Tumgik
#je sais que mon corps est capable de faire un bébé en pleine santé
90sb-tch · 10 days
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Dans 15jours et 1h, on sera dans la salle d'attente pour l'écho du premier trimestre.
Que c'est long d'attendre !
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Le vélo et la grossesse
Le but de cet article est de livrer mon expérience du vélo pendant ma grossesse. Je ne suis ni coach, ni gynéco, ni sage femme, donc en aucun cas je peux dire que j’ai fait les bons choix, et je ne suis pas en mesure de conseiller qui que ce soit. Mon but est juste de montrer via mon vécu, que faire du vélo en étant enceinte c’est possible.
A l’heure où j’écris ces lignes mon petit pépère de 1 mois et moi-même allons très bien et j’ai repris le sport (ça fera l’objet d’un prochain article d’ailleurs).
De 0 à 3 mois de grossesse :
On peut dire qu’il y a eu 3 phases dans ma grossesse, en ce qui concerne le sport. La 1ère correspond au 1er trimestre. Pendant ces trois mois, je n’ai pas changé grand chose à ma pratique correspondant à la période (hivernale), c’est à dire 2 sorties courtes de course à pied, une sortie longue (toujours à pied) et une sortie de vélo sur route le weekend. A partir du moment où j’ai appris la nouvelle, j’ai stoppé les intensités en course à pied (type fractionné), et fait ma sortie longue en alternant marche et course, selon mon ressenti. A vélo, j’ai continué la sortie hebdomadaire : environ 60km en groupe, le dimanche. Avant j’étais devant, ensuite je m’accrochais derrière :)
Les sensations étaient en effet moins bonnes par rapport à l’avant grossesse, je me sentais régulièrement en manque de forces musculaires. Par contre, plus question de monter sur le VTT, même pour une sortie tranquille. J’avais peur (à tort peut être - ou pas) que le bébé se “décroche” avec les secousses, et peur de la chute. Et le meilleur moyen de tomber étant justement de redouter la gamelle, j’ai remisé pour un temps ce vélo.
Côté “gynéco” : au 1er trimestre comme durant la globalité de la grossesse, je n’ai pas eu beaucoup de symptômes. A “déplorer” quand même : 6kg de plus sur la balance au début du 4ème mois… Bah oui, l’appétit était bon :)
Côté “regard des autres” : j’ai annoncé ma grossesse à 3 mois, donc avant ça personne n’était au courant donc pas de jugement !
De 4 mois de grossesse au congé de maternité :
Au cours du 4ème mois mon bidon a commencé à pousser, j’étais de plus en plus gênée par ma position sur le vélo de route. Je lui ai donc dis “bye bye” pour un temps, et j’ai repris le VTT mais en allant exclusivement sur le bitume au départ (VTT acier avec pneus bien cramponnés : on est d’accord, la recherche de performance n’était plus à l’ordre du jour !). A partir du 6ème mois j’ai eu un déclic et j’ai recommencé à faire du VTT en sous bois, dans des chemins que je savais (très très) faciles techniquement. Sauf qu’au 7è mois, avec ma prise de poids, ma selle ne tenait plus à niveau (bref, passons…) donc retour sur le bitume.
Côté course à pied j’ai peu à peu réduit les temps de course et allongé les temps de marche, par manque de souffle et de force. Un jour j’ai passé l’après midi avec un gros mal au ligaments du bas ventre, j’ai donc décidé d’arrêter vraiment de courir. A partir de ce moment là (courant 4ème mois) les sorties running ont donc été remplacées par des sorties de marche rapide, avec bâtons.
Côté “gynéco : RAS, pas de désagréments de grossesse, de l’énergie, un peu de poids pris encore (+10kg à 7 mois), et surtout un bébé qui se développe correctement.
Côté “regard des autres” : il n’est pas évident de faire du sport avec un bidon de femme enceinte. Les personnes qui ne pratiquent pas de sport, ou très modérément, ou simplement les femmes qui ne comprennent pas que ça soit faisable (en tout cas qui elles, durant leur grossesse, ne l’aurait pas fait) ne sont parfois pas avares de commentaires : “et tu arrives encore à faire du vélo ?”, “tu n’as pas peur de tomber ?”, “tu n’es pas fatiguée ?”
Certain(e)s ont peut être pensé que j’ai fait du mal à mon bébé, ou à moi-même. Si j’avais eu la moindre contre indication médicale, j’aurai bien sûr arrêté. A contre coeur c’est sûr, mais durant cette période l’important n’était pas mes statistiques sportives ! Et, oui, il m’arrivait d’être fatiguée, mais le bien être (physique et mental) que m’apportaient ces petites sorties me faisait au contraire du bien.
En congé mat’ jusqu’au départ à la clinique :
Une sportive en pleine forme, en congé (maternité) un 22 juin avec un été radieux, ça donne beaucoup de séances de sport, enceinte ou pas  !
