#journées cinématographiques de carthage
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inapat16 · 1 year ago
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The Carthage Film Festival: the first film festival in Africa
My first film festival was the first festival that Africa saw flourish: The Journée cinématographique de Carthage (أيام قرطاج السينمائية) or JCC is a film festival held every two years in Tunis, alternating with the Carthage Theatre Days and with the FESPACO which is held in odd years in Ouagadougou.
In spite of the difficulties experienced, the JCC has remained active in Africa since 1966, while many other festivals faded away after the end of the anti-colonial and independence revolts.  The Journées Cinématograhiques de Carthage have so far beaten a record: that of flawlessly representing Third World countries cinema.
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On the scale of Africa itself, there is a growing protest against the monopoly of the big French and Anglo-Saxon distribution companies, considered as a relic of the colonial period. 
The birth of the Carthage Film Days (JCC) in 1966 was part of this "film liberation war". The charismatic personality of Tahar Cheriaa (1927-2010) also gave a very particular identity to this event, which combines the cine-club heritage and the anti-imperialist struggle.  
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Until Even today the festival is carried assisted by many volunteers and despite the influence it is beginning to have on a national and international scale, it remains difficult for it to survive. In 2015 we heard on the radio that "every edition is a struggle for the organizers".  Since the success of the first editions, the organisation has changed: the entire membership of the organisation is made up of high-level officials and businessmen, with film club members (who were the cause of the success) being relegated to the role of “advisory members”. In fact, the promotion of new festivals, such as the International Festival of Hammamet or the International Festival of Carthage (born in 1964), was part of a policy of tourist development. Also, Gold, silver and bronze Tanits are awarded during the JCC, echoing the goddess celebrated by the Punic civilization and then preferring Carthage and its ancient prestige to Tunis and its Arab roots. 
If the JCC is an important moment for the cinephilia of all Tunisians and for many Africans, it continues to face the colonialist, capitalist and opportunist challenges of some.
Maya Labiadh
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sahibjaan · 6 years ago
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Any fans of Indian cinema in Tunisia out here? The Carthage film festival (nov 3-nov10) is hosting a “Focus India” section this year, and 8 films will be screened throughout the week. The list has : 
Charulata (1964) dir. Satyajit Ray
Joi Baba Felunath (1979) dir. Satyajit Ray
Mary Kom (2014) dir Omung Kumar
Newton (2017) dir. Amit V Masurkar
Sir (2018) dir. Rohena Gera
Teen Aur Aadha (2017) dir Dar Gai
Taare Zameen Par (2007) dir. Aamir Khan
Loktak Lairembee (2016) dir.  Haobam Paban Kumar
You can check this link for any more info, and book your tickets.
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aminaoueslatiportfolio · 4 years ago
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La Peluche, Director Chiraz bouzidi (Short Film for Les  Journées cinématographiques de Carthage)-2016
Scriptgirl   ©AMINAOUESLATI
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flashmodeagency · 5 years ago
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JCC 2019 Tapis Rouge : 30ème édition des Journées Cinématographiques de Carthage 2019, session Nejib Ayed
JCC 2019 Tapis Rouge : 30ème édition des Journées Cinématographiques de Carthage 2019, session Nejib Ayed
L’équipe des Journées Cinématographiques de Carthage JCC 2019 a annoncé avec douleur la perte de son directeur général Monsieur Nejib Ayed. C’est d’ailleurs que cette édition des JCC 2019 fut à son honneur.
Une cérémonie officielle d’hommage à Nejib Ayed aura lieu le dimanche 27 octobre, ce soir un hommage lui sera rendu. Ses amis et compagnons de route interviendront pour parler de l’homme,…
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africulturelle · 6 years ago
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Tout ce qu’il faut savoir sur les JCC 2018 qui débuteront le 03 novembre prochain
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anaschatty · 5 years ago
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Spot De Sensibilisation Pour Les Journées Cinématographiques de Carthage 2017 from anas chatty on Vimeo.
