#l'Oeil d'Argent
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Après le carton de Mad Max, elle est choisie pour le générique du James Bond éponyme, avec Pierce Brosnan dans le rôle-titre. Dans sa robe d'argent fendue sur ses jambes au galbe nerveux, la chanteuse maintenant quinquagénaire apporte toute sa puissance vocale à la partition de Bono et The Edge, du groupe U2, dans la pure tradition du thème de 007.
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Goldeneye (Oeil En Or)
See reflections on the water
Vois les reflets sur l'eau
More than darkness in the depths
Plus que de la noirceur en ses profondeurs
See him surface in every shadow
Regarde-le faire surface en chaque ombre
On the wind I feel his breath
Dans le vent je sens son souffle
Goldeneye I found his weakness
Oeil en or, j'ai trouvé ses faiblesses
Goldeneye he'll do what I please
Oeil en or remplira tous mes désirs
Goldeneye no time for sweetness
Oeil en or n'a pas le temps de s'attendir
But a bitter kiss will bring him to his knees
Mais d'un baiser amer tu peux le faire mettre à genoux
You'll never know how I watched you
Tu ne sauras jamais comme je t'ai regardé
From the shadows as a child
Depuis les ombres de ma jeunesse
You'll never know how it feels to be the one
Tu ne connaîtras jamais la sensation
Who's left behind
D'être laissé derrière
You'll never know the days, the nights
Tu ne sauras jamais les jours, les nuits
The tears, the tears I've cried
Les larmes, les larmes que j'ai versées
But now my time has come
Mais voilà que mon heure est venue
And time, time is not on your side
Et le temps, le temps n'est pas de ton côté
See him move through smoke and mirrors
Regarde-le bouger à travers la fumée et les miroirs
Feel his presence in the crowd
Ressens sa présence dans la foule
Other girls they gather around him
Les autres filles se rassemblent autour de lui
If I had him I wouldn't let him out
Si je l'avais je ne le laisserais pas sortir
Goldeneye not lace or leather
Oeil en or, ni de lacets ni de cuir
Golden chains take him to the spot
Des chaînes dorées l'emmènent sous les feux
Goldeneye I'll show him forever
Oeil en or, je le montrerai pour toujours
It'll take forever to see
Ça prendra l'éternité pour voir
What I've got
Ce que j'ai
You'll never know how I watched you
Tu ne sauras jamais comme je t'ai regardé
From the shadows as a child
Depuis les ombres de ma jeunesse
You'll never know how it feels to be so close
Tu ne connaîtras jamais la sensation d'être si près
And be denied
Et pourtant ignorée
It's a gold and honey trap
C'est un piège garni de miel et d'or
I've got for you tonight
Que j'ai pour toi ce soir
Revenge it's a kiss, this time I won't miss
Ma revanche sera un baiser, que je ne manquerai pas cette fois
Now I've got you in my sight
Maintenant je t'ai à l'oeil
With a Goldeneye, golden, goldeneye
Avec un oeil en or, en or, oeil en or
With a goldeneye, goldeneye
Avec un oeil en or, oeil en or
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infinitesofnought · 2 years ago
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Comme je descendais des Fleuves impassibles, Je ne me sentis plus guidé par les haleurs : Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs. J'étais insoucieux de tous les équipages, Porteur de blés flamands ou de cotons anglais. Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages Les Fleuves m'ont laissé descendre où je voulais. Dans les clapotements furieux des marées Moi l'autre hiver plus sourd que les cerveaux d'enfants, Je courus ! Et les Péninsules démarrées N'ont pas subi tohu-bohus plus triomphants. La tempête a béni mes éveils maritimes. Plus léger qu'un bouchon j'ai dansé sur les flots Qu'on appelle rouleurs éternels de victimes, Dix nuits, sans regretter l'oeil niais des falots ! Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sures, L'eau verte pénétra ma coque de sapin Et des taches de vins bleus et des vomissures Me lava, dispersant gouvernail et grappin Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème De la Mer, infusé d'astres, et lactescent, Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blême Et ravie, un noyé pensif parfois descend ; Où, teignant tout à coup les bleuités, délires Et rythmes lents sous les rutilements du jour, Plus fortes que l'alcool, plus vastes que nos lyres, Fermentent les rousseurs amères de l'amour ! Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes Et les ressacs et les courants : Je sais le soir, L'aube exaltée ainsi qu'un peuple de colombes, Et j'ai vu quelque fois ce que l'homme a cru voir ! J'ai vu le soleil bas, taché d'horreurs mystiques, Illuminant de longs figements violets, Pareils à des acteurs de drames très-antiques Les flots roulant au loin leurs frissons de volets ! J'ai rêvé la nuit verte aux neiges éblouies, Baiser montant aux yeux des mers avec lenteurs, La circulation des sèves inouïes, Et l'éveil jaune et bleu des phosphores chanteurs ! J'ai suivi, des mois pleins, pareille aux vacheries Hystériques, la houle à l'assaut des récifs, Sans songer que les pieds lumineux des Maries Pussent forcer le mufle aux Océans poussifs ! J'ai heurté, savez-vous, d'incroyables Florides Mêlant aux fleurs des yeux de panthères à peaux D'hommes ! Des arcs-en-ciel tendus comme des brides Sous l'horizon des mers, à de glauques troupeaux ! J'ai vu fermenter les marais énormes, nasses Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan ! Des écroulement d'eau au milieu des bonaces, Et les lointains vers les gouffres cataractant ! Glaciers, soleils d'argent, flots nacreux, cieux de braises ! Échouages hideux au fond des golfes bruns Où les serpents géants dévorés de punaises Choient, des arbres tordus, avec de noirs parfums ! J'aurais voulu montrer aux enfants ces dorades Du flot bleu, ces poissons d'or, ces poissons chantants. - Des écumes de fleurs ont bercé mes dérades Et d'ineffables vents m'ont ailé par instants. Parfois, martyr lassé des pôles et des zones, La mer dont le sanglot faisait mon roulis doux Montait vers moi ses fleurs d'ombre aux ventouses jaunes Et je restais, ainsi qu'une femme à genoux... Presque île, balottant sur mes bords les querelles Et les fientes d'oiseaux clabaudeurs aux yeux blonds Et je voguais, lorsqu'à travers mes liens frêles Des noyés descendaient dormir, à reculons ! Or moi, bateau perdu sous les cheveux des anses, Jeté par l'ouragan dans l'éther sans oiseau, Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses N'auraient pas repêché la carcasse ivre d'eau ; Libre, fumant, monté de brumes violettes, Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur Qui porte, confiture exquise aux bons poètes, Des lichens de soleil et des morves d'azur, Qui courais, taché de lunules électriques, Planche folle, escorté des hippocampes noirs, Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques Les cieux ultramarins aux ardents entonnoirs ; Moi qui tremblais, sentant geindre à cinquante lieues Le rut des Béhémots et les Maelstroms épais, Fileur éternel des immobilités bleues, Je regrette l'Europe aux anciens parapets !
J'ai vu des archipels sidéraux ! et des îles Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur : - Est-ce en ces nuits sans fond que tu dors et t'exiles, Million d'oiseaux d'or, ô future Vigueur ? -
Mais, vrai, j'ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes. Toute lune est atroce et tout soleil amer : L'âcre amour m'a gonflé de torpeurs enivrantes. Ô que ma quille éclate ! Ô que j'aille à la mer !
Si je désire une eau d'Europe, c'est la flache Noire et froide où vers le crépuscule embaumé Un enfant accroupi plein de tristesses, lâche Un bateau frêle comme un papillon de mai.
Je ne puis plus, baigné de vos langueurs, ô lames, Enlever leur sillage aux porteurs de cotons, Ni traverser l'orgueil des drapeaux et des flammes, Ni nager sous les yeux horribles des pontons.
– Arthur Rimbaud, "Le Bateau ivre"
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countesspetofi · 4 months ago
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Mais surtout, quand la brise Me touche en voltigeant, La nuit j'aime être assise, Être assise en songeant, L'oeil sur la mer profonde, Tandis que, pâle et blonde, La lune ouvre dans l'onde Son éventail d'argent.
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swedesinstockholm · 9 months ago
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29 janvier
au moins deux moments de joie à reporter aujourd'hui: 1. cet après-midi en m'entrainant à jouer where is my mind au piano, à chaque fois qu'un truc me semblait impossible à jouer j'éclatais de rire, le même rire que quand je mords dans un mochi. j'adore quand le piano me fait rire et j'adore quand j'arrive à chanter en même temps que je joue et j'adore me voir progresser à l'oeil nu. 2. ce soir à la chorale en écoutant le piano, en écoutant les autres chanter, en écoutant ma nouvelle voisine qui chantait bien et fort et qui me guidait avec sa voix assurée, et puis en chantant moi-même aussi, essayant de suivre tant bien que mal. à la fin j'avais accumulé tellement de joie que a. l'a fait remarquer, donc c'était vrai.
31 janvier
encore une très bonne journée de musique aujourd'hui (hier non, la locataire était en télétravail) j'ai joué du piano toute la journée et j'ai enfin cracké uncrazy de blanche blanche blanche, enfin que la main droite et c'est pas moi qui l'ai cracké je l'ai trouvé sur chordify, mais y a pas la main gauche alors je fais ma propre version sans notes de basse. j'ai enfin appris à me servir de la pédale aussi mais j'y arrive pas très bien. lundi soir à la chorale j'avais les yeux fixés sur les pieds du chef de choeur au piano pour essayer de comprendre. après j'ai changé le canapé de place (nouvelle vie qui commence) et j'ai écouté de la musique douce que r. m'a envoyé ce matin en regardant les nuages avancer allongée sur le dos avec les jambes en l'air. après j'ai écouté tous les albums d'austin parce que je pensais à lui en m'imaginant que je partais à chicago avec r. et qu'on enregistrait un album tous les trois lui moi et austin.
