#la nuit où les étoiles se sont éteintes
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Hey I forget to told you what I buy at Cultura so:
-Arc of a scythe 2 (sadly they didn't have the 3rd book😭)
-Solitaire
-They both die at the end
-La nuit où les étoiles se sont éteintes
I hope I'll like this books🫶
#books#arc of a scythe#neal shusterman#solitaire alice oseman#alice oseman#they both die at the end#La nuit où les étoiles se sont éteintes
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TW — oppressions, terrorisme politique.
LES MISÉRABLES
Il y a les beaux parleurs, les sages écrivains ; et dans chaque révolution, il y a celles et ceux qui doivent transformer les paillettes en cendres. Iels ont l'air plus fatigué·es que les autres, le seum sous les yeux, la poudre sur les dents. Ils cassent et brisent ; se déploient pour sauver un·e altéré·e des griffes des flics.
Milice armée, groupe terroriste, une réponse à la baffe de trop : chacun à son idée sur la question. Il y a un tiers en prison, l'autre en cavale, le dernier en dehors du pays. C'est-à-dire qu'iels font pas dans la nuance, ne cherchent pas la bonne paix civile et les amendements polis. Iels sont un rejeton de 68, celles et ceux qu'ont décidé de rendre cornes pour cornes, dents pour dents.
Même chez les altéré·es, ça critique leurs claquements de dents. Pourtant, c'est grâce à leur morsure qu'on a eu le droit de vote. Groupe de canidés galeux, ils grouillent dans les catacombes, sortent la nuit et s'attaquent aux ennemis des altéré·es. Tout ce beau monde vit dans un bâtiment dans la Cour des Miracles. C'est un ancien théâtre, réaménagé, les loges sont des chambres, il y a une salle de bain commune avec des douches et la salle de concert a été refaite. Parce que les sièges ont tous été désossés, maintenant, elle sert de salle de sport : il y a un ring au centre. Sur l'estrade, il se repose une grande table où manger, la cuisine se cache derrière les rideaux et tout le monde se retrouve ici pour partager le dîner.
Eh, pense pas que ce soit un groupe de super-héros, c'est surtout un ensemble de névroses.
JEUNE MORTE — f / nb (libre) • ≃ 30 ans TW - deuil.
4h du mat, elle ne dort pas. Elle ne rêve pas, non ; elle pense. Elle dort debout, peut-être qu'être allongée dans sa piaule ça l'angoisse. Elle ne se réveille plus non plus, chaque midi elle ressuscite. Il n'y a pas de cheffe chez Les Misérables, mais quand tout le monde est paumée, c'est vers elle que ça se tourne. « On fait quoi, maintenant ? », comme si elle savait, elle. Du groupe, c'est pas qu'elle a les bonnes idées, c'est qu'elle a les idées les moins mauvaises. Avant c'était à sa meuf que la Matriarche du Refuge de Bescel demandait à parler. Maintenant, c'est à elle. Ça fait un an que c'est elle la lumière, mais elle n'a pas l'impression de briller. Elle se sent plus étoile morte, parce qu'attirer les autres dans un gouffre de vide, ça, ça lui parle plus. La Ghoule lui souffle que sa femme serait fière d'elle, il croit ça la rassure.
En vrai, un peu. Mais c'est comme si soleil s'était éteint, et c'est vraiment pas rien.
FT. Marie-Pierra Kakoma, ...
МАКАРОФ (MAKAROFF) — nb (joué·e par maxeine) • 27 ans TW - alcool, dépendance, drogue (opïoide), guerre.
Un savant mélange d'opioïdes et de polia ; le corps armé du groupe, toujours à cuver sur une table de bar gluante. Iel a l'air d'avoir vécu trois vies et demi, parle au passé comme une tablé de boomers. Elle a la vibe des photos de poumons sur les paquets de clope. Faut dire que son altération c'est un rêve humide d'Edgar Allan Poe. Vétéran, militaire, survivant·e dont on ne sait trop quoi et personne veut vraiment savoir. Malgré tous ses flatteries, ça reste le membre le plus fidèle des Misérables. Iel fait le sale boulot, pose pas de questions, flanche pas sous le doute. Iel retrouve des altéré·es dans des merdiers pas possible, râcle les fonds de l'humanité pour repêcher les âmes perdues. 'Parait même qu'iel a sauvé le cul de la Matriarche du Refuge de Bescel une fois.
FT. Kate Snap
LA GHOULE — m / nb (réservé) • +45 ans TW - disparition.
Le sang l'effraie, comme un mioche qui n'a pas encore découvert la brutalité du monde. Pourtant, il en écume les bas fonds à la recherche des altéré·es disparu·es. La mission lui tient à cœur, il a le regard vitreux : ivre d'espoir lorsqu'il trouve une piste. Sa spécialité c'est de s'infiltrer, d'analyser, d'offrir une autre possibilité à la violence. En fait, il n'a jamais frappé qui que ce soit. Même en cas de légitime défense, il préfère se faire prisonnier. C'est pour ça qu'il travaille avec Makaroff. Ça lui permet d'éviter de disparaître à son tour et c'est le seul dont la voix a l'air de passer au-dessus de la défonce. Le soir, c'est lui qui le·a ramène quand on lui confisque ses clefs de voiture. La Ghoule, c'est la princesse mélancolique du groupe. Tout le monde lui fait confiance, c'est le canari sur l'épaule de chacun d'entre eux. Ainsi, comme les miniers, s'il s'arrête de chanter : c'est que Les Misérables se sont enfoncés trop loin dans les ténèbres.
FT. David Dastmalchian, ...
EUPHORIE — nb (libre) • 21 - 27 ans
Iel n'a pas de situation, pas de parents ; pas sûr qu'iel ait une identité non plus, en fait. Iel n'a pas de maison et si on lui demande comment iel est arrivé·e là, iel te répond : "beh par la porte". C'est qu'un sourire de plus dans la foule, monté·e sur son skate, malabar dans les poches. Pourtant, c'est peut-être l'orphelin·e le·a plus recherché·e du monde. Ce qu'iel aime, ce sont les joyeuses pagailles ; spécialiste des artifices et des bombes de couleur. Iel repeint les CRS de rose, c'est plus à son goût. Iel traîne dans les musées, iel kiffe l'art. Ellui-même taggue dans la rue ; parfois des murs collaboratifs, parfois des façades parlementaires. Si tu lui brises le cœur, tu retrouves ta voiture sans les roues arrières. C'est pas parce que c'est la plus jeune du groupe, que c'est celle à protéger. Sa tendance à la jouer solo en agace certains, mais pour les autres : c'est surtout un fascinant mystère à percer.
FT. Amandla Stenberg, ...
