#la nuit des étoiles filantes
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Christina von Blanc in A Virgin Among the Living Dead (1973)
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A Virgin Among the Living Dead (1973)
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Changement
C’était un simple crush, une histoire d’une nuit. Mais au matin, Manon se leva, encore vêtue de son t-shirt déchiré. La rouquine prépara ses pinceaux et invita Paul à la rejoindre. Elle trouvait son visage si charmant qu’elle voulait garder une trace. Dès lors, elle dessina son portrait, usant de la peinture et du temps. Son coup du soir demeurait nu, assis sur une chaise, prenant une position sérieuse et intime. Contrairement à l’artiste qui, sans complexe, n’hésita pas à garder les cuisses ouvertes. D’ailleurs, Paul ne pouvait que profiter de son sexe rasé et sa poitrine généreuse à peine voilée par le tissu blanc de son maillot.
Manon peignait, profitant de son inspiration. Elle dessinait magnifiquement mais ne souhaitait pas exposer ni vendre ce nouveau tableau. Contrairement à ses habitudes, celui-ci n’était qu’une envie, un moment de plaisir, un cadeau pour remercier Paul pour cette jolie nuit passionnée.
Je vais faire entrer ton corps dans l’immortalité. Tu changeras mais ce tableau montrera combien tu étais beau, dit-elle.
Paul sourit à cet instant. Cependant, constatant que Manon arrêta de peindre tout en présentant un regard sérieux. Il comprit qu’elle ne voulait pas qu’il bouge, y compris dans la mimique.
A moins que ce soit le tableau qui vieillisse pour toi, comme dans le portrait de Dorian Gray, ajouta Manon. Voudrais-tu que ton portrait change et vieillisse à ta place ?
Non, répondit-il après une hésitation.
Il avait peur qu’elle rate son œuvre parce qu’il aurait remué les lèvres. Toutefois, elle arrêta de peindre et regarda son amant avec étonnement. Dès lors, il se sentit obligé de se justifier.
Je préfèrerais changer ma vie entièrement…Parfois, j’ai l’impression d’avoir loupé quelque-chose. Que ça ne s’est pas passé comme prévu. Rien ne me plait dans cette vie.
La jeune femme écoutait avec attention. Elle comprenait ce qu’il ressentait. Elle avait bientôt 40 ans, pas d’enfant et une vie, pourtant magnifique, mais triste. Elle avait vécu des moments de galère avant la reconnaissance. Cependant, elle sait que la galère peut revenir à tout moment. Et oui, elle aussi, aurait voulu changer sa vie, si elle le pouvait. Paul interrompit sa perdition soudaine. Aussitôt, Manon se remit à peindre.
Le soir venu, le tableau n’était pas encore fini. Paul proposa de revenir le lendemain soir, car il devait rentrer chez lui. Personne ne l’attendait si ce n’est une pile de dossiers pour le boulot. Il s’habilla puis sortit après avoir embrassé langoureusement Manon.
Dehors, il faisait déjà nuit. Le ciel magnifiquement dégagé, se voilait d’un tapis d’étoiles. Paul marcha longtemps, en repensant à leur discussion sur leur vie. Il se demandait si ce n’était pas l’occasion de se ranger, arrêter des histoires sans lendemain et enfin, de pouvoir vivre une vraie histoire d’amour. Il leva la tête pour admirer la lune. Tout à coup, il aperçut une étoile filante. Cette dernière laissait derrière elle, un éphémère trait argenté. Puis il entra dans son appartement et s’endormit en oubliant cette belle journée.
Chéri, tu vas être en retard !
Paul regarda avec des yeux exorbités la belle brune qui se promenait en jogging dans sa chambre. Elle ouvrit la porte d’une armoire qu’il n’avait jamais vue. Un coup d’œil par la fenêtre, il n’était pas dans son logement. Lui qui, d’ordinaire, voyait une petite cour, se trouvait à découvrir une avenue ou un boulevard. Il se leva, approcha de la femme qu’il ne connaissait pas. Il allait poser une question lorsqu’il entendit parler. Dès lors, il approcha de la cuisine. Deux petites filles, assises autour d’une table, mangeaient une tartine et buvaient un bol de chocolat.
