#jean-claude penchenat
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Le Bal (1983). Dance moves, music and fashion mark the passage of time inside a Paris dance hall, throughout fifty years of history.
It's rare to find a movie that feels this unique, particularly in a subgenre like dance films, but I don't think I've seen anything like this before. With no dialogue and almost constantly moving, this film beautifully explores the impact of World War II through the eyes of a ballroom and the dancers who went there. Really, really lovely, and some pretty sublime acting and miming. Magic! 8/10.
#le bal#the ball#1983#Oscars 56#Nom: Foreign Film#Ettore Scola#Jean-Claude Penchenat#Ruggero Maccari#Furio Scarpelli#Étienne Guichard#Régis Bouquet#Francesco De Rosa#algeria#france#world war ii#war#dance#8/10
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Novembre MMXXIII "November Who"
Films
Dr. Who and the Daleks (1965) de Gordon Flemyng avec Peter Cushing, Roy Castle, Jennie Linden, Roberta Tovey, Barrie Ingham, Michael Coles et Yvonne Antrobus
Ripoux contre ripoux (1990) de Claude Zidi avec Philippe Noiret, Thierry Lhermitte, Guy Marchand, Jean-Pierre Castaldi, Grace de Capitani, Line Renaud, Michel Aumont et Jean Benguigui
Coup de foudre et Conséquences (Fools Rush In) (1997) d'Andy Tennant avec Matthew Perry, Salma Hayek, Jon Tenney, Carlos Gómez, Tomás Milián, Siobhan Fallon et John Bennett Perry
Au-delà des grilles (Le mura di Malapaga) (1949) de René Clément avec Jean Gabin, Isa Miranda, Véra Talchi, Andrea Checchi, Robert Dalban et Ave Ninchi
Clemenceau, la force d'aimer (2023) de Lorraine Lévy avec Pierre Arditi, Emilie Caen, Elizabeth Bourgine, François Marthouret, Serge Riaboukine et Arthur Choisnet
L'Argent des autres (1978) de Christian de Chalonge avec Jean-Louis Trintignant, Catherine Deneuve, Laura et Michèle Kornbluh, Claude Brasseur, Michel Serrault, Gérard Séty et Jean Leuvrais
Mort sur la piste (2023) de Philippe Dajoux avec Jason Priestley, Eléonore Bernheim, Olivier Marchal, Roby Schinasi, Adèle Galloy et Olivia Courbis
Sylvia Scarlett (1935) de George Cukor avec Katharine Hepburn, Cary Grant, Brian Aherne, Edmund Gwenn, Nathalie Paley et Dennie Moore
La Cité sous la mer (City Beneath the Sea) (1953) de Budd Boetticher avec Robert Ryan, Mala Powers, Anthony Quinn, Suzan Ball, George Mathews, Karel Stepanek, Hilo Hattie et Lalo Rios
Second Tour (2023) de Albert Dupontel avec Cécile de France, Albert Dupontel, Nicolas Marié, Scali Delpeyrat, Jackie Berroyer, Christiane Millet, Philippe Uchan, Renaud Van Ruymbeke et Bouli Lanners
Seuls les anges ont des ailes (Only Angels Have Wings) (1939) de Howard Hawks avec Cary Grant, Jean Arthur, Richard Barthelmess, Rita Hayworth, Thomas Mitchell, Allyn Joslyn, Sig Ruman et Victor Kilian