GLAUQUE — f / nb (réservée) • ≃ 30 ans TW — déréalisation, description macabre, tentative de meurtre
Elle a un rayon de soleil dans le sourire et c'est pas une pub Colgate. Princesse enterrée vivante, petite fleur privée de soleil ; si elle revient à la surface, c'est la nuit ou sous d'épais vêtement. Elle a trouille, dont on ne sait quoi, sa tête tourne quand il y a trop de monde. Les gens pensent c'est le boulet du groupe, mais c'est pas vrai. Glauque est avocate, c'est elle qui sort les Misérables de prison, qui allègent leur peine. C'est aussi le principal financement du groupe. Tellement de thunes, elle sait que le temps passe pas plus vite sur une Audemars. Elle n'a pas les cernes de Jeune morte, la gueule décrépite de la Ghoule. Sans courbature, elle se tient tellement droite, elle fait passer Makaroff pour une équerre. Même qu'euphorie vole dans son porte-feuille ; Glauque le sait, c'est pour ça qu'elle laisse toujours deux billets de 20 pour qu'iel les prenne. C'est Makaroff, la Ghoule et la meuf de Jeune morte qui l'ont ramené·e, il y a 3 ans. Plutôt littéralement ; d'ailleurs. Ils l'ont trouvée dans une poubelle, à côté d'un relan de lait périmée et d'un sac BK. Sa manucure dépassait de la benne, c'est à peine si elle respirait. Un an de soins et réduc', aujourd'hui ça va à peu près. Elle en parle jamais, on sait juste que c'est parce qu'elle était altérée. Ça lui arrive souvent de déconnecter ou de s'éteindre. Chaque misérable dort dans sa chambre avec elle, chacun leur tour. Même Euphorie s'y dérobe pas, même Makaroff reste sobre.
Elle chante sous la douche ; tout le monde aime bien. Petite, elle rêvait de remplir le Bataclan.
FT. Victoria Pedretti, ...
FELIX — m / nb (réservé) • ≃ 30 ans
Il vient d'arriver, colle encore les membres du groupe en soirée. Il s'est fait jeter de chez lui, il a tout perdu du jour au lendemain. Nerd sans aucune confiance en lui, il s'est jamais vraiment senti à sa place là-haut. Petit cliché en manque de personnalité, faut dire qu'il a encore rien découvert de sa personne. Il n'a rien explorer non plus, ni le monde, ni les gens. C'est Jeune Morte qui l'a repêchée, pris en flag' d'hacking de machine à billets. Depuis, c'est la clef de toutes les portes, de tous les systèmes. Il éteint les caméras, pirate les dossier ; efface les noms. Il a encore du mal à se faire une place et il lui reste beaucoup à apprendre. Sa plus grande qualité, c'est sa patience. Ça et le fait qu'il sait bien fermer sa gueule quand l'ignorance pointe le bout de son nez. Felix n'a jamais été militant avant, alors quand on doit lui demander d'hacker les fichiers des flics : il flippe un peu. Mais bon, même si les catacombes c'est humide, il a jamais bien aussi respiré. Sous terre, il peut laisser aller son altération et, enfin, découvrir son homosexualité.
FT. Joseph Quinn, ...
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« Il faut parfois traverser de mauvais moments pour apprécier les meilleurs à leur juste valeur. Les étoiles n'ont pas besoin de la nuit pour briller, mais toi, tu en as besoin pour les voir. »
-la nuit où les étoiles se sont éteintes, Nina Gorman & Marie Alhinho
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suggestions de fc pour le pré-lien la nuit, le jour, ces prières
Tu les observes, Baz, perché sur le capot de la voiture, et tu te demande un instant comment cette bande de fous a pu trouver son chemin jusqu'à toi. Et tu souris, ta cigarette au coin des lèvres, quand t'entends le rire de Kenna déchirer le ciel sur ce parking devant la mer.
Ces personnages font références à la saga La nuit où les étoiles se sont éteintes, mais il n'est pas nécessaire d'avoir lu les livres puisque les personnages ne sont que des archétypes.
Baz Simmons attend son groupe d'amis sur LA ISLA BLANCA. ♥
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I read 33 books (about 35)
I reread the Heartstopper books like 2 times this year
Hard question but I'll said: The song of Achilles,La nuit où les étoiles se sont éteintes,arc of a scythe (I'm actually reading the 2nd book), trials of Apollo (don't make me choose a favourite) and Gallant (sorry Heartstopper)
Neal shusterman, Nine Gorman,Marie Alhinho, V.E Schwab and many others
Fantastic/Fantasy
The twilight books (dnf)
Mine was 35 (I'm about to finish it!!)
No sadly
This year I discovered distopia
I'll said Heartstopper (I don't have it yet but I know I'll love it)
The Percy Jackson books (I finished the serie in January)
No, that's a miracle
I'll said "La mort d'Olivier Becaille" (I had to read it for school but I didn't understand anything)
I want to finish "Arc of a scythe: Thunderhead", the book for my french class and maybe if I can "the sun and the star"
Honestly I don't know
The song of Achilles
The song of Achilles (I was curious and now it's one of my favourite books)
A lot
Yes
It was "the sun and the star" (I didn't finish it yet)
Yes
It's between "Arc of a scythe" and "heroes of olympus: the house of Hades"
3 days
I dnf an all book serie and 3 other books because cannot finish them
I'll try to read 40 or 45 books
end-of-year book ask
How many books did you read this year?
Did you reread anything? What?
What were your top five books of the year?
Did you discover any new authors that you love this year?
What genre did you read the most of?
Was there anything you meant to read, but never got to?
What was your average Goodreads rating? Does it seem accurate?
Did you meet any of your reading goals? Which ones?
Did you get into any new genres?
What was your favorite new release of the year?
What was your favorite book that has been out for a while, but you just now read?
Any books that disappointed you?
What were your least favorite books of the year?
What books do you want to finish before the year is over?
Did you read any books that were nominated for or won awards this year (Booker, Women’s Prize, National Book Award, Pulitzer, Hugo, etc.)? What did you think of them?
What is the most over-hyped book you read this year?
Did any books surprise you with how good they were?
How many books did you buy?
Did you use your library?
What was your most anticipated release? Did it meet your expectations?
Did you participate in or watch any booklr, booktube, or book twitter drama?
What’s the longest book you read?
What’s the fastest time it took you to read a book?
Did you DNF anything? Why?
What reading goals do you have for next year?
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Les égarements des rêves
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Yume no yukue - Les égarements des rêves
Me jetant un sort Tu as fait naître en moi le merveilleux, enveloppant toute ma vie Dans la ville grouillant de monde Le temps s'est arrêté et plus personne ne bouge
Comme un désert, la ville s'est éteinte sous le crépuscule Et maintenant, j'entends seulement ta voix qui m'appelle Dans le ciel de l'Ouest, le Scorpion grimpe jusqu'aux étoiles Il m'a appris ce qu'est l'amour
C'est sans doute un rêve Je ne suis plus le même qu'hier Résonnant depuis des temps immémoriaux Nous poursuivons tous les deux notre conte (notre histoire)
Le train de nuit poursuit son chemin Parmi les poussières d'étoiles Son sifflet résonnant dans le ciel nocturne
Toi qui t'envoles dans le ciel, baisse les yeux et vois D'innombrables lumières scintillent depuis la ville Formant une voie lactée
Dans le ciel de l'Est, un croissant de lune scintillant flotte Il me murmure le secret du bonheur
Le train de nuit poursuit son chemin Parmi les poussières d'étoiles Son sifflet résonnant dans le ciel nocturne
Quelle est sa destination ? Nul ne le sait
Je formule un simple vœu dans mon cœur Que notre voyage merveilleux ne prenne jamais fin
* Yume no yukue peut également se traduire par : les errements des rêves, les allées et venues des rêves
Antoine de Saint-Exupéry disait que le silence du désert confronte l'Homme à sa propre solitude. Un monde en mouvement, avec ses champs de force mystérieux, où tout semble se polariser et où chaque étoile indique le chemin vers une autre destination. Un terreau à l'apparence hostile, mais pourtant propice à la vie intérieure, aux souvenirs.
