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ANYIGBA NYUI
Jeudi, 30 novembre 2023
"Prête l'oreille, berger d'Israël, Toi qui conduis Joseph comme un troupeau! Parais dans ta splendeur, Toi qui es assis sur les chérubins! Devant Éphraïm, Benjamin et Manassé, réveille ta force, Et viens à notre secours!"
Psaumes 80, 1&2 (LSG)
Prière d’intercession en faveur d'Israël
Qu'est-il arrivé au peuple d'Israël, la vigne arrachée de l'Égypte, celle-là même devant laquelle Dieu a fait place, en chassant des nations ? La vigne que l'Éternel a plantée, est dans un état lamentable. Elle n'a plus ses clôtures, les passants la dépouillent allègrement, le sanglier de la forêt la ronge, et les b��tes des champs en font leur pâture. Et pourtant, elle avait jeté des racines et rempli la terre ! Les montagnes étaient couvertes de son ombre, et ses rameaux étaient comme des cèdres de Dieu! Elle étendait ses branches jusqu'à la mer, et ses rejetons jusqu'au fleuve ! Pourquoi la gloire d'Israël s'est-elle estompée brusquement ? Comment son passé élogieux a-t-il fait place au désastre ?
Eh bien, voici ce qu'en dit la Bible : "...Mon bien-aimé avait une vigne, Sur un coteau fertile. Il en remua le sol, ôta les pierres, et y mit un plant délicieux; Il bâtit une tour au milieu d'elle, Et il y creusa aussi une cuve. Puis il espéra qu'elle produirait de bons raisins, Mais elle en a produit de mauvais" (Esaïe 5, 1&2). En conséquence, Dieu dit : "J'en arracherai la haie, pour qu'elle soit broutée; J'en abattrai la clôture, pour qu'elle soit foulée aux pieds" (Ésaïe 5, 5b). Il n'y a pas de doute, la colère de Dieu s'est abattue sur Israël. Il est nourri d'un pain de larmes et abreuvé de larmes à pleine mesure. Il est fait un objet de discorde pour ses voisins, et ses ennemis se raillent de lui. Mais dans ce cas, que doit faire une personne avisée ?
Le psalmiste dans le passage du jour n'en voit qu'un seul moyen : intercéder en faveur de son peuple. Il ne pouvait pas se lasser de demander à Dieu d'intervenir en faveur de son peuple : "O Dieu, relève-nous ! Fais briller ta face, et nous serons sauvés !" (verset 3, 7, 19). Il fait appel à l’Éternel, le berger d’Israël et Lui demande de secourir son peuple. (versets du jour). Israël n'est-il pas le fils de Dieu, son premier-né comme le révèle Exode 4, 22 ? Le psalmiste le rappelle et demande à Dieu d’intervenir en mettant sa bonne main sur le fils qu’Il s’était choisi (verset 17) et il s’engage, au nom du peuple, à ne plus s’éloigner de Dieu et à invoquer son nom (verset 18).
Cher(e) ami(e), Comment Israël serait-il sauvé, sinon par la grâce de Dieu ? Le psalmiste le sait très bien, c'est pourquoi du fond du désastre, il demande à Dieu de faire briller sa face. Et toi, vers qui te tournes-tu quand tout va mal dans ta famille, dans ta communauté, dans ton pays... ? Aujourd'hui plus que jamais, la face de Dieu, en Jésus-Christ brille pour nous. La Bible dit :
"Il (Jésus) est l'image du Dieu invisible, le premier-né de toute la création. (...) il (Dieu) a voulu par lui réconcilier tout avec lui-même (...) en faisant la paix par lui, par le sang de sa croix. Et vous, qui étiez autrefois étrangers et ennemis par vos pensées et par vos mauvaises oeuvres, il vous a maintenant réconciliés par sa mort dans le corps de sa chair, pour vous faire paraître devant lui saints, irrépréhensibles et sans reproche, si du moins vous demeurez fondés et inébranlables dans la foi, sans vous détourner de l'espérance de l'Évangile que vous avez entendu..." (Colossiens 1, 15, 20-23). Alors, qu'attends-tu, plaide ta cause auprès de Jésus !
Amen !
Exhortation : Intercède sans cesse en faveur de ton peuple
Texte du jour : Psaumes 80, 1-19
Edoh Nicolas
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▪Clock.
Date: ca. 1789
Artist/Maker: Jean-Antoine Lepine; Painter: Joseph Coteau
Medium: Marble, gilt bronze.
#18th century#18th century art#decorative arts#clock#jean-antoine lepine#joseph coteau#marble#bronze#ca. 1789
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Ronchamp est une ville du département de Haute-Saône en Franche-Comté. Ancienne commune minière de charbon dont les terrils recouverts de végétations et le patrimoine industriel subsistent tout autour de la ville - Connu pour sa chapelle conçue par Le Corbusier inscrite sur la liste du patrimoine mondial et son passé minier décrit dans un musée.
