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Les vertus de l'harmonie
La vertu est une musique et la vie du sage une harmonie.
Etre en bonne harmonie avec soi-même c'est travailler à une meilleure harmonie dans le monde.
Si tu rencontres deux êtres qui vivent en harmonie, sois sûr que l'un d'eux est bon. Entre deux individus, l'harmonie n'est jamais donnée, elle doit indéfiniment se conquérir.
La vérité, la paix et l'harmonie, seuls principes qui peuvent conduire à la vertu ; et sans la vertu, plus d'amour entre les hommes.
Ce que nous appelons bonheur consiste dans l'harmonie et la sérénité, dans la conscience d'un but, dans une orientation positive, convaincue et décidée de l'esprit, bref dans la paix de l'âme.
La simplicité est la clé de la beauté intérieure, de la clarté, de l'harmonie et de la paix intérieure.
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#❛ Les battements résonnent lents et profonds#La poupée de réanimation sursaute dans son monde de coton#Les echos faiblissent#l’espoir s’évanouit#Mais ses souffles d’or rétablissent l'harmonie ❜#Execution: ChatGPT#Prompting: CPR Annie
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Johann Christian Bach LA DOLCE FIAMMA Forgotten Castrato Arias
Philippe Jaroussky Jérémie Rhorer Le Cercle De L'Harmonie
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"Au milieu de la confusion, trouvez la simplicité. Hors de la discorde, trouvez l'harmonie. Au milieu des difficultés..... se trouve l'opportunité.
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Robert Kime, la maison-monde
"Les trésors d'au-delà des mers afflueront vers toi"
Robert Kime exerçait le métier d'antiquaire. Son travail consistait à parcourir le monde à la recherche d'objets de mobilier artisanal rare pour revenir les installer dans l'écrin de la rigueur londonienne qui lui était familier. Monsieur Kime avait trouvé la sprezzatura du logement en le rendant chaleureux sans qu'il ait l'air professionnellement décoré. Son style est le plus abouti de la catégorie "foyer colonial", un genre qui évoque les vies romanesques antérieures au tourisme, où le doux foyer du voyageur ancien s'enrichissait de trouvailles durement acquises au fur et à mesure des retours de pays lointains. Chaque salle exprime ici en miniature quelque chose d'impérial, chaque élément décoratif est la strate d'une sédimentation patiente, chaque objet concourt à former un vaste cabinet de curiosités. Lorsqu'un coin de salon abrite plusieurs continents et plusieurs époques, le terme de musée vient à l'esprit. Plutôt que d'être statufié, le passé est ici habité. Installé dans une demeure il peuple l'arrière-plan de la vie quotidienne d'une famille, il accompagne un foyer tourné vers l'avenir, il est témoin du passage des jeunes de l'enfance à l'âge adulte, des allées et venues, des éclats de rire, des grands départs et des réconfortants retours. Les intérieurs Robert Kime ont une âme.
Le style d'habitat fixé par Robert Kime était courant chez la bourgeoisie du 20ème siècle. La peau de panthère au milieu des boiseries victoriennes, nous voyons cela dans Tintin, Blake & Mortimer, c'est une image d'Épinal. Ralph Lauren Home a puisé tardivement mais abondamment à cette source. Les appartements meublés dans ce goût éclectique étaient courants chez les diplomates, médecins coloniaux, antiquaires, marchands au long cours, collectionneurs, officiers de marine, anciens expatriés et autres catégories sociales baroques qui faisaient le charme des beaux-quartiers. La maison selon Kime est une maison coloniale placée en Europe pour qu'elle raconte le monde entier. Accomplissement des promesses messianiques, elle est la salle du trône où les richesses du monde ont afflué : tapis iraniens, carapaces de tortue des Maldives, vases chinois, instruments de musique indonésiens, estampes japonaises, table de changeur byzantin, bas-reliefs moghols, fragment d'ostrakon athénien. Jalonnées de mobilier occidental plus sobre, ces raretés rassemblées en un même lieu offrent un panorama de provenances et d'époques. Kime est l'assembleur d'une beauté composite comme les parties juxtaposées d'un vitrail, il est le découvreur de l'harmonie entre des tons, des volumes, des grammages que tout séparait.