« Et comme le désert n'offre aucune richesse tangible, comme il n'est rien à voir ni à entendre dans le désert, on est bien contraint de reconnaître, puisque la vie intérieure loin de s'y endormir s'y fortifie, que l'homme est animé d'abord par des sollicitations invisibles. L'homme est gouverné par l'Esprit. Je vaux, dans le désert, ce que valent mes divinités. Ainsi, si je me sentais riche, à bord de mon paquebot triste, de directions encore fertiles, si j'habitais une planète encore vivante, c'était grâce à quelques amis perdus en arrière de moi dans la nuit de France, et qui commençaient de m'être essentiels. » Saint-Exupéry
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Je vais t'offrir un monde Aux mille et une splendeurs Dis-moi princesse N'as-tu jamais laissé parler ton cœur ?
Je vais ouvrir tes yeux Aux délices et aux merveilles De ce voyage en plein ciel Au pays du rêve bleu
Ce rêve bleu C'est un nouveau monde en couleurs Où personne ne nous dit C'est interdit De croire encore au bonheur
Ce rêve bleu Je n'y crois pas c'est merveilleux Pour moi c'est fabuleux Quand dans les cieux Nous partageons ce rêve bleu À deux
Nous faisons ce rêve bleu a deux
Sous le ciel de cristal Je me sens si légère Je vire dérive et chavire dans un océan d'étoiles
Ce rêve bleu Ne ferme pas les yeux C'est un voyage fabuleux Et contemple ces merveilles Je suis montée trop haut Allée trop loin Je ne peux plus retourner d'où je viens
Un rêve bleu Sur les chevaux du vent Vers les horizons du bonheur Dans la poussière d'étoiles Naviguons dans le temps Infiniment Et vivons ce rêve merveilleux
Ce rêve bleu
Ce rêve bleu Au mille nuits Au mille nuits Qui durera Pour toi et moi Toute la vie
« Doraemon (ドラえもん) est une série de mangas japonais, créée par Fujiko F. Fujio, par la suite devenue un anime puis une franchise médiatique. La série se centre sur un chat-robot nommé Doraemon, ayant voyagé à travers le temps depuis le futur, afin d'aider un jeune garçon nommé Nobita Nobi (野比 のび太, Nobi Nobita). Le manga est initialement paru dans les marchés japonais en décembre 1969, lors de sa publication simultanée dans six différents magazines. Un total de 1 344 scénarios ont été créés pour la série, publiés par Shogakukan sous la branche Tentōmushi (てんとう虫), puis adaptés en quarante-cinq volumes. Les volumes sont conservés à la bibliothèque centrale de Takaoka, au Japon, la ville natale de Fujiko F. Fujio. Il s'agit par ailleurs de l'un des mangas les mieux vendus dans le monde, avec plus de 250 millions d'exemplaires, et de l'une des bandes dessinées les plus vendues au monde. »
« Doraemon est un robot-chat bleu dépourvu d'oreilles venu du futur afin d'aider Nobita Nobi (野比のび太, nobi nobita), un petit garçon japonais timoré, et l'empêcher d'accumuler par incompétence tellement de dettes que ses descendants doivent encore payer plusieurs générations plus tard. Doraemon possède une poche à quatre dimensions, de laquelle il sort (parfois à contre-cœur) d'innombrables gadgets futuristes pour aider Nobita à se défendre, arranger ses problèmes, rendre jaloux d'autres enfants, etc. Cependant, bien souvent, la situation dégénère quand Nobita essaye de jouer l'apprenti sorcier avec les gadgets de Doraemon. Les histoires ont toutes lieu au Japon contemporain. L'auteur y dépeint implicitement une fresque de tous les complexes des préadolescents (premières amours, timidité, travail scolaire pénible, relations d'amitié fragiles, etc.). »
« La majeure partie des épisodes de Doraemon appartiennent au domaine de la comédie et des valeurs morales telles que l'honnêteté, la persévérance, le courage et le respect. De nombreux problèmes sociétaux et environnementaux sont souvent visités, comme l'abandon d'animaux, le réchauffement climatique, les espèces menacées, la déforestation, et la pollution. De nombreux sujets historiques comme la préhistoire et l'histoire du Japon sont également visités. »
« Doraemon est récompensé du Prix de l'Association des auteurs de bande dessinée japonais pour excellence en 1973, du Prix Shōgakukan dans la catégorie « manga pour enfants » en 1982, et du Prix culturel Osamu Tezuka en 1997. En mars 2008, le ministre japonais des Affaires étrangères attribue à Doraemon le statut d'« ambassadeur animé » national. Le porte-parole du ministère explique que cette décision a été prise afin que les pays internationaux puissent mieux comprendre l'industrie anime japonaise et d'approfondir leur connaissance en matière de culture japonaise. En 2002, le personnage animé est élu « héros de l'Asie » dans un sondage effectué par le magazine Time Asia. »
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DORAEMON - Himawari no yakusoku (La promesse du tournesol)
Pourquoi pleures-tu Alors que moi je ne pleure pas ? Maintenant je ne sais plus qui de nous deux a le plus de peine
Moi qui voulais jeter aujourd'hui à la poubelle Quand tu es auprès de moi, il se transforme en trésor
Je veux être à tes côtés Et je me demande si je peux faire quelque-chose pour toi Je veux te voir rire Je veux te voir rire pour l'éternité
Comme un tournesol Je voudrais que tu absorbes toute ma chaleur et toute ma lumière Toute ma gentillesse
Je voudrais moi aussi qu'il m'atteigne Le bonheur qui se dissimule dans le quotidien Je ne m'en aperçois que maintenant…
Et même si le destin nous sépare, scintillant et lointain Marchons chacun de notre côté Et à la fin nous nous retrouverons J'en suis certain
Nos pas qui semblaient si irréguliers Se sont chevauchés et ne font maintenant plus qu'un
Cela ne paraissait rien Mais je n'oublierai jamais Tous ces moments banals que j'ai passés avec toi
Partant en voyage Nos mains se sont touchées Et j'ai prié pour que ton sourire ne disparaisse jamais
Comme un tournesol Je voudrais que tu absorbes toute ma chaleur et toute ma lumière Toute ma gentillesse
Bien sûr, tu voudras me le rendre Mais puisque c'est toi, je n'en ai pas besoin Je dirai sans doute quelque-chose comme ça
Je veux être à tes côtés Et je me demande si je peux faire quelque-chose pour toi Je veux te voir rire Je veux te voir rire pour l'éternité
Comme un tournesol Je voudrais que tu absorbes toute ma chaleur et toute ma lumière Toute ma gentillesse
Je voudrais moi aussi qu'il m'atteigne Le sens d'un vrai bonheur Je ne m'en aperçois que maintenant…
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Après la pluie,le beau temps.
