#je ne pouvais pas résister
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"Blouge"
Elven word of the day, 210/?
caralluin from Sindarin
Meaning “red blue”
Source: Vinyar Tengwar
Note: this word was possibly abandoned by Tolkien which is sad because it’s a very interesting word. That being said, the two parts making it up do remain
There is no other word for purple in Sindarin though it may be possible to make one using Quenya words for purple flowers whose etymologies refer to their color
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Synopsis : Le lecteur est un garde de Padmé Amidala, il a rencontré Anakin sur Naboo lors d'une promenade près des lacs. Un soir, Anakin reste dormir sur la planète Naboo pour protéger la princesse de potentielle représailles du comte Dooku sur ordre du conseil jedi.
Avertissement : Relation entre hommes (gay), Domination, Dom Anakin, relation sexuelle, contenu +18, sex oral, sex anal, fessée, Cochonneries, langage grossier.
Si quelque chose vous dérange ne lisez pas !
La nuit tombé sur la magnifique planète Naboo, Vous aviez fini de monter la garde auprès de la princesse Amidala, vous rejoigniez les jardins, respirant l'air frais et agréable, les derniers rayons du soleil se reflétant dans le lac situé au pied du palais. Vous sentiez une ombre plané au dessus de vous et saviez de qui il s'agissait.
« Ani ! » il se tenait debout près de la porte d'entrée, sa silhouette grande élancée et sublime, un sourire fier et effronté que vous trouvez tellement sexy et attirant chez lui. Mais vous étiez aussi très inquiet.
« Ani, et si la princesse nous voyait ? Ou que quelqu'un nous voit ensemble ? »
« Tu te fais beaucoup trop de soucis Y/N, je sais que tu a eu envie de moi toute la journée, n'est-ce pas ? » Anakin s'avança dangereusement vers toi, toujours le même sourire aux lèvres, il te regardait te lançant un air de défis. Tu recula l'air gênée, car tu était réellement anxieux par la situation, c'était vraiment grave pour toi, mais mon dieu tu adorais Anakin ! Il était tellement beau, séduisant et fort, comment aurais-tu pu résister face à son charme ? Tu avais essayais mais Anakin t'avais comme ensorcelé !
Anakin leva une main vers toi pour te caresser délicatement la joue droite, le contact de ses long doigts fin contre t'a peau te fit frissonner, tu avais tellement peur que l'ont te surprenne avec lui, mais d'un autres côtes tu avais tellement envie de lui.
Un garde ouvrit la porte et Anakin te chuchota a l'oreille d'une voix grave
« Dans ma chambre, et vite ! »
Anakin partit, et tu reprit alors ton sérieux en franchissant la porte du palais, tu te remémorer l'excitation que tu avais ressentit. Mais tu voulais beaucoup plus, tu voulais être à lui, tu était addicte à lui ! Tu sentais une chaleur montait en toi qui te fit rougir d'excitation et tu te précipita dans les escalier pour le rejoindre. Discrètement tu te faufila dans le couloir des invités, tu arrivas devant la porte de sa chambre mais tu fut surpris de la voir s'ouvrir toute seul, tu pénétra dans la pièce et vit Anakin assit près de la fenêtre au fond de la chambre, sa robe de jedi reposait sur une chaise, le col de son haut blanc était très large, tellement que tu pouvais voir une partie de son torse et tu te senti à l'étroit dans ton pantalon. Tu fut interrompu dans t'es pensées par le claquement de la porte qui te fit sursauter.
« La force. » dit Anakin d'un air presque vantard, mais qui te faisait littéralement fondre et te donner chaud !
« Y/N, enlève t'es vêtements, pose les au pieds du lit » dit Anakin, penchant légèrement la tête sur le côtés gauche pour t'observer. Tu t'exécuta en silence, ton érection ne pouvait être dissimuler.
« Tu as penser à moi toute la journée hein ? Tu n'en pouvais plus d'attendre... »
Il se leva et se tient droit devant toi.
« Met toi à genoux ! » ordonna-t-il simplement.
« Oui Ani !
« Tu es un bon garçon Y/N ! Défait mon pantalon maintenant »
Tu t'exécuta en hochant la tête, et la vis enfin, son énorme bite, dur, dresser devant toi.
« Tu meure d'envie de la goûter n'est-ce pas ? Salope. »
Timidement tu léchais son gland puis toute sa longueur.
« Voilà doucement, maintenant suce là ! »
Tu le fit immédiatement. Sa bite était délicieuse tu te redressa un peu pour le regarder pendant que tu le suçait.
« T'as bouche est tellement chaude. »
Il se retira de t'as bouche, et tu fut surpris. Tu osa prendre la parole.
« Ani ! Pourquoi tu t'éloigne je croyais que tu aimais mon travail ?! »
« Quelle petite salope ! Tu la veux encore tu ne peux pas t'en passer ! »
« Oui Ani ! »
Anakin se détourna de toi pour enlever son pull, et le jeta près de son lit. Tu était toujours à genoux, perplexe. Il revient vers toi te regardant de haut en bas, son torse était incroyable et tu ne pouvais t'empêcher de le contempler.
« Tu en veux plus ? Y/N ? Tu veux ma bite ? Alors approche toi, rampe jusqu'à moi ! »
Tu le rejoignis et tu posa une main sur son torse
« Je t'en supplie Anakin Skywalker ! J'ai envie de toi depuis si longtemps, j'ai pensé à toi toute la journée ! Je te veux en moi, je veux sentir t'a bite en moi, je veux encore la sucer ! »
Anakin se saisit de ton bras secouant la tête.
« Tu es un vilain garçon Y/N ! je vais devoir te corriger... »
Anakin se laissa tomber sur son lit et tapa sur ses genoux.