1er février
ok je suis allée boire un verre avec g. de la kulturfabrik ce soir et je suis rentrée à la maison mi-déprimée parce que je suis quasiment sûre qu'ils ont choisi quelqu'un d'autre pour la résidence, mi-r��jouie parce que j'ai réussi à glisser le groupe dans lequel joue r. que j'aime bien dans la conversation en lui disant qu'ils cherchaient des endroits où jouer en europe cette année et il les a ajoutés sur ig et comme tout ce qui est en lien avec r. me rend heureuse, ça a réussi à me sauver de l'accablement total. j'ai besoin de faire une pause de déception là, j'ai besoin d'un peu de répit. je veux plus prendre aucun risque. plus rien tenter. me résoudre à ma vie d'ermite vieille fille qui laissera comme unique oeuvre son journal de névrosée rédigé seule dans son coin, sans l'aide de personne. fuck ma perf aussi. je voulais envoyer un dossier aux midis de la poésie pour la bourse d'écriture poétique performée, mais évidemment il faut être résidente en belgique, ce que je ne suis toujours pas, malgré mon feed facebook inondé d'annonces du groupe bxl à louer - de bouche à oreille (ll). j'en ai parlé à g. et il m'a dit de surtout pas hésiter à lui envoyer des extraits de mon work in progress si j'avais besoin de retours. ce qui est très cool et très sympa de sa part. mais moi je voulais la résidence. n'importe laquelle. j'ai besoin d'argent et j'ai besoin d'aide. et d'un accès à une scène pour tester mes idées.
cet après-midi j'ai accompagné f. et s. en ville et quand elles m'ont demandé si je faisais un truc après je leur ai parlé de lui, sans préciser que c'était à moitié un rdv pro, et elles m'ont toutes les deux demandé si c'était un date et j'ai dit NON. j'étais tellement contente de savoir à quoi m'en tenir cette fois que j'ai rajouté et je suis CONTENTE de savoir que c'est pas un date. s. a compris que je voulais surtout pas de date et je me suis demandé, est-ce que je voudrais un date? je crois que je suis encore trop occupée par r. pour pouvoir donner mon attention à quelqu'un d'autre. littéralement, il m'occupe. je suis occupée par lui. c'est l'occupation. même avec g. ce soir j'avais juste envie de parler de musique et de r. j'avais envie qu'il veuille être mon ami. j'ai besoin que des gens veuillent être mon ami.e. des gens intéressants obvs. j'ai bien aimé discuter avec lui, il parle beaucoup, ce qui me va bien, mais il monopolise pas la parole comme f.
juste avant de le rejoindre au café florence j'étais au café konrad avec f. et s. et au bout de cinq minutes, juste après avoir commandé évidemment, f. est sortie avec son thé parce qu'elle trouvait qu'y avait trop de bruit à l'intérieur, me laissant seule avec s. et mon coca à quatre euros commandé pour rien. quand s. a fini par lever les yeux de son téléphone elle m'a demandé si je travaillais en ce moment et je lui ai parlé de bruxelles et de ma peur de me lancer et de pas trouver de job et du cercle vicieux qui se mord la queue pas de job pas de revenu pas d'appart etc. elle m'a dit de demander à mes parents de se porter garants mais j'ai dit que maman n'accepterait probablement pas et je sais pas pourquoi ça m'a apportée une espèce de satisfaction pathétique de dire ça. regarde ma vie de merde, obligée de vivre avec ma mère parce que je suis malade et que je sais rien faire et que personne me paie mon loyer à moi. au moment de payer avec la carte de f. elle m'a dit qu'elle avait pas d'argent, la vie d'artiste tu sais, et j'ai dit au moins t'as assez d'argent pour payer ton loyer, mais elle m'a dit que c'était pas elle qui payait son loyer. pensant que c'était ses parents je commençais déjà à jubiler parce que ça rajoutait une couche de crédibilité de pauvre fille à mon histoire, mais elle m'a dit que c'était la ville qui lui payait son loyer et qu'elle touchait des aides sociales parce qu'elle avait été malade pendant trop longtemps. f. est rentrée à ce moment-là pour dire qu'elle avait envie de partir et j'ai pas osé revenir dessus pour avoir plus de détails, parce que ça m'intéresse hautement cette histoire. pourquoi personne me paie mon loyer à moi alors que je suis malade depuis que j'ai dix ans?
ça m'a fait penser à r. qui disait qu'il touchait des aides sociales parce qu'il allait voir un psychiatre et que donc sa maladie était officielle, même si je sais toujours pas ce que c'est. j'ai très envie de lui poser la question. for research. mais j'oserai jamais. l'autre jour il m'a dit qu'il se mettait jamais en colère et qu'il se fâchait jamais avec personne. qu'il se voyait toujours comme un enfant qui attend que ça passe. comme s'il m'avait pas déjà donné assez de raisons de l'aimer de tout mon coeur.
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tinynemodekaren · 1 year ago
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Autoconstruire en récup’
C'est un choix particulier, et je voulais vous en parler.
Mais avant tout, en résumé, voici mes choix entre neuf et récup pour l'Astrolabe :
- remorque : neuve
- ossature bois : neuf
- bardage : neuf déclassé
- menuiseries : en récup
- quincaillerie : moitié récup, moitié neuf (essentiel de la visserie en neuf mais beaucoup de choses qui vont de la colle à certains mastics sont en récup sur le bon coin ou ressourcerie)
- outillage : majoritairement en récup (ma scie à onglet a été achetée sur le bon coin, idem pour visseuse dévisseuse)
- Parement intérieur : récup sauf lambris
- Aménagement : équipements cuisine en récup (évier, plaques de cuisson etc), bureau en récup, plan télescopique en récup etc
- Extracteur et vmc double flux : neuf
- Electricité : neuf ou récup en neuf sous blister
- Toiture : neuf
- Isolant : neuf sauf l’isolant pour la toiture trouvée en ressourcerie
- Filtration des eaux : « ozoneur » en récup, mais filtres en neuf, réserve d’eau en récup
Et maintenant, quelques précisions :
Déjà, sachez que je n'aurais pas pu construire intégralement comme certain.e.s de mes collègues autoconstructeur.ice.s. Je n'avais pas l'argent, tout simplement. Donc pas d'argent pas de matière première.
A l'heure actuelle, mon budget semble être de 32000 euros, c'est à dire 9000 euros de plus que prévu. Cela tient à plusieurs choses :
j'ai rajouté l'autonomie dessus - et c'est environ 5000 euros
Et il y a l'inflation, liée notamment à la guerre en Ukraine, mais aussi des augmentations sur les matières premières en l'espace de 3 ans.
Je voulais initialement travailler à plein sur ma mini-maison, mais j'ai donc dû aussi gagner ma vie à la fois pour vivre au quotidien et pouvoir acheter la matière première etc.
J'ai aussi acheté plus d'outils que je ne pensais aussi.
Alors maintenant, parlons de récup avec plus de précision.
ça me parait peu plausible sans être connaisseur.euse et déjà constructeur.ice de construire intégralement une tiny house en récup. Cela demanderait un temps très conséquent pour chiner les matières premières (l'ossature bois etc)
Alors quelqu'un.e qui construirait en 10 ans dans un endroit abrité, pourquoi pas.
Pour ma part, j'ai fait le plus possible en récup, mais je n'ai pas voulu être empêchée d'être à l'oeuvre parce que je n'avais pas la matière première pendant 3 mois.
Cela signifie se projeter tout le temps pendant le temps de la construction. Avoir l'oeil permanent pour les éléments dont je peux avoir besoin parfois 6 mois plus tard. ça tombe bien, j'ai un cerveau capable de ça. Mais pour certaines personnes, c'est une charge mentale désagréable.
Pour moi, la récup, ça prend du temps, ça coûte moins cher et c’est très agréable car les choix se font en fonction de ce que je trouve. Ce qui signifie que j'ai dû adapter mes plans en fonction de ces trouvailles, que je n'ai pas pu contrôler un certain nombres de choses esthétiques complètement.
ça tombe bien, je préfère créer des harmonies avec des volumes et des couleurs plutôt que de tout choisir.
Concernant l'argent, c'est un peu plus complexe que ça. J'ai fait le choix de ne pas faire d'emprunt bancaire parce que les tinys ne sont pas reconnues comme habitat et cela oblige à prendre un prêt à la consommation - exorbitant.
Il y a des discussions sur le rapport entre temps de fabrication/temps où gagner de l'argent.
Certains disent que le temps perdu à chercher et rénover les matières premières ou les objets en récup revient à peu près à acheter du neuf.
Il est aussi question de dire que ce serait moins cher de faire fabriquer sa tiny que de la construire soi-même si on compte qu'on ne peut pas travailler pendant qu'on construit.
Cela est mathématiquement vrai pour des personnes certaines de trouver du travail quand elles veulent et qui sont sûres d'être rémunérées à la fin de leur mission. Pas pour les autres.
Par ailleurs même ainsi, je ne le pense pas, concernant ma propre tiny.
Par ailleurs ce n'est pas intéressant de mon point de vue de faire cette comparaison. Autoconstruire me parait une belle aventure avec beaucoup d'apprentissages.
Faire construire, et bien, c'est aussi une aventure parce qu'il faut trouver de l'argent pour le faire, mais ce sera un plaisir d'y habiter, éventuellement d'avoir eu le sentiment de faire des choix si la tiny est faite sur mesure. Mais ça veut dire que vous ne serez pas capable de réparer vous-même votre tiny car vous ne la connaitrez pas par coeur.
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kilfeur · 9 months ago
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Après je pense que la raison pour laquelle ils ont donné des chara designs aussi simple à Nora et à Qilby c'est pour simplifier leurs animations durant leurs combats. (Mina, Glip et Chibi, je les compte pas car ils ont été pas influencés ou bien interagit avec la déesse au moment où on regarde la série donc c'est normal qu'ils portent pas les couleurs de la déesse.) De plus il est intéressant de noter que la déesse Eliatrope ne mentionne ni Chibi et Grougal quand elle dit qu'ils doivent quitter cette planète, ce qui est en soit assez louche. Mina et Glip, on sait même pas si ils sont vivants ou non et on a plus aucune nouvelle d'eux à part ce qu'a dit Qilby dans la saison 2 au sujet du peuple éliatrope. Du moins si il y a eu une part de vérité dans ces mensonges !
Pour la tenue de Madagaskan, le fait qu'il ait une tenue sobre colle avec son ancien boulot d'assassin. Donc évidemment qu'il allait avoir une tenue sobre. Les assassins sont censés se fondre dans la masse pour tuer leurs victimes. Donc une tenue tape à l'oeil n'aurait pas collé à son statut d'ex assassin. Une tenue sobre comme celle qu'il porte, lui correspond parfaitement pour faire ces sales besognes.
