#léo et l'eau
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MAUVAIS GENRES
Épisode 15
Un an plus tard ou presque, Léo et Dana étaient assis sur un banc , sous les arbres dans ce beau parc où ils venaient souvent regarder les enfants jouer , ils observaient aussi les gens qui déambulaient sous un soleil léger , heureux de prendre l'air dans cette atmosphère bucolique à la végétation luxuriante.
Léo et Dana rendaient visite à un tilleul hors d'âge pour voir comment il allait, ils s'asseyaient sur leur banc préféré qui était souvent libre dans ces heures là.
- ça te dirait d'aller faire du surf ? demanda Dana
- Oui ma chérie...
Elle sourit tout en observant les enfants jouer aux billes en plein milieu de l'allée. Léo suivait du coin de l'œil deux vieilles dames sûrement retraitées qui passaient en se tenant par le bras .
Elles discutaient à voix basse et s'arrêtaient quelquefois pour admirer un arbre ou pour reprendre leur souffle.
Au bout d'une bonne heure, ils décidèrent de rentrer chez eux , Léo tenait Dana par la taille, ils causaient à bâtons rompus tout en éclatant de rire parfois...
Allongés sur cette plage en ce début d'après-midi Dana et Léo admiraient la houle qui était assez énorme, les vagues sont un peu étranges à deviner dans leurs cheminements. Elles apparaissent puis changent, c'est des vagues mutantes.
Ils ont pris leurs planches puis une fois dans l'océan ils ont du affronter beaucoup de wipe-out et au loin , assez loin les vagues arrivaient par séries creuses , bondissant avec puissance, leurs déroulement étaient étendus, une énergie pour se lancer . Ils prenaient du plaisir à survoler les vagues en embrassant le vent .
Ils décidèrent de faire une pose et de regarder les autres surfeurs exécuter leurs aérials .
Assis sur la plage ils sirotaient un jus de fruit , le vent apportait l'odeur des pins qui bordaient la nationale située au dessus . Elle desservait les plages et les villes tout le long du littoral.
Le sel séchant déjà sur leurs épaules. Léo embrassa Dana .ils se sont remis à l'eau tous les deux en négociant correctement la première vague qui était très imposante,ils allèrentbeaucoup plus loin pour prendre les vagues les unes derrières les autres sans trop de mal, maintenant soudés à leurs planches Dana et Léo prenaient de l'élan pour sauter par dessus la lame , l'eau était devenue collante et plein de de déchets ce qui la rendait lourde.
Très vite ils sont revenus sur le sable.
- j'ai froid et mal aux muscles !dit Dana
- Viens on se sécher et rentrer...
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saga: Soumission & Domination 308
Petit rappel, tous les protagonistes de l'histoire sont bien sûr majeurs !
Eté 2014-3
Léo me suit jusqu'à la maison.
Comme tous les nouveaux venus, il est surpris par le parc automobile et moto qui rempli la cour et le garage ouvert. Les deux Mercedes l'intriguent et il me demande à qui elles appartiennent. Quand je lui dis que le SLS est à moi et le cabriolet à mon copain, il regarde Baz avec un air surpris. J'éclate de rire et lui dis que c'est la voiture de PH qui, en short, nous rejoint attiré par la sonorité étrangère du speed triple.
Les autres occupants de la maison arrivent en maillots et tongs. Là je pense vraiment qu'il se demande où il est tombé. D'ailleurs il se tourne vers moi. Avant qu'il n'ait eu le temps d'ouvrir la bouche, je lui présente tout le monde. PH mon compagnon, Ernesto mon compagnon aussi, Ric un " filleul " expert en muscu, Jimmy un autre " filleul " et Arnaud un petit voisin et j'ajoute que oui, nous sommes tous Pd.
Il reste estomaqué avant que PH, d'autorité lui prenne le bras et le fasse entrer dans la maison. Dans l'entrée, les combinaisons en cuir alternent avec les blousons de même matière. PH m'aide à m'extirper de ma combi mono pièce, je reste en shorty, ajoutant mon marcel sur les patères. Je me tourne vers Léo et lui dis de se mettre à l'aise. Il retire son blouson et ses bottes. Ric lui dit d'en retirer plus s'il veut profiter de la piscine. Il y va un peu vite pour le nouveau venu. Je rassure ce dernier et l'emmène sur la terrasse pour la bière promise. Elles arrivent servies par un Ammed comme toujours en boxer de cuir. Léo ne dit rien mais je sens qu'il n'en pense pas moins. Nous restons avec PH, Ernesto, Ric et Baz alors que Jimmy et Arnaud reprennent leur jeu sur la télé du salon.
Quelques instants de silence reposants suivent les premières gorgées de bière fraiche. Je le laisse reprendre pieds et mes acolytes aussi. Arrivé à la moitié de son verre, il s'éclaircit la gorge et me demande avec un petit sourire où il était tombé. Il comprend vite que la maison abrite un " nid " d'obsédés sexuel ! Je raconte aux autres comment nous nous étions rencontrés, même si PH avait deviné, il connait bien son animal ! Léo ajoute que c'était une première pour lui plutôt abonné aux meufs. Il s'était surpris à ne pas débander quand je l'avais " sauvagement " enculé, soulignant le mot. PH, indigné, m'engueule que ce genre de chose ne se fait pas. Je ris. Léo le rassure qu'après il a vraiment kiffé le plan, surtout qu'il sodomisait alors Baz. Je l'avais suffisamment intrigué pour qu'il me suive. Mais il ne pensait quand même pas trouver à l'arrivée, un tel lieu, plein de beaux mecs chauds et attirants.
C'est à ce moment là que Baz lui a proposé à nouveau de se mettre à l'aise. Il s'est exécuté dévoilant un buste large et musclé, même si moins que Ric mais pas loin de moi. Quand il a glissé ses jeans sur ses cuisses, nous avons pu admirer le boxer Diesel qui couvrait ses fesses et de belles jambes aussi imberbes que son torse. A ce stade il me dit qu'il n'avait pas de maillot vu que les potes chez qui il allait n'avaient pas de piscine. Qu'à cela ne tienne, je l'emmène au sous sol où avec les jocks sont placés une bonne 50aine de maillots de toutes taille pour les invités. Je choisis pour lui un Aussiebum qui met en valeur son joli paquet. Il l'enfile et admire la silhouette que ça lui donne. Quand nous remontons sur la terrasse, il a droit à des sifflets approbateurs.
Nos passons dans l'eau un bon moment de détente. Quand il s'inquiète de l'heure et qu'il nous dit devoir nous quitter, c'est PH qui s'occupe de le convaincre de passer la nuit à la maison. Les arguments vont de " tu as bu une bière ", " tu disposes de plein de petits culs à essayer ", " t'as pas de meuf qui t'attend à l'arrivée "... Il prend son téléphone te explique à ses potes qu'il ne les rejoindra pas ce soir même et qu'il les rappellera le lendemain. Je lui demande si ça ne fout pas en l'air son plan vacances. Il me répond que c'était juste une visite à de vieux copains avant d'envisager ses vraies vacances. Je creuse un peu. Il n'a pour le moment rien de prévu, ayant juste l'idée de descendre dans le sud en camping pour tirer quelques meufs et bronzer un peu.
Ammed apparait avec l'apéro et nous dit que ce soir c'était barbecue. Comme nous ne reprenons, ni volants ni guidons, nous profitons des alcools proposés. Léo est assez Vodka et apprécie celle que nous avons. Je vois qu'il tient très bien l'alcool mais que ça le libère de ses derniers blocages. Il se laisse enlacer par Arnaud qui bande franchement pour le nouveau venu. Et d'après le gonflement de son maillot, je devine que cela ne le laisse pas indifférent non plus !
Bruno arrive voir où est son neveu et par la même occasion comptait bien s'inviter à diner. Le " salut tonton " sortant de la bouche du mec collé à lui, le surprend et le fait repousser ce dernier. Incompréhension d'Arnaud qui se recolle et lui assure qu'il n'y a pas de problème. Il s'en aperçoit de lui-même quand Bruno ayant fini le tour des embrassades est venu lui serrer la main.
Pendant le barbecue, je le sens quand même un peu plus tendu qu'à l'apéro. Il se détend quand Bruno nous quitte sur un " amusez vous bien les enfants, je dois me lever tôt sinon j'aurais bien entamé la nuit avec vous tous ".