Transportés en navire de fort tonnage à travers les tempêtes, débarqués par les dockers, les exigences du plaisir esthétique supposent une rude logistique. À Mayfair, Chelsea, Marylebone, à Jasmin, Trocadéro, Saint-Germain-des-Prés, l'honnête homme faisait de son foyer un résumé du monde où chaque mètre carré chantait la légende coloniale. "Saïgon", "Macassar" ou "Singapour", sont des mots teintés d'une telle force évocatrice que, prononcés pour qualifier la provenances des objets dans un appartement donnant sur un boulevard venteux, ils suffisaient à rappeler la position heureuse où la Providence avait placé votre petite nation capable d'en administrer d'autres situées à cinq semaines de bateau.
La maison de famille est elle aussi devenue universelle. Le monde est venu à elle, tandis que son génie local, occidental, s'est étendu au monde. La maisonnée en a rapporté les nectars les plus purs, chacun d'entre eux exprimant l'intégralité des sucs d'une cité étrangère, d'une histoire, d'un peuple. Toute cosmopolite qu'elle soit, la maison Robert Kime est une maison européenne d'abord, universelle ensuite.
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Ne pas se fier aux apparences. Des richesses autrement précieuses que de menus chiffons gisent en ces demeures. Chaque motif de chaque étoffe provient de traditions anciennes, de savoirs-faire délaissés, de palais sauvés des orages d'acier du 20ème siècle. Le damas, le Jouy, l'arabesque, le point d'Alençon, ont chacun leur signification profonde. Le paisley par exemple ne figure-t-il pas la larme du Boudha dans une tradition antérieure de 800 ans à notre ère, et transmise par des générations d'artisans indo-aryens ? La maison Robert Kime c'est la petite Europe maintenue au sommet de sa forme, si haut qu'elle peut voir l'intégralité du monde, et le donner à voir.
Monsieur Kime a eu des goûts sûrs et des dégoûts encore plus sûrs, il était connu pour exprimer en public des opinions tranchées (il n'était donc pas un gentleman). En un temps de désastreux designers Monsieur Kime persistait disait-il, à "faire des intérieurs pour qu'ils soient habités, non pour qu'ils soient regardés". La dualité radicale de l'ergonomie et du design est ancienne or il existe une ergonomie de l'habitat qui la réconcilie c'est cet ameublement smart, terme jailli des fontaines de l'intuition qui se traduit chez nous par "intelligent", mais encore par "joli", "élégant", et "fonctionnel". L'accord gracieux du fond et de la forme, du principe et de l'exécution, tient en un mot.
À l'origine de cette passion pour la beauté on trouve dans l'enfance de cet homme un modèle familial menac��, puis l'équilibre trouvé à l'adolescence dans la stabilité du foyer de son beau-père, un lieu embelli de fournitures curieuses rapportées de l'Inde à l'époque de sa grandeur. "J'essaie de créer une atmosphère dont j'ai été privé enfant. Tout est là, c'est une histoire d'atmosphère". Il fut un jeune homme précoce mais inadapté, connut Oxford, les années 1960, la charnière entre une Europe productrice, religieuse, éduquée, et le monde moderne passif, consommateur, avide de loisirs.
Au terme de l'université, Sotheby's lui offre un emploi mais Kime se retrouve à la tête de sa propre boutique par la rencontre fortuite d'une héritière qui cherchait un antiquaire pour l'aider à vendre sa collection de famille. En 1970, il épouse Helen Nicoll, auteur de livres pour enfants, et le couple s'installe dans une ancienne école gothique. La propriété est si vaste que Robert Kime y ouvre un commerce d'antiquités spécialisé dans les objets antérieurs à 1700. "Chaque salle doit commencer par un tapis" sera sa devise, ainsi commenceront les premiers voyages en Egypte et en Turquie pour y trouver des textiles anciens.
