#la porte rouge
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slippy-socks · 3 months ago
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philoursmars · 6 months ago
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Marseille, sur la navette maritime Vieux-Port - Pointe-Rouge -
dans le Vieux-Port, une barquette sous Notre-Dame de la Garde
La passe du Vieux-Port, entre le Pharo à bâbord et la Tour Saint-Jean à tribord. Sous le Soleil exactement, comme chantait Gainsbourg...
idem : une barquette
Endoume et le petit port de Malmousque
l'île Degaby et la Bonne Mère
le Vallon des Auffes, son port et son viaduc
la corniche Kennedy et la Marina olympique
Pointe Rouge : un des deux bâtiments jumeaux, au dessus du port
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secicrexe · 1 month ago
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Il faut que je crée un manuel pour avaler une étoile filante
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Aujourd’hui, je n'ai pas pu avaler une olive, comme une peste sans sucre, une vérité bloquée dans ma gorge… L’eau est un symbole de rébellion... Et comment être sauvage ?...
L’escalier qui descend est glissant… Pour y survivre, il faut enlever une peau et mettre un gilet jaune… La respiration est un handicap, il n’y a pas d’associations pour faire des dons… L’air est un directeur général qui règle le climatiseur à fond pour que la chaleur prenne congé, comme une démission forcée… Dans la salle de repos, la neige organise des conférences, parlant de rêves à des statues sourdes qui n’écoutent que pendant dix minutes avant de retourner à leurs salaires…
Il fait beau, aujourd’hui… J’ai réussi à me faire sourire… La solitude n’existe pas… Quand mes yeux ne trichent pas, je vois des couleurs… Et les élèves du gris finissent toujours recalés ; ils doivent échouer pour s’améliorer…
Et puis, une idée me traverse l’esprit : je veux offrir une fleur à une femme plus âgée que moi, juste pour voir son sourire… Peut-être, dans cette confession au-dessus d’une table dressée, je vais trouver une utilité à ma sainteté qui me perturbe… Parfois, j’hésite à former des fusées avec des ordonnances que je trouve dans ma poubelle à la place des additions…
Aujourd’hui, je suis prêt à être un clown, mais sans maquillage, parce que j’ai une réunion dans cinq minutes… Je suis prêt à offrir des fleurs, juste pour que ma face trouve son miroir, juste pour que la farce ose enfin me croire…
Khalid EL Morabethi
( en cours d'écriture )
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maitre-gotta · 1 month ago
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Rituel Efficace pour Trouver d'Emploi, le plus grand et puissant marabout
Rituel Efficace pour Trouver d’Emploi Rituel efficace pour trouver d’emploi Pour vous procurer les supports contacter moi 1 enveloppe 1 feuille de papier vert Des timbres-poste 1 bougie verte 9 aiguilles de pin 1 petite brindille de cèdre 1 feuille de laurier 1 pincée de poudre de cannelle Rituel Un jeudi soir, préférablement en période de Lune Montante, allumez la bougie. Éteignez toutes…
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pompadourpink · 5 months ago
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Literal French expressions
À deux - at two
À la + n. - in the style of
À la carte - at the menu
À la mode - in fashion
Amateur - lover
Après-ski - after skying
À propos - about
Armoire - wardrobe
Art nouveau - new art
Au naturel - plain
Au pair - at the peer
Auteur - author
Avant-garde - before guard
Bête noire - black beast
Blasé - jaded
Bon appétit - good appetite
Bon voyage - good journey
Boutique - shop
Buffet - credenza
Bureau - office
Canapé - couch
Carte blanche - white card
C'est la vie - that's life
Chauffeur - warmer (n.)
Chef - leader
Cliché - picture
Clique - gang
Connaisseur - "knower"
Coup d'état - blow of state
Coup de grâce - blow of mercy
Coup de foudre - blow of lightning
Couture - sewing (n.)
Cul-de-sac - ass of the bag
Début - beginning
Débutante - beginner
Déjà-vu - already seen
Dénouement - untying
Dossier - file
Double entendre - double hear
... du jour - of the day
Eau de toilette - washing water
Eau de vie - life water
Encore - again
Ennui - boredom
En route - in road
Ensemble - together
Entourage - people surrounding you
Entrepreneur - starter (n.)
Essai - attempt
Esprit de l'escalier - spirit of the stairs
Étiquette - label
Exposé - exposed
Façade - frontage
Faux pas - fake step
Femme fatale - deadly woman
Film noir - black movie
Fin de siècle - end of century
Flâneur - "stroller"
Femme - woman
Folie à deux - madness at two
Foyer - fireplace, home
Gamine - female kid (casual)
Gauche - left
Gendarme - person of weapons
Je ne sais quoi - I don't know what
Laissez-faire - let (someone) do (imperative)
Laissez-passer - let (someone) pass
L'appel du vide - the call of the void
Lingerie - underwear
Maître d' - master o'
Mardi gras - fat Tuesday
Matinée - morning
Ménage à trois - household at three
Mon/ma chéri-e - my cherished
Montage - mounting
Motif - pattern
Mural - on the wall (adj.)
Né-e - born
Négligé - neglected
Nom de plume - feather name
Parole - word
Petite - small (adj.)
Pied-à-terre - foot on land
Poilu - hairy
Pot pourri - rotten pot
Pourboire - for drink
Première - first
Prêt-à-manger - ready to eat
Protégé - protected
Renaissance - rebirth
Rendez-vous - appointment
Répertoire - directory
Résumé - summary
Risqué - risked
Robe - dress
Rouge - red
RSVP - answer please
Sans-culottes - without pantaloons
Savant - "knower" (n.)
Savoir-faire - know how to do (v.)
Savoir-vivre - know how to live
Séance - session
Soirée - evening
Souvenir - memory
Suite - sequel, development
Surveillance - careful watching
Tête-à-tête - head to head
Touché - touched
Tour - circuit
Trompe-l'oeil - cheats the eye
Venue - came
Vignette - sticker, label
Vis-à-vis - face to face
Voyeur - "seer"
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Ballet vocabulary:
Allongé - laid down
Balancé - swinged
Balançoire - swing (n.)