Et comme je l'ai dit plus haut, je pensais que le fait qu'ils aient simplifié les tenues des perso pour faciliter de l'animation de leurs combats. Et je pense que c'est toujours le cas, bien qu'Ankama est un studio d'animation français très connu. Il a aussi traversé une mauvaise passe, suite à l'échec du film Dofus. Et ça s'est fait sentir niveau recettes ! Mon ami m'avait expliqué qu'ils avaient perdu pas mal d'argent suite à l'échec du film à tel point qu'ils ont failli faire faillite. De plus la saison 3 de Wakfu a souffert des conséquences de l'échec du film, les deux premiers saisons ont eu 26 épisodes mais la saison 3 a seulement que 13 épisodes. Ce qui n'est clairement pas assez pour aborder, approfondir et exploiter les thèmes abordés dans la saison 3.
La série d'animation de Lance Dur a aussi souffert des conséquences du film Dofus car l'animation était très limité par moment. On sentait qu'ils avaient pas assez de budget pour cette série. Donc y a de fortes chances pour la saison 4 de Wakfu, ils pouvaient pas se permettre des folies non plus en vu de leur budget. Donc budget imposé, ils ont dû se restreindre pour favoriser l'essentiel, l'animation des combats, des personnages et ainsi de suite. Ce qui signifie se restreindre niveau chara design des personnages pour éviter d'utiliser le budget de cette saison 4 plus que nécessaire, pour qu'il soit plus utilisé pour ce qui est important. Et en soit, ça nous a donné l'une des scènes les plus belles visuellement avec le flashback de Nora cherchant sa mère avec Efrim.
Ankama a beau être un grand studio d'animation français, lui aussi doit se plier aux règles du monde de l'animation. Alors oui dit comme c'est cruel et horrible mais c'est malheureusement une réalité que subissent pas mal de studio d'animations. Certains studios d'animations ne peuvent pas explorer tel ou tel idée car ils ont un budget à respecter et que ce serait trop chère à animer par exemple. Ou bien ils ne peuvent pas donner des tenues plus recherchés car premièrement ce serait trop compliqué à animer du coup le résultat sera juste moche. Soit deuxièmement, ça rentrerait pas dans le budget qu'ils possèdent.
I think the reason they gave Nora and Qilby such simple chara designs is to simplify their animations during their fights (Mina, Glip and Chibi, I'm not counting them because they haven't been influenced by or interacted with the goddess at the time we're watching the series, so it's normal that they don't wear the goddess's colors). It's also interesting to note that the goddess Eliatrope doesn't mention either Chibi or Grougal when she says they must leave this planet, which in itself is rather suspicious. As for Mina and Glip, we don't even know if they're alive or not, and we've heard nothing from them other than what Qilby said in season 2 about the Eliatrope people. That's if there was any truth in those lies!
As for Madagaskan's outfit, the fact that he had a sober outfit fitted with his former job as an assassin. So of course he was going to have a sober outfit. Assassins are supposed to blend in to kill their victims. So a flashy outfit wouldn't have suited his ex-assassin background. A sober outfit like the one he's wearing suits him perfectly for his dirty work.
And as I said above, I thought that the fact that they'd simplified the characters' outfits would make it easier to animate their battles. And I think that's still the case, although Ankama is a well-known French animation studio. It also went through a bad time, following the failure of the Dofus movie. And that had an impact in terms of box office! My friend explained to me that they had lost a lot of money following the failure of the film, to the point where they almost went bankrupt. What's more, season 3 of Wakfu suffered the consequences of the film's failure: the first two seasons had 26 episodes, but season 3 only has 13. This is clearly not enough to tackle, deepen and exploit the themes addressed in season 3.
Lance Dur's animated series also suffered from the consequences of the Dofus movie, as the animation was very limited at times. It was clear that they didn't have enough budget for this series. So chances are, for season 4 of Wakfu, they couldn't afford to go crazy either, given their budget. As a result, they had to restrict themselves to focus on the essentials: combat animation, character animation and so on. This meant restricting the chara design of the characters to avoid using the budget for season 4 more than necessary, so that it could be used more for what was important. And in itself, this gave us one of the most visually beautiful scenes, with the flashback of Nora looking for her mother with Efrim.
Ankama may be a major French animation studio, but it too has to bend to the rules of the animation world. Yes, it's cruel and horrible, but it's unfortunately a reality that many animation studios have to live with. Some animation studios can't explore this or that idea because they have a budget to respect and it would be too expensive to animate, for example. Or they can't come up with more elaborate outfits because, firstly, they'd be too complicated to animate and the result would just be ugly. Or secondly, it wouldn't fit into their budget.
Je me suis rendue compte d'un truc concernant les chara design de Nora et Qilby, certains trouvaient que celui de Nora était trop fade. Et au début je pensais que les animateurs lui avaient donné une tenue sobre pour mieux faciliter l'animations de ses combats. Mais en fait je me rends compte que c'est une dépersonnalisation. Je m'explique, on dit souvent que les vêtements qu'on porte reflète notre personnalité. Or durant cette saison, malgré leurs personnalité prononcé, le peuple éliatrope agissent pour la cause de leur mère. Et quand ils le font, ils agissent comme si ils étaient qu'une seule et même personne.
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Surtout que si on regarde bien, Nora et Qilby ne portent qu'une seule couleur, Nora c'est le rose et Qilby c'est le blanc. Et dans un sens, Nora et Qilby portent ses couleurs, Qilby a la couleur blanche de la peau de sa mère et Nora a la couleur rose venant de ses joues qui ont une teinte légèrement rosé ainsi qu'au niveau du nez. Yugo est le seul à porter deux couleurs, le bleu et l'orange qui reflètent aussi les couleurs de la déesse, Yugo et elle partagent la couleur bleu et orange : bleu : pour son chapeau et elle, ses cheveux et orange : pour son haut et elle, son collier. Du coup leurs chara designs prennent tout leur sens, leurs tenues ainsi que leurs couleurs ne les reflètent pas mais ils reflètent celui de la déesse. Ce qui veut dire que les tenues que portent les éliatropes sont une dépersonnalisation, ils n'agissent comme une seule et même personne au nom de leur mère et ne se démarquent pas. Car le peuple éliatrope ne font qu'un.
I realized something about Nora and Qilby's chara designs: some people thought Nora's was too bland. And at first I thought the animators had given her a sober outfit to make her fights easier to animate. But in fact I realize that it's a depersonalization. Let me explain: we often say that the clothes we wear reflect our personality. But in this season, despite their pronounced personalities, the eliatrope people are acting for their mother's cause. And when they do, they act as if they were one and the same person.
Especially since, if you look closely, Nora and Qilby only wear one color, Nora's pink and Qilby's white. And in a way, both Nora and Qilby wear her colors, Qilby has the white color of her mother's skin and Nora has the pink color coming from her cheeks, which have a slightly pinkish tint, as well as her nose. Yugo is the only one to wear two colors, blue and orange, which also reflect the colors of the goddess. She and Yugo share the colors blue and orange: blue for his hat and her, for her hair, and orange for his top and her, for her necklace. Their outfits and colors don't reflect them, but they reflect the goddess. This means that the outfits worn by the eliatropes are a depersonalization; they act as one in the name of their mother and don't stand out. Because eliatrope people are all one.
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catscratching · 3 years ago
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Possession
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Wondrous Tails of FFXIV
2022.05.06
[Part 1]
The case sat on Corcoran’s desk, gleaming dark velvet cradling a dagger with exquisite etchings along the blade, a matching motif on the guard and butt.   The twisted ash grip was small, sized for a petite hand, and a beautiful leather-covered sheath was secured in the case lid.
The owner of a significant percentage of Lominsa’s taverns, brothels and underground clubs reached for the decanter at his elbow, uncapping it and pouring a generous tot of the deep amber liquid within into a crystal glass, the scent of whisky filling the room.   Across from him, a scruffy man wearing a longshoreman’s dirty clothing shifted his feet uncomfortably.
Rucio’s other hand rested on the case, caressing the void where a second dagger should have rested; a match to the first. 
“Sir—" His adam’s apple bobbed as he swallowed, his voice cracking on the honorific.  Licking his lips nervously, he attempted to continue his explanation.  “Look, we thought—”
“You thought.”  His voice was low and even, but the sense of menace, of threat in the air intensified, making Bryson Langley take a half step back, his face going pale.
“You are going to tell me,” Rucio closed the case with a decisive snap of his wrist, the slam of the wood startlingly loud in the quiet room.  “Exactly what you were thinking.  And how it led to going into the vault, taking one of these blades.  And you best have an explanation on how said blade ended up back on my desk, in the hands of a stranger with awkward questions.”
The colour drained from Langley’s face as he opened his mouth and tried to find words, gaping like a fish.
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Several hours later, Rucio sat back in his seat again, wiping splatters of blood from his hands onto a silk handkerchief before tossing it carelessly onto the scattered detritus of his desk.  A different man lounged in a comfortable chair across from the polished expanse, one ankle propped on the opposite knee as he waited for his employer to settle himself.
“So.  What’s the plan?”  Alred Inman looked and sounded like a Vylbrand farmer; appropriate, as his family had worked the land for generations before their son took to the seas.
Rucio’s brows drew together in annoyance.  Inman had the right to ask – the younger man had been one of the first to sign onto Rucio’s crew, and other than Argent, had been with the big Highlander the longest.  That didn’t mean he liked being questioned or explaining what he intended to do to ensure the Blades didn’t investigate the death of one of their own too closely.
“Bring Argent in,” He said, finally.  “She’s been snooping around the municipal offices, and she’s got a vested interest in keeping this under the rug.”
“Boss,” It was Alred’s turn to look uncomfortable.  “I don’t know that’s a good idea. You know she’s been unpredictable, these last few years.”
“Are you questioning my judgement?”  Corcoran settled back in his own chair, his good eye going steely, the scarred one unblinking.
“Nossir,” Inman responded promptly.  “I’m just concerned that yer not the most sensible where she's concerned. You told me yourself you were gonna pull 'er claws and fangs when you turned 'er loose. She does things to yer brain.”
“Leave tonight.”  There was iron in his voice, and he nodded toward the polished box that started it all.  “Langley didn’t create this mess; he’s not smart enough. I can't let it stand; too much is at stake right now to let myself appear weak.”
“Yessir,”  Alred sighed and reached over to take the box, moving to stand. "I'll go fetch yer girl and bring 'er back. But seriously boss, she's bad news."