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ka9oukeuktakal · 2 years ago
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Complémentarité entre plateformes de streaming et salles de cinéma doit être de rigueur. Les plateformes numériques proposant des films à la demande ne sont pas destinées à concurrencer les salles de cinéma mais plutôt à jouer "un rôle complémentaire dans l’industrie cinématographique", soutient Yahia Mgarrech, cofondateur de la plateforme de streaming "Artify", spécialisée dans le cinéma tunisien. Complémentarité entre plateformes de streaming et salles de cinéma soulignée par un acteur Renforcer la cybersécurité des réseaux européens face aux menaces criminelles et géopolitiques "Les plateformes ne vont pas remplacer les salles de cinéma, elles viennent pour compléter le cycle de distribution des films", a-t-il dit, lundi, au cours d’un forum dédié aux plateformes dans le cadre de la 32e session des Journées cinématographiques de Carthage (JCC, 30 octobre-6 novembre). Il estime que les plateformes constituent une opportunité pour les films qui ne trouvent plus de débouché, trois voire quatre mois après leur sortie en salle. Le tout accompagné par des biographies et des analyses filmiques La plateforme Artify propose des films via un abonnement, des courts métrages, des longs métrages, des documentaires, et même des pièces de théâtre, le tout accompagné par des biographies et des analyses filmiques. Elle propose un catalogue de trois-cent films tunisiens et compte s’étendre au Maroc, à l’Algérie et à la Libye. Figue dégustée, on mange aussi un insecte, mais lequel A lire aussi Ababacar Samb Makharam, un « pionnier du Cinéma Africain’’ (Officiel) Yahia Mgarrech se refuse à parler de concurrence et estime que le problème se trouve ailleurs, à savoir comment faire en sorte que les plateformes indépendantes puissent proposer du contenu local face aux grandes plateformes, comme Amazone ou Netflix. Les différents experts intervenant au cours de cette table ronde ont évoqué plusieurs questions relatives aux plateformes de streaming. Large public au cinéma ou alors ne constituent-elles qu’une menace  Doivent-elles être considérées comme un moyen de vulgarisation pour intéresser un plus large public au cinéma ou alors ne constituent-elles qu’une menace pour l’industrie cinématographiques, telles étaient les problématiques discutées. "L’envie de sortir pour aller au cinéma ne se concurrence pas au fond avec l’envie de voir un film sur ’Netflix’, c’est deux choses différentes", a par exemple souligné un intervenant. A lire aussi ​🛑 Direct : Match Finale Coupe du Sénégal /CASA SPORTS VS DIAMBARS Selon cet intervenant, "le seul qui souffre par rapport aux plateformes, c’est la télévision, beaucoup plus que le cinéma". Il ajoute : "Quand ne on veut pas sortir chez soi, on se demande ce qu’il y a dans les écrans nationaux ou +Netflix+. Moi, personnellement, je regarde beaucoup plus Netflix que la télévision". Démocratisation de la parole et désormais dans la production des films D’autres intervenants ont insisté sur le rôle joué par certaines plateformes dans la démocratisation de la parole et désormais dans la production des films. Canicules -quel est le seuil de danger pour la santé humaine "Netflix n’a pas écrasé le cinéma, il a rempli un vide, et qu’on le veuille ou pas, c’est grâce à Netflix que l’on repense la réécriture des rôles féminins. On laisse aux Noirs la tâche d’écrire sur eux et pour eux, on laisse aux Arabes la tâche d’écrire sur eux et pour eux, etc. En dehors du prisme oriental ou colonial, cela a démocratisé la narration", indique cet autre intervenant. Il finit par inviter les plateformes du Sud à jouer "un rôle proactif" dans le financement des films pour pousser la production cinématographique, à l’image des plateformes américaines qui, aujourd’hui, interviennent dans le préachat des films.