Des mines de houille ont été exploitées à Ronchamp de 1744 à 1958. L'exploitation démarre dans des galeries à flanc de coteau avant que ne soit creusé le puits Saint-Louis puis Entre 1845 et 1895 les puits Saint-Charles et Saint-Joseph.
Les couches de charbon s'enfonçant de plus en plus, les puits se succèdent et sont de plus en plus profonds vers le sud jusqu'à ce que la compagnie finisse par creuser deux fois de suite le puits le plus profond de France: (694 mètres) en 1878 et 1 010 mètres en 1900.
Les houillères de Ronchamp sont exploitées pendant plus de deux siècles et leur exploitation marque profondément le paysage avec ses terrils, cités minières et puits de mine, mais aussi l'économie et la population locale (immigration polonaise et traditions minières notamment).
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Jean Coteau – Lettre autographe signée à l’écrivain surréaliste Georges Hugnet, enrichie d’un dessin à l’encre noire représentant un visage de profil, nd
« Mes chéris, que devenez vous ? Et mon pauvre fait divers. J’ai peur qu’il ne vous déplaise et que vous n’osiez pas me le dire. Dites le. Je me fiche de l’écriture. Je vous aime. Jean.
Et l’invisible Joseph ? »
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View of the Hill, Fiesole (Vue du Coteau, Fiesole), Joseph Félix Bouchor, n.d., Brooklyn Museum: European Art
Size: 13 3/8 x 18 5/16 in. (34 x 46.5 cm) Medium: Oil on canvas
https://www.brooklynmuseum.org/opencollection/objects/36343
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Summer dreams dry up on the Russian River, a paradise whipsawed by drought, flood and fire
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Summer dreams dry up on the Russian River, a paradise whipsawed by drought, flood and fire
The Russian River, just north of drought-stricken Lake Mendocino in Ukiah, Calif. (Brian van der Brug / Los Angeles Times)
If there was any respite to be found, it was here on the Russian River.
A river otter popped up next to Larry Laba’s inflatable canoe, then dived down with a plop. A yellow swallowtail butterfly, big as a hand, fluttered past.
Yet everywhere were signs of the West’s ever-intensifying drought, with the Russian River taking the early hit.
Laba, the owner of Russian River Adventures, who had paddled this river hundreds of times over 20 years, made note of unfamiliar things that made him uneasy.
Larry Laba, owner of Russian River Adventures, paddles down the Russian River in Healdsburg, Calif. (Brian van der Brug / Los Angeles Times)
The river was at a historic low. A hot wind blew through the canyon, when summer breezes here are usually gentle and cool. The leaves of the cottonwood trees made a brittle, crackling sound. The same trees, way up high, had cracked branches from a devastating flood in 2019.
Just below the water’s surface, Laba noted colonies of an algae he’d never seen. Then there was his worry over algae he couldn’t yet see. In 2015, during a terrible drought, his dog Indy — whom he described as a dumb, happy-go-lucky retriever no one could resist — died of a seizure on the river. The next week, a 2-year old golden retriever died on one of the trips run by Laba’s company. This time officials pinpointed the cause as a fast-acting neurotoxin from blue-green algae. The algae occurs naturally, but when temperatures rise and water is warm and stagnant, it blooms and releases poisons.
The Russian River area holds a panoply of California treasures: majestic redwoods, ocean mists, summer sun, famed wineries, breweries and a casual, come-as-you-are culture that mixes high-brow with hippie and a bit of barn party.
Receding water levels forced a closure of the north boat ramp at Lake Mendocino in Ukiah, Calif. (Brian van der Brug / Los Angeles Times)
It also sits at the center of climate-related disasters. After the drought, which ended in 2017, came fires that burned across eight Northern California counties, killing 23 people. In late February 2019, at the tail end of the wet season, rain pelted down without halt. Some of the area’s mountains saw 400% more than the average amount of rain for the month. The river flooded, cresting at 45-feet, the highest in more than two decades. The river valley towns of Guerneville and Monte Rio became islands, with automobile parts and pieces of buildings floating past. Restaurants that sat on cliffs 30 feet above the river were under water.
Story continues
In August 2020, walls of fire surrounded those same towns as more than 12,000 residents evacuated through smoke and ash. Vineyards burned and beloved cabins turned to tinder. Up and down the West Coast, fires raged, sparked by a combination of extreme heat and a lightning siege. For weeks, this valley — which usually has air so fresh that you can taste the ocean — registered some of the worst air quality in the world.
Laba said he avoids thinking about what all of it — drought, fires, floods, lightning sieges, heat waves — means.
Merganser ducks on the Russian River in Healdsburg, Calif. (Brian van der Brug / Los Angeles Times)
“Look, I can’t go there,” said the 69-year old. “I’m not a worrier. I can’t lay awake at night thinking about climate change. I look around and if there is something I can do —even if I know it won’t make that much of a difference — I do it.”
He spotted tall stalks of scarlet wisteria on the banks, flashing their bright flowers. He beached the canoe.