Dès que son oncle a disparu, Arnaud se colle de plus belle à Léo et lui met même carrément la main dans le maillot. Bandaison immédiate du récipiendaire des caresses. Eclat de rire général, Ric dit que s'il était hétéro, maintenant il est au moins Bi. Arnaud glisse sur les genoux et entame une fellation sur l'objet de ses convoitises. Jimmy voyant cela ventouse de sa bouche les 24cm espagnols. Je m'arroge Ric pour qui j'ai toujours un faible rapport à la façon que j'ai eu de lui faire exprimer son potentiel. PH quand à lui attire Baz à ses pieds pour obtenir la même chose. Pendant un moment ce ne sont que des bruits de glissements dans des bouches mouillées qui troublent l'atmosphère silencieuse de la campagne.
Ernesto interrompt ce moment de grâce et demandant à notre invité si " cela " ne se rapprochait pas du paradis par hasard. Moment de réflexion de l'interpellé qui finalement admet qu'aucune meuf ne l'avait jamais aussi bien pompé. PH ajoute que ce genre de chose ne peut être parfaitement fait que par un détenteur de bite. Acquiescement de Ric qui a pourtant la bouche pleine lui aussi.
Nouveau moment de silence. Nos quatre pompeurs s'appliquent encore plus après ces propos.
C'est mon tour de rompre le silence et je demande à Léo s'il s'était souvent fait sucer en gorge profonde comme le lui faisait Arnaud. Il admet n'avoir réussi à pousser son gland plus profond que la bouche qu'à une seule occasion et que la fille en avait gerbé sur lui ! Arnaud relève la tête et l'assure que ça faisait longtemps qu'il n'avait plus ce type de réflexe. Puis, il replonge sur sa queue s'enfonçant le plus loin possible le gland dans sa gorge pour le prouver. C'est Léo qui lui a repoussé la tête, pensant que ce petit con allait s'étouffer dessus.
Je pousse les " hostilités " en faisant assoir Ric sur ma bite protégée. Aussitôt, les trois autres pompeurs font de même non sans avoir kpoté chacun sa bite. Et pour Arnaud et Baz ajouté une bonne couche de gel. Une véritable course hippique ! Pendant un moment c'était à qui galoperait le plus vite sur sa " monture " ! J'ai ralenti la compétition voulant profiter convenablement de la rondelle de compétition de mon Ric.
Cotes à cotes nous avons baisé les petits culs avides de nos partenaires, Léo se faisant de plus en plus au corps masculin de son partenaire. Si au départ, le contact avec Arnaud se limitait à son cul et par moment ses hanches, au fil du temps, ses mains se sont égarées aussi bien sur ses épaules que son torse et ses tétons pour finir par branler son petit 17x4,5.
En le regardant je me suis dit qu'avant qu'il parte, j'aurai à nouveau mis ma bite dans son petit cul tout neuf !
En attendant, nous baisons deux par deux sans dévier.les hétéros faut les intégrer doucement dans la pratique homosexuelle si on veut les convaincre à défaut de les convertir.
Léo s'y fait d'ailleurs bien et gère maintenant lui-même la façon d'enculer Arnaud. Il n'hésite pas à changer de position et, même s'il retrouve des réflexes " hétéros ", il les adapte à la situation locale. Le missionnaire est un peu difficile quand une paire de couille s'intercale !
Je trouve même qu'il tient bien la distance et alors que nous avons passé plus de 20mn à labourer chacun notre " rondelle ", il n'a pas encore juté. Ce sera chose faite pourtant quelques minutes plus tard, sous les contractions rythmées du sphincter d'Arnaud. Ric vexé, joue aussi de son anneau musclé pour littéralement pomper ma bite et me faire exploser dans ma kpote.
Les autres couples se font aussi plaisir. Les kpotes se remplissent et nos enculés nous jutent dessus. Je note que ça ne gène pas Léo.
Repos post coïtaux, limite endormissement pour certains !
Alors qu'Ammed arrive avec ses serviettes humides pour un premier " nettoyage ", Baz me demande où nous allions dormir. Il kifferait que nous soyons tous ensemble au second. Ric et Arnaud sont partants eux aussi. Je leur dis que la configuration se prêtera à ce qu'ils se fassent encore enculer avant le matin. Ils répondent que c'est justement le but. Léo est interrogatif. Je lui dis de suivre et nous montons les escaliers. Il comprend mieux mon propos quand il découvre le plateau. L'immense lit, la salle d'eau ouverte totalement, et le projecteur vidéo dénonce sans doute possible les fonctions de cette " chambre ".
Sous les douches, où nous nous frottons les uns les autres, les queues se redressent. Léo qui jusque là n'avait pas fait cas de celles des autres, admet être impressionnée par celle d'Ernesto. C'est vrai que 24 cm x 6 bien droite ce n'est pas courant. Et il avoue n'en avoir jamais vu d'aussi grosses même sur les blacks de son équipe de foot. Ernesto n'en bande que plus.
Je me dis que la porte s'ouvre pour que nous nous fassions son cul quasi vierge. Les autres doivent penser la même chose car, dès le séchage, Léo fait l'objet de toutes nos attentions. Il se retrouve porté jusqu'au lit. Il se laisse rouler une pelle par Arnaud pendant que Baz le pompe et que Ric s'occupe de sa rondelle.
PH, Ernesto et moi les regardons faire. Les coups de langue de Ric sur sa rosette tirent de Léo des gémissements étouffés par la langue d'Arnaud. Baz délaisse la queue de Léo qui risquait de démarrer trop vite et s'attaque aux tétons qui couronnent ses pecs volumineux. Il aime ça aussi le Léo !
Plus bas, Ric s'acharne et m'annonce bientôt que l'anneau est prêt. Je passe le premier. Avec mes 5cm de diamètre, ma bite est la plus fine, et en plus il la connait ! Kpoté et graissée, je rentre facile vu le travail en amont. Léo s'y attendait, il essaye de se détendre pour me faciliter la tâche. C'est Baz qui trouvera le déclic en donnant quelques coups de dents aux tétons qu'il suçait jusqu'alors. Je sens sa rondelle se décrisper et me laisser entrer jusqu'aux couilles. Arnaud se décolle aussi comme Baz, le travail de préparation physique et psychologique terminé.
Léo est sur le dos, les jambes relevées contre son torse et je le plante bien profond.
J'y vais doucement et attends que ce soit lui le demandeur. Ce qui arrive quelques minutes de ramonage plus tard. L'effet d'un gland contre sa prostate, déclenche souvent une acceptation totale de la part de l'enculé. Je travaille sa rondelle en longueur et en rotation pour préparer le passage des mes compagnons en rut. PH m'indique qu'il prendrait bien son tour d'un petit tapement sur ma taille.
Je me retire et PH investi aussitôt la place avant que l'anneau ne se resserre. Ça passe lui aussi jusqu'aux couilles mais avec une petite grimace de Léo. PH attend bien sagement calé au fond de son cul que Léo donne le signal. Ce n'est que quand ce dernier commence à rouler du cul qu'il commence sont limage en règle. Moins long d'un cm que moi, il compense sans problème par son cm de diamètre. Léo le sent bien et nous le fait savoir. Arnaud retourne lui rouler des pelles et Baz reprend son bouffage de tétons. Le dérivatif marche et PH coulisse plus aisément entre ses chairs. Il y reprend même du plaisir après quelques instants un peu chaud.
De mon coté je me dis que pour Ernesto c'est loin d'être gagné ! Il va falloir passer au poppers si on veut qu'il se laisse défoncer le cul par les 24x6 qui équipe mon espagnol. Et d'autant plus qu'il se fait maintenir la bite raide par un Jimmy toujours aussi fan de grosses bites. Je vais jusqu'au frigo chercher le flacon et commence à le chauffer entre mes mains, que les émanations gazeuses soient importantes.
De son coté Léo prend plaisir à se faire baiser. Gaz a laissé les tétons à Arnaud et pompe goulument notre invité. Pour le préparer à ce qui va venir, PH positionne Léo en levrette. En plus, ça facilite le travail de Baz. Il est remplacé par Ric qui se coule difficilement (vu le gabarit) en 69 sous Léo. Sans lui avoir rien dit, nous voyons Léo baisser légèrement la tête et timidement commencer à sucer le gland de Ric. Il goute comme avec un aliment nouveau. Il passe d'abord la langue dessus, fait le tour du gland avant de le prendre totalement en bouche. Un coup de rein plus appuyé de PH lui fait prendre la moitié des 20cm de Ric. Il se redresse par reflexe avant de replonger. Je pense que c'est gagné ! Il sera au minimum un bi convaincu.
