#je ne sais pas s'il peut le ressentir
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©Clémentine Circaetis
#petit chat masqué <3#il était planqué en train de faire sa sieste <3#un doux rendez-vous qui contient sa petite joie à chaque fois#je ne sais pas s'il peut le ressentir#experimental art#parachuted#abstract#doux rêves
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Jalousie
À la demande de @harknessshi en espérant que ça va te plaire.
29"Pouvez-vous s'il vous plaît arrêter d'être si jaloux pendant une seconde"
Agatha x Lecteur
Reader, membre du Coven d'Agatha, se tenait là, entourée par ses anciennes amies et nouvelles compagnes d'aventure. Leurs regards se croisaient dans une ambiance chargée d'électricité, alors qu'elles se préparaient à affronter la nouvelle épreuve, celle d'Alice. L'air était saturé d'excitation et d'anticipation, chaque sorcière arborant un style rock qui tranchait avec le passé traditionnel de leur magie. Reader, avec son jean similicuir noir qui brillait légèrement sous les lumières, dégageait une aura de confiance. Son t-shirt en col en V noir, ajusté à sa silhouette, ajoutait une touche de mystère, tandis que sa veste rouge flamboyante, presque comme une armure, attirait tous les regards.
Agatha, bien qu'elle se tenait parmi elles en tant que leader, ne pouvait s'empêcher de jeter des coups d'œil vers Reader. Les souvenirs de leur amitié à Salem, teintés de rires et de secrets partagés, s'entrelaçaient avec le ressentiment causé par la quête insatiable de pouvoir d'Agatha. La tension entre elles était palpable, un mélange de nostalgie et de rivalité, comme une danse délicate entre le passé et le présent. Reader, consciente de ce regard insistant, ressentait un frisson parcourir son corps , à la fois intriguée et méfiante.
Autour d'elles, Jen, Alice et Lilia, et l'adolescent pleine de fougue, semblaient prêtes à plonger dans l'inconnu. Les éclats de rire et les murmures enthousiastes résonnaient, mais pour Reader, tout cela était assourdi par le poids de son histoire avec Agatha.
Dans l'atmosphère électrique de la salle, Jen ne pouvait s'empêcher de contempler Reader, son regard captivé par sa beauté saisissante. La façon dont Reader ajustait sa veste rouge, les mouvements fluides de ses bras, la manière dont ses cheveux tombaient en cascade sur ses épaules, tout cela faisait battre son cœur un peu plus vite. Jen, déterminée à ne pas laisser passer sa chance, prit une profonde inspiration et s'approcha de Reader.
« Hé, tu sais que cette veste te va à merveille ? » lança Jen avec un sourire charmeur, sa voix douce mais pleine de confiance.
Reader tourna la tête, surprise, mais un sourire se dessina sur ses lèvres. « Merci, Jen. »
« Tu es absolument incroyable, » répondit Jen, s'approchant un peu plus, ses yeux pétillants d'admiration. « Je veux dire, qui d'autre pourrait porter du similicuir et du rouge avec autant de classe ? »
Agatha, observant la scène de loin, plissa les yeux, un regard noir et méfiant s'installant sur son visage. Elle ne pouvait s'empêcher de ressentir une vague de jalousie en voyant Jen flirter avec Reader sous son nez.
« Jen, tu devrais peut-être te concentrer sur l'épreuve plutôt que sur… disons, des distractions, » intervint-elle d'une voix glaciale, le ton chargé de menace.
Reader, consciente de la tension qui montait, essaya de garder son calme. « Je pense que nous avons tous besoin d'un peu de distraction avant de plonger dans ce qui nous attend, tu ne pense pas Agatha ? » dit-elle, lançant un regard complice à Agatha
« Exactement ! » s'exclama Jen, ignorant délibérément le ton d'Agatha. « Et puis, je suis sûre que nous allons toutes briller. Mais je dois admettre, Reader, que c'est toi qui voles la vedette. »
Le regard d'Agatha se durcit encore plus, mais elle ne pouvait pas s'opposer à l'énergie qui émanait de Jen et Reader. La tension était palpable, une bataille silencieuse entre l'amitié, la rivalité et l'attirance.
~oOo~
Agatha était assise dans la cabine de son, le regard perdu dans le vide, la tension palpable dans l'air. Chaque fois qu'elle voyait Jen s'approcher de Reader, une vague d'irritation l'envahissait. Elle levait les yeux au ciel, sa frustration se manifestant par un léger soupir.
Reader, qui avait remarqué l'humeur d'Agatha, décida de la suivre. Elle entra dans la cabine et ferma doucement la porte derrière elle.
"Peux-tu s'il te plaît arrêter d'être si jalouse pendant une seconde ?" demanda Reader, son ton léger mais direct.
Agatha éclata de rire, un son qui trahissait une nervosité sous-jacente. "Je ne suis pas du tout jalouse," répondit-elle, feignant l'indifférence.
Reader croisa les bras, un sourire amusé sur le visage. "Ah, donc je peux passer tout mon temps avec Jen, ça ne te dérange pas ?"
Agatha leva à nouveau les yeux au ciel, silencieuse, son expression trahissant son malaise. Reader s'approcha d'elle, s'asseyant sur le bord de la chaise.
"J'aime bien te voir jalouse, mais ce n'est pas ce qui te va le mieux," ajouta-t-elle, son regard perçant cherchant à capter l'attention d'Agatha.
Agatha détourna le regard, mais un léger sourire se dessina sur ses lèvres. "Tu sais que je préfère quand tu es avec moi," murmura-t-elle finalement, la jalousie se mêlant à une affection indéniable.