“They’re huge water-suckers. They’re invasive,” he said, trying to pull up a plant that showed no signs of budging. But Laba pulled and strained until it came up by the roots and couldn’t produce pods to scatter seeds.
Michele Wimborough, left, owner of Hazel restaurant in Occidental, Calif., chats with guests Rahna Schiff, right, and Keith Holamon. (Brian van der Brug / Los Angeles Times)
That evening, farther down river, in the small community of Occidental, off Bohemian Highway, Michele Wimborough stepped outside of a cozy restaurant that was as much a dream as a business.
She and her chef-husband Jim, former Bay Area residents, had searched for years for just the right small town where they wanted to live and raise their son. They opened Hazel, named after Jim’s grandmother, in 2015.
This night was one of their first with in-house dining since before the COVID-19 pandemic, and the restaurant was packed. Earlier, Wimborough had wondered if she’d miss when it was just her family inside, alone, making to-go meals. But she had found herself laughing and happy to be in a crowd.
Now, after the dinner rush, she stood outside, tipped up her face and breathed in a cool mist that was slowly enveloping the town.
Part of the reason was that it gets hot running around a restaurant, but the other was that such moisture was becoming rare.
A canoe floats past an exposed gravel bar, right, on the Russian River in Healdsburg, Calif. (Brian van der Brug / Los Angeles Times)
She had been caught off guard by notices pleading with residents to cut water use by 20% to 40% and the news of an emergency water regulation that cut river water rights for up to 2,300 wineries and farms. The restrictions were aimed at keeping the Lake Mendocino reservoir from going dry before summer’s end. Similar cuts are expected soon in California’s other watersheds.
While she was preoccupied with COVID-19, the drought had sneaked up on her.
“I feel like so much has happened that I can’t keep track of it all,” she said.
Just in her tight circle of friends, five families had moved away, people who had planned to stay forever, driven out by fear of disaster.
Wimborough said that by nature she is anxious. But that had changed over the last five years. Now, she steadfastly clings to a stubborn optimism.
Joseph Lustenberger, 15, jumps off a railroad bridge footing into the Russian River in Healdsburg, Calif. (Brian van der Brug / Los Angeles Times)
“I definitely believe in climate change. But I concentrate on ‘We’re going to keep going and it’s going to be OK’ — until it’s not,” she said.
“I love it here and this is a beautiful moment and I’m grateful we were safe for one more day.”
The Russian River begins in the mountains north of Ukiah in Mendocino County and cuts a winding path to the Pacific Ocean. The Pomo Indians once trapped salmon in its pools, before water was diverted. The river gets its modern name from Russian Ivan Kuskov of the Russian-American Company, who explored it in the early 19th century and founded Ft. Ross. It was the Russians who first planted grapes in the wine region.
Outside of Sebastopol, not far from the sea but worlds away from bustle, or even cell service, Eric Susswell, owner of Radio-Coteau, makes wines that he said are meant to capture place and a particular moment in time.
Land once underwater is exposed by receding water levels on Lake Sonoma in Geyserville, Calif. (Brian van der Brug / Los Angeles Times)
His water comes from domestic wells, not river allocations or a municipality, but the drought gripping this land of red barns, grapevines, goats and sunflowers will still be in this year’s vintage — if they can get the grapes to harvest. Last year Radio Cocteau barely got the crop in before smoke damage. Many other wineries lost their grapes.
Radio-Coteau’s vineyard is one of the few Demeter-certified estates in the U.S., meaning it meets a set standard for a bio-diverse organic farm. That includes methods such as mulching, no-till farming and monitoring moisture to improve soil — something akin to the farming version of holistic healthcare.
Sussman, who studied organic viticulture at Cornell and trained in France, said he considers his farm a living organism in its entirety, plants that become resilient with a good root system.
The water level has been steadily receding at Lake Sonoma in Geyserville, Calif. (Brian van der Brug / Los Angeles Times)
“There is an intelligence in their ability to adapt,” he said. “It gives me some sense of hope.”
Some vines on his property date to 1945. Sussman said they sustain his faith that seasons will pass and the vineyards will continue.
“I’m not blasé about climate change,” he said. “But I’m not watching all of this from high above. I’m down on the ground right in the thick of it, day by day making decisions about sustainability.”
Nine miles south of Healdsburg, another group of pleasure seekers had paddled down the river.
Beachgoers enjoy the cool water at Monte Rio Beach on the Russian River in Monte Rio, Calif. (Brian van der Brug / Los Angeles Times)
Mathew Knobel, 19, who works for Laba, was waiting to greet them at the end of their trip with hoots and hollers.
He tried to be supportive when they were visibly stunned by how low the river was, how there were spots where they had to get out of their boats and walk.
“People get really emotional when they see it for themselves,” Knobel said. “It’s almost shock and awe.”
It’s not a reaction he shares.
“To be very honest, in my lifetime, I haven’t been able to experience anything different,” he said. “I’m 19. By the time I was old enough to have a consciousness about climate change, it was here.