Quand il sent que PH se retire, Léo relève la tête. J'en profite pour lui gazer les narines. En même temps Ernesto enfonce d'un coup sec son gland. Râle très sonore de sa part. Je double la dose et ses dernières réserves tombent. Il rougit, chauffe et son anneau cède sous la pression d'Ernesto. Il se retrouve empalé avant d'avoir compris ce qui lui arrivait !
Tenu aux hanches par Ernesto en attendant qu'il se fasse au nouvel intrus, Léo me traite de salaud, que j'aurais pu lui demander et au moins le prévenir. Sans faire cas de ses propos, je lui offre de sniffer du poppers avant qu'Ernesto ne se mette en mouvement. Il attrape ma main et place lui-même sous ses narines le flacon ouvert. Après seulement il hoche la tête vers Ernesto.
Ce dernier fait attention. Il le sodomise sur toute sa longueur mais doucement, Jimmy qui s'y connait en enculage grand format, ajoute du gel pendant les 4 ou 5 premiers retraits du manche.
Sous lui, Ric pompe sa bite qui n'a pas débandé dans l'histoire. A nous 7, nous le stimulons, l'excitons jusqu'à ce qu'il explose le laissant dans un quasi coma. Ric est maculé de sperme et les draps sont à changer !
Ernesto se retire vite tant que Léo est sur son nuage. Jimmy prend le relais et masse la rondelle martyrisée le temps qu'elle se referme.
Autour, nous nous branlons et très vite nous lui jutons tous sur son dos sauf Ric qui lui englue le cou.
Après cette première nuit, nous n'auront pas de mal à le convaincre de passer ses 15 jours de vacances chez nous !
Il me téléphonera plus tard pour me dire qu'il se surprenait maintenant à enculer ses partenaires féminines alors qu'il ne le faisait pas avant ! De plus il devait faire attention à son club de sport (foot et muscu) car il avait tendance à bander quand il n'était pas tout seul sous les douches. Plus sensible maintenant, il se doutait que 3 ou 4 mecs du club devaient être de notre bord. Et comme ils ne faisaient pas partie des plus moches, il allait tenter son coup.
Jardinier
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Fuck you! (fr)
(English translation: here)
J'ai le plaisir de vous présenter ma BD qui a été pensée en 2020-2021 et écrite/dessinée en été 2021 ! Donc c'est pas tout récent, mais je l'aime toujours beaucoup ! Elle est faite à l'aquarelle, sur du papier de 17cm sur 17cm environ.
C'est la version originale ; j'ai aussi fait une traduction en anglais (avec l'aide de Tay !) et c'était marrant (bien que un peu chiant parce que mes bulles ont de la texture et de la couleur).
Je vous ai aussi mis la transcription de ce que y'a écrit sur la page en-dessous parce que ma BD est plutôt pensée pour être lue sur papier que sur écran et ça complique peut-être un peu la compréhension...
Bref enjoy etc.
A ce moment précis, j’ai eu envie de mourir
Cela voulait dire, qu’un certain nombre de changements s’imposaient
Changement de prénom : Elliott
Voulez-vous supprimer 137 contacts ? oui, non
Reorientation : L1 socio-eco
Salut, je suis NB. Si vous pouvez pas le respecter, allez vous faire foutre. Bisous / Des gens. 98 [_]
C’est pour ça que je suis ici !
Université
cheveux rouges / amour inconditionnel pour les crop-top / emo 4 ever / expression de genre incertaine / nouveau.lle en ville / side-cut
Bon, cette année promet d’être au moins intéressante
A *ce* moment, mon monde explosa
J’ai vu *cette fille - personne*
cheveux !! / joli sourire / yeux hypnotisants / style d’enfer / piercings graves bg
… et grosses gay vibes
J’avais besoin d’une manière, d’un prétexte pour lui parler, et vite
Heureusement, l’univers ne comptait pas sur mes skills de flirt subtils (il a raison)
Bonjour, est-ce que tu sais où est la salle des L1 éco-socio ? Je suis vraiment arrivé.e hier…
T’as de la chance, j’ai fait un repérage ! suis-moi. Je suis Antoine, d’ailleurs
Enchanté.e. Moi, c’est Elliott
Et de fil en aiguille, on est devenus assez proches
J’arrive !
Un peu trop proches
Putain de merde
bien sur que je veux sexer avec ellui mais putain j’ai merdé, je voulais construire une relation vraie, solide avant, iel va penser qu’on est sexfriends mais je l’aime, beaucoup, putain de merde
bien sur ; mais pas comme ça
solution 1 : en parler -> c’est ce qu’il faut faire
solution 2 : fuir
oui ; je suis un gros con
qu’est-ce que c’est que ces conneries ?!
Hey ! Je peux pas être ton sexfriend ! Désolé (c’était cool hier)
connard
Plus rien n’a d’importance / je suis stupide
2 appels manqués
c’était les pires semaines de ma vie
ne pas s’asseoir
je me suis réfugié dans la lecture
et moi dans tout plein de trucs
les cours étaient assez gênants
mais je voulais m’expliquer
Qu’est-ce que tu me veux ?
Je suis désolé. Est-ce qu’on peut en parler ?
Pas spécialement, non.
Raté, comme moi
Il est temps de sortir mon meilleur cope mechanism
Salut, je suis Alice / Enchanté. Léo. Tu fais quoi dans la vie ? / Je suis en double-licence socio-éco. / Tu peux m’expliquer l’inflation ? On a de l’argent puis il vaut moins, c’est chelou / On va danser plutot ?
Grave
Utiliser des inconnu.e.s
Se détruire
Elliott, je… je t’ai pas vu.e en cours récemment, je m’inquiète pour toi…
Parle-moi, s’il te plaît
Laisse-moi au moins te donner les cours
Salut
je suis désolé.e que tu aies à voir ça,
Antoine
Okay, tu es manifestement trop mal pour que je t’aide tout seul, mais je vais pouvoir te soutenir
Tout va bien se passer. /Il y a plusieurs étapes.
Mais d’abord, est-ce que tu considere que ta situation est un probleme ? / …Oui. / Est-ce que tu es pret.e,
A essayer de l’ameliorer ? / Oui. / Sur.e ? / Oui. J’en ai marre de vivre comme ça.
Cool, c’est la première étape
Merci, Antoine
L’étape 2, c’est de nettoyer ton appart et de le maintenir un minimum propre et rangé
il vaut mieux faire la vaisselle que la stocker dans sa baignoire / aérer c’est bien / changer ses draps aussi / se débarasser des objets nuisibles
Etape 2 : restructurer sa journée et se débarasser de ses mauvaises habitudes
Tous les jours : boire de l'eau / manger (3 fois) / sortir au moins une fois / se reposer, dormir / aller en cours & etudier
Toutes les semaines : planifier repas / lessive / faire les courses / faire du sport
desinstaller Webtoons, Twitter, Instagram / X self-harm (sobre 2 jours) / idem alchool, cigarette / faire du sport / travailler, mais pas trop / tenir un journal / etc.
Mais Antoine était très clair :
On est amis. On verra si on peut être plus quand tu iras mieux
Il me restait une étape, et pas des moindres : consulter un.e psy
Ça m’a pris du temps et de l’énergie, mais ça valait le coup
Merci.
De rien, Elliott
Bien sur, j’ai eu quelques difficultés
Mais Antoine m’aidait dès que je lui demandais de l’aide
Désolé.e
Soit désolé.e à toi-même, pas à moi
C gonflé, enfoiré
Je vais mieux, donc je vais proposer un date à Antoine. Enfin, c’est le plan
stress intense, teinture noire, tentative de tenue classe
Oh, salut Elliott ! / Super élégant.e aujourd’hui
Euh…
Salut… La dernière fois, on a pas fait les choses dans le bon sens. Alors je voulais te demander correctement, si tu voulais faire un date (avec moi)
Bien sur, Eliott. / Très content de savoir que tu es toujours intéressé.e
et ce date,
fut le début de beaucoup d’autres
et encore d’autres rendez-vous
Merci, l’univers
***
Ca me ferait vraiment trop trop plaisir que vous me disiez que vous l’avez lue et/ou ce que vous en avez pensé donc hesitez surtout pas !! J’aime trop parler de mes meow-meow 🥰
Vous pouvez aussi trouver des ptits dessins d'eux sur mon Insta: ici (dans les un peu moins récents surtout).