Rucio ignored him, “Find me someone to work with in Thanalan.” He continued, as if the midlander had not spoken. Inman paused, his eyes narrowing behind his spectacles as he considered the ramifications of that order.  Argent had been their contact in Thanalan. Perhaps Rucio was listening, after all.
“Yessir,” He repeated, stepping through the door and closing it behind him. It was going to be a long night.  He reached for his linkpearl.  “Milo, Mercer.  Where are you?  Need eyes on Argent.”
Rucio Corcoran stared at the papers strewn on his desk, his thoughts elsewhere.  For such a little thing, you create big problems, Seda.  Your place is here.  You are mine, and it is time you remembered it.
@wondroustailsofffxiv
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fallenrazziel · 5 years ago
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Les Chroniques de Livaï #461 ~ LA LIBERTE COMMENCE OU FINIT L'IGNORANCE (mars 846) Segene Terrelle, membre de la garnison
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. ​Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes.
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Qu'ils sont lents, ces explorateurs ! Quand il s'agit de faire les zouaves avec les titans, pas de problème, mais quand il faut transporter des caisses de provisions pour les nécessiteux de Trost, il n'y a plus personne !
Je pose mon chargement et les regarde avancer lentement en soufflant le long de la ruelle. Quel âge ils ont ceux-là ? Ils sont pas vieux en tout cas. Mais c'est pas une excuse ! Ils devraient avoir la forme. Leur régiment est trop inactif, ils ne bossent qu'une fois par mois, et encore, normal qu'ils se ramollissent... Allez, du nerf, on y est presque !
J'aperçois l'entrée de l'entrepôt à quelques mètres. Le garde de faction nous observe en se grattant la tête. J'accélère le pas afin de le rejoindre et lui expliquer la situation. Ce n'est pas notre faute ! Nous devions venir avec un véhicule, mais ces trois-là sont arrivés en retard - un exercice plus long que prévu, ils disent - et le conducteur a dû aller ailleurs. Obligés de tout porter à bras, vous imaginez ! L'homme hoche la tête et me jauge de haut en bas. Il s'imagine que parce que je suis une femme, j'ai lambiné. Il a pas intérêt à me juger, je suis dans la garnison depuis des années et je n'ai jamais rechigné à la tache ! Je lui désigne discrètement les jeunes derrière qui amènent leur cargaison dans le bâtiment. Il scrute leurs écussons.
Oui, ce sont des explorateurs, faut pas trop en demander non plus. Il se met à rire dans sa moustache en évoquant leurs frasques du mois dernier, au Mur Rose. Vous étiez là-bas ? J'hésite vraiment à lui dire que j'y étais aussi, je ne veux pas donner l'impression que leur petit spectacle m'intéressait... Oh, j'ai entendu dire qu'ils se sont amusés toute la journée à faire courir ces monstres ! Si ce n'est pas honteux ! Tant de temps et d'argent gâchés ! Je suis sûre qu'on pourrait trouver une meilleure utilité au salaire de ces trublions ! Comme aider les gens dans le besoin par exemple...
Je fais exprès de parler fort, je veux que les jeunes entendent. Avec un peu de chance, ils quitteront ce régiment de fantoches pour grossir nos rangs...
Mon collègue approuve énergiquement et me glisse à l'oreille que, apparemment, Erwin Smith aurait tout mis en scène pour que les gens puissent juger de la dextérité de ses soldats. Cet homme ne doute de rien ! Il faut dire qu'il a une sacrée réputation de manipulateur, ça ne m'étonnerait pas ! Vous auriez de quoi boire, j'ai la gorge sèche avec tout ce travail...
Il me passe une outre de vin militaire, pas fameux mais pas imbuvable non plus ; la piquette habituelle, quoi. Je la cache vite afin que les mômes ne me la demandent pas. Eh, les petits ? Si vous donniez un petit coup de balai par ici ? J'ai entendu dire qu'on vous entraînait tous les jours à faire le ménage, ça doit être dans vos cordes, non ?
Ils me regardent en s'efforçant de rester neutres - je devine que la fille bout de rage - mais ils se saisissent de balais et obéissent sans discuter. Je ne sais pas réellement pourquoi je m'acharne sur eux, ce sont des mômes sans réel esprit critique. Ils ont dû se faire avoir par les boniments de Smith et ils sont là à cause de ça. Ils espéraient servir l'humanité ? Quelle blague... Ils vont rester à terre jusqu'à ce que leur major les emmène une nouvelle fois faire joujou avec l'ennemi... Ca m'énerve... Ils donnent toujours l'impression d'en savoir plus que tout le monde, que leur expérience des titans les rend supérieurs ! A quoi ça sert de savoir quoi que ce soit sur ces montres ?! Comme si ça allait nous rendre notre territoire... Rien n'a vraiment bougé depuis que Smith est à son poste... Il attend quoi pour faire quelque chose d'utile ?!
Je m'assois un moment afin de me calmer un peu. J'ai toujours à coeur de me montrer maîtresse de moi-même, de ne jamais laisser mes émotions me submerger, ce n'est pas aujourd'hui que cela va arriver ; et sûrement pas devant ces gamins.
Comment se portent les camps de réfugiés, toujours instables ? Mon collègue me répond qu'ils ont endigué un début de révolte hier. Les gens voulaient forcer les portes des entrepôts. Je vois, ça se comprend. Et ce n'est pas nouveau. On a besoin de bras en plus pour contenir la populace. Y a rien de pire que la faim... La situation de ces gens est extrême, mais on ne peut pas tolérer ce genre d'agissements. Si l'ordre n'est pas maintenu, ce sera la guerre civile et tout le monde en pâtira. Il n'y a pas de solution miracle mais je fais confiance à notre gouvernement, ils doivent déjà être sur quelque chose. Je parie que ce sera réglé avant que le bataillon n'ait remis le pied à l'étrier, vous verrez !
Il s'esclaffe grassement et la vue de sa bedaine rebondie ballottant contre sa ceinture m'écoeure... Il ne doit pas bouger beaucoup lui non plus... Mais enfin, je préfère sa compagnie à celle de ces garnements qui jouent aux petits soldats. Où en sont-ils d'ailleurs ?
Je me retourne et constate que le sol de l'entrepôt est parfaitement balayé. Les explorateurs sont en train de reposer leurs outils et s'apprêtent à se retirer. Une minute, c'est moi qui décide si vous avez fini ! Quand vous êtes à terre, vous devez obéir aux ordres de n'importe quel supérieur de n'importe quel régiment, vous le savez ? Votre bataillon n'aura jamais les mains libres, il y aura toujours quelqu'un pour vous superviser ! C'est la loi, et elle est bien faite ! Rappelez-le à votre major aussi. Peut-être que ça le poussera à obtenir des résultats.
Ils se tiennent droits, silencieux, comme si mon discours ne leur faisait aucun effet... Ces mômes... ils ont le culot de se sentir fiers ?! Allez, disparaissez, je n'ai plus besoin de vous et je vous ai assez vus ! Ils détalent sans aucun ordre et sans demander leur reste, contents d'être débarrassés de moi. Mais juste avant de les voir disparaître au coin de la porte, je distingue  très distinctement la fille qui me tire la langue en se tirant l'oeil vers la joue. Quoi ? Comment oses-tu ?! Attendez que j'en réfère à vos supérieurs, vous aurez droit à une bonne punition, vauriens !
Ils s'éloignent en riant, sans prêter aucune attention à mes menaces ! Aaah, ces explorateurs !
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lupitovi · 6 years ago
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Ma chère maman, J'ai bien reçu ta lettre du 5 janvier. Je vois que tout va bien chez vous, sauf le froid qui, d'après ce que je ris dans les journaux, est excessif par toute l'Europe. Je vais mal à présent. Du moins, j'ai à la jambe droite des varices qui me font souffrir beaucoup. Voilà ce qu'on gagne à peiner dans ces tristes pays ! Et ces varices sont compliquées de rhumatisme. Il ne fait pourtant pas froid ici; mais c'est le climat qui cause cela. Il y a aujourd’hui quinze nuits que je n'ai pas fermé l'oeil une minute, à cause de ces douleurs dans cette maudite jambe. Je m'en irais bien, et je crois que la grande chaleur d'Aden me ferait du bien mais on me doit beaucoup d'argent et je ne puis m'en aller, parce que je le perdrais. J'ai demandé à Aden un bas pour varices, mais je doute que cela se trouve. Fais-moi donc ce plaisir: achète-moi un bas pour varices, pour une jambe longue et sèche - (le pied est n'41 pour la chaussure). Il faut que ce bas monte par-dessus le genou, car il y a une varice au-dessus du jarret. Les bas pour varices sont en coton, ou en soie tissée avec des fils d'élastique qui maintiennent les veines gonflées. Ceux en soie sont les meilleurs, les plus solides. Cela ne coûte pas cher, je crois. D'ailleurs je te rembourserai. En attendant, je tiens la jambe bandée. (...) Cette infirmité m'a été causée par de trop grands efforts à cheval, et aussi par des marches fatigantes. Car nous avons dans ce pays un dédale de montagnes abruptes, ou l'on ne peut même se tenir à cheval. Tout cela sans routes et même sans sentiers. Les varices n'ont rien de dangereux pour la santé, mais elles interdisent tout exercice violent. C'est un grand ennui, parce que les varices produisent des plaies, si l'on ne porte pas le bas pour varices; et encore ! les jambes nerveuses ne supportent pas volontiers ce bas, surtout la nuit. Avec cela, j'ai une douleur rhumatismale dans ce maudit genou droit, qui me torture me prenant seulement la nuit ! Et il faut se figurer qu'en cette saison, qui est l'hiver de ce pays, nous n'avons jamais moins de 10 degrés au-dessus de zéro (non pas en dessous). Mais il règne des vents secs, qui sont très insalubres pour les blancs en général. Même des Européens, jeunes, de vingt-cinq à trente ans, sont atteints de rhumatismes, après deux ou trois ans de séjour !
Arthur Rimbaud - Harar, 20 février 1891
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atelier-naginata · 2 years ago
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Atelier Sophie : différent... et un peu frustrant !
