (Perpignan)
Caroline Ladagnous (Pau)
Camille Grassineau (Bergerac)
Lina Guérin (Paris)
Jessy Trémoulière (Brioude)
Rose Thomas (Feurs)
Audrey Amiel (Nîmes)
Marjorie Mayans (Tremblay-En-France)
Jennifer Troncy (Bagnols-sur-Cèze)
Elodie Guiglion (Hyères)
Shannon Izar (Lille)
Skateboarding
Vincent Matheron (Marseille)
Aurélien Giraud (Lyon)
Vincent Milou (Tarnos)
Madeleine Larcheron (Paris)
Charlotte Hym (Paris)
Table Tennis
Simon Gauzy (Toulouse)
Emmanuel Lebesson (Niort)
Alexandre Cassin (Basse-Terre)
Prithika Pavade (Saint-Denis)
Yuan Jia (Cholet)
Stéphanie Loeuillette (Le Havre)
Taekwondo
Magda Wiet-Hénin (Nancy)
Althéa Laurin (Paris)
Tennis
Jérémy Chardy (London, U.K.)
Ugo Humbert (Metz)
Gaël Monfils (Geneva, Switzerland)
Gilles Simon (Boulogne-Billancourt)
Pierre-Hugues Herbert (Develier, Switzerland)
Nicolas Mahut (Boulogne-Billancourt)
Alizé Cornet (Nice)
Fionna Ferro (Valbonne)
Caroline García (Lyon)
Kristina Mladenovic (Dubai, U.A.E.)
Triathlon
Léo Bergère (Le Pont-De-Beauvoisin)
Dorian Coninx (Échirolles)
Vincent Luis (Vesoul)
Cassandre Beaugrand (Livry-Gargan)
Léonie Périault (Vélizy-Villacoublay)
Volleyball
Barthélémy Chinenyeze (Dunkirk)
Jenia Grebennikov (Rennes)
Jean Patry (Montpellier)
Ben Toniutti (Mulhouse)
Kévin Tillie (Cagnes-Sur-Mer)
Earvin N’Gapeth (Saint-Raphaël)
Antoine Brizard (Poitiers)
Pierre Boyer (Saint-Denis)
Nicolas Le Goff (Paris)
Daryl Bultor (Basse-Terre)
Trévor Clévenot (Royan)
Yacine Louati (Tourcoing)
Weightlifting
Bernardin Matam (Yaoundé, Cameroon)
Anaïs Michel (Langres)
Dora Tchakounté (Yaoundé, Cameroon)
Gaëlle Nayo-Ketchanke (Clermont-l'Hérault)
#Sports#National Teams#France#Races#Fights#Boxing#Boats#Basketball#Nevada#Animals#Soccer#Golf#Andorra#Florida#Germany#Tennis#U.K.#Switzerland#U.A.E.#Cameroon
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The Moment Paris-Nice Was Won
In 1972 Eddy Merckx was so confident of winning Paris-Nice that before the start of the final stage he posed for photos with a speedboat, a prize that year. Only Raymond Poulidor rocketed up the Col d’Eze to win the stage, take the race overall and collect the prize. Primož Roglič can show a cannibal-like trait at times but must also know a thing or two about not counting chickens until they hatch, or as they say in Slovenian, “not praising the day until the evening”. But on the morning of the final stage it did look like Roglič had Paris-Nice sewn up and he even had a good chance of winning the final stage too…
Many star riders had opted for Tirreno-Adriatico, but if two simultaneous World Tour races might sound incongruous to outsiders or management consultants, the format works well with a large share of the peloton able to bank a week-long stage race in mid-March and views able getting double the action. Perhaps more than Wout van Aert or Julian Alaphilippe, the one thing Paris-Nice really missed this year was the wind. Ride from Paris to Nice and long days across the plains are inevitable, and if the weather is benign, so is the racing.
We got some fine bunch sprints, but this is the sporting version of nouvelle cuisine when we’d hoped for a feast, a daily dish to be consumed in seconds rather than hours. Sam Bennett won the opening stage in Saint Cyr and would take second while Cees Bol seized the moment to take a chaotic finish, too.
Without echelons on the first two days, the time trial in Gien was the first obvious rendez-vous for the GC contenders and Roglič was the best, just behind Stefan Bissegger and Rémi Cavagna, with Brandon McNulty close, then Max Schachmann and Sacha Vlasov close by. The likes of Tao Geoghegan Hart, Jai Hindley, David Gaudu and Guillaume Martin were among those on the receiving end in a 14km time trial and they’ll face four times this distance if they ride the Tour de France.