Battu - battered
Brisé - broken
Chassé - chased
Chaînés - chained
Ciseaux - scissors
Coupé - cut
Dégagé - cleared
Développé - developed
Échappé - escaped
En cloche - in bell
En croix - in cross
Entrechat - between braid
En pointe - in tip
Failli - almost did
Fouetté - whipped
Glissade - sliding
Plié - bent
Jeté - thrown
Manège - carousel
Pas de bourrée - drunk step
Pas de chat - cat step
Pas de cheval - horse step
Pas de deux - step of two
Pas de valse - waltz step
Penché - leaned
Piqué - pricked
Port de bras - carry of arms
Relevé - lifted back up
Renversé - titled, bent backwards
Retiré - removed
Rond de jambe - leg circle
Temps de flèche - arrow time Tendu - stretched
Temps lié - linked time
Tombé - fallen
Tour en l'air - turn in the air
Kitchen vocabulary:
Amuse-bouche - mouth entertainer
Bain-Marie - Mary bath
Café au lait - milky coffee
Casserole - pot
Cordon bleu - blue ribbon
Crème brûlée - burnt cream
Crème de la crème - cream of the cream
Crème fraîche - fresh cream
Croissant - crescent
Éclair - lightning
Entrée - entrance
Filet mignon - cute net
Flambé - blazed
Foie gras - fat liver
Fondant - melting
Fondue - melted
Gourmet - foodie
Hors d'oeuvre - out of the work
Légume - vegetable
Liqueur - liquid
Mille-feuille - thousand leaf
Mousse - foam
Pâté - pasted
Roux - redhead(ed)
Sauté - jumped
Sautoir - "jumper"
Soufflé - blown
Velouté - velvety
Fanmail - masterlist (2016-) - archives - hire me - reviews (2020-) - Drive
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jeanfrancoisrey · 8 months ago
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La porte rouge…
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sloubs · 1 month ago
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just picture this
arthur qui vient vivre dans le château de léodagan en carmélide le temps que celui de kaamelott se reconstruise, il se retrouve à devoir dormir dans la chambre de guenièvre. elle s'absente un moment, lui est tout seul dans la pièce et commence à regarder autour de lui : il voit des piles de vieux livres d'où pendouillent des marques-pages brodés, des boîtes remplies de bijoux sur sa coiffeuse, des dessins accrochés aux murs qui datent de quand elle était petite. la curiosité le pique et, le sourire aux lèvres, il continue de découvrir tout ce qui témoigne de l'adolescence de guenièvre. il se met à ouvrir quelques placards, quelques tiroirs, vérifie de temps en temps dans le couloir que sa femme n'arrive pas, et puis, une fois qu'il a fait le tour, il s'affale à plat ventre sur le lit. il ouvre les yeux vers l'oreiller de guenièvre et voit quelque chose dépasser. il se redresse, empoigne le coussin et le soulève : il y découvre un carnet en cuir rouge, avec des fleurs embossées et des enluminures dorées. arthur sait de quoi il s'agit. il s'en doute. il connaît sa femme et ce genre de trucs nunuches c'est totalement son style. il fixe longuement le carnet, lançant quelques regards furtifs vers la porte...puis finit par l'attraper et l'ouvrir. évidemment, il roule des yeux à la lecture des premières pages, remplies de gribouillis et de dessins d'ados. il ricane à la description de son premier coup de coeur, un jeune écuyer croisé au marché à qui elle n'avait vraisemblablement jamais adressé la parole. et puis, lentement, le sourire d'arthur s'estompe. il lit les lignes qui racontent son futur mariage, un mariage qu'elle n'a pas choisi et qui la terrorise. des écrits quotidiens qui relatent sa peur de ne pas être à la hauteur, ne pas être assez belle, assez aimante, assez digne de ce garçon dont elle ne connait rien. elle décrit son futur mari, ou du moins comme elle l'imagine du haut de ses seize ans, la grande histoire d'amour qui les attend, sa vie de reine, son quotidien au château, les prénoms de ses futurs enfants.
arthur sent un frisson lui parcourir le dos. il ferme le carnet et le replace sagement sous l'oreiller.
puis guenièvre réapparaît sur le pas de la porte toute souriante, sans se douter de rien. et en la voyant, arthur n'a qu'une certitude : il fera de son mieux pour lui offrir ce qu'elle a toujours attendu.
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chicinsilk · 23 days ago
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Elle Magazine Collection Hiver 1953-54
Madeleine de Rauch Haute Couture Collection Fall/Winter 1953-54. Fiona Campbell-Walter, a book in her hand, on the banks of the Seine in Paris in front of a bookseller's "box". She is wearing “Les Hauts de Hurlevent” dress and overcoat set in red wool belted in black.
Madeleine de Rauch Collection Haute Couture Automne/Hiver 1953-54. Fiona Campbell-Walter, un livre à la main, sur les quais de la Seine à Paris devant la "boite" d'un bouquiniste. Elle porte "Les Hauts de Hurlevent" ensemble robe et paletot en lainage rouge ceinturé de noir.
Photo Georges Dambier.
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urween · 7 months ago
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"Quatre secondes"
Wolverine x
M/FTMreader
note : mutant!reader
résumé : Logan entend malgré lui des bruits assez dérangeants dans une chambre voisine, il sera surpris de découvrir de qui ils proviennent
⚠︎ warnings : forme de voyeurisme, violence, langage vulgaire/cru, évocation de sexualité et de guerre, alcool, jalousie
3 805 mots - Description à la troisième personne
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Il avait une ouïe surdéveloppée, tout le monde le savait. Les élèves qui se disputaient, il les entendait. Les vitres cassées par un ballon, il les entendait. Les rires à deux heures du matin, ça putain ouais il les entendait aussi. En bref, il entendait tout ce qu’il se passait dans le manoir, du moins au deuxième étage. D’habitude, aucun problème à s’endormir avec ces bruits, il avait déjà dormi sous des tirs de fusils alors des gosses n’allaient pas l’empêcher de se reposer. Enfin, c'est ce qu’il pensait. Les rires, les insultes, les chuchotements, d’accord, mais les gémissements c'étaient autre chose encore.
Au deuxième étage il n’y avait que les étudiants ayant dépassé la majorité, pour ceux que l’on pouvait dater, et quelquefois il arrivait que ce genre de choses se produisent mais rien de terrible, c'était léger et rapide, tout l’inverse de ces dernières fois. Parce que oui, “ces” dernières fois. Pas juste une fois, un vendredi soir pour fêter le weekend, non, tous les putains de soirs depuis une semaine. Alors Logan commençait à regretter son ouïe surdéveloppée.