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Lors de ma première relation j'ai pensé -à tort avec du recul- que l'amour c'était la démesure. Que la passion, l'intérêt, l'appréciation, l'envie, les sentiments ne pouvaient exister que par le prisme de l'immodération. Je devais avoir mal au ventre d'amour, la gorge nouée à l'idée incessante de perdre l'objet de mon désir. Que si je n'étais pas amoureuse à m'en rendre malade c'est qu'alors je ne l'étais pas. Ça m'a poursuivie longtemps et ça m'a même peut-être gâché des occasions. J'ai cru qu'il fallait que je sois à bout de souffle. Que je me sente sur le file pour ressentir vraiment. Je me suis épuisée à aimer, c'était pas trop, on aime jamais trop, c'était mal, je ne comprenais pas où mettre le surplus. C'était comme nager à contre courant, possible mais pas durable. Aujourd'hui, je suis plus nuancée. Je ne sais pas si je suis amoureuse de mon copain actuel, ce qui peut biaiser mon propos, mais je ne ressens pas cette outrance. Cette urgence d'aimer et d'être submergée par tout cet amour. C'est tellement plus apaisant quand c'est calme. Quand on se rend compte que c'est là mais que ce n'est pas douloureux. Que la douleur ne fait pas vraiment partie de l'amour. Que pour aimer, il ne faut pas impérativement souffrir. J'ai cru qu'il le fallait car c'était mon seul moyen de vérifier l'authenticité de mes sentiments. Le fait est que maintenant, je connais les enjeux mais je sais que c'est plus sain et positif pour moi si je n'aime qu'à hauteur de ce que je peux aimer. En effet, ça peut faire peur. Qu'est ce qui me permet de dire que j'aime si je ne ressens pas les extrêmes ? Comment graduer des émotions qui ne me compressent pas le coeur ? Sont-elles là s'ils sont à peine audible ? Le silence est la paix ou l'absence ? Le silence prend toutes les voix, tous les tons, exprime toutes les émotions, c'est le contexte qui permet de trancher. Je me sens tellement mieux de n'être qu'exposer qu'à des douches tièdes et plus froides. Souvent je me dis que c'est peut-être parce que je n'aime pas à nouveau, puis, plus rarement, je me dis qu'il serait temps d'accepter qu'aucun amour ne se ressemble et que c'est sûrement l'expression différente de mes sentiments. Je me dis aussi qu'il y a des gens qui nous intéressent et d'autres qui nous obsèdent, je suis peut-être dans l'autre camp et c'est pas plus mal. Un jour je saurai ce que ça veut dire cette façon d'aimer mais là, je ne me pose pas plus de questions. C'est juste tellement plus reposant de ne pas être profondément amoureux.
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En vrai, je me sens grave vide.
Quand je suis avec lui, je sens son jugement, son incompréhension, sa colère.
Je me sens seul.
Je déteste la façon dont il rejette tout sur moi, mais qu'il attend à la dernière seconde pour tout mettre sur la table.
J'ai horreur de la manière dont il essaie de me contrôler, comme s'il savais mieux que moi-même ce qui est bon pour moi.
Il me manques. Il est passé où le gars avec qui je partageais tout, avec qui tout était si facile, fluide, réconfortant? Bordel.
Je me sens si seul.
Quand je suis avec elle, je sens sa distance, son indifférence, sa déception.
J'ai l'impression que je ne peux pas la comprendre, rentrer dans son univers, que je ne serai jamais assez.
Quand elle s'apprête à partir, j'ai juste envie de lui supplier de rester, de partager avec moi un de ces moments de complicité qu'on a perdu.
Je ne sais pas comment m'exprimer, comment lui partager à quel point je tiens à elle et que j'aimerais qu'elle me voit.
Je me sens tellement vide.
D'une certaine façon, j'ai l'impression de perdre les personnes les plus importantes pour moi.
Cette froideur me bouffe. Tout est devenu si dénudé de chaleur, de complicité, de compréhension, de simplicité.
Je me sens impuissante. J'ai besoin de ces personnes, je les aime profondément, elles font partie de ma vie, de qui je suis, de ce qui fait sens, ce qui me rendait heureux et vivant.
Je me sens si seul bordel.
Et quand ça ne va pas, je ne dis plus rien à aucun d'entre eux. Comment le pourrais-je?
Peut-être qu'un jour, le vide se dissipera de ma poitrine. Peut-être qu'à force, j'arrêterai de ressentir mon cœur qui se tord et ce nœud dans mon ventre.
How do I tell someone I need them without making things about me? How do I make us be us again, the us in which I could be me, be okay, feel seen, feel whole, feel not alone even when I was? Please.
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La mort
Je vis avec l'idée de la mort tout le temps. C'est quelque chose qui est arrivé sans véritable raison, probablement avec l'âge qui avance et les années de vie qui diminuent. Oui, je sais, c'est comme ça depuis le jour de notre naissance. Mais j'ai 56 ans, mes parents ont 76 et 79 ans. Mes beaux-parents sont déjà partis durant les 6 dernières années mais ils étaient plus âgés que mes parents.
Ma mort m'angoisse certes, mais elle ne m'effraie pas. En fait, j'ai peur de la souffrance que mes enfants vont ressentir, surtout ma fille, qui est vraiment très proche de moi. J'ai peur du vide que je vais laisser dans sa vie, peur qu'elle sombre dans la dépression à "cause" de moi. Comme je suis obèse, je sais que mon espérance de vie est réduite, enfin c'est ce que me répète les docteurs. Mais il faudrait que je perde la moitié de mon poids pour que cela ait un réel impacte sur ma sante et c'est impossible ! Surtout que je refuse de vivre sans avoir le plaisir de manger ce que j'ai envie. Je ne parle pas de me goinfrer, je parle de manger ! Eliminer ceci, me priver de cela, ce n'est pas vivre pour moi. Car en fait, je peux aussi mourir de bien d'autre chose que du fait d'être en surpoids !
Et puis ce qui m'angoisse le plus, c'est de perdre mes parents. L'absence sera gérable après une période de deuil, du moins je pense, car depuis près de 30 ans, je vis à 1200 km de chez eux et je les vois seulement quelques jours par an. Mais la distance fait que lorsqu'ils auront besoin de moi, s'ils ne sont plus autonomes, ce sera une organisation de dingue de m'en occuper. Il faudra probablement que j'aille m'installer chez eux. Mes parents étant divorcés, le problème sera double. Et comme ils sont en couple avec des personnes que je connais depuis plus de 20 ans, qui n'ont pas vraiment de famille proche qui pourrait s'en occuper, cela reposera également sur mes épaules. Ma mère et moi nous sommes en froid avec ma sœur depuis des années. Le mari de ma mère ne parle plus à sa fille, qui de toute façon vit aux USA. La femme de mon père est fâchée avec son fils et il n'y a que sa petite fille qui serait susceptible de s'en occuper. Mon père a encore ma sœur mais je sais qu'il n'a pas envie d'aller vivre chez elle, perdu dans un minuscule village loin de tout. A cela ajoutons l'héritage que ma mère va nous laisser et qui s'annonce compliqué au vu de la situation avec ma sœur. Je sais que maman a prit bon nombre de disposition en ce sens mais je suis certaine qu'il y aura quand même des difficultés.