Après avoir fini Atelier Ryza (en suant) et Atelier Ryza 2 (heureuse et la larme à l'oeil), je ne comptais pas en rester là sur ma découverte de la série Atelier. Logiquement, je me suis tournée vers l'arc Mysterious, qui démarre par Atelier Sophie. Je l'ai commencé avec un peu d'appréhension malgré tout, inquiète de son âge (2010) et donc de la quantité de qualité de vie que j'allais perdre au passage. Et en plus de ça, la régression dans la série impliquait également un retour aux combats au tour par tour.
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Ca commençait bien !
Malgré son âge donc, je me suis directement retrouvée à la maison dans Atelier Sophie : globalement le principe du jeu reste le même que dans les épisodes plus modernes, on suit une jeune apprentie alchimiste qui avance dans la vie et ses relations avec les habitants de son village Mais j'avais été prévenue : cet opus là est connu pour être particulièrement lent dans son histoire. Et c'est un fait : il ne se passe pas grand chose pendant les 20 premières heures, mais elles sont nécessaires pour mettre en place l'exposition, ainsi qu'une certaine routine.
La découverte de nouvelles recettes d'alchimie se fait en effectuant diverses actions (récolte, exploration, synthése) et en apprendre toujours plus sera le but principal du jeu. Ma bonne surprise, c'est que les combats au tour par tour sont vraiment bons, simples mais efficaces, sans tomber dans du classique endormant.
Nan, le point noir du jeu, pour moi, est le système d'alchimie. Je ne vais pas détailler le processus car il est relativement compliqué, mais on se retrouve avec un pseudo tetris, à gérer des placements, des couleurs et des bonus. Honnêtement, j'aurais de toute façon bien du mal à l'expliquer car au bout de 35 heures de jeu, j'ai toujours l'impression qu'il m'échappe. Ce qui m'avait plu dans les Atelier Ryza, c'était ce sentiment de progression dans la synthèse. Au début, on fait de la merde, mais on est content de produire de nouvelles choses. Plus on avance, plus les items sont de meilleures qualités, et plus on a réellement l'impression de progresser.
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Dans Atelier Sophie, la curiosité a fini par se muer en frustration. Après 30 heures de jeu, j'étais toujours incapable de faire de bons items et de jongler correctement avec les divers éléments du système. Et ça a fini par me gonfler… Comme mon équipement était miteux, j'ai cédé à la tentation passer le jeu en facile pour moins galérer dans les combats qui commençaient à être limite niveau difficulté. Et finalement, je m'en sortais assez bien dans cette configuration là. Sauf que…
Frustratiiiiiiiion !
Sauf que j'ai fini par arriver sur le dernier boss, et là, ça a été le drame. Impossible de le passer, il faisait trop mal, avait trop de pv, et quand finalement j'ai réussi à le maîtrise un peu mieux en optimisant mon équipement, j'ai découvert qu'il avait plusieurs phases, et qu'il me serait donc impossible d'en venir à bout en l'état.
Et là, deux options se sont offertes à moi : insister, farmer (car bien sûr je n'avais absolument plus d'argent pour optimiser mon stuff), rajouter encore 5 à 10 heures de préparation en suivant des guides et revenir pour lui péter la tête, enfin.
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Ou alors… Oui j'avoue, j'ai préféré prendre la solution de facilité. Je suis allée voir un let’s play sur youtube du dernier boss et de la dernière cinématique. Je n'avais plus du tout envie de me frotter au système d'alchimie qui augmentait ma frustration et mon dégout du jeu à chaque tentative. J'ai préféré le quitter en bon terme, certes inachevé, mais avec un souvenir relativement léger et plaisant. J'ai fait le deuil de ma sauvegarde de NG+, et finalement, une semaine plus tard, je ne regrette pas du tout mon choix.
Parce que oui, juste derrière m'attendait Atelier Sophie 2, le dernier sorti de la série (2022) et là… Là ! J'ai eu la vraie perle que j'attendais. Mais ceci est une autre histoire :)
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jmecherche · 3 years ago
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J'ai pu trouver du travail...
Voilà, j'ai pu dégoter un boulot de rédactrice web auprès d'une société française. Je pensais que son tarif serait super attrayant, comme le salaire des gens riches, mais en fait non. ça ne paie pas beaucoup. je vais devoir cravacher pour construire mon salaire tous les mois. Ce qu'il me faudrait c'est un deuxième boulot. Fixe. qui me rapporterait un revenu régulier et qui paie une base salariale fixe.
Donc, j'attends de trouver ce type de boulot en attendant.
Aussi, je suis en vacances, je suis en train de me faire un petit catch-up de tout ce que j'ai baclé. Je me focalise sur l'apprentissage de mes cours en vidéos et aussi en repassant sur les challenges. Je découvre que j'aime beaucoup apprendre, que je comprends bien mieux quand les explications sont en français. Toutefois, lorsqu'il s'agit de coder, là, c'est une autre paire de manche. Les exercices sont très intenses, et nécessitent plus de savoir-faire. Donc, en attendant, je regarde les vidéos et puis, je vais attaquer les exercices bien comme il le faut.
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Aussi, je suis en train de changer de lunettes. Celles que j'avais sont quasiment écrabouillées et toutes rouillées. Je les échanges en espérant en avoir des toutes neuves et des plus belles. Qui tapent à l'oeil et qui seront bien plus durables, of course. Bref, des lunettes qui iront bien mieux à ma personnalité.
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Et sinon, je n'ai plus de nouvelles de Yannick, et je ne cherche pas à en avoir. Sauf que j'ai remarqué que de temps à autre, il me passe par la tête. Je ne comprends pas pourquoi je mets autant de temps à l'oublier, même si c'est vraiment ce que je veux. Je comprends qu'une partie de moi se sent vaincue de ne pas avoir pu le séduire et devenir la seule femme qui occupe ses pensées, avec qui il a envie d'être, sans qu'il n'y ait cette folle bipolaire polygame...
J'ai bien fait de mettre fin à cette toxicité, qu'elle a imposé dans sa vie et que lui m'imposait par conséquence, et que j'avais beaucoup de mal à tolérer. Je fesais semblant d'être cool parce que je ne voulais pas paraître coincée, vieux-jeu, limitée,.....
Donc, voilà où on en est. Je ne sais pas ce qu'il en est pour lui. Je me dis qu'il est reparti chez cette femme et qu'il se sent très bien comme ça.
Quant à moi, je suis en train de prendre ma vie en main et de je me suis remise en route pour devenir Celle que je veux vraiment être. évoluer vers la meilleure part de mon potentiel.
Je réalise qu'avec Yannick, cela n'aurait pas pu être possible. Devenir codeuse n'est pas le point central de mon destin, je suis beaucoup plus que cela. C'est une grande responsabilité, beaucoup de boulot.
Ce qui est le plus magnifique dans tout cela, c'est que j'ai déjà parcouru ce chemin, différemment, avec différentes personnes, avec des contextes différents. J'étais une autre moi et mes obstacles étaient différents. Maintenant tout cela me parait tellment anodin, et aujourd'hui malgré le manque d'argent, je ne ressens plus que mes rêves sont impossibles...
Ils me paraissent tellement achievable, atteignables... donc j'ai toutes les raisons de me lancer. Je suis assistée, aidée,... je l'ai toujours été et cela sera toujours ainsi. La seule différence, c'est qu'avant j'avais peur de rely sur cette croyance. Maintenant, cela fait partie de ma normalité, de mon quotidien, du fonctionnement normal de tout, que bizarrement tout est à sa place, se passe comme il le faut. Bien plus que des croyances, ces constats sont des certitudes pour moi. Je les observe aussi bien dans ma vie que dans celles des autres.
Alors voilà où j'en suis pour le moment...
Get ready, i'm coming, i've come so much already!
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agothic · 3 years ago
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Le Passeur
Cherchez-vous des Le Passeur Format Kindle. Savez-vous, ce livre est écrit par Lois Lowry. Le livre a pages 266. Le Passeur Format Kindle est publié par L'école des loisirs (29 octobre 2014). Le livre est sorti sur 29 octobre 2014. Vous pouvez lire le Le Passeur Format Kindle en ligne avec des étapes faciles. Mais si vous voulez le sauvegarder sur votre ordinateur, vous pouvez télécharger maintenant Le Passeur Format Kindle.. Si vous avez décidé de trouver ou lire ce livre, ci-dessous sont des informations sur le détail de Le Passeur Format Kindle pour votre référence.