Il n’avait jamais bien dormi, c'était pas son genre, mais ne pas dormir n'était pas son genre non plus. Il avait besoin de sommeil. Son corps avait beau se régénérer, il devait se reposer, pour éviter d'être de mauvaise humeur, encore plus que d’habitude je veux dire.
Mais aller toquer à la porte de cette chambre et demander poliment d'arrêter de baiser tous les soirs n'était pas non plus dans ses options. Malgré son caractère, assez explosif, Logan n’aimait pas ces situations, elles le mettaient toujours très mal à l’aise. Et puis, il devait avouer aussi qu’admettre que depuis une semaine il écoutait sans le vouloir ces bruits était un peu gênant, voire même beaucoup.
Lors de ces nuits blanches, Logan était parvenu à localiser la chambre d’où prévenait tout ce boucan. C'était la dernière, tout au fond du couloir, à environ cinq chambres de la sienne. Si sa mémoire était bonne, Oscar dormait là-dedans. Un mec assez banal et gentillet, le genre à se faire recaler par toutes ses conquêtes amoureuses. Et pourtant il en faisait du bordel. Bien entendu il n'était pas tout seul dans l’histoire, mais Logan ne voyait pas qui pourrait être la deuxième personne. Oscar avait des ami.e.s mais rien de fantastique, pas de petit.e ami.e non plus et en aucun cas une mutation permettant de faire ce genre de choses tout seul. En fait, il pouvait juste manipuler les couleurs, mais pas à un très haut niveau, seulement inverser le jaune d’une banane avec le rouge d’une fraise par exemple. Alors Logan séchait, il ne voyait pas qui ça pouvait bien être. Et même la voix ne l’aidait pas, il entendait davantage Oscar que l’autre. Même si quelquefois il parvenait à capter une voix, très douce, très tremblante, et il devait l'avouer, assez agréable à entendre. Mais ce n'était pas sa faute, il ne pouvait pas ne pas écouter, ses oreilles entendaient pour lui. Et même avec des bouchons il entendait tout, puis de toute manière il ne supportait pas ces trucs en plastique fluorescent.
Au bout de la cinquième fois, il avait eu espoir que ça s’arrête, qu’ils arrêtent. Mais ce n'était pas arrivé.
Honnêtement, il était un peu à cran. Les élèves le remarquaient très clairement, dès le début de la semaine ils avaient vu que Wolverine était d’humeur cinglante, ils se tenaient encore plus à carreaux. Leur soulagement était qu’au moins il n'était pas professeur, parce qu’ils se voyaient mal avoir à endurer ce regard enflammé pendant une voire deux heures de cours. Logan était simplement ��invité”, ou peut-être “habitant”, ou “babysitter” aussi parfois. Charles lui avait proposé un poste en tant que professeur d’histoire, mais il avait vite refusé, ne voulant pas avoir à se coltiner des évaluations à corriger et une cravate à porter. Quelquefois il donnait des sortes de cours, ou plutôt des entraînements, dans le combat bien entendu. Et puis un ou deux, ou une petite dizaine d’élèves peut-être, lui demandait fréquemment de les aider à la salle de sport, pour des conseils ou juste un soutien physique. Avec tout ça il avait fini par connaître tout le monde, même s’il n’en avait pas l’air, il aimait plutôt bien ces gosses.
Et puisque officiellement il n’avait rien à faire, il pouvait observer Oscar, ou plutôt avec qui il traînait.
Appuyé contre un encadrement de porte, Logan ne détacha pas son regard du jeune homme. Malicia était passée parler à Oscar, et des sueurs froides avaient parcouru le dos de Logan en imaginant cette possibilité, mais heureusement elle était avec Bobby dans une chambre à l'autre bout du couloir. Katt était aussi passée pour lui donner des livres, mais Logan savait qu’elle avait déjà quelqu’un d’autre dans le viseur, ça ne pouvait donc pas être elle. Quentin, Mark, Sophie et Sasha aussi. En fait, Oscar parlait à beaucoup de monde et n’avait pourtant pas d’amis fixes.
Dix-sept heures et Logan commençait à râler. Pour un samedi, Oscar en voyait du monde, il faisait courir Logan un peu partout. Et dans tout ça, personne ne pouvait correspondre.
« Salut, tu as pu le récupérer ? »
Devant lui, à une quinzaine de mètres, Oscar discutait avec une nouvelle personne encore. Logan leva les yeux au ciel derrière ses lunettes de soleil et s’appuya davantage sur l’arbre dans son dos.
« Mh mh, Tornade a été compréhensive, elle m'a même aidé à le réparer »
Le garçon souriait faiblement, il n'était pas timide, Logan le savait puisqu’il connaissait assez bien ce jeune homme, c'était même lui qui l’avait ramené.
Il y a quatre mois, Logan est parti, sans vraiment savoir pourquoi, pour être honnête, il voulait juste aller près d’un lac et regarder la forêt vivre en face. Mais il a entendu un couinement, humain, ou du moins pas animal. En fait, il a failli couper la tête à ce garçon lors de leur première rencontre, il s'était caché dans un buisson derrière lui. Logan l’a écouté lui expliquer qu’il avait fuit sa maison pour échapper à des personnes qui ne l’appréciaient pas, il disait que sa famille lui manquait beaucoup mais qu’il ne pouvait pas revenir avec eux car c'était dangereux. Puis, sorti de nul part, il lui a dit qu’il était désolé pour tout ce qu’il avait vécu. Logan l’a fixé, pendant un long moment avant de demander : “tu lis dans les pensées ?”. Ce à quoi le garçon a répondu : “j’interprète les signes invisibles”. Il a fallu dix bonnes minutes pour que Logan comprenne, et qu'il se détende un peu par la même occasion. Le garçon lui a demandé pardon, il a dit ne pas avoir voulu être trop brusque mais qu’il n’avait pas pu s'empêcher de le dire, parce qu’il voyait la souffrance sur les traits de Logan. La discussion s'était arrêtée là, Logan s'était levé et avait lentement soufflé, il n'aimait pas parler de sa vie alors savoir que quelqu'un pouvait lire en lui comme dans un livre ouvert l'avait dérangé. Le garçon s'était encore une fois excusé, les larmes aux yeux, et Logan l'avait regardé pendant quatre secondes, quatre longues secondes qui lui avaient fait ressentir plus que quatre années. Il avait pris le garçon dans ses bras, il n’avait pas contrôlé son geste, il voulait juste le prendre dans ses bras pour quelques instants. Après, Logan l'avait emmené au Manoir, et ils s’étaient vite perdus de vue dans la masse de mutants. Mais il le regardait, il ne pouvait pas s'empêcher de le regarder lorsqu'il passait devant une salle de classe et qu’il le voyait en train de prendre des notes, ou lorsqu’il écoutait de la musique dans le jardin. Logan se sentait un peu attaché à ce garçon, enfin, ce jeune homme, puisqu’il avait vingt-trois ans.