“It’s not that I’m not concerned,” he added.
“But to me, drought, fires and floods are what’s normal.”
This story originally appeared in Los Angeles Times.
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NEW Lord Nelson X The Fatha - Bam Bam "2019 Soca" AVAILABLE NOW
Lord Nelson X Fatha: BAM BAM (La La Jam Back Refix)
Having said farewell to a succession of musical pioneers within recent months, it would seem we were just about witnessing the ending of an era. However, quite contrarily, The giant himself Robert’Lord Nelson’ evidences otherwise.
With more sprite than ever the Disco Daddy, endowed with youthful flavour, has once again revealed his undying zeal in championing culture and distributing rich Soca music.
Akio Ross ‘The Fatha’ was inspired by the legend himself. Nelson’s 1976 hit, “La La Jam Back” (arranged by Art de Coteau) was a major contributing factor in Ross’s love and passion for Soca music.
Writer Bjorn Graham (KVG) , Badjohn Republic’s Kyle Phillips, and Nelson himself collaborated to create a contemporary sound on the 43-year old classic”. We invite all on this odyssey as we perpetuate timelessness and pervade greatness, as Lord Nelson and The Fatha work together in search of the BAM BAM.
Performed by: Robert Nelson ‘Lord Nelson’ & Akio Ross ‘The Fatha’
Produced by: Badjohn Republic (Kyle Phillips) & Bjorn Graham
Written by: Bjorn Graham
Arranged by: Bjorn Graham (The KVG)
Mixed by: Kyle Phillips (Badjohn Republic)
Mastered by: (Precision Productions) & (Badjohn Republic)
Background vocals: Blair Thompson, Karyce Phillips, Bjorn Graham and Akio Ross
Live Drums: Makesi Joseph
Live Pan: Khion De Las
Live Guitars: Chryston Floyd & Daniel Roberts
Live Bass: Charlton Alfonso
Brass courtesy Jaiso:
Trumpet- Nathan Maxwell
Alto Sax- Irwyn Roach
Trombone-Johann Andrews
Tenor sax-Anthony O’Conner
Copyright Control: COTT/ FOXFUSE / BMI
MP3 & WAV
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Lord Nelson x The Fatha – Bam Bam (Refix) “2019 Soca” (Trinidad)
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The Seminary Flourished on Slave Labor. Now It’s Planning to Pay Reparations.
Enslaved laborers built several buildings at Virginia Theological Seminary, which was founded in 1856, including the Seminary’s current administrative offices. If you were a college administrator wanting to make amends through reparations, how would you determine: (1) How much money to put in the reparations account, and (2) Who is eligible to receive reparations? Why? What are the ethics underlying your decision?
By the time Phillips Brooks arrived at the Virginia Theological Seminary in 1856, the institution was thriving. Founded more than three decades earlier in the Sunday school room of a church in Alexandria, Va., the seminary sat on a 62-acre estate with lush meadows and glorious views of the Washington Monument.
School officials saw the transformation as a sign of divine blessings. But Mr. Brooks, a seminarian who would go on to become the bishop of his home state of Massachusetts, saw more than the hand of God at work.
“There are crowds of slaves about here,” wrote Mr. Brooks in one of a series of letters describing life at the school, the first Episcopal seminary in the South. “It is one of the best places to see the sad effects of slavery on the white population, degrading and unmanning them.”
This month, more than a century after the last enslaved people labored on campus, the seminary’s leaders announced plans to atone for that history. They are creating a $1.7 million reparations fund, becoming one of the first American institutions to allocate money specifically for the descendants of the enslaved. The fund will also provide financial support for black seminarians and black worshipers who experienced discrimination on campus.
“We need to come to terms with a past that has an ugly side, a wicked side,” the Very Rev. Ian S. Markham, the seminary’s dean and president, said in an interview.
“When you’re talking about something as heinous as slavery, there’s no amount really that can actually satisfy that sin,” Dean Markham said. “It’s just too enormous. But we’re going to do the hard work, recognizing that our past is full of sin and grace.”
The move places the southern seminary at the forefront of a growing number of universities and religious institutions striving to make amends for their involvement in America’s system of involuntary servitude. And it comes as some groups move beyond apologies, considering actual financial compensation to descendants.
Last year, the Catholic sisters of the Society of the Sacred Heart created a reparations fund to finance scholarships for African-Americans in Grand Coteau, La., where the nuns had owned about 150 black people.
This spring, students at Georgetown University, a Jesuit institution, voted to create a fund, financed by student fees, to benefit the descendants of the 272 people who were sold in 1838 to help keep the college afloat. (The plan has yet to receive approval from Georgetown’s board of trustees.)
The Jesuits, who founded and ran Georgetown and organized the 1838 slave sale, are currently in talks with descendants of the people they once owned. Those descendants are seeking $1 billion for a foundation that would finance educational, health, housing and other needs.