Alors que jusque là je réalisais 3-4 séances de sport par semaine, en congé maternité je me suis dépensé presque tous les jours (1 journée de “repos” en général). Ainsi j’ai perdu 1kg ! (C’est moi qui l’ai perdu, pas le bébé, de ce côté là tout se déroulait bien).
Les sorties de vélo se sont avérées de plus en plus lentes, et ponctuées de pauses car le bébé me donnait pas mal de points de compression (des points de côté si on veut). Un mois avant le terme j’ai décidé d’arrêter, car à ce moment j’ai en effet eu la sensation que le petit pépère n’était pas très à l’aise quand je pédalais.
J’ai donc remplacé les sorties vélo par des séances de renforcement musculaire au poids du corps, à la maison. Bien sûr, pas d’abdominaux ni de gainage, mais un travail au niveau des jambes, du dos, des bras. Ma technique : je teste un mouvement : j’ai mal ou ça “ballote” bébé, j’arrête; si tout va bien, je continue.
J’ai en parallèle profité de la piscine plein air de ma commune pour faire de la natation. C’est à dire pas du barbotage ni de la bronzette, mais des longueurs sans m’arrêter ou presque, en alternant brasse et dos (car le crawl, je ne sais pas faire), pendant 1h. Je n’avais aucune référence en natation, je n’en ai pas plus car je ne comptais pas les allers retours, mais le but était de me bouger, tout simplement.
Enfin, j’ai poursuivi mes marches sportives, toujours avec bâtons, et vraiment jusqu’au bout de la grossesse puisque j’ai perdu les eaux pendant une sortie, 10 jours avant terme.
Voilà comment se sont déroulé ces 9 mois, je n’aurai bien sûr pas pu faire tout ça sans une bonne santé de moi-même et de mon bébé.
Quelques astuces / conseils :
Ecoutez-vous ! C’est le conseil le plus important à mon avis. Vous seule savez ce dont vous êtes capable, à partir de votre niveau sportif d’avant grossesse et de vos sensations du moment. Ne forcez pas, ne vous forcez pas sous prétexte de garder un poids correct ou de donner une image de sportive, mais ne vous bridez pas non plus ! Testez (une activité), évaluez (vos sensations pendant et après), décidez (de poursuivre, d’adapter ou d’arrêter).
Informez les personnes qui vous suivent (médecin, gynéco, sage femme) de votre pratique sportive avant la grossesse, et dites-leur si vous continuez. S’il y a des contre indications ils vous le diront (et donc bien sûr, écoutez-les, même si vous vous sentez d’attaque).
N’écoutez pas (trop) votre entourage. Chacun est différent, chaque grossesse est unique, alors laissez parler les personnes qui pensent savoir ce qui est bon pour vous et faites comme vous le sentez. Les personnes qui vous connaissent vraiment sauront que pour être bien dans votre corps de femme enceinte, vous devez rester active, ou au contraire faire une pause.
Concernant le vélo à proprement parler :
Adaptez votre position au stade de votre grossesse. J’ai assez vite abandonné le vélo de route car j’étais trop pliée pour être à l’aise au niveau du ventre. Ensuite, sur le VTT j’ai inversé le sens de ma potence, de sorte que je me suis encore redressé un peu. Evitez quand même de toucher à la selle (hauteur et recul), vous risquez des douleurs autres suite à ces changements (dos, genoux, trapèzes).
Evitez au maximum de prendre des risques. On est d’accord, sur le canapé on risque moins la chute, mais si vous prenez la décision d’aller pédaler, préférez les petites routes peu fréquentées, ne prenez pas les virages à grande vitesse… Ma sage femme m’a mise en garde contre le risque de chutes dû au déplacement du centre de gravité : à aucun moment je ne me suis sentie déséquilibrée. Le bidon ne pousse pas du jour au lendemain, la progressivité fait que le corps tout entier s’adapte.
Comme beaucoup de femmes enceintes, j’ai souffert de rétention d’eau dans les pieds, donc j’ai enlevé les semelles de mes chaussures automatiques. Ce qui fonctionnait le mieux pour éliminer cette eau : la marche rapide. C’est radical ! Par contre prévoyez des itinéraires ou vous pouvez vous arrêter (très) souvent uriner.
Question textile, vous allez vite être à l’étroit dans vos maillots cyclistes, utilisez plutôt des tenues de course à pied, respirantes et plus amples. Pour le cuissard, j’ai rapidement utilisé un vrai modèle femme, sans bretelles.
Donc mesdames, si vous le sentez, osez pédaler en attendant bébé !
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dusudaunord · 6 years
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Voyager seul avec son bébé aux Maldives. Tous les conseils pratiques d’un papa solo !
Voyager aux Maldives, en mode “papa solo” avec son bébé de 13 mois, c’est tout à fait possible, plutôt confortable et assez inattendu dans le regard de l’Autre ! Une jolie aventure réalisée avec Louise, ma fille bouillonnante, impatiente et curieuse de tout !
Je vous dis tout sur ce premier voyage à deux, au cœur de l’Océan Indien, d’une petite dizaine de jours sur l’Atoll Ari — de la préparation du voyage, en passant par les indispensables à prévoir pour bébé jusqu’à la découverte des Maldives avec Loulou.
