#l'illustration musicale
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vinylespassion · 24 days ago
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Gillian Hills est une chanteuse et actrice franco-britannique née le 5 juin 1944 au Caire, en Égypte. Elle a grandi dans une famille d'artistes, étant la fille de Denis Hills, un auteur britannique et la petite-fille du célèbre poète et diplomate polonais, Juliusz Łukasiewicz. Repérée très jeune par Roger Vadim pour sa ressemblance avec Brigitte Bardot, elle fait ses débuts au cinéma dans Les Liaisons dangereuses en 1959.
En tant que chanteuse, elle est surtout connue pour ses contributions au mouvement yé-yé des années 1960. Son plus grand succès musical est le single Zou Bisou Bisou (1960), qui a gagné une nouvelle popularité des décennies plus tard, notamment grâce à la série Mad Men. Elle enchaîne avec plusieurs autres morceaux dans le style yé-yé, mais aussi des chansons au ton plus poétique et personnel comme Ma première cigarette. Malgré ses succès dans la chanson, sa carrière musicale a été relativement brève, s'arrêtant au milieu des années 1960.
Gillian Hills a également joué dans des films notables tels que Blow-Up (1966) de Michelangelo Antonioni et Orange mécanique (1971) de Stanley Kubrick, où elle a souvent interprété des rôles provocants qui mettaient en avant son charme juvénile. Après avoir progressivement quitté la scène publique, elle s'est orientée vers des projets plus personnels, notamment dans le domaine de l'illustration.
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processusmonomaniak · 1 year ago
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Réalisé par Hiroyuki Morita en 2002 au sein du studio Ghibli, Le Royaume des Chats a pu susciter un sentiment de légère déception à sa sortie, la comparaison avec les chefs-d’œuvre de Hayao Miyazaki étant inévitable. Revoir ce film en 2023 sur grand écran permet de réévaluer ce dessin animé atypique. Loin de la fantasmagorie foisonnante de l'illustre réalisateur, Hiroyuki Morita opte pour une poétique plutôt réaliste et sèche, qui va se concentrer sur un nombre réduit de personnages et de scènes (le film dure 1h15). Et cette économie donne finalement un charme tout à fait singulier, qui nous entraîne dans un conte initiatique pour aboutir à une reprise en main du réel et donc de sa psyché. Une jolie histoire en somme rehaussée par l'impeccable composition musicale de Yuji Nomi.
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sonmelier · 10 days ago
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Avant-cuvée 2024 : 6/8
Entre stridence et élégance, entre frénésie et poésie : toutes les esthétiques et toutes les émotions sont dignes d'exploration. Cette antépénultième avant-cuvée de l'année 2024 l'illustre à nouveau.
Chat Pile | Cool World
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🇺🇸 Etats-Unis | The Flenser | 43 minutes | 10 morceaux
Oppressante, poisseuse, angoissée, voire cauchemardesque : les qualitatifs de ce type conviennent parfaitement bien à la musique de Chat Pile, sans en rendre compte entièrement. Car il y a aussi et surtout une intensité sidérante dans cet univers nourri au punk hardcore comme au métal. Plus terrifiant encore que God’s Country, Cool World ensevelit littéralement l’auditeur sous des assauts répétés de riffs surpuissants, de distorsions viscérales, de propos dystopiques et de féroce ironie.
🎧 The New World
Mabe Fratti | Sentir que no sabes
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🇬🇹 Guatemala | Unheard of Hope | 42 minutes | 13 morceaux
L’œuvre musicale de Mabe Fratti, l’une des plus envoutantes de la décennie, continue de grandir à un rythme épatant ; pour la quatrième année consécutive, l’artiste nous délivre une représentation merveilleusement élégante de son univers étrange et poétique. Aux intersections de l’avant-garde, de l’electro, de la pop, du jazz et du classique, sa musique épouse sur Sentir Que No Sabes des formes plus évidentes que jamais – mais sans rien perdre de son aura mystérieuse ni de sa beauté expérimentale.
🎧 Oídos
Ibelisse Guardia Ferragutti & Frank Rosaly | MESTIZX
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🇧🇴 Bolivie & 🇺🇸 Etats-Unis | International Anthem | 42 minutes | 11 morceaux
Avec MESTIZX, Ibelisse Guardia Ferragutti et Frank Rosaly livrent un album aussi personnel que politique, où leurs racines boliviennes, brésiliennes et portoricaines se confrontent aux sonorités jazz, electro, rock et latines (cumbia, bomba …) dans une expérimentation audacieuse. À travers des morceaux tantôt frénétiques, tantôt méditatifs, le duo invite à un voyage sonore empreint de spiritualité et de célébration. Une œuvre pensée comme un « document d’amour » pour les ancêtres tout en restant solidement ancrée dans le présent, abordant sans détour mais avec nuance les difficiles questions de l’identité et de la décolonisation.
🎧 Invocação
Hermanos Gutiérrez | Sonido Cósmico
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🇨🇭 Suisse | Easy Eye Sound | 40 minutes | 12 morceaux
Les frères Gutiérrez partent à la conquête des grands espaces tout en contemplant le ciel étoilé. Produit par Dan Auerbach (Black Keys), leur son est profondément imprégné des paysages désertiques du Far West, mais aussi d’une mystique latino-américaine exprimée de manière épurée. Une musique profondément cinématographique, une sorte d’ « ambient americana » gorgée de chaleur émotionnelle.
🎧 Low Sun
Melt-Banana | 3+5
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🇯🇵 Japon | A-Zap Records | 24 minutes | 9 morceaux
Vingt-et-un ans après "Cell-Scape", onze années après "Fetch", le duo Yasuko Onuki / Ichiro Agata confirme sa tendance à manier en parallèle deux types de cadence radicalement opposés : il lui faut à peu près dix ans pour passer d'un grand album à un autre, mais il ne laisse à l'intérieur de chacun d'entre eux aucune espèce de temps mort. "3+5" partage avec ses deux glorieux prédécesseurs une densité et une frénésie euphorisantes, un éclectisme exubérant et une volonté farouche d'envoyer du lourd. Une petite bombe de rock brutiste et excentrique.