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devenirmilliardaire · 2 years ago
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Complémentarité entre plateformes de streaming et salles de cinéma doit être de rigueur. Les plateformes numériques proposant des films à la demande ne sont pas destinées à concurrencer les salles de cinéma mais plutôt à jouer "un rôle complémentaire dans l’industrie cinématographique", soutient Yahia Mgarrech, cofondateur de la plateforme de streaming "Artify", spécialisée dans le cinéma tunisien. Complémentarité entre plateformes de streaming et salles de cinéma soulignée par un acteur Renforcer la cybersécurité des réseaux européens face aux menaces criminelles et géopolitiques "Les plateformes ne vont pas remplacer les salles de cinéma, elles viennent pour compléter le cycle de distribution des films", a-t-il dit, lundi, au cours d’un forum dédié aux plateformes dans le cadre de la 32e session des Journées cinématographiques de Carthage (JCC, 30 octobre-6 novembre). Il estime que les plateformes constituent une opportunité pour les films qui ne trouvent plus de débouché, trois voire quatre mois après leur sortie en salle. Le tout accompagné par des biographies et des analyses filmiques La plateforme Artify propose des films via un abonnement, des courts métrages, des longs métrages, des documentaires, et même des pièces de théâtre, le tout accompagné par des biographies et des analyses filmiques. Elle propose un catalogue de trois-cent films tunisiens et compte s’étendre au Maroc, à l’Algérie et à la Libye. Figue dégustée, on mange aussi un insecte, mais lequel A lire aussi Ababacar Samb Makharam, un « pionnier du Cinéma Africain’’ (Officiel) Yahia Mgarrech se refuse à parler de concurrence et estime que le problème se trouve ailleurs, à savoir comment faire en sorte que les plateformes indépendantes puissent proposer du contenu local face aux grandes plateformes, comme Amazone ou Netflix. Les différents experts intervenant au cours de cette table ronde ont évoqué plusieurs questions relatives aux plateformes de streaming. Large public au cinéma ou alors ne constituent-elles qu’une menace  Doivent-elles être considérées comme un moyen de vulgarisation pour intéresser un plus large public au cinéma ou alors ne constituent-elles qu’une menace pour l’industrie cinématographiques, telles étaient les problématiques discutées. "L’envie de sortir pour aller au cinéma ne se concurrence pas au fond avec l’envie de voir un film sur ’Netflix’, c’est deux choses différentes", a par exemple souligné un intervenant. A lire aussi ​🛑 Direct : Match Finale Coupe du Sénégal /CASA SPORTS VS DIAMBARS Selon cet intervenant, "le seul qui souffre par rapport aux plateformes, c’est la télévision, beaucoup plus que le cinéma". Il ajoute : "Quand ne on veut pas sortir chez soi, on se demande ce qu’il y a dans les écrans nationaux ou +Netflix+. Moi, personnellement, je regarde beaucoup plus Netflix que la télévision". Démocratisation de la parole et désormais dans la production des films D’autres intervenants ont insisté sur le rôle joué par certaines plateformes dans la démocratisation de la parole et désormais dans la production des films. Canicules -quel est le seuil de danger pour la santé humaine "Netflix n’a pas écrasé le cinéma, il a rempli un vide, et qu’on le veuille ou pas, c’est grâce à Netflix que l’on repense la réécriture des rôles féminins. On laisse aux Noirs la tâche d’écrire sur eux et pour eux, on laisse aux Arabes la tâche d’écrire sur eux et pour eux, etc. En dehors du prisme oriental ou colonial, cela a démocratisé la narration", indique cet autre intervenant. Il finit par inviter les plateformes du Sud à jouer "un rôle proactif" dans le financement des films pour pousser la production cinématographique, à l’image des plateformes américaines qui, aujourd’hui, interviennent dans le préachat des films.