Nous partageons ici de beaux instants de voyage, une inspiration esthétique qui, je l’espère, vous plaira. Notre quête de douceur à trouver dans ce coin du monde, des atmosphères séduisantes et très apaisantes. Bonne lecture !
  Notre expérience “A Father-Daughter Journey” aux Maldives en 5 parties :
1. Inspiration Photographique 2. Premier voyage avec bébé : premières impressions 3. Comment préparer un voyage solo avec bébé 4. Quel nécessaire de bébé pour 9 jours de voyage ? 5. Les Maldives : mini-guide de voyage
1. INSPIRATION PHOTOGRAPHIQUE
Une fois passées la timidité et la peur de “moins bien faire qu’avant”, il ne reste plus qu’à partir et retrouver ce doux sentiment d’être perdus au fin fond d’un pays inconnu. Avoir ma fille accrochée aux bras, scrutant sans cesse autour d’elle ces espaces turquoises et un brin irréels. La sentir s’agiter devant autant d’inconnu. Voilà de quoi inspirer l’homme, le père, le photographe.
    NOTE DE VOYAGE — Les espaces offrent des compositions inattendues. Il faut s’allonger ici ou simplement s’asseoir par là. Des perspectives étonnantes où cet hydravion va devenir un “compagnon” sur toute la durée de notre séjour aux Maldives. Le bruit de ses décollages et amerrissages rythment les journées.
  NOTE DE VOYAGE — Voyager avec Louise a été plutôt «simple», même sur ces longues distances — cela me confirme que les enfants, même les très jeunes, ont cette capacité ou cette intelligence à s’adapter aux situations les plus atypiques (avions, aéroports surtout), et un poil stressantes pour moi. Au final l’inquiétude m’a quitté assez rapidement en voyant Louise très à l’aise.
  NOTE DE VOYAGE — En toute fin de journée, il n’est pas rare de trouver quelques recoins agréables pour apprécier cette lumière tropicale s’adoucir lentement. Voir le crépuscule prendre ses aises, et donner à la végétation de belles touches dorées.
          NOTE DE VOYAGE — Les premiers moments sont exclusivement dédiés au ressenti du corps dans l’air doux et l’eau chaude de la fin de journée. Le corps et l’esprit lâchent presque instantanément la pression du voyage, les milliers de kilomètres, les longs-courriers, l’hydravion, le bruit des moteurs,…
  2. PREMIER VOYAGE SOLO AVEC BÉBÉ : PREMIÈRES IMPRESSIONS
Dans mon esprit, les Maldives représentaient une de ces destinations où l’on trouve “une douceur apaisante, inspirante — un exotisme beau et bienfaisant”. C’est ce que nous y avons trouvé ! Beaucoup de gentillesse aussi envers Louise et moi, de la part de toutes les personnes rencontrées !
Et bien sûr de très belles images, une esthétique différente de celle que j’ai travaillé avec Julie durant de nombreuses années. Ce sont ces quelques impressions qui m’ont décidé à choisir ce coin du monde pour un premier voyage avec Louise.
        LES BONHEURS DE CE VOYAGE
• Le premier de tous — est évidemment de voir Louise ouvrir ses grands yeux bleus sur le monde qui l’entoure. Elle exprime à travers ses cris tout son enthousiasme et son excitation. J’ai gardé dans mon esprit, durant ce voyage, le visage rayonnant de Julie, que j’imagine heureuse et fière de voir sa fille découvrir l’Ailleurs.
• La gentillesse, la courtoisie, l’accueil des personnes rencontrées dans toutes les situations (avions, aéroports, hôtel,…). Cette idée de voyager seul, en tant qu’homme, avec son enfant, semble fasciner voire séduire énormément. Il y a un mélange de curiosité, une pointe d’admiration et beaucoup de sympathie qui se dégagent d’un “couple” papa-bébé.
• L’entraide des personnes autour de moi — tenir simplement une porte, plier la poussette, porter un sac,… Sans rien demander, une très grande majorité de personnes se proposent spontanément de vous aider. Peu importe la situation : garder le sourire, rester poli et chaleureux, jouer avec l’enfant, faire quelques jeux d’humour,… Tout cela aura été bon à (re)vivre.
• La douceur des Maldives. La beauté, l’esthétique et le minimalisme des paysages nous ont donné beaucoup de plaisir durant ces quelques jours.
• L’émotion de reprendre la photographie, de retoucher le M9. De sentir du bout des doigts le métal de cet objet fétiche, ses bruits, son poids, son volume. Se remettre à composer, partager. Tout cela m’a beaucoup manqué.
• Voir Louise effleurer le Leica, c’est aussi la sensibilité de Julie que l’on associe à cette petite odyssée. Ça fait très drôle, je vous le garantis, de voir ma fille tenir à pleine main l’appareil photo que sa maman à portée durant de nombreuses années…
        LES DIFFICULTÉS DE CE VOYAGE
Elles ont été plutôt “soft”, de l’ordre du pratique et concernent essentiellement le déplacement dans…  LES AÉROPORTS !