En pleine dégringolade libérale-libertaire 1970, alors que la transmission s'effondrait, quelques rares passionnés remontaient la source. Ce parcours eut pour Kime deux étapes. Sa première période antiquaire lui enseigna les étoffes, objets et motifs issus des colonies qui venaient de fermer. Dans sa seconde période, la plus hardie et la plus belle, il devint en 1988 fabricant de ces objets, aussi la production d'ornements tombés en désuétude trouva par cette initiative une résurrection.
Les créateurs compétents sont en général formés d'une base de culture classique à laquelle ils ajoutent peu à peu des apports exogènes. Peu nombreux, ils sont des hommes ordonnés, configurés à un ordre supérieur, à un Surmoi qui leur enseigne le bon usage en toutes choses, et s'ils extravaguent parfois ils ne transgressent jamais. Chez les hommes de goût la seule faute grave est la faute de goût.
Le grand désarroi des gens riches: comment dépenser l'argent. How to spend it est d'ailleurs le titre d'un mensuel catalogue à snobismes hors de prix. L'éducation du goût permet des économies, et une conduite de vie où s'enrichir et dépenser concernent l'esprit aussi. Les hommes seront davantage portés à l'héllenisme s'ils ont côtoyé enfant chez leur parent un buste d'Athéna.
L'offre d'ameublement pour la bourgeoisie a versé depuis la fin des année 1980 dans l'asepsie de loft Patrick Bateman, dans la cuisine et salle d'eau de style "bloc opératoire", dans l'armoire en métal, dans le noir et blanc. L'épure était chez les mondains une aubaine pour fuir dans l'abstrait, une transposition concrète d'un rapport au monde imposé. Le lissage des textures, la granulométrie faible, visaient à présenter un visage objectif, glissant, neutre. Les européens avaient soudain honte de tout charme qui leur soit spécifique et c'étaient les débuts de l'art-robot, anti-local, anti-artiste. Certains historiens avaient compris que 1945 serait une épuration non pas ponctuelle mais le prélude à une épuration continuelle. Épurer les lignes du mobilier était une manière d'offrir des surfaces où un coup ne peut que ricocher. Passion nouvelle, il fallait ne laisser nulle prise à la critique, n'être jamais soupçonné pour ses goûts de quelque intention condamnable. Qu'est-ce que nos intérieurs sinon les lapsus de nos intentions profondes? Un chez-soi, c'est soi-même rendu lisible par les autres. Une époque de toute-puissance du second degré dans les invitations à dîner commençait, langage de l'équivoque et du compromis, grammaire de toutes les servitudes. Ne pas nommer, ne pas assumer, ne pas penser. Patrick Bateman est l'archétype du mondain lisse, au point qu'il est contraint de chercher une soupape dans la violence, au point d'épurer L'Épuration elle-même pour pouvoir la supporter.
Robert Kime s'est consacré au parti-pris, au subjectif, au palpable qui se donne tel qu'en soi-même, il a pris le risque du ridicule et a triomphé par la beauté. Ne dit-on pas d'un travail très réussi qu'il est "désarmant"? Ainsi de ces arrangements mobiliers qui tombent sous le sens au point qu'ils renvoient même le second degré dans son repaire, complètement battu. En une époque de showroom publicitaire Robert Kime a osé la ligne courbe, le matériau noble, la texture granuleuse présente au toucher. En une époque de grisaille et de conformisme Robert Kime reste la solution idéale pour colorer son intérieur en lui conservant un goût parfait.
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#Robert Kime#home decor#antiques#Fabric#Craft#Paisley#London#Style#Paris#Éclectique#home interior#interior design#interior decorating#Chelsea
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༄ PL : dancing in the dark
les routes s'entremêlent, les vies se croisent près du parquet. les notes commencent et les corps s'approchent, se frôlent, s'apprivoisent pendant quelques minutes, dans l'harmonie de la mélodie. symbiose lyrique, sans que des mots soient soufflés. ils se recroisent, plusieurs fois, dans la salle de danse, dans les clubs, et toujours ils se retrouvent dans la danse. sans vraiment se parler. mais l'alchimie se construit dès que les corps s'unissent dans une autre réalité. l'étincelle les traverse, sans qu'ils n'aient cherché beaucoup plus. pour le moment.