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sportskafunel · 2 years ago
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Complémentarité entre plateformes de streaming et salles de cinéma doit être de rigueur. Les plateformes numériques proposant des films à la demande ne sont pas destinées à concurrencer les salles de cinéma mais plutôt à jouer "un rôle complémentaire dans l’industrie cinématographique", soutient Yahia Mgarrech, cofondateur de la plateforme de streaming "Artify", spécialisée dans le cinéma tunisien. Complémentarité entre plateformes de streaming et salles de cinéma soulignée par un acteur Renforcer la cybersécurité des réseaux européens face aux menaces criminelles et géopolitiques "Les plateformes ne vont pas remplacer les salles de cinéma, elles viennent pour compléter le cycle de distribution des films", a-t-il dit, lundi, au cours d’un forum dédié aux plateformes dans le cadre de la 32e session des Journées cinématographiques de Carthage (JCC, 30 octobre-6 novembre). Il estime que les plateformes constituent une opportunité pour les films qui ne trouvent plus de débouché, trois voire quatre mois après leur sortie en salle. Le tout accompagné par des biographies et des analyses filmiques La plateforme Artify propose des films via un abonnement, des courts métrages, des longs métrages, des documentaires, et même des pièces de théâtre, le tout accompagné par des biographies et des analyses filmiques. Elle propose un catalogue de trois-cent films tunisiens et compte s’étendre au Maroc, à l’Algérie et à la Libye. Figue dégustée, on mange aussi un insecte, mais lequel A lire aussi Ababacar Samb Makharam, un « pionnier du Cinéma Africain’’ (Officiel) Yahia Mgarrech se refuse à parler de concurrence et estime que le problème se trouve ailleurs, à savoir comment faire en sorte que les plateformes indépendantes puissent proposer du contenu local face aux grandes plateformes, comme Amazone ou Netflix. Les différents experts intervenant au cours de cette table ronde ont évoqué plusieurs questions relatives aux plateformes de streaming. Large public au cinéma ou alors ne constituent-elles qu’une menace  Doivent-elles être considérées comme un moyen de vulgarisation pour intéresser un plus large public au cinéma ou alors ne constituent-elles qu’une menace pour l’industrie cinématographiques, telles étaient les problématiques discutées. "L’envie de sortir pour aller au cinéma ne se concurrence pas au fond avec l’envie de voir un film sur ’Netflix’, c’est deux choses différentes", a par exemple souligné un intervenant. A lire aussi ​🛑 Direct : Match Finale Coupe du Sénégal /CASA SPORTS VS DIAMBARS Selon cet intervenant, "le seul qui souffre par rapport aux plateformes, c’est la télévision, beaucoup plus que le cinéma". Il ajoute : "Quand ne on veut pas sortir chez soi, on se demande ce qu’il y a dans les écrans nationaux ou +Netflix+. Moi, personnellement, je regarde beaucoup plus Netflix que la télévision". Démocratisation de la parole et désormais dans la production des films D’autres intervenants ont insisté sur le rôle joué par certaines plateformes dans la démocratisation de la parole et désormais dans la production des films. Canicules -quel est le seuil de danger pour la santé humaine "Netflix n’a pas écrasé le cinéma, il a rempli un vide, et qu’on le veuille ou pas, c’est grâce à Netflix que l’on repense la réécriture des rôles féminins. On laisse aux Noirs la tâche d’écrire sur eux et pour eux, on laisse aux Arabes la tâche d’écrire sur eux et pour eux, etc. En dehors du prisme oriental ou colonial, cela a démocratisé la narration", indique cet autre intervenant. Il finit par inviter les plateformes du Sud à jouer "un rôle proactif" dans le financement des films pour pousser la production cinématographique, à l’image des plateformes américaines qui, aujourd’hui, interviennent dans le préachat des films.