Un pyjama pour deux (Lover Come Back) (1961) de Delbert Mann avec Rock Hudson, Doris Day, Tony Randall, Edie Adams, Jack Oakie, Jack Kruschen, Ann B. Davis : Millie et Joe Flynn
Le Couteau dans la plaie (1962) d'Anatole Litvak avec Sophia Loren, Anthony Perkins, Gig Young, Jean-Pierre Aumont, Régine, Yolande Turner, Tommy Norden, Mathilde Casadesus et Elina Labourdette
Garde à vue (1981) de Claude Miller avec Lino Ventura, Michel Serrault, Romy Schneider, Guy Marchand, Pierre Maguelon, Jean-Claude Penchenat et Elsa Lunghini
La Sanction (The Eiger Sanction) (1975) de Clint Eastwood avec Clint Eastwood, George Kennedy, Vonetta McGee, Jack Cassidy, Heidi Brühl, Thayer David, Reiner Schöne, Michael Grimm et Jean-Pierre Bernard
Deux Hommes dans la ville (1973) de José Giovanni avec Jean Gabin, Alain Delon, Michel Bouquet, Mimsy Farmer, Victor Lanoux, Ilaria Occhini, Guido Alberti, Cécile Vassort, Bernard Giraudeau et Christine Fabréga
JFK (1991) de Oliver Stone avec Kevin Costner, Tommy Lee Jones, Gary Oldman, Kevin Bacon, Laurie Metcalf, Jay O. Sanders, Michael Rooker, Sissy Spacek, Joe Pesci et Jack Lemmon
Le Juge et l'Assassin (1976) de Bertrand Tavernier avec Michel Galabru, Philippe Noiret, Isabelle Huppert, Jean-Claude Brialy, Renée Faure, Cécile Vassort, Yves Robert, Jean-Roger Caussimon et Jean Bretonnière
Le Fugitif (The Fugitive) (1993) d'Andrew Davis avec Harrison Ford, Tommy Lee Jones, Sela Ward, Julianne Moore, Joe Pantoliano, Andreas Katsulas, Jeroen Krabbé et L. Scott Caldwell
Un singe en hiver (1962) de Henri Verneuil avec Jean Gabin, Jean-Paul Belmondo, Suzanne Flon : Suzanne Quentin, Gabrielle Dorziat, Hella Petri, Marcelle Arnold, Charles Bouillaud et Anne-Marie Coffinet
Doctor Who (1996) de Geoffrey Sax avec Sylvester McCoy, Paul McGann, Eric Roberts, Daphne Ashbrook, Yee Jee Tso, John Novak et Michael David Simms
Séries
Doctor Who Saison 19, 20 Series 1, 3, 11, 5, 4
Castrovalva - Four to Doomsday - Kinda - The Visitation - Black Orchid - Rose - La fin du monde - Des morts inassouvis - Earthshock - Time-Flight - Destination: Skaro - Ark of Infinity - La Famille de sang - Smith, la Montre et le Docteur - The Day of the Doctor - Snakedance - The Star Beast - The Ghost Monument - Le Colocataire - La Chute de Pompéi
Top Gear Saison 20
A l'abordage ! - Ils ont roulé sur l'eau - Mission Camping-Car
Brokenwood Saison 8, 5, 4, 3
Quatre incendies et un enterrement - Dix petits héritiers - Tu ne tueras point - Un Noël rouge
Affaires sensibles
Les étonnantes enquêtes du bureau des ovnis - 1975, l'année de la femme - Caravelle Ajaccio-Nice : un crash secret Défense ?
Coffre à Catch
#140 : "Elles répondaient au nom de Bella" (avec Max MK) - #141 : Qui sera le futur Mr Money in the Bank? - #142 : Y'a R les amis!! Y'a R ! - #143 : Tiffany prend les rennes et Finlay prend la Trique !
