#léo p. mills

[nightmareiscoming]

On savait tous que le mariage entre Emma et Matt n’allait pas faire long feu, mais on ne savait pas que ça terminerait chacun d’une façon inusitée… Matt qui finit la soirée en embrassant le beau docteur William et Emma qui termine le tout en bad trip d'héroïne. Dis donc, le mariage nous fait faire des folies ou quoi? Peu importe, j’imagine que chacun de leur côté vous avez trouvez finalement chaussure à votre pied? Elle, l’héroïne et lui, jouer au docteur. J’ai bien hâte de savoir qui seront les prochains à se marier pour voir comment ça se terminera.  La liberté c’est ce qui a de mieux, quand on devient trop attaché, ça devient bien dangereux, n’est-ce pas Jade, Léo? De toute façon, on ne peut pas changer un homme ou une femme du jour au lendemain avec seulement de belles paroles. Vous avez déjà passé à autre chose non? Qu’est-ce qui s’est passé dans cette chambre d’hôtel Jade? Et toi Léo dans cet appartement? Finalement, qui se ressemble s’assemble non? Le mariage et les bébés sont à venir j’imagine? Je ris déjà d’avance.

On dirait que les murs commencent à s’effriter autour de toi petite Olivia. Les fantômes du passé reviennent te hanter? Quelque chose me dit que ça sera amusant de voir comment tu vas passer ton temps maintenant… Un peu de Léo par ci, Arlo par là, Nicholas ici et maintenant Rodrigue. Ça ne s’est pas déjà passé vous deux non? J’imagine que tu n’étais pas du tout à la hauteur devant un mec comme ton demi-frère. Tu vas t’enfuir plusieurs États plus loin encore?

Et si on terminait en parlant d’immigration? Vous ne trouvez pas ça louche que deux Brésiliens atterrissent soudainement sur le territoire américain pour continuer leurs études? Hé bien Alexel et Cassia, je dirais que fuir n’est pas toujours la bonne solution, vous êtes ici pour vos études pas pour cacher la vérité. Peut-être que vous ne me connaissez pas encore, mais je vais me faire un vilain plaisir de dévoiler le tout prochainement. Choisir de s’installer à Miami c’est aussi vivre avec moi.

Sinon les échecs amoureux ça se vit au quotidien, mais je ne comprends pas pourquoi Justin crois toujours qu’il est toujours dans la partie avec la petite Sky. Qu’est-ce que vous avez en commun? Où vous dirigez-vous? C’est vrai qu’avoir un taudis pour danser ça fait de toi un vrai homme. Sinon, tu devrais peut-être te poser des question sur ta dulcinée qui te joue bien dans le dos. Et Nicholas pourras-tu mettre tes couilles vu qu’Alyssa est dans les parages? J’ai comme un gros doute là-dessus. Et toi Derek c’est en jouant les gros machos que tu pourras atteindre le coeur de Brooke? Cette fille a pourtant pas mal envie d’aller jouer dans plusieurs cours, je me demande à quoi tu t’attends vraiment avec elle. Quoi qu’il en soit je dirais que vous êtes totalement aveuglés par les paillettes qui tombent devant vos yeux. Rien à Miami est assez beau et durable. En attendant que la belle au bois dormant que je nomme Aloysia se réveille, je dirais que Blake n’a jamais autant patiner! Comprends-tu mon jeu de mots? Ce que je peux être drôle! Non, mais une fois mariée Blake ta place est désormais perdue, cesse-donc de te tourmenter… De toute façon, tu ne dois pas l’être assez si tu vas jouer aux fesses ailleurs.

À bientôt mes chéris parce que je vous réserve des petits défis forts amusants! Faites ce que je vous dis ou subissez la terrible vérité.

[madamecercle]

===uBu===infos : Cause (re-cause encore)

P. Léo Pléonasme : — Salut et mille très bons jours !

Serait-ce la série "Drôle de case" que voilà qui se continue ? Que non et pas du tout ! Ce ne sont que des petits cailloux et crottes de-ci de-là au bord du fleuve. Ni pont ni même passerelle à l'horizon. La Madame égarée dans ses errements erre toujours dans ses égarements : pas moyen de saisir la suite véritable.

Vous saurez que le récit reprend sa course, s'il peut jamais la reprendre, avec la suite du foliotage des cases (ce serait : 47). Les images sans numéro comptent donc pour du beurre : vous qui êtes riches, autant les éviter.

[madamecercle0]

===uBu===infos : Cause (re-cause encore)

P. Léo Pléonasme : — Salut et mille très bons jours !

Serait-ce la série "Drôle de case" que voilà qui se continue ? Que non et pas du tout ! Ce ne sont que des petits cailloux et crottes de-ci de-là au bord du fleuve. Ni pont ni même passerelle à l'horizon. La Madame égarée dans ses errements erre toujours dans ses égarements : pas moyen de saisir la suite véritable.

Vous saurez que le récit reprend sa course, s'il peut jamais la reprendre, avec la suite du foliotage des cases (ce serait : 47). Les images sans numéro comptent donc pour du beurre : vous qui êtes riches, autant les éviter.

[uneminuteparseconde]

Des concerts à Paris et autour

Mai 09. John Wiese + Me Donner – Instants chavirés (Montreuil) 09. Virginia + UVB + Théo Muller b2b Sottoh – La Machine 10. Savon Tranchand + Random Cult – Le Zorba (gratuit) ||ANNULÉ|| 10. Derya Yildirim & Grup Simsek + Stranded Horse (Le Beau fest.) – La Petite Halle 10. SeRvo + Fiasco + Die Süsse Teufel – Espace B 11. Stephen O'Malley (dj) + Cameron Jamie (dj) – Chair de poule (gratuit) 11. And Also the Trees + Tropic of Cancer + Better Person + En attendant Ana + Magic Island (Le Beau fest.) – Trabendo 11. Sick Llama + Hit & Run + Minute de S + Jazzercisers – Le Petit Café 11. Lenny Dee + Manu le Malin + Docteur Macabre + Torgull – Rex club 11. Voiron + Murd + Léo Occhi + No One Famous + Mediane + Vakarm + Keikari – La Station 12. TRDLX & Soul Archive : "Vibration" – Auditorium|Musée Guimet (gratuit sur résa) 12. Deerhoof + Ulrika Spacek + First Hate + Pantin plage + Le Couleur [+ Good Morning : ANNULÉ] (Le Beau fest.) – Trabendo 12. Disposition Matrix + Domotic + Désiré Bonaventure (dj) – L'Époque 12. Ellen Arkbro + Stine Janvin + Ora Clementi (Crys Cole & James Rushford) + David Rosenboom – Le 104 12. I Hate Models + Ancient Methods + Rrose – La Machine 13. God is an Astronaut – Trabendo 13. Pierre Henry "Labyrinthe !" + Eliane Radigue "Kyema" + Bernard Parmegiani " La Création du monde" – Le 104 14. Bryan's Magic Tears + Le Villejuif Underground + VvvV – La Maroquinerie (gratuit sur résa) 14. Thomas Köner (rencontre, vidéo, diffusion) – Cinéma 2 |Centre Pompidou 15. Sinivia Alvise + Erwan Keravec & Mats Gustaffson + Orchestre orange & Gëinst (fest. Switch) – Théâtre de Vanves 17. Moor Mother + Boy Harsher + Succhiamo (fest. Ideal Trouble) – La Station 17. Alessandro Cortini + Fléau – Petit Bain 17. Clément Edouard + Giani Caserotto + Elise Dabrowski & Claudine Simon (fest. Switch) – Théâtre de Vanves 17. Frédéric Dumont + Franck Vigroux & Kaurent Gaudé : « Le Chant des sept tours » (Marché de la poésie) – Le Cube (Issy-lès-Moulineaux) (gratuit sur résa) 18. Salsa + Tisiphone – Le Zorba (gratuit) 18. Sister Iodine + Ramleh + B-Ball Joints (Low Jack) (fest. Ideal Trouble) – La Station 18. Samuel Andreyev + Laurent Durupt – église Saint-Merri 18. Joachim Florent + Nox.3 & Linda Olah + Chassol (fest. Switch) – Théâtre de Vanves 18. Yann Gourdon + Ratcharmer – Le Satellite (Aubervilliers) 19. Yo La Tengo – Cabaret sauvage 19. Horse Lord + Das Ding + Noir Boy George (fest. Ideal Trouble) – La Station 19. Deux boules vanille + Mondkopf + The Noise Consort (fest. Switch) – Théâtre de Vanves 19. Mohamed Lamouri + Groupe Mostla (Nuit des musées) – Auditorium du MacVal (Vitry/Seine) (gratuit) 19. 999999999 + Raär + Under Black Helmet + Dax (dj) + Parfait – tba 20. Of the Wand & the Moon + The Dark Red Seed + Vesperal + Slowdive (dj set) – Supersonic (gratuit) 20. Bundle of Joy (Barnt & Superpitcher) + La Mverte + Xeno & Oaklander (fest. Ideal Trouble) – La Station 20. Biscuit Mouth + Melkbelly + Storm{o} + BadBad – Espace B 20. December + AZF + Cité lumière + Oktober Lieber + Mon Alberteen (fest. Ideal Trouble) – La Station 20. SNTS + Anetha + Pfirter + Terence Fixmer... (Marvellous Island fest.) – Ile de loisirs (Vaires-Torcy) 22. Carpenter Brut – tba (gratuit sur résa) 22. Zëro + Moodie Black – Petit Bain 23. L'Ocelle Mare – Chair de poule (gratuit) 23. Buzz Kull + IV Horsemen – Espace B 23. Irena & Vojtech Havlovi + Tamara Goukassova + Radiante Pourpre – Ourcq blanc 23. Otomo Yoshihide + Kaze – Instants chavirés (Montreuil) 24. Sheezahee + Kevin Thomson – tba 24. Sourdure + L'Ocelle Mare + Bégayer – Cirque électrique 24. Otomo Yoshihide & Chris Pitsiokos + Ikuro Takahashi – Instants chavirés (Montreuil) 24. HMLTD + Faire (dj) – Petit Bain 25. Mogwai + Jon Hopkins + James Holden & The Animal Spirits (Villette sonique) – Grande Halle de La Villette 26. Kelly Lee Owens + The Sea & Cake + Tzusing + The Field + Richard Dawson + Ariel Kalma + Jackie Mendoza + Flamingods + Sassy 009 (Villette sonique) – Prairie du cercle nord et périphérique (gratuit) 26. Black Zone Myth Chant + Colin Johnco + Domotic +  Fatal Walima (Villette sonique) – Jardin des îles|Parc de La Villette (gratuit) 26. Car Seat Headrest + Naked Giants (Villette sonique) – Trabendo 26. Marquis de Sade + Anna Von Hausswolff + Exploded View (Villette sonique) – Grande Halle de La Villette 26. Paolo Tecon + Tôle froide + Orage plastique + Badbad – La Parole errante (Montreuil) 26/27. DVS1 + Bens Sims + Antigone + Freddy K + Lory D + Fabrizio Lapiana + Kas:st + Cem + Myako... – Concrete 27. Bisou de Saddam + King Khan + Miley Serious + Paul Seul (Villette sonique) – Jardin des îles|Parc de La Villette (gratuit) 27. Abra + Essaie pas + Flohio + Nilüfer Yanya + Smerz + Snail Mail + Hookworms + Fire! + Mario Batkovic (Villette sonique) – Prairie du cercle nord et périphérique (gratuit) 28. The Chamelons – Supersonic 29. Deerhunter + Midnight Sister (Villette sonique) – Cabaret sauvage 29. Camille Emaille, Nina Garcia & Arnaud Rivière + Zaraz Wam Zagram & Sig Valax + Laurent Di Biase – Instants chavirés (Montreuil) 29. The Damned + Vile Assembly – Petit Bain ||COMPLET|| 30. The Damned + Daddy Long Legs – Petit Bain 30. Igorrr + Ni – Les Cuizines (Chelles) 30. John Maus + Flat Worms + Kate NV (Villette sonique) – Trabendo ||COMPLET|| 31. Gaël Segalen + Adrien Kanter – Le Zorba (gratuit)