fc : amerigo valenti, ahmad kontar , zane phillips , marco belloti , paolo busti , jonas kautenburger , copper koch , luis capecchi et tant d'autres.
je fais ma propre pub pour mon pl sur mon forum A DROP IN THE OCEAN. n'hésitez pas à me contacter si vous êtes intéressés !
credit avatars ; @aeroplvne
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𝐎𝟑 ⎯⎯⎯⎯⎯ 𝐓𝐇𝐄 𝐆𝐑𝐀𝐘 𝐌𝐀𝐍 (28 AUG. 2021)
ㅤㅤ┍⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯ · · · ·
ㅤㅤㅤㅤPERSONNALISATION : ★★★★★
ㅤㅤㅤㅤDIFFICULTÉ : ★★★☆���
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𝒕𝒆𝒎𝒑𝒍𝒂𝒕𝒆 "all in grey", 𝐓𝐇𝐄 𝐆𝐑𝐀𝐘 𝐌𝐀𝐍 est un gdoc assez large qui regroupe à la fois un système de relations, un système de chronologie et un système de répertoire des évènements (quoique relativement peu visible). attention toutefois avec le nombre de caractères utilisés dans la 𝗉͟𝖺͟𝗋͟𝗍͟𝗂͟𝖾͟ 𝗅͟𝗂͟𝖻͟𝗋͟𝖾͟ 𝖺̀ 𝖼͟𝗈͟𝗆͟𝗉͟𝗅͟𝖾́𝗍͟𝖾͟𝗋. l'harmonie du 𝒕𝒆𝒎𝒑𝒍𝒂𝒕𝒆 peut alors être complètement défiguré.
ㅤㅤ 𝑨𝑩𝑶𝑼𝑻 𝑻𝑯𝑬 𝑼𝑺𝑬 ;
ㅤㅤ┍⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯ · · · ·
ㅤㅤㅤㅤGO TO FILE
ㅤㅤㅤㅤAND THEN, SELECT "MAKE A COPY"
ㅤㅤㅤㅤDON'T REMOVE THE CREDITS.
ㅤㅤ · · · · ⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯┛
ㅤㅤ 𝗟𝗜𝗞𝗘 & 𝗥𝗘𝗕𝗟𝗢𝗚𝗦 are appreciated.
#google docs#template#gdocs#rp template#oc sheet#rp resources#gdoc template#discord template#character sheet#discord roleplay#google docs template#oc template#character resources#google doc template#character doc#gdocs template
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“ Je possède, en mes doigts subtils, le sens du monde,
Car le toucher pénètre ainsi que fait la voix,
L'harmonie et le songe et la douleur profonde
Frémissent longuement sur le bout de mes doigts. ‘
Renée Vivien , Chair des choses
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Dans l'harmonie d'un salon, une platine vinyle unit un couple dans la danse, 1981.
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Do you ship it?
reason: "tel un cas d'herpès génital, l'harmonie ne [les] quittera plus" (the sillies. i love them.)
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« L'harmonie cachée est meilleure que l'évidente. »
Héraclite
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Qu'il est bon, qu'il est doux et tendre de se laisser bercer dans les bras de l'être aimé. En cet instant, tout devient paisible et si heureux dans l'harmonie de nos cœurs amoureux...
#au-jardin-de-mon-coeur ✒️
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17 PROVERBES ASIATIQUES QUE VOUS DEVEZ CONNAÎTRE !
1. Chinois : « Le meilleur moment pour planter un arbre c'était il y a 20 ans. Le deuxième meilleur moment est maintenant. " Soulignant l'importance d'agir sans délai.
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2. Japonais : « Tomber sept fois, se lever huit. " Encourager la persévérance à travers l'adversité.
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3. Indien : « L'arbre ne se soucie pas des fleurs qui tombent. " Enseigner le détachement et lâcher prise.
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4. Coréen : « Même les singes tombent des arbres. Reconnaissant que tout le monde fait des erreurs.
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5. Vietnamiens : « Les frères et sœurs sont aussi proches que les mains et les pieds. " Soulignant le lien de la famille.