🎧 Scar
Xiu Xiu | 13" Frank Beltrame Italian Stiletto with Bison Horn Grips
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🇺🇸 Etats-Unis | Polyvinyl | 36 minutes | 9 morceaux
Cela fait maintenant deux décennies que ce groupe californien inclassable est en perpétuel mouvement, changeant de line-up et de style en permanence (avec, il faut le dire, des productions beaucoup plus convaincantes que d’autres). 13" Frank Beltrame Italian Stiletto With Bison Horn Grips s’affirme immédiatement comme l’un de ses tous meilleurs albums, conciliant ambition et radicalité avec accessibilité et fluidité. Jamie Stewart, âme et pilier de Xiu Xiu, peut encore une fois compter sur l’excellente Angela Seo (l’autre cerveau du groupe) et sur David Kendrick (recrue récente, ancien batteur des Sparks et de Devo) pour accompagner ses intenses pérégrinations sonores et textuelles. De la pop industrielle gorgée de glam rock et débordante d’émotion brute.
🎧 Veneficium
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sounds-right · 10 months ago
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Sam Allan Libera Unbreakable: Un Viaggio Sonoro Attraverso la Brillantezza Elettronica
Introduzione: Nel sempre evolutivo mondo della musica elettronica, gli artisti continuano a spingere i confini e a catturare il pubblico con i loro suoni innovativi. Tra questi pionieri c'è il talentuoso Sam Allan, la cui ultima uscita, "Unbreakable", sta facendo scalpore nella scena della musica elettronica. Sotto l'illustre etichetta "BlackHole", il brano di Allan promette un viaggio sonoro che va oltre i confini convenzionali.
Sam Allan: Una Stella Nascente negli Scenario Sonori Elettronici: Sam Allan sta scolpendo costantemente il suo spazio nel panorama della musica elettronica, noto per la sua fusione unica di melodie, ritmi intricati e un acuto senso di narrazione sonora. Con ogni pubblicazione, Allan ha attirato l'attenzione per la sua capacità di creare esperienze immersive che risuonano con gli ascoltatori.
"Unbreakable": Un Capolavoro Musicale: La più recente creazione di Allan, "Unbreakable", mostra la sua abilità come produttore e compositore. Il brano fonde senza soluzione di continuità ritmi pulsanti con melodie eteree, creando un paesaggio sonoro ipnotico e vigoroso. Il titolo stesso suggerisce resilienza e forza, temi che echeggiano in tutta la composizione.
Il brano inizia con una costruzione sottile, attirando gli ascoltatori con toni atmosferici che preparano il terreno per il viaggio sonoro in arrivo. Man mano che il ritmo si intensifica, "Unbreakable" si svela, mostrando strati di elementi elettronici che danzano armoniosamente. L'attenzione meticolosa di Allan ai dettagli è evidente nelle transizioni senza soluzione di continuità e nel modo in cui ogni elemento contribuisce all'energia complessiva del brano.
BlackHole Records: Una Piattaforma Perfetta: Pubblicato sotto la rinomata etichetta "BlackHole", "Unbreakable" beneficia di una piattaforma nota per il supporto alla musica elettronica all'avanguardia. BlackHole ha una storia di sostegno a talenti emergenti e fornisce un palcoscenico per gli artisti per esprimere la propria creatività. La collaborazione di Sam Allan con l'etichetta indica un impegno reciproco nel superare i confini della musica elettronica.
L'Impatto di "Unbreakable": Mentre "Unbreakable" permea le onde radio, lascia un segno indelebile negli ascoltatori. L'energia contagiosa del brano sicuramente risuonerà con gli appassionati della musica elettronica e con gli ascoltatori occasionali. La capacità di Allan di creare un'esperienza sonora dinamica ed emotiva dimostra perché è una forza da non sottovalutare nella scena della musica elettronica.
Conclusione: Con "Unbreakable", Sam Allan consolida il suo status di stella nascente nel mondo della musica elettronica. La fusione senza soluzione di continuità di ritmi e melodie, unita al sostegno di BlackHole Records, garantisce che il viaggio sonoro di Allan continuerà a catturare il pubblico in tutto il mondo. Mentre ci immergiamo nella brillantezza elettronica di "Unbreakable", anticipiamo con entusiasmo quali paesaggi musicali Sam Allan esplorerà prossimamente.
Ascoltate “Unbreakable” qui: https://open.spotify.com/intl-it/track/2CeV2vrXKaCysEYcB4GQN7?si=a2719681045b47e6 , e seguite Sam Allan su Instagram: https://www.instagram.com/samallan_dj/
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djs-party-edm-italia · 10 months ago
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Il Telaio Sonoro di Sam Allan: L'Incantevole Incantesimo di "Unbreakable" nella Techno Melodica
Nell'affascinante regno delle sinfonie elettroniche, Sam Allan si piazza al centro della scena con la sua ultima creazione, "Unbreakable". Svelato sotto l'illustre insegna di "BlackHole", questo capolavoro techno melodico trascende i confini della mera composizione, intrecciando un affascinante arazzo di melodia e ritmi techno che trascina gli ascoltatori in un viaggio sonoro coinvolgente.
Imbarcandosi in un'Odissea Sonora con "Unbreakable"
"Unbreakable" è un'odissea melodica, navigando senza soluzione di continuità le correnti ritmiche della techno mentre dipinge le onde radio con melodie avvincenti. Sam Allan, il mago sonoro, crea un'esperienza che va oltre l'uditivo, invitando il pubblico a imbarcarsi in un viaggio dinamico dove ogni nota e ogni battito contribuiscono alla narrazione incantevole.
Il battito del brano, che risuona attraverso linee di basso pulsanti e percussioni intricate, stabilisce una fondamenta ritmica che spinge l'ascoltatore in avanti. L'abile uso dei sintetizzatori da parte di Allan introduce un'atmosfera eterea, costruendo un paesaggio sonoro onirico che risuona con profondità ed emozione.
L'Alchimia Sonora di Sam Allan: Modellare un'Identità Sonora
Proveniente da [inserisci origine], Sam Allan si è affermato come un maestro dell'alchimia sonora nel regno della musica elettronica. Mentre le sue composizioni precedenti hanno attirato l'attenzione per l'innovazione, "Unbreakable" segna un capitolo trasformativo nel suo percorso artistico. L'impegno di Allan nel superare i confini sonori e nel trascedere le convenzioni di genere riflette un'esplorazione intenzionale dei paesaggi musicali.