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buzzkafunel · 2 years ago
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Complémentarité entre plateformes de streaming et salles de cinéma doit être de rigueur. Les plateformes numériques proposant des films à la demande ne sont pas destinées à concurrencer les salles de cinéma mais plutôt à jouer "un rôle complémentaire dans l’industrie cinématographique", soutient Yahia Mgarrech, cofondateur de la plateforme de streaming "Artify", spécialisée dans le cinéma tunisien. Complémentarité entre plateformes de streaming et salles de cinéma soulignée par un acteur Renforcer la cybersécurité des réseaux européens face aux menaces criminelles et géopolitiques "Les plateformes ne vont pas remplacer les salles de cinéma, elles viennent pour compléter le cycle de distribution des films", a-t-il dit, lundi, au cours d’un forum dédié aux plateformes dans le cadre de la 32e session des Journées cinématographiques de Carthage (JCC, 30 octobre-6 novembre). Il estime que les plateformes constituent une opportunité pour les films qui ne trouvent plus de débouché, trois voire quatre mois après leur sortie en salle. Le tout accompagné par des biographies et des analyses filmiques La plateforme Artify propose des films via un abonnement, des courts métrages, des longs métrages, des documentaires, et même des pièces de théâtre, le tout accompagné par des biographies et des analyses filmiques. Elle propose un catalogue de trois-cent films tunisiens et compte s’étendre au Maroc, à l’Algérie et à la Libye. Figue dégustée, on mange aussi un insecte, mais lequel A lire aussi Ababacar Samb Makharam, un « pionnier du Cinéma Africain’’ (Officiel) Yahia Mgarrech se refuse à parler de concurrence et estime que le problème se trouve ailleurs, à savoir comment faire en sorte que les plateformes indépendantes puissent proposer du contenu local face aux grandes plateformes, comme Amazone ou Netflix. Les différents experts intervenant au cours de cette table ronde ont évoqué plusieurs questions relatives aux plateformes de streaming. Large public au cinéma ou alors ne constituent-elles qu’une menace  Doivent-elles être considérées comme un moyen de vulgarisation pour intéresser un plus large public au cinéma ou alors ne constituent-elles qu’une menace pour l’industrie cinématographiques, telles étaient les problématiques discutées. "L’envie de sortir pour aller au cinéma ne se concurrence pas au fond avec l’envie de voir un film sur ’Netflix’, c’est deux choses différentes", a par exemple souligné un intervenant. A lire aussi ​🛑 Direct : Match Finale Coupe du Sénégal /CASA SPORTS VS DIAMBARS Selon cet intervenant, "le seul qui souffre par rapport aux plateformes, c’est la télévision, beaucoup plus que le cinéma". Il ajoute : "Quand ne on veut pas sortir chez soi, on se demande ce qu’il y a dans les écrans nationaux ou +Netflix+. Moi, personnellement, je regarde beaucoup plus Netflix que la télévision". Démocratisation de la parole et désormais dans la production des films D’autres intervenants ont insisté sur le rôle joué par certaines plateformes dans la démocratisation de la parole et désormais dans la production des films. Canicules -quel est le seuil de danger pour la santé humaine "Netflix n’a pas écrasé le cinéma, il a rempli un vide, et qu’on le veuille ou pas, c’est grâce à Netflix que l’on repense la réécriture des rôles féminins. On laisse aux Noirs la tâche d’écrire sur eux et pour eux, on laisse aux Arabes la tâche d’écrire sur eux et pour eux, etc. En dehors du prisme oriental ou colonial, cela a démocratisé la narration", indique cet autre intervenant. Il finit par inviter les plateformes du Sud à jouer "un rôle proactif" dans le financement des films pour pousser la production cinématographique, à l’image des plateformes américaines qui, aujourd’hui, interviennent dans le préachat des films.