Juin 01. Les Tétines noires – Centre FGO-Barbara 01. Heimat + Ventre de biche + Cachette à branlette + Johnny Couteau + Laura Krieg – Le Chinois (Montreuil) 02. Fatherkid + Ugut + Jean-Lous Costes + Philippe Petit – Espace Topographie de l'art (gratuit) 02. Penguin Café – Fondation Cartier 02. Juan Atkins + Blush Response & Katran + Volition Immanent + CJ Bolland & D. Carbone + Dave Angel + dj Pierre + Nostromo (SΛRIN & Unhuman) + Blind Delon + Dersee + Ethan Fawkes + Headstrong (Clouds & Randomer) + Size Pier + Symetrical Behaviour (VSK & Conrad Van Orton)... – tba 02/03. Björk + Beck + Jamie XX + King Krule + Father John Misty + Migos... (fest. We Love Green) – Bois de Vincennes 03. Modern English – Supersonic 03. Cranky Bow + Andcl + High Heal – L'époque 03. An Albatross + We Insist ! + F/lor & Céline Wagner (fest. BD6Né) – Petit Bain 06. Heimatlos + Li Jianhong + Mei Zhyong + Wang Ziheng (Eastern Noise Congregation) – Les Voûtes 06. Terrie Ex & Kaja Draksler + Defuse – Instants chavirés (Montreuil) 07/08. Molly Nilsson – Badaboum ||COMPLET|| 08. Chocolat + The Soap Opera + Jaromil Sabor – Supersonic (gratuit avant 23h) 08. Monolithe noir + Colin Johnco – Olympic café 08. Robert Henke & Marko Nikodijevic : "From within" (fest. ManiFeste) – Cité de la musique|Philharmonie 09. Trisomie 21 + Delacave – La Maroquinerie 09. Waxahatchee – Espace B 09. The Driver + Renart + Le Cabaret contemporain + "In C" de Terry Riley + Le Comte + Arandel (dj) + Dudmode + Ambeyance (dj) + Clément Bazin (dj) – La Station 11. Preoccupations + Moaning – La Maroquinerie 11. The Dead C – Instants chavirés (Montreuil) 12. Damo Suzuki's Network – Espace B 12. Thom York – L'Olympia 13. L7 – La Cigale 13. Marietta + Canari – Mains d'oeuvre (Saint-Ouen) 14. Ty Segall & The Freedom Band + Mike Donovan – Bataclan 14. Troum + Flint Glass + Maninkari – Instants chavirés (Montreuil) 15. Bernard Grancher + Infecticide + Les Trucs – Centre Barbara-FGO 15. Varsovie + Carpet Burns + Marécage – Supersonic (gratuit avant 23h) 15. Anne-James Chaton & Andy Moor : "Heretics"  – Instants chavirés (Montreuil) 15. Blawan + Laval (Electric Rescue & Kmyle) – Rex Club 15/16. Ryoji Ikeda : "Datamatics" – Centre Pompidou 16. Ryoji Ikeda : "Formula" – Centre Pompidou 16. Ryoji Ikeda : "c4i" – Centre Pompidou 16. Vitalic (fest. Bains numériques) – Lac d'Enghien-lès-Bains (gratuit) 17. Animal Collective – Le Trianon 18. A Band Called E + Toro – Espace B 19. Publique + Luxury – Le Klub 19. Mörpheme + Unlogistic + Pour X raisons – La Comedia (Montreuil) 22. Modern Life Is War + Cro Mags – Petit Bain 23. Crack Cloud – Supersonic (gratuit) 25. Nine Inch Nails – Olympia ||COMPLET|| 27. The Jesus & Mary Chain – Le Trianon 27. Deaf Kids + Bracco – Instants chavirés (Montreuil) 28. La Colonie de vacances – La Station 29. Cocaine Piss + SHIT + Sordid Ship + Harassment – Le Gibus 29. Wolves in the Throne Room – Petit Bain 29. Fred P. aka Black Jazz Consortium + Tin Man + Kay Alce b2b Patrick Gibin + Skee Mask (Macki Music fest.) – parc de la mairie (Carrières/Seine) 30. A Deep Groove + Antal + Golden Dawn Archestra + Blake Baxter + Muddy Monk + Saint DX + Toshio Matsuura + Vox Low + Nathy Peluso (Macki Music fest.) – parc de la mairie (Carrières/Seine) 30. Eliott Litrowski (Macki Music fest.) – boat party 30. Echo Collective joue "Amnesiac" de Radiohead (fest. Days Off) – Le Studio|Philharmonie 30. Nils Frahm (fest. Days Off) – Salle Pierre-Boulez|Philharmonie

Juillet 01. Motor City Drum Ensemble + Josey Rebelle + Cotonete + Lomboy + Ceephax Acid Crew + Kamaal Williams + HDBeenDope + Sentiments (Macki Music fest.) – parc de la mairie (Carrières/Seine) 01. Nick V (Macki Music fest.) – boat party 01. Zaltan (Macki Music fest.) – boat party 03. David Byrne (fest. Days Off) – Salle Pierre-Boulez|Philharmonie 04. MGMT (fest. Days Off) – Salle Pierre-Boulez|Philharmonie ||COMPLET|| 05. Brnsrpprs + Brns + Ropoporose (7 ans de Petit-Bain) – Petit Bain 06. Trami Nguyen et Laurent Durupt jouent "Piano Phase" de Steve Reich + Bruce Brubaker + Laake + Fabrizio Rat + Murcof & Vanessa Wagner + Tom Rogerson + Grandbrothers (fest. Days Off) – Cité de la musique|Philharmonie 06. Amelie Lens + Daniel Avery + Floating Points + Folamour + Jeff Mills + Laurent Garnier + Kink b2b Gerd Janson + Not Waving + Solomun... (The Peacock Society) – Parc floral (Vincennes) 06/07. Orchestre tout puissant Marcel Duchamp + Odessey & Oracle + Warum Joe + The Monochrome Set + The Experimental Tropic Blues Band + Sida + Hyperculte + Snapped Ankles + White Heat + Tonnerre + USA Nails + Bracco + Lèche-moi + Brandt... (La Ferme électrique) – La Ferme du Plateau (Tournan-en-Brie) 07. Sister Iodine (La Ferme électrique) – La Ferme du Plateau (Tournan-en-Brie) 07. Richie Hawtin + Tale of Us + Charlotte de Witte + Chloé + Maetrik + Mano Le Tough + Octo Octa + Joy Orbison b2b Kornel Kovacs (The Peacock Society) – Parc floral (Vincennes) 08. Maulwürfe – La Gaîté lyrique 09. Eels – Olympia 12. Chelsea Wolfe + Emma Ruth Rundle – Trabendo 13. Ministry + Grave Pleasures – Elysées Montmartre 14. Papier Tigre + Pyjarama + Puissant Blaster – Espace B 24. Dirty Fences – Supersonic (gratuit)

Août 20. Front Line Assembly + Die Krupps – La Machine 24. Die Antwood + Carpenter Brut + Dirty Projectors + Parcels... (fest. Rock-en-Seine) – Domaine de Saint-Cloud 26. Jessica 93 + Idles + The Black Angels + Bonobo + Justice... (fest. Rock-en-Seine) – Domaine de Saint-Cloud

Septembre 01. Ariel Pink (Paris Inter. Fest. of Psychedelic Music) – La Machine 01>04. Molly Nilsson + Vox Low + Male Gaze + Prettiest Eyes + Volage + TH da Freak + Cut Worms + Petit Fantôme + Dead Sea + Faux Real + Saint DX... (Paris Inter. Fest. of Psychedelic Music) – tba 04. Thee Oh Sees (Paris Inter. Fest. of Psychedelic Music) – La Cigale 05. Feist – L'Olympia 07. Conflict + Humandogfood + Social Experiment – Le Gibus 20. The Brian Jonestown Massacre – La Cigale 22. The Wedding Present – Point FMR 22. Paula Temple + LSD... (Dream Nation fest.) – Docks de Paris (Aubervilliers) 26. Sleaford Mods + Consumer Electronics – Le Trianon

Octobre 04. Ballaké Sissoko & Vincent Segal – La Seine musicale (Boulogne-Billancourt) 20. Tallinn Chamber Orchestra : Fratres, Cantus in memoriam Benjamin Britten, Adam's Lament, Salve Regina et Te Deum d'Arvo Pärt – Salle Pierre-Boulez|Philharmonie 26. Jon Hopkins – Trianon 27. Killing Joke – Cabaret sauvage

Novembre 01>03. Bon Iver + Fever Ray + Mac DeMarco + Blood Orange... (Pitchfork Music fest.) – Grande Halle de La Villette 04. Peaches Christ Superstar – Cité de la musique|Philharmonie 05. Colin Stetson – Café de la danse 18. Ensemble Links : Drumming de Steve Reich – Cité de la musique|Philharmonie 21. The Breeders – Le Trianon 23. Michael Nyman : "War Work: 8 Songs with Film" – Salle Pleyel 23. Ennio Morricone – Bercy Arena 27. Mudhoney – Trabendo

Décembre 01. Deux boules vanille (fest. Marathon!) – La Gaîté lyrique 09/10. Moriarty – Cité de la musique|Philharmonie 15. Gaspar Claus – Cité de la musique|Philharmonie

2019

Avril 14. Arnaud Rebotini joue la BO de "120 Battements par minute" – Cité de la musique|Philharmonie

Mai 17. Philip Glass : Études pour piano – Salle Pierre-Boulez|Philharmonie 18. Bruce Brubaker & Max Cooper : Glasstronica – Cité de la musique|Philharmonie

Juin 26. Magma – Salle Pierre-Boulez|Philharmonie

en gras : les derniers ajouts / in bold: the last news

[chiaraetmoi]

Mille et une nuit... Collier, bracelet et bracelet Léo - métal doré. Created by @chiaraetmoi Plante fittonia #creations #jewels #jewelry #bijoux #design #chiaraetmoibijoux #chiaraetmoijewels #chiaraetmoidesign #metaldore #gold #yellow #leopard #star #etoile #decorationinterieur #plant #plante #fittonia https://www.instagram.com/chiaraetmoi/p/BvGu03aF7h-/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=nnqtf7jscpnc

[kyeyearbook]

Nicole Rayka Knowles  — 23 ans — South Florida — Etudiante en graphisme. — Epsilon - HHH — ( Aka ~ Zendaya )

» s a b i o g r a p h i e

Les blessures d'âme sont appelées ainsi car elles sont profondes et si l'on parvient à s'en libérer, notre essence peut enfin voir le jour, c'est la “revel essence” (de soi). On dit également qu'elles sont existentielles ou fondamentales : en effet, elles donnent le ton ou la couleur à notre existence, elles conditionnent nos rapports aux autres, notre mode de fonctionnement et génèrent dans notre vie par nos pensées et comportements, tout ce qui nous arrive. r e j e t. La personne qui en souffre se sent rejetée au plus profond de son être et surtout dans son droit d'exister, elle concerne souvent l’enfant non désiré et rejeté par un parent. L'origine du mal est que le fuyant ne s'est pas senti accepté ni accueilli par son parent du même sexe.Il recherche donc sans cesse l'amour de ce parent ou en transférant sa quête vers d'autres personnes du même sexe.Il croit ne pas être un individu complet tant qu'il n'aura pas conquis l'amour de ce parent. Très sensible à la moindre remarque venant de ce parent il se sent facilement rejeté et blessé en cas de contradiction. Se développe ensuite la rancune, voire la haine, tellement la souffrance est forte.Par contre avec le parent de sexe opposé le fuyant a tendance à le rejeter et se retient dans ses actions ou paroles face à lui. Pour se protéger l'individu en question se dote d'un masque de fuyant pensant que s'il fuit les situations de rejet, il ne souffrira pas. C'est évidemment une erreur, en se comportant ainsi, il s'embarque dans un cercle vicieux qui va justement alimenter cette même croyance du rejet. Cela se manifeste également physiquement avec un corps étroit et contracté ne voulant pas prendre trop de place à l'image du fuyant qui essaiera toute sa vie de ne pas utiliser trop d'espace. Le fuyant doute de son droit à l'existence , ainsi pour se défendre il fuit dans son monde imaginaire rêvassant continuellement. Ce masque l'interdit d'être lui même, son instinct de survie l'obligeant à fuir toute situation où il risque le rejet de sa personne. Le fuyant préfère ne pas s'attacher aux choses matérielles car elles l'empêcheraient de fuir à son goût et de toutes les manières.L'argent ne lui apportant aucun plaisir il le dépense uniquement par nécessité. La personne blessée aura dès lors tendance à douter sur son propre droit d'existence et à se demander pourquoi elle est là, quelles sont finalement les raisons de son existence sur terre. C'est ainsi qu'elle va avoir du mal à accepter qu’elle puisse être aimée, et va se rejeter elle même  des situations ou elle pourrait s’attacher, par crainte de souffrir de cette blessure. Ainsi, lorsqu'elle est en groupe ou en couple, elle va toujours chercher le moyen de fuir et de saboter ses relations, d’autant plus qu’en doutant de son droit d’exister, elle pense qu’elle n’a aucune valeur et qu’elle n'est pas capable d'apporter du bonheur aux autres. Il vit dans l'ambivalence. Quand il est choisi, il ne le croit pas et se rejette lui même pour finir parfois par saboter une situation. Lorsqu'il n'est pas sélectionné, il se sent rejeté par les autres , c'est un cercle vicieux. Quand il parle et qu'on lui coupe la parole, sa réaction est de penser qu'il n'est pas important , de plus il n'ose pas donner son opinion de peur d'être rejeté. De même s'il a une demande à faire à une personne occupée il laissera tomber et ne dira rien se croyant si peu important pour déranger l'autre. Il pense qu'être compris signifie être aimé or aimer est accepter l'autre même si on ne le comprend pas. Cette peur du rejet ainsi nourrie finira toujours par se concrétiser sans discontinuer. Plus le fuyant se rejette lui même, plus il a peur de se faire rejeter. Il se dévalorise sans cesse, se compare souvent à mieux que lui ce qui porte à croire qu'il est moins bien que les autres. Il a de la difficulté à croire qu'on puisse le choisir comme ami comme conjoint ou que les gens puissent véritablement l'aimer. Ce qui aura pour effet de diminuer sa valeur d'Être Humain. Son objectif est de sans arrêt chercher la validation des autres. Le fuyant parle peu et s'il le fait ce sera pour se mettre en valeur aux yeux d'autrui. Il pense que s'il vit dans son monde il ne souffrira plus car ne sera plus rejeté par les autres. Il recherche la solitude car s'il recevait beaucoup d'attention il aurait peur de ne pas savoir quoi faire. C'est comme s'il était de trop , en famille ou dans n'importe quel groupe il s'efface . Il croit qu'il doit subir plein de situations désagréables comme s'il n'avait pas le droit de riposter. Le fuyant a très peu d'amis à l'école. On le considère comme solitaire et on le laisse seul. Plus il s'isole et plus il semble devenir invisible, il devient tellement effacé que les autres ne le voient plus. Il se retrouve de plus en plus seul et se donne ainsi les raisons de se sentir rejeté. Une autre caractéristique du fuyant est la recherche de la perfection dans tout ce qu'il fait car il croit que s'il fait une erreur il sera jugé donc rejeté.