Rinomato per la capacità di evocare emozioni attraverso le sue composizioni, la musica di Allan trascende i tradizionali limiti di genere. "Unbreakable" è una testimonianza della sua dedizione nel creare esperienze sonore che non solo si ascoltano ma si sentono, creando un regno sonoro coinvolgente ed evocativo.
Armonizzando con la Costellazione Sonora di BlackHole
La collaborazione con la stimata etichetta "BlackHole" per "Unbreakable" amplifica la risonanza sonora di Allan. "BlackHole", una forza cosmica nel regno della musica elettronica, fornisce un palcoscenico celestiale per permettere ad Allan di condividere la sua visione sonora a livello globale.
Questa collaborazione sottolinea l'influenza crescente di Allan nel cosmo della musica elettronica. Allinearsi con un'etichetta che sostiene sia artisti emergenti che consolidati enfatizza l'impegno di Allan nel superare i confini del suo percorso artistico.
Adorazione da Devoti e Accolte Critiche
Dall'esordio, "Unbreakable" ha ottenuto l'adorazione da parte di fan devoti e ha ricevuto acclamazioni critiche. Gli appassionati applaudono il brano per la sua energia contagiosa, gli intricati strati melodici e la profondità emotiva che lo distinguono nel sempre mutevole panorama della musica elettronica.
I critici elogiano Allan per la fusione senza soluzione di continuità della raffinatezza melodica con i ritmi techno, creando un'esperienza sonora che si avverte contemporanea e senza tempo. La produzione meticolosa, unita alle qualità emotive del brano, consolida la posizione di Allan come un virtuoso sonoro con una voce distintiva e affascinante.
In Conclusion: Un Racconto Sonoro Svelato
"Unbreakable" non solo consolida la posizione di Sam Allan nel cosmo della musica elettronica, ma svela anche un capitolo affascinante nella sua narrazione sonora. Pubblicato sotto la bandiera cosmica di "BlackHole", questo incantesimo techno melodico mette in mostra l'evoluzione di Allan e il suo impegno incrollabile nel superare i confini della sua arte. Mentre "Unbreakable" si riverbera attraverso il regno uditivo, il percorso di Sam Allan si erge come una testimonianza della sua dedizione all'innovazione sonora, all'esplorazione creativa e alla perpetua ricerca dell'eccellenza musicale.
Ascoltate “Unbreakable” qui: https://open.spotify.com/intl-it/track/2CeV2vrXKaCysEYcB4GQN7?si=a2719681045b47e6 , e seguite Sam Allan su Instagram: https://www.instagram.com/samallan_dj/
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beatlesonline-blog · 2 years ago
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theretirementhome · 7 years ago
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Eddie Warner - Check Point Charlie
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coco-colada · 3 years ago
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Mes 15 meilleurs albums de 2021 classés selon leurs pochettes (1 sur 2)
Quand je fais des découvertes musicales, j'ai tendance à accorder pas mal d'importance à l'art visuel associé aux albums, pour le meilleur et pour le pire. Une pochette repoussante suffit parfois à me faire bouder un album, et innombrable sont les fois où j'ai été déçu en cliquant sur un joli album. Cette liste est constituée de mon réel top 15 musical de 2021, mais j'ai cru que ces recommandations seraient plus ludiques en les abordant sous une facette que n'importe qui peut consommer et juger en quelques secondes, maintenant et ici, : leurs pochettes. 🙂
15. Lil Mariko - Lil Mariko
(hyperpop, screamo)
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Ce EP là ne se fait pas de cadeaux en s'offrant cette pochette: des photos cheap prises dans le miroir, une composition inintéressante, un bon vieux sticker parental advisory inutile. MAIS, allez l'écouter pareil, lol! Lil Mariko est drôle, charismatique, pis sa musique brasse en tabarnak.
14. Backxwash - I LIE HERE BURIED WITH MY RINGS AND MY DRESSES
(doom rap, horrorcore)
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Ok, je me sens mal de placer Backxwash aussi bas sur cette liste. L'esthétique de l'artiste montréalaise me plaît généralement beaucoup, c'est très black metal. Mais cette pochette là est juste... plate? L'album peint un esti de voyage en enfer, dans la dépression et le désespoir, pis à mon avis, la pochette mériterait plus d'envergure.
13. Willow - lately I feel EVERYTHING
(pop punk, emo, metal)
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Vous voyez peut-être un pattern: je trip pas sur les pochettes qui consiste juste en une photo de l'artiste. Come on! Vous pouvez mettre n'importe quelle création artistique sur votre cover, pis c'est ça que vous choissisez?! Au moins, Willow nous sert sa baboune en extrême gros plan, ce que je trouve quand même un peu comique lol.
12. IDLES - CRAWLER
(punk, post-punk)
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Tiède take: ce nouvel album de IDLES est quant à moi leur meilleur depuis Brutalism! Plus lent et introspectif, tout en restant bagarreur, cet opus est un beau vent de fraîcheur dans leur discographie. Toutefois... je comprends fuckall la pochette. Un astronaute articulé comme un pantin devant une maison? S'il y en a qui en comprennent le sens: gardez ça pour vous svp. Ma liste est déjà écrite.
11. Fuck Toute - Coké Computer
(hardcore punk)
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Ce cover là est pas horrible, mais il met tous ses oeufs (de mouche) dans le même panier, pis je pense pas que l'icône de la mouche, sur fond blanc, soit assez forte pour que l'album sorte du lot. Par contre, j'haïs pas ça des albums qu'on peut facilement évoquer à un.e ami.e lors de conversations musicales: ''Ben oui, tsé leur album avec la mouche là...''.
10. 2 Mello - Sounds Of Tokyo-To Future
(hip-hop, rap, electronic, rock, breakbeat, funk)
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2 Mello a sorti, en 2021, ce nouvel album phénoménal basé sur l'univers des jeux Jet Set Radio, et musicalement c'est éclectique à souhait! Hits après hits, on retrouve cette envie de faire des graffitis en rollerblades! L'illustration de la pochette est sick, mais malheureusement je trouve que le ton monochromatique rouge ne lui rend pas justice. Une palette de couleurs plus éclatée aurait mieux coller à la musique, tout en étant plus attrayante.
9. Turnstile - GLOW ON
(punk hardcore, pop rock)
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Oui je sais, je sais. Cette pochette là est très très low effort. Mais GLOW ON étant un album punk qui se veut étrangement dansant et rassembleur, je trouve que cet art rose pâle lui va parfaitement? C'est le genre d'album sur lequel je cliquerais, intrigué par cette douce barbe à papa, pour être agréablement surpris d'un coup de poing dans face.