The wine stage past Macon and into the Beaujolais was a lively one with a difficult finishing circuit. These are not legendary roads but they do offer great riding for visitors and make just as good terrain for racing as they do red wine. All talk of wine tasting was spat out with Roglič’s late surge to win solo as he crushed his rivals like they were grapes in a vat. He took 12 seconds by the line and another 13 in time bonuses with Schachmann again close by, and this was the German once again the second best. Schachmann finished 19th on the stage to Biot won by Roglič, but all were on the same time so this momentary gap didn’t cost anything.
Schachmann was back on Roglič’s wheel for the big mountain top finish to La Colmiane. Gino Mäder was the lone breakaway survivor and with a chance of the stage win, but after everyone else was dropped Roglič launched one last time to shake off Schachi and got clear, rounded Mäder and took the stage win, his third so far. Some would have preferred if he could have let Mäder win, but this was no place for gifts with Roglič being hounded by Schachmann, who’d been right on his wheel and still seconds separating the main riders on GC with a tricky stage behind Nice still to come, rather. We don’t need hindsight to see Roglič couldn’t afford to play Santa either. Name a rider who has lost a stage race because they didn’t distance their rivals enough: Roglič. Name a rider who has seen stage races slip from him on the last day: Roglič. He’d be a tragic figure if it wasn’t for all the races he wins.
The final stage of Paris-Nice is never a victory parade. Ever since the Col d’Eze time trial was abolished it’s often the most difficult and spectacular day of the week. Still, the briefing on the Jumbo team bus wouldn’t have lasted long, a stage on the same roads as last summer’s Tour de France and within easy riding of several of the squad’s Monaco apartments presented few surprises and they needed to keep a lid on the race so that Schachmann and Astana didn’t take time; maybe letting a breakaway go to mop up the time bonuses would help. “Just keeping Primož safe to bring it home“.
Which brings us to the moment the race was lost. Or rather the moments, because like many disasters, it’s not one mishap but a chain of events. The first crash on the descent from Levens to Roquette – the same used in the Tour de France’s opening stage last year, the ice-rink stage – where he dislocated his shoulder and had his shorts shredded. Many would demand days off work following an accident like this, yet Roglič was back on the bike but, however quickly we see a rider remount, these incidents are never cost-free. Muscles ache, skin burns, adrenalin has burned up energy reserves, swelling starts and more. Then Roglič crashed again on the same descent the next time and jammed his chain. He got a replacement bike but had to chase and there was a barrage, where the convoy was being held back, leaving Roglič and his Jumbo-Visma teammates to close the gap. They’re strong, but lacked a big rouleur and the likes of Oomen, Kruijswijk and Bennett were spent quickly in the chase up the Vésubie valley, leaving Roglič alone to close the final gap of less than ten seconds. This was the point of maximum danger, where the final metres are often the hardest part of the gap to close, and meanwhile, Astana and Bora-Hansgrohe had riders on the front, so it was a lone rider in yellow versus a team trial.
Roglič never gave up though, climbing as fast as he could and prompting many double takes from dropped riders coasting up the last climb and upon reaching the finish, congratulated Schachmann on his win with a fist-bump when by all accounts he might have felt like something less gracious and would be entitled to vanish inside the team bus right away (he didn’t show up for the podium ceremony to collect the points jersey). Schachmann himself said he didn’t want to win this way but he did, and not just because Roglič crashed, but because someone else had to win and all throughout he was the second best rider. It’s a small consolation for last year’s winner on his way back after that accident in Bergamo that broke his collarbone.
The Verdict Not a vintage edition because the wind didn’t enliven the opening stages and once the race reached hillier terrain, the GC battle wasn’t much of a contest either. But like a restaurant that served up a surprise dessert, the memory might be of the final dish in the hills behind Nice. Primož Roglič looked to have the race sewn up with two stage wins and being the best-placed GC rider from the time trial, but all this just left him seconds ahead of his rivals and one crash was enough to topple him from the podium. He wasn’t alone: Richie Porte, Tao Geoghegan Hart and Brandon McNulty would also crash out of the race, and the absence of Ineos’s leaders allowed Jumbo-Visma to keep a grip on the race all week, but the final stage twist just adds to the lore of Paris-Nice.
Paris-Nice is often a small dress rehearsal for the Tour. Younger riders get a go and the youth competition showed strong rides by Vlasov, Lucas Hamilton, Jorgensen, McNulty and Paret-Peintre. It’s a tune up for next weekend’s Milan-Sanremo, too. But perhaps the long term effect will be on Jumbo-Visma; the team will give leadership to some of their other riders in upcoming stage races but last week’s racing suggests they’ll play it even safer in July.