#F A C T.

ღ Abandonnée a la naissance, Nicole se fait adoptée par des américains a ses 3 ans.

ღ Le centre d’adoption n’a jamais pu lui dire avec exactitude d’où elle était originaire, elle en souffre énormément encore aujourd’hui.

ღ Plus jeune, elle a eu honte de sa couleur, aujourd’hui elle se fait croire a elle-même qu’elle s’assume, mais ça reste compliqué. 

ღ Ses parents n’ont pas eu assez d’argent pour la faire étudier a St - léo, sa première année d’université se fera donc a South, horrible année. Dorénavant a st - léo grâce au ciel, elle s’y sent beaucoup mieux ; noyée dans la masse.

»  s o n  p o i n t  d e  v u e  S F / S L.

son rêve? être remarquée dans ce monde qui brille de milles couleurs, elle veux faire partie de ces gens bien habillés, bien présenté, la guerre n’a pas lieu d’être et nicole ne cesse de tenter de s’intégrer.

» s e s l i e n s ▬ Finlee Byron Musumeci ; “ no thx. ” c’est pas un homme bien. tu le sais, il transpire les emmerdes, mais il te fais constamment des avances, et peu à peu tu chavires pour ces yeux doux. tu hésites, et pour le moment rien n’a encore eu lieu tu pris le ciel pour jamais n’avoir un homme comme ça dans ton lit, tu rêves d’un jeune aristocrates blanc qui te ferais vivre enfin une belle vie, mais tu n’as que ce petit merdeux qui a sa façon te fais comprendre qu’il tient a toi. 

▬ Ambre Ford ; “ infortune friends. ”

pas nées au bon endroit et pourtant faites pour s’entendre, toutes deux avez des rêves distinct mais qui peuvent se rejoindre d’un certain point. Vous vous êtes épaulez avant d’arriver a saint-léo et maintenant c’est idem, cette chance d’être enfin a votre place ne vous fais pas peur tant que vous êtes ensemble.

▬ Clarke Even Middleton ; “ you are my best enemy ” Elle, c’était la reine des abeilles. Tu l’adulais, comme tout le monde. Elle t’a fait croire que vous pouviez être amies, que vous alliez être les meilleures amies même. Foutaises. Une semaine de gentillesse, un mois de douleur où tu étais esclave de sa personne. Et puis un jour tu as dis non. Le jour qu’elle attendait, pour te foutre dans une merde pas possible, se retournant contre toi, elle t’a humiliée, auprès des professeurs, de tes sois disant nouveaux amis. Elle s’est révélée comme elle est vraiment, une peste, une horreur. 

[keesart]

Suggestion de vieux poète #paristesouris #paname #paris #leoferre Paname Léo Ferré Paname On t'a chanté sur tous les tons Y'a plein d' parol's dans tes chansons Qui parl'nt de qui de quoi d' quoi donc Paname Moi c'est tes yeux moi c'est ta peau Que je veux baiser comme il faut Comm' sav'nt baiser les gigolos Paname Rang' tes marlous rang' tes bistrots, Rang' tes pépées rang' tes ballots, Rang' tes poulets rang' tes autos Paname Et viens m'aimer comme autrefois, La nuit surtout quand toi et moi On marchait vers on n' savait quoi Paname Y'a des noms d' rues que l'on oublie, C'est dans ces rues qu'après minuit, Tu m' faisais voir ton p'tit Paris Paname Quand tu chialais dans tes klaxons, Perdue là-bas parmi les homm's Tu v'nais vers moi comme un' vraie môme Paname Ce soir j'ai envie de danser, De danser avec tes pavés Que l' monde regarde avec ses pieds Paname T' es bell' tu sais sous tes lampions, Des fois quand tu pars en saison Dans les bras d'un accordéon. Paname, Quand tu t'habill's avec du bleu, Ça fait sortir les amoureux Qui dis'nt " à Paris tous les deux " Paname, Quand tu t'habill's avec du gris, Les couturiers n'ont qu'un souci, C'est d' fout' en gris tout's les souris. Paname, Quand tu t'ennuies tu fais les quais, Tu fais la Seine et les noyés, Ça fait prend' l'air et ça distrait, Paname, C'est fou c' que tu peux fair' causer, Mais les gens n'sav'nt pas qui tu es, lls viv'nt chez toi mais t' voient jamais. Paname, L' soleil a mis son pyjama Toi tu t'allum's et dans tes bras Y'a m'sieur Haussmann qui t' fait du plat, Paname, Monte avec moi combien veux-tu? Y'a deux mille ans qu' t' es dans la rue, Des fois que j' te r'fasse un' vertu. Paname Si tu souriais j'aurais ton charme, Si tu pleurais j'aurais tes larmes, Si on t' frappait j' prendrais les armes, Paname, Tu n'es pas pour moi qu'un frisson Qu'une idée qu'un' fille à chansons Et c'est pour ça que j' crie ton nom... Paname, Paname, Paname, Paname (à Paris, France) https://www.instagram.com/p/Bq9rrSOAPOS/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=hpq65m88gzuq

[blog-bishop]

Nouvelles acquisitions (Mars 2018) Rattrapage

Dimanche 04.03.18 Boulinier Frank MacShane - Raymond Chandler - Le gentleman de Californie

Victor Hugo - Roman I - Han d'Islande, Bug-Jargal, Le dernier jour d'un condamné, Notre-Dame de Paris, Claude Gueux, Annexe : Le Bug-Jargal du conservateur Littéraire (Bouquins Robert Laffont) Victor Hugo - Théâtre II - Ruy Blas ; les Burgraves ; Torguemada ; théâtre en liberté ; les jumeaux ; mille francs de récompense ; l'intervention (Bouquins Robert Laffont) Victor Hugo - Critique - La Préface de "Cromwell". Littérature et philosophie mêlées. William Shakespeare. Proses philosophiques des années 60-65 (Bouquins Robert Laffont)

Lundi 12.03.18 Via internet Roger Blin - Souvenirs et propos recueillis par Lynda Bellity Peskine

Samedi 17.03.18 Boulinier Richard Llewellyn - Qu'elle était verte ma vallée ! Vu et aimé le film de John Ford qui m'a donné envie de jeter un œil au roman.

Samedi 24.03.18 Boulinier Daniel Gillès - Le spectateur brandebourgois J'avais adoré la bio de Gillès sur Tchékhov. Que vaut-il dans le roman ? Francis Lacassin - Pour une contre-histoire du cinéma Pierre Berger - René Char - Poètes d'aujourd'hui

Gibert Joseph Daniel Pantchenko - Léo Ferré - Sur le boulevard du crime - Au TLP-Déjazet de 1986 à 1992 Outre l'histoire du TLP-Déjazet, ce livre contient un concert inédit de Ferré ainsi que 2 entretiens du même.

Librairie Rieffel - 15, rue l’Odéon, Paris Guy de Chézal - Parachuté en Indochine - J'ai lu leur aventure Michel Borwicz - Ecrits des condamnés à mort sous l'occupation nazie Knut Hamsun - Romans (La Pochothèque)

Contient : Faim, Mystères, Pan, Sous l'étoile d'automne, Un vagabond joue en sourdine, La Dernière Joie, Vagabonds, August le marin, Mais la vie continue D'Hamsun j'ai juste lu Mystères, dont je n'ai pas un grand souvenir, mais pas un mauvais non plus. D'après I.B. Singer, il faut lire en priorité Faim et Pan. (Voir son article éclairant dans Les cahiers de L'Herne Singer.) Hamsun a beaucoup influencé des écrivains américains, comme John Fanté ou Henry Miller. Miller raconte qu'un jour il se retrouve à la même table que Singer (auteur que Miller vénère tout autant qu'Hamsun) et il lui dit : « Vous avez lu Knut Hamsun  » Singer répond : « C'est mon écrivain préféré. » 

Jeudi 29.03.18 Via Gibert Joseph.com Gilbert Joseph - Une si douce occupation - Simone de Beauvoir et Jean-Paul Sartre 1940-1944

On comprend  dès le début de ce livre sur Sartre et Beauvoir, que l'auteur ne porte pas le célèbre couple dans son cœur et que rien ne leur sera épargné. Sartre, d'abord. Gilbert Joseph insiste sur sa lâcheté pendant la guerre, sa manière de piquer des pointes de vitesse (sur la route, au moment de la débâcle), dès qu'il entend une détonation. Sa phobie du sang (est-ce sa faute ?), qui le rend « incapable de prêter assistance » ; sa saleté : captif dans un stalag, il vit dans sa crasse et ne se lave que forcé par ses camarades. On le surnomme « l'homme aux gants noirs » à cause de ses mains toujours sales. (tiens, tiens) Etc.

Beauvoir ensuite : hautaine, auto-centrée, d'abord paniquée par la présence de l’occupant, puis capable de faire un voyage dans un camion militaire allemand jusqu'à Paris, afin d’éviter de côtoyer un couple de Hollandais qui la révulse.

Selon l'auteur, ce qui travaille Sartre et Beauvoir, (au moment de la débâcle, elle n'a encore rien publié, mais ça n’allait pas tarder...) c'est avant tout leur œuvre et comment ils allaient pouvoir continuer à écrire sous la botte allemande. Sartre n'a jamais énoncé ses idées en public. Que pense-t-il de l'occupant ? De Vichy ? Du sort des Juifs ? On l'ignore. Alors qu'on lui propose de s'évader à plusieurs reprises du Stalag où il est retenu, il refuse. Preuve de sa lâcheté évidente, selon l'auteur, ou de sa prudence, pourrait-on dire, qui lui fait préférer l'attente à l'action. Cela fait-il de Sartre un salaud définitif ? L'auteur ne lui reconnaît qu'une seule qualité : sa faculté à écrire dans n'importe quelle circonstances. La preuve : ces manuscrits trimballés partout durant sa captivité.

Il y a tout de même l'épisode peu glorieux de la pièce que Sartre monte dans le Stalag, avec l'autorisation des allemands. Sartre choisit un sujet biblique. La pièce donne une vision caricaturale des juifs, déicides, âpres au gain, et des camarades de Sartre se rappellent la façon qu'il avait de diriger les comédiens, en leur montrant comment « jouer le juif », ce qui faisait s'esclaffer les gardiens allemands et les spectateurs antisémites. Plus tard, Sartre fait jouer ses pièces Les Mouches et Huis Clos avec la bénédiction de l’occupant. On le voit rire plaisanter en coulisses avec des nazis et cela encore le lendemain du débarquement. Alors que les combats font rage en Normandie, Sartre donne une conférence sur... le théâtre. Un mois plus tard, les services culturels allemands font encore l’éloge de Huis Clos dans leur revue.