In a statement, Timothy P. Kesicki, the president of the Jesuit Conference of Canada and the United States, said the Jesuits and Georgetown officials “have been constructively engaged in discussing the descendants’ vision for a pathway forward.”
The decision by Virginia Theological Seminary moves the debate over reparations — which in recent months has bubbled up in presidential campaigns and in the halls of Congress — from the theoretical to a reality.
“It’s important because the conversation about institutional obligations to the descendants of the enslaved typically gets confined to a discussion of research and fact-finding,” said Craig Steven Wilder, a historian at M.I.T. who has written extensively about universities and their ties to slavery.
“It’s the religious institutions that have started to lay out a path from there toward restorative justice,” Dr. Wilder added. “It’s much harder for religious institutions to be silent on the moral implications of their own history.”
The fund at the Virginia Theological Seminary will be administered by the Rev. Joseph Thompson, the director of the Office of Multicultural Ministries. The institution plans to spend about $70,000 each year.
The seminary hopes to identify descendants of the enslaved laborers who worked on campus and seminarians who experienced discrimination at the school. Officials plan to discuss their needs and to offer financial assistance, officials said. “Everything is on the table,” Dean Markham said.
Officials also hope to support local churches with historical ties to the seminary and African-American alumni, especially black Episcopal clergy and those working in black congregations.
Dean Markham said the decision to create the fund had touched off “a lively debate” within the seminary’s community where it has been discussed by members of the board, faculty and alumni.
“People had a lot of questions to ask,” Dr. Thompson added. “There are obvious logistical challenges and obvious philosophical questions. I’m very excited to tackle those questions with the dean’s task force.”
Seminary officials plan to begin charting the way forward by digging into the past. They plan to pore over archival records to try to unearth the names and stories of the enslaved men and women who toiled on campus. Several of the institution’s founders were slaveholders, including Francis Scott Key, who wrote the lyrics to “The Star-Spangled Banner.” Census records indicate that at least five faculty members owned black people as well, according to the Rev. Joseph M. Constant, the author of “No Turning Back: The Black Presence at Virginia Theological Seminary.”
But most of the enslaved people on campus were rented from local plantations, including from Mount Vernon, George Washington’s estate. Enslaved laborers are believed to have built several buildings on campus, including Aspinwall Hall, which currently houses the seminary’s administrative offices, said Christopher Pote, the seminary’s archivist.
The sight of so many enslaved men and women on campus in the 1850s astonished Mr. Brooks, the young seminarian from Massachusetts.
“All the servants are slaves,” Mr. Brooks wrote to his father in 1856. And students who tried to minister to the enslaved encountered threats and resistance.
One Northern student, he wrote, held a meeting once a week for the enslaved people at the seminary, but had been told to give it up, “or he will have to suffer.”
“Another who has preached some in the neighborhood has been informed that there was tar and feather ready for him if he went far from the seminary,” Mr. Brooks continued. “And in general they have been given to understand that their tongues were tied and they were anything but free. A pretty style of life, isn’t it?”
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Jorge Miroslav Jara Salas: 20th Annual PinotFest Tasting: November 17, San Francisco
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10.17.2018
One of the longest running wine tasting events in San Francisco is also one of its best. While the city often plays host to really huge public tastings like ZAP, Family Winemakers, and PinotDays, some of the better tastings are more intimate and focused. Both words appropriately describe PinotFest, a low-key event held every year at Farallon Restaurant.
Despite practically non-existent marketing or announcement, PinotFest quietly pulls together 60 or so top producers of West Coast Pinot Noir every year for a dedicated crowd of Pinot lovers in San Francisco. This year will be the event’s 20th annual incarnation.
Attendees get nibbles from Farallon’s kitchen, and access for a few hours to many hard to find Pinot Noirs that often don’t appear at the larger public tastings.
This year’s wineries will include:
Alma Rosa, Au Bon Climat, Big Table Farm, Bonaccorsi, Byron, Calera, Charles Heintz, Chehalem, Cobb, Costa de Oro, Cristom, Domaine Drouhin, En Route, Ernest, Etude, Failla, Fiddlehead, Flowers, Foxen, Freeman, Gary Farrell, Gloria Ferrer, Handley, Hartford Court, Hitching Post, Joseph Phelps, Keller Estate, Kendric, Kosta Browne, LaRue, Littorai, Lutum, Marimar Estate, Melville, Merry Edwards, Nicolas Jay, Paul Hobbs, Paul Lato, Peay, Radio Coteau, Saintsbury, Siduri, Sinor LaVallee, Soter, Talisman, Talley, Testarossa, Tendril, Thomas Fogarty, Twomey, Wayfarer, Whitcraft, WillaKenzie, Williams Selyem.
While, at $125, this tasting may be expensive for some, it is only the price of approximately 1.5 bottles from most of these producers, and by far the least expensive way of getting a chance to taste a lot of them in one setting.
This year’s event will also feature a pop-up tasting of some of Australia’s finest Pinot Noir producers, courtesy of friends at Wine Australia.