Et à la revoyure,prenez soin de vous :)
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Koaha-e !! 😄😘 !!!
Alors qu'en raison de raisons ici révélées, j'en suis arrivé à me doucher quotidiennement à l'eau froide tout au long de l'année, laissant ma chaudière éteinte en permanence, au point de me contenter également de l'eau froide pour laver la vaisselle et de ne jamais allumer le chauffage chez moi, un quotidien qui m'a conduit progressivement à devenir particulièrement résistant au froid, d'où les tenues à priori inappropriées pour la saison que j'arbore ces derniers temps, comme peuvent en témoigner les personnes qui ont eu le bonheur de croiser mon chemin, et, tandis qu'il s'agit du second hiver au cours duquel je demeure en permanence habillé aussi légèrement, alors que je me prépare à la Journée Consacrée à la Célébration de Circonstance de tant d'années de Douche Froide Quotidienne, il m'a paru important de communiquer de nouveau au sujet des circonstances qui m'ont amené à adopter cette Discipline Ascétique :
https://youtu.be/aTzDhyarrOM
... révélations communiquées en Préambule de l'Évènement Public Liturgique Approprié qui sera couplé avec mon Rituel de Célébration du Nouvel An du Calendrier Aztèque, en Commençant la première journée de l'Année 11-Roseau avec une Marche Khrisléiste de Circonstance, en faisant le trajet, à pied, de chez moi jusqu'à la plage, en marchant de Carros jusqu'à Nice, en Prélude à un Bain Public tôt dans la matinée.... 🧘 !!
AwA !!!!
🧘🧘🧘 !!!!!!
🧘🧘😇🧘🧘🧘☯️☮️🧘🧘💊💊☯️🧘🧘💊💊🚾....
Khris Léo
2023.02.05
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Un chapitre des Confessions Ésotériques de l'artiste et philosophe KHRIS-LÉO.... 😇 !!
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KOAHA-E ! 🙂 !!
Voici le lien pour me soutenir sur Tipeee :
https://fr.tipeee.com/khris-leo
... pour ceux qui ont l'envie et la possibilité de m'aider à me développer dans mes activités de créateur....
Et, j'y publierai, en outre, une BD de ma création en lecture libre en exclusivité pour les tipeurs tout les mois en récompense des tips mensuels ! 🙂 😉 !!!
... Et, on pourra utiliser ses tips pour acquérir une de mes BD ou une autre de mes créations ! 🙂 !!
Et, on peut aussi commander mes BD Altèr Comics , ici :
https://www.bod.fr/librairie/catalogsearch/result/index/?q=Krzysztof+Khris-L%C3%A9o&cont_id=267649
... Et, on peut, par ailleurs, commander des impressions Art Linéaire et autres créations khrisléistes, sur ma boutique The Art of Khris-Léo :
https://reddyshop.co/khris-leo/
P.S. : Et, on peut également me soutenir gratuitement en regardant des pubs sur ma page uTip :
https://utip.io/khrisleo
Je suis payé quand les gens regardent des pubs....
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Tiens @cheryllollst j'arrivais pas à dormir alors je t'ai fais un petit HC Séli/Léodagan ❤
Inspiré de cette image
https://www.lipking.com/collections/94002#lg=1&slide=0
Léodagan/Séli
Rencontre 1 :
Il vient à la source pour se détendre, c'est son coin secret depuis quelque temps déjà. Mais alors qu'il se dirige vers son endroit favori la silhouette d'une femme se dessine au dessus des ronds d'eaux.
Séli est surprise et se met en position d'attaque mais Léodagan ne veut pas se battre, juste se détendre dans l'eau. Malgré les avertissements et les insultes en Picte qu'elle lui lance, il se déshabille et s'assoie dans l'eau loin d'elle pour lui laisser tout l'espace dont elle a besoin. Il finit par s'endormir, quand il se réveille elle n'est plus là.
Quand il revient la fois d'après il ne l'a voit pas mais il trouve un pichet de vin et du pain qu'elle a laissé pour lui. Il sourit.
Rencontre 2 :
La fureur reigne sur le champs de bataille.
Elle est forte et agile, aussi belle que sauvage, aussi indomptable que dangereuse. Elle lui laisse une entaille sur le torse et quand il se réveil plusieurs jours plus tard avec l'assurance d'avoir une cicatrice aussi impresinante que profonde, il sait qu'il lui faut cette femme.
Rencontre 3 :
Cette fois, elle l'attend à la source.
Ils n'ont pas besoin de mots, de toute façon ils ne se comprennent pas, leur geste valent bien plus. Quand ils ont fini d'apprendre les contours du corps de l'autre, elle promène ses doigts sur la marque rouge qu'elle lui a laissé sur l'abdomen en souriant. Il prend sa main et la pose sur son coeur, "Léodagan", elle goûte son nom d'un baiser, "Léo" elle répète et il se dit que c'est bien mieux que son vrai nom.
Quand il se réveille, elle a encore disparu.
Rencontre 4 :
C'est par hasard qu'il l'a voit.
Elle est blessé et elle porte une autre femme à bout de bras. Il veut l'aider mais elle hurle, il ne comprend pas.
Quelque chose de gigantesque approche, mais Léodagan est prêt. Un combat acharné débute entre Léodagan, Séli et la créature d'où ils sortent victorieux. Mais la victoire à un goût amère, la guerrière qui accompagne Séli meurt dans ses bras, quelques mots étrangers sur les lèvres.
Affaiblie par sa blessure, Séli s'évanouit à son tours.
--
Léodagan la ramène avec lui et la soigne.
Pendant des jours il reste à son chevet, change ses pansements, lui apporte à voir et à manger, lutte avec elle contre la fièvre et les délires.
Au bout de plusieurs jours elle se réveille, il est la première chose qu'elle voit. Elle pose une main sur son coeur, "Séli", avant de sombrer dans le sommeil. Il ne sait pas si elle lui dit merci en sa langue natale ou si c'est son nom.
--
Il veut lui demander de rester mais ils ne se comprennent toujours pas. Elle s'en va rejoindre les siens et il la regarde partir sans pouvoir la retenir.
--
Plusieurs mois s'écoulent sans qu'il ne voit la belle guerrière Picte. Il retourne souvent à la source mais aucune trace d'elle. Il ne l'avouera jamais mais son coeur saigne, il n'aurait jamais dû la laisser partir.
