#kotonami kuon
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udawo · 6 months ago
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cogimiun · 9 months ago
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top 5 drrr characters if i include sh:
masaomi kida
yahiro mizuchi
celty sturluson
anri sonohara
kuon kotonami
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moomoofoo · 6 years ago
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kotonami siblings
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tricksters-kiss · 9 years ago
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13elieve · 2 years ago
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Whichever Way the River Flows - Chapter 12 - artloife4142 - Skip Beat! [Archive of Our Own]
One of the greatest fic ever written in the skip beat community just dropped its final chapter and im 😭😭😭😭
Go read this beautiful story if you havent, you wont be disappointed
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nakura-san · 8 years ago
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Durarara!!SH vol.2 - Chapitre 5A Le Messager (partie 2/3)
Quelques jours plus tard. Lycée Raira.
Le lycĂ©e Raira avait commencĂ© les cours, et Yahiro Ă©tait capable de participer normalement, sans rester en retrait ou ĂȘtre mis Ă  l’écart.
La plupart des blessures sur son visage s’étaient rĂ©sorbĂ©es, et maintenant qu’il avait retirĂ© ses bandages, il Ă©tait assez indescriptible.
Himeka et Kuon Ă©taient Ă©tonnĂ©s par la vitesse Ă  laquelle il avait rĂ©cupĂ©rĂ©, mais les blessures Ă©taient si habituelles pour Yahiro, qui avait subit des attaques surprises depuis son enfance, qu’il Ă©tait dĂ©jĂ  coutumier du fait.
Ses camarades de classe avaient dans un premier temps Ă©tĂ© surpris en voyant ses blessures, mais avec quelqu’un d’aussi inapprochable que Kuon tournant autour, peu d’entre eux lui parlaient plus que nĂ©cessaire.
Son combat contre Shizuo derriĂšre lui, Yahiro se sentait juste reconnaissant d’avoir rĂ©ussi Ă  atteindre sa vie paisible de lycĂ©en-
Mais au final, cette paix disparue soudainement l’aprĂšs-midi mĂȘme.
« Mi~zu~chi~ku~n ! A~mu~sons~ nous~ un~ peu~ 
 aha ! »
C’était quelques minutes aprĂšs le dĂ©but de la pause-dĂ©jeuner.
Yahiro Ă©tait en train de sortir son bento fait maison, rĂ©flĂ©chissant Ă  oĂč le manger, quand cette voix fĂ©minine rĂ©sonna depuis le fond de la classe.
Les Ă©lĂšves restant dans la classe relevĂšrent la tĂȘte, et jetĂšrent un Ɠil Ă  la fille et Yahiro.
« Ah
 Euh
 Orihara-senpai ? »
« C’est ça~ ! C’est bien ! Tu t’en es souvenu ! »
La 3Ăšme annĂ©e, qui portait des lunettes et une tresse, entra dans la classe de 1Ăšre annĂ©e en un clin d’Ɠil, et sauta devant le bureau de Yahiro.
« Hey, t’as du temps aprĂšs les cours cet aprĂšs-midi ? »
« Euh, je dois aller m’occuper de la bibliothĂšque pour le comité  »
« Okay ! Je viendrai te voir Ă  la biblio alors ! Il faut que je te parle d’un truc ! »
Ils ne s’étaient rencontrĂ© qu’une seule fois jusque là ; mais Mairu sortait dĂ©jĂ  des choses aussi inconsidĂ©rĂ©es.
« Tu es juste en train de dire que tu vas venir perturber mon travail, je ne vou  »
« C’est bon. J’irai juste m’excuser auprĂšs du PrĂ©s’. Et sinon, oĂč est Kuon-kun ? »
« Oh, il doit ĂȘtre sur le toit, je pense. »
« Ah, je vois. Peut-ĂȘtre qu’il mange avec Aocchi et compagnie ? »
Comme Kuon n’était pas dans la mĂȘme classe, et que Himeka Ă©tait dĂ©jĂ  partie acheter Ă  manger, il n’y avait personne dans les parages pour venir en aider Ă  Yahiro ; il n’y avait que ces camarades de classe, qui regardaient discrĂštement de loin.
« C’est bon si tu me parles ici aussi, en fait  »
« Ah, non je peux pas. Ne nous précipitons pas. »
Elle sourit en posant son index sur ses lĂšvres, avant de le presser contre la bouche de Yahiro.
«   ?! »
« Dans tous les cas, c’est quelque chose dont je ne peux pas te parler ici, donc ayons une longue et agrĂ©able discussion aprĂšs les cours, ok ? »
Avec un sourire qu’on ne saurait dĂ©crire comme innocent ou agaçant, la fille quitta la salle de classe.