• La principale difficulté a été à l’aéroport de Roissy Charles-de-Gaulle. De la sortie du taxi au check-in, aucun service d’aide pour une personne solo avec bébé + bagages (hors femmes enceintes ou personnes à mobilité réduite). Peu de compagnies aériennes, même Paris Aéroport, proposent ces services (payants ou gratuits). Dommage !
Ce que j’aurai dû faire — utiliser un service de conciergerie, capable de venir chercher les valises à la maison et de me les faire livrer au check-in de la compagnie aérienne. Toutefois, ce sont des services plutôt chers (selon la distance de l’aéroport, le poids et le nombre de bagages) et quelquefois contraignants (tout doit être prêt à J-3 avant le départ, par exemple !).
Je sais qu’Air France propose de très bonnes choses tout comme British Airways ou Lufthansa. C’est une vraie plus-value de service pour un papa solo ! Certaines agences de voyage proposent aussi ce service en option ou par défaut, selon la destination et le profil du voyageur. C’est une bonne aide à garder sous le coude !
  — Autre difficulté d’aéroport : LA POUSSETTE jusqu’aux entrées des avions.
• Toujours à Roissy Charles-de-Gaulle : on m’avait assuré qu’on pouvait la garder jusqu’au dernier moment avant l’embarquement (“même sur la passerelle”). Evidemment, non ! La poussette est récupérée au boarding (selon les compagnies aériennes ? Je n’ai pas la réponse !). Il faut prendre le bébé dans les bras, en plus des sacs, des billets et passeports accessibles… etc Agaçant !
• A Doha (Hamad International Airport). On m’avait là aussi rassuré : “demandez au boarding à avoir une poussette, mise à disposition par l’aéroport, à votre sortie de l’avion, pour rejoindre votre correspondance”. Bla bla bla… Un doux rêve !
Au final, rien de méchant mais des petites montées d’agacement facilement évitables par un peu plus de services et de compréhension de la part des compagnies aériennes et des aéroports.
Pourquoi ne pas prendre un porte-bébé ? Pourquoi privilégier la poussette ? Louise a une corpulence plutôt haute — concrètement elle est lourde et grande. Après quelques essais à la maison, j’ai choisi définitivement la poussette. Certes plus encombrante mais à mon sens, indispensable sur ce type de voyage !
Quelle poussette utiliser en voyage ? J’ai remisé ma Yoyo+, très adaptée à Paris par sa maniabilité mais trop lourde pour ce voyage (plus de 6kg) et trop volumineuse (quoiqu’acceptée en cabine — sur toutes les compagnies ?). J’ai acheté une poussette canne de base (moins de 50€). Je pensais qu’elle serait mal traitée ou détériorée lors des transferts (Ce qui n’a pas été le cas d’ailleurs). Je ne regrette absolument pas mon choix !
            3. COMMENT PRÉPARER UN VOYAGE SOLO AVEC BÉBÉ ?
Tout cela m’a pris du temps, d’une part pour lister les situations dans lesquelles j’allais me retrouver. D’autre part les besoins qui en découleraient (Paragraphe 4). Une fois tout cela posé sur le papier, je me suis senti “rassuré” de voir qu’il y avait beaucoup à prendre mais que cela restait très réaliste à emporter — surtout en étant seul avec un bébé.
  LES INDISPENSABLES, A LANCER DÈS J-45
• Nos deux passeports évidemment : à vérifier qu’ils sont valables 6 mois APRÈS la fin du séjour. J’avais pris soin de refaire à neuf le mien (86€). Louise quant à elle a reçu son premier passeport (17€). Mention particulière pour l’administration française : impressionné par la rapidité de production malgré la période (10 jours) !
• Un contrat d’assurance : le paiement d’un voyage avec une carte Visa ou Mastercard permet d’éditer un contrat. S’il y a un rapatriement par exemple, cela fait gagner du temps dans la prise en charge. Pas mal d’assurances intéressantes (pertes bagages, annulation de vols,…) sont souvent associées à ces cartes.
• Le carnet de santé et la vaccination (de l’enfant) à mettre à jour si besoin. Sur avis médical du pédiatre, aucun vaccin additionnel n’a été réalisé pour Louise, à destination des Maldives (pour un court séjour, dans un contexte “hôtel-chic”). Toutefois, si vous décidez d’explorer des zones plus reculées, certains vaccins sont recommandés, pour les adultes et les enfants. Pour rappel, il n’y a pas de paludisme aux Maldives !
Les îles-hôtels des Maldives sont très sûres, il n’y pas de vol ou de délinquance toutefois égarer son passeport peut arriver assez simplement. Pensez à stocker dès la préparation du voyage, au fond de la valise, les photocopies des papiers d’identité.