Mais revenons à moi. J'espère vivre encore 20 ans. J'aimerai assister au 20em anniversaire de mon petit fils et lui laisser des tas de bons souvenirs. Mon plus jeune fils aura alors 37 ans. C'est jeune pour perdre sa maman mais il sait depuis toujours que l'ayant eut tard, il ne profitera pas de moi autant que ses frères et sa sœur. Personne ne connait l'avenir et on ne peut pas non plus anticiper les reactions des uns et des autres. Malheureusement, j'ai toujours fait parti de ceux qui anticipe des problèmes qui la plupart du temps, n'arrivent jamais. Sauf que là, forcément, je sais que la mort va frapper, c'est inéluctable. J'espère juste que tout ce passera en douceur pour tout le monde. Le départ, comme l'après, pour ceux qui reste.
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Je ressens cette émotion qui éclot en moi, vibrant dans le silence de mon cœur. Je t'aime, mais je sais aussi que tu ne ressens pas de la même manière. Nos chemins se croisent, mais nos sentiments tracent des trajectoires différentes.
C'est comme contempler une étoile depuis la terre, son éclat éblouissant, mais si lointain. Je t'aime, mais je ne peux te forcer à ressentir de la même manière. C'est une vérité que je dois accepter, aussi douloureuse soit-elle.
Chaque mot que je te dis, chaque regard que je pose sur toi, est teinté de cette réalité. Je t'aime, mais je respecte aussi ta liberté, ton droit de choisir où ton cœur trouvera son élan.
C'est peut-être là la plus grande preuve d'amour que je puisse te donner : te laisser libre de suivre ton propre chemin, même s'il me mène à l'écart. Mon amour restera, discret et silencieux, un feu qui brûle en moi, attendant peut-être un jour où nos chemins se croiseront d'une manière différente.
Ainsi, je t'aime, mais pas toi. Et dans cette contradiction, je trouve la force de continuer à t'aimer, même de loin, même sans retour. C'est une douce douleur que je porte, une douleur qui me rappelle que l'amour est parfois simplement un cadeau que l'on offre, sans attente, sans exigence.
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C'est probablement l'approche du 8e anniversaire du commencement de notre amour qui fait qu'en ce moment, j'ai une envie folle de lui écrire que je l'aime toujours. Je sais que ce serait inutile, qu'il a fait sa vie qu'il est heureux et qu'il me garde de loin, comme une amie sans réellement en être une, comme une ex pour le peu que j'ai été réellement avec lui. Mais entre nous le lien n'a jamais été vraiment rompu. Je ne comprends toujours pas pourquoi mes sentiments refusent de mourir. La seule explication valable, c'est que depuis lui, personne n'a réussi à me faire vibrer, à me donner envie de passer la barrière et de commencer une relation. Pourtant, il m'en a fait voir et il n'a pas été très honnête mais comment puis-je lui reprocher ? nous vivons dans deux pays séparés et il avait seulement 23 ans quand tout a commencé et 25 ans lors de la première rencontre réelle. Soit la moitié de mon âge. Comment ai-je pu croire qu'un amour sincère et durable pouvait exister entre nous ? peut-être parce que pour moi, c'est toujours le cas. J'ai idéalisé cet homme parce qu'il m'a dit toutes les choses que je souhaitais entendre. Mais aujourd'hui, je sais qu'il les a dites justement pour cette raison. Je ne dis pas que tout était faux mais beaucoup de choses l'étaient . Malgré tout, je continue de ressentir des choses très fortes pour lui et je pense sérieusement et en ayant bien conscience à quel point je suis stupide, que s'il revenait vers moi, je l'accueillerai à bras ouvert.
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J'ai fini par m'habituer à son absence
Pour être tout à fait honnête j'ai même commencé à éprouver une sorte de mépris envers lui
Ce soir je compte sortir à la barge alors c'est prévu que je reste peut-être dormir à l'appartement mais j'ai quand même pris les clés de chez mamie au cas où
Quand je suis arrivée à l'appartement tout à l'heure j'ai pleuré
C'était un genre de craquage, pas de la tristesse
Je suis arrivée dans cet appartement, il n'y avait qu'Anubis et moi, et j'ai laissé toute la négativité accumulée de la journée monter en moi
J'ai vu une bêtise dans la salle bain, l'état de l'appartement et ça a été la goutte de trop, j'ai craqué et j'ai pleuré
Je me suis rendu compte aussi qu'il n'y avait plus rien à fumer et étrangement, ce sentiment de la dernière fois est réapparu
Je n'ai pas vu l'intérêt de rester ici si je ne pouvais même pas m'envoler
Je sais que ce n'est pas sain, mais j'ai remarqué cette pensée
Finalement est-ce qu'un jour je me suis sentie vraiment bien ici ? Sans substances je veux dire, est-ce qu'une seule fois j'ai réussi à me sentir "à la maison", à l'aise et libre d'être moi même sans prendre de drogue dans cet appartement et avec lui ?
Est-ce qu'une seule fois j'ai réussi à me sentir suffisamment à l'aise et en confiance sans substances pour lui montrer qui je suis vraiment ? Pour vivre et ressentir mes émotions sincères au lieu de les ignorer et de les apaiser synthétiquement ?