8. PinkPantheress - to hell with it
(drum and bass, jungle, pop)
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La composition pourrait être légèrement retravaillée mais tous les éléments présent sont cools et résonnent avec la vibe de l'album, style journal intime/peine d'amour. la maison avec la lumière chaude à l'intérieur, le ciel noir avec la petite éclair timide (yeah!) et PinkPantheress qui attend un bus de la STM qui ne viendra jamais.
Cliquez ici pour la partie 2 de ma liste!
(Tumblr limite le nombre d'images par billet)
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15 juillet ▪️ LYON- FOURVIÈRE — YZERON
25,3 km ▫️ 6h20 ▫️ +783 / -361 m
Départ officiel de la Basilique de Fourvière sous les vivas de quelques pigeons distraits et au son de l'accordéon muet d'un musicien roumain en attente d'un auditoire plus conséquent, voire plus con, c'est quand ? D'où ma première interrogation, quel morceau aurait convenu à l'illustration musicale de notre départ ? Vous pouvez envoyer vos propositions par SMS (gratuit hors coût opérateur code MIRBEN) ou par email ; les meilleures réponses seront publiées sur le blog. Première centaine de mètres pour mes chaussures de marche tout juste sorties de leur emballage, d'où ma seconde interrogation : est-ce bien raisonnable de démarrer un tel périple avec des chaussures neuves ? Prenez vos stylos, vous avez 6h20. N'oubliez pas d'écrire votre nom en haut de la copie. Les corrections seront rendues à la fin de ce billet.
S'extraire pédestrement d'une grande ville n'est en général pas bien folichon (dérivé badin de fol, fou, avec le suffixe chon qui a le sens de diminutif) mais dans le cas présent ce fut plutôt paisible avec les petites rue de Fourvière, les avenues résidentielles du 5ème arrondissement et de Tassin-la-Demi-Lune (mais où vont-ils chercher des noms comme ça ?), la tranquille voie romaine de Craponne (tranquille aujourd'hui mais menacée par un projet de raccordement qui ne plaît manifestement pas aux riverains ; si vous étiez contre l'aéroport de Notre-Dame des Landes et avez participé à la pétition contre la privatisation des aéroports de Paris, ce site devrait vous intéresser : www.m2vr.fr), la paisible D24 ignorée des voitures jusqu'à Grézieu-la-Varenne puis la plus paisible encore D611 qui monte raide vers Vaugneray, nous rappelant que dans Monts du Lyonnais il y a Monts, puis les chemins de champs qui nous mènent au col des Jumeaux, entre le Crêt Chevreau et le bois du Barthélemy, nous offrant une magnifique vue sur l'agglomération lyonnaise, puis un dernier crêt à 861 m, point culminant de notre périple avant de descendre dans la forêt vers le val où se niche le petit village d'Yzeron où nous ferons notre première étape au terme d'une phrase de 227 mots.
Il est maintenant temps de rendre les copies. La bonne réponse à la question : est-ce bien raisonnable de démarrer un tel périple aves des chaussures neuves ? était... C'est assurément déraisonnable mais il y a des cas où ça se passe bien ! Et c'est tant mieux !
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jeanetjeannepatin · 2 years ago
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Mercredi 6 juillet 2022 à 19H, nous allons retrouver aujourd’hui, un deuxième chapitre de Colas Breugnon de Romain Rolland, intitulé La mort de la vieille. La lecture, comme celle du premier chapitre, est assurée par Jean-Christophe qui a choisi les musiques et qui a supervisé le montage. Le résultat est toujours une émission très différente de celles que vous écoutez habituellement car guidé par une logique et une érudition musicale très différente des nôtres. Il faut remarquer que les extraits musicaux choisis par Jean-Christophe échappe à la logique immédiate de l'illustration. Vous verrez le texte est très prenant avec un parallèle entre la mort de la grand-mère et la maladie de sa petite fille. Cette émission est diffusée en hertzien, Toulouse : 106.8 Mhz ou en streaming https://www.radioradiotoulouse.net/ et pour tout le reste du temps sur les podcasts de mixcloud.
Programmation musicale : 1) Symphonie n° 6 Pastorale (Ludwig van Beethoven) par le Chamber orchestra of Europe dirigé par Nikolaus Harnoncourt, extraits du 1er mouvement et du 4ème mouvement 2) Parfaitement parce que (Philippe Léotard) 3) La jeune fille et la mort (Franz Schubert) par le Quatuor Amadeus, extrait de l'andante 4) La cathédrale engloutie (Claude Debussy) par Jean-Efflam Bavouzet 5) Je crois (Claude Nougaro) 6) Une larme (Moussorsky) par Maria Rudina 7) Quatuor pour la fin des temps (Olivier Messiaen) par l'Ensemble Walter Boeykens, extrait de la partie VIII : Louange à l'immortalité de Jésus 8) J'aimerais tant savoir (Bernard Dimey) par Jehan + Chapitre : La mort de la vieille tiré de Colas Breugnon (Romain Rolland)
Pour ceux qui auraient piscine indienne, ou toute autre obligation, il y a une possibilité de rattrapage avec les podcasts de la PBF : https://www.mixcloud.com/RadioRadioToulouse/la-mort-de-la-vieille-la-petite-boutique-fantasque/
Allons-y gaiement et sans mollir et sus aux Béotiens !
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richardmagalditrichet · 3 years ago
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“555″ d’Hélène Gestern aux Editions Arléa
par Richard Magaldi-Trichet
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A la recherche de l'arche (musicale) perdue...Ce pourrait être un code maléfique, un presque 666 diabolique déguisé par un machiavélique inconnu...Le roman d'Hélène Gestern s'annonce dès son titre comme un énigmatique message, une fable passionnante difficile à raconter sans déflorer l'intrigue.
On entre sans ambages dans un récit choral haletant, « chaque seconde semblait en contenir dix », où peu à peu les différents personnages éparpillent les pièces d'un puzzle qui ne s'imbriquent pas toujours (au début...) entre elles, cailloux blancs disséminés dans une forêt narrative où le temps soudain suspendu nous balade d'un siècle à l'autre, un whodunnit en mode majeur, voire magistral, à la recherche de l'arche musicale perdue.