      NOTE DE VOYAGE — Evidemment, il faut marcher sur ces grandes plages blanches durant quelques heures; se vider la tête, respirer à plein poumon. L’air chaud du lagon souffle sans pause, ni ruade. Ce sont des moments précieux où l’on retrouve une certaine sérénité. J’aime ce sentiment de grande liberté à cet instant. Pas de contrainte, pas de stress, pas d’obligation ; seul avec ma fille lovée à mon bras gauche, toute calme, apaisée, sereine. J’imagine que ce sont ces moments qui nous lient encore un peu plus l’un à l’autre.
    LES POINTS D’AVANT-VOYAGE À LANCER ENTRE J-30 ET J-7
• Un dernier rdv chez le pédiatre quelques jours avant de partir. Etre sûr par exemple que les tympans de l’enfant sont ok pour l’avion ! Derniers échanges avec le médecin sur la nécessité d’hydrater bébé en continue, la protection du soleil, les bons usages de la baignade,… Certes beaucoup de bon sens là-dedans mais toujours salutaire de se le (faire) rappeler.
  POUR L’AVION : • Réserver des vols longs-courriers, de nuit, a été une bonne idée, cela a permis à Louise de trouver ses marques rapidement et de s’endormir très facilement. Les tympans des bébés sont fragiles, il est recommandé de favoriser la succion au décollage et à l’atterrissage. La sucette de base a été parfaite.
• Etre sûr d’avoir des places de long-courrier l’une à côté de l’autre (si si les erreurs arrivent, croyez-moi), papa à côté de bébé donc — et si possible avec un accès direct dans le couloir.
• Réserver un siège pour son bébé sur l’ensemble des vols (même dans l’hydravion) a été salutaire, indispensable. J’ai imaginé une demi-seconde garder Louise sur mes genoux durant tous ces trajets. Il ne vaut mieux pas économiser là-dessus !
  POUR LES CONTRÔLES AÉROPORT : • Louise porte un double nom, le mien et celui de Julie, ce qui peut perturber les contrôles d’identité à l’étranger. Prendre le livret de famille a été une bonne idée. On m’a demandé de “justifier” son nom aux contrôles, à Doha !
  Quelques trucs à challenger dans l’art de voyager avec un bébé qui feront sourire sûrement… :
– les tables à langer dans les toilettes des A380. Sérieusement Airbus ?! – le passage des portiques de sécurité dans les aéroports — avec le monde, les affaires à déballer, les chaussures à enlever, le bébé dans les bras… Un peu rock n’ roll tout de même ! – la chasse aux bouteilles d’eau lors des contrôles de sécurité, malgré les besoins indispensables pour le bébé ! – les tables à langer uniquement dans les toilettes des femmes (Certains aéroports) ! – les demandes insistantes des voyageurs asiatiques désireux de photographier votre bébé (blond, européen avec de bonnes joues à bisous)… #Relouds – les salles de bain d’hôtels, où l’on ne peut jamais rien poser ni accrocher,… – etc…
        4. QUEL NÉCESSAIRE DE BÉBÉ POUR 9 JOURS DE VOYAGE ?
Nous sommes partis avec un ensemble de bagages plutôt raisonnable, modérément lourd et moyennement pratique à transporter (le choix de la valise vs le gros sac à dos est un vrai point de test à réaliser). Ce qui a été compliqué à gérer en solo, c’est évidemment d’installer Louise, en sécurité pour éviter les chutes et avec une certains confort pour favoriser le sommeil durant l’attente :
• Une valise Samsonite Cosmolite (81cm, 123L, poids vide 3,5kg — poids au check-in : 16kg). Je n’en changerai pour rien au monde, ou presque… C’est une coque de plastique très solide, fine, légère, je l’utilise depuis 4 ou 5 ans en complément de housses de rangement à l’intérieur. Parfait !
• Une autre valise Samsonite Cosmolite (55cm, 36L, poids vide 1,7kg — poids au check-in : 10kg) Avec à l’intérieur, la nourriture et tout le nécéssaire-bébé pour le séjour. Les petits-pots sont rangés dans des housses plastiques, épaisses et hermétiques, dans le cas où un gros choc viendrait à casser l’un d’eux.
• Une poussette canne : 4kg
• Deux sacs en cabine : – Le premier (3kg) Avec notamment une trousse de toilette et une trousse-nourriture pour Louise, que j’utilise dans l’avion ou l’aéroport – Le deuxième (8kg) Le matériel électronique : MacBook Pro, Leica, disques durs externes, trousses (câblages, cartes mémoire, appareils jetables…)
      J’étais assez surpris par le volume “raisonnable” du nécessaire de bébé (vêtements, produits, nourriture). Je m’étais imaginé depuis des mois des encombrement fous, des déménagements improbables — au final, quand tout est bien rangé, aisément accessible en fonction des situations, tout se gère et s’emboîte plutôt bien.
  QUEL NÉCESSAIRE DE BÉBÉ POUR L’AÉROPORT / L’AVION ? :
Tout le nécessaire de Louise est rangé dans de grandes trousses, elles-même dans un sac cabine. Cela évite de perdre du temps à chercher tel produit qui aura forcement glissé au fond d’un sac. J’ai tout sous la main, bien protégé, j’attrape le “pack” d’une main. Adapté à mes usages.