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kafunel · 2 years ago
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Complémentarité entre plateformes de streaming et salles de cinéma doit être de rigueur. Les plateformes numériques proposant des films à la demande ne sont pas destinées à concurrencer les salles de cinéma mais plutôt à jouer "un rôle complémentaire dans l’industrie cinématographique", soutient Yahia Mgarrech, cofondateur de la plateforme de streaming "Artify", spécialisée dans le cinéma tunisien. Complémentarité entre plateformes de streaming et salles de cinéma soulignée par un acteur Renforcer la cybersécurité des réseaux européens face aux menaces criminelles et géopolitiques "Les plateformes ne vont pas remplacer les salles de cinéma, elles viennent pour compléter le cycle de distribution des films", a-t-il dit, lundi, au cours d’un forum dédié aux plateformes dans le cadre de la 32e session des Journées cinématographiques de Carthage (JCC, 30 octobre-6 novembre). Il estime que les plateformes constituent une opportunité pour les films qui ne trouvent plus de débouché, trois voire quatre mois après leur sortie en salle. Le tout accompagné par des biographies et des analyses filmiques La plateforme Artify propose des films via un abonnement, des courts métrages, des longs métrages, des documentaires, et même des pièces de théâtre, le tout accompagné par des biographies et des analyses filmiques. Elle propose un catalogue de trois-cent films tunisiens et compte s’étendre au Maroc, à l’Algérie et à la Libye. Figue dégustée, on mange aussi un insecte, mais lequel A lire aussi Ababacar Samb Makharam, un « pionnier du Cinéma Africain’’ (Officiel) Yahia Mgarrech se refuse à parler de concurrence et estime que le problème se trouve ailleurs, à savoir comment faire en sorte que les plateformes indépendantes puissent proposer du contenu local face aux grandes plateformes, comme Amazone ou Netflix. Les différents experts intervenant au cours de cette table ronde ont évoqué plusieurs questions relatives aux plateformes de streaming. Large public au cinéma ou alors ne constituent-elles qu’une menace  Doivent-elles être considérées comme un moyen de vulgarisation pour intéresser un plus large public au cinéma ou alors ne constituent-elles qu’une menace pour l’industrie cinématographiques, telles étaient les problématiques discutées. "L’envie de sortir pour aller au cinéma ne se concurrence pas au fond avec l’envie de voir un film sur ’Netflix’, c’est deux choses différentes", a par exemple souligné un intervenant. A lire aussi ​🛑 Direct : Match Finale Coupe du Sénégal /CASA SPORTS VS DIAMBARS Selon cet intervenant, "le seul qui souffre par rapport aux plateformes, c’est la télévision, beaucoup plus que le cinéma". Il ajoute : "Quand ne on veut pas sortir chez soi, on se demande ce qu’il y a dans les écrans nationaux ou +Netflix+. Moi, personnellement, je regarde beaucoup plus Netflix que la télévision". Démocratisation de la parole et désormais dans la production des films D’autres intervenants ont insisté sur le rôle joué par certaines plateformes dans la démocratisation de la parole et désormais dans la production des films. Canicules -quel est le seuil de danger pour la santé humaine "Netflix n’a pas écrasé le cinéma, il a rempli un vide, et qu’on le veuille ou pas, c’est grâce à Netflix que l’on repense la réécriture des rôles féminins. On laisse aux Noirs la tâche d’écrire sur eux et pour eux, on laisse aux Arabes la tâche d’écrire sur eux et pour eux, etc. En dehors du prisme oriental ou colonial, cela a démocratisé la narration", indique cet autre intervenant. Il finit par inviter les plateformes du Sud à jouer "un rôle proactif" dans le financement des films pour pousser la production cinématographique, à l’image des plateformes américaines qui, aujourd’hui, interviennent dans le préachat des films.
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nouhabelaid · 6 years ago
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Les JCC 2014 - Une meilleure organisation pour une visibilité internationale
Les JCC 2014 – Une meilleure organisation pour une visibilité internationale
N.B: Cet article a été publié le 11/12/2014 dans le journal électronique Espace Manager
La Tunisie a vibré du 29 novembre 2014 au 07 décembre 2014 au rythme des Journées Cinématographiques de Carthage (JCC  2014). 