« Mizuchi-kun, tu connais Orihara-senpai ? »
AprĂšs qu’elle soit partie, plusieurs filles s’attroupĂšrent autour de Yahiro par curiositĂ©.
« Je l’ai juste rencontrĂ© rĂ©cemment
 Elle est comment ? »
Yahiro, surpris, rĂ©pondit par une autre question, et les filles s’échangĂšrent des regards avant de rĂ©pondre.
« Hm
 Elle est exactement comme elle Ă  l’air. »
« Elle est connue dans le lycée, pas vrai ? »
« Sa sƓur jumelle est la vice-prĂ©sidente du conseil des Ă©tudiants  »
« Les sƓurs Orihara ont Ă  la fois des garçons et des filles qui les idolĂątrent, donc tu ferais mieux de faire attention~ »
Elles donnĂšrent toutes sortes d’informations, mais rien de spĂ©cifique, Ă  tel point que Yahiro fut incapable de saisir quoi que ce soit sur elle en tant que personne.
Avec cette rencontre et la prĂ©cĂ©dente au dojo, il avait bien compris qu’il s’agissait d’une personne assez originale, mais qu’est-ce que quelqu’un comme elle pouvait bien attendre de lui ?
Avec ce doute tournant dans sa tĂȘte, Yahiro dissipa ses camarades de classe, en ouvrant son bento.
-      Bon, ça doit ĂȘtre rien de trop sĂ©rieux.
-      Elle veut probablement parler du Motard sans tĂȘte, ou me faire visiter le dojo.
Ce sont les sujets de conversation que Yahiro imaginait ; mais ces hypothĂšses allaient bientĂŽt ĂȘtre rĂ©futĂ©es.
 ♂♀
 AprÚs les cours. La bibliothÚque.
« Hey, comment t’as fait pour te battre d’égal Ă  Ă©gal avec Shizuo ?! »
Alors que Mairu balançait cette bombe avec les étincelles dans les yeux, le visage de Yahiro tiqua contre sa volonté.
« De, de quoi tu parles ? »
« Fais pas genre, fais pas genre. On sait ce qui s’est passé ! »
«  Soit
 honnĂȘte  »
Yahiro Ă©vitait de maniĂšre beaucoup trop Ă©vidente le moindre contact visuel, mais les deux l’avaient pris en sandwich et le fixaient intensĂ©ment.
Mairu n’était pas seule ; sa sƓur, Orihara Kururi, Ă©tait avec elle, et elles avaient coincĂ© Yahiro dans la bibliothĂšque pour l’interrogatoire.
Elles Ă©taient assez compatissantes pour avoir Ă©vitĂ© l’heure de pointe et approchĂ© Yahiro vers l’heure de fermeture, quand la plupart des gens Ă©taient dĂ©jĂ  partis.
Coincé par deux filles dans la bibliothÚque aprÚs les cours, avec personne aux alentours.
Dit comme ça, ça pouvait sembler excitant, mais Yahiro n’était pas en mesure de savourer sa condition.
« Non, je ne vois vraiment pas de quoi vous  »
« Tu vois~, ça a Ă©tĂ© filmĂ© figures-toi~ ! C’était de trĂšs loin, donc ton visage est flou, bien sĂ»r, mais le gars derriĂšre toi a les cheveux verts, tu saisis ? »
« Il n’y a pas plein de gens avec les cheveux verts Ă  Tokyo ? »
«  tu es
 sĂ»r
 ? »
Yahiro, étant un mauvais menteur, ne pouvait que détourner le regard de ses senpai jumelles qui lui mettaient la pression.
Il Ă©tait en train de paniquer car il n’avait pas prĂ©vu que d’autres personnes pourraient ĂȘtre au courant pour la bagarre.
Il avait sous-estimĂ© le rĂ©seau d’information du quartier d’Ikebukuro.
Participer Ă  un combat de cette taille en pleine rue Ă©tait Ă©videment source de problĂšmes.
Mais, si ce n’était que ça, Yahiro Ă©tait habituĂ© Ă  ĂȘtre impliquĂ© avec la police, donc ce n’était pas un problĂšme.
Bien qu’il ait fini par perdre contre Shizuo, il n’était pas fier de son record de longue date de violences frĂ©quentes, et Ă©tait effrayĂ© Ă  l’idĂ©e que le lycĂ©e puisse l’expulser pour bagarre et le renvoyer chez ses parents.
Pour Yahiro, cette ville Ă©tait le seul endroit oĂč il pouvait espĂ©rer renouer avec lui-mĂȘme.
Il aimait son village.
Il le considérait comme sa véritable maison.