« Génial, Oscar sourit gentiment, et..tu peux venir ce soir ? »
Logan ouvrit grand les yeux. Oscar fixait le garçon avec un sourire, un peu trop grand pour n'être qu’une invitation à jouer aux cartes.
« Je sais pas trop, tu sais ça va beaucoup mieux là donc..je veux pas forcer de trop, répondit l'autre avec un regard neutre, contrastant avec la situation »
Bordel, il ne s’attendait pas à ce que ça soit lui. Mais en y repensant, ça semblait presque logique maintenant. La voix faible et tremblante était aussi calme et douce que la sienne, et puis il parlait beaucoup avec Oscar depuis quelque temps.
Logan lâcha son arbre, il retira ses lunettes et passa sa main contre ses yeux. Bordel de merde, il ne s'attendait pas à ça. Il avait besoin d’un peu de calme, et d’une bière accessoirement, alors il alla s’enfermer dans sa chambre.
Dans le jardin, Oscar et le garçon continuaient de parler, mais Logan n'était plus là pour les entendre, malheureusement.
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« Aah putain ouais »
Deux jours, ils avaient tenu deux jours avant de recommencer. Et Logan n’allait plus tenir, surtout maintenant qu’il savait à qui parlait Oscar.
Bordel, il n’aimait pas ça, non il n'aimait pas ça du tout. Cette contraction dans sa mâchoire, ses muscles tendus, son cerveau en ébullition. Bordel, ça faisait des années qu'il n'avait pas été jaloux, et il fallait que ça tombe sur ce mec.
Sincèrement, il devrait avoir une médaille pour ne pas déjà avoir lacéré cette foutue porte de chambre, et peut-être au passage un des hommes à l’intérieur. Mais c’était quelque chose de compliqué à contrôler, la colère elle était faite pour sa mutation, elle était compatible. Alors oui, putain oui il avait envie de sortir ses griffes et de défoncer cette porte. Mais il se retenait, parce que concrètement il n’y avait rien, rien que deux types en train de coucher ensemble. Il n’avait aucun droit sur ce garçon, il lui avait à peine parler, et pourtant un truc au fond de lui, au plus profond de sa cage thoracique, lui disait qu’il était sien. Foutu Wolverine, foutu instinct.
Il se leva, arrêtant de massacrer son oreiller avec ses dents. Il ouvrit sa porte de chambre et descendit le plus vite possible au rez-de-chaussée, assez vite pour se retenir de sortir ses griffes. Bien sûr il n’y avait personne, tout le monde était dans sa chambre et dormait, enfin sauf certains. Logan ouvrit le réfrigérateur et y prit un soda, puisque l'alcool était interdit dans l’établissement. Il but la moitié de la bouteille, manquant d’en faire couler sur son menton. Il essaya de se persuader que c'était de la bière, mais le sucre gâchait tout.
Un bâillement le fit sursauter. Par réflexe ses griffes sortirent, prêtes à embrocher.
« Wow range tes couteaux je veux juste de l’eau ! »
Le garçon se tenait devant lui, dans un large t-shirt beaucoup trop grand pour lui. Logan rentra immédiatement ses griffes, posant à l’aveugle son soda sur le comptoir de la cuisine.
« Qu’est-ce que tu fous ici ? »
Sa voix granuleuse, rauque, presque incompréhensible lorsqu’il parlait trop bas. Le garçon déglutit faiblement, il avança et passa derrière l’îlot central pour attraper un verre dans le placard. Logan semblait bouleversé, ok non peut-être pas autant, juste un peu déboussolé alors. Ses yeux étaient plus ouverts que la normale, ses pupilles larges, rondes, et ce n'était pas pour l’obscurité, il y avait au moins deux millimètres en trop pour que ce soit le cas. Et puis sa mâchoire était tendue, pas contractée mais elle l’avait été très récemment ça se voyait, il y avait encore les micros tremblements musculaires sur le masséter. Et sa peau était pigmentée, par du rouge amarante, posé par points s’étirant petit à petit le long de l’os principal.
« Je viens juste chercher de l’eau, pas besoin d'être aussi agressif »
Logan essaya de respirer, vraiment, mais il avait un peu de mal. Est-ce qu’il venait boire pour compenser toute la sueur épuisée, est-ce que ce t-shirt était à Oscar, est-ce que cette odeur était la sienne.
« Cale-toi sur le battement de tes cils, dit le garçon en s’appuyant sur le lavabo, la respiration devient meilleure et régulée lorsque les clignements sont plus lents et contrôlés »
Logan lui lança un regard, entre l’interrogation et la désorientation. Le garçon lui sourit, il but une gorgée de son eau avant de reprendre la parole.
« Les signes invisibles, expliqua-t-il, tu es stressé, énervé et frustré, je dirais que c’est en rapport avec quelqu'un et je pourrais même dire que c’est moi mais j’aime pas être narcissique alors je le dirais pas »
Le jeune émit une courte pause, juste le temps d'interpréter les réactions de l’homme en face de lui.
« J’ai raison, et en plus de tout ça je dirais que tu es totalement paumé, il se rapprocha, regarde moi, dans les yeux, fixe moi et seulement moi, il posa sa main sur la joue droite de Logan, ne crois pas que j’essaie de te draguer, je te calme juste, parce que ça m’embêterait que le Wolverine fasse une crise d’angoisse à cause de moi »
Les spasmes oculaires se calmèrent, Logan l'écoutait et le fixait comme il lui avait dit. Son cœur ralentissait, tout doucement, pas d’un coup sec et c'était bon signe. Sa gorge était toujours serrée, il retenait quelque chose, son air ou sa voix peut-être, ou alors une réaction, oui une réaction.