Alors, on attend que revienne le temps des arcs-en-ciel et des rires d'antan... puis on se souvient qu'autrefois, c'était avant, et maintenant ? Il n'y a que la pluie pour éparpiller nos larmes à travers le temps, rien ne restera, tout disparaîtra, emporter par la brume, nos sourires d'avant, maintenant, nous sommes des être blessé attendent que le soleil revienne un jour éclairée nos nuits sombres remplis de désespoir et d'absurdité d'avoir trop espéré, pouvoir être aimé, pouvoir s'intégrer dans un monde qui s'ignore en oublient son humanité, car moi...je préfère disparaître qu'être prisonnière d'une délivrance qui ne viendra jamais.
Si le soleil revient, dis-lui que j'ai attendu, mais que j'étais fatigué, épuisé de ne voir que la nuit dans mon ciel brisé. Pourtant, j'ai souvent cru au conte de fée, à la belle fin heureuse, jusqu'au jour où les étoile se sont éteinte, je me suis rappelé que j'étais une fille de la lune, puisque mon soleil à moi m'avait abandonné depuis bien longtemps, brisé entre les mains qu'on m'avait tendues.
Il m'a plongé dans l'obscurité, depuis j'attends que le jour se lève en dansent avec les morceaux qu'il reste de moi-même, jusqu'à ce que la musique s'arrête, me laissant enfin me reposer vraiment.
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La nuit où les étoiles se sont éteintes de Nine Gorman et Marie Alhinho
9/10 « J’aimerais lui rétorquer que les étoiles s’éteignent et que quand c’est le cas, elles détruisent tout sur leur passage. J’aimerais lui dire que parfois, c’est comme ça que je me sens, comme une supernova sur le point de se transformer en trou noir. » Depuis que sa mère est en prison, Finn pense ne jamais pouvoir remonter la pente. Il se laisse sombrer et tente de s’oublier…
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Les ombres s'étirent, épaisses et oppressantes, engloutissant toute lueur d'espoir. Le vent souffle, porteur d'un froid glacial qui pénètre jusqu'aux os, figeant chaque pensée dans un étau de désolation. Autour de moi, le monde semble s'être métamorphosé en un tableau lugubre, où seuls résonnent des échos mélancoliques.
Les rires, jadis joyeux, ont cédé place à des murmures étouffés par la tristesse. Les regards sont empreints d'une lueur éteinte, reflétant la douleur qui hante les âmes égarées. Chaque pas résonne comme un écho dans un abîme sans fond, une progression solitaire à travers ce paysage désolé.
Les visages sont des masques, figés dans des expressions d'agonie silencieuse. Les rivières pleurent des larmes noires, emportant avec elles les vestiges d'un bonheur oublié. Les arbres se dressent comme des spectres, témoins muets de la détresse qui règne en maître.
Dans ce royaume de désolation, les étoiles semblent éteintes, noyées dans un ciel nocturne d'une noirceur profonde. Chaque souffle est un soupir chargé de désespoir, une plainte étouffée par l'implacable poids de l'existence.
La solitude est mon unique compagne, m'enveloppant de son manteau de silence glacial. Les rêves, jadis flamboyants, gisent à présent en lambeaux, dispersés par les vents cruels du destin. Dans cet univers glacé, l'espoir s'est évanoui, laissant place à une tristesse infinie, comme une nuit sans fin qui engloutit tout.
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Hehh, Let's do it ! =]
I start again ! (Killer) :
Last song : Two Feet - I Feel Like I'm Drowning
Favorite color : Dark blue =]
Currently reading : One of us is lying by Karen Mcmanus
Currently watching : heh.. Nothing, some YouTube videos ??
Last movie : Heh......... Dunno, I don't remember ^^"
Sweet / Spicy / Savory : Between sweet & savory but please not spicy
Relationship status : Single lmao
Current obsessions : Murder/Horror books & want to make scp videos
Tea or coffee : Coffee I guess
Last thing you googled : Is my cat autistic ?
Now Stan ! :
Last song : Gorillaz ; Feel Good Inc
Favorite color : Gold/Yellow
Currently reading : "La nuit où les étoiles se sont éteintes" (French book)
Currently watching : Windbreaker (Anime)
Last movie : Top Gun Maverick
Sweet / Spicy / Savory : Spicy
Relationship status : LoL
Current obsessions : Myself of course ✨ /j
Tea or coffee : Sodas :]
Last thing you googled : I'm not sharing this one. . .
[tag nine people you want to get to know better!]
Tagged by: @nowiknowthislooksbad HEHE tyy!!
Last song: Something Has to Happen (Mr. Scoops)
Favorite color: Pink :) like pastel
Currently reading: Krakoa-era x-men comics! Specifically x-men, hellions, and Wolverine
Currently watching: Finished Wolverine and the X-men a lil bit ago, haven't dedicated myself to anything specific since :) been thinking abt picking Miami Vice back up!
Last movie: Transformers One (i need to see it again)
Sweet/ Spicy / Savory: Sweet !! I don't do well with spicy :(
Relationship status: Singleee
Current obsessions: X-men and the DCA!
Tea or Coffee: ough, Coffee but I drink a lot of sweet tea too
Last thing you googled: snake skeletons for art reference!
tagging (no pressure!!!)