Mais l’espoir qu’il puisse trouver lĂ -bas paix et stabilitĂ© Ă©tait nul, et en y repensant, lĂ  oĂč il Ă©tait cataloguĂ© de monstre, il n’aurait pu qu’accepter les choses telles qu’elles Ă©taient, et laisser tomber l’idĂ©e de s’amĂ©liorer.
Mais cette nouvelle ville ouvrait des possibilités.
Le Motard sans tĂȘte, un vĂ©ritable monstre.
Heiwajima Shizuo, contre qui il s’était battu sans retenue, et qu’il avait Ă©tĂ© incapable de vaincre.
Et ses amis qui l’avaient acceptĂ©.
Yahiro était fasciné par le déluge de changements dans sa vie.
C’était pourquoi un lĂąche tel que lui Ă©tait plus effrayĂ© que n’importe qui d’autre.
« Je, c’est que  »
« Tu n’as pas Ă  le cacher. C’est pas comme si on allait te faire la morale parce que tu t’es battu ou rĂ©pandre des rumeurs sur toi ou quoi que ce soit. »
« V, vraiment ? »
«  C’est
confirmé  » (Tu viens juste de l’admettre)
« Ah ! »
Yahiro laissa Ă©chapper un cri quand il rĂ©alisa sa propre faute d’inattention.
Si ça avait Ă©tĂ© l’ancien lui d’Akita, il serait restĂ© sĂ©rieux un moment Ă  cause de la peur, et n’aurait pas rĂ©pondu aussi bĂȘtement.
Yahiro Ă©tait choquĂ© de lui-mĂȘme, et secoua sa tĂȘte, attribuant ça au choc culturel qui bouillait dans sa tĂȘte.
En rĂ©alitĂ©, plutĂŽt que d’ĂȘtre Ă  Tokyo, c’était juste le souvenir des Ă©motions qu’il avait ressenti en se battant contre Shizuo.
Yahiro regarda au loin un moment, et dans un soupir de défaite, il avoua tout.
« Oui
 Je me suis battu avec Heiwajima-san  »
« Je le savais ! »
«  Incroyable
 ! »
« Hein ? »
Yahiro pencha la tĂȘte sur le cĂŽtĂ©, ne comprenant pas pourquoi les deux filles, des Ă©toiles dans les yeux, Ă©taient si heureuses.
Quand sa violence était révélée, les yeux des gens autour de lui se remplissaient de peur, et naturellement ils voulaient mettre de la distance entre eux et lui.
C’était comme ça que ça s’était toujours passĂ© pour lui jusqu’à maintenant.
Mais la rĂ©action de ses senpai n’était pas quelque chose qu’il aurait pu prĂ©voir en fonction des ses expĂ©riences passĂ©es.
Yahiro hésita à répondre, mais Mairu continua :
« C’est incroyable ! Tu t’es battu avec Shizuo au corps Ă  corps ? C’est comme si un nouveau hĂ©ros Ă©tait nĂ© Ă  Ikebukuro ! »
« Un héros ? »
« Ouais ! Ce quartier est toujours assoiffé de nouveautés. Si tu prends les devants et que tu racontes la vérité, tu vas devenir la plus grande star de la machine à rumeur, tu sais ? »
« J’ai pas vraiment envie d’ĂȘtre  »
Bien que Mairu l’encensait, le visage de Yahiro s’assombrit.
-      Un traitement spĂ©cial n’amĂšne jamais rien de bon, peu importe sa nature.
-      Et puis d’abord, quelqu’un comme moi, qui a Ă©tĂ© traitĂ© de monstre, et qui devient un hĂ©ros, on dirait une blague.
« Non~ ? Bon, c’est comme ça, et on respecte ta dĂ©cision. »
« Merci beaucoup. »
« Mais je pense que c’est dĂ©jĂ  trop tard, non ? »
« Hein ? »
Yahiro releva sa tĂȘte avec surprise, et Mairu rĂ©pliqua :
« Parce que tu as dĂ©jĂ  fait une arrivĂ©e splendide ici Ă  Ikebukuro ! MĂȘme si tu essaies de faire profil bas, le quartier ne te laissera pas tranquille si facilement. »
 ♂♀
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Une rue d’Ikebukuro. En face du Tokyu Hands.
« Yo, Yahiro, t’es en retard. »
Depuis la gare, on pouvait voit un Ă©norme carrefour au loin dans la Sunshine 60 Road.
La zone devant le bùtiment du Tokyu Hands, qui se trouvait juste à cÎté, était souvent investie par la foule, de jour comme de nuit.
Il y avait un passage souterrain vers la Sunshine City et d’autres moyens pour les passants de la rejoindre facilement, donc c’était un endroit trĂšs utilisĂ© pour se donner rendez-vous.