« Tu peux sourire si tu veux, je vais pas te croquer tu sais, il sourit doucement à Logan pour appuyer ses mots, et puis je sais très bien que c’est toujours amusant comme situation, il retira doucement la main du visage de Logan, je veux dire, que quelqu’un sache exactement ce que tu penses et fais sans qu'il lise dans tes pensées, ça fait flipper, ou rire, ça dépend des personnes »
Sa gorge se desserra très légèrement, et un souffle amusé passa ses lèvres. Le garçon s'écarta de quelques pas, pour avoir une vue d’ensemble, et tout sembla à peu près stable.
« Comment tu peux faire ça »
Il sourit de nouveau à Logan et répondit en montrant de la tête les mains de ce dernier.
« Et toi, comment tu peux faire ça »
Logan reprit sa bouteille dans un sourire amusé, il la finit en quelques gorgées. En face, le garçon fixait la pomme d’Adam monter et descendre dans une lenteur hypnotisante. Il devait l'avouer, Logan lui plaisait beaucoup.
« Je- je vais remonter du coup, dit-il en se redressant »
La bouteille de soda vide fit un bruit aigu en se posant contre le plan de travail. Logan croisa les bras et prit deux secondes pour observer le jeune homme qui le regardait toujours.
« Tu t’entends bien avec Oscar ? »
Ce micro tremblement dans sa voix grave, il soulignait une retenue. Le garçon fronça les sourcils et pencha la tête sur le côté, réfléchissant à ce signe plutôt qu'à la question. La voix de Logan était plus forte, d’environ trois décibels, plus puissante surtout, oui puissante. Son visage était fermé, comme la plupart du temps, mais les muscles de ses joues n'étaient pas contractés contrairement à d’habitude, il était plus détendu à certains endroits de son corps. La bouche, les yeux, les hanches et le ventre. Ok, on touchait au personnel, la question avait un rapport avec son personnel.
« Il est gentil oui, pourquoi ? Tu le connais ? »
Léger mouvement du sourcil droit, ça l'agaçait.
« Non, répondit Logan, pas plus que n’importe quel mec »
Son regard un peu fuyant, qui contournait la silhouette du garçon. Ok, il avait sa réponse.
« Tu es jaloux Logan, expliqua le jeune homme avec un grand sourire, t’es tellement jaloux que le simple fait de parler d’Oscar fait bouger tes griffes »
Il se rapprocha de l’homme, assez pour laisser un mètre entre eux deux. Logan planta son regard dans celui de l’autre, et le garçon su qu'il avait raison.
« Il est à qui ce t-shirt »
Son sourire ne fit que de s’agrandir.
« À un homme, répondit le plus jeune »
« Qui »
Des frissons se mirent à courir contre la peau du garçon, la voix de Logan était encore plus forte, plus grave encore.
« Tu irais déchiqueté l’intestin d’Oscar si je te disais son prénom ? »
Le point de Logan se resserra, non il lui mettrait un coup de poing, et Dieu sait comme de l’adamantium pur dans la mâchoire peut faire des dégâts. Le garçon se rapprocha encore un peu.
« Je pense que Charles ne sera pas très content si tu mets dans le coma un de ses élèves, mh ? »
Doucement, lentement surtout, il posa sa main sur les phalanges de Logan. Ses doigts se refermèrent sur les os solides de l’homme, créant une chaleur diffuse à ce niveau.
« Range ces armes, arrête de serrer des dents, tu vas finir par te les casser et surtout, il caressa de son pouce la peau de Logan, continue de me regarder comme ça si tu veux que je t’embrasse »
Quatre secondes, quatre longues secondes. Logan y vit toute la tendresse du monde, remuant dans les iris du jeune homme en face de lui. Toute la fraîcheur du matin, pigmentant sa peau. Il y vit un courant puissant circuler derrière ces yeux, un courant d’eau et d'électricité, quelque chose de grand et dangereux, tout au fond derrière ces beaux yeux. La mutation de ce garçon était puissante, grande et dangereuse si elle était mal contrôlée, il pouvait tuer en un regard, un souffle ou un toucher. Ces beaux yeux avaient accès aux corps de n’importe quel être vivant, des poumons aux paupières, il pouvait tout voir avec ces beaux yeux. Il pouvait ressentir le clignement ayant qu’il n’arrive juste en un regard dans les iris de quelqu’un, il pouvait l’intercepter ou le supprimer. Un regard sur le cœur humain et il y voyait le rythme, rapide pour Logan, il pouvait le stopper, il pouvait le contrôler. Il pouvait stopper le Wolverine comme le contrôler, comme s’il ne s’agissait que d’un simple être humain, comme s’il n’avait pas ce poison sur les os et que sa peau vieillissait au rythme des années. Il pouvait tuer Logan, comme n’importe quel autre mutant ou humain, il pouvait s’il le voulait le rendre mortel, il avait ce pouvoir. Il le rendait mortel, parce que d’un regard, d’un souffle ou d’un toucher, il pouvait lui ôter la vie. Logan ressentait ça, il voyait ce courant puissant danser dans ces beaux yeux. Et putain, il adorait ça.
Et aussi peut-être que dans ces beaux yeux, dans ce courant chargé d’électricité humide, il pouvait imaginer tout son futur, se gravant à l’encre rouge sur ses lèvres entrouvertes. Parce qu’il avait quelqu’un de dangereux en face de lui, des lèvres dangereuses qui pouvaient lui ôter la vie, comme personne n’en avait jamais eu le pouvoir.
Pour la première fois depuis des années, il pouvait légitimement éprouver de la peur, la peur de la mort qui se cachait sur ces lèvres, ces lèvres qu’il embrassa à pleine bouche.
Le jeune homme ne put s’empêcher de gémir en sentant les lèvres de Logan contre les siennes. Il aurait pensé devoir se battre avec le temps pour pouvoir suivre le rythme d'un baiser avec Wolverine, mais c'était tout l’inverse. Il était doux, ses mouvements lents et contrôlés, sa main tendre contre la joue du garçon. Il prenait son temps, tout son temps. Il caressait de son pouce la peau laiteuse du jeune homme, il souriait faiblement entre deux rencontres buccales, semblant même murmurer des mots que seul lui entendait, mais que le garçon interprétait.
Logan poussa l'autre contre le réfrigérateur, faisant tomber quelques cartes postales et aimants. Il prit le visage du garçon entre ses deux mains et le regarda pendant encore quatre secondes, quatre secondes pour voir tout le courage dont il avait besoin.