Happy Days Saison 4
De l'huile sur le feu - Remise des prix : première partie - Remise des prix : deuxième partie - Le Jour J est arrivé - Les Mauvais Garçons - Howard inventeur - Le Chien de Fonzie - Ralphy a de sacrés ennuis - Le Baptême de Fonzie
Downton Abbey Saison 4
La Succession - Lettre posthume - Faste et Renaissance - Le Prétendant - Rien n'est terminé - Une vraie surprise - Dernières Festivités
Professeur T Saison 1
Anatomie d'un souvenir - Un poisson nommé Walter - Règles d'or - L'amour d'une mère - Sophie sait tout - Le fils dévoué
The Crown Saison 6
Persona Non Grata - Deux photographies - Dis-Moi Oui - Onde de choc
Spectacles
Prom 10 : Doctor Who at the Proms (2010) avec Karen Gillan, Arthur Darvill et Matt Smith
Taratata 30 (2023)
La symphonie des jeux vidéos aux Chorégies d'Orange (2021)
Doctor Who at the Proms (2013) avec Neve McIntosh, Dan Starkey, Matt Smith, Jenna Coleman, Carole Ann Ford, Peter Davison, Nicholas Briggs, Ben Foster et Murray Gold
Le vison voyageur (2023) de John Chapman et Ray Cooney avec Michel Fau, Sébastien Castro, Armelle, Nicole Calfan, Anne-Sophie Germanaz, Alexis Driollet, Delphine Beaulieu et Arnaud Pfeiffer
Doctor Who: A Celebration (2006) avec David Tennant, Murray Gold et Russell T Davies
Drôle De Genre (2023) de Jade-Rose Parker avec Victoria Abril, Lionnel Astier, Axel Huet et Jade-Rose Parker
Prom 13: Doctor Who Prom (2008) avec Freema Agyeman, Noel Clarke, Camille Coduri et Catherine Tate
Livres
Doctor Who le dixième docteur, Tome 1 : Les révolutions de la terreur de Elena Casagrande, Nick Abadzis et Arianna Florean
Les contes du vortex de Pepperpot x Friends (Pauline Cadart Serizel, Marie Valerio, Rémi Germain, Robin Brou, Manon Segur, Julien Cadart Serizel, Flavia Valerio et Gökan Martin)
Le docteur Who entre en scène de Terrance Dicks
Doctor Who le dixième docteur, Tome 3 : Les fontaines de l'éternité de Elena Casagrande et Nick Abadzis
Les Daleks de David Whitaker
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"Molière" biopic d'Ariane Mnouchkine (1978) sur la vie du dramaturge et comédien Jean-Baptiste Poquelin dit Molière (1622-1673), avec Philippe Caubère, Brigitte Catillon, Joséphine Derenne, Mario Gonzáles, Daniel Mesguich, Jean-Claude Penchenat, Jean Dasté, Armand Delcampe et Marie-Françoise Audollent, avril 2022. Petite anecdote perso : intriguée depuis l'enfance par ce film car le bébé de nos voisins de l'époque - intermittants du spectacle - y faisait une apparition ^^)
#films#FilmsArtistes#Biopic#spirit#hommage#Moliere#Bejart#LouisXIV#Lully#Descartes#Conti#Mnouchkine#Caubere#Derenne#Gonzales#Mesguich#Penchenat#Daste#Delcampe#Audollent#catillo
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[JEU] 🎭 Jean Alibert a été formé, de 1979 à 1981, au Conservatoire d'art dramatique de Lyon à l'issue duquel il obtient trois premiers prix en comédie moderne, classique et diction. Il suit également une formation au Centre américain avec Blanche Salant puis une formation de commedia dell’arte qui l’amènera à travailler en Italie avec Carlo Boso, Eugenio Allegri et Dario Fo.
Il joue Macbeth de Shakespeare, L'opéra de quat'sous de Brecht, Scaramouche de Biancolelli-Boso, L'assedio di Torino en tournées à travers l'Europe et l'Amérique du Sud. A Lyon, au Théâtre de l’Atelier, il joue Fassbinder et Jean-Pierre Sarrazac sous la direction de Gilles Chavassieux puis Dostoïevski, Le Slave, avec Bruno Boeglin, L'orchestre d’Anouilh, Medea de Vauthier (mise en scène Patrice Kalhoven), Collision de Pierre Mertens (mise en scène Michel Pruner). Il participe pendant plusieurs années à l’aventure du Théâtre du Campagnol sous la direction de Jean-Claude Penchenat et joue dans les spectacles Une des dernières soirées de carnaval de Goldoni au Théâtre du Rond-point, à Venise, Le voyage à Rome, Le Joueur de Goldoni au CDN de Corbeil, en Italie et en Sicile. Puis À force de mots de Jacques Audiberti, Amédée et les messieurs en rang de Jules Romain.