Outre ces épisodes, on a envie de pardonner à Sartre ses petites lâchetés. Tout le monde ne peut pas être un héros, qui déciderait de résister à l'ennemi envers et contre tout, tenant un siège jusqu'à la mort, ou s'évadant de son unité avant d'être capturé par l'ennemi, afin de continuer le combat autrement. Qui sait comment on se serait comporté soi-même, sans doute pas plus bravement que Sartre. Vieille rengaine.

Ce qui est plus gênant pour l'auteur des Chemins de la liberté, c'est qu'au lieu de décrire pour le lecteur cette lâcheté banale et bien humaine, il cherche très vite à écrire sa légende et à se donner le beau rôle. Ses manuscrits qu'il trimballe dans 3 musettes contiennent l'ébauche de L'âge de raison (1ere partie des Chemins...) dans lequel il se décrit sous les traits et l'action d'un héros. Ce portrait lui sera reproché après la guerre par un des camarades de son unité. A quoi Sartre répondra que son personnage, Mathieu, n'est qu'un porte-parole, qu'il est celui qu'il aurait voulu être, c'est-à-dire : un héros. Sauf qu'il fait cet aveu en privé, et que pour le lecteur, l'identification auteur-personnage demeure trompeuse. Nadeau, qui pourtant admirait de Sartre, ne s’y trompera pas, (Voir Grâces leur soient rendues p.62 au sujet du tome 3.)

Les mensonges du couple : alors qu'il a refusé de s'évader du stalag, Sartre est finalement rapatrié pour raisons médicale (avec l'appui d'un médecin complice.) Après la guerre, Simone de Beauvoir transformera cette libération en évasion. Ensuite, le prétendu mouvement résistant de Sartre : Socialisme et Liberté... Quelques proches du couple sont enrôlés de force dans ce projet. Ils sont censés recueillir des renseignements sur l’ennemi. Leur but, c’est Sartre qui l’explique à Maurice Nadeau, qu’il rencontre à ce moment et qui lui est pleinement impliqué dans la Résistance : « Dans un an nous devrons avoir élucidé la nature de l'état édifié par Vichy. » Nadeau est sidéré. (Voir Grâces leur soient rendues p.58) Quelques temps après, Sartre dissout le groupe. Un fiasco. On a l’impression qu'il essaye de faire « quelque chose », en l’occurrence : rien, pour qu’on ne dise pas ensuite qu’il n’a rien fait du tout. Plus tard, il se décrit lui-même comme un résistant. Il prétend n'avoir jamais écrit dans le journal collabo Coemedia, alors qu'on a la trace de ses textes, et que même Simone de Beauvoir affirme qu'il a donné au moins un article avant de s'en écarter. On y lit en plus, sous sa plume un éloge de Giraudoux écrit suite à sa mort.

Après la guerre, avec l’aide de Simone de Beauvoir, Sartre n'aura de cesse de remodeler la réalité. On sent bien que la thèse principale de Gilbert Joseph est là : la façon dont le couple a réécrit sa légende après coup. Un livre donc partial par certains côtés, mais qui demeure passionnant pour comprendre ces deux personnages et saisir la complexité de l'époque. Je n'ai pas de sympathie particulière pour Sartre, dont j'ai aimé Les Mots, La Nausée, car je demeure fidèle à Léo Ferré, qui par ailleurs a soutenu le journal de Sartre, La Cause du Peuple quand il était interdit, mais qui disait de son livre sur Baudelaire : « C'est vraiment dégueulasse ! » Après lecture de ce Baudelaire par Sartre, j’ai partagé et partage encore son jugement. Ce livre ne dresse pas un portrait du géant Baudelaire mais il est une illustration de la petitesse de Sartre.

Gilbert Joseph ne fait de cadeau à personne, (Malraux est présenté comme un résistant de la dernière heure) et pas plus à Camus, qui est décrit comme un arriviste, opportuniste, lui aussi pressé de réussir à tout prix. Il ne lui pardonne pas d'avoir cédé à l'occupant en retirant un chapitre sur Kafka, dans Le Mythe de Sisyphe ou d'avoir monté sa pièce Le Malentendu avec l'autorisation de l'occupant. Ce portrait de Camus mériterait d'être nuancé, Onfray le fait dans son livre L'Ordre Libertaire.

Boulinier Peter Härtling - Dette d'amour - suivi de Zwettl, une mémoire en question

Je trouve ce livre alors que je viens juste d'apprendre la mort récente d'Härtling (juillet 2017), auteur d'une fameuse biographie sur Hölderlin. Un article m'en apprend plus sur son enfance. A 10 ans (!) Härtling s'engage dans les jeunesses Hitlériennes, au grand désarroi de son père, hostile à Hitler. Deux ans plus tard, le père est arrêté et la mère embarque ses enfants, ils partent de Chemnitz vers l’Ouest, jusqu’à Nürtingen (comment Härtling a-t-il été arraché à la « Jungvolk », je l'ignore. Quand elle apprend que son mari est mort dans un camp russe, la mère de Peter Härtling se suicide. Le livre, raconte ces évènements. William Goldman - Les balançoires de Central Park (Father's day) Jacques Chessex - Hosanna Claude Duneton - Je suis comme une truie qui doute

J'ai un souvenir ému de l'émission de télé que présentait Duneton vers 1987, Aléas, qui montrait des faits de société reconstitués. Les lancements des sujets par Duneton étaient vraiment étranges et décalés. Agaçantes au début, j'avais fini par apprécier ces vignettes vraiment drôles. Comment retrouver ces Aléas, aujourd'hui ? On en trouve quelques extraits sur le site de l’INA, mais hélas très souvent les lancements de Duneton sont coupés. Si quelqu'un en a conservé sur K7, je suis preneur..

Samedi 31.03.18 Boulinier Christopher Frank - Le rêve du singe fou Roland Topor - Portrait en pied de Suzanne Philippe Djian - Assassins

[lachansonceleste]

(via https://www.youtube.com/watch?v=-k4Hbdhc46E)

Pomme en chiffres #4 - feat. Vianney

Ajoutée le 12 oct. 2017

Voici, en chiffres, tout ce que vous avez besoin de savoir sur la création du monde et l'herboristerie, avec en invité… Vianney ! Et pour écouter l'album, c'est ici : https://pomme.lnk.to/Apeupres

Le 24 mars 2016 Anne Rivière a rencontré la jeune chanteuse Pomme

Pomme, jeune chanteuse et compositrice française, a sorti son premier EP en janvier dernier. Des textes touchants, des mélodies résolument folk… Un talent à suivre de très près.

A 19 ans, Pomme est haute comme trois granny smith mais possède déjà l’aura des plus grandes. Sorti en janvier dernier chez Polydor, son premier EP « En Cavale » s’impose comme une brise fraîche dans le paysage musical français. D’une voix aussi douce qu’acidulée, Pomme nous invite au voyage.

FocuSur a rencontré la jeune lyonnaise fraîchement installée à Paris. Entre leçons de vie et triomphe sur scène, ce qui est sûr, c’est que Pomme n’est pas un oiseau de passage !

Tu as commencé les concerts à Lyon à 15 ans. Qu’est-ce qui t’as poussé à te lancer dans la musique ?

Pomme : Avant de faire des concerts dans des bars, je me filmais avec ma webcam en chantant des morceaux que j’écrivais, et j’uploadais les vidéos sur Youtube. Le projet aurait pu mourir dans l’œuf au bout de quelques mois, mais mon entourage m’a poussée à le concrétiser. Au fond de moi j’en avais très envie, j’attendais juste d’être dans de bonnes conditions pour me lancer.

Tu as un univers très particulier, à mi-chemin entre folk et country. Où as-tu puisé cette inspiration et comment définirais-tu ta musique ?

P : J’ai trouvé le terme exact, c’est de la chanson française inspirée ! En fait j’ai deux influences majeures : la chanson française, depuis Léo Ferré jusqu’à Camélia Jordana, et la folk alternative, la country.

Mais il y a aussi une petite veine de pop. Quand j’ai commencé à jouer, c’était la mode entre Lady Gaga, Lily Allen, Rihanna… Ce n’est pas ce que je préfère mais je ne peux pas nier que ce genre m’ait influencée.

Tu as fait beaucoup de premières parties : Vianney, Angus & Julia Stone, Yael Naïm, Pierre Lapointe… Le public était-il suffisamment réceptif à ta musique ?

P : Honnêtement, à chaque fois que je fais une première partie je me demande si je vais me faire huer ! Avant d’entrer sur scène j’imagine toujours le pire. Parfois je n’étais même pas annoncée. Pourtant ça s’est toujours très bien passé. Avec Pierre Lapointe c’était hyper cohérent puisque nos deux styles se rejoignent. Bien sûr, j’ai eu des expériences avec moins d’écoute, mais globalement il y a toujours une ou deux chansons où personne ne parle. C’est une énorme opportunité de pouvoir toucher tant de monde.

Bourlinguer à droite à gauche, ça ne t’empêche pas de poursuivre tes études ?

P : Si. Jusqu’au mois de janvier j’ai été plus ou moins assidue, je pouvais encore dire que j’étais étudiante. Mais j’ai participé au Chantier des Francofolies de La Rochelle qui offre des stages de coaching aux jeunes artistes, et je me suis rendue compte de tout ce que j’avais à travailler. Je suis retournée en cours le lundi d’après et j’ai passé ma journée à passer des coups de fils et envoyer des mails à la BU.

Je ne pouvais plus assumer les deux, alors j’ai dû faire un choix. Ca me pendait au nez depuis longtemps. Certaines choses sont physiquement impossibles : j’étais tout le temps crevée alors qu’à mon âge, on est censé enchaîner les nuits blanches. J’ai choisi de me concentrer sur ma musique, c’est largement assez prenant pour occuper mes journées.

Pour l’écriture des paroles, de quoi t’inspires-tu ? Pourquoi ce choix de chanter en français ?

P : Je m’inspire d’histoires que je vis en les romançant un peu. Il y a une part de fabulation. J’ai commencé à écrire en anglais vers 14 ou 15 ans. Je n’avais pas grand-chose à raconter, je me cachais derrière cette langue pour ne pas tout livrer.

Le jour où j’ai commencé à avoir du vécu et des choses à dire qui pouvaient être formulées sans être ridicules, j’ai pu écrire en français. C’est ma langue, elle est riche et offre beaucoup de possibilités. J’suis pas Dupe est une des premières chansons que j’ai écrites en français, il y a 2 ans et demi. Ma maison de disques m’a encouragée dans cette voie, c’est quelque chose qui demande à être préservé.

Mais je n’écris pas tous mes textes. Il n’y a pas de règle, soit je contacte des auteurs-compositeurs, soit mon manager pioche dans son carnet d’adresses pour trouver des gens avec qui ça collerait bien. Je mise sur l’humain en les rencontrant autour d’un café, pour voir si le feeling passe. C’est très intéressant de voir ce que les autres m’écrivent après m’avoir m’avoir sondée. Ca me permet de progresser dans ma propre écriture.

Que penses-tu des artistes francophones qui choisissent de chanter en anglais ?

P: Si j’étais arrivée avec un album en anglais, ça n’aurait pas forcément été légitime, ni crédible. Mais j’aurais adoré, dans une autre vie j’aurais écrit un album de folk anglaise ! J’admire beaucoup les français qui défendent un projet en anglais, il faut avoir du courage.

Un rituel particulier avant de monter sur scène ?

P: C’est peut-être invisible mais je suis très angoissée ! Du coup je fabrique des potions : je rassemble mes huiles essentielles préférées dans une huile neutre que je m’applique sur les poignets et au creux du cou. Certaines odeurs me rassurent. Sinon j’ai mes colliers amérindiens. Je me persuade qu’il ne peut rien m’arriver quand je les porte !. Je fais aussi des exercices de respiration pour la relaxation et la détente du corps. Je ne peux pas monter sur scène sans ça.

Tes clips semblent raconter une histoire qui se suit. Quel est le concept ?

P: On n’a réfléchi à rien, il n’y a pas de scénario ! Chaque chanson a son mini-clip pour l’imager, sans aucune prétention. Ça n’a pas la vocation de scotcher les gens, c’est plutôt pour qu’ils aient accès à ma musique gratuitement. Ce sont des cartes de visite.

L’amour déçu et la solitude sont un thème récurrent dans tes morceaux. Ça part d’une expérience vécue ?