Il s’agissait d’une panoplie de films (195 films provenant de 45 pays), ainsi que d’une ribambelle d’invités de marque et un jury d’exception. Parmi les membres du jury, certaines…
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infos-lgbt · 7 years ago
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Tunisie : "Au-delà de l'ombre" Nadia Mezni Hafaiedh récompensé
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Lors de la cérémonie de clôture du festival des Journées Cinématographiques de Carthage (JCC), samedi soir à Tunis, le jury présidé par le réalisateur Thierry Michel a créé la surprise en récompensant un plaidoyer en faveur du droit à l'homosexualité, malgré certains cris d'intolérance entendus quelques heures plus tôt dans la rue.   Lors de sa diffusion, cette semaine dans les salles tunisiennes à l'occasion de ces JCC, le documentaire a suscité des réactions diverses.  "Cinéma transgressif", titrait à la Une, samedi matin, le site d'information HuffPost Tunisie. "A priori le public est enthousiaste et veut apprécier ce moment cinématographique sur un sujet controversé en Tunisie. Après vingt minutes environ, on assiste à la sortie de dizaines de personnes de la salle, qui invectivent le film, sommant les autres, qui attendent toujours, de renoncer à le voir", rapporte ensuite l'auteur de l'article.  Le film nous fait découvrir la face cachée d’Amina Sboui (ex-femen) et de son quotidien. Ses amis de la communauté LGBT, qui hébergent chez elle, sont rejetés par leur famille ainsi que par la société.
À travers Amina, on plonge dans leurs histoires: Sandra (travesti), Ramy (gay), Ayoub (gay), Atef (gay et travesti). Beaucoup d’événements imprévus s’enchainent et tout est pris sur le vif ...  Le documentaire est un portrait intimiste de personnes homosexuelles et de travesties. Ce qui les a uni, c'est leur amitié, des histoires d'amour mais aussi la peur de la police. Le tournage de ce documentaire a eu lieu en 2016 à Sidi Bousaïd.  Pour Thierry Michel, il est important de pouvoir valoriser une telle oeuvre. "La réalisatrice a osé créer ce documentaire, le comité de sélection du festival a osé le programmer et le jury a osé le récompenser", a commenté Thierry Michel, samedi soir à l'agence Belga.  "Ce Tanit de bronze honore l'audace du propos, libre, impertinent et à l'esthétique provocatrice, du film réalisé au coeur de l'intime d'un groupe de jeunes de la communauté LGBT. Nous saluons le festival d'avoir eu le courage de sélectionner cette oeuvre résolument engagée dans la lutte pour des libertés individuelles au sein de la société musulmane", a-t-il expliqué. "Outre l'appel aux réformes législatives, j'y vois aussi une révolution des mentalités."
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78682homes · 5 years ago
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Tunisie: lancement du 30e festival de cinéma de Carthage 78682 homes
http://www.78682homes.com/tunisie-lancement-du-30e-festival-de-cinema-de-carthage
Tunisie: lancement du 30e festival de cinéma de Carthage
La 30e édition du festival des « Journées cinématographiques de Carthage » (JCC) s’est ouverte samedi soir à Tunis avec la projection du film « Les épouvantails » du cinéaste tunisien réputé Nouri Bouzid.Pour cette édition 2019, des cinéastes de pays africains, arabes et européens étaient présents au lancement du festival dans la Cité de la Culture, dans la capitale tunisienne. »Les épouvantails » du réalisateur Nouri Bouzid évoque le « jihad sexuel » et met en scène le parcours de deux Tunisiennes part…
homms2013
#Informationsanté
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devenirmilliardaire · 3 years ago
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Ouverture de la 31ÈME Édition des journées cinématographiques de Carthage https://tinyurl.com/ygd6msfu 31ÈME Édition des journées cinématograp... #31ÈME #Carthage #CINEMA #CINÉMATOGRAPHIQUES #ÉDITION #JOURNÉES #ouverture #SENEGAL #tunisie
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sportskafunel · 3 years ago
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Ouverture de la 31ÈME Édition des journées cinématographiques de Carthage https://tinyurl.com/ye4r68dq 31ÈME Édition des journées cinématograp... #31ÈME #Carthage #CINEMA #CINÉMATOGRAPHIQUES #ÉDITION #JOURNÉES #ouverture #SENEGAL #tunisie
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