Dans l'ombre de l'illustre claveciniste compositeur Domenico Scarlatti, nous voici donc embarqués en quête d'une étonnante partition -sa 556e sonate- retrouvée par hasard (?) par un ébéniste dans la doublure d'un étui à violoncelle, et presque aussitôt mystérieusement subtilisée...
Tous les doutes sont permis...De suppositions historiques en enquêtes parallèles, Hélène Gestern nous tend les clés d'un monde extraordinaire de musiciens et musiciennes où passé et présent s'entrelacent dans une tension dramatique jamais relâchée, entre entourloupes hypocrites et coups bas malveillants.
Autant voyage dans un univers que dans une histoire, c'est un véritable palimpseste musical que Gestern nous révèle ici, juxtaposition de partitions douteuses et compositions à paternités multiples. Dans un dédoublement romanesque qui devient moins, pour reprendre une formule de Ricardou           « l'écriture d'une aventure que l'aventure d'une écriture », elle nous transporte au cœur de la création musicale et de ses incertitudes. On pourrait presque parler de narration chromatique, tellement sa phrase résonne comme une succession de notes sur une portée imaginaire.
Un peu entre le Seule la fiction ne ment pas de Mauriac et le All is true de Balzac, Gestern nous promène et ne nous lâche pas, dans un récit où s'embrouillent allègrement faits historiques et assertions illusoires. Les seules pauses que l'on se permet lors de cette lecture impatiente sont de purs moments de (re)découverte, sur Youtube, des magnifiques pièces mélodieuses du maître Scarlatti.
Habituée des Editions Arléa depuis son premier roman Eux sur la photo, lauréat de plusieurs prix littéraires en 2011, Hélène Gestern nous offre aujourd'hui ce basculement merveilleux du réel dans l'irréalité, un point d'orgue extraordinaire, en pied de nez bravache aux « outrages de l'oubli ». Tel est pris qui (ne) croyait (pas) prendre...
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« 555 » d'Hélène Gestern aux Editions Arléa
www.arlea.fr
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nokogiribiki · 6 years ago
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NOKO 150 - Dilettantentanz
cosmic disco wave, Int. Bauer
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NOKO 150 - Dilettantentanz
for those who need the beat - go for it! hop on, hop off tour from schwarzwald to leipzig. International Bauer as personal attendant offers heavy boxes full of vinyl for the special party stomp. watch out for his deep cuts on local gigs in saxony (and better prepare a fruit basket for a long night too)! / | / 31 May 2018 – International Bauer {dj} > Dr. Seltsam leipzig 12 Jun 2018 – Deerhunter (4AD) > UT Connewitz leipzig 16 Jun 2018 – International Bauer {dj} > Kulthum leipzig
「 SC 」
150 intro. no artist - Zuchtvogelgezwitscher (die kulisse / 99 verschiedene geräusche für den film- und fotofreund) {Karussell, 1969?}  ‎ 001. Roberto Musci - improbably music {Music From Memory, 2016} 004. Savant - heart of stillness {orig. Palace Of Lights, 1983; Rvng Intl., 2015} 010. Geoffrey Landers - overhead glass {Music From Memory, 2017} 012. Zombie Zombie - loubia hamra (générique) {Versatile, 2014} 017. Lichtblick - mondmädchen {Bellaphon ‎, 1982} 020. Eva Geist - begüm {Fleeting Wax, 2017} 026. Dollkraut - have i told you {Dischi Autunno, 2017} 031. Arşivplak - chengel (edit) {Arsivplak , 2016} 033. M��ma Bubo - sen {orig. Bubosound, 1985; Endless Illusion, 2017} 037. Cherrystones - bouncerc-nt with a shit tash (edit of: Sprung Aus den Wolken - a-i akcam la) {Bahnsteig 23, 2018} 041. Jonny 5 - electronix {Pleasure Wave, 2017} 045. Schaltkreis Wassermann - sex is out, ich bin geklont {orig. Space-Records, 1981; Private, 2016} 048. George Kamm  - la spensa {Macadam Mambo, 2015} 050. Fred Ventura  - slow reaction {Mannequin, 2018} 054. Bionda E Lupo - zug der vögel {Charlois, 2017} 060. Hysteric - fate {Bahnsteig 23, 2018} 063. Adrian Munsey - c´est sheep (part II) {Virgin, 1979} 067. Basa Basa - african soul power {orig. Take Your Choice, 1979; Vintage Voudou, 2018} 070. Vincent - don´t wait {orig. 1987; Music From Memory, 2017} 072. Antoine Kogut & Nicolas Motte - jungle dweller {Antinote, 2017} 075. Ulli Bäer - i brauch di {OK Musica / Telefunken, 1981} 078. C´est La Vie - neonreklame {Impuls, 1982} 082. Absent Music - akahito {EE Tapes, 2012; Stroom 〰, 2017} 085. Roger Roger - sound industrial n°15 {L'Illustration Musicale, 1977} 087. Tom Tom Club - on, on, on, on {Sire / Island, 1981} 090. Angel - driving (down) {Teddy Bear, 1982} 093. Frische Farbe - oh, oh... boys {orig. Gold, 1982, Fresh Music, 2012} 096. Neuzeitliche Bodenbeläge - ich verliebe mich nie {Themes For Great Cities, 2018} 100. Esplendor Geométrico - moscú está helado {orig. Ata Tak, 1981; Geometrik, 2012} 102. Kosmonautentraum - stolze menschen {orig. Zickzack Platten, 1982; Monitorpop Entertainment, 2005} 104. Mau Mau - auf der jagd {Polydor, 1982} 107. Europa - rotes blut {WSDP, 2018} 110. Der Moderne Mann - dreizehn {No Fun, 1980} 113. Silvia - sex im aquarium {orig. Schallmauer, 1982; Dark Entries, 2017} 117. Pablo´s Eye - blind and quiet {orig. Extreme, 1995; Stroom 〰, 2018}
2018-05-20 . radio blau 2018-06-01 /-15 /-29 . radio lotte 2018-06-16 /-26 . radio corax 2018-06-24 & 2018-07-22 . fsk hamburg 2019-09-22 . fsk hamburg «rerun 2019-11-12 /-16 . radio corax «rerun 2021-01-29 . pi radio 2021-12-15 /-22 . radio lotte «rerun
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jazzfunkdid · 7 years ago
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Eddie Warner ‎– Eccentric Trick
L'Illustration Musicale ‎– IM 8 – Released in 1972. Eddie Warner ‎– Progressive Percussions Vol. 2.