Bonjour papa ! dirent-elles en cœur.
Hé bien Paul, tu ne t’habilles pas ? Tu vas être en retard.
Et toi, tu ne travailles pas aujourd’hui ? demanda Paul.
Elle sourit à sa question Cependant, ce n’était pas la première qui lui venait en tête. Mais il ne savait pas comment expliquer qu’il y avait erreur. Il n’était pas marié, n’a jamais eu d’enfant. Et brusquement, il se retrouvait avec une femme et deux gamines dans un appartement qui ne lui disait rien.
Tu sais bien que le mardi, je suis en télétravail, annonça la femme.
Elle pria les filles de prendre leur cartable et les accompagna jusqu’à l’école. Pendant ce temps, Paul se lavait puis quittait à son tour l’appartement pour rejoindre son bureau.
Durant tout le trajet, il interrogea son esprit. Comment était-il possible qu’il ait changé de vie en une nuit ? Les vœux se réalise-t-il ? Il n’avait pas changé d’apparence. Il n’avait pas pris la vie d’un autre. Il était bien lui, mais ne comprenait rien de ce qu’il lui arrivait.
En entrant dans le hall, l’hôtesse d’accueil le regard avec insistance. Paul passa, comme tous les jours, montrant un grand sourire et en disant bonjour. Il partait en direction de l’ascenseur pour rejoindre son bureau minable, encerclé de cloisons qui n’empêchait pas d’entendre les discussions de ses collègues. Seulement, il fut arrêté.
S’il vous plait, monsieur ! Avez-vous rendez-vous ?
Je travaille ici, répondit Paul avec étonnement. Vous ne me reconnaissez pas Mathilde ?
Surprise d’entendre son prénom de la bouche d’un inconnu, Mathilde resta bouche bée. Puis, elle reposa la question. Paul continuait d’affirmer qu’il travaillait dans cette entreprise depuis quatre ans. Finalement, il demanda qu’on appelle son collègue de bureau.
Norbert n’avait pas changé. Petit gros, les cheveux gris, il sortit de l’ascenseur avec son air patibulaire connu. Il commença par engueuler Mathilde tout en dévisageant Paul et un agent de sécurité. Et quand Paul le salua. Il chercha dans son esprit s’il l’avait déjà rencontré.
Non, désolé, je ne vous connais pas, dit-il. Et ne m’appelez pas pour ce genre de foutaise…Déjà que j’étais en pleine réunion !
Il partit sans écouter les appels de Paul. Celui-ci, sentant qu’il n’était pas le bienvenu, quitta le hall surveillé de près par la sécurité. Toutefois, une fois dans la rue, son téléphone sonna. L’écran afficha un nom qu’il ne connaissait pas. Cependant, il répondit et entendit une voix d’homme
Bonjour Paul, Vous allez bien ? Parce que vous ne nous avez pas prévenu de votre absence.
Oui, ça va. Mais je devais aller où ?
Bin, à la Sorbonne. Vous avez votre cours.
Choqué, il attendit et n’eut pas le temps de parler.
Vous êtes sûr que vous allez bien ? Je peux annuler vos cours de la journée.
Non, ça va. Je...j’arrive.
Paul prit le métro et descendit à Maubert-Mutualité. Il remonta la rue et entra dans l’université par la porte principale. Il ne savait pas où aller ni quoi faire. Il resta hagard jusqu’à ce qu’il croise un étudiant qui le salua. Dès lors, il profita de la discussion pour en savoir plus. Et il apprit ce qu’il n’aurait jamais pensé. Il était professeur de grec ancien.
Après avoir écouté le jeune érudit. Paul s’arrêta devant une salle de cours. Une vingtaine d’élèves attendait patiemment tout en discutant. Son entrée imposa le silence. Il posa une valisette sur la table avant d’observer les étudiants. Le grec ne s’apprend pas. Il avait quelques notions mais cela datait du collège. Il prononça un bonjour obtenant la pareille de ses élèves.
Vous ai-je déjà donné un exercice à faire ? Une traduction ?
Oui, répondit un étudiant.
Immédiatement, il lui proposa de venir au tableau et de traduire le texte étudié. En écoutant, le jeune homme, Paul réalisa qu’il comprenait tout comme s’il parlait couramment le grec ancien. Il s’étonna en corrigeant lui-même quelques erreurs d’accents et de grammaire. Le cours lui parut normal, tout comme la journée.