(...) à suivre
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La marge, PAROLES ET MUSIQUE DE LÉO FERRÉ
J'ai la leucémie dans la marge Et je m'endors sur des brisants Quand mousse la crème du large Que l'on donne aux marins enfants Reprends tes dix berges veux-tu ? Laisse un peu palabrer les autres A trop parler on meurt sais-tu ? Y'a pas plus con que les apôtres
J'suis dans la marge
Quand je me glisse dans le texte La vague me prend tout mon sang Je couche alors sous un prétexte Que j'adultère vaguement Je suis le sexe de la mer Qu'un peu de brume désavoue J'ouvre mon phare et j'y vois clair Je fais du wonder à la proue
J'suis dans la marge
Du silence où l'on m'a laissé Musiquant des feuilles d'automne Je sais que jamais je n'irai Fumer la Cour de la Sorbonne Mais je suis gras comme l'hiver Comme un hiver analgésique Avec la rime au bout du vers A la morgue de la musique
J'suis dans la marge
Je suis le prophète bazard Le Jérémie des roses cuisses Une crevette sur le tard A tarder dans les interstices Je baliverne mes ennuis Je dis que je suis à la pêche Et vers l'automne de mes nuits Je chandelle encore la chair fraîche
J'suis dans la marge
Tes bibelots tes bonbons surs Tes oraisons tes bigornades Tes salaisons tes dessous mûrs Quand l'oeil descend sous les oeillades Regarde bien c'est là qu'il gît Le vert paradis de l'entraide Vers l'antre doux de ton doux nid Si tu me tend le cul je cède
J'suis dans le texte
J'suis dans ton texte http://leo-ferre.eu/html-l/lamarge.html CHRISTINE LETELLIER, Cahier LÉO FERRÉ n° 11 LA MÉMOIRE ET LA MER, p45,47..: LA MARGE fait partie des textes extraits de GUESCLIN…rebaptisé ensuite…LA MÉMOIRE ET LA MER (version complète)…La vie insulaire gouvernée par le rythme des marées dans l'îlot du GUESCLIN…est la source d'inspiration principale de ce long poème…Constante de l'imaginaire de FERRÉ, le caractère féminin de l'eau fait que l'on peut dire qu'à l'exception de LA MER NOIRE ce texte est, entre autres, un poème maritime et érotique. Cette double lecture se retrouve dans LA MARGE…Transposée dans l'univers marin, l'imagerie romantique du poète isolé au sommet de sa tour se métamorphose et concilie la vie à l'écart et l'ouverture sur le monde: “J'ouvre mon phare et j'y vois clair”…L'éros apparaît dans LA MARGE à l'ouverture de la deuxième strophe: “Quand je me glisse dans le texte”…“Je suis le sexe de la mer” explicite les métaphores érotiques… https://lepetitvehicule.com/produit/cahiers-leo-ferre-n11-la-memoire-et-la-mer/
#La marge#Léo Ferré#La mémoire et la mer version longue#Léo Ferré by SCL#Christine Letellier#Les Cahiers Léo Ferré
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La mélancolie
La mélancolie
C'est une rue barrée C'est c'qu'on peut pas dire C'est dix ans d’purée Dans un souvenir C'est ce qu'on voudrait Sans devoir choisir
La mélancolie
C'est un chat perdu Qu'on croit retrouvé C'est un chien de plus Dans le monde qu'on sait C'est un nom de rue Où l'on va jamais
La mélancolie
C'est se retrouver seul Place de l'Opéra Quand le flic t'engueule Et qu'il ne sait pas Que tu le dégueules En rentrant chez toi
C'est décontracté Ouvrir la télé Et regarder distrait Un Zitrone pressé T'parler du tiercé Que tu n'as pas joué
La mélancolie La mélancolie
C'est voir un mendiant Chez l'conseil fiscal C'est voir deux amants Qui lisent le journal C'est voir sa maman Chaque fois qu'on s'voit mal
La mélancolie
C'est revoir Garbo Dans la Reine Christine C'est revoir Charlot A l'âge de Chaplin C'est Victor Hugo Et Léopoldine
La mélancolie
C'est sous la teinture Avoir les cheveux blancs Et sous la parure Faire la part des ans C’est sous la blessure Voir passer le temps
C'est un chimpanzé Au zoo d'Anvers Qui meurt à moitié Qui meurt à l'envers Qui donnerait ses pieds Pour un revolver
La mélancolie La mélancolie
C'est les yeux des chiens Quand il pleut des os C'est les bras du Bien Quand le Mal est beau C'est quelquefois rien C'est quelquefois trop
La mélancolie
C'est voir dans la pluie Le sourire du vent Et dans l'éclaircie La gueule du printemps C'est dans les soucis Voir qu’la fleur des champs
La mélancolie
C'est regarder l'eau D'un dernier regard Et faire la peau Au divin hasard Et rentrer penaud Et rentrer peinard
C'est avoir le noir Sans savoir très bien Ce qu'il faudrait voir Entre loup et chien C'est un désespoir Qu’a pas les moyens
La mélancolie La mélancolie
- Léo Ferré “Ferré 64″ (1964)
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LÉO ET L’EAU
Contient : 1 plateau de jeu, 1 livret pédagogique, 1 livret de règles du jeu, 28 carnets personnels,
28 livrets pour l'élève, 5 posters et 4 jetons.
Éducation sanitaire – Santé - Protection de l'environnement – eau. Ce coffret s'inscrit dans une démarche de promotion de la santé et poursuit trois finalités éducatives : développer le respect de soi même et l'autonomie, promouvoir le respect d'autrui et la solidarité, sensibiliser au respect et à la protection de l'environnement. Les activités proposées autour du thème de l'eau contribuent à cette éducation à la santé et à l’environnement.
Niveau CE2 - CM1 - CM2
MAG 121
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6 novembre 2022
On a passé notre week-end à Saint-André, au nord-est de l'île avec Eléna, Léo, Elisa, Mégane et Sandra pour fêter le Dipavali, fête tamoule qui célèbre Latchimi, déesse de la lumière et de la prospérité. À la tombée de la nuit, on a assisté à un beau défilé de chars représentant les 5 éléments hindous (l'eau, le feu, la terre, l'air et l'espace). De nombreuses danseuses précédaient l'arrivée des chars accompagnés de musiciens et de porteurs de feux (qu'ils trimballent dans des brouettes). Puis tout le monde s'est dirigé vers le stade pour voir le magnifique spectacle de danses indiennes traditionnelles ou modernes ainsi qu'un concert d'un groupe de musique indienne venu pour l'occasion. La soirée s'est achevée sur un magnifique feu d'artifice !
Le lendemain, on déguste des plats typiquement indiens (bryani, farata, laddous aux letchis et jalebi) en vadrouillant dans le village dédié à la culture hindoue. Et pour bien finir ce week-end, on participe au Holi, la fête des couleurs qui célèbre l'arrivée du printemps et la fertilité. Toute la foule se jette des pigments de couleurs en riant et en dansant, trop chouette !
Thicoco
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Notre fanzine forestier, l'Art'zine n°2, est disponible ! Ce nouveau recueil de 60 pages se porte sur le thème de la forêt 📖🌲🌿 Il est disponible sur notre boutique Etsy et par commande en mp ! 🌟 Voilà le petit texte que tu pourras lire sur sa 4eme de couverture, et qui résume ce que tu pourras trouver a l'intérieur : "Dans ce recueil sur le thème de la forêt, allant de la vie grouillante de la petite faune jusqu'à la canopée, tu pourras te balader entre les pages d'un conte, t'endormir dans les hautes herbes des croquis et des illustrations foisonnantes, puis plonger les pieds dans l'eau fraîche d'un poème. A l'ombre d'un sureau, tu pourras parcourir une BD tout en dégustant une recette à base de plantes sauvages, ou encore suivre un tuto pour créer tes propres motifs en impressions de fleurs. Ce numéro 2 de la collection Art'Zine a été écrit, planté et arrosé par 12 illustrateur.ices de l'Atelier Arti'Chaud, et imaginé pour t'offrir une promenade à travers les 4 saisons, où chaque page est une clairière qui n'attend que d'être découverte." 🌲🌿🌳🍁🍂 Avec la participation d'Aurore Marotta, qui a notamment fait la belle couverture, Thalie Garand, Marianne Plasse, Tamo, Songe, Zacharie Denuel, Lou Mondon, Sarah Mion, Marie-Lou Hainsselin, Milèna Buisson, Marilou Carraro et Léo Mendez.
#fanzine#microedition#edition#poésie#illustration#forêt#forest#woods#art#bande dessinée#comic strip#french poetry#conte#french tale#atelierartichaud#artzine
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Mercredi 25 août 2021 à 19H, nouvelle émission de la Petite Boutique Fantasque conçu et réalisée à Toulouse. Cette émission a été réalisée sur Garageband pour le montage. Diffusion en hertzien, Toulouse : 106.8 Mhz ou en streaming https://www.radioradiotoulouse.net/ et pour tout le reste du temps sur les podcasts de mixcloud.
Programmation musicale : 1) Rêve (Raymond Queneau) Les grandes gueules 2) L'odyssée de l'eau (François Rabbath) 3) Caresse-moi (Elisabeth Grosz) 4) La foule (Roland Dyens) 5) Colombine (Georges Brassens) Philippe Jaroussky 6) Bande annonce d'Annette (Léos Carax) 7) Tulipan (Trio Lescano) 8) Le tango du suicidaire (Olivier Py / Yvan Cassar) 9) Automne à Varsovie (Georg Ligeti) Pierre Laurent Aimard 10) Slip away (Laurie Anderson) 11) I like girls (The Sparks) 12) Le feu (Louis Aragon) Hélène Martin
Pour ceux qui auraient piscine indienne, ou toute autre obligation, il y a une possibilité de rattrapage avec les podcasts de la PBF : https://www.mixcloud.com/RadioRadioToulouse/tour-de-chauffe-la-petite-boutique-fantasque-202119/
Allons-y gaiement et sans mollir !