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6. Thaï : « Si vous ramassez un bout d'un bâton, vous ramassez aussi l'autre. Les actions ont des conséquences.
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7. Persan : « Une pierre jetée au bon moment vaut mieux que de l'or donné au mauvais moment. L'importance du timing.
8. Philippin : « Celui qui ne regarde pas d'où il vient n'arrivera jamais à destination. Valorisant la gratitude et l'humilité.
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9. Chinois : « Pour connaître la route à venir, demandez à ceux qui reviennent. Apprendre des expériences des autres.
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10. Japonais : « Une seule flèche est facilement cassée, mais pas dix dans un paquet. La force dans l'unité.
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11. Indien : « L'apprentissage est un trésor qui suivra son propriétaire partout. Valoriser l'éducation et les connaissances.
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12. Coréen : « Les rayures d'un tigre sont à l'extérieur, mais celles d'un homme sont à l'intérieur. Le caractère définit une personne.
13. Vietnamien : « Quand vous mangez des fruits, souvenez-vous de celui qui a planté l'arbre. Gratitude pour les efforts passés.
14. Thaï : « Ne laissez pas votre ombre vous accompagner. Ne laissez pas la peur ou le passé vous contrôler.
15. Mongolien : « Le premier verre est pour l'invité, le deuxième pour le plaisir, le troisième pour le chaos. La modération est la clé.
16. Tibétain : « Cent qualités masculines et cent femmes font un être humain parfait. L'équilibre et l'harmonie créent la perfection.
17. Chinois : « Un voyage de mille miles commence par un seul pas. Commencer est la clé de la réussite.
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Considéré comme la couleur de l'espérance et de la vie, il évoque la jeunesse, la créativité, l'éveil vital et l'harmonie. Il a des fonctions apaisante, tonifiante et aussi rafraîchissante. Il est également porteur de chance. Cette couleur de l'espérance invite au repos et au calme.
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Pour le ao3 wrapped: 27 et/ou 29 ! :D
27. What do you listen to while writing?
ça dépend de ce que j'écris ! Si c'est du Star Wars, j'ai une playlist qui comprend une sélection des remix de la musique Star Wars par Samuel Kim ou la BO de la série Obi-Wan Kenobi. Sinon, je me partage entre Lofi Girl et le site My Noise, en fonction de de ce dont j'ai besoin comme ambiance/bruit de fond
29. Favorite line/passage you wrote this year?
Cette question est merveilleuse, parce que j'ai pu me rendre compte combien j'ai adoré ce que j'ai écrit cette année :D :D :D Mon égo est aux anges, merci pour lui. Je crois que je pourrais faire un Director's Commentary de tous mes fics.
Je vais faire une sélection douloureuse, mais j'en mets quand même plusieurs !!
D'abord Genshin !
Dans la partie 3 de De l'harmonie (De l'eurythmie), la scène où Kaveh et Alhaitham posent les fondations de leur nid, et ce petit bout tellement visuel dans ma tête : "
"Mais même Alhaitham eut un temps d’arr��t lorsque Kaveh se débarrassa de ses pantoufles et monta sur le tapis, faisant un petit tour satisfait sur lui-même, caressant la fibre des orteils. Il leva alors les yeux vers lui, brillants, et lui tendit la main.
— Viens voir comme il est doux !
Sans attendre de réponse, il lui saisit le poignet et le tira. Leurs glandes exocrines se touchèrent et leur arracha à tous les deux un gémissement vite étouffé. Mais Kaveh ne le lâcha pas et Alhaitham ne chercha pas à se dégager. La poitrine bloquée, il retira ses pantoufles à son tour et monta sur le tapis. La matière l’intéressait moins que la satisfaction de Kaveh, que ses doigts serrant les siens et son odeur qu’il mélangeait sans hésitation à la sienne."
(Et les blagues pourries de Cyno.)
*
Dans Et à la nuit s'épanouit, ce passage :
"— Qu’est-ce qui te fait croire que j’ai envie de partir ?