Le trio s’était mis d’accord pour se retrouver Ă  18h30 le soir mĂȘme pour discuter de ce qu’ils devaient faire Ă  prĂ©sent.
« DĂ©solĂ©, des senpai m’ont retenu Ă  la bibliothĂšque. »
« Gah, Kuronuma-senpai ? »
« Non, les sƓurs Orihara-senpai. »
« Elles sont vraiment agaçantes n’est-ce pas ?! »
Kuon fit ses condoléances à Yahiro, puis, avec un air plus sérieux, il ajouta :
« Et alors, qu’est-ce qu’elles ont dit ? Ces filles sont Ă  fond sur les idoles, donc c’était sĂ»rement pas une dĂ©claration d’amour ou un truc du genre, pas vrai ? »
« Non, on a juste discuté. »
Himeka n’était pas au courant de ce qui s’était passĂ© entre Shizuo et Yahiro.
Il rĂ©pondit donc en connaissance de cause, et Kuon, qui avait probablement remarquĂ© sa rĂ©ticence, n’insista pas plus.
« Eh, notre lycée donne beaucoup de personnes problématiques, que ce soit des élÚves actuels ou anciens. »
« Vraiment ? »
Himeka répondit à Yahiro :
« Jusqu’à il y a environ 10 ans, le lycĂ©e Ă©tait connu pour son fort taux de dĂ©linquance. À cette Ă©poque, il s’appelait le lycĂ©e Raijin. Depuis que c’est devenu le lycĂ©e Raira, ça s’est beaucoup amĂ©liorĂ©. »
« Oh  »
« Bon, plus important, on bouge ? On va montrer un peu les alentours Ă  Yahiro, et puis on discutera de ce qu’on va faire quand on sera en train de manger, ok ? »
Kuon donna une petite tape dans le dos de Yahiro et Himeka en souriant.
Suivant le plan, le trio se mit en marche.
Ils n’avaient pas encore remarquĂ©.
Qu’il y avait une silhouette derriùre eux, qui les fixait avec insistance.
Et qu’elle n’était pas la seule.
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linkspooky · 5 years ago
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Hey could you do your top 5 Durarararararara characters?
Before I start I want to say that my faves are not trash, and I do not have trash taste. In fact my faves are incredibly sexy and I have amazing taste in people. I feel no shame at all for liking the characters that I like. Anyway, here’s my list of favorite Durarara!! characters that’s Izaya, Izaya, Izaya, Izaya’s best friend, and Izaya’s employee. You can’t shame me because I physically lack the ability to feel shame. I love my faves and I love my taste in characters. 
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1. Orihara Izaya - What I love about Durarara! as a series is it doesn’t feel the need to moralize the characters. Every character present is flawed, some more than others, and instead of trying to sort them into good or bad people the series is way more interested in just exploring them as characters, their interactions with others, and all of their various flaws. It lets them be people first before anything else. 
Izaya is my favorite character not because I think he’s a cool mastermind who always is in control of things, and always sees through people, but rather because he’s nothing like that. Izaya is not the villain he desperately wants to be or for other people to see him as. Izaya at the center of his being is a very fragile and delicate person. He’s sensitive, and he knows that his sensitivity especially towards the feelings of others is going to break him badly if he ever tries to form any real relationships, so he just doesn’t. He loves humanity as a whole, because loving any one person would be too much for him. 
I like Izaya because he’s a kid playing games. He’s so desperately out of his league, but just clever enough that he tends to keep people hoodwinked. Underneath it all he’s just kind of a petty person, but the ways in which he is petty are so complex and fasicnating. The way I’ve always read the Izaya and Shizuo foiling is that Izaya has always been more sensitive and aware of other people’s feelings than Shizuo in a way that would actually hurt him, whereas Shizuo is pretty dense to people’s feelings over all. That’s why they want opposite things, Shizuo wants to be closer to people, and Izaya wants to run away from them. 
Izaya’s at his best when he’s convinced that he’s the one forcing everybody else to play his game, only for the world to smack him in the face and show him that he’s just another player in the game like everyone else. He’s incredibly small scale and petty, but because of that he feels more human than most villains. He’s not even that much of a villain in the end, just kind of annoying over all. 
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2. Kuronuma Aoba - Izaya Ripoff #1. Some people can’t bring themselves to like Aoba because he’s not as good as Izaya, but that’s always read like the point to me. Thematically I think the entire second half of Durarara is supposed to read like a lesser and cheaper rehash of the first. (That kind of mirroring is something Ryohga Narita does in the structure of his stories a lot, it’s called Chiastic structure technically). Well anyway I love him, and my taste is awesome. 