@sinisternoodles101 @forgetmenautical @mitathemita @bionicboxes @biggiesnails @amarynthian-fortress @chickenchirps27 @crystalmagpie447 uhhhh and anyone else who feels like participating!! Sorry if any of you guys already got pinged in one of these <3
#plural system#tag game#tbh i think i don't remember the last thing i googled#but the last thing i REMEMBER googling is uh#yeah no that's all goodbye
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Les années ont passées sans qu'on ne s'en préoccupe. On a construit notre univers, à un endroit où personne ne pouvait nous trouver. Caché de tous. Nous seuls connaissions le chemin. Notre foyer était chaleureux et accueillant. Chaque année ou épreuve nous faisait y ajouter des étages supplémentaires. Elle allait atteindre le ciel notre bicoque. Au rez de chaussée il y avait notre rencontre virtuelle. Tous ces messages échangés. Ces photos de notre quotidien. L'un sans l'autre, avec d'autres. Le téléphone y sonne parfois, je pleurs. Puis parfois il sonne quand tu es ivre, je t'écoute refaire le monde. Mais la plupart du temps, on entend raisonné dans ce téléphone, nos rires sans fin. C'est l'étage de la découverte et de l'insouciance. Le premier étage c'est nos doutes, nos peurs, nos failles. Nos crises existentielles. La découverte de soi. On avait pris soin d'y créer un espace intime et réconfortant, pour s'apaiser, se rassurer, se faire du bien. Au deuxième étage, on a le vertige, c'est notre rencontre réelle, au delà de nos écrans interposés. C'est ton regard qui se pose sur moi la première fois. C'est mes bras qui t'enlacent. C'est si doux de pouvoir toucher les étoiles et les nuages avec toi à mes côtés. Cet étage c'est un barbecue avec vue sur la mer. Cet étage c'est l'étage des possibles. C'est le soleil qui se couche jamais dans ta voiture. Direction nulle part. C'est une chasse aux trésors dans Paris, déguisés. Et puis un jour il y a eu le grenier. On a mis dedans tout ce qu'on ne voulait pas voir, l'amour bien trop fort que je te portais, l'admiration que tu éprouvais pour moi. On y a déposé mes mensonges dans une boîte sellé et qu'il ne fallait surtout jamais ouvrir. On y a laisser des photos. Il fallait pas monter au grenier. Parfois tu disais des choses que je n'aimais pas. On plaçait ta honte d'être vraiment ce qu'il était au grenier, près de ma boîte à mensonges. Le grenier nous a poignardé. Je crois que tu voulais une histoire d'amour. Un jour, après 15 ans d'investissement quotidien, une maison imaginaire, un réel appartement. Après plusieurs voyages, de longues nuits de cuites, des tartes aux fraises partagées, après les plus grands fou rire, les plus fous Secrets, un jour donc tu as quitté ma vie. sans prévenir et sans adieux. J'ai jamais compris pourquoi. Et maintenant quand je me tourne vers la ligne droite de mon passé et que j'en remonte la voie, souvent à pied, j'ai ce sentiment, vide et vrai. La sensation d'avoir tout vécu déjà. Pas parce que c'est le cas. J'ai jamais eu d'enfants, j'en aurai probablement jamais. Je me suis pas Marie, j'ai pas sauvé une vie ni planté un arbre. Nous avions fusionné notre monde imaginaire à la réalité. Quand on prend conscience qu'un rêve est meilleur quand il reste irréalisé. Alors on reflue. Envisager mon avenir est devenu une épreuve douloureuse, d'années en années, tout les "et si" chantonnant que je pouvais avoir, les voir s'écraser contre le mur de la réalité . Ton soutien m'aidait à surmonter cette conscience aiguë de la déception, et puis enfin quand j'ai compris que tu étais vraiment parti, je me suis éteinte. J'ai cessé de croire en la vie quand tu as cessé de croire en moi. De temps en temps, souvent, le soir, je retourne chez nous. La maison est en ruine maintenant,c'est une baraque cabossé, les murs sont défrichées, le sol poussiéreux, l'escalier qui mène au grenier grince. Il reste plus que ça d'ailleurs, le grenier. Je m'y assois, je regarde tout ce qu'on s'est caché pendant ces années, je fais le ménage , je range tout ce que j'aurai pas dû dire, avec tout ce que tu m'a jamais dit. J'écoute longuement le silence, il est rempli d'écho, le rire de 2 gosses qui s'aimait plus que tout, les cris de peurs quand la bougie s'éteint, le murmure des vagues italiennes où on se retrouve sans raison. Et puis un détail me fait revenir au réel, dans mon appartement, le vrai. L'ampoule est brisé , faudra penser à la réparer, d'autres choses ne se reparerons jamais. Heureusement que les ampoules sont là
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#la nuit où les étoiles se sont éteintes#Le jour où le soleil ne s'est plus levé#Nine gorman#Marie alhinho
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Il n'y a pas de raison à ça, mais bon...
Hier soir j'ai regardé quelques épisodes de Doctor Who en vrac, par pur nostalgie et amour de cette série. J'ai revu avec délices les longues tirades du Docteur sur sa solitude, l'absence qui le ronge, le manque. Et j'ai longtemps cogité sur cette question de l'immortalité, voir autour de nous la chute, sans pouvoir rien faire... (GROSSE AMBIANCE) Mais étrangement, j'ai pensé à Merlin et cette phrase "fils d'un démon et d'une pucelle". Bref, ça m'as donné envie décrire un bail un peu chelou mais oser l'équipe on est al 💪
Je ne sais pas pourquoi, mais l’idée de l’immortalité me terrifie autant que celle de la mort.
Mourir, savoir que notre existence a une fin irrémédiable. Un jour, sans prévenir, c’est terminé. Ça ne sert à rien de lutter, rien de se battre dans le dernier instant où les yeux se ferment pour ne jamais s’ouvrirent, le dernier battement d’un coeur. Mourir alors qu’il y a encore des galaxies à découvrir. Être privé du futur inconnu et tout puissant. Disparaitre, être oublié. Un prénom gravé sur une pierre, une photo jaunit par les années, figé dans un sourire, les yeux pétillants d’une lueur si lointaine, une étoile déjà éteinte dans l’objectif. Mais, être éternel, c’est encore pire.
Naître un jour sans la promesse du repos, savoir qu’on sera là, inébranlable au milieu des ruines et des tombes d’une famille disparue, d’amis lointains, d’amour effacé, seul au milieu d’un cimetière de poussière et de souvenirs. Des visages ensevelis dans les méandres de la mémoire. Être là, voir la fin d’une civilisation et n’avoir pu sauver personne. Être celui qui reste.Celui qui continue de respirer. Le dernier.
J’ai pensé à Merlin. Il n’est pas immortel, mais il vieillit différemment, il n’est pas comme les autres. Druid, fils d’une pucelle et d’un démon.
Qu’est-ce que cet héritage signifie ? Une tragédie aux larmes d’une vierge et de la hargne d’une créature de l’enfer. Une horreur innommable qui créa un enfant. De la violence et de la haine, de la peur et du sang, un bébé aux yeux grands ouvert sur le monde, et de la magie au bout des doigts.
J’ai longtemps songé à ce que ça voulait dire, « fils d’une pucelle et d’un démon ». Ils n’ont pas de prénom, pas d’identité, pas de visage, ni de passé.
Ce ne sont pas des parents, mais des archétypes comme dans le début d’un roman.
Aucune main pour caresser sa joue, aucun baiser pour apaiser ses pleurs. Seulement des rôles comme pour une pièce de théâtre. Inconnus et secondaires.
Qu’’est-il devenu de cette femme pure, qui aurait pu être une sainte, si l’histoire avait dégainé retenir son prénom ? Elle s’est envolée, comme un pétale dans le souffle du vent, comme la mer emporte un coquillage dans le fond des océans.
Est-elle restée ? Berçant le nourrisson contre son sein, fredonnant dans une langue presque l’oublier, une chanson douce ? Est-elle partie ? Offrant l’enfant aux loups et aux esprits de la nuit, fuyant le fardeau trop lourd, un souvenir trop douloureux ? Et le démon, a-t-il disparu dans les flammes de l’enfer, dans un gouffre de sang et de flamme, laissant la terre hantée par son rire démoniaque, ses ailes noires voilant le soleil ?
Peut-être que les poètes peuvent imaginer, rêver, à un amour au-delà des barrières de ce monde, une passion plus forte que les lois divines. Un démon qui tombe amoureux d’une vertueuse demoiselle. Ça serait beau à raconter les nuits de pleines lunes lors des hivers glacés. Une histoire d’amour impossible, d’un ange déchu et d’une mortelle. Le fruit de cette folie, un bébé qui changerait le cours de l’histoire et la face du monde.
« Fils d’une pucelle et d’un démon » mais ça ne veut pus rien dire pour lui, de la pucelle il ne reste rien, son corps appartient à la terre et sa tombe est perdue dans les profondeurs d’une immense forêt, à l’abri. Le démon n’est jamais réapparu. A-t-il seulement existé ?