Il joue Tchekhov : La cerisaie (mise en scène Margarita Mladenova) et Ivan Dobtcheff au théâtre Sfumato de Sofia, où il joue aussi Les trois soeurs (mise en scène Maria Zachentska). Il joue Richard II de Shakespeare (mise en scène Paul Desveaux), et, au Panta-Théâtre, Richard III de Shakespeare, (mise en scène Guy Delamotte). Puis c'est la rencontre avec Wajdi Mouawad en France et au Québec et les créations de Littoral, Forêts et la trilogie Le sang des promesses dans la cour d'honneur du Palais des Papes au festival d'Avignon, et au Centre National des Arts d'Ottawa. Il collabore avec Jacques Descordes et crée les Paysages de Cartier-Bresson de Josep Peyre-Peyro et Combat de Gilles Granouillet. Au bois lacté de Dylan Thomas au Théâtre du Nord (mise en scène Stuart Seide), Henry VI de Shakespeare, Piccola Familial (mise en scène Thomas Jolly). Au Canada, Centre National des arts d’Ottawa, il joue L'homme atlantique et La maladie de la mort de Marguerite Duras (mise en scène Christian Lapointe), Le prince de Hambourg de Kleist, dans la cour d'honneur du Palais des Papes d’Avignon (mise en scène Giorgio Barberio Corsetti), tournée France-Belgique. Oedipe-roi et Ajax (mise en scène Wajdi Mouawad) à Mons, en Belgique, puis en France et en Suisse. Richard II de Shakespeare (mise en scène Guillaume Severac-Schmidts), et Les Parisiens, sous la direction d’Olivier Py au Festival d’Avignon, puis en tournée. Au Théâtre de la Reine Blanche, il joue dans Présents parallèles de Jacques Attali, sous la direction de Christophe Barbier, et dans La danse de mort d’August Strindberg sous la direction de Stuart Seide.
📅 Galilée, Le Mécano du 11 septembre au 03 novembre à 20h45 & le dimanche à 16h00
🎫 Réservations sur www.reineblanche.com/calendrier/theatre/galilee-le-mecano-2019
© Pascal Gély
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Em Lisboa, no incomodo do trânsito, depois da lisura da pista do "ginásio superlativo" onde trabalhei a carcassa dia após dia , para assistir amanhã na Culturgest a " El Baile " o espetáculo de dança da autoria de Mathilde Monnier e Alan Pauls, que surge 36 anos depois do Lê Bal de Jean-Claude Penchenat’s
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In cartellone al Michelangelo “Le Bal” di Giancarlo Fares per la regia di Jean-Claude Penchenat Musica e danza scandiscono i decenni per un viaggio dal 1940 http://ift.tt/2jL7tGB
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EL BAILE
Du 22 au 25 novembre au Théâtre National de la Danse Chaillot
Il y eut d’abord un spectacle fédérateur, Le Bal, imaginé par Jean-Claude Penchenat avec la compagnie du Théâtre du Campagnol en 1981 et retraçant une histoire populaire de la France depuis la Libération. Aujourd’hui ce Bal se réinvente en El Baile dans le Buenos Aires allant de 1978 à nos jours. Et surtout, El Baile devient un autre projet, riche des histoires personnelles des danseurs pour notamment « explorer les mythologies argentines, ce qui reste des générations perdues, des révolutions dansées ». Un pays fait de tango et de foot, de rock et de contestation. « Tirer de l’histoire tout ce qu’elle peut encore nous offrir », selon Mathilde Monnier qui retrouve la scène avec, comme compagnon de route, l’écrivain Alan Pauls. Ils ont imaginé une pièce sans parole portée par une douzaine d’interprètes argentins, un bal où il s’agit de « capter l’énergie ou la non-énergie de chaque époque ». Un imaginaire collectif gorgé de musique et de danse pour dire le temps qui passe.
Pour plus d’informations, cliquez ici.
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MILONGA CONTEMPORAINE
Stéphanie Pichon / ©NicolasRoux
À Sainte-Croix, en plein air, Mathilde Monnier rejoue le Bal d’Ettore Scola et du théâtre du Campagnol, en version porteña. Douze danseurs y dansent l’histoire (sans parole) de l’Argentine.