« Alors, il est à qui ce t-shirt ? »
Un rire traversa les lèvres rougies du plus jeune, Logan remercia les dieux de lui avoir donné une ouïe surdéveloppée pour entendre mille fois mieux ce joli son.
« À mon frère, il me l'a donné avant que je ne parte et depuis je le porte les soirs où ma famille me manque »
La relaxation musculaire de Logan fut presque impressionnante.
« Donc il est pas à Oscar ? »
« Non, il est pas à Oscar, répondit-il avec un sourire »
La main du plus jeune se posa sur la nuque de Logan, il lui sourit encore une fois, parce qu'il avait un peu toujours envie de sourire en le regardant.
« Tu nous a entendu c’est ça ? En fait je pensais pas qu’il pouvait être aussi bruyant pour être honnête »
« C'était toi ? C'était vraiment toi ? »
Ses muscles se contractèrent de nouveau et le garçon roula des yeux, plus amusé qu'autre chose. Dans sa paume de main il pouvait sentir le trapèze supérieur de Logan se resserrer, ou si l’on voulait traduire, il pouvait sentir les muscles de Logan se contracter sous sa paume de main.
« Oui c'était moi mais de ce que je sache j'ai le droit de coucher avec qui je veux, non ? Demanda-t-il de sa douce voix »
Logan baissa pendant quelques instants ses yeux, le garçon lui pinça faiblement la peau pour les faire remonter vers lui.
« Ma mutation est complexe Logan, et parfois j'ai besoin d’une grande source de relaxation pour calmer tous mes sens, il continua en souriant, tu sais quelle activité produit le plus d’endorphines le plus rapidement ? Le sexe, et Oscar m’a aidé parce que c'était le seul en qui j’avais assez confiance pour faire ça »
Il fit glisser ses mains le long du torse de Logan.
« Du moins, le seul étudiant, il encercla la taille de l’homme au dessus de lui, parce que crois-moi j’aurais adoré te demander, mais tu es..Wolverine tu vois et- je me voyais mal demander à Wolverine de coucher avec moi, parce que t'es un X-Men et moi je suis juste un mutant qui vit dans le même manoir que toi »
Logan posa ses lèvres contre une des pommettes du jeune homme, il embrassa faiblement la peau à cet endroit avant de murmurer dans l’oreille du garçon.
« La prochaine fois, saute moi dessus et arrête d’autant réfléchir »
Cette fois, ce fut Logan qui remarqua des signes sur le corps du jeune homme. Des rougeurs, un sourire un peu retenu, des yeux brillants et une respiration accélérée. En clair, tout ce qu’il aimait voir chez quelqu’un qui lui plaisait.
« Le consentement c'est important alors, le garçon émit une pause, je peux te sauter dessus là maintenant ? »
Le sourire qui éclaira les lèvres du plus âgé fit pulser le cœur du plus jeune.
« Putain ouais »
° x-men masterlist
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mrsines · 2 months ago
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Petite fête
à la demande de @babythere j’espère que ça plaira 😇
6« Wow, vous avez l'air... incroyable. »
Lilia X reader
Tout le monde s’en était sorti vivant de la route, et c’était une très bonne chose. L’atmosphère était remplie de soulagement et de joie. Billy, débordant d’énergie, avait envie de fêter cet ��vénement. Avec un sourire charmeur, il avait supplié Agatha, insistant sur l’importance de célébrer leur chance.
"Allez, Agatha, ce serait tellement bien de le faire chez toi !" avait-il dit, ses yeux pétillants d’excitation.
Après de très longues heures de supplication, Agatha, finalement convaincue par l’enthousiasme de Billy, avait accepté. La nouvelle avait rapidement circulé, et tous s’étaient mis en tête de s’habiller pour l’occasion. Les préparatifs allaient bon train : les lumières scintillantes étaient accrochées, et la musique douce flottait dans l'air, créant une ambiance festive.
Les invités étaient tous présents, parés de leurs plus beaux atours, riant et discutant joyeusement. Chacun avait fait un effort, des robes élégantes aux costumes bien taillés, tous semblaient ravis d’être là. Pourtant, une ombre planait sur cette fête : Reader n’était pas encore arrivée.
Lilia était assise sur le canapé, les coussins moelleux l'entourant comme une étreinte réconfortante. Ses pensées vagabondaient, se heurtant à l'inquiétude qui s'était installée dans son esprit. "Où est donc passée Reader ?" se demandait-elle, le regard fixé sur la porte, espérant la voir entrer à tout moment. Le bruit des rires et des conversations joyeuses des autres invités résonnait autour d'elle, mais elle se sentait déconnectée, perdue dans ses réflexions.
C'est alors que Billy s'approcha et s'assit à côté d'elle, son sourire habituel illuminant son visage. Il remarqua immédiatement l'air préoccupé de Lilia.
"Hé, Lilia," commença-t-il, sa voix douce et rassurante, "ne t'inquiète pas. Reader va bientôt arriver, j'en suis sûr."
Lilia tourna lentement la tête vers lui, ses yeux se posant sur son ami. Elle lui offrit un sourire, bien que légèrement hésitant.
"Je sais, Billy," répondit-elle, sa voix trahissant une pointe d'anxiété. "C'est juste que… je me demande ce qui lui prend tant de temps."
Billy observa Lilia, son regard plein de compréhension. "Peut-être qu'elle a eu un contretemps," suggéra-t-il, tentant de la rassurer.
Lilia se laissa aller à un léger rire, appréciant le soutien de son ami. "Tu as raison, comme toujours," répondit-elle, un peu plus à l'aise.
Elle se redressa et observa la pièce, se laissant emporter par l'énergie de la fête, tout en gardant un œil sur la porte, espérant apercevoir Reader.
Reader était enfin arrivée, et elle avait l'air éblouissante dans son pantalon rouge qui épousait parfaitement ses formes, mettant en valeur son allure dynamique. Son haut noir, simple mais élégant, ajoutait une touche de sophistication à sa tenue.
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En la voyant entrer dans la pièce, Billy ne put s'empêcher de sourire, ses yeux s'illuminant de joie et d'admiration. Reader, réalisant qu'elle avait attiré l'attention de tous, s'approcha avec une petite moue d'excuse.
"Désolée pour le retard," dit-elle, sa voix douce mais pleine d'énergie, presque comme une mélodie qui résonnait dans l'air.