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une rencontre virtuelle avec monastère.
il y a ces groupes que tu découvres au fin fond d’une playlist, par hasard. et puis finalement, ces groupes en question deviennent soit tes fav bands, soit ta découverte que TOUT le monde devrait écouter. c’est ce qu’il m’est arrivé avec monastère il y a quelques semaines. du coup, sur un coup de tête, je leur ai envoyé un mail pour expliquer un peu le projet et leur proposer une petite interview écrite via la magie des internets. 
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d’abord, petite intro pour les présenter : composé de louis blouin et jesse proteau (aka zagata), ce duo québécois s’est formé début... 2020, an bien chaotique. auparavant, les deux membres ont participé à différentes émissions locales : occupation double (saison afrique du sud) en 2019 pour louis et the voice québec (aka la voix) en 2018 pour jesse. 
et pour le reste, je laisse louis parler du band, entre lives aux temps du corona et futurs projets (d’ailleurs y’a quelques scoops dans cette interview).
Quelle est la genèse de Monastère ? Comment vous vous êtes rencontrés ?
Drôlement, Jesse et moi nous sommes rencontrés puisqu'il est le voisin de mon père. Mon père a déménagé dans une copropriété et m'a parlé de son voisin qui était un gars très talentueux. Jesse a son studio dans sa copropriété, et on a débuté à discuter musique. Nous avons appris à nous connaître avant de réellement débuter à travailler ensemble. Dès que nous sommes entrés dans le studio, ce fut un coup de foudre (musical bien sûr ahah). La première journée, on a produit une chanson, et on a commencé à discuter d'un potentiel projet ensemble. Par la suite, on s'est enfermé dans le studio pendant un mois complet pour fonder le son de Monastère. C'est ainsi que le nom est venu: on avait appelé notre isolement musical de 1 mois comme notre ''Monastère de musique''. On a pensé à tellement de nom, et un jour on s'est simplement dit: Hey, pourquoi pas Monastère? Et puis bam, nous voilà !
Comment se déroule la conception d'un titre selon Monastère ?
Jesse, c'est un compositeur, interprète et producteur hors-pair. Cependant pour ce projet, il s'assure vraiment de la production et réalisation du projet. Tout ce qui est de l'identité vocal, c'est plus mon travail. On s'installe dans le studio, et la plupart du temps on part avec de rien du tout. On choisi le BPM (battement par minute) que l'on recherche pour la chanson, et on embarque sur le synthétiseur pour essayer des mélodies, par la suite je le dirige sur le genre de son que je vois pour la chanson, et je fredonne jusqu'à ce que l'on trouve une mélodie pour les paroles, et par la suite j'embarque sur les paroles de la chanson pendant que Jesse construit le beat. On a pas réellement de recette miracle, mais une chose est sur, on ne manque jamais d'inspiration. On se relance tout le temps et on reste toujours vraiment positif dans le studio. 
Quelles sont vos influences ?
Définitivement les années 80. On est des gros fans de Indochine, Depeche Mode, Joy Division, New Order, et aussi des bands synth-pop anglais tel que Human League, The Fixx, etc. On trouve que les sonorités des années 80 sont peu utilisés dans les chansons d'aujourd'hui mais que pourtant, c'est tellement actuel. La première journée que l'on a quitté le studio d'enregistrement, la chanson ‘Blinding Lights’ de The Weeknd est apparu dans mon Spotify. De là, on s'est dit qu'on était à la bonne place au bon moment. Ne jamais sous-estimer les synthétiseurs des années 80's ça fait bouger la tête automatiquement ! 
Malgré les confinements, vous avez pu donner quelques concerts au Québec l'été dernier. Pour vous, comment s'est passé ce genre de shows malgré le public masqué et distancié ?
On a pu faire deux spectacles entre les deux vagues. Il est clair que ce n'est pas la même réalité qu'avant la COVID, et on a vraiment hâte de performer devant un public qui ne doit pas se tenir ''à distance'' ou de faire des spectacles virtuels. Soyons honnêtes, il n'y a rien qui peut remplacer un concert entouré de gens qu'on aiment !
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Votre premier single 'Rhum et eau' est votre 'hymne' pour les étudiant.e.s qui n'ont pas pu fêter leur diplôme dans les conditions actuelles. Vous avez pu quand même célébrer cette sortie avec un challenge sur Tiktok par exemple. Avez-vous refaire des petits happenings pour vos prochains singles ? 
On aimerait bien oui! On a inventé une petite danse pour notre prochain single, on souhaite que les gens embarquent et puissent danser sur notre chanson, on a bien hâte de la faire découvrir. La sortie est pour Janvier 2021. Petit scoop: elle s'intitule ''l'été l'hiver'' :) 
J'ai adoré votre dernier single en date, qui est 'MDR' : pouvez-vous me dire quelques mots concernant ce titre et le clip qui l'illustre ?
Le clip est un court métrage qui dévoile peu à peu la vie amoureuse complexe d’une femme qui essaie trop fort de trouver l’amour. Relation après relation, rien ne fonctionne parce qu’elle n’est pas prête émotionnellement. Elle se sent comme si on lui arrachait sa chance à chaque fois, comme si la vie jouait contre elle. Notre rôle dans le clip est de s’assurer que ses relations ne fonctionnent pas à chaque fois. C’est comme si dans un monde parallèle on pouvait payer pour obtenir un service de ‘’brisage de coeur’’. 
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C'est quoi vos titres fétiches du moment ? Votre dernière découverte musicale ? 
Présentement, on écoute en boucle l'album Man on the Moon III de Kid Cudi, et j'écoute beaucoup de pop féminine tel que Dua Lipa, Charli XCX... elles ont beaucoup à nous apprendre. D'ailleurs, une de mes chansons de l'heure est ''Fever'' - Dua Lipa X Angele, c'est du bonbon pour les oreilles.
Pour conclure : vos projets en 2021 ?