Au moment de quitter la Sorbonne, son téléphone sonna de nouveau. C’était son épouse.
A quelle heure rentres-tu ? demanda-t-elle.
Je ne sais pas encore.
Si tu vas chez Manon, ne rentre pas trop tard comme hier, s’il te plait. Ce matin, tu m’as paru déboussolé.
Manon ?
Oui, Manon, la peintre.
Il ne s’attendait pas à connaitre déjà Manon. Dans sa nouvelle vie, c’était une amie, alors qu’il l’avait rencontrée la veille. Il se dirigea chez elle. Peut-être avait-elle des explications ? Il reconnut la rue, le même immeuble. Il grimpa jusqu’à son atelier qui servait aussi d’appartement. Il sonna et entendit crier : « C’est ouvert ».
Sans hésiter, le professeur de grec entra. Manon était assise, elle peignait un tableau. La vue de Paul s’attarda sur la raie de ses fesses, indiquant qu’elle ne portait qu’un maillot à moitié déchiré. Elle tourna la tête lorsqu’il toussa.
Oh Paul, je ne t’attendais pas. Je pensais qu’on aurait continué ton portrait demain. (Elle se leva pour faire la bise). Tu vois j’étais en train de faire quelques retouches.
Paul découvrit son portrait nu, assis comme il l’était hier. Elle proposa de reprendre où ils en étaient. Il se retira dans la chambre, se déshabilla et revint s’assoir. Manon se mit à peindre de suite.
Excuse-moi, Manon, mais, on se connait intimement pour que tu restes…
Pour que je reste à poil ? Non, on n’a jamais couché ensemble. C’est une habitude pour mettre à l’aise mes modèles. Je me mets à poil quand ils le sont. Et puis, je ne couche pas avec les maris de mes amies.
Et pourquoi, je pose nu ?
Un cadeau pour Fabienne. Enfin, c’est ce que tu m’avais dit. Je vais faire entrer ton corps dans l’immortalité. Tu changeras mais ce tableau montrera combien tu étais beau
Paul sourit à cet instant parce qu’il avait déjà entendu Manon prononcer ces mots.
A moins que ce soit le tableau qui vieillisse pour toi, comme dans le portrait de Dorian Gray, ajouta Manon. Voudrais-tu que ton portrait change et vieillisse à ta place ?
Cette fois-ci Paul ne répondit pas. Cette nouvelle vie lui paraissait plus belle.
Alex@r60 – août 2023
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Dimanche
La nuit, des étoiles filantes traversent le ciel. Au matin, les avions étirent leur trainée à la surface de l’eau. Sinon, tout flotte, et le soleil miroite. Ce soir, nous essaierons de voir d'autres étoiles filantes, aidés par l'obscurité de la nouvelle lune. En écrivant étoile, je repense à ces mots si justes de Lydie Dattas, déjà postés ici : Les étoiles sont à ceux qui ne possèdent rien.
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" il n'aurait jamais pu me comprendre, parce que j'aime trop de choses, et je me retrouve toujours confuse et frottée à courir d'une étoile filante à l'autre jusqu'à ce que je tombe. C'est la nuit, et ce qu'il te fait. Je n'avais rien à offrir à personne, à part ma propre confusion."
- Jack Kerouac, sur la route.
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Viser la Lune
Sous le manteau sombre de l'incertitude,
Nos rêves s'élancent, pleins de certitude,
Comme un ballet de comètes dans la nuit,
Des étoiles lointaines, éclats infini.
À travers les sentiers incertains, je m’avance,
Porté par l’émoi, une douce cadence,
Ensemble, affrontons les tempêtes voraces,
Cœurs résonnant, en une symphonie de grâce.
Dans chaque tourment, une lueur de vérité,
Avenir éclairé, courage révélé,
Échecs devenant des étoiles filantes,
Rêves brillants, une lumière éclatante.
Même dans la chute, nous trouvons la clarté,
Pleine Lune brillante, phares dans la nuit,
Éclairant le chemin de notre destinée,
Nous trouvons la joie dans notre quête infinie.