Lilia, qui observait Reader avec admiration, ne pouvait s'empêcher de la trouver tout simplement magique. Elle se sentit submergée par l'émotion, ses mots peinant à sortir. Après un moment de silence, elle réussit à articuler, le cœur battant :
"Wow, tu as l'air… incroyable." Ses mots, chargés de sincérité, firent briller les yeux de Reader, qui ne pouvait cacher son bonheur.
Reader rougit délicatement, un sourire timide se dessinant sur son visage. "Merci, Lilia," répondit-elle en s'asseyant à côté de son amie, leurs épaules se frôlant. "Je peux dire la même chose pour toi, cette couleur te va vraiment bien."
Lilia se sentit flattée, un léger sourire se dessinant sur ses lèvres. Elle jeta un coup d'œil à son propre haut, un doux rose qui contrastait avec le rouge flamboyant de Reader.
"C'est gentil de ta part," dit-elle, le cœur léger.
Les deux amies échangèrent un regard complice, conscientes que leur complicité ne faisait que grandir au fil des instants partagés, créant un moment inoubliable rempli de rires et de complicité.
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dawkacynizmu · 16 days ago
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okej odlozenie nauki tego na pamiec na ostatni dzien zdecydowanie nie bylo madrym pomyslem
Claire regarde des photos de famille. Elle compare les photos de sa jeunesse avec celles de sa grand-mère. Elle trouve qu’il y a beaucoup de différences. Elles sont visibles dans les vêtements et les animaux présents à la maison aujourd’hui et dans le passé.
Sur les vieilles photos, la grand-mère de Claire porte des robes et des jupes. Pour Claire, ce n’est pas un vêtement confortable parce que, avec une robe ou une jupe, il faut mettre des collants. Claire déteste tout ça, mais elle adore les pantalons. Elle a plusieurs modèles de pantalon dans toutes les couleurs. Elle les porte tout le temps et ses pantalons sont en coton, en lin, en jean, en laine. Claire n’aime pas les chaussures que sa grand-mère porte sur une des photos. Elle a mis des ballerines, alors que Claire préfère les baskets. Les ballerines vont bien avec les robes, mais les chaussures de sport sont plus pratiques et confortables. Claire a autant de baskets que de pantalons. Pendant la jeunesse de sa grand-mère, le T-shirt n’existait pas encore. Avec une jupe, elle devait donc mettre un chemisier. Mais heureusement Claire peut acheter des T-shirts dans la boutique de vêtements ou même en ligne. Un T-shirt n’est pas aussi élégant qu’un chemisier, mais il est plus plébiscité par les jeunes.
Le style de Claire est moins formel que celui de sa grand-mère. C’est normal parce que Claire vit dans une époque différente. Elle a quarante ans de moins que sa mamie et les goûts ont évolué.
Claire est aussi surprise par les animaux qu’elle voit sur les photos. Les photos représentent sa grand-mère en compagnie de brebis, de vaches, de poules et d’une chèvre. Il y a aussi un chien. Il est presque aussi grand que la chèvre. La grand-mère a passé sa jeunesse à la campagne alors que Claire habite dans un immeuble dans une grande ville. Elle a aussi des animaux. Les siens sont moins nombreux, mais plus exotiques. Claire vit avec un perroquet, un cobaye et trois poissons rouges.
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philoursmars · 1 year ago
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Marseille. Le quartier de la Pointe Rouge.
La plante est un Phytolacca.
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boobo13cambridge · 1 year ago
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Random draft
A/N: Hii guys, so I had this in the drafts and I wanted to post it because i just thought it was funny lol don't take it too seriously tho
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Kylian: bébé
Kylian: stp soit pas fâcher (please don't be mad)
You: kes t’a fait mtn Kylian? (what have you done now, Kylian?)
Kylian: bb promets-moi que tu ne te fâcheras pas 🥺 (baby, you have to promise me that you won't get angry)
You: non (no)
Kylian: bb 😔 (baby)
You: kylian srx kes t’a fait? (Kylian, seriously, what have you done?)
Kylian: tu c ton rouge à lèvres rouge? celui de ysl? (you know your red lipstick, the one from YSL?)
You: kylian… 
Kylian: wallahi, jte jure que j pas fait par exprès mais je l’ai échapper dans le bol de toilette (I swear, I swear I didn't do it on purpose, but I dropped it in the toilet bowl)
You: WTF KYLIAN C KOI TON PROBLÈME! 😡😡(WTF, Kylian, what's your problem?)
Kylian: bb t’avais dis que t'allais pas te fâcher!! (baby, you said you wouldn't get angry!!)
You: NON MAIS CAVA PAS DANS TA TÊTE OU QUOI??? COMMENT TA FAIT POUR ÉCHAPPER MON ROUGE À LÈVRE DANS LA TOILETTE! JTE JURE JE VAIS TE TUER! 😡😡😡 (NO, BUT ARE YOU OUT OF YOUR MIND OR WHAT??? HOW DID YOU MANAGE TO DROP MY LIPSTICK IN THE TOILET? I SWEAR I'M GOING TO KILL YOU!)
Kylian: Bb, relax svp jvais t'en acheter un autre (baby, please relax, I'll buy you another one!)
You: NON MAIS COMMENT T’A FAIS POUR L’ÉCHAPPER DANS LA TOILETTE? (BUT HOW DID YOU DO IT? HOW DID YOU DROP IT IN THE TOILET?)
Kylian: jtm mon amour (I love you, my love)
You: t srx kylian? Explique toi mtn! (Are you serious, Kylian? Explain yourself right now!)
Kylian: je voulais juste voir la couleur (I just wanted to see the color)
You: tu vois la couleur à chaque fois que je le porte (you see the color every time I wear it)
Kylian: je m’excuse, princesse, pardonne-moi svp 🥺 (I'm sorry, princess, please forgive me 🥺)
You: j pas envie (I don't want to)
You: je suis vraiment fâché après toi (I'm really mad at you)
Kylian: maiiiissss bb je me suis excuser, svp je vais t’acheter tout les rouge à lèvres ysl au monde (buuutttt baby, I apologized, please, I'll buy you all the YSL lipsticks in the world)
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You: omg kyky , 311,25 €??
Kylian: je t’ai acheter tous les models qu’ils avaient (i bought all the red colours that they had)
Kylian: tu me pardonne mtn?? 🥺 (do you forgive me now??)