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Revue éditoriale de Le Passeur Format Kindle
Dans le monde où vit Jonas, la guerre, la pauvreté, le chômage, le divorce n'existent pas. Les inégalités n'existent pas. La désobéissance et la révolte n'existent pas. L'harmonie règne dans les cellules familiales constituées avec soin par le comité des sages. Les personnes trop âgées, ainsi que les nouveau-nés inaptes sont « élargis », personne ne sait exactement ce que cela veut dire. Dans la communauté, une seule personne détient véritablement le savoir. Elle seule sait comment était le monde quand il y avait encore des animaux, quand l'oeil humain pouvait voir les couleurs, quand les gens tombaient amoureux. Lorsque Jonas aura douze ans, il se verra attribuer, comme tous les enfants de son âge, sa future fonction dans la communauté. Jonas ne sait pas encore qu'il est unique... --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.. On était presque en décembre et Jonas commençait à avoir peur. Non, ce n'est pas le bon mot, pensa Jonas. La peur, c'était ce sentiment de nausée profonde quand on pressentait que quelque chose de terrible allait arriver. C'est ce qu'il avait ressenti un an auparavant lorsqu'un avion non identifié avait survolé la communauté à deux reprises. Il l'avait vu les deux fois. Jetant un coup d'oeil vers le ciel, il avait vu passer l'appareil effilé - presque flou à la vitesse à laquelle il volait - et une seconde après il avait entendu la déflagration qui avait suivi. Et puis de nouveau le même avion, un instant plus tard, mais dans l'autre sens. Au début, il avait été fasciné. Il n'avait jamais vu d'avion de si près car le règlement interdisait aux pilotes de survoler la communauté. De temps en temps, quand un avion de marchandises venait se poser sur la piste d'atterrissage de l'autre côté de la rivière, les enfants prenaient leurs vélos et allaient sur la berge assister, intrigués, au déchargement puis au décollage, qui se faisait toujours vers l'ouest, à l'opposé de la communauté. Mais l'avion de l'an dernier était différent. Ce n'était pas un de ces avions de marchandises trapus, au ventre renflé, mais un monoplace au nez pointu. Jetant un regard inquiet autour de lui, Jonas avait vu les autres - les adultes comme les enfants - interrompre ce qu'ils étaient en train de faire et attendre, perplexes, qu'on leur explique cet événement effrayant. Et puis on avait ordonné à tous les citoyens de se rendre dans le bâtiment le plus proche et d'y rester. «IMMÉDIATEMENT», avait dit la voix qui grinçait dans les haut-parleurs. «LAISSEZ VOS VÉLOS LÀ OÙ ILS SONT.» Jonas avait aussitôt obéi et il avait laissé tomber son vélo sur le chemin qui se trouvait derrière son habitation familiale. Il était rentré à la maison en courant et était resté là tout seul. Ses parents étaient tous les deux au travail et sa petite soeur, Lily, au Centre des enfants où elle allait tous les jours après l'école. En regardant par la fenêtre, il n'avait vu personne : ni les agents de nettoyage, ni les jardiniers, ni les équipes de livraison des aliments, rien de la foule affairée qui d'ordinaire peuplait les rues à cette heure-ci de la journée. Il ne voyait que les vélos abandonnés çà et là sur le côté ; une roue tournait encore lentement sur elle-même. Là, il avait eu peur. Sentir sa communauté plongée dans le silence et l'expectative lui retournait l'estomac. Il avait tremblé. --Ce texte fait référence à l'édition paperback.. Le monde dans lequel vit Jonas est bien éloigné du nôtre : une société où la notion d'individu n'existe pas. Plus surprenant encore : ses membres ne ressentent rien. Ni amour ni haine viennent bousculer leur quotidien. Les gens ne meurent pas non plus. Ils sont "élargis". Tout comme le héros de cette histoire – un garçon de douze ans – le jeune lecteur brûlera de savoir ce qui se cache derrière ce terme si obscur. Mêlant science-fiction et philosophie, Lois Lowry signe un roman envoûtant d'une incroyable densité. Dans un style très particulier, où les genres cohabitent, cet ouvrage étonnera par la réflexion profonde, intelligente et sensible qu'il nous livre sur nos semblables. À partir de 12 ans. --Isabel Soubelet --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.. Lois Lowry est née en 1937 à Honolulu, dans l'île de Hawaï et a grandi à New York, en Pennsylvanie et au Japon. Avant de se consacrer entièrement à son métier d'écrivain, elle a travaillé comme journaliste indépendante, écrivain et photographe. Son amour pour les enfants l'a poussée tout naturellement à écrire pour eux. "Partout où je me trouve, dit-elle, que ce soit dans un restaurant, à l'aéroport ou dans une école, je regarde les enfants, j'observe leur comportement et je les écoute parler entre eux. Je me rappelle les événements que j'ai vécus, alors que mes deux garçons et mes deux filles étaient encore jeunes et ces souvenirs inspirent les thèmes de mes livres. " Elle compare les livres à des torrents qui dégringolent des montagnes emportant avec eux cailloux et filets d'eau qui viennent petit à petit les transformer en rivières. À l'instar des rivières, les livres se nourrissent de souvenirs, d'images, de blessures et ce faisant « ouvrent les portes d'un Ailleurs ». Son premier roman Un été pour mourir a reçu le prix du livre pour enfants de l'Association internationale pour la lecture. Elle est l'auteur de plus de trente livres pour adolescents dont, notamment, Le Passeur et Compte les étoiles, mais également de la série désopilante des Anastasia. Ses livres sont traduits en huit langues et certains d'entre eux ont donné lieu à des films. Lois Lowry partage maintenant son temps entre Cambridge et une ferme dans le Maine. --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.
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c-olivierpatrice · 3 years ago
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Bracelet 2 oeil de tigre et oeil de taureau en argent 925 https://www.olivier-patrice.fr/bracelet-argent-oeil-tigre-taureau Une combinaison gagnante pour la protection : bracelet 2 pierres d’œil de tigre et oeil de taureau Ce bracelet, vendu dans son écrin, est composé d’œil de tigre et d'oeil de taureau. L'oeil de tigre est sous sa forme naturelle et avec une de ses déclinaisons teinte bleue. Ce bracelet est fini avec une boule de 10 mm en œil de tigre naturel jaune entourée d'apprêts en argent 925 et de 2 boules d'argent 925 de part et d'autres de celle-ci. Vous pourrez choisir la taille personnalisée* de votre bracelet. Ce bracelet sera efficace sur le plan de la protection contre les énergies négatives pour constituer un bouclier mais aussi faire prendre conscience à son émetteur de ses actions. Il agira pour apporter sécurité et confiance malgré les énergies à parer.  Vous pourrez découvrir les autres propriétés de cette pierre dans le descriptif ci-dessous. * Le bracelet étant monté avec un fil en nylon, s'il serre trop, malgré que vous ayez choisi la bonne taille, nous vous conseillons de le faire se détendre en l'étirant. POSEZ NOUS VOS QUESTIONS SUR CE PRODUIT [email protected] ou VISITEZ NOTRE BOUTIQUE POUR EN SAVOIR PLUS : https://www.olivier-patrice.fr/bracelet-argent-oeil-tigre-taureau
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dudewayspecialfarewell · 6 years ago
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Comme je descendais des Fleuves impassibles, Je ne me sentis plus guidé par les haleurs : Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs. J'étais insoucieux de tous les équipages, Porteur de blés flamands ou de cotons anglais. Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages Les Fleuves m'ont laissé descendre où je voulais. Dans les clapotements furieux des marées Moi l'autre hiver plus sourd que les cerveaux d'enfants, Je courus ! Et les Péninsules démarrées N'ont pas subi tohu-bohus plus triomphants. La tempête a béni mes éveils maritimes. Plus léger qu'un bouchon j'ai dansé sur les flots Qu'on appelle rouleurs éternels de victimes, Dix nuits, sans regretter l'oeil niais des falots ! Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sures, L'eau verte pénétra ma coque de sapin Et des taches de vins bleus et des vomissures Me lava, dispersant gouvernail et grappin Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème De la Mer, infusé d'astres, et lactescent, Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blême Et ravie, un noyé pensif parfois descend ; Où, teignant tout à coup les bleuités, délires Et rythmes lents sous les rutilements du jour, Plus fortes que l'alcool, plus vastes que nos lyres, Fermentent les rousseurs amères de l'amour ! Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes Et les ressacs et les courants : Je sais le soir, L'aube exaltée ainsi qu'un peuple de colombes, Et j'ai vu quelque fois ce que l'homme a cru voir ! J'ai vu le soleil bas, taché d'horreurs mystiques, Illuminant de longs figements violets, Pareils à des acteurs de drames très-antiques Les flots roulant au loin leurs frissons de volets ! J'ai rêvé la nuit verte aux neiges éblouies, Baiser montant aux yeux des mers avec lenteurs, La circulation des sèves inouïes, Et l'éveil jaune et bleu des phosphores chanteurs ! J'ai suivi, des mois pleins, pareille aux vacheries Hystériques, la houle à l'assaut des récifs, Sans songer que les pieds lumineux des Maries Pussent forcer le mufle aux Océans poussifs ! J'ai heurté, savez-vous, d'incroyables Florides Mêlant aux fleurs des yeux de panthères à peaux D'hommes ! Des arcs-en-ciel tendus comme des brides Sous l'horizon des mers, à de glauques troupeaux ! J'ai vu fermenter les marais énormes, nasses Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan ! Des écroulement d'eau au milieu des bonaces, Et les lointains vers les gouffres cataractant ! Glaciers, soleils d'argent, flots nacreux, cieux de braises ! Échouages hideux au fond des golfes bruns Où les serpents géants dévorés de punaises Choient, des arbres tordus, avec de noirs parfums ! J'aurais voulu montrer aux enfants ces dorades Du flot bleu, ces poissons d'or, ces poissons chantants. - Des écumes de fleurs ont bercé mes dérades Et d'ineffables vents m'ont ailé par instants. Parfois, martyr lassé des pôles et des zones, La mer dont le sanglot faisait mon roulis doux Montait vers moi ses fleurs d'ombre aux ventouses jaunes Et je restais, ainsi qu'une femme à genoux... Presque île, balottant sur mes bords les querelles Et les fientes d'oiseaux clabaudeurs aux yeux blonds Et je voguais, lorsqu'à travers mes liens frêles Des noyés descendaient dormir, à reculons ! Or moi, bateau perdu sous les cheveux des anses, Jeté par l'ouragan dans l'éther sans oiseau, Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses N'auraient pas repêché la carcasse ivre d'eau ; Libre, fumant, monté de brumes violettes, Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur Qui porte, confiture exquise aux bons poètes, Des lichens de soleil et des morves d'azur, Qui courais, taché de lunules électriques, Planche folle, escorté des hippocampes noirs, Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques Les cieux ultramarins aux ardents entonnoirs ; Moi qui tremblais, sentant geindre à cinquante lieues Le rut des Béhémots et les Maelstroms épais, Fileur éternel des immobilités bleues, Je regrette l'Europe aux anciens parapets ! J'ai vu des archipels sidéraux ! et des îles Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur : - Est-ce en ces nuits sans fond que tu dors et t'exiles, Million d'oiseaux d'or, ô future Vigueur ? - Mais, vrai, j'ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes. Toute lune est atroce et tout soleil amer : L'âcre amour m'a gonflé de torpeurs enivrantes. Ô que ma quille éclate ! Ô que j'aille à la mer ! Si je désire une eau d'Europe, c'est la flache Noire et froide où vers le crépuscule embaumé Un enfant accroupi plein de tristesses, lâche Un bateau frêle comme un papillon de mai. Je ne puis plus, baigné de vos langueurs, ô lames, Enlever leur sillage aux porteurs de cotons, Ni traverser l'orgueil des drapeaux et des flammes, Ni nager sous les yeux horribles des pontons.
Artaud Rimbaud- Le bateau Ivre
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catscratching · 3 years ago
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Manipulation
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2022.04.10
[Seda was in the midst of discussing a business arrangement with Kerrath when she had another visitor.] 
[Part 2]
Kerrath scratched his cheek a little. "Aye, I think Thanalan grows less civilized over time. I'm not always so much a fan of civilizing, though, but that's a personal aside."
Seda sighed, refilling her tea and pausing to hold up the pot in inquiry. "I am not either, when it involves displacing native populations and destroying those beneath the poverty level in the name of 'progress'." She looked up as the door chimed quietly, offering a smile to the newcomer, murmuring to Kerrath as she stood. "Excuse me a moment, please."