Aoba’s response to Izaya is that he met Izaya once and noticing their similiarities decided to develop into Izaya’s opposite mainly out of spite for him. Izaya loves humans, and Aoba hates them, but for both of them they need to be at a certain distance from other people in order to function. They both fundamentally can’t get close to others, Izaya because he’s a little too smart for his own good, and Aoba because he’s a victim of trauma, but also an active one who needs to take absolute control of everything including his trauma. 
Aoba is interesting because he has this longing and desire to be human (we see the reverse in Kuon.) He will spend time with the Orihara Sisters specifically because as a way to remind himself he’s still human and capable of making connections with people. Aoba gets genuinely touched when Mikado shows him the most mundane concerns like bandaging his hand and offering to help with his summer homework, because Aoba’s never really been a part of the normal everyday life that Mikado just has naturally. He’s always been rebelling against someone, either his brother’s abuse, his parents who let that abuse happen, etc. etc. He’s only ever realy engaged with other people through his crafted fake persona that would smile during the daytime and be liked by his classmates and then go home to be beaten by his brother. Those moments of genuine feeling really get to Izaya, because unlike Izaya whose content to be fake and keep playing games Aoba is chasing after the real thing. 
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3. Kotonami Kuon - Izaya ripoff number two! No regrets! I like Kuon and Aoba so much because writing wise they read as very interesting responses and remixes to Izaya for me. I like that kind of thing, foiling, mirroring and the like. 
Aoba wants to become genuine but he’s a little too good at controlling people, and a little too smart to fully surrender himself to the normal everyday life he wants so badly. Kuon’s the exact opposite, he desperately wants to  become a fake like Izaya, but he’s way too human, cares about his connections with other people too much to go all the way. Kuon wants to be Izaya but he sucks at being Izaya, which is ironically why he can have friends in the first place. 
There’s a special subtrope of bastard characters that I like called Wannabe Bastards. That is they’re kind of too incompetent to truly ever be the mastermind they see themselves as. Izaya is definitely already a bit of a wannabe, so that makes Kuon the Wannabe of a Wannabe. So what I like about Kuon is how genuinely weak he is, but also how motivated he is in spite of that weakness. 
He’s a character you get to watch continually fighting against his own weakness in the story. He’s such an underdog you almost want to root for him, even though he’s usually the cause of his own, and everyone else’s problems. He’s motivated by very strong and genuine sentiments that neither Aoba, nor Izaya have because they’re both kind of too delicate to feel strongly about anything. He’s also very self aware of how low and petty of a person he is. It’s interesting to watch him throw himself into his pretend-Izaya act already knowing he’s not good enough to be Izaya, and trying to make up for the difference in effort alone. 
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4. Kishitani Shinra - Shinra Kishitani is a terrible heterosexual. He’s a character that would have been annoying in any other author’s hands, beucase Shinra kind of refuses to grow. He’s so codependent that the moment his roommate shows any small inclination that she might leave him, he’ll immediately resort to lying, cheating, and doing anything he can to control her.
What saves Shinra’s character is a lot of self-awareness on Shinra’s part, and also how frank the story is about his flaws. Shinra is genuinely detached from people in a way Izaya wishes he could be. He plays nice with people, and thinks it’s good to have friends, but really Shinra can just shut off his feelings and stop caring about another person or what happens to them the moment they become an inconvenience to what he wants. Even the person he loves the most he has a hard time seeing as a person separate from himself, with wants and needs that are separate from his. Shinra calls himself a villain in love and he might have better claim to the title of villain than Izaya. The only reason Shinra doesn’t go out of his way to hurt people is because he’s relatively benign, if they don’t interfere with him and Celty then he doesn’t have a reason to care about most people.
Shinra is excellent because his foiling and relationship with Izaya is one of the most compelling in the manga, due to how much they both call out each other’s flaws. They’re really the only people that they can genuinely feel attachment to like as people, but that’s also why they can’t stand to be around each other. They’re best friends but also at a distance, kind of more like pen pals. Shinra and Izaya both have big gaping holes in their hearts, and they both want to pour their love into something, Shinra just pours it all into one person, whereas Izaya loves all of humanity. 
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5. Yagiri Namie- Once again I like Namie because she’s a parallel to Izaya, surprise, surprise. Ignoring the weird parts of her character (because Narita just has to be weird sometimes) I think there’s actually a lot of intersting ideas at play with Namie. She’s someone who claims to live for the sake of love, but she’s just kind of cold and cut off from absolutely everybody. 
Namie was smart enough to realize that her parents had no affection for her and her uncle was only in her life to use her, so she kind of just decided on her own to treat her brother as her only real family. Namie’s just kind of using Seiji the same way that Mika does. Obsessing over Seiji is just kind of an excuse to deny herself the pain of having to actually try to form connections with people. 