Une trousse de change composée de : • Une dizaine de couches (prévoir large si l’avion à du retard) • Deux serviettes jetables à poser sur les tables à langer (avion, aéroport) • Un pack de lingettes (désolé, je ne suis pas fan mais cela reste le plus pratique) • Une crème de change (au calendula) • Un flacon de Doliprane bébé (et la pipette) • Quatre ou cinq doses de sérum physio (pour nettoyer les yeux et le nez) • Un collyre pour humidifier si besoin les yeux • Cinq sacs (pour glisser les vêtements souillés, couches sales) • Un paquet de mouchoirs en papier
Une trousse “repas” composée de : • 2 bouteilles-biberons de lait de croissance (250ml) prête à l’emploi + tétine • Un biberon vide + tétine • Un sachet de 300g de lait de croissance en poudre • 3 petits pots légumes (120g/unité) • 4 gourdes de compotes de fruits (90g/unité) • Un gobelet + cuillère
Enfin, une dernière trousse, toujours dans le même sac cabine : • Petit plaid chaud (la climatisation des avions est terrible) • Gilet chaud à manches longues • Body manche longue + un pantalon + un gilet léger • Paire de chaussettes • Linge-bavoir • Chapeau de soleil (à portée de main, pour le transfert extérieur)
  QUE PRENDRE POUR LES TOILETTES ET LES SOINS DE BÉBÉ EN VOYAGE ? :
Louise est peu malade en règle générale (quelques trucs de crèche : rhumes, dermites, conjonctivites, un peu de muguet de temps à autres…). Je me suis confectionné un set de produits avec lesquels je peux prendre soin et “soigner” assez simplement.
Là encore, le tout dans une grande trousse de toilette (rangée dans la valise) : • Liniment (nettoyer, hydrater le corps) • Gel doux pour la douche, sans savon (corps et cheveux) • Sérum physiologique • Cotons de toilette • Compresses stériles • Beurre d’Argan (en cas de grosse sècheresse sur la peau) • Zyma D (Vitamine D) • Coquelusedal Nourrissons (Contre la toux) • Mycostatine • Betadine Scrub • Crème Solaire (Ind.50 UVA + UVB) • Petit thermomètre
Pas de répulsif anti-moustique nécessaire sur cette période fin avril / début mai aux Maldives. Dans tous les cas, je n’utiliserai jamais ce type de produit chimique sur la peau de mon enfant. Si vous avez des conseils ou produits sur ce point, je suis preneur !
      NOTE DE VOYAGE — Que se passe t-il dans son esprit à ce moment là ? Touchant méticuleusement du bout des doigts le sable corallien. Testant avec la plus grande rigueur la granulosité, la texture, les chatouilles des grains qui filent à travers la main. Goûtant à intervalles réguliers cette étrange sensation sur la langue. Pendant de longues minutes, elle va raconter une histoire, se convaincre en pointant la mer du doigt, que tout cela vient de là-bas. Hochant la tête avec conviction tout en vous regardant avec d’étranges œillades, comme pour mieux vous interroger sur cette matière blanche.
    Une grande inconnue pour moi : la chaleur ambiante de 31°C en journée et de 23°C la nuit, sur une période d’une dizaine de jours, avec un bébé habitué à la fraîcheur de Paris. Cela appelle forcement des usages différents ; Louise a globalement bien réagi à la chaleur, quoique assez fatigante entre 13h et 15h. Même pour moi.
L’hydratation en continue avec un biberon d’eau toujours à portée de main, une serviette humide pour refroidir la nuque, le front et les membres — un tube de crème solaire (toutes les deux heures, et après la baignade) — La sieste évidemment, sous un brasseur d’air de plafond, à toute petite vitesse. Enfin des douches rapides pour refroidir et hydrater le corps. Au bout de 2 ou 3 jours, l’enfant s’adapte très bien !
  LES POINTS DIFFICILES À ESTIMER POUR LA DURÉE DU VOYAGE :
• Les repas : j’ai emporté un ensemble de 12 pots légumes (60g et 120g/unité), 6 assiettes “prêtes à l’emploi” avec les protéines (230g/unité) et 10 gourdes (120g/unité) de compotes de fruits. L’appétit de Louise a été un poil moindre, en raison de la chaleur essentiellement. Je m’étais assuré que le pain, les yaourts, les céréales, les jus de fruits ou les fruits frais seraient proposés par l’hôtel.
• Le lait : un pot de 900g de lait de croissance (avec une réserve de 400g).
• Les couches : l’enfant boit beaucoup d’eau, transpire certes mais les besoins en couches sont supérieurs à nos habitudes de Paris. En moyenne, j’ai utilisé 6 à 8 couches par jour (changée toutes les 2 heures grosso modo). Les irritations arrivent beaucoup plus rapidement sous ces latitudes pouvant aussi s’infecter plus facilement !