P : Oui. J’ai vécu dans une famille nombreuse pendant les 18 premières années de ma vie, puis brusquement, à cause de la musique, je me suis retrouvée seule. J’habite seule à Paris, en concert je suis seule à l’hôtel…

Toutes mes amies ont eu cette relation de lycée qui t’engage pour 3 ans. Moi je n’ai jamais eu les conditions pour vivre ce fameux premier amour qui te fait découvrir la vie. Dès la première j’ai tout le temps été sur les routes, et quelque part c’était un choix de ne pas vivre ma scolarité normalement. Je ne peux pas m’en plaindre, c’est juste la conséquence du chemin que j’ai pris. Je pense qu’à un moment j’ai eu besoin de l’exprimer parce que ça fait partie de mon quotidien. Ce n’est pas triste, c’est juste la réalité, et j’apprends beaucoup en étant seule.

Quels sont les artistes qui t’inspirent, et avec qui tu aimerais collaborer?

P : First Aid Kit, deux sœurs suédoises qui font de la folk, c’est mon groupe préféré. J’adorerais les rencontrer et construire un morceau à trois voix. Dans une autre époque, je suis fan de Joan Baez que j’ai vue en concert aux Nuits de Fourvière. J’adore les femmes qui ont des voix particulières.

Sinon j’écoute des artistes qui n’ont pas forcément de voix mais qui ont des textes fous. J’adorerais collaborer avec Pierre Lapointe. Je n’ai jamais rencontré quelqu’un doté d’une telle sensibilité mêlée de je-m’en-foutisme absolu. Il y a aussi James Bale, un artiste anglais aussi jeune que talentueux qui fait de la pop un peu hybride… C’est impossible de citer tout le monde, j’ai l’impression de commettre un crime car j’oublie tellement de gens !

Si tu ne devais écouter qu’un seul album pour le restant de tes jours, lequel choisirais-tu ?

P : Ce serait un vinyle de Barbara, La Fleur d’Amour où il y a la chanson La Solitude. Mais n’importe quel vinyle de Barbara où il y a 12 de ses chansons ferait très bien l’affaire !

Tu parles souvent de cette notion de « famille musicale » (Anouk Aïata, Matthieu Saikaly…). C’est important d’être entouré dans le monde de la musique ?

P: Au travail comme dans la vie, je marche à l’affect. J’ai besoin de savoir que des gens me soutiennent et de leur donner de l’affection en retour. En arrivant à Paris, je me suis créé une famille musicale, composée de ceux qui m’ont écrit des chansons, et qui sont plus tard devenus des amis.

Sans ça, je détesterais Paris et j’arrêterais tout ! Je reste quand même assez jeune et j’ai besoin d’être guidée, de savoir que si je tombe, ils ne seront pas là juste par intérêt. Je sais qu’il y en a dans ce cas. Mais si la personne a juste envie de mettre une de ses chansons dans mon répertoire, ça se voit vite. Tous ces artistes, Laurent Lamarca, Anouk Aïata, Matthieu, AuDen, ils sont là pour ce que je suis et je sais que je peux compter sur eux.

Tu as sorti ton premier EP, En Cavale, le 1er janvier dernier. A quand l’album ?

P: J’écris de plus en plus de chansons. Je n’ai pas envie de les laisser de côté pour prendre celles des autres. Je veux participer à mon projet quitte à prendre deux ou trois mois de plus. On espère sortir l’album en novembre 2016 dans l’idéal, ou tout début janvier 2017. Un an c’est presque court pour développer quelque chose.

Je sais que certains ont déjà envie d’écouter ce disque, mais j’aimerais que de nouvelles personnes découvrent le projet. Je ne suis pas une rock-star, je n’ai pas les moyens de faire attendre ceux qui sont déjà là sans rien leur donner à se mettre sous la dent. C’est pour ça que j’essaie d’être généreuse sur les réseaux sociaux, ça aide à patienter.

Tu as un style vestimentaire reconnaissable entre mille. Quel est ton approche de la mode ?

P: Je m’habille beaucoup dans les friperies. Comme j’écoute beaucoup de country, j’aime les fringues qui vont avec, années 60 ou 70, un peu hippie. Sinon j’ai fait une razzia sur Urban Outfitters, j’adore le fait de remettre la mode d’avant au goût du jour. Je collabore aussi avec une créatrice anglaise qui m’a découverte sur Instagram. Elle m’envoie ses créations que je porte sur scène ou pendant des shootings pour l’aider à développer sa marque.

Si un jour j’en ai les moyens, j’espère porter uniquement des vêtements de créateurs ou des habits qui ont déjà vécu. Ça m’ennuie de plus en plus d’acheter dans des grandes chaînes, quand on voit où et comment leurs articles sont fabriqués…

L’Amérique et ses grandes plaines est un thème qui imprègne tes morceaux. Un road trip aux USA, ça te plairait ?

P : C’est carrément mon rêve ! Sauf que je n’a pas mon permis. J’ai envie de visiter en priorité tous les pays avec d’immenses terres arides, l’Australie, le Canada, l’Amérique du Sud… Parfois j’ai des pulsions de voyage, je me dis « Qu’est-ce que tu fous encore ici ? ». Après il y a la question financière, mais je pense qu’en prenant une caravane, quitte à abandonner son petit confort, on arrive à rentrer dans ses frais.

Un mot sur tes projets futurs ?

P: Plein de projets ! Je vais enregistrer à Berlin en avril. Après je commence les festivals et je repars au Québec. Je travaille aussi le violoncelle. J’accompagne Ycare sur certains concerts à Paris, il a la gentillesse de me laisser jouer et faire les chœurs. C’est quelque chose que j’aimerais développer : ça ne sera jamais du temps perdu !

http://www.focusur.fr/musique/2016/03/24/interview-pomme-chan

[nightmareiscoming]

EN CHALEUR.

En ces temps de vacances ensoleillées, il est important de s'occuper et de faire en sorte d'éviter tout ramollissement. C'est vrai, je vous connais bien, mes petits. Vous profitez de l'été pour vous la couler douce, laisser les choses se faire, le temps se rallonger... Cette année, évitons de perdre du temps. J'ai la solution pour rester en forme, même avec la chaleur folle qui semble englober la planète depuis quelques semaines. Le secret réside en quelques lettres : sexe. Oui, ça semble être la solution à tout, mais pour être encore plus efficace, j'ai décidé de vous dresser ce mois-ci le portrait de six jeunes hommes tout à fait en mesure de vous satisfaire.

Si vous cherchez un homme capable de vous aimer, mais pas trop longtemps, je peux vous proposer Nathaniel Wilson. Il sera capable de vous faire un gosse, de vous donner de l'amour, du cul, des plans à trois. Puis, doucement, tout s'en ira aussi vite que c'était venu. Alexie l'a bien compris, même si elle continue de se voiler la face... mais jusqu'à quand ? Si vous les aimez intelligents et aptes à vous sauver la vie, il y a en stock le séduisant William Armstrong. Aux dernières nouvelles, il filait le parfait amour avec la petite Parks, qui a d'ailleurs décidé de lui dire les trois mots redoutés. L'effet n'était pas celui attendu. J'ai cru comprendre que William, dans les heures tardives de ses services de nuit, et la solitude des couloirs d'hôpital, aimait bien se trouver un peu de compagnie. Qui de mieux que Clarke pour mettre un peu de folie dans ces nuits d'ennui ? Ce n'est qu'un exemple, et je peux vous assurer qu'il y en a eu d'autres. Si Will est votre type, n'hésitez pas à trouver une excuse pour débarquer à l'hôpital de Miami... il sera ravi de s'occuper de vous. Dans le genre vilain garçon perturbé légèrement suicidaire mais qui pourrait crever pour toi, je peux vous présenter Léo Mills. Pas vraiment fréquentable, des airs de gros dur que rien ne peut toucher... il aime se jeter devant les balles pour protéger des jeunes femmes en détresse. Un héros. Qui ne voudrait pas d'un beau jeune homme comme lui ? Torturé, mystérieux, mais dévoué... le portrait exact du badboy dont rêvent toutes les femmes, si on en croit une étude infondée réalisée par des hommes jaloux. Quoiqu'il en soit, Léo est actuellement alité dans l'optique de se remettre rapidement, et il paraitrait que son lit est plutôt confortable. Vous qui les aimez torturés, j'ai un spécimen rare pour vous. Alec Kinley. Désespérément amoureux de sa meilleure amie depuis dix ans, incapable de la laisser partir, puis tombé dans les bras de la première venue, parce que visiblement ses airs de petits fragile timide se sont envolés face aux beaux yeux d'Eileen. Alec, c'est le type à moitié détruit qu'on ne peut pas vraiment aimer. On en prend soin, on s'attache, parce qu'il y a quelque chose d'attirant dans le principe de recoller les morceaux. C'est gratifiant, de se dire qu'on a aidé à sortir quelqu'un du trou... qu'on a sauvé une vie. Sortir avec lui, c'est être une bouée de secours. Disons que c'est utile pour l'un comme l'autre, mais c'est voué à l'échec, pas vrai Eileen ? Alors n'attendez plus mesdemoiselles et faites la queue, vous n'aurez plus à attendre bien longtemps. Si vous aimez les petits innocents à moitié puceaux, je vous propose Edward Keller. Décidément, son couple avec Elizabeth tient plutôt bien, qui l'aurait cru ? Surtout avec tous les secrets et les histoires qu'il n'a fait que dissimuler. Mais peut-être qu'une pauvre levrette aura raison de leur couple... Tu sais Edward, je crois que tu devrais avoir une petite conversation avec ta chérie, histoire qu'elle t'explique à quoi elle pensait pendant que tu la prenais par derrière. Tu as pris ton pied, pas vrai ? Pendant ce temps, des souvenirs peu agréables défilaient dans sa petite tête. Tu devais vraiment être mauvais pour qu'elle en arrive là, tu ne crois pas ? Mais bon, c'était couru d'avance qu'un type comme toi allait être profondément intéressé par la vue d'un cul bombé, après tout, et comme on dit, vers l'anal il n'y a qu'un pas. Avis à tous lecteurs intéressés, c'est le moment d'aller demander une petite sodomie au jeune Keller ! Et puisque la sodomie est de plus en plus populaire dans le coin, je ne pouvais pas finir cet article sans évoquer Chris Johnson. Nouvelle star du porno, ou au moins du petit écran... ce qui est sûr c'est que j'ai entendu dire qu'il s'est fortement dévoilé en tournage. Une rumeur court même selon laquelle il serait prêt à beaucoup de choses pour se faire de l'argent, y compris à tourner d'autres scène, ou à simplement passer des moments privilégiés avec de belles jeunes femmes. C'est peut-être votre chance. Quoiqu'en bon bisexuel, dès qu'il eut appris la bisexualité d'Edward, Chris est allé sonner à sa porte pour engager la "conversation". Je ne sais évidemment pas ce qui est arrivé une fois la porte fermée et les deux hommes seuls, je n'étais pas là... mais quand on sait que Edward rêve depuis longtemps d'essayer avec un homme... Ce qu'on peut dire, c'est que le beau Chris est sérieusement en manque de baise, depuis que le bordel qu'il fréquentait est passé au-dessus de ses moyens. Si vous êtes prêtes à vous faire sauter gratos, je suis sûre qu'il sera ravi de s'occuper de vous.

J'espère avoir attiré votre curiosité, et vos petites lèvres en chaleur. C'est maintenant à vous de jouer. Et surtout n'oubliez pas, en période de fortes chaleurs, il faut toujours penser à bien se protéger ! Passez un beau mois d'août, bande de gros cochons.

N.

[nightmareiscoming]

QUAND LE DESTIN S’EN MELE

Salut à vous, mes petits spécimens adorés. Une fois de plus, j'ai tant de choses à dire à votre sujet. Vous devriez avoir honte, ne plus oser sortir de chez vous... mais peut-être que pour que la gêne fasse définitivement effet, il faut que je m'en mêle moi, et que je vous ouvre les yeux sur votre propre imbécilité. Ce sera chose faite. Car 2019 est l’année d’un nouvel ordre, et le sort a décidé de venir s’occuper de vous. Quelques mythes méritent donc bien d'être cassés. Le mythe du flic tête brûlée, par exemple, qu'Alexander a pu déconstruire entièrement après s'être pissé dessus dans une maison possiblement hantée, mais probablement pas, puisque toute personne normalement constituée sait que les maisons hantées, ça n'existe pas. Le mythe du flic séducteur est mis à mal par Nicholas, qui certes, se fait plaisir avec plusieurs filles de Miami, mais clairement les plus faciles : une escort, et celle avec les cuisses les plus open de toute la ville. Helena et Olivia. Très mignon, très charmant, mais si notre petit Nick souhaite être pris au sérieux, il faudrait peut-être essayer de choper des proies moins évidentes, tu ne crois pas Nicki ? Mention honorable également à Nathaniel, qui pendant une virée alcoolisée à travers Miami, a menacé un inconnu de sodomie par guirlande lumineuse. Violence policière, non ? Quelle honte. Et tout ça suivi de son idiot de compagnie : Justin. Inséparables ces deux-là, peut-être que les femmes de leur vie devraient se faire du souci.