Mais « fils » il a été, il y a très longtemps, dans un pays qui a changé de nom et de souverain, dans un village dont il ne reste que des vestiges presque effacés. Du « fils » il ne se souvient que de la couleur des yeux, la douceur des mains, des syllabes répéter par sa bouche d’enfant, tremblante comme la flamme timide d’une bougie brusquée par le vent : « maman ». C’est tout. Peut-on, au bout de huit cents années d’existence, oublier le visage de sa mère ?
De ce lointain passé, Merlin en dit rien. Il reste silencieux, évasif sur ses questions.
« J’m’en souviens plus, hein, ça fait tellement longtemps… » Son regard fuyant, ses mots bancals.
Être immortel c’est accepté un deuil éternel, d’être seul.
J’ai pensé à ce destin-là, ce long chemin qu’il parcourrait sans jamais pouvoir s’arrêter, condamner à marcher pour toujours.
Merlin a vu des villages se construire, des routes se créer, des châteaux s’ériger. Il a vu leurs chutes. Les toits de pailles brûlés, les routes recouvertes par la mousse, les herbes folles entre les pavés, les châteaux en ruines. Il a connu des centaines de débuts et des centaines de fins. Il a observé tout des miracles et les tragédies de ce monde.
Spectateur muet, impuissant face au déroulement intransigeant du destin.
Mais, il a été acteur direct de cette danse merveilleuse qu’est la vie. Sorcier aux pouvoirs insondables, pouvant faire abattre la foudre sur une cité, décimer une montagne, soulever la mer.
Mais qu’en est-il de ces sentiments, de son humanité ? Il était homme aussi. De chair et de sang.
Il a connu le froid de la neige, mordant le nez et les doigts, la chaleur étouffante de la canicule. Il a vécu comme les autres, ressentant les mêmes choses ; cette satisfaction indescriptible de boire de l’eau fraiche après un effort, la sensation d’étancher sa soif, de manger à sa faim, savourer un repas autour de chants et de musique. Regarder les étoiles et rêver. Pleurer en admirant un coucher de soleil. Tisser des liens, s’unir, fonder une famille, prendre du temps pour les autres, les aider, être attaché par des liens plus puissants que n’importe quelle magie.
Être aimé et aimé.
Oh oui, il a tant aimé, maladroitement et passionnément comme un adolescent, fougueusement et soudainement. Longuement et durablement comme une vieille âme. Il est tombé amoureux des millions de fois, des hommes et des femmes. Des humains bouleversants par leurs innombrables différences.
Peut-être qu’il a oublié certains détails, évènements de ces nombreuses existences, mais il se souvient de l’amour, des visages, des mains, des sourires, des corps, des rires, des mots.
Hélas, les Hommes sont poussières, ils s’épuisent, vieillissent, tombent malades et disparaissent, en un battement de cils, une vie a passé. Il n’a pas oublié ceux qui sont partis se battre pour un carré de terre, pour un drapeau, au nom d’un serment d’allégeance. Ceux qui sont morts alors que des milliards de jours les attendaient encore.
Même si les noms se sont effacés, Merlin n’a pas oublié les larmes, le désespoir, la violence du départ. L’absence. Ces amours voués aux chagrins et à la disparition. Le coeur qui se déchire un peu plus durant les siècles.
Il a eu des enfants. Ses fils et ses filles.
Par chance ou par malédictions, aucun de ses descendants n’ont hérité de sa longévité.
Merlin se souvient de son premier enfant, celui qui est né alors que des éclairs déchiraient le ciel noir, comme il se souvient du centième, né avec les rayons du soleil.
Cent prénoms gravés éternellement dans son cœur, si précieux. Il se souvient de tous, leurs premiers mots, premiers pas.
Il peut fermer les yeux et revoir aussi distinctement que le jour les traits de leurs visages, entendre leurs voix, et leurs rires.
Ses enfants, jamais il ne pourra les oublier.
Parfois, il appelle une demoiselle par un vieux prénom, un son étranger et inconnue, il s’excuse, il dit tout mélanger, les prénoms, les visages. Souvent, il croit reconnaître l’une de ses filles aux détours d’une ruelle, il a tant craint recroiser l’un de ses fils sur un champ de bataille.
Tous ses enfants sont partis; il les avaient vus naître et mourir. Ce n’était pas normal, pas dans l’ordre des choses, c’était au père de mourir vieux et épuisé, avant l’enfant.
Alors, quand Merlin Merlin regarde le petit Arthur ce bout d’homme, pas plus haut que trois pommes, les yeux noirs, brillants, son grand sourire et ses éclats de rire, il voit un fils parti depuis longtemps.
Il le tient par la main, le guidant vers son destin, mais ce bonhomme, sautille, impatient, il veut jouer, il veut explorer.
Merlin ne l’a jamais regardé comme l’Élu qu’il attendait depuis des siècles, le garçon couronné par les Dieux d’un glorieux destin.
C’était qu’un enfant. Si petit, courant partout, balbutiant sans arrêt des histoires incompréhensibles.
Irrévocablement, ils se rapprochent du rocher où est plantée l’épée. Merlin aimerait s’enfuir, le petit gamin aux jambes fatigué de la journée de marche, pelotonné dans ses bras. Pourquoi mettre un tel point sur ses si petites épaules, alourdir sa jeune vie d’un fardeau tranchant et puissant ? Ce garçon mérité une existence tranquille, sans le regard des Dieux au-dessus de lui, de la lourdeur de leurs messages et de leurs devoirs.
Non, non… Il mérite la paix, la douceur de vivre, la joie des matins du printemps.
Arthur décroche l’épée et s’amuse avec, admirant ses reflets de flamme, imaginant les combats incroyables.Et Merlin comprend qu’il vient de le condamner. Il pourrait en pleurer.
C’est aussi son rôle de ramener l’enfant dans le terrible et sombre château de Dame Ygerne, aux lèvres pincées et aux regards froids.
Il abandonne l’enfant dans ce foyer glacé. Il ne peut pas le garder, le Roi Uther tuerait le bâtard sans hésiter.
Merlin se retourne une dernière fois, Arthur âgé de trois ans lui fait un timide signe de la main avant de s’effacer derrière la sombre robe de deuil de sa mère. Il a le cœur déchiré.
Des années plus tard, il le cherchera dans les belles rues pavées de Rome. Treize années, Merlin n’a pas changé.
Le temps a roulé lentement hors de son sablier, il a attendu de le revoir, de le retrouver. Le petit garçon qui jouait avec l’épée de feu.
Arthur est plus vieux, habillé comme l’occupant, comme l’ennemi, ceux qui massacrent les vieux sorciers et les paysans. Il est âgé de vingt ans, drapés dans l’or et le rouge de l’oppresseur, acclamé par ceux qui pillent et saccagent, qui détruisent les vestiges celtes.
Mais Merlin revoit un fils, qui a grandi beaucoup trop vite, si loin des siens et de chez lui. Un enfant qu’on aurait abandonné trop de fois, devenu solide et fort, un cœur dur forgé par l’absence. Il aimerait lui tendre la main, lui dire tout doucement « on rentre à la maison. » Mais Arthur le regarde comme un étranger, un inconnu, un fou, un idiot.