La réponse est non
Je n'ai même pas hâte qu'il rentre
Peut-être bien pas même envie de le voir
J'ai encore pas mal d'affaires à récupérer ; d'ailleurs après avoir discuté avec Loane j'ai réfléchi un peu et décidé qu'elle avait raison: je vais récupérer la télé parce qu'après tout c'est moi qui l'ai acheté, j'ai sacrifié une part énorme de mes économies alors que je ne voulais pas le faire, j'ai dépensé cet argent qui ne m'a jamais été remboursé alors jusqu'à preuve du contraire cette télé m'appartient
Je dois aussi récupérer mes vinyles, ma platine, mon électroménager, du linge de maison (serviette, draps etc), des ustensiles de cuisine etc, ça va prendre beaucoup de place dans ma voiture j'espère que je pourrai le fait en 1 seul aller-retour (Loane veut aussi que je récupère sa veste)
Demain ou après demain il faut que j'appelle EDF pour résilier le contrat, j'en ai marre d'attendre désespérément "le bon moment" parce qu'il n'arrivera jamais
Et une fois que tout ça sera fait
Une fois que je n'aurai plus aucun lien qui m'attache à lui (j'aurais bien aimé récupérer les quasi 1100€ qu'il me doit mais je doute que ça arrive un jour alors tant pis)
Alors
Je le confronterai
J'attends vraiment d'avoir tout récupéré parce que je sais ce qu'il va se passer ensuite
Il va avoir peur
Il va se sentir piégé alors il va fuir
Peut-être qu'il déménagera chez sa mère, et si ce n'est pas le cas alors ce sera une autre ville, peut-être Perpignan
Il va partir vite pour ne pas avoir à affronter la réalité
Il va avoir l'impression que "le monde se ligue contre lui" comme ça s'est passé avec les histoires avec Lilou, Sacha, etc (je pense que je vais chercher le fin mot de l'histoire d'ailleurs)
Mais j'ai envie de le faire, j'ai envie de le mettre face à ses mensonges
J'ai tellement hâte de voir son visage quand je lui dirai que je sais pour l'histoire des loyers impayés de Sens, que je sais que l'histoire du tribunal pour "entrée par effraction" et le reste c'est un mensonge pour couvrir la vraie raison qui paraît si nulle, des putains de loyers impayés
J'ai hâte de voir sa réaction quand je lui expliquerais ma "théorie", quand je lui dirai que je suis sûre qu'il a dit ça parce que c'était le justificatif parfait pour expliquer que "non impossible que j'ai pu faire ça, regardez je m'implique dans la lutte contre ça au risque de faire de la prison"
J'ai hâte mais j'ai peut-être un peu peur aussi
Je crois que je sais pas comment il peut vraiment réagir s'il s'énerve et ça me fait un peu peur
J'ai hâte que tout ça soit terminé
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comme des ricochets dans l'eau
J'ai parfois l'impression d'être absolument étranger au flot d'émotions qui parcourt le monde et, en même temps, d'en faire si profondément partie moi-même que je pourrais facilement m'y noyer. Tout est comme si je n'y étais ni totalement familier, ni totalement étranger ; comme s'il suffisait que je fasse un pas de côté, que je rejoigne une autre rive pour m'en distancier, en manquant d'y retomber. C'est assez drôle de vivre, en fait. Dans un monde qui nous dépasse et qui, exprimé au singulier, semble aussi nous effacer nous-mêmes, on n'en fait pas moins partie intégrante. Il faudrait en réalité des centaines, des milliers, des myriades de mondes pour exprimer un seul monde dans sa totalité. Alors on avance, on ne prête pas attention à la marée : qu'elle soit basse ou haute, qu'importe. On avance, parce que c'est tout ce que nous pouvons faire sur l'instant. Mes pieds se prennent dans l'écume, ou plutôt dans les coquillages. Je me baisse et j'en ramasse un. J'en apprécie aveuglément la beauté quand, soudainement, une vague l'emporte. Les vagues m'emportent aussi avec elles, par moments. Pourtant, par la force d'un je-ne-sais-quoi, la houle n'a jamais raison de moi. Je ne coïncide jamais avec elle.
C'est, sans doute, là qu'on en vient à se retrouver soi-même. Quand tu es enfant, le monde entier se présente à toi dans sa grandeur. Il pourrait ne jamais finir, ne jamais avoir commencé. Tu es là, mais pourquoi ? Il n'y a pas d'autre réponse à cette question que le fait d'essayer, de rencontrer d'autres vaguelettes d'émotions, de saluer d'autres phares à sentiments qui, eux aussi, partagent tes interrogations. Et puis, quand tu grandis, beaucoup de ces phares s'éteignent. Leurs questionnements les ont abandonnés, ce qui n'est pas le cas de la mer. Elle porte toujours les bateaux, ses vagues se fracassent toujours contre les mêmes rochers. Tu les ressens, toujours, au plus profond de toi. Il arrive que cette méphistophélie prenne le nom de colère, d'amour, de joie, de tristesse. Mais tu ne sais pas mettre de mot dessus. Parce que le monde, en voulant préserver sa singularité, a fait se dissoudre dans le sable toutes leurs nuances. Alors, on essaie de s'accrocher à quelque chose. On ramasse des galets, on collectionne ces coquillages dans nos boîtes à souvenirs, de peur de les perdre. On collectionne chez nous toutes sortes d'objets qui, au final, nous servent à nous rappeler cette sincérité d'être, dans la multitude, dans le fracas, dans l'ailleurs On s'essaie à comprendre d'autres phares, même s'ils semblent parfois inaccessibles. Parce qu'on ne peut rien ressentir par soi-même, parce qu'il nous faut toujours revenir à nos vaguelettes, essayer d'abolir cette distance qui ne peut plus l'être... Parce qu'on existe toujours sous forme de fragments. Et on est tellement effrayés, face aux éclats du monde, aux éclats de soi, des autres. On voudrait tout embrasser à la fois, sans qu'il ne soit possible de contenir tout un océan à l'intérieur de soi.