Il indiqua, comme si c’était une évidence, l’un des tableaux qu’il avait accrochés, le canapé qu’il avait fait retapisser, la bibliothèque où se trouvait sa table à dessin, et enfin la cuisine où bien trop de choses avaient été changées depuis son emménagement pour que ça vaille la peine de préciser quoi. Vue de l’extérieur, la crainte d’Alhaitham semblait effectivement ridicule. Mais encore une fois…
— Peut-être le fait que tu fasses ton budget pour savoir quand tu pourras déménager, répondit-il, irrité.
— Peut-être que j’attendais que tu me dises que je pouvais rester ! rétorqua Kaveh sur le même ton.
Alhaitham indiqua, comme si c’était une évidence, l’un des tableaux qu’il avait laissé Kaveh accrocher, le canapé qu’il l’avait laissé retapisser, la bibliothèque où il avait fait de la place pour sa table à dessin et, enfin, la cuisine où Kaveh avait changé bien trop de choses pour que ça vaille la peine de préciser quoi."
(Et toute la scène entre Alhaitham et Nahida !!! Je l'aime fort !)
*
Côté Star Wars :
Dans la série des De l'espoir, la scène où Luke touche le Côté Obscur dans Les braises :
"Mal à l’aise, Luke reprit la méditation. Ce fut plus difficile qu’il s’y attendait. L’immersion qui lui venait si naturellement d’habitude lui échappait, le monde paraissait assourdi. Sous ses pieds, le sable glissait, traître, un adversaire plutôt qu’un compagnon. Le troisième jour, l’irritation de Luke fut à son paroxysme. Les yeux fermés très fort, imaginant le désert autour de lui, il chercha à nouveau la sérénité, mais les dunes l’étouffaient, cachaient la vie, s’étendaient trop loin et l’empêchaient de toucher l’horizon, le privaient de la lumière des soleils levants.
Il serra les dents, il ne voulait, pouvait, pas retourner auprès de Ben sur un tel échec, alors que ses pieds trébuchaient, alors que le désert se dérobait à lui… Il ferma les paupières encore plus fort et se dit que ce serait bien plus facile si les dunes dans sa tête cessaient de l’étouffer… Dans un élan de colère, il s’imagina les faire disparaître. Une tempête de sable changeait leur forme, pourquoi ne pourrait-il pas faire de même ? Les aplatir, les disperser, s’en débarrasser ! Elles ne lui servaient à rien !
Ses dunes imaginaires s’effondrèrent. Le sable s’éparpilla d’un coup. Le silence se fit dans sa tête. Mais c’était un silence inquiétant, celui d’un lieu mort, où plus une créature ne vivait, toutes chassées de chez elles par une violence inimaginable, ou pire : tuées.
Luke eut froid.
Puis honte."
*
La toute fin de À l'aube de notre premier jour :
"Main dans la main, ils traversèrent le long couloir blanc du palais royal.
Anakin n’arrivait toujours pas à mettre Obi-Wan dans une case, ni de confiance, ni pas, ni parfois oui, ni parfois non. Indéfinissable.
Mais il était sans équivoque dans le camp d’Anakin, songea ce dernier avec une inébranlable certitude.
Et il le serait toujours."
*
Dans Et tout au bout, ta main tendue, les deux scènes où on voit Anakin lutter contre le Côté Obscur, et à choisir, celle-ci :
"C’est trop tard, tu ne peux plus te cacher, tu t’es toi-même démasqué. Dis-moi quand, enfin, dans ta tête, je n’ai plus été un padawan pour de vrai, dis-moi, dis-moi, dis-moi…
Et la réponse vint : sur un fond de chagrin dévastateur, celui d’Obi-Wan, l’image d’Anakin aux yeux dorés, le visage dur et l’aura glaciale. D’un coup, il se retourne et découpe Sidious, une fois, deux fois, et il tombe à genoux, haletant. Son cri de rage, de douleur, et la voix rauque avec laquelle il hurle en boucle :
— Il n’y a pas d’ignorance ! Il y a la connaissance ! Il n’y a pas de passion ! Il y a la sérénité ! Il n’y a pas de chaos ! Il y a l’harmonie ! Il n’y a pas de mort ! Il y a la Force ! Il n’y a pas d’ignorance, il y a la connaissance, il n’y a pas de passion, il y a la sérénité ilnyapasdechaos…
Encore et encore, jusqu’à ce que sa gorge douloureuse le force à murmurer, jusqu’à ce que le mantra l’ancre à nouveau dans la réalité de la Force, que la chaleur du Côté Clair brûle le Côté Obscur qui empoisonnait sa signature, qui embrouillait ses pensées, qui nourrissait le noyau de fureur permanente au fond de lui.