It’s a great event and one that no California Pinot Noir lover should miss.
PinotFest 2018 Saturday, November 17th 3:00 PM to 6:00 PM Farallon Restaurant, 4th Floor 450 Post Street San Francisco, CA 94108
Tickets are $125 per person (a price which hasn’t gone up in years and years) and can be ordered online or by calling 415-956-6969. This event will almost certainly sell out.
I recommend arriving exactly at 3:00 PM, wearing dark clothes to minimize spills, eating a hearty lunch ahead of time, and swallowing only a few wines so you can taste a lot more.
Posted by: Alder on October 17, 2018 9:10 PM
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Le site archéologique de Thuburbo Majus (Tunisie).
Tête de Jupiter découverte dans le Capitole
Noces de Dionysos et d’Ariane, fin du iiie siècle
Dieu Océan avec motifs de xenia, iiie siècle
La « maison du pressoir à huile » avec au fond le Capitole
Palestre des Petronii en 1963
Vue vers le Capitole
Temple de Junon Caelestis
Temple de Baalat
Vue du Capitole
Détail d’un bas-relief trouvé sur le site
Pied de la statue colossale du Capitole
Naïskos
Détail de la mosaïque représentant des protomés d’animaux d’amphithéâtre
Autre détail de la même mosaïque
Thésée et le Minotaure
Plan du centre du site archéologique
Aurige vainqueur, ive siècle
Plan général du site de Thuburbo Majus qui est encore très incomplètement fouillé
Pugilistes aux prises
Site de Thuburbo Majus au nord de la Tunisie antique
Thuburbo Majus
Thuburbo Majus est un site archéologique situé au nord de la Tunisie, à une soixantaine de kilomètres au sud-ouest de Tunis, près de l’actuelle ville d’El Fahs. On peut admirer ses ruines depuis les rives de l’oued Miliane à Henchir Kasbat.
Identifié au milieu du xixe siècle, les fouilles y sont restées incomplètes malgré plusieurs campagnes qui ont livré un matériel important déposé au musée national du Bardo, notamment des mosaïques et les fragments d’une statue colossale de Jupiter.
De par ces fouilles inachevées, en dépit de vestiges importants, en particulier ceux du Capitole, une grande partie des quarante hectares du site reste à dégager.
Localisation
Située à 65 kilomètres de Carthage et à une faible distance d’Oudhna, la cité présente le double avantage d’être localisée dans une riche région céréalière et au carrefour de routes commerciales. Elle est également située entre l’ancienne Bagrada et l’oued Miliane, à flanc de coteau.
De la localité libyco-punique à la cité romaine
Elle devient un chef-lieu de district (pagus autant que civitas) en 27 av. J.-C., sous le règne de l’empereur Auguste. On suppose que l’endroit était déjà habité auparavant par les Berbères puis, de manière assurée, par les phénico-puniques de par la place des cultes des deux divinités principales à l’époque postérieure : Saturne reprend le culte de Ba’al Hammon et Junon Caelestis reprend le culte d’Astarté.
En 128, sous le règne d’Hadrien, la ville obtient le droit de cité (municipe) et parvient à maturité entre 150 et 250. Sa prospérité repose alors essentiellement sur le commerce entre l’intérieur des terres et les villes côtières. Selon les estimations, la ville compte à cette époque entre 7 000 et 12 000 habitants. L’empereur Commode octroie à la ville, rebaptisée Colonia Julia Aurelia Commoda, le statut de colonie romaine en 188. L’intégration à l’empire et la prospérité permettent à la cité de se parer d’édifices publics.
La cité commence à décliner vers la fin du iiie siècle. L’empereur Constantin tente de revivifier l’agglomération qui compte alors encore 1 000 habitants. Renommée Res Publica Felix Thuburbo Majus, elle reçoit une nouvelle impulsion sous le règne de Constance II qui poursuit une politique de reconstruction, en particulier des thermes.
Elle entre cependant à nouveau en déclin sous le coups des invasions vandales et des combattants arabes qui propagent l’islam de village en village. La colonie est fortement endommagée par un tremblement de terre.
Évêché
La ville devient par la suite un évêché, siège du diocèse de Thuburbo Majus suffragant de l’archidiocèse de Carthage, dont on connaît au moins quatre évêques : Sedatus qui prit part au concile de Carthage (256), Faustus qui prit part au concile d’Arles (314), saint Cyprien qui participa au concile des Églises de Carthage (412), au cours duquel il s’opposa au donatiste Rufinus, et Bennatus qui fut banni sous le règne d’Hunéric (484).
L’Église catholique le reconnaît aujourd’hui comme un évêché in partibus.
Redécouverte du site
C’est seulement en 1857 que l’archéologue français Charles-Joseph Tissot arrache la ville de l’oubli. Les fouilles sont reprises en 1912 puis vers 1930, sous l’impulsion de Louis Poinssot, et enfin en 1957. L’essentiel des fouilles est effectué de 1912 à 1936. Un siècle et demi après sa découverte, les fouilles sont encore inachevées en raison de l’ampleur du site.