Rêvons grand, visons la Lune avec courage,
Les désirs comme guides dans l'obscurité,
Guidant le navire vers des cieux étoilés,
L'ambition illuminant notre voyage.
#Cassiopeapoetry
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Jour 3 : Le cheval doré
Elle est là : grande, belle, imposante, le poil lustré et les sabots brillants. La jument d'or galope, gigantesque, illuminant la nuit de sa robe étincelante. Elle bondit haut et loin, filant telle une étoile, tel un météore brûlant traversant la nuit. Ses yeux sont des éclats de lune, ses crins des éruptions solaires. À chaque foulée, elle laisse derrière elle des traînées luisantes, brillant comme des centaines de lucioles. Le vent siffle sur son passage et le sol gronde sous ses pas, elle est comme un éclair doré déchirant le ciel, portant avec elle des orages dévastateurs. Elle ne s'arrêtera pas avant d'avoir atteint la lune, sa rivale, brillant de mille feux dans le ciel nocturne ; elle seule peut rivaliser avec l'astre illuminant la nuit, surplombant les montagnes, les nuages, le monde. Si la lune régit les océans, la jument régit les plaines : son galop endiablé résonne comme des vagues s'écrasant dans l'immensité vallonée de son domaine. Si les étoiles filantes sont des comètes mourantes, elle est un astre brûlant de vie, de violence, de mouvement. Elle galopera, encore et toujours, messagère des tempêtes, pourchasseuse des cieux, sans jamais s'arrêter : car viser la lune, ça ne lui fait pas peur.
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Puis nous avons pris la direction de Natchez, toujours dans le Mississippi vu que la ville longe le fleuve.
De l'autre côté du pont, c'est la Louisiane ! Malheureusement nous n'avons pas beaucoup de temps pour visiter alors petit tour rapide et on repart (avec une pause logistique au Walmart).
Comme chaque soir depuis une semaine, nous roulons lorsque la nuit est tombée ; aucune pollution lumineuse aux alentours, on admire les étoiles. Ce soir, alors que c'était légèrement couver, j'ai regardé le ciel et vu une étoile filante 💫 🥰
Nous avons d'ailleurs vu un joli coucher de soleil 🌅
Nous dormons dans un petit hôtel au nord de Bâton Rouge (Louisiane) pour y passer rapidement demain avant de rendre la voiture à la Nouvelle-Orléans.
Des bisous de Louisiane et à demain ❤️
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Cette semaine, toute les nuits, rendez-vous avec les chaises de camping dans un champ, tout au bout de la route de campagne proche du quartier. Il faut se perdre dans ce chemin sombre, ne plus voir les lumières de la ville et celle de la route bordant les prés. Ce sont les nuits aux étoiles filantes. On prends nos manteaux et nos plaid, pas question d’être dérangés par le froid durant que nos yeux chassent en haut à travers le noir, ces mystérieux ronds blancs qui balaient le ciel. Le plus souvent, comme nous sommes proches d’une ville, enfin c’est l’excuse que nous nous donnons, nous n’en voyons pas beaucoup alors nous profitons également pour admirer les étoiles et la voie lactée. Pour nous donner encore plus de sensation, nous allumons quelques seconde nos écrans de téléphone et regardons une vidéo de tournoiement blanc et noir. Une fois comme hypnotisé par cette forme tournante, nous regardons la nuit qui semble s’être changée en l’une des belles peintures pleines de tourbillons de Vincent Van Gogh. Et idéalement, nous faisons attention à ne pas tomber de nos chaises.
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Les Étoiles de l’Amour
Dans un petit village pittoresque, entouré de collines verdoyantes et de champs dorés, vivait une jeune femme du nom d'Elara. Sa beauté était telle qu'elle illuminait les journées les plus sombres, mais derrière ses yeux envoûtants, se cachait une âme avide d'aventures.
Chaque soir, Elara se promenait sur les chemins de campagne, rêvant de voyages extraordinaires et de mondes inconnus. Elle écoutait les histoires des marchands ambulants et des voyageurs de passage, qui lui décrivaient des terres lointaines, remplies de magie et de mystères.