Soyez rassurés, la gênance n'est pas réservée au policiers et elle vous atteint tous, qui que vous soyez. Pensons par exemple à la petite Aloysia. Vous savez, Aloysia Mayer, soeur de James et Anteynara, morte, puis revenue d'entre les morts comme le veut la tradition familiale. Puis exilée aux quatre coins du monde. Et devinez la suite ? Aloysia est de retour. Avec une bague au doigt. Aucun souvenir de l'existence de sa soeur, ni de la naissance de sa fille... mais mariée ! Il faut être sacrément ravagée pour avoir un sens des priorités aussi minable. Peut-être que pour sa propre sécurité, Aloysia ferait mieux d'être enfermée. Alors les Mayer ? Vous en pensez quoi ? J'espère que personne n'est trop déçu de ne pas avoir été convié au mariage. Mais bon, même si on adore tous les mariages, il y a bien une chose qui restera éternellement source de gênance, et on parle ici de cul. De baise. Et à force de vous espionner mes amours, je dois bien constater qu'avec vous, le sexe est toujours gênant. Ma pauvre Kathelyn, voilà. J'ai une message important à te faire passer. William, ton chéri adoré, a eu d'autres femmes dans sa vie, bien évidemment. Tu n'es pas la première, ne sera pas la dernière. Saches que l'une d'elles est de retour en ville depuis peu, et qu'elle et Will se sont déjà croisés. D'ailleurs, les retrouvailles ont été plutôt chaleureuses, et il se pourrait bien que la jeune femme vienne tenir au chaud ton cher William pendant tes trois mois d'absence. Tu es vraiment sûre de vouloir partir et de d'avoir envie que ce beau et gros chibre reste délaissé dans sa solitude, proie facile pour n'importe quelle tigresse passant par là ? La tigresse en l'occurrence porte le nom d'Olivia. Veille sur ton morceau de viande. Dans la catégorie du manque de sexe, on a bien évidemment Brooke, encore et toujours. Il semblerait que rien n'est en mesure de rassasier cette petite. Voilà donc une annonce ouverte à tous les jeunes hommes de Miami. Il s'agit d'un cas urgent, car Brooke vit seule avec son fils, et... on ne sait jamais trop ce qui peut arriver. Surtout sous un choc émotionnel intense, comme serait celui d'apprendre que son ami Nathaniel et Alexie lui ont menti, jouant une comédie stupide pour lui faire croire que tout allait bien entre eux, alors que ce n'est pas du tout le cas et que leur couple est tombé en petites miettes moisies. Oops. C'est dit maintenant. Et puis, au-delà des gens en manque, on a ceux qui ne savent plus trop ce qu'ils veulent. Imaginez-vous le très hétérosexuel Orion avec un homme ? Non ? Et pourtant, je peux vous affirmer que plus les jours passent et plus son petit cul s'ouvre et se met à frétiller à l'idée que des choses folles s'y passent. Même s'il continue à affirmer le contraire. Après tout, il a bien été spotted dans un bar ouvertement LGBT. Ce serait peut-être temps d'être lui aussi ouvertement LGBT ? Je me demande bien comment ses amis réagiraient... en sachant que tous ces regards, parfois d'un quart de seconde trop longs, dans les vestiaires... Spotted également : Chris Johnson, dans un club BDSM. Rien d'étonnant, me direz-vous, et je serais bien d'accord avec vous. Mais Chris, on se l'imagine plutôt dominant, surtout après ses petites aventures récentes avec sa pute. Et bien, détrompez-vous, si Chris était dans ce club ce soir-là, c'était pour se faire défoncer tous les orifices par Mr Dominator. J'ai quelques clichés très compromettants de notre adorable Chrichris en tenue d'Adam, enchaîné, des jouets de partout et soumis à de drôles de tortures qui semblent lui provoquer un plaisir intense. Je vous laisse imaginer la chose, mais sachez que s'il y a encore des femmes dans cette ville qui rêvent de coucher avec ce type, je peux vous assurer qu'il n'y a plus rien à espérer venant de lui. Et comme, avec Chris, viennent toujours plusieurs histoires gênantes, je vais vous dévoiler un petit secret conservé par Lukas. Oh toi mon chéri, tu aurais mieux fait d'aller au bout de notre jeu à tous les deux. C'est désormais trop tard. J'espère que ta virée à Vegas avec Chris s'est bien passée, et que tu l'as remercié de t'avoir montré à quel point jouer avec l'argent pouvait être intéressant. Est-il aussi au courant que tu continues à jouer comme un addict ? Qui est au courant, d'ailleurs ? Emily ? Certainement pas. Personne, je parie. Bien, voilà chose faite. Alors comment vas-tu faire pour regagner tout cet argent perdu ? J'ai bien ma petite idée, car je peux jurer une chose, c'est que dans la tourmente, les vieilles habitudes ressurgissent. C'est comme retourner se mettre au chaud dans sa maison d'enfance. Retrouver un terrain connu et rassurant. Si je dis téléphone rose, par exemple, ça fait sens tu ne crois pas ?

Mais assez rigolé pour aujourd'hui, car il ne se passe pas un mois à Miami sans que l'un de vous décide de s'ensanglanter les mains pour des conneries. Je me dois de vous révéler un secret très noir au sujet de la petite Ella. Ma belle, tu aurais du accepter ma proposition, mais c'est trop tard pour cela. Trop tard, toujours. Comme il était trop tard pour sauver ta mère, quand enfin tu as eu l'idée de le faire. Tu as préféré laisser ton père l'assassiner devant toi, et tu es restée plantée là comme une idiote. Une personne comme toi devrait être enfermée, au même titre que ton paternel. Pourquoi lui devrait-il moisir en taule, et toi te promener librement, alors que tu aurais pu intervenir mais as préféré observer le spectacle ? Faites tous bien attention, habitants de Miami, Ella est une personne dangereuse capable d'assister aux pires horreurs sans lever le petit doigt, pour satisfaire sa curiosité malsaine. Quant à Léo, et là, l'ironie de la chose est à mourir de rire, lui aussi aime le sang. Personne n'est surpris, et je comprends bien, ce petit a toujours aimé se prendre pour Dieu. Mais cette fois-ci, il fallait bien que ça lui retombe un peu dessus. Mon petit Léo, je parie qu'en provoquant l'accident d'Elizabeth, tu ne te doutais pas que tu attentais à la vie de la cousine de Jade... ta Jade adorée. Et tout ça, pourquoi ? Par jalousie, une fois de plus ? Pour lui faire perdre l'enfant qu'elle attendait d'Edward ? C'est plutôt pitoyable. Regarde un peu ça, Jade. Es-tu sûre que c'est avec ce genre d'homme que tu as envie de passer du temps ? Crois-tu vraiment pouvoir faire confiance à quelqu'un qui tuerait un enfant pour une vengeance stupide qui remonte à des années ? Veux-tu vraiment que ta vie ressemble à un film de mafia de série B ? A ta place, je fuirais loin de ce cinglé aux tendances sociopathiques. Il prétend ne rien avoir contre Elizabeth, et pourtant, regarde ce qu'il a fait. Tu pourrais même être la prochaine...

Restez sur vos gardes, mes amours. Je serais bien triste de perdre un ou plusieurs d'entre vous, car comme on peut le constater une fois de plus, votre incapacité à mener une vie normale fait mon bonheur. Faites attention aux dingues qui se promènent en ville, et tout devrait bien se passer. Et avant que je vous quitte, passez une excellente année 2019. Je compte bien vous couvrir d'amour.

N.

[nightmareiscoming]

AND THEN THERE WERE NONE.

Hello mes amours et BONNE ANNEE 2018 à vous ! Pour bien commencer, je vous ai pondu un petit quelque chose qui saura poser les meilleures bases. Le mois de décembre a été fort en émotions, pas vrai, en particulier pour certains d'entre vous, les concernés se reconnaîtront... La vraie question étant, qui de vous tous survivra à l'année 2018, et qui sera rattrapé par le destin dans les mois arrivants ? On a assez peu d'espoir pour Jake par exemple, dont la situation ne s'est pas arrangée. Petit ingrat, tu aurais au moins pu avoir la décence de dire à tes proches quelle était la véritable raison pour tes maux de tête, non ? Tu aurais pu leur dire que tu vas bientôt mourir. Egoïste. Dans la liste de ceux qui pourraient y rester sous peu, pourquoi pas toi, Sawyer ? Ta vie n'a pas trop d'importance, pour qui que ce soit, et même si tu te trouves de nouveaux penchants sexuels en compagnie d'Ellina ou d'Erwan, notre petite pute locale, je crois qu'on peut dire que tu portes un compte à rebours sur le cul. Dans le même cas, il y a Léo, pour qui on pourrait penser à préparer une tombe très bientôt. Pauvre petit chou, toi qui passes visiblement ta vie à harceler et emmerder des gens qui vivaient jusque là très bien sans se soucier de toi, comme Elizabeth et Edward, nos petits mariés chouchou. Clairement, tu dois fortement t'ennuyer dans ta vie et te sentir peu important. Si tu as besoin d'exister, trouve toi une chatte à câliner, ou adresse-toi à Brooke qui est toujours encore en manque d'affection. A ta place, j'arrêterais de chercher la merde avec nos gentils tourtereaux, car avec ce genre de petits anges, on ne sait jamais vraiment à quel moment la situation va brutalement se retourner. Tu pourrais rapidement te retrouver à la morgue, après qu'Edward ait finalement décidé de vider son chargeur dans ta chair. Alors ne perds pas trop de temps mon chou... Qui d'autre risque d'y rester sous peu ? Alec, évidemment. Alec, ce grand névrosé. Je pense qu'il faut mettre au courant tes amis, Kathelyn et Lina entre autres, que tu es un grand malade mental. En plus de prendre ton pied en racontant tes histoires d'horreur, j'crois que c'est plutôt sensé de dire que tout ça... ça pourrait être de la pure invention. Ta vie tourne autour de ta "secte", tu effrayes des inconnus comme cette pauvre April en lui faisant croire qu'elle est maintenant pourchassée par les grands méchants violeurs assassins tortionnaires. Tu refuses d'aller voir la police, les solutions qu'on te propose ne sont jamais les bonnes, je crois qu'il est grandement temps d'avouer à tes amies que tu es un sale menteur, un gros mythomane, non pas échappé d'une secte mais d'un asile psychiatrique, dans lequel elles feraient bien de te renvoyer. Ce que je peux éventuellement comprendre, c'est le refus de se rendre à la police, car c'est clair que celle de Miami est plutôt incompétente. Le dernier raté en date ? Ce bon vieux Nathaniel qui a récemment conclu un petit accord avec Wane, le serial-killer. Oh Nathou, tu devais bien savoir que faire effacer un casier judiciaire était une grave faute professionnelle, et que ça finirait par sortir et être exposé au grand jour. C'est plutôt nécessaire maintenant que ta hiérarchie agisse, car sinon, comment pourrait-on avoir confiance en la police désormais ? /soupir/ Le mois de décembre marque aussi le grand bordel dans le couple phare Edward/Elizabeth, et ça en nous apportant évidemment beaucoup d'amusement. Cette petite faiblarde d'Elizabeth n'a d'ailleurs pas perdu une seule seconde pour aller s'entailler les bras avec son rasoir, tu étais au courant de ça, Edward ? En lui mentant, tu t'étais dit que ça pourrait lui provoquer ce genre de chamboulement ? Tu l'as fait exprès peut-être, pour voir si elle tiendrait ? Ce serait bien dommage Elizabeth, qu'avec ce genre d'habitude, tu ailles trop loin un jour. Imagine donc, te vider de ton sang, toute seule, après une dispute stupide avec ton petit ami ? Ou peut-être que ça t'amuserait, de lui provoquer ce genre de douleur, c'est peut-être pour ça, que tu as pris la fuite... Et alors, puisqu'on parle de couples en danger, comment ne pas bifurquer sur la belle histoire d'Emily et Lukas, qui nous saoule depuis des mois déjà... Si vous pensiez que pour eux, tout était enfin scellé, eh bien ce n'est pas le cas, et c'est sans doute un peu la faute de Lukas... Si tu n'avais pas mélangé ta salive à celle d'Alysse... Bon, clairement, ça n'aurait rien arrangé pour ton problème de performance au lit. Pauvre Emily, elle n'en peut clairement plus de se faire fourrer comme un balai à chiottes dans une cuvette. On s'inquiète pas trop pour elle, c'est clair qu'elle sait déjà par quoi elle va te remplacer. Toi par contre, je te souhaite du courage, et je propose quand même de te filer l'adresse de ton pote Erwan, vu que visiblement c'est lui maintenant qui récupère les déchets de ta chère et tendre. Une petite baise à trois avec ce bon vieux Chris ? Je suis certaine que ça te tenterait, tu as toujours eu un penchant pas très hétéro. Et après tout, c'est une nouvelle année qui commence alors c'est bien le moment d'essayer de nouvelles choses, non ? Et voilà, pour la suite, il faudra revenir une prochaine fois, car il y a une tonne d'autres cas à traiter, dans ce bordel. Personnellement, je n'ai aucun doute là-dessus : 2018 sera une année joyeuse remplie de moments jouissifs pour moi et un peu moins pour vous. Profitez bien de chaque seconde, ça pourrait bien être la dernière... et à très bientôt, pour ceux qui survivront jusque là.