Kerrath blinked a few times, scratching his head, and nodded affirmatively.
Torden loomed in the doorway, taking a step in. He smelled of sweet pipe smoke and leather. "Miss Ballard." he said, his voice like a bank of fog rolling down a hill.
Seda was about to offer her welcoming spiel, but Torden's greeting made her pause. "Good afternoon. Yes, I am Miss Ballard," She brushed her hair back from her face, a trifle off-balance. "How may I assist you?"
Torden looked slowly to the chair and then back to Seda. "You are already with a client?" this was neither an accusation nor a question. "My business isn't terribly private, if you'd like to make introductions." and then he offered without extending his hand. "I am Torden Glazghotsyn. I was referred to you by Alswyn Hyrz."
Kerrath waved a few fingers back to the figure at the door.
Seda gestured toward the chairs in her 'office' graciously. "Of course. This is..." She paused to remember his name. "Kerrath. We were just discussing some social issues and an employment offer. May I offer you anything to drink? Tea? Coffee? Something stronger?" She was beginning to feel the need for something, herself - much as she appreciated an excuse to avoid doing paperwork, she wasn't usually this busy.
Torden nodded, "Clean water will be fine. Thank you." he moved to take a seat beside Kerrath.
Kerrath offered Torden a thumbs up. "Pleasure to meet you. What's your business?"
Seda nodded and vanished for a moment in the back to the sound of running water before returning with a pitcher and a pair of cups. She set them out, pouring a glass for each of her guests before resuming her seat, tugging it up under her.
Torden offered to Kerrath, as if he were among friends. "Racketeering." and then, "Yourself?"
Kerrath smirked. "I'm an axe man, actually."
Torden offered in kind, "The world needs more quality Axe Men."
Seda put her chin in a hand, watching the interactions between the two men with bemusement. "What brings you to my door today, Mr. Glazghotsyn?" She stumbled slightly over the name, but rallied, reaching for her teacup.
Torden reached into the magic space where people without pockets seemed to store things and removed a weapon, placing it on the table. It was almost certainly an assassin's knife. Some care had been made to create beauty on all faces of the weapon and its sheath. It seemed sized for smaller hands, perhaps Miqo'te hands. "I am interested in the provenance of this piece. " he said, his voice expanding out from his chest in waves. "I believe it may have passed through your hands before."
Kerrath looked to the knife, and then Seda's hands. They seemed to match.
Seda went still, reaching out to pick up the blade, cradling it in her hands. It had beautiful balance; that much was obvious. And anyone could see the hilt was sized to fit someone with small hands; it was not beyond the realm of possibility that it had, indeed, been made for her- or someone with hands the same size. Her complexion paled beneath the freckles, the spots dark against her skin. Carefully, she set the blade down, fingers skimming over the hilt in what might have been a caress. 
"Where did you come by this?"  She asked, her voice faintly hoarse.
Torden looked at Seda from under his brow, letting his eyes drift across her, then returned to address her. "I think you know exactly where I came by it."
Seda looked up sharply, her ears flattening against her head. "He said it was disposed of. That we were done - there would be no more games."
Torden leaned back, looking down the expanse of his cheeks at the woman, patience of a slab of granite as he listened.
Seda inhaled sharply through her nose, her hand flat over the dagger's pommel. "You can go back and tell Rucio," Her voice was vibrant with anger and something less easily defined, "That I still have him by the balls. I know where the bodies are buried, and if he wants them to STAY buried, he will stop. Fucking. Playing. With. Me."
Kerrath raised his brows with his eye wide for a moment, looking to Seda, and then Torden, and then Seda. She was very small to be levying such threats.
Torden offered to Kerrath, refusing to take his eyes off the pretty little thing for now. "Have you ever heard of the concept of Terroir?"
Kerrath shook his head. "Unless you're pronouncing that wrong, no."
Torden offered to Kerrath. "It's an idea wine makers use to describe how the region. The soil, the wind, the cycle of the seasons, the sun...how all these factors play into the making of their grapes." He lifted a finger to punctuate. "It's why a talented Sommelier can reliably tell you which region a wine was made in. He can read the notes, the subtle textures and notes of fruit."
Seda's tail lashed behind her, hand still on the dagger; now that it was returned, she was not letting it back out of her possession without a fight. She wasn’t quite sure where Torden was going with this line of conversation, but she was sure she wouldn’t like it.
Kerrath narrowed his eye. "...I'm not sure what that has to do with a knife." He scratched his cheek a bit. "Unless you mean to say you know where the knife was made."
Torden explained, "I am interested in your opinion of the Terroir of Ms. Ballard’s explanation." he licked his lips. "I have a feeling it's genuine, but as they say; beware beauty for it sits most closely to that which it controls."
Seda's features drew into a scowl as she sat back, drawing the dagger down into her lap and holding it... well. Like someone that knew knife-fighting, for all she had told Kerrath earlier she was not a fighter. She had no idea what Torden - and by extension - Rucio - was playing at, but she had to let this proceed; more information would be gained by staying silent and letting the big Roegadyn have the stage.
Kerrath looked at Seda again, wrinkling up his nose. "Oh, I wouldn't call her beautiful to her face, apparently she's had a bad string of luck with people who do that too much." He scratched his head. "I'm not sure I understand the question, though."
Seda transferred her glare to Kerrath for a moment before redirecting it at Torden.
Torden drummed a set of thick fingers on the table in a moment of contemplative silence. "Seems things are about to get out of hand." He glanced at Kerrath, and then back to Seda. "Amity, Argent. I've no wish to be gutted and die on your floor today. Allow me pardon for my verbal transgressions." his voice low and steady, "I've had an interesting day."
Seda was still half-seated, one foot beneath her to push off if Torden looked as though he was going to come across the table at her. Her ears swiveled and turned at every breath, her eyes wide and lips parted; the image of a creature poised to take in as much information about her environment as possible, and take immediate action at the first sign of a threat. She didn't relax at his words, the ridge of her tail still bristled. "You don't say. I think you should start talking a bit more and explain."
Kerrath blinked a few times, looking between them. "..." He blinked a few times more. "I'm not sure what's happening."
Torden began, "The knife, which Argent has slyly moved below the edge of the table, presumably so she can ready it for one of us...I'll guess myself, was found on the body of an officer of the law last night, in the city of Ul'dah. It was in a sack with a few other confiscated items being walked out of impound, and I suspect it was going to be delivered to whomever was paying to make sure the items did not stay in the impound." he glanced at the table a moment in recollection....
Kerrath squinted. "This is a lot more complicated than most of my jobs already."
Torden continued, "The officer did not make it far. Three blocks form the impound barracks, he was murdered, in an alley way of course." he smirked slightly, "And to answer your question no. But my people were following him, he was wanted on other business relevant to my interests."
Seda's ears flattened at Torden's explanation, an angry hiss passing her lips. "The last I saw of this blade was five years previous. It was not in my possession, it should not have been anywhere near the Brass Blades. How did you track it to me?"
Torden offered a one word explanation. "Rucio."
Seda bared her teeth, fangs glinting. "And he just said 'Oh yes, that belongs to Argent, you can find her at this address?' What took you to him?" She didn't explain how this was all connected to Kerrath; she didn't know him terribly well, and was now suspicious he was a plant as well. Rucio had a nasty habit of interfering in her affairs.
Kerrath: "Who's Rucio? Is he some sort of knife-wielding wine-man from La Noscea?"
Torden opened his palms, as if the world was an endless curiosity that could fit inside of them. "The damndest thing, Argent. I had it out on the table as I was paying him. Your name flowed from his lips without hesitation. It was as if he could not wait to implicate you."
Seda hissed again, muttering something like, "I'll fucking kill that bastard this time." She shot Kerrath a look, her eyes a little wild. "Rucio Corcoran is the leader of l'Oeil d'Argent. If you wish illicit entertainments in Limsa, you go to l'Oeil. Women, men, drugs, fighting, gambling - they hold the strings to any number of things, and are endeavoring to branch out into new markets; taking advantage of the unrest of recent events." Her nostrils flared as if she smelled something foul. "He finds someone's weakness and uses it to tie them irrevocably to him, then yanks them around until he tires of the game."
Torden offered narratively to Kerrath, "Of course, there is only one way she could know that."
Kerrath: "...She's worked with him before?"
Torden dimmed his eyes with disapproval at Kerrath. "Come on."
Seda finally settled down into her chair, but kept the dagger in her lap, her jaw tight. She wasn't sure if Torden knew the nature of her relationship with Rucio, and if he didn't, she sure as hell wasn't going to enlighten either of them.
Kerrath: "I am an axe man who has had many battles. My place is not to assume, it is to fight. Forgive me."
Torden: She would work with a man, know his business, and then one day become a fountain of righteous indignation and start a small business? Not in this economy.
Kerrath: "Are you saying she slept with him, or that secretly she is him?"
Torden: Or that she or someone she loves was a victim?
Seda's ears flattened again. Torden was too perceptive for her comfort. She was about to snap something when Kerrath asked his question; the utter disgust on her face would have been comical under other circumstances. "I do not see where the nature of my connection with Rucio is the business of either of you," She growled, her voice tight.
Kerrath looked to Seda. "It's none of my business." He shrugged.
Torden: I believe we have arrived at an uncomfortable truth. Rucio saw the knife, and saw an opportunity to bring some hell down on Miss Ballard, but he underestimated me and the tact I would take. Most do.
Seda turns her eyes back to Torden, her expression wary. "And what do you want for this information? I don't believe for a moment you came out of the goodness of your heart to tell me that he planted the blade and implicated me."
Torden gave his response in a measured beat, each word marching out of his mouth like a soldier on parade. "I want leverage on Corcoran."
Seda blinked. That wasn't what she expected. "Why?" She wasn't entirely certain this wasn't a trap - and she had people to protect.
Torden leaned back, raising his voice just enough to give it weight. "Because he is an operator in my world. Because he is not trustworthy. Because he is a nihilist, Ms Ballard. And you can't do much with a nihilist."
Kerrath: "You can do anything with a nihilist. The lack of a moral code is a gateway to a lot of fun."
Torden: And what do you believe in, Mer Kerath?
Kerrath: "For me, I'm just here to pursue martial excellence. I am quite literally here to win fights."
Torden: It is a gift to be simple.