The Moment Paris-Nice Was Won published first on https://motocrossnationweb.weebly.com/
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LA REMI CAVAGNA
A Saint-Just-en-Chevalet, le 10 septembre 2023
2eme édition pour cette cyclo qui continue l’aventure malgré une 1ere sous la pluie mais réussi l’an dernier ! On retrouve le département de la Loire ainsi que le CR4C de Roanne aux manettes pour 3 parcours proposés dont le grand « la Rémi Cavagna » et ses 150kms. Si nous avons ce coup ci droit à une météo estivale, le parcours à dû être modifié il y a peu suite à une décision préfectorale et le moindre que l’on puisse dire c’est que nous n’allons pas gagner au change. En revanche la bonne surprise est la présence du parrain de l’épreuve, Rémi Cavagna, qui va rouler sur le grand parcours !
Pour un départ à 9h15 et grâce à la proximité de la course avec 1 heure de route, pas besoin de se lever très tôt, ce qui est appréciable. Sur place le retrait des dossards est rapide et le speaker place lui-même les coureurs prioritaires à l’avant en faisant l’appel au micro avec une rapide présentation ; sympa ! En première ligne aux côtés de Rémi et des principaux favoris, le départ se fait sans efforts inutiles et sans stress : toujours en 2-3eme position pour aborder la montée sur St-Marcel-d’Urfé la course s’emballe après seulement 7,5kms. Rémi met en route et à 6,2w/kg dans les roues je subis en reculant doucement mais surement ; au bout de 5’ je me retourne pour constater que plus personne n’est derrière moi et que 10 gars s’accrochent au train du TGV de Clermont, je dois donc absolument tenir les roues ! C’est chose faite mais ça ne débranche quasiment pas jusqu’à Saint-Martin-la Sauveté où je m’emploie fortement juste pour rester au contact. A la sortie du village il y a une petite rampe de 600m que je vois venir avec inquiétude car je n’ai pas récupéré et le coup de grâce tombe : ça monte au sprint et le groupe explose : Rémi emmène avec lui Axel Chatelus (vainqueur l’an dernier) et 3 coureurs du CR4C dont Quentin Rongère. Derrière on est en ordre dispersé et on se regroupe vite : Alexandre Banegas, Thimothée Delavaud, Lucas Geyssant, Toby Evans et Vincent Trescartes (2eme l’an dernier) m’accompagnent et on prend vite 30’’ de retard malgré une excellente entente : on l’a compris c’est fini après 18kms seulement !
On a beau se relayer comme des malades pour redescendre dans la plaine, rien n’y fait ! On emprunte des routes parfois étroites, des croisements type critérium avec de grosses relances à chaque fois et il faut être vigilant comme sur ce tronçon où le goudron est soulevé par les racines et qui sera fatal à 2 coureurs du CR4C qui étaient devant et qui ne repartiront pas ! Maintenant à 6 contre 3 en notre faveur, on concède toujours du temps en roulant pourtant très fort. A Balbigny le débours est de plus de 2’ alors que je suis en souffrance depuis déjà quelques kilomètres. La bonne nouvelle c’est qu’on en termine avec ces longs bouts droits tout plat pour avoir enfin un peu de relief : la 1ere bosse pour rejoindre Néronde fait très mal avec une route étroite et en mauvais état. Il me faut envoyer plus de 400W pour ne pas sauter et je puise déjà bien dans les réserves. Après une descente courte et rapide on enchaine sur d’autres côtes nous emmenant à la grotte de Félines et St-Marcel-de-Félines. Ici on est plus sur un tempo que je suis plus « facilement » puis on enchaine sur une nouvelle difficulté pour rejoindre Neulise : une sorte de coursière avec de l’herbe tout le long au milieu de la route et un revêtement catastrophique nous rappelant un Paris Roubaix (même si ce n’est pas des pavés). Bien secoué mais toujours à 6, on se dirige vers le fleuve Loire en perdant Vincent, obligé de s’arrêter pour de l’eau.