Namie loves Seiji but she really kind of doesn’t. The two of them don’t even have that great of a relationship, Namie steps over Seiji’s boundaries, and Seiji just kind of ignores her and only pays attention to her when he explicitly needs something from her. Seiji just uses Namie like the rest of her family, but Namie’s fine with that because she’s using Seiji to. Seiji is just kind of an excuse for Namie to deny herself love. Because love is something she’s never had and it’s something that would most certainly hurt her. Both Mika and Namie are choosing to obsess over someone who isn’t really capable of loving them back (and I mean in a familial way in Seiji’s case he’s just kind of annoyed by Namie).  And that’s the point. They don’t want to be loved. They don’t want to deal with other people’s feelings. It’s ultimately all about them.
Which is also the foiling to Izaya, both Izaya and Namie are incapable of loving because of the pain involved so they just seek out subsitutes to obsess over instead. They see themselves in each other, and because of that they’re constantly cutting at each other, and yet somehow cozy up to each other in this weird mutually trusting relationship. They’re both really cold people and they can get along because they’re used to freezing. 
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soulisslippery · 5 years ago
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Should i reread Skip Beat for the 4th time because I’m having a hard time deciding. Plus recently I’ve been giving my feelings about the new chapters so I’m wondering if i should do that while reading it or just post my favorite moments from the chapter. I just need a little push from you guys. So if you want me to do it just reblog/like/comment or whatever on it so that i could start reading. Maybe if this can get past something like 30 notes i will read it again?? I would be completely willing to read it for the fourth time because i just need some support! (Or if you wish to kill me, either is fine)
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udawo · 1 year ago
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noisylovepatrol · 6 years ago
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Art by Manga Artist  Nazuna Shiraume
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freudenstein · 6 years ago
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Kuon is so weak for yahiro i feel second-hand gay
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suzumehime · 7 years ago
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Inktober Day 12
Vampire Kuon (from Durarara!!SH)
(Werewolf Yahiro here)
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13elieve · 4 years ago
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Skip beat 290 is up n translated at mangadex guys. Go check it out (smiling sweetly)
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Kuon wanted pictures of kyouko on her outing *squeals loudly*. Why the man doesnt use an emoji is beyond me, i know he's not used to it, but still, he cant be that bad. "(Smiling sweetly)" really kuon?!
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Sarah can speak japanese!!! Im getting cain heel flashbacks u guys.
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Look at how happy he is kyouko-chan sent him a photo 😍😍😍 well that is before he saw the other photo with sarah. In the next chapter kuon would probably tell us who she is. Maybe. Hopefully.
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nakura-san · 7 years ago
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Durarara!!SH vol.2 - Chapitre  6B L'Observateur (Partie 1)
Quelque part Ă  Tokyo.
Revenons une demi-journée plus tÎt, tard le soir aprÚs la rencontre de Yahiro et Celty.
Quand on retira le bandeau de ses yeux, ce fut une piĂšce complĂštement inconnue que Shiki vit devant lui.
Vu les piles de cartons, les bidons de kĂ©rosĂšne dans le coin, les bĂȘches et autres outils posĂ©s contre le mur, on pouvait imaginer que cette piĂšce spacieuse faisait partie d’une villa, et servait de garage.
Il n’y avait pas de fenĂȘtres, donc on pouvait penser que la salle Ă©tait sous terre.
Avec ces déductions, Shiki regarda en direction de celui qui venait de retirer son bandeau.
Ses mains étaient liées dans son dos avec du gros scotch, tout comme ses jambes.
Il ne pouvait pas faire grand-chose Ă  part observer ou parler, mais mĂȘme comme ça, Shiki ne paniqua pas, et Ă©valua la situation calmement, dĂ©visageant les kidnappeurs qui avaient, en l’enlevant et l’amenant lĂ , prouvĂ© leur audace.
VĂȘtus de lunettes de soleil, masque et casquette au milieu de la ville, ils Ă©taient plus que suspects.
Il voulait leur dire de porter au moins des cagoules, mais il dĂ©cida de garder le silence et d’observer la situation Ă  partir de maintenant.
Et alors, devant lui, l’homme tombĂ© Ă  ses pieds commença Ă  hurler.
« Qu’est-ce que vous voulez, bĂątards ! N’allez pas imaginer que vous vous en sortirez comme ça ! »
C’était le subordonnĂ© chauve de Shiki, celui qui lui servait habituellement de chauffeur.
« Silence. »
Un seul mot de Shiki et un frisson traversa le corps de l’homme tout entier, et il tourna son regard vers Shiki.