N.

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Matthew Richard Jones — 24 ans — St Leo — Etudiant en commerce. — Lions (football americain) — ( Aka ~ Austin Butler )

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Matthew Richard Jones, surnommé Jones ou tout simplement Matt, peu importe la manière dont vous l'appelez, il ne répondra que si l'envie l'en prends et ses envies ne sont pas toujours celles auxquelles vous vous attendez. En effet, ce qu'il aime, c'est désobéir, en clair vous lui dites de faire quelque chose il ira faire tout l'inverse. Matt est comment dire ? Orgueilleux, il s'imagine qu'il est bien meilleur que les autres, il aime les rabaisser, les faire se sentir plus bas que terre, il est cassant, vanneur. Colérique, il pète des câbles souvent, parfois pour pas grand chose, d'autres fois parce qu'on lui casse vraiment les couilles, il est pas le genre de mec qui se contente de sourire, non Matt, il dit toujours ce qu'il pense. Violent, il en vient rapidement aux mains quand les choses dégénèrent. Il ressent constamment le besoin d'évacuer ses sentiments par la violence, il ne connait que ça d'ailleurs. Que ce soit une bonne chose ou non, ce n'est pas le genre de personne qui changera pour quelqu'un. Également paresseux, c'est en rapport avec son mode de vie, il est noctambule alors la journée, il traîne, se roule des joints, rien d'extravagant, en revanche quand la nuit tombe, il se transforme en ange des ténèbres.. Mais surtout, Matt est mystérieux, il ne parle que rarement de sa vie, de ses galères, d'ailleurs d'après lui « qu'est ce qu'ils en ont à foutre les autres après tout ? » Et puis sa vie n'a jamais rien eu d'une belle histoire que l'on meurt d'envie d'entendre. Loin de là, un père et une mère, une soeur. Lui, le cancre turbulent, petit con disait-on même, Elle sa soeur, la parfaite, la respectable, elle était choyée, bercée, dorlotée. Matt n'écopait que des coups de colères de son paternel, jamais de mots tendre, de petites attention, a quoi bon c'est un bon a rien! Malgré ça, Matt n'a jamais détesté sa cadette, après tout, ce n'était pas de sa faute. Elle est partie, étudiée de l'autre côté de l'atlantique, en Floride.

‘Puis,�� Un soir de colère, ton père tombe sur ta cam, il t'engueule te frappe, tu ne sais pas pourquoi tu rends les coups, tu as l'habitude de te battre tu sais où frapper. Te stoppant dans ta colère, tu te rends compte du mal que tu as fais, pris de panique, tu t'enfuis avec tout le liquide que tu trouves dans la maison, laissant ton père gisant au sol, ensanglanté. Tu pars direction Tampa, rejoindre ta soeur. Elle ignore tout de cette histoire et tu fais en sorte que ça reste secret, tu apprends que ton père est dans un coma important, tant qu'il n'est pas réveillé, personne ne pourra savoir, et personne ne saura jamais.’

A saint-léo Matt integre les Lions, l’équipe de football américain, il avait déjà un peu pratiqué par le passé et même si il ne se destine pas a une carrière professionnel, c’est un bon joueur qui sait dominer le terrain. 

»  s o n  p o i n t  d e  v u e  S F / S L

tu es chez toi, c’est ton territoire et tu comptes bien te faire respecter par ces chiens boiteux de South.

» s e s l i e n s 

▬ Poppy Lauren Jones ; “ will you still love me ? ” Elle est celle qui te connais le mieux sur cette terre, elle est celle qui pouvais te calmer dans tes coups de colère, et pourtant tu l’as trahie un peu plus chaque jour, elle adorait votre père, tu l’as presque tué, elle ne te le pardonnerait pas. 

▬ Johanna Jones ; “ exutoire ” Dans ta famille il y a toujours eu cette part d’ombre, ces gens qu’on veux oublier, qu’on ne cite plus par leurs prénoms. C’est elle. Tu as jamais compris pourquoi, sa mère était spéciale, mais pourquoi ? Quand tu lui parles, tu comprends pourquoi vous portez le même nom de famille, vous êtes similaires sur beaucoup de points et ça t’apaise, alors un soir où vous étiez en promenade nocturne, tu lui as dit; tu as lâché la bombe. “j’ai failli tué mon père.” elle n’a pas vraiment réagis, elle a eu la meilleure réaction, celle qu’il te fallait, depuis elle garde le secret et tu sais que tu peux tout lui confier, et réciproquement elle peut tout te dire.

▬ Charlotte Jones ; “ sang de l’autre coté de la mer ” charlotte contrairement a Johanna, tu l’as toujours connu, c’est ta cousine chez qui vous passiez toute vos vacances d’été et parfois même noel. Tu n’es pas très proche d’elle, vous n’avez jamais eu le temps de vous retrouvé tout les deux pour mieux vous connaitre. Mais elle reste ta famille. 

➖Tania Gardner ; “ l’amour d’un été en floride “ 

T’était le premier a dire que les nana c’est nocif, qu’il fallait rester loin d’elle au maximum, une nuit et pas plus. Mais elle. Elle a su te charmer et te faire abandonner tes idées stupides, une nuit et puis milles autres derrière, vous étiez un couple. Mais c’est une idée que t’as pas pu encadrer longtemps et donc t’as préférer renier en bloc tes sentiments, tu l’as laissée seule pour retrouver ta liberté. Aujourd’hui quand tu l’as croise dans les couloirs il y a une certaine tension, du au fait que tu l’as abandonner comme un lâche, mais vous continuez a vous fliquer un peu, parce qu’intérieurement vous tenez encore l’un a l’autre.

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Celestre Spring — 21 ans — South Florida — Etudiante en langues anciennes — Pussy Lead — HHH — ( Aka ~ Rachel Noe )

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Pᴇᴛɪᴛᴇ ғɪʟʟᴇ sɪᴍᴘʟᴇ ɪssᴜᴇ ᴅ'ᴜɴᴇ ғᴀᴍɪʟʟᴇ sɪᴍᴘʟᴇ

Londonienne de naissance, Celeste a toujours été cette petite fille admirative de ses parents, gens ordinaires au passé ordinaire. Enfin, ordinaire à leurs yeux, de personnes bien courageuses aux yeux de certains autres. En effet elle était la merveilleuse conséquence d’une union rapide, de deux jeunes personnes. Sa mère n’avait à l’époque que dix-sept ans lorsqu’elle accoucha de la jolie et fragile Celeste, et le père seulement dix-neuf ans. Mais rien n’empêcha ces deux personnes de continuer leurs études, de devenir des parents responsables et d’élever leur fille sans aucun soucis apparent.

Ils n’avaient pas des milles et des cents, mais un appartement en centre ville, une voiture et de quoi se nourrir. Que demander de plus ? Ils ne s’offraient pas ce qu’il y avait de plus cher ou de plus beau, mais en même temps cela aurait été bien inutile puisqu’ils étaient déjà tous très heureux ainsi. Aucune faille dans la petite famille parfaite.

Un petit frère plus tard, et la famille était enfin au complet et allait vivre sans encombre jusqu’au bout.

Uɴ ᴅéᴍéɴᴀɢᴇᴍᴇɴᴛ, ᴅᴇs ᴄʜᴀɴɢᴇᴍᴇɴᴛs, ᴅᴇs sᴇɴᴛɪᴍᴇɴᴛs

Londres c’est bien, mais la vie y est chère. Pour vivre plus confortablement toute la petite famille se vu déménager alors que Celeste n’était âgée que de douze ans à cette période. Rien de bien triste me diriez vous que d’aller habiter à Manchester, une ville tout de même active et très belle. Mais il semblerait que la jeune Spring ne soit pas de cet avis. Le caractère de celle-ci avait bien changé en cette période et elle se sentait en insécurité partout où elle allait, devoir déménager et quitter le seul « chez elle » qu’elle avait connu n’était pas la meilleure expérience pour elle. C’est à cette période qu’elle débuta ses crises d’angoisses, ses terreurs nocturnes, ces moments incompris de stress profond. Les médecins ne savent pas pourquoi la petite fille est atteinte de telles choses, d’ordinaire cela n’arrive que lorsqu’un réel traumatisme a eu lieu dans la vie de quelqu’un. Peut-être quelque chose sommeille en elle mais son corps et son esprit font tout pour qu’elle ne s’en souvienne jamais.

Autant dire que la petite famille parfaite ne comprenait que peu tout cela. Mais ils firent de leur mieux pour soutenir la jeune fille qui occupait ainsi beaucoup de place dans le foyer. Au final, Celeste réussit à passer outre, elle grandit comme tout les autres, élève modèle et fille assez populaire au collège puis au lycée. Lycée où elle rencontra d’ailleurs son premier amour. Un grand blond aux traits angéliques, lui-même bien populaire à l’époque. Peut-être au fond Celeste voulait-elle réitérer l’histoire de ses parents à sa manière, mais elle tombait amoureuse bien jeune. À dix-sept ans elle était en couple avec celui qu’elle aimait appeler l’homme de sa vie. À dix-huit ans, elle se considérait la plus heureuse au monde. À dix-neuf ans, il la demandait en mariage. Les choses étaient bien précipitées et trop jeunes dans la tête de certains, mais pour une personne comme Celeste qui avait comme exemple des parents bien jeunes et un amour pourtant parfait, elle ne pouvait que faire confiance en son instinct. Et cet instinct avait raison. Il était l’homme de ses rêves. Il la faisait rire ; la rendait heureuse. Ensemble ils firent une immensité de bêtises, il lui apprenait à passer outre ses crises de panique qui la torturait encore, mais avec lui tout était mieux. Il lui apprenait à être elle-même et vivre chaque chose qu’elle désirait à cent pour cent.

Mᴀɪs ғɪɴᴀʟᴇᴍᴇɴᴛ ʟᴀ ᴘᴇʀsᴏɴɴᴇ ǫᴜɪ ɢâᴄʜᴀ ᴛᴏᴜᴛ ɴ'éᴛᴀɪᴛ ᴘᴀs ʟᴀ ʙᴏɴɴᴇ

Ce soir là, la jeune femme avait prit un peu trop confiance en elle, elle avait bu, dans��, rigolé, et couché. Elle avait couché avec un homme, mais pas le sien.Au lendemain elle se souvenait que de peu de détails, était-ce de sa faute puisqu’elle avait trop bu ? Avait-on mit quelque chose dans son verre ? Avait-elle juste perdu la tête ? Elle s’était même demandée si elle ne s’était pas laisser prendre de panique par le mariage approchant, par une peur de faire les choses mal tellement importante qu’elle se conduisit elle-même à sa fin.

Et cela n’y manqua pas. Nous passerons les détails, mais la relation parfaite qu’elle s’était imaginée prit fin bien rapidement. Et depuis, elle ne revu jamais le jeune homme qui était pourtant supposé être sien.Uɴᴇ ꜰᴇᴍᴍᴇ ꜰᴏʀᴛᴇMais depuis un peu de temps à passé. Celeste a eu du mal à s’en remettre. Mais on lui avait apprit que les épreuves étaient là pour nous rendre plus fort. Ainsi elle avait tenté de se forger une carapace, elle avait préféré prendre beaucoup de temps avec sa famille, renouant des liens avec son frère qu’elle avait presque délaissé par sa relation amoureuse. S’inscrivant à l’université de Manchester, la jeune femme reprit même les études avec une hargne à toute épreuve, tellement qu’elle eu l’honneur d’être sélectionnée parmi les étudiants partant en échange scolaire avec une université prestigieuse aux États-Unis.

Prête à tout pour mener la vie de ses rêves, elle n’hésitera plus à se faire entendre. Celeste n’est plus une petite fille maintenant, et elle compte bien le montrer à tous ceux qui oseront se mettre sur son chemin. Elle n’a peut-être pas l’air d’être dangereuse, mais essayez-donc de vous en prendre à quelqu’un qu’elle aime et vous le regretterez.