En bord de Loire le parcours reste vallonné : on a le temps de jeter un œil au beau château de la Roche avant d’arriver au pied de la montée de Bully : là je crains le pire mais ça monte tempo avant d’accélérer à l’approche du village : un peu à l’arrache au sommet ça passe mais pas trop le temps de souffler qu’il faut remonter sur St-Jean-St-Maurice : il faut sortir du z5 pour tenir et c’est compliqué mais je m’en sors encore ! On enchaine quasiment dans la foulée sur la Croix du Lac : je mène notre groupe tempo avant des relais plus appuyés d’Alex ou Lucas dans la partie plus raide. Je maintiens encore ma position avant la dernière difficulté où j’aurai aimé tenter quelque-chose ; maintenant ce sera juste suivre le plus longtemps possible et pour ça, je ne passe plus de relais depuis quelques temps mais la 1ere attaque d’Alex à 2km du sommet me condamne : en tenant un semblant de tempo je reste à l’affut mais baisse définitivement pavillon sur une 2eme accélération. Je reviens sur Lucas qui a lâché aussi mais décide de m’arrêter prendre de l’eau au ravito : j’ai vraiment chaud et 2 bidons vides ; pas trop le choix ! Il reste une petite vingtaine de kilomètres principalement descendant, 7 ou 8eme ne changeant pas grand-chose et me doutant d’avoir une avance conséquente sur les poursuivants avec le rythme qu’on a mis jusqu’à là, je peux finir plus tranquillement même si des petits « coups de cul » viennent me refaire mal aux jambes. A 6km de l’arrivée de méchantes crampes me paralysent les 2 jambes jusqu’aux chevilles et me ferons encore souffrir pour en terminer en 4h02 à la 8eme place donc et 1er des M3. Presque 20’ plut tôt (!) Axel aura doublé la mise étant le seul à avoir pu accompagner Rémi jusqu’au bout. Quentin prenant la 3eme place en ayant résisté seul et bien géré l’avance acquise.
Un bilan contrasté pour cette 2eme édition : à titre personnel le résultat n’est pas si mal au vu du parcours et de la concurrence proposée même si ma journée galère de la veille à passer 1h30 à tenter de réparer une crevaison pour rentrer m’a laissé des traces avec une belle douleur à la cheville droite qui s’est réveillée durant la course ! C’était de toute façon impossible de rééditer la belle 3eme place de l’an dernier ! Cependant concernant l’épreuve en elle-même on peut fortement regretter le parcours de l’an dernier qui proposait quand même une partie plus intéressante et plus sécure (Croix du Sud-Rivière Noire-Loge des Gardes) que cette année où on s’est retrouvé sur certaines routes presque indignent d’une telle épreuve (en plus avec la présence d’un coureur pro) : mauvais état de la chaussée, sable, gravillons et une multitude de carrefours parfois dangereux avec absence de signaleurs. Dommage car cette cyclo possède quelques atouts intéressants avec une participation limitée pour un plus grand confort, des départs décalés pour les différents parcours, une logistique bien huilée avec le CR4C notamment, des photos en accès libre dans la semaine qui suit ou des paniers garnis de produits locaux et un repas d’après course où les bénévoles se seront démenés sans compter ; alors souhaitons une amélioration de la sécurité et des parcours pour la 3eme édition !
Classements
Site de l'épreuve :
Ou du chronométreur :
Lien direct du 150km ici
Strava
#cedric richard#resultat#roue des grands bois#specialized elite shop#remi cavagna#loire#st-just-en-chevalet#departement de la loire#cr4c roanne
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Vuelta a España: Rémi Cavagna: “Era mi última oportunidad de terminar la temporada con una victoria” El francés Rémi Cavagna (Deceuninck-Quick Step), ganador en Toledo de la decimonovena etapa de la Vuelta a España, se sintió "liberado" con un triunfo que había intentado en...
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La VUELTA’19 Stage 10: Roglic – New Vuelta King! Pt.1
Jumbo-Visma's Primož Roglič was the big favourite to win the individual time trial and take the lead of the 2019 Vuelta a España. The Slovenian was by far the fastest on the difficult and technical course to Pau in southern France. Roglič now leads the Spanish Grand Tour by 1:52 from World champion, Alejandro Valverde (Movistar).
Vuelta a España Stage 10 Result: 1. Primož Roglič (Slo) Jumbo-Visma in 47:05 2. Patrick Bevin (NZ) CCC at 0:25 3. Rémi Cavagna (Fra) Deceuninck - Quick-Step at 0:27 4. Lawson Craddock (USA) EF Education First at 0:48 5. Nelson Oliveira (Por) Movistar at 1:02
Vuelta a España Overall After Stage 10: 1. Primož Roglič (Slo) Jumbo-Visma in 36:05:29 2. Alejandro Valverde (Spa) Movistar at 1:52 3. Miguel Ángel López (Col) Astana at 2:11 4. Nairo Quintana (Col) Movistar at 3:00 5. Tadej Pogačar (Slo) UAE Team Emirates at 3:05
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Cyclisme: Rémi Cavagna prolonge chez Deceuninck-Quick Step 78682 homes
http://www.78682homes.com/cyclisme-remi-cavagna-prolonge-chez-deceuninck-quick-step
Cyclisme: Rémi Cavagna prolonge chez Deceuninck-Quick Step
Le Français restera deux saisons de plus dans la formation belge.
homms2013
#Cyclisme
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Tour de France Stage 21 Preview
The race reaches Paris with a parade that turns into a criterium, once again the riders of the Tour de France get the Champs-Elysées closed for them, a privilege usually reserved for visiting heads of state.