Comme Shiki, ses membres étaient liés, mais contrairement à Shiki, qui était assis, lui était allongé au sol.
« A- Aniki ! Je suis dĂ©solé ! C’est de ma faute
 C’est de ma faute si vous vous retrouvez ici ! »
« Ne crie pas. Et appelle-moi Manager. »
Shiki mit fin aux gémissements de son subordonné, et réfléchit à ce qui les avait amené à une telle situation.
-      Les choses sont en train de s’envenimer.
-      Quel est leur objectif au juste ?
 Environ une heure auparavant.
Il Ă©tait tard le soir, Ă  Tokyo.
Shiki, aprùs sa discussion avec Celty, avait pris la voiture avec son chauffeur pour rentrer aux bureaux d’Awakusu-kai et faire son rapport -
Mais remarquant que le chauffeur ne l’avait pas saluĂ© comme d’habitude, son esprit Ă©tait immĂ©diatement passĂ© en mode urgence.
Sans paniquer, il regarda naturellement dans le rétroviseur intérieur.
L’homme sur le siĂšge conducteur avait le mĂȘme crĂąne bien rasĂ©, mais au premier regard on pouvait facilement voir qu’il ne s’agissait pas de la personne qui avait conduit Shiki jusqu’au parking.
MĂȘme si Shiki Ă©tait un Yakuza, il n’y avait aucune raison pour l’instant de sortir une lame ou une arme Ă  feu, puisqu’il n’était pas engagĂ© dans un combat.
Sortir une arme ne pourrait que mettre son chef en danger maintenant que la loi avait était renforcée.
-      Maintenant, selon s’il s’agit d’une attaque contre moi ou contre l’Awakusu-kai, ça change tout.
-      Est-ce que c’est le groupe Asuki, qui n’approuve pas la paix mise en place, ou un autre groupe avec qui nous a des tentions
 ?
-      Ou quelqu’un d’Awakusu-kai, mĂȘme si
 c’est une bien triste possibilitĂ©.
Il avait vĂ©rifiĂ© les portes des deux cotĂ©s pour s’assurer qu’il pourrait s’échapper rapidement, mais il Ă©tait bien conscient que tenter de partir en courant serait futile.
Des hommes musclĂ©s, le visage couvert par des lunettes de soleil et un masque, arrivĂšrent de chaque cĂŽtĂ©, et ouvrirent les portiĂšres Ă  l’unisson.
« Vous devez ĂȘtre Shiki-san. »
« Vous allez venir avec nous. »
dirent les hommes d’un ton grave.
En les voyant, Shiki ne put que froncer les sourcils.
C’était parce qu’à l’instant oĂč il avait vu leur comportement, un profond sentiment de malaise s’était emparĂ© de lui.
Ce malaise dĂ©coulait de ses annĂ©es d’expĂ©riences dans une organisation illĂ©gale – mais Shiki Ă©tait incapable de l’ignorer, et demanda,
«   Je suis votre cible ? »
« On ne peut pas répondre. »
« Qu’est-il arrivĂ© Ă  mon chauffeur ? »
« Si vous coopérez, ni vous ni lui ne seront blessés. »
La voix était étouffée par le masque.
Shiki plissa les yeux, et regarda non pas les hommes mais autour de la voiture.
Les voyous Ă  cĂŽtĂ© de lui n’avaient pas l’air de porter d’armes Ă  feu.
MĂȘme s’ils en avaient, le fait qu’ils ne les montrent pas traduisait leur confiance quant Ă  leur capacitĂ© Ă  contenir Shiki.
Cependant, Ă  travers la fenĂȘtre, Shiki pouvait voir qu’il y avait plus de dix hommes Ă©galement masquĂ©s qui attendaient.
En voyant ça il soupira.
-      Quelle merde. Akabayashi ou Aozaki pourrait gérer un tel nombre.
-      Mais le combat n’est pas mon point fort
 Quelle plaie.
« Si vous coopérez, on ne vous tuera pas. Rassurez-vous. »
-      

-      Ces types
 ?
Shiki, détectant une variation dans la voix, répondit froidement,
« TrĂšs bien. J’écouterai ce que vous avez Ă  dire. »
AprÚs ça, il fut amené à un van garé à proximité, et fut transporté, les yeux bandés, pendant environ une heure.
D’aprĂšs ce qu’il avait senti des mouvements du van, ils Ă©taient probablement Ă  l’Ouest de Tokyo, aprĂšs le 23Ăšme district ; dans une des villas entre Tokyo et Hachiouji.
-      Mais il ne faut pas trop s’appuyer là-dessus non plus.
Alors qu’il pensait ça, Shiki s’adressa au groupe d’hommes dans la cave.