Édifices
De nos jours, en dépit du caractère partiel des fouilles effectuées, et de par l’importance de ses ruines, elle constitue l’un des plus beaux sites archéologiques de Tunisie.
Les bâtiments dégagés, outre le Capitole, sont relativement modestes, ce caractère étant à relier aux faibles ressources des habitants.
De même, les temples ont été transformés en églises à l’époque romaine, aucune construction religieuse nouvelle n’ayant alors été entreprise.
Édifices religieux
De son Capitole daté de 168, quatre impressionnantes colonnes corinthiennes de 8,50 mètres ont survécu sur les 6 de la façade initiale à l’épreuve du temps et ont été redressées. La taille de la construction est comparable à celle du Capitole de Dougga, derrière lequel il se situe de par son état de conservation. Les fouilles ont également livré les fragments de la statue colossale située au musée national du Bardo à Tunis, ainsi que trois favissae.
Le temple de Mercure, consacré en 211, se situe sur son côté nord-ouest, et possède un péristyle circulaire possédant huit colonnes. La proximité de la construction avec le forum suit les préconisations de Vitruve. On y trouve aussi deux sanctuaires consacrés à Saturne, dont l’un possède un plan de type oriental et aurait été bâti aux IIe ou ier siècle av. J.-C. Ce dernier sanctuaire, comme ceux de Mercure et de Junon Caelestis, a été utilisé comme église au vie siècle.
L’un des temples de Saturne a été bâti en hauteur. On y trouve également un « temple de Baalat », possédant un plan fréquent en Afrique, avec une cour outre le temple stricto sensu qui a été par la suite transformé en basilique chrétienne.
Édifices civils
En contrebas du temple s’étend un forum carré à péristyle de 45 mètres de côté, édifié au iie siècle et restauré au ive siècle, bordé sur trois côtés par des portiques et le Capitole. On y accède par deux portes de petites dimensions sur ses côtés sud-ouest et sud-est.
À proximité se trouvent les vestiges de la curie, dont l’aménagement intérieur a pu être restitué, avec ses gradins et son estrade.
On peut également y voir un macellum (marché), place dont les côtés possèdent des boutiques.
Édifices de loisirs
Au sud-ouest du site, les vestiges des thermes d’hiver et d’été, avec de remarquables mosaïques, témoignent de l’architecture des bains de l’époque romaine.
Les « thermes d’hiver », s’étendant sur 1 600 m2, ont été construits à une date mal assurée, dans la seconde moitié du iie siècle ou au début du iiie siècle. Le complexe thermal a été rénové entre 395 et 408, une autre rénovation ayant eu lieu à une époque tardive indéterminée. La construction est encore utilisée à la fin du ve siècle ou au début du vie siècle. Doté de trois piscines, le frigidarium ne mesurait cependant qu’environ 70 m2. Deux des piscines ont été supprimées, peut-être au ve siècle alors qu’une aile adjointe à la même époque est considérée par Yvon Thébert comme un espace consacré aux réunions.
Les « thermes d’été », à proximité immédiate du forum, étaient très richement ornés. À proximité se trouvent des latrines. Ils ont été construits à la fin du iie ou au début du iiie siècle. L’édifice, s’étendant sur 2 800 m2, avec un frigidarium de 125 m2, est à considérer comme un édifice de taille moyenne. L’ensemble a subi de nombreux remaniements non datables mais a été restauré de façon assurée en 361. Il a existé un débat
entre archéologues à propos de l’imbrication des divers éléments de la zone, et des incidences des constructions de la palestre des Petronii et des grandes latrines semi-circulaires sur l’espace thermal, en particulier les accès qui ont dû changer lors des divers bouleversements.
Située au nord-est des « thermes d’été », la palestre offerte par les Petronii à la ville en 225 était destinée à la pratique du sport. Proche de la palestre a été découvert un bas-relief représentant des ménades en train de danser, ce qui illustre l’imitation de modèles classiques dès le ier siècle. L’un des côtés de l’édifice a fait l’objet d’un remontage, ce qui en fait un des atouts du site, les autres façades étant dans un état de ruines avancé.
L’orientation des salles chaudes des thermes a permis l’identification des deux lieux à l’usage lié à la saison : salles chaudes au nord pour les thermes d’été, au sud pour les thermes d’hiver. Le site possédait d’autres installations thermales, les « thermes du labyrinthe », les « thermes du Capitole », outre des thermes situés dans la « maison aux communs ».
Thuburbo Majus accueille par ailleurs un amphithéâtre qui prenait appui sur le relief et qui n’est pas encore totalement dégagé.
Quartiers d’habitations
L’habitat privé a été moins l’objet de fouilles que les monuments publics ou religieux. Cependant, environ une vingtaine de maisons privées ont été dégagées.
Les constructions privées, de par la dureté du matériau local, étaient bâties de béton de plâtre.