Poga-Tsar: the glorious uncertainty of sport. Chances are if you’ve come to a niche blog you know what happened in the Tour de France already. Tadej Pogačar set off at a fast pace and quickly took 20 seconds on Primož Roglič. A fast start to pressure the yellow jersey into responding and over reacting? The closer to the foot of the Planche des Belles Filles, the more time Roglič was losing but he still had a cushion. Onto the climb with 5.9km to go the gap was up to 36 seconds, meaning Pogačar needed 21 seconds to claim the yellow jersey. Roglič made a bike change and that cushion had gone and while the TV GPS time gaps were going up and down the trend was clear: Pogačar was rocketing. While the UAE rider was soaring, the yellow jersey looked pale. Roglič was pedalling like a child on a new mountain bike who hasn’t worked out how to change gears, his feet spinning but hardly moving forwards. He’d finish almost two minutes down, one of the biggest surprises in the Tour for years and leaving Jumbo-Visma stunned, the Dutch team had controlled so much of the race and triumph slipped through their fingers.
Comparisons with 1989 and the close, thrilling finish seem inevitable but back then a few newspaper articles tipped LeMond for the overall win on the eve of the final time trial in Paris, yesterday morning almost nobody thought Pogačar would do it. Roglič looked invincible… until suddenly he wasn’t with 5km to go although with hindsight perhaps 57 seconds for a 36km time trial was a headstart, rather than a guarantee. Elsewhere the other collapse was Miguel Angel Lopez, over six minutes down and falling off the podium as if Bernard Hinault had taken a dislike to him, “Superman” slipped to sixth overall as Richie Porte climbs onto that precious podium spot.
The Route: a ride from the dormitory town of Mantes-la-Jolie across the Yveslines department, a popular area for Parisian cyclists, and into the capital. There’s not much point trying to decrypt the course as it’s a parade into the capital although there’s nothing to stop Jumbo-Visma trying to split the field if they want.
The Finish: a tour via the Louvre courtyard (pictured) and the Tuileries garden like last year, then eight laps of the Champs-Elysées. There are urban cobbles and the finish is slightly uphill and positioning is key to get momentum coming into the finish.
The Contenders: a sprint finish is the obvious scenario, we’ve only seen attacks work in 2005 and 1994 since 1989’s time trial finish, still watch Rémi Cavagna (Deceuninck-Quickstep), Nils Politt (Israel) and Greg Van Avermaet (CCC) just in case. Caleb Ewan (Lotto-Soudal) and Sam Bennett (Deceuninck-Quickstep) are the standout sprinters here. Wout van Aert (Jumbo-Visma) can aim for his third stage win, it’s not like the team have anything else to do now. Alexander Kristoff (UAE Emirates) won here a year ago and could bookend his Tour. Sunweb have had a great tour but it’s not over yet, Cees Bol can still win a sprint. The outsider pick is Luka Mezgec (Mitchelton-Scott) and not because he’s Slovenian, but he’s won the final stage of the Giro before, his team will be all in and he’s good for a long sprint at high speed rather than a sprint out of a tight corner.
Caleb Ewan Sam Bennett, Wout van Aert Kristoff, Bol, Mezgec, Viviani
Weather: warm and sunny, 27°C
TV: live coverage from the start at 3.45 CEST to the finish forecast around 7.00pm Euro time. By all means watch from the start but if you complain there’s no action for hours then you’ve probably got yourself to blame. Aim to tune in for the final hour.
Tour de France Stage 21 Preview published first on https://motocrossnationweb.weebly.com/
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Recital de Cavagna en las rampas de Toledo tras la polémica acción de Movistar
El joven Rémi Cavagna ha dado todo un recital en los últimos 20 kilómetros de la 19ª etapa después de que a falta de 63 kilómetros se produjera una múltiple caída a causa de la lluvia en la que se vieran implicados varios ciclistas, entre ellos el... Leer noticia https://ift.tt/34H9VkB
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