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Stress. C'est quand même un drôle d'indicateur le stress. Il est censé indiquer quoi au juste par rapport aux autres ? À la fois motivateur et alerte, on ne peut pas dire qu'il soit simple à comprendre. À quel moment doit-on décider qu'il s'agit de "bon" stress nous incitant à surmonter tous les défis ou de "mauvais stress" qui nous indique que la situation est préoccupante et qu'il serait plus que bienvenue de changer. La frontière n'est pas explicite. Le bon peut se transformer en mauvais. L'intensité n'est pas un indicateur non plus. Et puis, quand on y pense, à quel moment c'est censé être une bonne idée de ressentir du stress avant un moment important ? C'est un coup à transformer ça en peur et à perdre tous ses moyens. C'est un coup à faire marche arrière et à fuir parce que l'intensité du ressenti rend la situation ingérable. C'est un coup à voir survenir tout un tas de pensées qu'on préfèrerait éviter alors qu'il serait plus judicieux d'avoir, je ne sais pas, une surdose de concentration, d'énergie, de joie. Bref, un truc plutôt positif plutôt que cette espèce d'inquiétude qui n'en est pas vraiment. Je me demande s'il serait possible de nous conditionner à ressentir le stress différemment. Autant, il est possible de se conditionner à ressentir du stress dans certaines situations. Cela arrive même parfois sans que ce soit voulu. Il suffit d'un micro traumatisme, disons qu'un voyage se passe mal, pour que les futurs voyages en avion deviennent source de stress. Pour autant, je ne sais pas s'il est possible de changer notre ressenti. Savoir s'il est possible de ressentir autre chose que du stress quand on est stressé. Garder la palpitation du stress pour transformer l'ensemble en une excitation d'enfant par exemple. Il est sûrement possible de changer notre rapport au stress. De pouvoir écouter notre ressenti sans que celui-ci affecte notre prochaine action. Ressentir du stress sans en subir les affres. Prendre du recul sur ce qu'on ressent au même titre qu'il est possible de le faire sur les autres affects. Est-il possible de modifier le ressenti lui-même ? Est-il possible que le stress puisse être modulé au point d'être transformé ? #stress #ressenti
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Il y a quelques posts de ça, je parlais des décisions que l'on peut prendre au sein de notre vie et qui peuvent nous faire ressentir de la honte lorsqu'il s'agit de les assumer. Si j'ai eu cette discussion avec mon père ce n'est pas par hasard, je l'y ai volontairement amené parce que dernièrement j'ai pris une décision sur laquelle j'ai menti à bon nombre de personnes. J'ai failli même mentir sur tumblr mais au final, pour quoi faire ? Je me suis officiellement mise en couple avec le garçon qui m'a trompée lorsque nous étions en relation officieuse mais bien exclusive. Après avoir fait les tests pour m'assurer que cette erreur n'avait pas déteint sur ma santé, et vu qu'ils étaient négatifs, je me suis sentie soulagée. Soulagée au point de me dire que le vrai problème n'était pas qu'il soit allé voir quelqu'un d'autre mais qu'il ne se soit pas protégé avec ce quelqu'un d'autre. J'ai toujours été quelqu'un de particulièrement angoissée vis à vis des MST, bien plus que la majorité des gens. Ça en est quasiment obsessionnel, d'où la trahison vécue particulièrement mal. Une fois les tests revenus clean, j'ai décidé de pardonner. Et en fait, je ne sais toujours pas ce que ça signifie pardonner. Recevoir des excuses ne m'a jamais fait me sentir mieux, pourtant des fois, j'en attendais beaucoup mais finalement, elles ont toujours été creuses. La plupart des choses pour lesquelles on s'excuse sont seulement dues à un cruel manque d'empathie et de conscience de l'autre. Je me suis toujours plus sentie désolée pour l'autre que la personne ne l'était pour moi. En réalité, ça ne change rien des excuses et donner un pardon est tellement abstrait que ça ne fait pas de sens dans ma tête. Normalement, on ne devrait pas en arriver là pour la majorité des actions faites et regrettées par des tiers personnes. Donc par pardonner, j'imagine que je veux dire que je suis passée dessus parce que j'ai estimé que ses regrets étaient supérieurs ou au moins égaux aux miens. Voir les gens souffrir d'avoir été irrespectueux m'apporte plus de réconfort que des mots maladroits là pour réparer des trucs brisés à jamais. Et, au delà de ça, étant passée si facilement dessus après avoir reçu les tests clean, je ne peux que me dire que je ne l'aime pas. De toute évidence, quand on aime vraiment quelqu'un, on ne lui laisse pas d'autres moyens de se rattraper, du moins, ça devrait être comme ça. Jai pleine conscience qu'on pense/fait souvent l'inverse: accepter car on aime. Ce qui me fait tolérer ce qu'il a fait, c'est pas l'amour que je peux avoir à son égard aussi conditionnel soit-il à l'heure actuelle, non, c'est ce sentiment d'avoir rien à perdre si ça s'avérer vraiment être un mauvais choix. Je ne perds pas quelqu'un que j'aime éperdument, pas un fragment de mon être, ni de la présence car je me sens déjà si constamment seule et abattue. Autant le laisser animer mes week-end. Et comme une expérience sociale, je regarde comment il réagit face à ma tolérance, je le vois faire des efforts. Lui non plus ne m'aime pas réellement car, quelqu'un qui aime n'attend pas un drame pour devenir meilleur, si ? Remarque, peut-être que si mais ça me fait pitié. Pitié de réaliser qu'il m'aide, m'écoute et fait des choses plutôt rudimentaires juste parce que j'e l'ai remis tellement fort à sa place qu'il a décidé de faire mieux. C'est humiliant, surtout pour lui en fait. Comme s'il se sentait obligé de rattraper tous ces mois où il a été médiocre si ce n'est pas simplement insuffisant.
En vrai, je ne dis pas grand chose dernièrement, je me ratatine très fort pour qu'on oublie mon existence ou même de prendre de mes nouvelles. Je fais les cents pas dans mon appartement en attendant le cours suivant. Ma vie est rythmée par ça, je n'ai jamais été aussi régulière, pas parce que ça m'intéresse mais parce que ça comble le temps. Je me suis rarement autant ennuyée dans ma vie, ce sera peut-être bénéfique pour plus tard, j'ose espérer réfléchir au moins aux bonnes choses. La seule chose que je fais en dehors de prendre des notes, c'est être là pour ma maman. Aujourd'hui, elle a appris qu'elle aurait une chimio. Son regard, d'une tristesse presque indécente, m'a fait mal au cœur toute l'après midi. J'en parle à personne de ça. Pour quoi faire encore une fois ? Je n'ai même pas l'énergie, ni l'élan d'expliquer quoique ce soit à qui que ce soit. Je me sens profondément vide et épuisée, tout me coûte et la peur que tout ça ne perdure ne fait que me rattraper et lentement me ronger. Depuis des années, je sais que le réel problème larvant et latent est le manque d'intérêt et d'implication dans ma propre vie. J'ai compris que peu importe le lieu, les études, les gens dans ma vie, mon âge, ect, je ne grandirai jamais assez pour vouloir trouver un sens à tout ça. Je continuerai de me plaindre des années jusqu'au jour où je réaliserai que c'est réellement pénible et irréversible. Chaque jour me donne une raison de mettre fin à ma vie de manière définitive. Je me sens particulièrement monstrueuse dans ma manière de ressentir les choses, ou de ne pas les ressentir, au choix. Quand je vois que mes décisions ne tiennent qu'à une prise de sang, je me demande réellement si un jour je vais pouvoir fabriquer à nouveau des émotions valides et viables. J'aimerais que les choses m'affectent d'un point de vue émotionnel, pas seulement pragmatique. Je suis très mal à l'aise avec moi même parce que j'ai l'impression qu'aucun individu n'arrive à trouver grâce à mes yeux, si c'est hautain à lire, alors c'est aussi hautain à ressentir.