« Donc ? Qu’est-ce que vous attendez de moi ? »
« Rien, apparemment. »
« Comment ? »
« Pour ĂȘtre prĂ©cis, on dirait qu’on va vous garder ici un moment. C’est tout. »
-      Donc c’est du menu fretin.
-      De simples pions sans idée du plan complet.
-      Non, si je ne me trompe pas, ce ne sont pas de simples pions

Juste quand il pensa cela, il y eu une bousculade Ă  la porte.
La porte s’ouvrit, et d’autres hommes entrùrent dans la piùce.
Dans l’ouverture, il vit des escaliers qui montaient, donc ils Ă©taient, en effet, dans un sous-sol.
Puis Shiki regarda les nouveaux venus.
Des trois hommes qui venaient juste d’entrer, deux Ă©taient masquĂ©s comme les autres.
Le troisiĂšme Ă©tait un garçon aux cheveux vert pĂ©tant, ligotĂ© de la mĂȘme maniĂšre que Shiki.
« Reste ici et tiens-toi tranquille. »
« J’espĂšre qu’il y aura de jolies filles... »
L’ignorant, les hommes le poussùrent violemment.
Le garçon, s’étala aux pieds de Shiki, et commença Ă  crier suffisamment fort pour que la piĂšce rĂ©sonne.
« Elles doivent ĂȘtre lĂ , dans ce bĂątiment ! Tatsugami Aya-san et Ai-chan ! »
L’un des hommes lui donna un coup de pied dans le ventre.
« La ferme. »
« Ah owowow ! Okay ! Okay ! Je vais me taire, donc arrĂȘtez ça ! »
AprĂšs avoir jetĂ© un regard froid au garçon, les hommes s’en allĂšrent sans lui retirer le bandeau qui avait sur les yeux.
Il restait un garde devant la porte, mais visiblement peu enclin à parler, il se tenait simplement adossé au mur en silence.
Shiki, jugeant qu’il pouvait parler sans prendre de risque, demanda au garçon à ses pieds,
« Tu vas bien, gamin ? »
« Ah, excusez-moi. Pourriez-vous retirer mon bandeau ? »
« DĂ©solĂ©, je ne suis pas l’un d’eux. Je peux voir, mais que suis attachĂ©, comme toi. »
« Je vois. Merci quand mĂȘme. »
Shiki examina du regard le garçon, avant de demander discrÚtement,
« Tu es le garçon des infos de ce matin, pas vrai ? »
« Hein ? Vous ĂȘtes au courant, vieil homme ? »
« Je n’ai pas visitĂ© le site moi-mĂȘme, mais je fais des recherches sur le Motard sans tĂȘte de temps en temps. »
« Aw c’est dingue, j’arrive pas Ă  croire que je sois aussi connu maintenant ! »
Le garçon sourit bizarrement.
Shiki continua, froidement,
« Oui, mais je sais aussi que tu as menti. »
« Huh ? »
« Le Motard sans tĂȘte ne mange pas, il n’a donc pas de nourriture favorite. Et il ne peut pas faire de karaokĂ© non plus, n’est-ce pas ? Vu qu’il n’a pas de tĂȘte. »
« Oho, tu penses que le Motard sans tĂȘte n’a vraiment pas de tĂȘte, vieil homme ? »
Le garçon le provoqua sur un ton forcé, ce à quoi Shiki répondit simplement,
« Que je le crois ou non, c’est un fait avĂ©rĂ©. Tu dois bien le savoir vu que tu as rencontrĂ© Celty toi-mĂȘme, n’est-ce pas ? »
«   Hey, vieil homme. La façon dont tu parles, le fait que tu connaisses le nom du Motard sans tĂȘte
 Ne me dit pas que tu es un yakuza ? »,
dit le garçon en rigolant.
Le subordonné de Shiki, allongé non loin sur le sol, commença à le réprimander.
« Oi, comment oses-tu ĂȘtre aussi insolent envers Aniki ? Huh ? »
Shiki soupira en voyant comment son subordonnĂ© essayait d’effrayer un gamin alors qu’il Ă©tait lui-mĂȘme ligotĂ©, et alors qu’il allait poser une question au garçon, -
« Manager, je connais ce gamin. Les gars au bureau ne parlaient que de lui l’autre jour. »
Le subordonnĂ© s’en rappela en voyant les cheveux du garçon, et dit, anxieux,
« Il Ă©tait avec le gamin qui s’est battu contre Heiwajima Shizuo. »
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kanrajpg · 8 years ago
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SH! ★★★ TRIO
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sonoharahall · 8 years ago
Conversation
Me, waking up in a cold sweat at 3am: KUON LOOKS LIKE THE FUCKING JOKER!!!!
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