Décidément, la LGV a bon dos pour créer du déplacement bien au-delà de la gare Montparnasse ! Pour l’ouverture de la saison artistique Paysages, El Baile emmène les Bordelais jusqu’à Buenos Aires, plantant une immense milonga dans les pelouses du square Dom Bedos. La nouvelle pièce de la chorégraphe Mathilde Monnier et de l’écrivain Alan Pauls puise dans l’histoire et la musique argentine sa substance. Mais elle s’ancre surtout dans un mythe artistique, celui du Bal d’Ettore Scola, film inspiré lui-même de la pièce de Jean-Claude Penchenat et du théâtre du Campagnol.
Créé en janvier 1980, Le Bal réunissait une troupe de comédiens sans texte, remontant le fil d’une épopée populaire à travers les récits de vie des habitants d’une petite ville de banlieue parisienne, de la Libération aux années 1980. Indéniablement le Tanztheater influence la troupe de l’époque pour construire cette épopée sans parole, pariant sur la puissance des corps pour dire la grande et les petites histoires, le bal et les flonflons servant de fil rouge et de décor à cette grande fresque.
La pièce, devenue un mythe, a traversé l’Europe pendant des années. De ce succès scénique, presque universel, Scola a fait un film trois fois primé aux César, mais dont les atours un peu lourdauds ont du mal à résister au temps. Trente-cinq ans plus tard, Mathilde Monnier, qu’on avait peu vu créer depuis qu’elle a pris la direction du Centre national de la Danse, a reçu commande de recréer ce Baile, cette fois en Argentine, à Buenos Aires, dans une ville où la danse est partout, et les bals – ces milongas langoureuses, festives, nocturnes, populaires – signifient encore quelque chose, au-delà même du folklore à touristes.
Installé deux soirs au croisement de lieux culturels bordelais – entre Conservatoire, TnBA et Beaux-Arts –, El Baile est un gros morceau à 12 danseurs, format pas si courant par ces temps d’amaigrissement contraint des effectifs sur scène. À dessein, dans cette version contemporaine, la chorégraphe a fait commencer l’histoire deux ans après la fin de la dictature, en 1978. « J’ai choisi d’engager de jeunes danseurs car cette génération est frappée d’une sorte d’amnésie et cherche à échapper au poids de l’Histoire. »
Sa reprise souhaite aller au-delà du simple récit historique et souligner « l’expression de ce que l’Histoire fait (faire) aux corps ». Soit capter l’énergie ou la non-énergie de chaque époque : « corps fatigués, corps qui résistent, corps commun, corps éclaté, sur-énergisé, bodybuildé, corps sportif travaillé, corps abîmé, corps enfant, corps vieilli, corps appareillé, corps cassé, corps transformé ».
En chaussures à talon ou en baskets, la troupe nourrit de ses propres expériences ce bal qui ne saurait se contenter du seul tango pour dire l’épopée sociale et politique de l’Argentine. La samba, la techno, la cumbia, le chamamé, le rock, le malambo résonneront aussi dans ce carrefour artistique bordelais. Avant que l’été marque le retour des rockeurs de Relâche, prêts à labourer comme il se doit les pelouses du square Dom Bedos.
El Baile, Mathilde Monnier et Alan Pauls, du jeudi 29 au vendredi 30 juin, Square Dom Bedos. www.paysagesbordeaux2017.fr
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100 Jahre deutscher Geschichte - getanzt
Im Stadttheater feierte das stumme Schauspiel „Das Ballhaus“ seine umjubelte Krefelder Premiere.
Dieses Ballhaus ist auch mal eine Kneipe, ein Lazarett und eine Techno-Disco, aber dann ist es wieder ein Ballhaus. „Das Ballhaus“ im Theater Krefeld Mönchengladbach ist ein Schauspiel ohne Worte, ein Bilderreigen deutscher Geschichte von etwa 1920 bis in unsere Tage, vom kompletten Schauspielensemble plus Gästen überwiegend großartig getanzt und gespielt. Das Publikum blickte bei der Krefelder Premiere teils so gebannt auf die Bühne, dass man die berühmte Stecknadel hätte fallen hören können, dann wurde wieder gelacht und geschmunzelt.