  CE QUI ÉTAIT LIMITE :
• Les besoins en vêtements pour Louise : le laundry service a été salutaire, deux fois en quelques jours pour laver et repasser une partie des habits emportés de Paris ! J’étais parti sur 4 changements de tenue dans la journée en incluant la tenue du dîner. A l’usage, c’est 6 changements minimum. La transpiration, la chaleur, le sable, les déjeuners capricieux,… Oui, oui ça parait évident en écrivant ces lignes.
      NOTE DE VOYAGE — La fin de journée est propice à s’attarder sur des détails que la grande lumière écrase par son intensité. Tels motifs, telles compositions, telles couleurs que je n’avais pas encore remarqué. Ce qui est troublant pour l’œil du photographe, c’est l’étonnant minimalisme dans ces paysages des Maldives. Les horizons sont hauts, la mer sage, le sable farineux ose quelques géométries délicates.
    QUELS VÊTEMENTS DE BÉBÉ POUR UN VOYAGE SOUS LES TROPIQUES ?
Le choix a été plutôt simple sur ce voyage. J’ai privilégié essentiellement des vêtements en coton, légers, le plus souvent blancs ou clairs. J’ai mis de côté tous les habits trop sombres, trop épais ou synthétiques. Comme évoqué plus haut, j’ai changé Louise très souvent durant le séjour ; avec quelquefois des vêtements complètement trempés de sueur, malgré leur légèreté ou leur confort.
La nuit, un petit pyjama-short en coton léger est suffisant. Je n’ai pas utilisé la turbulette mis à disposition par l’hôtel. Pas de couverture ni oreiller évidemment. De très bonnes nuits, douces, très reposantes ! J’ai systématiquement désactivé la climatisation de la chambre, pour privilégier les brasseurs d’air au plafond.
Voici la liste des vêtements, non exhaustive : • Salopettes courtes blanches, bretelles croisées dans le dos. Vêtement idéal ! • Bermudas blancs • Shorts blancs. Pour jouer ou se baigner • T-Shirts à col tunisien. Passe-partout, légers, un peu stylés • Tuniques à bretelles • Pantalons longs et chemisettes légères. Pour le dîner essentiellement • Bodies blancs à bretelle • Bodies blancs manches longues Pour se protéger du soleil • Sweet ou gilets légers. Si le temps se “rafraîchit” • Pyjamas légers • Lunette de soleil (indice 3) avec cordon • Chapeau de soleil avec cordon • Petites sandales en cuir
      5. LES MALDIVES : MINI-GUIDE DE VOYAGE
Les Maldives s’étirent longuement, du Nord au Sud, sur plus de 800 km, tout en dessous du continent Indien — Colombo, la capitale du Sri Lanka n’est qu’à 1h30 d’avion de Malé, la capitale des Maldives !
1 200 îles, une trentaine d’atolls, il peut être difficile de choisir le bon spot. Malé, Ari, Baa, Dhaalu, Faafu et Lhaviyani sont souvent les atolls les plus cités dans les guides de voyage. Non sans raison !
    LES BASIQUES
• L’anglais est la langue “business” pratiquée au quotidien en plus de la langue traditionnelle le Divehi.
• Aucun visa n’est nécessaire pour des séjours de moins de 30 jours. Attention, la douane de Malé ne rigole pas lors des contrôles ; les inspections pour les recherches de drogues sont très courantes.
• La monnaie locale est le rufiyaa, toutefois le dollar américain est largement préféré et utilisé. Les îles-hôtels gèrent en règle générale 100% des besoins des voyageurs (avec un paiement à la fin du séjour par carte bancaire), il est donc inutile de s’encombrer de grosses sommes en cash. Il peut être nécessaire de laisser quelques tips (le plus souvent pour le personnel dans les aéroports qui aident aux transports des valises — comptez 2 à 3$ par valise).
• Les prises électriques (230 V, 50 Hz — Type D / G ) nécessitent un adaptateur pour les appareils électroniques européens. L’internet est largement déployé dans les îles-hôtels avec un très bon débit. L’indicateur téléphonique est +960.
• La vaccination pour les courts séjours dans les hôtels n’est pas nécessaire, le paludisme n’existe pas aux Maldives — Toutefois si vous explorez des îles reculées, mieux vaut se mettre à jour : diphtérie-tétanos-poliomyélite, hépatites A / B et fièvre typhoïde.
• Les insolations, les brûlures et la déshydratation peuvent être source de problèmes (graves dans certains cas). Même en attendant l’embarquement vers les hydravions, mieux vaut prévoir de l’eau, des lunettes et un chapeau (pour l’enfant principalement).
• Enfin, ne pas oublier pas les accidents de décompression. Bien respecter les délais entre une plongée et le vol en avion. – Plongée simple sans décompression : 12 heures de délais. – Plongées multiples sans décompression dans la semaine : 18 heures de délais. – Plongées nombreuses dont certaines avec palier : 24 heures de délais.
  QUAND PARTIR ?