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Rubrique enseigne-moi Seigneur !
VOICI CE QUE VOUS NE SAVEZ PAS SUR LE SAINT-ESPRIT. Par Pasteur Benny Hinn.
Lors d'un temps d'étude de la Parole, j'ai dit à ma femme : "Tu sais, je sens la présence de Dieu sur moi". Voici ce qui m'a touché ce soir-là, alors que je cherchais le sens des mots et leur lien avec l'Esprit.
Je me demandais ce que signifiait vraiment "attrister" l'Esprit.
Ce que j'ai appris, c'est que le Saint-Esprit n'est pas simplement un esprit qui peut avoir une forme. Il est si réel qu'on peut lui résister.
Beaucoup de gens pensent que le Saint-Esprit est un vent. Mais ce n'est pas le cas. Ce n'est qu'un symbole de plus dans la longue liste des symboles descriptifs utilisés pour communiquer l'Esprit - l'huile, l'eau, une colombe, un nuage, la lumière, et bien d'autres encore. Cela ne signifie certainement pas qu'il ressemble à ses symboles.
Le vent est invisible à l'œil, mais on ne peut pas lui résister.
Le mot résister signifie s'opposer. Vous ne pouvez pas vous opposer au vent.
Essayez de vous opposer au vent et il passera à côté de vous. Mais vous pouvez vous opposer au Saint-Esprit. Vous pouvez l'empêcher de travailler. Étienne, dans son discours au Sanhédrin, a cité Moïse : "Vous avez le cou raide et vous êtes incirconcis de cœur et d'oreilles. Vous résistez toujours à l'Esprit Saint, comme vos pères l'ont fait, et vous aussi" (Actes 7:51).
Ils se sont opposés à lui et, malheureusement, ils ont réussi. Rappelez-vous ceci : vous ne pouvez pas résister au vent, à l'huile, ou même à une colombe qui s'envole, mais vous pouvez résister à une personne - et c'est ce qu'est le Saint-Esprit.
J'ai ensuite recherché les mots chagrin et affligé dans le grec original. La racine du mot est loopa. Et voici ce qu'il signifie : ressentir une douleur dans le corps et l'esprit. Cela signifie souffrir d'une angoisse mentale et physique.
Le Saint-Esprit est une personne, sinon Paul n'aurait pas dit : "N'attristez pas le Saint-Esprit" (Eph. 4:30). Le Saint-Esprit ne fait pas que blesser. La blessure opère au niveau des émotions. Il attriste, et cela va beaucoup plus loin.
Non seulement cela, mais le Saint-Esprit peut être éteint.
Paul a averti l'église de Thessalonique : "N'éteignez pas l'Esprit" (1 Thess. 5:19).
Vous ne pouvez pas éteindre le vent ou d'autres symboles. Mais on peut arrêter une personne. Et c'est ce qu'est le Saint-Esprit.
Vous devez également comprendre que le Saint-Esprit peut être affligé et tourmenté. Il peut être contrarié. Ésaïe a parlé de la bonté du Seigneur et de sa miséricorde envers Israël : "Mais ils se sont rebellés et ont contrarié son Saint-Esprit ; c'est pourquoi il est devenu leur ennemi, et il a combattu contre eux" (Ésaïe 63:10 KJV). C'est difficile à imaginer, mais c'est vrai. Le Saint-Esprit peut être tourmenté par des êtres humains.
Dans la langue originale, vexer signifie user, troubler, voire affliger. Seule une personne peut devenir la cible de tels tourments.
Un vent violent ne peut être calmé, mais le Saint-Esprit peut l'être : Il m'appela et me parla en ces termes : Voici, ceux qui ont donné du repos à mon Esprit" (Zacharie 6:8). Le Saint-Esprit est une personne qui répond à vos souhaits. Vous pouvez lui dire de se taire et il le fera. Mais vous courez alors le risque de l'attrister.
Tant de fois, dans des réunions publiques, j'ai vu le Saint-Esprit sur le point de parler, puis se calmé par une manifestation charnelle.
Le Saint-Esprit n'est pas un combattant, c'est un amoureux. Si vous lui résistez, il s'en ira. Il n'est pas comme Satan, dont la Bible dit qu'il "s'enfuira" de vous si vous lui résistez. Le Saint-Esprit ne s'enfuira pas dans la peur, mais il quittera votre présence avec un cœur blessé. S'il est affligé, il se retire doucement. S'il est éteint, il partira tranquillement.
Il est tragique de penser que les gens vexeraient ou tenteraient de calmer une personne aussi charmante. Mais ils le font. Les enfants d'Israël l'ont fait. Et aujourd'hui, alors qu'il aspire toujours à notre amour et à notre communion, nous le blessons par notre ignorance et notre rébellion.
J'entends encore Kathryn Kuhlman, à Pittsburgh, sangloter d'agonie : "S'il vous plaît ! Ne le blessez pas. Il est tout ce que j'ai.
Que Dieu vous bénisse !
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Cet amour.