» s o n p o i n t d e v u e S F / S L

Elle ne comprend pas très bien d’où vient toute cette haine des saint-léo à l’égard de ceux qui ont moins d’argent. Elle cherche donc à essayer de les comprendre quitte à avoir des problèmes. 

» s e s l i e n s 

▬ Côme Parson ; “The one”

Vous avez tout fait ensemble, il est celui qui t’a changée, en mieux. Et tu l’as déçu, tu as tout ruiné. Mais c’est du passé maintenant. Il restera à jamais celui que tu as aimé, et tu auras toujours de bons souvenirs de lui, on ne peux pas changer ses propres erreurs du passé.Mais paraît-il que le blond aussi se trouve à la même université, tu le sais car tu as bien fouillé les réseaux sociaux, mais bon, cela ne prédit rien n’est-ce pas ? Cela te créer un noeud dans l’estomac, des frissons, une crise d’angoisse, mais tu survivras n’est-ce pas ?

▬ Something Spring ; “Brother” Rédaction à venir

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Andrews Mostert — 23 ans — South Florida — Etudiant en économie. — lions équipe de football — Livreur pour une application type ‘uberEats/deliveroo’ ( Aka ~ Ansel Elgort )

» s a b i o g r a p h i e

Andrews t'es le troisième fils, l'avant dernier enfant, t'as la place de l'invisible, du moins c'est comme ça que tu l'as vu. Tes deux grands frères avaient déjà fait toutes les conneries possibles pour que les tiennes attirent l'oeil, d'ailleurs t'avais pas spécialement envie d'être un fouteur de trouble, toi t'as plutôt été le calme, le discret. T'as grandit dans une de ces petites maisons de banlieue pauvre, tu partageais ta chambre avec ta petite soeur Roshane, vous n'aviez aucune intimité dans ce trois pièces avec papa qui hurlait la plupart de son temps. Mais tu ne te plaignais jamais t'aimais cette chambre parce qu'elle avait vue sur la chambre de la voisine et que parfois, cette fille, Ambre, te faisais coucou. Ambre c'était ton rayon de soleil, ta meilleure amie.

T'as grandit avec l'idée que t'allais épouser cette fille. T'es le genre à avoir la tête sur les épaules, t'as de l'ambition, mais tu sais très bien que tu ne pourras jamais être le PDG milliardaire d'une multinationale, tu sais que plus tard tu auras du mal à rembourser le crédit pour la petite maison que t'auras acheté et que tu feras des heures supplémentaires pour faire vivre ta petite famille. Mais t'as hâte de vivre ça avec ambre même si tu ne lui a jamais dis.

Vous avez tous grandit, puis le premier de tes frères a décidé d'aller faire ses études à Los Angeles, le deuxième quelques années plus tard est parti en claquant la porte et vous ne l'avez jamais revu. Les rumeurs disent que depuis des années il avait amassé assez d'argent avec ses deal pour s'offrir un billet d'avion pour Bali ou une autre de ces destinations paradisiaques qui le faisaient rêver. Il ne restait que Toi, Roshane et papa. Alors il est venu ton tour d'entrer a l'université et humblement pour ne pas, toi aussi, abandonné Roshane tu as décidé d'entrer à South Florida, une université sans prétention.

A l'inscription t'as du faire une visite médicale, visite qui a changé ta vie, t'as appris que t'étais porteur du VIH, le sida bordel, celui la même qui avait emmené ta mère, celui la même qui n'avait pas été repéré quand l'hôpital quelques années plus tôt vous avait tous testé quand maman avait été dépisté. Comme personne ne l'avait, papa avait été persuadé qu'elle l'avait trompé, c'est depuis cette histoire qu'il était devenu incontrôlable. Tu t'es senti souillé et t'en a jamais parlé à personne. Un an plus tard c'était au tour de Roshane de rentrer à l'université et t'as attendu son retour de sa visite obligatoire voir si tu arriverais à sentir si elle aussi avait appris une mauvaise nouvelle. Mais non tu étais le seul, car ce soir la Roshane ne semblait pas perturbé, t'en a conclu qu'elle n'avait rien.

Depuis vous avez tous les deux eu une bourse pour Saint-Léo comme cobaye et comme vous vivez sur le campus tu n'as plus besoin de surveiller que Papa ne tape pas Roshane, alors tu passes ton temps libre sur ton vélo à livrer des sushi, des pizza etc pour payer tes médicaments.

» s o n p o i n t d e v u e S F / S L

La richesse, la grandeur, ça t'as jamais donné envie, t'es la tant mieux, mais tu n'as pas envie de t'intégrer avec ces gosses de riches qui ne connaissent rien a la douleur, la peine, la difficulté de manger de la soupe majoritairement constitué d'eau avec un petit bout de pain trois jours de suite. Tu n'es pas belliqueux mais tu ne les aimes pas. 

» s e s l i e n s 

▬ Roshane Mostert; “Faut se serrer les coudes parfois” Roshane est la dernière, celle que tu t’es promis de protéger, elle n’a qu’un an de moins que toi et parfois elle semble bien plus mature que toi, mais dans ta tête elle sera toujours ta petite protégée, celle que tu veilles de loin. 

▬ Ambre Fords ; “Something” Petit c'était ta meilleure amie, vous vous faisiez coucou par la fenêtre de votre chambre respective. Voisine depuis ta plus tendre enfance, tu te voyais finir ta vie avec cette fille, tu connais toutes ses peines et elle connait toutes les tiennes, après l'école petit vous vous retrouviez sur les marches de sa porte et vous parliez pendant des heures imaginant votre vie plus tard, tous les deux, vos voyages, vous avez fait mille-et-un projets ensemble. Adolescent t'es tombé amoureux d'elle, les filles commençaient à t'intéresser et pourtant aucune ne t'as jamais semblé aussi jolie que celle ci, même si elle ne portait pas les plus jolies robes, meme si elle n'avait pas les cheveux les plus soyeux, toi tu la trouvais parfaite. Tu savais que c'était une fille ambitieuse, mais tu ne pensais pas qu'elle serait du genre a t'ignorer du jour au lendemain en entrant a Saint-Léo. Tu n'étais plus assez bien pour elle, tu ne faisais pas parti de ses grandes ambitions. - Depuis que vous êtes a Saint-Léo tu sais qu'elle ment, elle se fait passer pour une riche. Tu ne veux pas gâcher sa vie alors tu ne dis rien sur ses mensonges, tu joues son jeu tu ne la connais plus. Mais en privé parfois tu te dis que tu devrais la faire chanter, juste pour te venger parce qu'elle a brisé ton coeur, juste pour lui rappeler que toi tu sais qu'elle ment et que tu pourrais la faire descendre de son petit rêve et révéler la vérité a ses ‘amis' de saint-léo. 

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Madelyn Dalia Andreoti — 21 ans — St-Léo — Etudiante en Management  — Membre des Pussy Lead — ( Aka ~ Michaela Watson )

   »    s a    b i o g r a p h i e        

    Madelyn, seconde riche héritière d'une grosse fortune d'Italie. Issue des plus riches milieux de Rome, la jeune fille vient d'un père ministre et homme d'affaires réputée, et d'une mère qui n'est autre que princesse. La jeune blonde a toujours grandi dans les plus riches quartiers de Rome et dans l'oisiveté. Cependant, comme c'est souvent le cas dans ce genre de famille, elle n'a jamais reçu d'attention, ni d'amour de toute sa vie de la part de ses parents et en a beaucoup souffert. Elle a grandit dans un monde superficiel, c'est pour cela que lorsqu'on croise son regard noir, on peut se douter qu'elle possède un caractère bien trempé, et les sourires sincères sont rares chez elle. Elle ne manque de rien, et tout ce qu'elle veut, elle l'obtient dans la seconde qui suit, c'est ce qui à fait d'elle une jeune femme pourrie gâtée. Présente à toutes les soirées mondaines, tout les événements importants, elle a même déjà fait la couverture de plusieurs magazines à scandales. Ses parents, qui, jusqu'ici, ne s'occupait pas de leur fille, furent choquée de voir leur fille, qu'ils croyaient toute mignonne dans la rubrique “soirées mouvementés”, ils prirent alors la dure décision de l'envoyer loin de tout ces médias, St Leo. L'angoisse absolue pour la jeune demoiselle, elle qui ne connaissait que le monde merveilleux de son pays doré. Quittant son cocon d'amour, elle doit aussi dire au revoir a tout ses amis. Et c'est d'ailleurs a ce moment qu'elle se rend compte qu'elle vivait dans un monde atrocement proche de la jingle. Bien qu'ils soient tous sappés de Prada ou Chanel ses amis étaient semblables a des lions et elle une petite gazelle sans défense, tous prêt a lui sauté dessus pour récupérer tel ou tel affaire “ T'en auras pas besoin là-bas t'façon. ” Maddie avait le rôle d'une reine au sein de sa communauté, et laisser son royaume provoque bon nombre de chamboulement, tous pense prendre son titre mais surtout personne n'est triste de la voir partir. Sourires Colgate en plastique, ces gens fait d'or et d'argent n'exprime aucuns sentiments, ils ne savent que déployés la haine et ne penser qu'à leurs propre bonheur. Mais soit; une coupe de champagne et ses malheurs sont oubliés. Rêvant d'une nouvelle vie palpitante, Maddie sera bien déçue de voir que tout le monde côtoie tout le monde, qu'il n'y a pas l'once de méchanceté dans l'école, alors Maddie s'amuse, elle sème la terreur et lance de fausses rumeur. Reine de la provocation, elle adore les turbulences et s'en sort toujours formidablement bien néanmoins. C'est son dont a elle, foutre une merde pas possible et s'en extirpé en regardant en rigolant le chaos qu'elle a foutu. 

»  s o n  p o i n t  d e  v u e  S F / S L

T’as trop peur que ces pestiférer frôle une de tes fourrures de hautes couture en te croisant dans le couloir. Si pétition pour les faire renvoyer il y avait tu serais probablement la première a prendre de ton temps pour faire signer toute l’école. 

» Fact facultatif  (optionnel a jouer uniquement si ça vous tente) 

Vu son prestige familiale elle aimerait rentrer dans les sphinx head. Mais c’est compliqué il faut déjà trouver quelqu’un qui y serait et le charmer pour le convaincre d’en parler au reste du crew. 

    »  s e s    l i e n s

▬ Emilia Suzanne Phobéros ; “ désastre des astres. ” elle était ton double. du moins tu l’as cru pendant tellement d’années, c’était jamais l’une sans l’autre, a la vie a la mort. tu connaissais tout d’elle et inversement, et pourtant un jour elle a osé te mettre devant les yeux tout ce qui n’allait pas chez toi et partir. sous prétexte qu’elle n’était plus de la partie, n’importe quoi. alors oui, tu l’as fait souffrir, mais ces humiliations n’était qu’un centième de ce que tu as ressenti quand elle a osé t’abandonner. personne ne te fait souffrir surtout pas elle. aujourd’hui tu te sens peut-être plus adulte les humiliations cesses peu à peu mais ta haine envers elle ne s’évapora jamais. 

▬ Eleanor Hingram ; « le combat des déesses »

 Ce qu'elle peut t'agacer cette prude aux milles sourires. Au départ tu l'as chariait pour rire mais c'est devenu un combat quotidien, tu lui pique sa place de reine de St Léo et ça l'emmerde, tu t'assumes, tu te fringues comme tu en as envie, tu es saoul ou défoncer si tu le souhaites, tu te fou des autres et la voir criser a cause de ça l'autre gourde ça te fait marrer.

Souvent en clash sur les réseaux sociaux, a l'université c'est toi qui attaque plus qu'elle, car elle ne voudrait pas perdre son statut d'élève parfaite, tu vas tout faire pour que ça arrive.

▬ Kristen Eartham ; « à arroser trois fois par jour »

Elle est depuis ton arrivée ta “meilleure amie”, tu ne te rends pas compte du mal que tu lui fais. Chaque jour s’effaçant un peu plus sous ta prestance, elle te sert de punching-ball mais également de machine à câlin quand parfois tu laisses ta vraie nature se dévoilée. Kriss est ta bouée de sauvetage, elle sait te parler mais toi tu ne fais que crier. 

“Ne met pas ça, ne sort pas avec lui, maquille toi comme ça.” dans le fond, tu voudrais juste l’aider.

▬ Louis Banks ; « don’t play with me »

depuis le début tu sens que ce gars là et de la même trempe que toi, alors t’as pensé qu’il devait être chez les sphinx mais il n’en a jamais rien dit. Tu traine avec lui et ses potes de temps a autres t’espérais pouvoir en profiter. Mais t’as le pressentiment que tu dois pas jouer avec lui, t’as l’impression que lui il t’aime pour qui tu es et ça te fais peur. 

AVATAR NON MODIFIABLE