Une fois sur l’indomptable et impétueuse Île de Bretagne, Arthur est en colère, il est blessé, il souffre, son Aconia lui manque, sa belle Rome lui manque, il est déchiré en deux, coincé entre les mondes. Il ne veut pas rester, ce n’est pas « chez lui » ici, il ne comprend plus les langues apprises il y a des années, il ne se souvient plus des chants ni des danses.
Il est étranger dans son royaume qui l’a tant attendu.
Et Merlin est si malheureux de n’avoir pas pu sauver l’enfant qu’il était. Jamais il n’aurait dû le laisser à la garde d’Ygerne, ni celle des Légions Romaines. Il aurait dû l’emmener loin avec lui, au cours de la nature, avec les loups et les fées.
Merlin le voit alors s’avancer vers l’autel chrétien, Excalibur à son fourreau, une tenu de mariage celte et une jeune demoiselle au regard joyeux et au sourire ingénue. Étouffé par l’émotion, il ne dira rien, mais jura de ne plus jamais le quitter.
Les années encore ont défilé si rapidement, le sable dans le sablier s’est écoulé librement, sans restreinte.
Merlin a assisté à l’édification de la forteresse, la construction du royaume de Logres, la paix tant attendue et la prospérité. La gloire de cet Élu promit qui par sa force, son courage unifia les clans divergent et belliqueux à une cause juste et noble.
Roi Arthur Pendragon.
La même âme que l’enfant qui jouait dans la neige, mais le temps l’a abîmé, les années l’ont rongé. La fatigue, la colère, le mépris ont barbouillé son cœur.
Merlin assistera lentement à sa chute, impuissante, faible. Il n’arrivera pas à le sauver. Ce fils qui n’est pas le sien, mais qu’il a aimé tout comme. Il ne pourra pas le sauver de lui-même, de la violence profonde de sa haine, de sa colère intarissable et des souvenirs qui le hantent derrière ses paupières.
Quand Merlin le quitte, il sait que c’est une erreur, mais il est vieux maintenant, tellement vieux de ce destin, de cette vie infinie.
Épuisé des reproches, du dénigrement de son travail. Le ciel s’est assombri, les Dieux menacent l’accomplissement d’augustes présages.
Il fuit.
Mais Merlin est lié au destin du Roi qui a délaissé son titre.
Après avoir vécu des milliards de jours, Merlin assistera à l’impensable. Le sang qui s’écoule d’un poignet ouvert. Le masque de la mort sur le visage du petit garçon qui lui fait un signe timide de la main, avant de disparaitre dans l’ombre de sa mère austère.
La pâleur du visage, les yeux vides, absents. Aucune respiration, aucun battement de coeur.
Ce fils qui n’est pas le sien, mais qu’il a aimé tout comme est mort dans sa baignoire.
Et Merlin n’a pas pu le sauver de lui-même. Il a tout essayé, il l’a soigné, nourri et bordé, mais Arthur à simplement refusé de s’aider, il s’est laissé choir dans les limbes ignorant la main tendue devant lui.
Après ça, Merlin a pensé que c’était bientôt le bout de son voyage, bientôt la fin de cette interminable histoire.
Le Royaume de Logres est devenu une terre de feu et de sang, de malheur et de cri. Les Saxons sont maîtres ici, ils piétinent les statuts celtes et les remplacent par des Dieux factices, des idoles de pierres qui n’ont pas de coeur ni de pensée pour les Hommes. Les druides sont chassés ou brûlés, un peigne de terreur recouvre l’île prisonnière.
Dix longues années à vivre sous terre, caché, épuisé, en colère. Merlin a perdu espoir de le revoir.
Dix éternités sans aucune nouvelle, complètement disparu. Certains disaient qu’il était mort cette fois, d’autres qu’il était parti très très loin.
Mais un jour, après des nuits à cartographie et creusé des tunnels sans fin, Merlin le revoit.
Il est évanoui, blessé, vieilli. Encore plus abîmé qu’avant et pourtant, une flamme nouvelle luisante dans ses yeux.
Le même qui courrait dans la neige plus de quarante ans auparavant.
Arthur.
Ce n’est plus le visage d’un fils, mais celui d’un très vieil ami dont le prénom est coincé au bout de la langue, mais impossible à s’en souvenir complètement. Un visage qu'il n'a jamais réussi à oublier.
Et la lueur d'espoir renaît dans son cœur.
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Livres
La nuit où les étoiles se sont éteintes de Nine Gorman
Juste la fin du Monde de Jean-Luc Lagarce
L’enragée de Jennifer Telier
Lettre d’une inconnue de Stefan Zweig
La délicatesse de David Foenkinos
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Littérature mon Amour
“Espérez ! espérez ! espérez, misérables ! Pas de deuil infini, pas de maux incurables, Pas d’enfer éternel ! Les douleurs vont à Dieu, comme la flèche aux cibles ; Les bonnes actions sont les gonds invisibles De la porte du ciel. Le deuil est la vertu, le remords est le pôle Des monstres garrottés dont le gouffre est la geôle ; Quand, devant Jéhovah, Un vivant reste pur dans les ombres charnelles, La mort, ange attendri, rapporte ses deux ailes À l’homme qui s’en va Les enfers se refont édens ; c’est là leur tâche. Tout globe est un oiseau que le mal tient et lâche. Vivants, je vous le dis, Les vertus, parmi vous, font ce labeur auguste D’augmenter sur vos fronts le ciel ; quiconque est juste Travaille au paradis. L’heure approche. Espérez. Rallumez l’âme éteinte ! Aimez-vous ! aimez-vous, car c’est la chaleur sainte, C’est le feu du vrai jour. Le sombre univers, froid, glacé, pesant, réclame La sublimation de l’être par la flamme, De l’homme par l’amour ! Déjà, dans l’océan d’ombre que Dieu domine, L’archipel ténébreux des bagnes s’illumine ; Dieu, c’est le grand aimant ; Et les globes, ouvrant leur sinistre prunelle, Vers les immensités de l’aurore éternelle Se tournent lentement ! Oh ! comme vont chanter toutes les harmonies, Comme rayonneront dans les sphères bénies Les faces de clarté, Comme les firmaments se fondront en délires, Comme tressailleront toutes les grandes lyres De la sérénité, Quand, du monstre matière ouvrant toutes les serres, Faisant évanouir en splendeurs les misères, Changeant l’absinthe en miel, Inondant de beauté la nuit diminuée, Ainsi que le soleil tire à lui la nuée Et l’emplit d’arcs-en-ciel, Dieu, de son regard fixe attirant les ténèbres, Voyant vers lui, du fond des cloaques funèbres Où le mal le pria, Monter l’énormité, bégayant des louanges, Fera rentrer, parmi les univers archanges, L’univers paria ! On verra palpiter les fanges éclairées, Et briller les laideurs les plus désespérées Au faîte le plus haut, L’araignée éclatante au seuil des bleus pilastres, Luire, et se redresser, portant des épis d’astres, La paille du cachot ! La clarté montera dans tout comme une sève ; On verra rayonner au front du bœuf qui rêve Le céleste croissant ; Le charnier chantera dans l’horreur qui l’encombre, Et sur tous les fumiers apparaîtra dans l’ombre Un Job resplendissant ! Ô disparition de l’antique anathème ! La profondeur disant à la hauteur : Je t’aime ! Ô retour du banni ! Quel éblouissement au fond des cieux sublimes ! Quel surcroît de clarté que l’ombre des abîmes S’écriant : Sois béni ! On verra le troupeau des hydres formidables Sortir, monter du fond des brumes insondables Et se transfigurer ; Des étoiles éclore aux trous noirs de leurs crânes, Dieu juste ! et, par degrés devenant diaphanes, Les monstres s’azurer ! Ils viendront, sans pouvoir ni parler ni répondre, Éperdus ! on verra des auréoles fondre Les cornes de leur front ; Ils tiendront dans leur griffe, au milieu des cieux calmes, Des rayons frissonnants semblables à des palmes ; Les gueules baiseront ! Ils viendront ! ils viendront, tremblants, brisés d’extase, Chacun d’eux débordant de sanglots comme un vase Mais pourtant sans effroi ; On leur tendra les bras de la haute demeure, Et Jésus, se penchant sur Bélial qui pleure, Lui dira : C’est donc toi ! Et vers Dieu par la main il conduira ce frère ! Et, quand ils seront près des degrés de lumière Par nous seuls aperçus, Tous deux seront si beaux, que Dieu dont l’œil flamboie Ne pourra distinguer, père ébloui de joie, Bélial de Jésus ! Tout sera dit. Le mal expirera, les larmes Tariront ; plus de fers, plus de deuils, plus d’alarmes ; L’affreux gouffre inclément Cessera d’être sourd, et bégaiera : Qu’entends-je ? Les douleurs finiront dans toute l’ombre : un ange Criera : Commencement !” Victor Hugo, Ce que dit la bouche d’ombre, XII., 1855.