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Nouvelles acquisitions (Novembre 2018) Rattrapage
Samedi 03.11.18 Gibert Joseph Vladimir Nabokov - Invitation au supplice Ismail Kadaré - Le palais des rêves Leo Perutz - La nuit sous le pont de pierre Yasunari Kawabata - Le Maître ou Le tournoi de Go Yasunari Kawabata - Chroniques d'Asakusa Jean-Pierre Duprey - Oeuvres complètes
Boulinier Armand Guibert & Louis Parrot - Federico Garcia Lorca - Poètes d'aujourd'hui Seghers
Gibert Jeune - Nouvelle Braderie, place St Michel Michael McCauley & Jim Thompson - Coucher avec le diable
Dimanche 04.11.18 Boulinier Collectif - Le surréalisme au service de la révolution
Très heureux d’avoir trouvé ce livre rare à si bas prix ! 15€, je crois. Ce recueil de revues, 6 numéros, succède à la mythique Révolution surréaliste. que j’ai déjà. Ici, des textes de 1930 à 1933 de Breton, Char, Caillois, Crevel, Ernst, Giacometti, etc. Le communisme commence à prendre beaucoup trop de place. Dali hante ces pages, hélas, ainsi que Freud et Sade. Ces 6 numéros seront suivis par une autre revue : Minotaure, mais de querelles en excommunications, le groupe se disloque, c’est déjà le début de la fin... Si j’avais aimé la Révolution surréaliste, je reviens moins souvent vers ce livre-ci.
Samedi 10.11.18 Boulinier Daniel Gillès - Laurence de la nuit J’avais adoré sa biographie de Tchékhov, j’ignore ce que valent ses romans...
Jim Harrison - Nageur de rivière
Ancien livre de bibliothèque. J'ai beaucoup aimé la fiche de lecture qu'on trouvait à l'intérieur. 4 lecteurs ont laissé leur avis : 1. Moyen. Je n'ai pas aimé. S.B. 2. Nul. N'importe quoi. J.J. 3. Très bon. Oh ! On ne peut pas écrire cela ! Voici un livre attirant et poétique. 4. Moyen. Très peu d'intérêt. Sévères, les lecteurs ! J'ajouterai mon avis plus tard...
Ursula Le Guin - Le commencement de nulle part John Brunner - Au seuil de l'éternité Joyce Carol Oates - La foi d'un écrivain Guide l'Ile-de-France mystérieuse - Tchou Paris Review - Les entretiens - Anthologie volume 1
Gibert Jeune - Nouvelle Braderie, place St Michel François Taillandier - Edmond Rostand, l'homme qui voulait bien faire Jean-François Robin - La fièvre d'un tournage - 37°2 le matin
Relu ce petit livre très sympathique, écrit par le directeur de la photo du film.
17.09.1985 « Beineix doute toujours autant à la sortie des projections. (...) Quand j'aurai du génie, je ne ferai que des plans fixes, où le cadre se remplit tout seul, avec des acteurs qui se rapprochent ou qui s'éloignent. Mais là, je n'ai même pas le sens ou l'intuition de savoir où je vais couper. »
24.09.1985 Béatrice Dalle refuse de tourner nue. « J'ai déjà trop tournée nue, ça suffit. » Commentaire de J.J.B. : « Je suis sûr que c'est le mari qui lui a bourré le crâne. » Il se fâche, Dalle s'enferme dans la salle de maquillage. La stagiaire : « Elle pleure, il faut un quart d'heure pour la maquiller. » Dalle revient, muette. « On tourne la scène dans un silence de mort. J.J.B. « Une heure pour tourner un plan si simple, ça me fout ma journée en l'air. » En aparté il ajoute : « Peut-être qu'il faudrait lui filer deux baffes... » « Comme Clouzot, ajoute le chef électricien. » « D'ailleurs, ajoute Beineix, la thèse selon laquelle un acteur doit être bien pour jouer est fausse. Au contraire il faut qu'il se sente mal, qu'il se sente en danger pour se donner à fond, parce que là, il doit compenser. » Scène de dispute dans le film, Dalle réclame la maquilleuse. Beineix refuse, il veut qu'elle soit nature. Dalle est folle de rage. « Voilà, je fais du Pialat, dit Beineix. Puis : Plus on déteste son metteur en scène, mieux on joue. » Une autre fois, 30.09.1985, Dalle s'entraîne à conduire la Mercédès jaune. Elle percute une autre voiture. Phare pété, aile froissée. Beineix ne bronche pas, mais lâche :« Vous auriez pu vous tuer. » Puis une demi-heure plus tard : « Je vous avais prévenus, un film ça se prépare. »
Scène de fête, Dalle fait croire à Beineix qu'il y a de l'eau dans sa bouteille de champagne. Mais c'est du vrai. En partant, je croise Béatrice complètement éméchée. « Je suis saoule. Est-ce que je te plais ? » Ajoute-t-elle en ouvrant son corsage et en riant à gorge déployée. » On entend les « in » traînants en fin de phrases, tipiques de l’actrice : « Je suis saoule-in. je te plais-in ? »
Mardi 12.11.1985 Hier soir, un film de Bergman, son premier à la TV. Béatrice l'a regardé cinq minutes puis elle a coupé. « Ah, les films ruskofs ou polacs, moi je déteste, c'est tout pareil, chiant, chiant. »
11.10.1985, «Tournage de la scène où Betty apparaît la première fois. Zorg est assis, il aperçoit sa magnifique silhouette dans la porte. Beineix : « Attention, tu fais ton entrée dans le cinéma français, il faudra qu'on s'en souvienne ; on te jugera là-dessus. » En fait la première scène sera la fameuse scène de sexe. 22.10.1985 « On tourne deux prises, impressionnantes toutes les deux et les spéculations vont bon train. L'ont-ils fait ou pas ? Les intéressés ne démentiront que le lendemain mais qu'importe : le faux amour semble encore plus sincère que le vrai. »
Revu le film dans sa version longue, que j'avais bien aimé à sa sortie. Ensuite, beaucoup aimé le roman de Philippe Djian, qui a fait baisser le film dans mon estime. À la deuxième vision, j'ai trouvé le film un peu cruche. Niais, par moments. Très daté 1985. Anglade, quoique naturel, fait trop minet pour le rôle de l’écrivain. Et esthétiquement, c'est parfois très moche : ces filtres colorés rendent l'image vraiment dégueulasse. Restent de belles scènes, quand même (+ la musique de Gabriel Yared !), et on dira ce qu'on voudra, mais Béatrice Dalle, certes agaçante dans son jeu-in, crève l'écran. Voire l’explose. C’est la Bardot de son époque, en somme.
émission de radio de la RSR, avec quelques erreurs mais des entretiens d’époque : https://bit.ly/2Kk8NdQ
Jean-Roger Caussimon - La double vie, mémoires
Vendredi 16.11.18 Via internet Léo Malet - Tome 5 - Romans, nouvelles et poèmes (Coll. Bouquins Robert Laffont) Contient : La vie est dégueulasse, le soleil n'est pas pour nous, sueur aux tripes, contes doux, la forêt aux pendus, la louve du Bas-Craoul, le diamant du huguenot, un héros en guenilles, le capitaine coeur-en-berne, Gérard Vinbdex, la soeur du flibustier, l'évasion du masque de fer, le voilier magique, vengeance à Ciudad-Juarez, vacances sous le pavillon noir, pièces radiophoniques et téléfilm.
Samedi 17.11.18 Boulinier Christopher Brookmyre - Les canards en plastique attaquent ! Ivan Bounine - Le village Knut Hamsun - Esclaves de l'amour Saul Friedländer - Quand vient le souvenir...
Gibert Jeune - Nouvelle Braderie, place St Michel Jacques Sternberg - Les pensées
Vendredi 23.11.18 Via internet Mary Dearborn - Henry Miller, biographie
Samedi 24.11.18 Gibert Joseph Serge Valletti - Sale août, suivi de John a-dreams Robert Benchley - Les enfants, pour quoi faire ?