Ce que tu provoques en moi, j'aurai jamais pu le prédire. Tu me fais ouvrir les yeux chaque matin. La chaleur que je ressens du plus profondément de mon coeur est toujours présente quand je te regarde. Ta simple existence, ta présence seule, ton regard et ton attention provoquent tout ce bonheur en moi. Tu ne fais rien pour ça. C'est juste inné. Quand je te vois, je peux pas m'empêcher de sourire, te dire des mots doux, vouloir te prendre dans mes bras, te serrer contre moi, te protéger, je tuerai pour toi même s'il le fallait. Pourtant, tu vois, je sais que t'es unique, mais en même temps, t'es pas la première à me faire ressentir tout ça. Il y a elle aussi. Et toutes les autres avant toi. Ça fait plus de vingt ans que je meurs d'amour pour vous, et que je sais que je m'effondre toujours quand l'une de vous doit tirer sa révérence, s'en aller de gré ou de force. Ça me tue, et je me suis toujours demandée ce que vous, vous ressentiez. Alors des fois je vous regarde, toutes les deux. Vous êtes belles, incroyables, exceptionnelles. Puis je prends peur, je souffre intérieurement et mon coeur se serre, sous la douleur future que j'éprouverai un jour. Je ne veux pas y penser, mais ça revient, toujours. Car même si cet amour est visiblement partagé, il ne l'a pas toujours été, pas avec toutes. Mais ça n'enlève rien à la douleur, tu comprends ? Je l'ai trop vécu, ressenti, haï, ce moment. Je ne veux pas le revivre. Alors, j'espère que je vous offre la meilleure vie possible. Je ne suis pas parfaite, mais je ne coure pas après votre amour à vous. Je veux votre bonheur. Et de toutes façons, j'ai assez d'amour à donner. Peu importe que vous le partagiez ou non, quelque part. Ça ne changera jamais ce que je ressens moi. Et au fond, c'est aussi ça qui compte. On ne peut pas forcer les gens à nous aimer, et on souffre de cette non réciprocité, et ça nous tue. Mais avec les animaux, ce qui me tue, c'est lorsque quelque chose nous sépare à jamais de vous.
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Pourquoi il est si difficile d'oublier un menteur ?
Traduction libre du texte de Heidi Priebe : Why It’s So Hard To Get Over A Cheater
Il est difficile d’oublier un menteur car lorsque tu quittes la relation, tu dois faire le deuil de deux personnes. La première, c’est le connard qui t’a menti, trompée, dans toute sa gloire imparfaite. C'est la personne contre laquelle il est facile de se mettre en colère, la personne avec laquelle il est facile de couper le contact, la personne sur laquelle il est facile de dire du mal quand tu sors boire des cocktails avec tes copines le soir. C'est la personne que tu es heureuse de quitter parce que tu sais que tu ne mérites pas ses conneries dans ta vie.
L'autre personne dont tu dois te défaire, c’est celui que tu pensais qu'il était. La relation que tu pensais avoir. La confiance que tu avais si soigneusement construite, sans savoir que les fondations étaient sur des sables mouvants. Ce n'est pas le menteur que tu pleures à 4 heures du mat' quand tu rentres seule du bar et que tu as envie d'appeler pour lui dire qu'il est pardonné ; c'est son alter ego toujours parfait. Celui avec qui tu as construit une vie. Celui en qui tu as placé ta confiance. Celui dont tu pensais qu’il serait toujours là, jusqu'à ce qu'il ne le soit plus. Tu détestes la personne qu'il est devenu, mais tu aimes la personne qu'il était. Tu aimes la façon dont les choses étaient. Tu aimes le souvenir de chaque jour de bonheur et d'ignorance à ses côtés, si fort que cela te déchire.
Il est difficile d’oublier un menteur parce que tu n’obtiens jamais la conclusion dont tu as besoin. Tu ne peux pas trouver de raisons valables pour expliquer ses mensonges - et je t’encourage vivement à ne pas essayer. Le fond de ton esprit ne fera qu'inventer des raisons blessantes : tu n'étais pas assez drôle, sexy ou séduisante. Tu n'as pas fait assez attention. Tu n'as pas pris assez de temps. Avec chaque titre de magazine criant "Comment plaire à votre amant" et "Comment ne pas faire fuir les bons", tu commences à penser que c'est ta faute s'il t’a trompée, pas la sienne. Tu sais que, logiquement, ce n'est pas vrai, mais c'est ce que tu ressens. Plus tu cherches une raison, plus la vérité t’échappe. Une simple erreur de jugement ne semble pas être une explication valable à l'enfer que tu as vécu. Alors tu cherches une raison plus grande, meilleure, qui n'existe pas.
Il est difficile d’oublier un menteur parce que la seule personne que tu détestes plus que lui, c'est toi-même. Tu te détestes d'être tombée amoureuse de lui. D’avoir investi en lui. D’avoir fermé les yeux sur chaque signal d’alarme, chaque red flag en cours de route. Tu t’en veux d’avoir cru à tous ses mensonges et de l’avoir laissé faire. Tu te détestes de ne pas avoir assemblé les pièces du puzzle que tu n'as jamais eues en main.
Il est difficile d’oublier un menteur parce qu'on nous donne rarement l'occasion de faire notre deuil. On nous encourage à ressentir toutes les émotions cinglantes que nous pouvons éprouver à son égard, mais on nous dit que nous ne pouvons plus l’aimer. Il ne peut pas nous manquer. Nous ne pouvons pas pleurer la perte de cet amour parce que nous devrions être trop en colère pour ressentir de la tristesse. On ne nous donne pas la possibilité de suivre le processus normal de deuil d'une personne qui a occupé une place importante dans notre vie. Et parce que nous essayons de nous priver de ce processus, la douleur est plus forte. Nous avons honte de les aimer encore. Honte d'avoir encore besoin de faire notre deuil. Honte de ne pas être prêts à recommencer tout de suite, même si nous savons que nous méritons tellement mieux. Honte parce que cela doit nous rendre faibles de ressentir autre chose que de la haine.
Il est difficile d’oublier un menteur parce que la véritable personne que nous devons pardonner en fin de compte, c'est nous-mêmes. Nous devons nous pardonner d'avoir raté les signes que nous n'aurions pas pu voir. D'avoir perdu un jeu pour lequel nous n'avions jamais signé. D'avoir eu une connexion parfaitement naturelle avec une personne qui s'est avérée ne pas être celle qu'elle prétendait être. Nous ne voulons pas accepter que de mauvaises choses puissent nous arriver sans raison. Que nous pouvons être trompés et traités injustement et finir quand même par être le perdant à la fin. Nous voulons croire à l'équilibre éternel de l'Univers, qui suggère que lorsque nous souffrons, nous avons fait quelque chose de mal. Il est difficile d’oublier un menteur parce que cela signifie accepter l'idée bizarre que la vie peut être injuste dans le sens le plus dur du terme.