Les archéologues ont pu déterminer que les classes aisées vivaient dans le quartier occidental de la cité, le quartier septentrional abritant des classes davantage populaires du fait de la proximité d’installations artisanales, en particulier des huileries.
À proximité du forum ont été retrouvées des habitations luxueuses, au sol recouvert de mosaïques et de marbre, certaines possédant un système de chauffage.
Découvertes effectuées sur le site
Œuvres in situ
Les fouilles qui ont eu lieu sur le site sont datées d’une période où la dépose des œuvres était une pratique courante. De ce fait, le site est relativement dépouillé. Cependant, on trouve tout de même un petit musée sur le site.
Œuvres déposées au musée national du Bardo
Les découvertes les plus remarquables ont été déposées au musée national du Bardo. Parmi celles-ci, on trouve une tête, mesurant 1,35 mètre pour 1,2 tonne, d’une statue de Jupiter atteignant sept mètres de hauteur, ainsi que des mosaïques.
Un naïskos de la première moitié du iie siècle av. J.-C.., chapelle miniature dédiée à Déméter, retrouvé sur le site est selon Serge Lancel un résumé du temple de basse-époque punique, une synthèse de l’art grec avec une origine orientale.
Dans la salle dite du Mausolée sont exposées diverses mosaïques livrées par le site, dont celle des protomés d’animaux d’amphithéâtre : cette mosaïque, datée de la seconde moitié du ive siècle, avait une finalité commémorative pour rappeler un spectacle offert par un riche notable. L’œuvre appartient à une série tardive où le motif végétal est très présent.
D’autres mosaïques sont situées ailleurs dans le musée. Ainsi, la mosaïque dite du poète tragique absorbé dans une profonde réflexion est datée de la fin du iie siècle et montre le poète — identifié parfois à Ménandre — en pleine réflexion, placé au milieu d’un décor de feuillages. Un parchemin à la main, il a face à lui deux masques de théâtre. Le musée possède également une représentation des noces de Dionysos et d’Ariane où sont mis en scène les amours de Dionysos sur trois registres. Sur le registre supérieur le dieu, assis sur une peau de panthère, a face à lui Ariane. Le décor, inscrit dans un triangle, est selon Mohamed Yacoub à relier à un « décor conçu pour un fronton de temple ». Les deux registres inférieurs concernent les compagnons de la divinité, l’un Héraclès face à un satyre et l’autre des Bacchantes accompagnées du dieu Pan. La scène se retrouve sur les cratères retrouvés lors des fouilles de l’épave de Mahdia.
L’œuvre dite Thésée et le Minotaure, datée de la fin du iiie siècle, figure le combat final où Thésée s’apprête à frapper la tête du Minotaure, dont les membres des victimes jonchent le sol. L’entourage de l’emblema figure le labyrinthe. On y trouve aussi un bassin avec tête d’Océan avec xénia ou plutôt une mosaïque de bassin, avec décor de monstres marins, dont le rebord est occupé par des motifs de xenia ou natures mortes, symbole de fécondité. La vie quotidienne est également représentée avec une mosaïque de chasse à courre, malheureusement très mutilée, datant du ive siècle. Sur les deux registres conservés figurent deux personnages à cheval poursuivant un lièvre, accompagnés d’auxiliaires et d’une chienne ; les chevaux et la chienne sont nommés.
Le sport est représenté dans les pugilistes aux prises, une mosaïque de la fin du iiie siècle où deux pugilistes portant des gants se battent alors que, de la tête de celui de gauche, coule du sang. Les jeux sont aussi présents avec un aurige vainqueur, emblema malheureusement mutilé d’une mosaïque du début du ive siècle figurant un aurige portant d’une main une couronne et tenant de l’autre une palme, les rênes du quadrige étant fixés à son corps.
Source :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Thuburbo_Majus
Thuburbo Majus de la citée libyco-punique à romaine Thuburbo Majus Thuburbo Majus est un site archéologique situé au nord de la Tunisie, à une soixantaine de kilomètres au sud-ouest de Tunis, près de l'actuelle ville d'El Fahs.
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Clock in gilt bronze, enamel and white marble, attributed to Julien Béliard and Joseph Coteau. End of the 18th century, Paris.
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A Louis XVI mantel clock
The dial by Joseph Coteau
Paris
Circa 1785
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View of the Hill, Fiesole (Vue du Coteau, Fiesole), Joseph Félix Bouchor, n.d., Brooklyn Museum: European Art
Size: 13 3/8 x 18 5/16 in. (34 x 46.5 cm) Medium: Oil on canvas
https://www.brooklynmuseum.org/opencollection/objects/36343
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View of the Hill, Fiesole (Vue du Coteau, Fiesole), Joseph Félix Bouchor, n.d., Brooklyn Museum: European Art
Size: 13 3/8 x 18 5/16 in. (34 x 46.5 cm) Medium: Oil on canvas
https://www.brooklynmuseum.org/opencollection/objects/36343
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