Un soir, alors que la lune se levait, elle entendit des murmures étranges provenant de la forêt qui bordait le village. Intriguée, elle décida de suivre ces sons mystérieux, portée par l'appel de l'inconnu.
Les arbres s'épaississaient à mesure qu'elle pénétrait dans la forêt, laissant place à un enchevêtrement de sentiers cachés. À chaque pas, la magie de l'obscurité grandissait, mais Elara ne ressentait aucune peur. Au contraire, une excitation nouvelle remplissait son cœur.
Au détour d'un chemin, elle aperçut une lueur émeraude, vacillant comme une étoile solitaire. Elle s'approcha avec prudence, mais aussi avec une étrange certitude que cette rencontre était le début d'une aventure extraordinaire.
Au milieu des feuillages, apparut un homme vêtu d'une cape sombre qui semblait se fondre avec la nuit. Ses yeux brillaient d'une lueur magique, et un sourire énigmatique étira ses lèvres. Il se présenta comme Aiden, un voyageur venu d'un royaume lointain.
Aiden avait parcouru des terres enchantées et des contrées mystiques, et il avait une aura d'aventure qui captiva Elara. Il lui raconta des histoires incroyables, des créatures fantastiques et des paysages à couper le souffle. Elle était suspendue à ses paroles, plongée dans un univers où les rêves devenaient réalité.
Au fil des heures qui s'écoulèrent comme des étoiles filantes, Elara et Aiden parlèrent de tout et de rien, comme s'ils se connaissaient depuis toujours. Une complicité singulière se tissa entre eux, et l'étrange sensation de se sentir à la maison en présence d'un inconnu les envahit.
La nuit s'achevait doucement, mais le soleil ne se leva jamais aussi magnifiquement qu'il le fit ce matin-là, illuminant leur nouvelle amitié. Alors que le jour se levait, ils se séparèrent, mais Elara savait que ce n'était qu'un au revoir.
Les jours qui suivirent, Elara ne pouvait s'empêcher de penser à Aiden et aux merveilles qu'il lui avait décrites. Une impulsion irrépressible la poussa à le retrouver, à vivre des aventures en sa compagnie, et peut-être, juste peut-être, à découvrir un amour qui dépasserait les frontières du réel.
Elara prit une décision audacieuse : elle partirait à l'aventure avec lui pour découvrir le royaume légendaire des étoiles. C'était un voyage risqué et incertain, mais elle sentait que son cœur l'appelait vers cette destinée magique.
Sans dire un mot à sa famille et à ses amis, Elara se prépara en secret pour ce périple. Elle remplit un sac avec des provisions, prit quelques vêtements chauds et attacha son carnet de voyage autour de son cou. C'était un cadeau de sa grand-mère, qui croyait aux pouvoirs mystiques des étoiles.
Une nuit, alors que la lune était pleine, Elara retrouva Aiden à l'orée de la forêt. Il lui sourit chaleureusement, resplendissant comme un astre dans l'obscurité. Ensemble, ils se lancèrent dans l'inconnu, suivant les étoiles scintillantes qui semblaient les guider vers leur destinée.
Leur voyage les mena à travers des paysages éblouissants, des montagnes majestueuses aux sommets enneigés, des forêts mystiques où des créatures fantastiques dansaient à la lueur de la lune, et des rivières scintillantes qui chantaient une mélodie enchanteresse.
Au fil du voyage, l'amitié entre Elara et Aiden s'épanouit en un amour profond et sincère. Chaque moment passé ensemble renforçait leur lien, et ils partageaient leurs rêves, leurs espoirs et leurs peurs, créant ainsi des souvenirs inoubliables qui seraient gravés dans leur cœur pour l'éternité.
Un soir, alors qu'ils campaient près d'un lac aux eaux miroitantes, Aiden prit la main d'Elara et la regarda dans les yeux avec tendresse. "Je t'aime, Elara, plus que tout au monde," murmura-t-il. "Depuis le moment où nos chemins se sont croisés, j'ai su que tu étais celle qui illuminerait ma vie."
Les yeux d'Elara s'emplirent d'étoiles, et elle répondit doucement : "Et moi, je t'aime, Aiden. Tu as fait naître en moi un amour pour l'aventure et la magie, et je ne pourrais plus me passer de toi."