„Das Ballhaus“ geht zurück auf das französische Stück „Le Bal“, das nach einer Idee von Jean-Claude Penchenat vom Théâtre Campagnol 1981 uraufgeführt wurde. Ettore Scola hat „Le Bal“ 1983 erfolgreich verfilmt. In Krefeld sieht man die deutsche Fassung von Steffen Mensching, er hat für die Inszenierung einen neuen Schluss hinzugefügt.
Foto: Matthias Stutte.
Über 20 Akteure tummeln sich auf der Bühne, inklusive einer dreiköpfigen Liveband unter der Leitung von Jochen Kilian. Johanna Maria Burkhart hat als Bühnenbild einen großzügigen Saal gebaut, mit vielstufiger Treppe, hohen Flügeltüren und gut bestückter Bar. Stilsicher hat Yvonne Forster die Moden des Jahrhunderts in zahlreichen Kostümen umgesetzt. Alle Akteure bis auf Paul Steinbach, der immer den Wirt gibt, spielen verschiedene Rollen, da wird es hinter der Bühne beim Kleiderwechsel hektisch zugegangen sein.
Am Anfang werden Charleston und Foxtrott übers Parkett geschoben, dann begehrt die Jugend mit Rock’n’Roll gegen bürgerliche Spießigkeit auf. Kurz vor Schluss treibt Techno-Gewummer die Akteure in die Vereinzelung. Seht gut einstudiert hat alle Tänze Choreograph Ralph Frey. Der Regie von Frank Matthus gelingt es, sowohl den großen Bogen durch die Jahrzehnte zu spannen als auch individuelle Geschichten zu erzählen.
Foto: Matthias Stutte.
Diese Geschichten handeln von Liebe und Verrat, Gewalt und Begehren, Scheitern und Triumph. Von den wilden 1920er Jahren landet man schnell in der Zeit des Nationalsozialismus, wo vor SA- und SS-Uniformen gekuscht wird. Fliegeralarm geht dem Ende großdeutschen Weltbeherrschungswahns voraus, dann stürmen amerikanische und russische Soldaten den Ballsaal.
Nicht nur Musik und Kostüme, auch O-Töne und Wochenschaufilme markieren die Jahrzehnte. Am Anfang sieht und hört man Reichspräsident Paul von Hindenburg, dann Adolf Hitler, später markiert das berühmte „Tor, Tor, Tor“-Geschrei zum deutschen WM-Gewinn von 1954 das wieder erstarkte Selbstbewusstsein.
Es wird in Hippiekostümen gegen den „Muff unter den Talaren“ rebelliert, der Terrorismus der 1970er Jahre wird ebenso ins Bild gerückt wie der Wiedervereinigungstaumel von 1989. Da drängt eine Schar von „Ossis“ ins Ballhaus, alle tragen in der Hand ein Deutschland-Fähnchen, in dem kreisrund das DDR-Wappen ausgeschnitten ist. Die neue Identität hat gewissermaßen noch ein Loch, das ist nur eines von vielen stimmigen Details.
Foto: Matthias Stutte.
Offen bleibt der Schluss – mit ganz aktueller Akzentuierung. Nachdem das Ensemble sich zu Techno-Gewummer verausgabt hat, gefriert es zu melancholischen Tangoklängen fast zu einem Gruppenstandbild. Und vom Band kommt drei Mal der Satz von Kanzlerin Angela Merkel, der das deutsche Gemüt derzeit so sehr spaltet: „Wir schaffen das.“
Das Ensemble, aus dem man keinen hervorheben möchte, und das Regieteam konnten sich am Ende zu Recht über Jubel und Applaus des Premierenpublikums freuen.
Foto: Matthias Stutte.
Info
Dauer: Zwei Stunden, 30 Minuten, eine Pause. Termine: 16., 31. März, 15., 22. April, 11., 22. Mai und weitere. Kartenvorbestellung unter 805125.
www.theater-kr-mg.de
#Theater Krefeld Mönchengladbach#Das Ballhaus#Le bal#steffen mensching#jean-claude penchenat#Krefeld#Frank Matthus
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€ 9,89 - Ballando Ballando
€ 9,89 (SCONTO DEL 23%!)
Jean-Claude Penchenat DVD B000EIUC0Q
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