You: … oui d’accord jte pardonne 🙄 (… fine i forgive you)
Kylian: jtm mon coeur ❤️❤️❤️ (ily my heart)
You: jtm aussi bb ❤️ (ily too bb)
Kylian: alors tu m’envois t seins ou pas? 😏 (so are you going to send me a pic of your tits or what?)
You: jte bloque (I’m blocking you)
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maitre-gotta · 1 month ago
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Comment briller son étoile, grand marabout serieux loyal
Comment briller son étoile, Êtes-vous à la recherche de solutions à vos problèmes ? Avez-vous besoin d’un coup de pouce pour briller dans votre vie ? Ne cherchez plus, le grand marabout sérieux loyal Gotta est là pour vous aider à briller votre étoile. Le grand marabout sérieux loyal Gotta est réputé pour ses pouvoirs occultes et sa capacité à résoudre les problèmes les plus complexes. Que ce…
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arsenicetvieillesenseignes · 10 months ago
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Le Royal a projeté sa dernière séance en décembre 2012, fermant ses portes sur des générations de rêveur·euses, d’amoureux·ses timides caché·es aux derniers rangs, d’enfants aux yeux écarquillés, émerveillés par la magie scintillante de l'écran. À l'intérieur, le temps s’est arrêté, gardant intactes ses empreintes originelles : les fauteuils d’un rouge profond, la moquette étreignant les murs, la billetterie qui a accueilli tant de murmures. Aujourd'hui, le Royal s’enveloppe d'un silence lourd, presque solennel, comme s'il retenait dans ses murs craquelés l'écho des derniers applaudissements, le murmure des baisers volés dans l'ombre, et les frissons des premières découvertes cinématographiques. On imagine presque revoir Mademoiselle Clémentine, l'âme de ce lieu, qui, chaque soir, après la fermeture, sortait balayer le trottoir, caressant du regard la façade de son univers de velours et de rêves celluloid. Témoin privilégiée de tous les premiers rôles, elle a été spectatrice émue de récits transcendant le temps et l'espace. Elle a ri, pleuré, frissonné, son cœur battant au rythme du projecteur. Mais jamais elle n'a franchi la limite qui sépare la fiction de la réalité, sauf dans ses pensées les plus secrètes, où elle était la protagoniste d'une histoire sans fin. Une histoire à mille lieux des ombres d'un présent tourmenté, où la toile devient, hélas, le voile sous lequel se dissimulent des actes inexcusables. Des prédateurs, planqués derrière le charme trompeur des caméras, masquent leurs véritables intentions, occasionnant des ravages indélébiles. Cependant, « il faut se méfier des petites filles. Elles touchent le fond de la piscine, se cognent, se blessent, mais rebondissent ! » Le Royal et Clémentine, elleux, partageaient une histoire d'amour platonique, faite de regards échangés entre l'âme de la bâtisse et la gardienne de ses souvenirs. Et même si les portes ne s'ouvrent plus, si le projecteur reste éteint, leur romance perdure, continuant à se manifester dans un ballet de réminiscences qui dansent à travers les fissures du temps.
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ptns-orageuses-rpg · 24 days ago
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TW — dépendance, drogue inventée, médicamentation, violence médicale, oppressions.
La pilule rouge.
Ou l'Érythryle ; pilule nocturne, ne sort qu'aux heures crépusculaires. Rouge de couleur, se trimballe sur toutes les langues comme un mauvais ragot. On la trouve dans les lieux glauques des catacombes et les soirées qui iront d'after en after. Elle te mâche les synapses, les ports picorés d'un bruit blanc nauséeux. L'effet te hit façon camion propulsé sur l'A1. Même pas vingt minutes plus tard, c'est le feu d'artifice. L'Érythryle pulvérise les effets de la Kataline ; elle libère l'altération, en double la puissance. C'est la façon la plus connue de passer au-dessus du traitement sans se faire choper. Ça permet, pour huit heures par prise, de vivre notre "vraie vie". Le truc, c'est que ça a tendance à la raccourcir aussi. Jongler entre les deux traitements, ça en perd certain. Le hangover percute tout aussi fort ; la chute vaut le voyage askip'. Celles et ceux qui la prennent ont tendance à remettre ça. C'est pas vraiment la pilule qui rend nerveux·se, c'est la sensation de liberté qui en découle. Ça vire le mot cage avant thoracique, alors on prend une bouffée d'air à poumons bien ouverts. C'est difficile de se renfermer, après, dans son étroite boîte de silence grise.
La pilule bleue.
Ou Kataline ; minuscule démon rond, bleu délavé. À une époque, ils se croyaient joviales à graver un papillon dessus. Maintenant, c'est tout plat, c'est encore plus déprimant. On se lève, le soir, à 3h du mat : « fais chier, j'ai oublié mon médoc ». Une pilule au réveil, une avant d'aller dormir. La Kataline, plus fidèle que le marchand de sable. Au début, tes parents te forcent à la prendre avec de l'eau ; le bol de chocolat pour les plus fantaisistes. Puis, au fil des années, elle se marie avec tout : jus d'orange, fond de coca débullé, Leffe tiède de soirée. Une liste d'effet secondaire, t'as peur. Un vrai jeu de hasard, une issue différente pour chaque altération. Mes cornes ont arrêté de pousser, mais j'ai de violentes migraines ; parfois, je vois le monde en couleur télé qui capte pas. Ils disent qu'elle arrête l'altération. La vérité, c'est que ça la détraque, la ralentit. Le corps n'aime pas. Il se rebelle. C'est comme ça, on s'y fait.
C'est "obligatoire" pour tout·e altéré·e d'être sous Kataline. Elle est délivrée sous ordo', check up du toubib tous les ans : examen du foie, révise-tout. Elle se trouve remboursée par la sécu, enfin depuis peu. S'ils te grugent à l'arrêter, c'est l'avertissement, l'amende, puis la prison.
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Eh, j'espère que le terrier valait le coup, parce que vous avez été unanimes, ça promet ! On a déjà balancé les deux annexes principales, oép. Il reste des annexes secondaires et les PLs du forum. Oui, déjà. On parle d'ouverture du discord du projet en fin de semaine. Notre travail commence à bien se terminer, c'est en super voie. Du coup, on vous laisse le choix pour le post de demain. On en profite pour vous remercier de l'engouement sur le projet, ça nous fait super plaisir. BREF, à demain, même heure, pour la suite de nos conneries (ptdrr ça y est, ça se pense youtubeurs), Putainement votre, Maxeine & Ekkymose.
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