Les mots d'amour semblaient se fondre dans le paysage céleste qui les entourait. À ce moment précis, une étoile filante traversa le ciel, éclairant leur amour d'une lueur étincelante. Ils savaient que leur amour était béni par les étoiles elles-mêmes.
Enfin, après de longues péripéties, ils atteignirent le sommet d'une montagne élevée, où ils découvrirent une étrange étoile filante, plus grande et plus brillante que les autres. Sans hésiter, ils la touchèrent ensemble, et une magie incroyable se déchaîna.
Un tourbillon de lumière les enveloppa, et ils se retrouvèrent soudainement dans un royaume inconnu, où les étoiles semblaient danser autour d'eux. C'était le légendaire Royaume des Étoiles, où le temps semblait s'arrêter et où l'amour régnait en maître.
Elara et Aiden savaient qu'ils avaient trouvé leur vrai foyer. Ils vécurent heureux pour toujours dans ce royaume féérique, explorant ses merveilles et partageant leur amour éternel. Ils savaient qu'ils étaient liés par les étoiles, et rien ne pouvait briser leur connexion magique.
Et ainsi, dans le Royaume des Étoiles, Elara et Aiden vécurent leur conte romantique fantastique, une histoire unique qui illuminerait le ciel de mille éclats et serait racontée aux générations futures, inspirant l'amour, la magie et l'aventure.
Fin.
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Britt Nichols and Rosa Palomar in La nuit des étoiles filantes (1973)
AKA A Virgin Among the Living Dead
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That’s it for this week’s #FrancoFriday !
A Virgin Among the Living Dead (1973)
#A Virgin Among the Living Dead#Jesús Franco#La nuit des étoiles filantes#Jess Franco Friday#Franco Friday#Jess Franco#gif#gifs#My Gifs#My Gif#Pierre Quérut#Jean Rollin#exploitation film#sexploitation film#horror film#horror movie#cult film#cult cinema#Horror Movies#Christina von Blanc
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Céleste et son observatoire
L’observatoire de Céleste, installé au premier étage du musée, a été l’un de mes endroits préférés dans les opus de la saga Animal Crossing.
C’est vrai que c’était amusant de pouvoir relier les étoiles entre elles pour former des constellations – seul hic, j’avais les constellations de la ville de ma sœur qui venaient polluer mon ciel nocturne de temps à autre et bien sûr impossible de lui faire supprimer toutes ses constellations, dont elle était si fière, comme le loup qu’elle avait confectionné parmi les étoiles (c’est vrai qu’il était beau).
💫 J’adorerais que l’observatoire de Céleste refasse son apparition dans les prochains opus d’Animal Crossing et qu’il ait une plus grande utilité ou place dans ce jeu.
La collecte d’espèces, pour le musée de Thibou, m’a appris beaucoup comme le nom des poissons et des insectes qui m’ont été plutôt utiles dans ma vie. Alors, au même titre que Thibou et de ses expositions, ce serait super que Céleste nous raconte davantage d’anecdotes sur les étoiles.
Par exemple avec la possibilité d’observer de vraies constellations (qui seraient bien sûr différentes en fonction du choix de notre hémisphère, comme dans la vraie vie). Céleste pourrait nous apprendre à en reconnaître quelques-unes, comme la Grande et la Petite Ourse. Elle pourrait nous informer sur le nombre total de constellations qui constituent la voûte céleste, et qu’il y en a bien plus d’observables depuis l’hémisphère Sud ! Elle prédirait aussi les pluies d’étoiles filantes…
On pourrait donc toujours dessiner les constellations de notre imagination en reliant des étoiles entre elles (sans polluer le ciel des autres, merci d’avance) mais aussi apprendre à reconnaître certaines des vraies constellations.
Le poste occupé par Céleste à l’observatoire du musée ne l’empêcherai évidemment pas de sortir se promener une fois la nuit tombée pour admirer les pluies d’étoiles filantes. J’ai bien aimé la croiser sur mon île dans Animal Crossing New Horizons, ainsi que l’idée des souhaits et de leur influence sur la récolte des fragments d’étoiles sur nos plages le lendemain. C’était chouette aussi d’associer les objets des signes zodiaques à Céleste ainsi qu’aux mois. Mais ce n’est pas suffisant… après tout, l’astrologie ce n’est pas de l’astronomie !