Enfin, il lève les yeux, bleus, immenses, magnifiques. Et sous ceux d’Obi-Wan ne se trouve plus son padawan succombant au Côté Obscur, mais un homme extraordinaire."
*
Dans Les Voies, il y en a tellement que j'aime que c'est une torture, mais disons, pour les Voies divergentes, la première scène de la fic en elle-même, encore une fois Anakin vs le Côté Obscur :
"Le combat s’écoula dans un brouillard givrant, il n’existait que le choc du bleu sur le rouge, que les grognements de son ennemi qui reculait, que la puissance froide de la Force dans ses veines, dans chaque cellule. Les Sith contrôlaient la Force ? Les Jedi la servaient ? Qu’avait-il besoin des Sith et des Jedi ? Il était la Force, il était son enfant, sa forme de chair, il était sa main et sa volonté !
Il abattit le traître. Le transperça de sa lame, l’ouvrit en deux. Puis il saisit cette vie pervertie avant qu’elle s’éteigne et s’offrit le plaisir de la détruire lui-même.
Il ne resterait rien de Sheev Palpatine, de Dark Sidious, pas même l’écho de sa conscience dans la Force.
— …Walker ! Skywalker !
Anakin se retourna et frappa, et sa lame en rencontra une autre, violette, inflexible. Mace Windu. Windu qui aurait dû être là, Obi-Wan aurait survécu s’il avait été là, mais non, il avait sûrement fallu encore discuter et palabrer, pour qu’il arrive aussi tard ! Qu’avait-il besoin des Sith et des Jedi ? Le mieux était peut-être de reprendre à zéro. Tous les éliminer et recommencer. Windu ne le laisserait pas faire, et le combat serait difficile, plus dur que contre le traître. Mais au bout du compte, ce n’était qu’un Jedi. Les Jedi étaient au service de la Force, à SON service, et Windu plierait."
Pour les Voies convergentes, honnêtement 90% du chapitre 1, mais extrayons ce passage :
"— Je vais méditer un peu avant de manger. Est-ce que tu veux m’accompagner… ?
Parfois Anakin était d’humeur, parfois non, et parfois il se joignait à lui en cours de route. Il hocha la tête, alors ils s’installèrent face à face sur le tapis de méditation. Anakin tendit les bras, paumes offertes, et Obi-Wan y pressa les siennes avant de fermer les yeux. Ils n’avaient pas toujours besoin de se toucher, mais ça aidait Anakin et lui n’allait certainement pas le lui refuser, même si ça lui rajoutait une touche de difficulté.
Le contact de leurs callosités, un peu décalées à cause de la différence de taille et de forme de leurs mains, la dureté de la prothèse d’Anakin sous la douceur du gant de nanosoie, la chaleur constante qu’il dégageait, le bruit de son souffle tout proche, tant d’éléments perturbateurs dont se détacher.
Mais Obi-Wan, donc, avait de l’entraînement."
(Et aussi Anakin et le Vaapad, tellement) (et ce bout-là dans le chapitre 8 :
"Avec ce manque de dignité typique qu’Anakin invoquait chez lui, Obi-Wan lui mordit l’épaule. Étant donné les mains empoignant ses fesses, ce geste ne put que dérailler la conversation et les pousser à s’unir de façon bien plus prosaïque et profane que dans la Force.
Mais tout aussi transcendante.")
*
Dans Le Cercle littéraire des défenseurs de la galaxie : Tous les résumés de Cœurs de Kyber XD XD et :
"— Alors oui, continua Obi-Wan, sans merci. J’ai regretté de t’avoir pris comme padawan, et de nombreuses fois.