Nous avons privilégié la période de fin avril / début mai. C’est globalement la fin de la haute saison (entre décembre et mars), la fréquentation est minimale et la météo est encore très favorable. Une journée de violents orages (début de la mousson) pour un ensemble de journées très ensoleillées.
Le ciel n’est pas parfaitement bleu, en mode carte postale. De grandes colonnes de cumulus occupent le ciel, toutefois l’expérience est réellement très plaisante ! L’humidité est forte ainsi que la chaleur ambiante : • la température de l’air est en moyenne à 31°C • la temperature de l’eau est à 29°C
A partir de mi-mai, la mousson commence à s’installer durablement, il devient plus aléatoire de profiter de la lumière. Attention, les Maldives font le plein de voyageurs aux périodes de juillet et août, pour les vacances estivales. Les prix s’affolent ainsi que les orages !
  Y ALLER
Le vol vers les Maldives dure entre 12 et 14h selon les escales. L’aéroport international de Malé est desservi par de nombreuses compagnies aériennes (selon les périodes de l’année) dont les plus connues sont Emirates, Etihad, Turkish Airlines, Malaysia Airlines, Singapore Airlines…
Certaines compagnies opèrent des vols directs, d’autres avec une escale au Moyen-Orient ou encore que quelques mois par an.
Pas de miracle, il faut chercher le bon vol, au meilleur prix — on vous recommande systématiquement d’utiliser les comparateurs, comme Skyscanner qui le fait très bien.
C’est souvent Emirates (hors charters) qui ressortira sur une base de 600 à 700 euros par personne (plus ou moins cher selon la période), aller-retour avec une escale à Dubaï.
  SE DÉPLACER
C’est un objet de fantasme : l’HYDRAVION ! Il permet de se déplacer très simplement vers l’ensemble des îles-hôtels du pays. Et c’est vrai que l’expérience est sexy. Une petite aventure que j’ai beaucoup apprécié (tout comme Louise d’ailleurs :).
Une fois arrivés à l’aéroport de Malé et passés les contrôles, nous rejoignons le desk d’une des compagnies locales (située dans le même terminal) : la Trans Maldivian Airways, pour le check-in. De deux à cinq vols par jour, selon la distance. Pas donné, entre 250$ et 600$ aller-retour. Attention le poids des bagages est limité (20kg), et le surplus coûte des sommes folles ! (vous pouvez négocier… un peu.)
Les compagnies d’hydravions passent des deals avec les hôtels afin d’amener à bon port les voyageurs ayant réservés leur séjour. Le vol en hydravion est souvent packagé avec la réservation de l’hôtel.
L’ensemble des hydravions ont leur propre base de décollage, à 6-7 minutes de bus de l’aéroport international. La compagnie d’hydravion gère systématiquement le transfert des voyageurs et des bagages. Elle offre le plus souvent des espaces de repos en attendant l’embarquement.
Pour les îles-hôtels situées à proximité de Malé (Nord et Sud), le transfert des voyageurs s’effectue par bateaux rapides ou hors-bord. Nous n’avons pas eu l’occasion d’expérimenter.
      OÙ DORMIR ?
Plus 110 îles-hôtels sont actuellement en activité : alors comment choisir un bel hôtel aux Maldives ? Il est courant de lire que l’accueil ou le degré de luxe/attention sont prioritaires. J’y vois d’autres critères tout aussi intéressant :
1. Le degré d’exclusivité Concrètement, plus l’hôtel est confidentiel, plus il est exclusif, plus il sera cher. Certaines îles offrent d’énormes capacités d’accueil, d’autres se limitent à quelques villas. Par exemple : le Soneva Fushi, le Cheval Blanc Randheli.
2. La prestation hôtelière quotidienne (“All Inclusive” ou simple demi-pension) Une majorité hôtels proposent les deux. Certains ne font que du “All Inclusive”.
3. Le degré de sophistication A bien y regarder, les détails sont importants dans la qualité esthétique des villas (sur la plage ou sur pilotis), l’aspect contemporain ou traditionnel, la beauté des plages, l’entretien de la végétation, la propreté,… Par exemple : le Park Hyatt HadahaaLe, le Fairmont Sirru Fen Fushi ou encore le Barros,…
4. L’importance de la gastronomie Certains hôtels capitalisent sur des chefs étoilés au Guide Michelin pour se démarquer des hôtels de “base” et cultiver un très haut de gamme. Par exemple : le Hurawalhi Island
5. L’impact visuel des infrastructures La “légèreté” des installations hôtelières participe pleinement au ressenti d’exotisme et à un certains respect de l’environnement Par exemple : le Mirihi Island Resort
6. La gestion environnementale Un certains nombre d’îles-hôtels n’ont pas attendu les contraintes écologiques actuelles pour gérer le recyclage des eaux usées, des déchets… ou la gestion de l’eau potable. Par exemple : le Constance Moofushi ou le Soneva Fushi
Mais aussi : la taille de l’île, le niveau d’équipement et d’accompagnement pour les activités outdoor, la qualité esthétique du lagon et des récifs,…
    Bon voyage ! A bientôt Renaud, Louise
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