Peut-on espérer un jour revoir les portes de l’observatoire se rouvrir ? Et Céleste incarnera-t-elle enfin le deuxième hibou qui sera davantage présent dans notre quotidien de crosseurs ?
Et vous, qu'est-ce que vous en pensez ? On serait ravi d'avoir votre avis en commentaire.
À bientôt ! 🌳
Tiklo
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Dans l'ombre silencieuse, là où le chagrin s'étend,
Une mère s'en est allée, son absence comme un tourment.
Les échos de ses rires, dans la brise s'éteignent,
Des larmes salées, des souvenirs qui peignent.
Son amour, une étoile filante dans la nuit sombre,
Les larmes des anges, une mélodie qui encombre.
Les roses fanent, le temps pleure en silence,
Une mère partie, laissant le cœur en errance.
Les berceuses du passé, des échos dans le vide,
Des souvenirs étreignants, des moments qui s'éludent.
Le parfum de sa tendresse, un doux souvenir,
Le monde en noir et blanc, sans elle à l'avenir.
Les éclats de sa voix, une symphonie perdue,
Le deuil danse seul, une tristesse éperdue.
Les larmes salées, des perles dans le vent,
Une mère partie, laissant un amour vivant.
Dans le livre du temps, une page arrachée,
Les étoiles pleurent, la lumière est voilée.
Le silence résonne, là où sa voix était roi,
Une mère partie, mais son amour ne part pas loin.
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Lundi
Saveur particulière du petit déjeuner sous les pins, dans la lumière du matin. Plus tard, les kids ont cueilli et aussitôt dégusté des framboises bien mûres. Hier soir, sous leurs regards émerveillés, deux hérissons se sont aventurés tout près de la terrasse, observés à la clarté du téléphone qui servait peu avant, grâce à une appli, à repérer les constellations dans la nuit. J'ai vu une étoile filante, le Mini Kid aussi - mais chut, c'était un avion ! Petite correction par rapport à un post précédent : au bout d'un moment, le roucoulement des tourterelles devient très chiant.
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Quelques trucs bien. Février 2023
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode.
En remerciant @bonheurportatif pour l’idée, et une pensée particulière pour les “bilans” de @ernestinee et le “pseudo journal” de @carraways-son
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme.
Remarquer les amandiers en fleurs le long de la route pour aller au travail. Et m’émerveiller encore des mimosas, plus exubérants.
Partager la jubilation d’une enfant qui découvre l’association syllabique et le sens d’un mot. Voir son regard s’intensifier et ses mains trembler, comme mon coeur.
Pester contre les insomnies. Sortir fumer une cigarette sur la terrasse. Lever la tête et apercevoir une étoile filante. Faire un voeu. La nuit n’est donc pas perdue.
Recevoir de maman des compliments sur les enfants et les lui renvoyer. C’est aussi un peu d’elle.
Cueillir des narcisses dans le jardin et les disposer dans un vase chez maman qui ne sort pas encore à cause du froid.
Ecouter un message vocal d’une amie pour la St Valentin, disant qu’elle pense aux personnes qu’elle aime et que j’en fais partie. Trouver dans sa voix du réconfort et la force des relations par-delà le temps et l’espace. Bref l’amitié.
Offrir des fleurs à la St Valentin à maman. Trouver dans ce geste de la joie partagée, et de la beauté par-delà la fragilité et la vanité. Bref l’amour.
Savoir que certaines personnes comme le médecin de famille est fiable et emphatique. avoir l’assurance de son soutien.
Tutoyer l’infirmière qui est un vrai rayon de soleil et souvent une tornade, avec un coeur aussi fragile qu’un flocon de neige.
Savoir que le temps de mes vacances d’hiver sera propice au rétablissement de maman. Se dire que c’est finalement une chance pour toutes les deux.
Suivre les allers et retours de couples d’oiseaux dans le jardin : des rouge-gorges et des mésanges, l’un après l’autre.
Fêter le Carnaval. Retrouver le masque de la fatigue après avoir enlevé son déguisement.
Choisir la robe de cérémonie de mariage. Harmonie pastel.
Se sentir soulagée d’avoir un garde-fou.
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