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Ne partez pas sans être préparé ! Quoi apporter lors d'un voyage de camping
Le camping est quelque chose qui est amusant pour toute la famille. Que vous soyez novice en matière de camping ou que vous soyez un vétéran chevronné, il y a toujours des choses que vous devez prendre en considération avant de vous aventurer dans votre prochain voyage de camping. L'article suivant vous aidera à vous préparer pour votre prochain voyage afin que vous passiez un bon moment en toute sécurité.
En particulier, si vous avez des enfants, vous devez penser à ce que vous ferez si vous avez du mauvais temps un jour. Rassemblez quelques fournitures à avoir sous la main au cas où vous devriez rester dans votre tente. Apportez un jeu de société, du matériel de jeu et d'art. Ne laissez pas les membres de votre famille toucher à ces articles avant qu'il pleuve afin qu'ils ne perdent pas leur attrait. Tous les participants devraient avoir leur mot à dire sur l'endroit où vous allez camper. Discutez de choses comme l'état que vous aimeriez voir, les parcs particuliers qui vous intéressent et le type d'expérience de camping que vous recherchez. Il y a tellement d'options aux États-Unis qu'il peut être difficile d'en choisir une ! Réduisez vos choix et laissez toute votre famille décider. Avant d'entreprendre ce voyage de camping relaxant, il est essentiel pour votre sécurité de vous assurer que quelqu'un sache que vous y allez. Donnez à un ami ou à un voisin le nom de l'emplacement de camping si vous en utilisez un. Si vous partez pour un voyage moins structuré, donnez à votre contact une idée générale de l'endroit où vous allez et un calendrier pour votre retour. Si quelque chose se passe mal, il y aura quelqu'un qui saura où vous chercher. Installez votre emplacement de camping, votre tente et vos sacs de couchage avant la nuit. Si tu es dans un véhicule récréatif, gare-le en toute sécurité. Cherchez un terrain plat et sec lorsque vous campez dans une tente. Tant qu'il fait jour, vous ne devriez pas avoir de difficulté à accomplir ces tâches. Il sera également plus facile de voir ce que vous faites, ce qui vous évitera beaucoup de frustration. Ramassez plus de bois que vous pensez en avoir besoin. À moins d'aller camper tous les jours, vous n'avez probablement pas une idée précise de ce à quoi ressemble réellement " assez de bois ". Vous pouvez toujours laisser le bois supplémentaire en tas comme cadeau pour quiconque utilise le terrain de camping après vous.
Lorsque vous vous rendez à votre destination de camping, prévoyez vous arrêter et prendre un repas lorsque vous êtes près du terrain de camping, mais avant votre arrivée. Le fait d'être bien nourri avant d'arriver atténuera les camping frustrations si le terrain de camping est plein ou s'il faut plus de temps pour installer votre équipement. Profitez de cette pause pour discuter de vos plans et pour rappeler à tout le monde comment rester en sécurité ! De nombreuses personnes sont dissuadées de camper parce qu'elles doivent dormir sur le sol, mais vous n'avez pas à être mal à l'aise lorsque vous allez camper. Arrêtez-vous à la pharmacie locale et achetez des flotteurs de piscine peu coûteux. Ces flotteurs sont beaucoup plus confortables que le sol pour dormir et vous garderont au sec et en hauteur. Préparez une partie de la nourriture à l'avance afin de ne pas avoir à la manipuler sur le terrain de camping. Préparez quelques sandwiches, précuisez les pâtes et emportez des aliments qui peuvent être consommés tels quels pour rendre chaque repas moins fastidieux. D'autres repas peuvent être agréables à préparer dans le bois, mais certains devraient être prêts à partir les jours où le temps n'est pas parfait. En cette ère moderne, il n'y a aucune excuse pour être dans les bois sans une certaine forme de communication. Bien sûr, personne n'aime recevoir des appels téléphoniques lorsqu'il est en train de se détendre, alors laissez votre téléphone éteint mais complètement chargé, juste au cas où il y aurait une urgence, et que vous ayez besoin de contacter quelqu'un. Pour vos premiers voyages de camping, essayez de choisir un endroit où vous pouvez vous rendre en voiture. Si votre voiture est à proximité, vous pouvez l'utiliser comme une sorte de " forteresse " lorsque vous êtes au milieu de nulle part. Non seulement vous pouvez y entrer en cas d'attaque de la faune, mais elle peut aussi vous protéger des éléments. Le camping est un travail difficile, mais c'est aussi très amusant. Une fois que vous avez compris ce que vous faites, les récompenses sont nombreuses. Vous pouvez faire l'expérience de la nature et du plein air ; les pique-niques sont toujours amusants, et vous avez la chance de dormir à la belle étoile. Rien ne vaut certaines des expériences que vous pouvez vivre en camping. Une liste de vérification est essentielle avant d'entreprendre tout voyage de camping. Ce sera la clé, surtout si vous campez loin de chez vous. Faites vos valises au moins une journée ou plus à l'avance, et gardez une liste pour cocher vos articles.
Comme nous l'avons dit au début de cet article, il faut beaucoup de préparation avant de partir en voyage de camping en Nouvelle-Zélande. Les conseils fournis dans cet article sont une excellente façon de vous assurer que vous avez pris soin de tous les éléments essentiels afin que votre voyage de camping soit aussi sûr et agréable que possible.
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