Il est difficile d’oublier un menteur parce qu’une trahison de confiance met ton monde sens dessus dessous. Et la seule façon de le remettre à l'endroit est de s’autoriser à y travailler. Accepter ce qui s'est passé. Faire le deuil de quelqu'un que l'on déteste. Faire le deuil d'une relation dont on s'est éloigné. Travailler sur chaque situation paradoxale à laquelle on doit faire face, jusqu'à ce que nous arrivions de l'autre côté. Le côté remis à zéro. Le côté où nous ne nous contentons pas de prétendre qu’on mérite mieux - on le sait. Et le côté où nous sommes fières de ne jamais avoir accepté moins.
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J'ai pas la sensation que j'arriverais à passer une année de plus. Pour autant je n'ai plus du tout envie d'appeler à l'aide. J'ai hérité d'une lassitude face aux difficultés que je ne supporte plus de ressentir, et que je n'arrive plus à surpasser pour combler le vide de l'incompréhension et du dégoût d'incompétence. J'ai rencontré le bonheur une fois. Il m'a dit qu'il n'avait pas le temps d'attendre et qu'il c'était trompé de chemin. Il courait tellement vite que je n'arrivais pas à dépasser son ombre.
Peut-être que je m'adresse déjà à toi, visiteur venu d'un autre temps.
J'ai un espèce de trou, un tourbillon de douleur qui se rétracte souvent à l'extérieur de mon coeur, je sens cette énergie noire se nouer et s'étendre parfois sous mon aisselles, a côté de mon sein, parfois jusqu'au coude comme s'il lui demandait de se déloger. Je sais que les mots ne changeront rien. Et je sais que il n'aurait jamais été saint et raisonnable de te demander de revenir, même si je l'ai fait. C'est pour ça que la douleur reste.
Elle t'a donné la force de me causer du tort. Je le sens au plus profond de mon ventre, mes dents et la tête. ma fierté, résonne et paralyse mes actions dans une incontrôlable projection de ce que tu m'as fais voir de toi. Je vais mourir de cette histoire. Elle ne m'a pas laissé le temps de te prouver ou se trouve la vérité. Cette vérité que je vais emporter avec moi. Tu aurais dû me sauver, une seule et unique fois. Cette fois où on s'était rencontré.
Celle où je me suis trompée n'aurait jamais dû compter. On aurait dû simplement passer à autre chose, c'était réglé, ça s'appelle grandir et s'autoéduquer.
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Coucou coucou ! J'ai vu que tu prenais des requêtes pour des short fics, pourrais-tu s'il te plaît écrire un petit quelque chose sur Arthur et Guenièvre qui discutent au lit, après leur première fois ensemble ? (genre le ressenti de la reine après un tel événement ? ^w^)
Coucou Anon! Voici le short que tu attendais! J'ai peut-être légèrement remanié le sujet, mais je pense que l'idée est là <3 J'espère que ça te plaira ^^
Guenièvre Regardait le plafond, en sueur. Elle avait attendu toute sa vie pour cet instant. Elle était à présent une femme, comme dirait sa mère. Mieux vaut tard que jamais.
- Vous voulez qu'on discute un peu? Elle tourne la tête vers Arthur. Il est tourné vers elle, avec un petit sourire. - Quoi? - Je sais pas, je me disais, peut-être, vous auriez envie de discuter. Ou alors vous voulez dormir? Elle lui jette un regard, avant se se tourner à son tour vers lui. - ça vous fait quel effet? - Quoi? - Est-ce que ça vous... ça vous envahi, comme ça, d'un coup? Vous savez, vous sentez le truc monter, et puis d'un coup ça explose? - Oui. - Et les sensations? Quand on vous touche... - Quand vous me touchez. Je ressens pas ça avec Perceval, ou avec Karadoc. Elle lui jette un petit regard surpris, puis esquisse un petit rire en imaginant Arthur ressentir ce genre de choses en étant frôlé par un de ses chevaliers. Rire qui se transforme rapidement en fou rire. Elle n'arrivait pas à s'arrêter, et Arthur se colla contre elle avec un petit sourire. - Vous vous moquez de moi ma tendre épouse? - Non, je... Elle essuya les larmes qui perlaient au bord de ses yeux. - J'ai juste imaginé vos réactions avec d'autres personnes. Il fait la moue, avant d'enfoncer son visage contre son cou, pour l'embrasser. Pour la chatouiller. - Vous vous moquez de moi. Vous êtes une bourrique. Elle se met à rire, un peu plus, jusqu'à ce que les baisers d'Arthur ne fassent leur effet. Il recule, pour pouvoir la regarder droit dans les yeux. - C'est moi qui vous fait cet effet ma chère? Elle le fixe, longuement. - La première fois, il paraît qu'on est tout tourneboulé, tout excité. Demetra me disait que la première fois, on est tellement sous le coup des émotions qu'on a envie de bouger dans tous les sens, de rire, de recommencer...de tout sauf de dormir. Elle rougit doucement. - ça vous gêne que j'évoque son nom peut-être. - Non. Démetra était une amie. Parfois. - J'ai été con de vous délaisser aussi longtemps. Si vous voulez recommencer, si vous voulez quoi que ce soit, vous pouvez m'en parler. - Mettre mes pieds glacés sur les vôtres? Arthur esquisse un sourire. Qu'il était beau quand il souriait, comme ça. Pour elle. - Je ferai un effort, mais vous me laissez râler. Elle l'embrasse doucement, avant de le fixer. - Vous m'avez toujours fait cet effet, vous savez. Cette vague, quand on sent qu'on va se faire happer, juste avant les baisers, quand on fait que se frôler... ça m'arrivait toujours. Quand vous me frôliez, quand vous me teniez contre vous, quand on devait danser. Quand vous me regardiez. Je chavirais à chaque fois. Je pensais que c'était moi qui avait un soucis, à force. J'ai même consulté Merlin à une époque? Arthur l'embrasse à son tour. - J'ai eu de la chance que vous ne m'abandonniez pas. Que vous m'en donniez une autre, de chance. - Et moi j'ai de la chance que vous vous soyez entraîné pendant des années avec toutes sortes de femmes. Arthur s'était attendu à ce que ça sonne comme un reproche. Mais Guenièvre souriait malicieusement. Il se mordit la lèvre. - Si vous voulez, on peut tester autre chose... Elle se met à rire alors qu'il écrase ses lèvres contre les siennes. Elle nage dans le bonheur.
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