Notre E.P franco qui risque de sortir en février, ainsi qu'un E.P Anglo pour l'automne 2021. On embarque en studio pour la production d'un album dès Mars, on a hâte de retourner à ce que l'on aime le plus faire au monde: de la bonne musique!
un grand merci à louis pour avoir pris le temps de répondre à mes questions !
pour les retrouver sur les internets : facebook / insta / tiktok  
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jbgravereaux · 7 years ago
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Léo Ferré - “Je n'ai pas oublié, voisine de la ville” (Charles Baudelaire - Léo Ferré)                                                                                                                        Léo Ferré - “La servante au grand coeur” (Charles Baudelaire - Léo Ferré)                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                        Cécile Alduy , Bonnefoy lecteur de Baudelaire                                                                                                                                                                        BONNEFOY, Yves, Baudelaire : La Tentation de l'oubli, Paris, Bibliothèque nationale de France, 2000.                                                                                                                                                                                                            Derrière la modestie de ses dimensions et de son ton, la plaquette que publie aujourd'hui Yves Bonnefoy poursuit l'analyse toujours recommencée de la parole poétique, et expose à partir d'un exemple certes illustre, mais surtout concret, les enjeux axiologiques auxquels est confrontée cette dernière. Dans ce petit volume sont retranscrites deux conférences prononcées à la Bibliothèque nationale de France en l'an 2000. Récrites par l'auteur, elles ont été polies avec cette pureté de style qui lui est propre, et leur inachèvement avoué en fait un travail préparatoire destiné à poser les fondements d'une étude de la poésie moderne.                                                                                                                                                                                                                        Deux poèmes des Fleurs du Mal servent de point de départ à ce projet : "Je n'ai pas oublié, voisine de la ville…" et "La servante au grand coeur, dont vous étiez jalouse…".                                                                                                                                                                                                                                                Si leurs tonalités respectives s'opposent, de la lumière resplendissante d'une cérémonie luxueuse à la mélancolie froide d'une existence effacée, ces deux poèmes successifs partagent, outre leur forme non strophique et l'absence de titre, le motif (sujet ?, thème ? contenu ? se demande Bonnefoy) du souvenir et de l'oubli.                                                                                                                                                                                                                                                Et c'est bien un diptyque, et un mouvement dialectique, que forme cette suite presque continue d'alexandrins, disposée sur deux pages pour un face-à-face révélateur.                                                                                                                                                                                                                                              Tous deux font allusion à des scènes concrètes de l'enfance de Baudelaire.                                                                                                                                  Bonnefoy part alors dans la direction d'une anamnèse paradoxale, où c'est le critique qui va chercher dans la mémoire et dans la correspondance de Baudelaire les événements qui serviraient de trame biographique à ces évocations.                                                                                                                                                                                                                                              Ils remontent à une période ancienne, particulière, où, à la mort de son père, Baudelaire enfant se retire seul avec sa mère dans une grande maison de Neuilly, à l'été 1827.                                                                                                                                                                                                                           Ces quelques mois de grand bonheur et de grande intimité semblent fondateurs pour l'éveil à la sensualité du petit Charles, bercé dans les fourrures et les parfums de sa mère, mais ils se voient également entachés de l'ombre de la trahison future de la mère, Caroline, prête à succomber à la chair et à épouser Jacques Aupick.                                                                                                                                                                                                            L'accusation envers cette femme oublieuse et de son deuil et de son fils se change toutefois dans le deuxième poème en une faute commune, qui frappe un "nous", et débouche sur l'évocation d'un risque pour le poète lui-même dans son activité d'écriture.                                                                                                                                                                                                                    Ce risque, que Bonnefoy repère au delà du sens explicite du texte comme une confirmation de sa propre théorie de la poésie moderne, pèse sur l'expérience de vérité que la poésie devrait viser, et consiste en l'oubli de la mort et de la finitude de notre humaine condition.                                                                                                                                                                                                      Ainsi s'achève une première conférence qui a surtout rassemblé les données biographiques et l'interprétation psychanalytique dont Bonnefoy a besoin pour parvenir à son véritable propos, qui va, on le devine, au delà de l'anecdote et de la psychocritique.                                                                                                                                                                                                                              Les réticences premières envers cette démarche biographique, qui semble s'éloigner du texte et n'en retenir que des atmosphères et le détail de quelques mots, aussitôt intégrés dans une interprétation univoque, s'effacent si l'on se laisse séduire par la saveur d'une langue, d'une pureté rare, et d'une pensée qui se veulent d'emblée fondatrices (on dirait parfois militantes) et poétiques.                                                                                                                                L'analyse critique est ici au service d'une philosophie et d'une éthique de la poésie, qui se propose de la fonder en raison et en vérité.                                                                                                                                                                Yves Bonnefoy ne sonde pas la psyché de Baudelaire pour livrer une lecture psychologisante du processus de création, ni n'asservit le texte au profit d'une plongée (aléatoire) dans l'inconscient du poète.                                                                                                                                                                                    Sa démarche n'est donc pas une méthodologie, encore moins une réduction de la création littéraire à des conflits oedipiens irrésolus.                                                                                                                                                                            Elle est d'emblée théorie, au sens fort, voire doctrine, mais aussi pédagogie de cette doctrine, illustrant dans le retour à la vie concrète de l'auteur enfin renvoyé à sa modeste condition d'homme, l'exigence faite à la poésie de se souvenir des êtres dans leur finitude.                                                                                                                                                                                                  Outre la cohérence conceptuelle et la vraisemblable des analyses, dont on sent bien qu'elles s'étayent sur une connaissance intime de l'oeuvre aussi bien que de la vie de Baudelaire, l'auteur emporte l'adhésion lorsque ces premières étapes débouchent sur le vrai propos de ces conférences.                                                                                                                                                                   Il s'agit d'expliciter une nouvelle fois sa théorie de la modernité poétique, modernité vécue, justement, tout autant que pensée.                                                                                                                                                                            À travers Baudelaire, c'est la question de la place de l'art dans la vie, ou plutôt de la vie dans l'art qui est posée — et l'on comprend alors que l'oubli du père défunt soit une faute poétique, et non morale, ainsi qu'une faute philosophique, car elle est l'oubli de la mort et de notre condition humaine aussi bien.                                                                                                                                                " Que faut-il entendre par la ‘tentation de l'oubli’ ? Le désir que l'écrivain peut éprouver de se laisser porter par sa ‘belle langue’, créatrice d'un monde à sa convenance, sans se rendre compte qu'il perd ainsi le contact avec les choses et les êtres comme ils sont dans une relation inter-humaine que naissance et mort, et le hasard des évènements, déterminent. Et poésie est de se souvenir de cette perte, de lutter contre cet oubli, afin de rendre à ces réalités du monde quotidien leur présence, leur capacité d'enseigner la sorte de vérité qui est propre à l'existence effectivement vécue. “                                                                                                                                                                                          La faute implicite de la mère et de l'enfant dans cette félicité des jours d'été à Neuilly que décrit le premier poème, cette faute n'est donnée à entendre que dans le second texte : c'est l'oubli de Mariette, "la servante au grand coeur", et du père défunt.                                                                                                                                                                                                                                      Dans ce deuxième poème se dit cette fois non plus une sensualité érotique qui vise à se sublimer dans l'expression poétique, mais un réel amour de l'être, dans sa contingence et son quotidien, une "compassion" qui semble devenir aussi la clé d'une vraie poésie, éloignée des mirages de l'éros pétrarquiste ou platonique.                                                                                                                                                                                                                                              La fascination pour la mère, dans sa logique de l'interdit et du dépassement obligé, correspondrait à un "affinement du désir, un passage de celui-ci du corps aimé et vécu à une âme qui en serait la quintessence et délivrerait la chair".                                                                                                                                                                                                                                                      À l'inverse, l'affection envers Mariette passe par des gestes ténus et concrets, ou des objets qui nous renvoient à notre fragilité et notre humanité.                                                                                                                                                    Les deux poèmes confrontent ainsi deux principes amoureux, éros et compassion, et reflètent la tension psychique qui déchire Baudelaire, tenaillé par une double aspiration à l'être et à l'Idéal, qui a rapport avec la poésie comme telle, car "le poétique est effectivement impliqué dans l'existence, et pas seulement comme un texte qui la reflèterait à son plan, c'est-à-dire par le dehors".                                                                                                                                                                                                                                                  Chez Baudelaire, le corps est plaisir, mais associé encore à une pensée de la transcendance, car le désir va au Bien, le Beau étant son épiphanie.                                                                                                                                              Bonnefoy repère à travers d'autres textes un système des signes où se vérifie idéalement l'adéquation du corps à l'esprit dans l'identité rêvée entre le Beau et le Bien.                                                                                                                                                                                                                                                  Mais soudain se rompt cette harmonie avec la révélation de la faute de la mère envers lui-même, envers son père, et de la prise de conscience de sa propre faute envers Mariette.                                                                                                                                                                                                                          L'effondrement de ce système exige en réaction de reconstruire une unité, loin du désir, mais toujours à travers les données de la perception, premières voies ouvertes à la création poétique, et dès lors passage obligé pour le poète.                                                                                                                                            Ce sera dans une ascèse de la chair et un éveil à la sensation pure qu'il parviendra à redécouvrir un arrière-plan de transcendance au-delà du risque de fourvoiement dans l'idéal amoureux.                                                                                                                                                                                                    S'ouvriront alors des profondeurs infinies dans la jouissance sensuelle des "correspondances" et l'ébranlement du Beau et de sa transcription musicale.                                                                                                                                    Mais la recherche de la "belle image" est vouée à l'échec, car celle-ci a tôt fait de se déchirer, comme le poème "À une passante" l'illustre. Et la langue elle-même fait peser une "matière de son sur la musique de l'idéal" qui la ramène une nouvelle fois à son caractère concret et contingent.                                                                                                                                                                        Dans ce retour obligé de la matérialité dans la langue se reconnaît le dépassement nécessaire de la volonté esthétisante vers une poésie de la compassion, qui prend pour compagne la soeur, et non plus l'amante ni la mère.                                                                                                                                                                                                                                                        Tel est le "raisonnement" probable de Baudelaire que Bonnefoy retrace, et qui est d'abord celui du poète Bonnefoy.                                                                                                                                                                                                      Cette fiction, ou projection, permet à ce dernier d'incarner sa pensée, et donc d'être pleinement en accord avec soi-même en s'attachant à l'être concret, biographique, mortel de Baudelaire en proie à un questionnement surgi de l'expérience, et non à une figure idéale du Poète.                                                                                                                                                                                  Ce détour par les contingences, mêmes imaginées, tente de remédier au risque de construire un système de pensée abstrait, une esthétique définie, mais hors de la vie, alors que la vérité qu'il s'agit d'exprimer, est justement née d'une confrontation avec le réel et un voeu de retour du réel dans la poésie.                                                                                                                                              "L'Art qui se dégage de soi se reconnaît en dette devant l'existence ordinaire, et la sorte d'amour qu'on y rencontre".                                                                                                                                                                                                  La démarche étonnante de Bonnefoy s'explique et se justifie par cette reconnaissance d'une faute de l'art contre la vie, et le risque d'oublier de la mort, c'est-à-dire la finitude qui entache mais aussi leste notre quotidien et en fait la valeur de vérité.                                                                                                                                              Cécile Alduy  Ecole Normale Supérieure @ Université de Reims                                                                                                                            
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Découvrez le jury de l'émission "Danse avec les stars" saison 8 !
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Il y a quelques semaines, les fans apprenaient avec tristesse le départ de Laurent Ournac, à la présentation de Danse avec les stars . Heureusement, ils vont pouvoir se consoler avec une bonne nouvelle ! A la rentrée prochaine, sur les parquets des studios de la Plaine Saint-Denis, les téléspectateurs retrouveront un jury quelque peu modifié. Aux côtés de Fauve Hautot, Chris Marques et Jean-Marc Généreux, un nouveau juré fera bientôt son entrée sur TF1 : Nicolas Archambault.Un impressionnant CVCe chorégraphe de talent n'est pas tout à fait étranger au programme. En effet, TF1 rapporte qu'il a déjà réalisé une chorégraphie avec Fauve Hautot en compagnie de la "DALS family" à Clermont-Ferrand. La rouquine est aussi sa partenaire de danse dans la comédie musicale disco "Saturday Night Fever". En France, il a décroché en 2017 le rôle de Tony Manero (joué par John Travolta à l'écran).Un rôle emblématique au cinémaÂgé de 32 ans, Nicolas Archambault a aussi "participé à des clips de Grégory Lemarchal, Zaho ou encore Janet Jackson" au cours de sa carrière. Côté cinéma, après avoir décroché le premier rôle dans un film de danse "Sur Le Rythme", il a joué à l'écran l'illustre chorégraphe Rudolf Noureev dans le biopic "Nureyev".>> A voir aussi : Matthieu Delormeau pas le bienvenu DALS F.A... Retrouvez cet article sur Public
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