Inexplicablement, après cette déclaration d’une violence insoutenable, il esquissa un petit sourire. Puis il tourna un peu la tête, regarda Anakin du coin de l’œil.
— Aussi souvent, j’imagine, que tu as regretté que je ne sois pas Qui-Gon Jinn.
Il ne retenait vraiment pas ses coups.
— Mais quelle importance ? continua-t-il, les mains dans ses manches, le regard perdu à l’horizon. Quelle importance, ce que nous pensions et ce que nous regrettions il y a toutes ces années, comparé à tout ce que nous avons vécu ensemble, à tout ce que nous avons partagé ? Quelle importance ce que nous étions à l’époque, comparé à ce que nous sommes aujourd’hui ? Aujourd’hui, je ne regrette rien. Je suis simplement heureux de te connaître, heureux que tu me sois cher et de t’être cher. Et reconnaissant à Maître Qui-Gon de m’avoir donné la chance de te rencontrer."
(Mais aussi la scène avec Rex. La scène avec Rex <3)
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Dans De la Cosmographie :
"Obi-Wan en profita pour le détailler, un plaisir qu’il s’accordait rarement. En partie pour ne pas nourrir l’ego déjà bien établi de son compagnon, en partie parce qu’il s’en était empêché si longtemps. Les boucles châtain aux reflets dorés qui ornaient son front, les sourcils épais qui lui donnaient si facilement l’air ombrageux. Ses yeux clairs, invisibles à cet angle, mais qu’il imaginait si bien. Son profil parfait, avec ce nez par miracle encore droit, le trait marqué de sa mâchoire où Obi-Wan aimait tant passer la bouche le matin, quand sa peau était délicieusement râpeuse. Ses lèvres pleines, encadrées de sillons triangulaires qui se creusaient quand il souriait, et qui révélaient déjà quel serait le dessin de son visage vingt ans plus tard.
Obi-Wan espérait le voir, de tout son cœur.
Il serait magnifique, son Anakin, avec des rides au coin des yeux."
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Dans Sous vos yeux, la scène où Obi-Wan dit à Anakin qu'il a failli quitter l'Ordre pour lui me fait bêtement rire :
"— La première fois, évidemment, à ton arrivée au temple…
— Évidemment ?
Il se redressa à son tour face à lui, semblant surpris.
— Je croyais que tu le savais. Si le Conseil avait refusé de faire de toi un Jedi, je t’aurais enseigné à te servir de la Force en dehors de l’Ordre. Maître Qui-Gon avait raison en disant qu’il fallait que tu sois formé.
À nouveau, Anakin dut complètement réarranger sa vision des choses.
— Tu ne m’aimais même pas, à l’époque, lâcha-t-il sans le vouloir. Et, ajouta-t-il, ne me sors pas que les Jedi aiment tout le monde, je connais la théorie . La réalité, c’est que si tu pouvais faire tomber discrètement le sénateur de Geminia de sa nacelle, tu le ferais.
— Il serait bien moins compliqué de le faire destituer, rétorqua Obi-Wan d’un ton terriblement raisonnable, mais un sourire frémissant au coin des lèvres. Néanmoins, les Géminians ont voté pour lui et il est de notre devoir de respecter la volonté du peuple, quelle que soient nos réserves.
Anakin avait une tout autre opinion, mais il avait appris à choisir ses batailles.
— Quoi qu’il en soit, tu étais un être vivant, digne de mon dévouement comme le serait tout autre.
— Mais tu m’aurais fait tomber de la tour du Temple si tu avais pu ?
— Tu avais neuf ans, rappela Obi-Wan sévèrement.
— OK, OK, murmura Anakin en mettant la main sur sa nuque avant de l’embrasser pour détourner son attention du fait qu’il ait jamais été un enfant.
Il remarquait quand même qu’Obi-Wan n’avait pas nié qu’il l’aurait bien balancé par la fenêtre, s’il n’avait pas eu seulement neuf ans."
Voilà, pardon, je me suis emballée xD
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