Boulinier Edgar Lee Masters - Spoon River
J’ai déjà la traduction bilingue de chez Phébus (Des voix sous les pierres, Trad. Patrick Reumaux). Voilà un recueil de poésies étonnnant où des épitaphes sur des tombes parlent, se répondent, racontent la vie d’une petite ville, dans une construction originale et réjouissante. Inspiré par les épigrammes de l'Anthologie grecque. Je me demande si Georges Saunders ne s’en est pas inspiré pour son roman Lincoln in the Bardo ? C’est ici une nouvelle trad. parue chez Allia en 2016, par Gaëlle Merle. Il existe une troisième trad. par Michel Pétris & Kenneth White, la première de 1976 chez Champ Libre (merci Laurent N.) Et une quatrième par un collectif Général Instin (!?) Édition de Patrick Chatelier. http://www.lenouvelattila.fr/spoon-river/
Ivan Bounine - Tchékhov
Gibert Jeune - Nouvelle Braderie, place St Michel Robert Ferguson - Henry Miller, biographie Tom Franklin - Braconniers, nouvelles
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Hélène Bertin, lauréate du Prix AWARE 2019 pour les artistes femmes
Pour la 3ème année consécutive, le Prix AWARE (Archives of Women Artists, Research and Exhibitions) pour les artistes femmes a été remis le lundi 18 mars 2019 avec le soutien renouvelé du Ministère de la Culture et de la Communication, dans les salons de la rue de Valois, sans exposition collective cette année. L’argent ira cette fois vers d’autres canaux de diffusion, une publication monographique pour le Prix d’honneur – Jacqueline de Jong, née en 1939 – chez Manuella Editions, et pour le Prix du jury, une acquisition au Cnap (Centre national des arts plastiques) ainsi qu’« une aide à la production d’une exposition dans un centre d’art du réseau D.C.A (Association française de développement des centres d’art contemporain) et/ou Platform (regroupement des Fonds régionaux d’art contemporain) ». L’association AWARE a été créée en 2014 suite à l’accrochage Elles@centrepompidou en 2009-2010, en se donnant pour objectif principal de « rétablir la vérité historique » sur la place des femmes artistes dans l’histoire de l’art, grâce à un rigoureux travail de recherche. Les prix viennent donc compléter cette aide à la reconnaissance.
Après Audrey Azoulay en 2017 puis Françoise Nyssen en 2018, c’est Franck Riester qui invitait le petit monde de l’art contemporain à la cérémonie de remise des prix, aux côtés de Camille Morineau, co-fondatrice et présidente de l’association AWARE , qui poursuit sa carrière à la Monnaie de Paris comme directrice des expositions et des collections. Le ministre Franck Riester n’était pourtant pas là ce lundi soir. Malmené par les urgences allant des kiosques détruits par les flammes sur les Champs Elysées au « Grand Débat des Idées » entre le Président Macron et « les intellectuels » sur France Culture auquel il devait assister pendant huit heures, le Ministre de la Culture a laissé le soin à ses communicant.e.s de prendre le relais.
En 2017 et 2018, le Prix du jury avait été attribué respectivement à Laetitia Badault-Haussman et à Violaine Lochu. Pour l’édition 2019 du Prix, qui récompense « une artiste émergente ayant débuté sa carrière depuis dix ans au plus » et une artiste « confirmée », le président du Jury et ancien directeur du musée d’art national moderne/Centre Pompidou Alfred Pacquement a félicité Hélène Bertin, née en 1989 et diplômée de l’École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon (DNAP, 2010) et de l’École nationale supérieure d’arts de Paris-Cergy (DNSEP, 2013).
Originaire du Luberon en Provence, où elle travaille dans son atelier à Cucuron ainsi qu’à Paris, Hélène Bertin est une artiste philosophe. D’une grande maturité, sa pratique libre se dévoile entre ses différentes casquettes, à la fois artiste, curatrice et historienne. Elle aime cette interchangeabilité des statuts. Dès 2013, elle enquête sur la vie et l’œuvre de l’artiste Valentine Schlegel, née en 1925, au contact de sa famille, ses amis, ses élèves et ses collectionneurs. Sa vision de l’art en est métamorphosée. De cette recherche semblable, par certains aspects, à la quête de reconnaissance des artistes femmes de l’association AWARE, est née une exposition intitulée « Cette femme pourrait dormir dans l'eau », présentée au CAC Bretigny en 2017, accompagné d’un catalogue bio-monographique selon ses mots.
Vue de l'exposition «Cette femme pourrait dormir dans l'eau», Valentine Schlegel par Hélène Bertin – CAC Brétigny, 2017 – Photo: © Aurélien Mole
« Lorsque j'ai rencontré l'art de vivre de Valentine Schlegel, j'ai compris qu'il était possible de travailler autrement » explique-t-elle. A travers ses observations et ses réflexions sur les « sculptures à vivre » de son aînée, Hélène Bertin souhaite expérimenter « une autre adresse de l’art », à l’image des cheminées de Valentine Schlegel qui disparaissent comme œuvre d’art dans l’espace intérieur, et créent un circuit artistique autonome. C’était donc un premier acte de dépassement que d’exposer cette recherche dans un centre d’art.
Cette en-quête artistique et historique, philosophique même, se diffuse par des histoires incarnées dans les multiples créations de Hélène Bertin. Ces œuvres sont toujours le minima matériel d’une réflexion, l’introduction à un propos plus profond, comme dans le travail plus critique de l’artiste américain Cameron Rowland, pour qui la recherche devient elle-même un objet artistique.
« J’ai toujours pensé qu’au fond, les artistes étaient les meilleurs pour parler des autres artistes. Nous les critiques, les curateurs, il y a quelque chose d’un peu artificiel parfois. Nous ne vivons pas ce que vous vivez. »
Flora Katz, Artpress, le 7 décembre 2017
Hélène Bertin, Joie, 2018, Grès, cendres, ammonites. Exposition "Déclassement", production château d'Oiron. © CMN
En réactivant ici les œuvres de Valentine Schlegel, là le rite du feu de la Saint-Jean au château d’Oiron, Hélène Bertin interroge la place de l’œuvre dans l’exposition et le regard du spectateur. En retour, elle s’est approprié les formes organiques, la simplicité des matériaux bruts et peu chers, pour développer un art proche de la vie quotidienne, un art d’usage. Si elle travaille souvent la céramique ou la gravure, elle a aussi instauré, dans sa recherche d’un art social, un moment artistique de partage : le workshop culinaire, qu’elle organise chaque été dans son village, Cucuron, où elle est très investie. Elle confie dans les studios de France Culture son amour de la campagne, des plantes, des saisons et même une « passion pour les vacances ».
Hélène Bertin, Marchelire & Corbeilleboire, 2018 © Vincent Blesbois
Ses créations et projets ont été présentés en France, en Allemagne et en Italie, aussi bien dans des institutions publiques comme le CAC Brétigny, invitée par Céline Poulin, ou le château d’Oiron, que dans des institutions privées comme Lafayette Anticipations ou la Fondation Ricard en 2017 pour l’exposition Rien nous nous appartient : Offrir à l’invitation de Flora Katz, aux côtés d’artistes et philosophes tels que Morgan Courtois, Eva Barto, Pierre Huygue et Tristan Garcia. Elle a participé en 2015 au Salon de Montrouge.
Léo Rivaud-Chevaillier
Ecoutez Hélène Bertin parler d’une de ces œuvres sur *DUUU – radio.