Seda narrowed her eyes. Torden definitely had her former lover and employer pegged correctly, but still... "You understand that I cannot tell you anything that could only come from me. My hold on him is only effective when his secrets remain secret; the moment they become public, I have no defenses."
Kerrath: "Truly, it is. I know who I am and what I am about. I rest easily and live without regrets. Few are as liberated or spiritually wealthy as me."
Torden nodded to Seda, lips frumped with approval. "Indeed, you've much to think on. I'll leave you to it." he pushed his untouched water away from himself by an inch or two. "I'll make sure you have a way to contact me."
Seda nodded, reaching up with her free hand to run her fingers absently through her hair. "Do that." She looked to Kerrath, her eyes narrowing in speculation. "I may have work for you sooner than expected. I'll need a way to contact you, too."
Torden said only "Anon." as he made his way out, leaving the knife in Seda's capable hands.
Kerrath looked up to Torden, and then to Seda. "I'll pass you a linkpearl. That was, uhm, more than I expected. A very clandestine life you lead."
Seda watched the large man go, already thinking ahead to everything she must do – her office was no longer safe.  She had to go elsewhere. Tonight.  Once he was through the door, she looked down at the dagger in her hands, then up at Kerrath. "I have lived this life for five years. I didn't ask to be dropped back into the one I left behind."
Kerrath: "The life of a mercenary is about as eventful but I'd say we seem to manage stress better, mostly with alcohol."
Seda gave him a look. "I handle stress fine. Finding I am framed for murder is extenuating circumstances." She got to her feet, sliding the dagger in her sash with easy familiarity. "I have some preparations to make, you said I could get a linkpearl frequency?"
Kerrath rose to his feet and offered her a hand--in his rough and well-lacerated palm, a finger missing, lay a pearl. "You looked a hint on edge either way. I know a fellow in the tavern in Drybone, tell him Kerrath sent you and to give you the good stuff on my tab. Strong, but also sweet. A fuzzy head and a cavalier attitude can solve many of life's problems with just a little bit of time." He blinked a few times. "...It also helps to be physically large with a large axe as well."
Seda took the pearl and slid it into a pouch at her belt. "I'll keep that in mind, next time I'm in Drybone. Thank you." She didn't say that she was going to lock the door behind him, indulge in a panic attack, then go surround herself with people she trusted to guard her back; she clung to her dignity with her fingernails. "I should be in touch within a couple of days."
[Part 2]
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fallenrazziel · 6 years ago
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Les Chroniques de Livaï #392 ~ LES DESSINS RACONTENT DES HISTOIRES (octobre 845) Rein Maja, chef de la guilde Maja
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. ​Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes. 
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Encore deux coups, et elle sera parfaite ! Allez, mon garçon, n'hésite pas, martèle-la ! Tourne-la et plonge-la dans le bain.
Un nuage de vapeur submerge la pièce et mon apprenti me présente la lame du bout de sa pince. Je peux déjà en apprécier le fil et le tranchant ; il a de l'avenir. Mais il manque encore d'audace. Ses productions ne sortent pas de l'ordinaire, et si c'est correct pour le matériel militaire standard, il devra sortir des sentiers battus et rebattus pour se faire un nom en tant qu'artisan forgeron.
Je lui tape l'épaule, et sors de la forge fumante afin de chercher un peu d'air. Le sifflement de l'acier trempé retentit un peu partout près de l'atelier, le martèlement des masses qui façonnent les épées des soldats attaque mes oreilles, l'odeur de la poudre à canon emplit mon nez... Que des sons de bonne augure qui laissent présager des espèces sonnantes et trébuchantes.
Depuis quelques mois, la guilde a atteint une renommée que je n'espérais pas. Quand on a su que nous fournissions le bataillon d'exploration et que c'était grâce à notre matériel qu'ils avaient réussi à sauver les civils du Mur Maria, les commandes ont afflué. L'Etat est toujours mon principal client, mais des particuliers s'y sont mis aussi. On a gagné tellement d'argent qu'on a pu monter une fonderie dernier cri, des forges, et embaucher davantage de personnel, ainsi que des apprentis. Je suis bien content. Ma retraite est garantie. Il faut juste que la relève assure derrière car il est hors de question que la guilde Maja perde du terrain.
Je me dirige vers notre atelier de polissage. Je passe ma main sur la volée du dernier canon que nous avons produit et en apprécie la douceur. De la fonte de bonne qualité, qui fera tonner la mort sur les titans s'ils s'approchent de Rose. Cela me donne quelques scrupules de réaliser que la chute du Mur est en partie responsable de notre succès. Tout le monde a tellement peur que le nombre de ces armes a doublé dans tout le Royaume. Même les civils me commandent des armes à feu pour se protéger de la criminalité qui a éclaté suite à l'arrivée massive des rescapés.
Ces engins peuvent aussi tuer des humains, et ils le font plus souvent que je le voudrais. Mais c'est le business. Faut pas avoir trop de morale, sinon on coule.
J'essuie mon front avec mon chiffon fétiche et aperçoit, à travers la sueur qui tombe dans mon oeil valide, des uniformes militaires qui arpentent la place. D'où sortent ces mômes ? Je les ai pas vus arriver. Je les vois comme des mômes mais il sont peut-être plus âgés qu'ils n'en ont l'air, la jeunesse a toujours tendance à vouloir pousser plus vite que le chiendent. J'avise l'écusson sur leurs vestes ; effectivement, ce sont pas juste des gosses, mais des explorateurs. Je me demandais quand ils se pointeraient pour me proposer de nouveaux contrats.
Pas de trace de Smith. Il doit plus avoir le temps alors il m'envoie ses collaborateurs. Comme de juste, un soldat avec des lunettes se dirige vers moi et me tend la main. Elle - c'est une femme - se présente rapidement : Hanji Zoe, chef d'escouade. Elle affiche un large sourire et semble plutôt contente d'être ici. Ses yeux agrandis par les verres s'agitent dans tous les sens sans se fixer sur quelque chose. Eh bien, elle est enthousiaste ! Mais elle ferait mieux de se calmer un peu si elle veut qu'on cause. Je lui propose d'aller dans mon bureau, et elle accepte à contrecoeur de s'éloigner des ateliers.
Une fois assis devant une tasse de thé, elle glisse vers moi une feuille de papier contenant une liste de fournitures et m'annonce que les fonds du bataillon vont bientôt être renfloués grâce à l'afflux de dons. Bonne nouvelle. Je sais que vous ne pouvez plus me fournir de minerai, mais Smith est un ami, je lui ferais de bon prix. Sans compter que nous sommes largement bénéficiaires avec notre nombreuse clientèle, je peux me permettre cette faveur. Je vous ferais parvenir un devis quand mes ouvriers se rendront à Trost.
Elle sirote son thé du bout des lèvres mais je devine qu'elle est fébrile. Il y a un truc qu'elle veut me demander ; un truc en plus auquel elle tient. Mais avant de se lancer, elle reste fixée une minute sur ma prothèse et écarquille les yeux de surprise. Elle lance un "waouh !" presque enfantin et s'approche pour mieux l'examiner. Ouais, c'est une fabrication personnelle, mais ça rend pas la vue. S'il vous en faut un un jour, venez me voir, ce sera du sur mesure, haha !
Elle avance son doigt pour essayer de le toucher mais je m'éloigne un peu. Elle a les mains baladeuses, cette exploratrice. Elle semble réellement fascinée par tout ce qui l'entoure. Elle n'était peut-être jamais venue ici. C'est presque attendrissant. Mais j'ai l'impression que vous êtes venue pour autre chose que les commissions de votre régiment ; quelque chose de plus personnel, non ? Je sais, je le devine à votre façon de vous agiter. Et vous avez pas l'air d'une comptable.
Elle se décide enfin à me tendre un lot de parchemins roulés. Je les déplie et plisse l'oeil pour mieux comprendre de quoi il s'agit. Un enchevêtrement de lignes complexes, de courbes, de textes écrits en pattes de mouche se superposent sur le papier et pendant un moment, je n'ai aucune idée de ce dont il s'agit. Hmm, vous m'expliquez ?
Elle répond qu'il s'agit d'une captureuse de titan, et qu'elle a besoin d'en faire fabriquer deux ou trois selon ce modèle. Vous voulez capturer des titans ? On peut dire que le bataillon mené par Erwin Smith a de l'ambition ! Vous croyez que ça pourrait marcher. Sa voix tremble d'excitation quand elle me demande quel serait le prix pour fabriquer une telle machine.
Il faudrait déjà que nous soyons sûr qu'elle peut fonctionner. La mécanique et l'ingénierie, c'est pas vraiment mon fort. Je suis plus axé métallurgie. Faites pas cette tête, j'ai celle qu'il vous faut. Ma fille doit revenir de Sina demain, avec un chargement complet de bonbonnes de gaz à livrer à Trost. Son truc, ce sont les pierres explosives, elle en supervise l'extraction et le conditionnement entre autres choses. Mais elle trempe aussi dans l'ingénierie ; c'est elle qui a perfectionné les extracteurs miniers, grâce à elle le rendement a été multiplié par deux. Les machines, ça la connaît. Je peux lui dire de faire un saut jusqu'à votre bureau et vous discuterez de ce projet. Elle serait aussi capable de vous annoncer un prix moyen rien qu'en jetant un coup d'oeil à vos croquis.
Le visage de Hanji Zoe s'éclaire enfin et elle se lève de sa chaise, de nouveau surexcitée. Elle me demande si elle peut faire le tour de nos ateliers car elle aimerait jeter un oeil à nos dernières trouvailles. Si vous voulez, mais je peux pas le faire moi-même, un de mes gars s'en chargera. C'est toujours un plaisir de faire faire le tour du propriétaire à nos clients !
Je la raccompagne à la porte et constate que ses hommes - enfin les mômes qui l'accompagnent - attendaient tranquillement devant. Ils sont à vous, ces gosses ? Ils vont aller au front ? Ah... ils sont si jeunes, du lait leur coule encore du nez... Raison de plus pour les armer correctement, qu'elle me répond, les poings sur les hanches. Z'avez raison. Je vous laisse avec mes gars, ils s'occuperont de vous.
Eh ! une dernière chose ! Quand vous verrez Smith, dites-lui qu'il y a toujours une tasse de thé pour lui et que s'il veut jouer aux dés ou aux cartes, il est le bienvenu. Je sais qu'il doit être très occupé, mais... vous lui direz, hein ?
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