#helene bertin#prix aware#artistes femmes#women artists#sculpture#social art#flora katz#celine poulin#cac bretigny#fondation ricard#lafayette anticipations
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Rachel Gardner — 22 ans — South Florida — Etudiant en Science / Chimie. — Barmaid du Rick’s — The Pussy lead — ( Aka ~ Brook Power )
» s a b i o g r a p h i e
Il y'a de ca 22 ans par une douce nuit d'été rafraîchissante dans cette canicule comme il n'y en avait que trop souvent en Floride, naquit une ravissante jeune femme que sa jeune mère nomma Rachel, Rachel Gardner, Gardner comme son père, père qu'elle pensait réellement qu'il viendrait vivre avec elle, mais malheureusement cette nuit, les pleurs de bébé ne furent pas les seuls. Un coup de téléphone avait ruiné le morale de maman qui apprenait alors que celui qu'elle pensait bientôt épouser n'avait jamais réellement penser faire sa vie avec elle, il la quittait pour une autre femme qu'il fréquentait depuis plusieurs mois dont la situation financière était bien meilleure. Il lui qu'il lui enverrait de quoi nourrir bébé, mais par fierté elle l'envoyait se faire voir. Malheureusement les papiers déjà signer et envoyé, bébé portait le nom d'un père qui ne voulait pas d'elle. Mais ce n'était rien. Marie, jeune francaise expatriée tombée amoureuse des plages de Tampa, était une mère remarquable quoi que très jeune. Elle supprima immédiatement toutes ses candidatures à l'université et gardait ses économies pour élever sa fille comme une femme responsable, son enfant étant tout ce qui lui restait par ici. Lettre de motivation et CV déposé dans tous les petits restaurants et complexes apte à l’embaucher. Elle lui donna tout ce qu'elle pouvait lui donner. Les deux femmes aussi forte l'une que l'autre grandirent ensemble, et alors que Marie fêtait ses 27 ans, Rachel elle soufflait ses 5 bougies. Maman rentrait tard le soir car faisait des heures supplémentaires pour payer les cours de natation de son ange, mais Rachel avait de la chance, elle avait Rick, le meilleur ami de sa mère. Enfin vous l'aurez compris, Rachel n'était vraiment pas à plaindre son cadre de vie n'était que merveille. Jusqu'à son entrée à l'école. Elle fit la connaissance du petit démon nommé Tania, qui portait le même non de famille qu'elle, Tania se moquait d'elle en permanence, répétant des phrases tel que “Mon papa t'aimait pas, il m'a choisi moi”. Blessée si jeune par des concepts qu'elle ne comprenait pas, elle n'en parlait néanmoins pas à sa maman chérie, elle comprenait bien qu'elle serait blessée elle aussi. — Des années après, Rachel pourrait presque remercier sa demi-soeur pour tout ça, car elle est intimement convaincue que c'est grace à ce harcèlement qu'elle est aujourd'hui devenue une merveilleuse jeune femme, bien dans sa peau, aussi cool et drole qu'elle peut-être sexy si l'envie lui prend. 50% garçon manqué, il faut dire qu'elle n'aime pas particulièrement les filles, du moins pas celle qui critiques les autres en pouffant sur leurs passages. Non Rachel était capitaine de son équipe de natation au Lycée mais surtout ne cesse de gagner des championnats junior de surf en Floride depuis ses 15 ans : Elle à belle et bien trouvé son élément : L'eau, et tout comme l'eau elle a tendance a glisser sur les problèmes pour les éviter. Malheureusement, la belle jeune femme voit son rêve s'écrouler le jour ou dans une mauvaise chute elle tape un roché et s'ouvre l'arrière de la cuisse touchant des tendons et des nerfs qu'il faudra opérer. Même si elle est sur de pouvoir nager a nouveau elle rate l'entrée a l'université de ses rêves puisqu'elle ne peut pas honorer sa bourse sportive et travail donc un an dans un bar qu'elle ne connait que trop bien depuis ses premier diabolo fraise avec sa maman. Cette année sabbatique est un tournant : Sa mère part quelque temps voir sa famille en france, quant-à elle, elle tombe amoureuse d'un surfeur plus vieux qu'elle, avec qui elle vit une jolie histoire d'amour, mais maintenant qu'il n'est plus là elle se rend compte que ce n'était pas si bien qu'elle le pensait sur le moment. Finalement elle s'inscrit à South-Florida pendant un an et se fera de très bon ami puis elle est envoyé à St-Léo en temps qu'étudiante test à sa plus grande surprise se retrouvant à nouveau auprès de Tania. Après deux ans de rétablissement elle reprend petit à petit les entraînements de natation et de surf avec son coach dans le but d'atteindre à nouveau les compétitions. Sa mère étant parti plusieurs mois, son seuls pied a terre est le petit appartement étudiant qu'elle partage avec ses deux colocataires.
» s e s l i e n s
▬ Tania Gardner ; ‘ Error 404′
Elle est la soeur que tu n’as jamais rêvé d’avoir, pas une fois dans ta vie. Elle fut ton tyran autrefois, lorsque vous cotoyiez le même collège, lycée, mais aujourd’hui tu compte bien lui montrer à quel point tu t’es épanouie, à quel point tu n’as pas eu besoin de sa prétendu famille parfaite, ou de ce prétendu père que vous partagez. Tu es indépendante, tu es forte. cette année t’as envie de lui prouver par A+B que tu vaux mieux qu’elle sur tout les plans et qu’a l’université tu réussiras mieux.
▬ Johanna Jones ; Sisters before misters
Elle est ta meilleure amie, ton pilier dans ce monde de fou. Vous vous connaissez depuis 3 ans, parce que vous travaillez ensemble au bar de la plage. Mais pour la première fois avec un(e) collègue, le courant est plus que passé. Vous êtes inséparable, vous savez tout l’une de l’autres. elle te soutiens pour te entrainement et inversement tu la soutiens face au décès de sa mère.
▬ Sean / Liam / Zach ; Pote de poche
South se sert les coudes face aux saint-lés qui sont sur leurs territoires. Ces gars là sont des gens que tu as l’habitudes de côtoyer en soirée, à l’université, par le biais de johanna, ou simplement des potes. Tu les connais ce sont de bon amis en soirée. Sans plus.
▬ Ramsès ; l’erreur.
un soir, une nuit, rien d’plus, il était là avec liam et avec plusieurs vers c’est devenu facile de lui parler, il t’as cédé . Une part de toi à envie de savoir pourquoi ce mec est aussi renfermé, tu sais qu’il y’a quelqu’un, que cette histoire d’un soir ne mènera a rien de bon, mais elle t’as donné envie de le forcer à s’ouvrir.
▬ Someone ; prof de surf.
en rédaction.
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Le miroir aux chansons Léo Ferré, Un Archipel Jacques Layani « J’aime la chanson, donc j’aime Ferré. […] C’est costaud comme un tigre et fragile comme un rossignol. » Ainsi parlait Jean Gabin. Aimer Ferré, oui, mais pourquoi et comment ? À ces questions, au fil du temps, Jacques Layani a trouvé une kyrielle de réponses. Les voici ici réunies : tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur Léo Ferré sans jamais oser le demander. Tout Léo Ferré – c’est-à-dire « sa vie, son œuvre » – constitue un immense archipel : une infinité d’îles. Invitation au voyage donc. Dans le sillage de l’auteur, on navigue de port en port, on embarque, on débarque, on explore chacune des « îles Ferré » : l’enfance, la famille, les proches, les maisons, les compositeurs, les poètes, les livres, les rencontres, la langue, les mots, la syntaxe, les notes, la musique, les chansons, la scène, le rythme, les couleurs, la voix, le chant, la liberté, les tournées, la colère, l’anarchie, la verve, l’imagination, l’amour, l’amitié, les blessures, les cris, les larmes, le chagrin, la lumière, les ombres, la source, la misère, la mort, l’espoir. Toute une géographie, toute une histoire ! Au hasard de cette odyssée, on croise André Breton, Aragon, Mac Orlan, Prévert, Ravel, Mozart, Poulenc, Trenet, Cole Porter, Chaplin, Garbo, Rimbaud, Baudelaire, Verlaine, Apollinaire, Seghers, Villon, Caussimon, Gainsbourg, Bartok, Gauguin, Catherine Sauvage, Édith Piaf. Et tant d’autres. Tout cela dans un désordre foisonnant. Car Léo Ferré l’affirma toujours : « Le désordre, c’est l’ordre moins le pouvoir. » Avec le temps, tout s’en va. Mais Ferré demeure, dans tous ses registres. Jacques Layani, né en 1952, a publié des biographies, des essais, des poèmes, trois livres de cinéma, quatre recueils de nouvelles et trois pièces de théâtre. Il a déjà signé trois ouvrages sur Léo Ferré. En librairie en septembre 2020, Léo Ferré, Un Archipel - Bord de l'eau
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Jeudi 9 février - Thaïlande C'est parti pour faire un tour en bateau autour de phi phi ley, et on va voir la fameuse plage du film “la plage” avec Léo, et ils ont plutôt bien choisi : l'eau est d'un bleu turquoise hallucinant et le sable est tellement doux! Par contre on avait pas le côté “seul au monde” (loin de la) plutôt le côté “métro parisien le mardi à 8h” (non pas tant que ça … ).
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