« Met toi sur mes genoux, que je te corrige ! »
Votre pénis était sur le point d'éjaculer, l'attente était délicieusement insupportable, mais vous lui obéissiez et monter sur ses genoux, le cul bien en l'air. Il effleurait la peau de votre cul, puis, sans prévenir vous mis une grosse fessée.
« Cesse de crier comme ça, Y/N, quelqu'un va t'entendre, notre relation doit rester secrète, non ? »
Il te remit une fessée plus forte encore puis au bout de six ou sept, il te fit signe de t'allonger sur le lit. Il léchait un de ses doigt et l'enfonça à l'intérieur de ton cul.
« Putain Ani ! C'est tellement bon ! »
« Tu aime ça hein ? Ma petite salope »
il se pencha pour t'embrasser sauvagement et continua des vas et vient dans ton cul. T'as bite palpitait, tu était deja au bord de l'orgasme.
Puis il décida d'introduire sa bite dans ton cul.
« Tu la sent bien Y/N »
« Ouais Ani, continu je t'adore tellement »
Il t'a pris en position missionnaire, tu pouvais voir son torse brillant et tonic au dessus de toi, son regard intense transperçait t'es yeux larmoyant.
« Bon garçon ! »
Anakin poussa encore plus fort sa bite à l'intérieur de ton cul, un rythme encore plus rapide et joui en laissant échapper un gémissement de pur plaisir.
Il se saisit de t'as bite et te masturba rapidement.
« Tu peux jouir maintenant Y/N. »
Tu joui dans sa main, et il porta cette dernière à t'as bouche.
« Tu as était un bon garçon, très doué et dévoué »
Il te mit une petite claque sur les fesses puis enfila son pantalon.
« Je vais retourner dans ma chambre discrètement, d'accord ? » Dis-tu.
« Oui tu peux y aller, Ma mission n'est pas encore terminé je vais sûrement rester encore une ou deux semaine sur Naboo. Les séparatistes n'ont qu'un désir c'est de voir Padmé morte, et je ne le permettrais pas ! »
Tu te lève et remet t'es vêtements, tu ne prend même pas la peine de lui parler de Padmé, il était amoureux, et tu savais qu'il la choisirait elle plutôt que toi. Tu préfère juste ne pas y penser, et profiter de ces moment unique de pur luxure que tu avais avec lui.
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[The sea shall be like magic between us.]
IX - Nuit sans fin
La dernière conversation avec Christina, où je lui avais dit que j'avais utilisé les toilettes du Café d'Auteur, un café fermé depuis cinq ans, avait été un avertissement. Sans parler des huit heures que j'avais complètement bloquées, pendant lesquelles je lui avais apparemment demandé de rechercher d'éventuels liens entre Leonora Carrington et Italo Calvino. Des cartes de tarot, des chansons codées, des cartes du monde étranges trouvées sur des sites web encore plus étranges ? Euphémie ? Je perdais la tête.
Les mois passèrent et la vie reprit son cours normal. Trop de travail, trop de télévision, trop de consommation de nouvelles (qui devenaient de plus en plus déprimantes chaque jour). Le monde fascinant de Leonora et ce jeu (ou quoi que ce soit) était une tentation constante. Une évasion de la monotonie. Mais ça avait aussi un air de danger et j'ai donc réussi à résister à l'envie.
En février, j'ai pris l'Eurostar pour voir un ami à Londres. Et chaque fois que je suis à Londres, on va à Tate Modern, cet incroyable musée de la couverture de l'album Pink Floyd. L'expo cette fois ? "Le surréalisme au-delà des frontières", mettant en évidence l�� œuvre de Carrington. Bien sûr. Mon ami avait déjà acheté des billets et j'étais sûr que le jeu ne me suivrait pas à Londres. Donc, hop, on est parti.
L'expo était incroyable et consistait en des peintures d'artistes avant-garde un peu moins connus, comme Erna Rosenstein, Dédé Sunbeam, Ikeda Tatsuo, Hector Hyppolite, Eugenio Granell, Giorgio de Chirico et Remedios Varo. C'était comme passer d'un rêve étrange à un autre.
En particulier, les peintures de Leonora étaient fascinantes. L'expo présentait plusieurs de ses tableaux, dont sa toute première, intitulée Autoportrait (L'auberge du cheval de l'aube).
Cette peinture est normalement dans le Metropolitan Museum of Art de New York et c'était cool de pouvoir la voir. C'est une scène (en fait, deux scènes si tu comptes ce qui se passe dehors) à la fois très simple et vachement dramatique, à la fois stéréotypé féminin et masculin. Leonora et la Hyène regardent directement le spectateur, reflétant le comportement de l'autre. En fait, Leonora était souvent liée aux Hyènes, disant "je suis comme une hyène, je rentre dans les poubelles, j'ai une curiosité insatiable". La Hyène réunit ici le mâle et la femelle en un tout, métaphorique du monde de la nuit et du rêve. Pour moi, ce tableau est une exploration de soi, le côté sauvage, le côté curieux, le côté qui cherche la liberté.
J'étais là depuis longtemps à regarder le tableau quand une jeune femme est apparue à côté de moi. Au début, on a regardé le tableau en silence, mais après un certain temps, elle m'a posé une question. "Qu'est-ce que vous pensez que c'est, cette tache à côté de la Hyène ?" Franchement, je l'avais à peine remarqué, mais j'ai répondu, "C'est une bonne question, j'ai supposé que c'était juste une erreur qu'elle essayait de cacher ?" "Une hypothèse sûre", a-t- elle répondu. "Bien que… Carrington était apparemment depuis sa plus tendre enfance très fasciné par les aes sídhe, un peuple féerique surnaturel lié à la mythologie celtique des Gaëls à partir des histoires que sa mère, sa grand-mère et sa nounou lui avaient racontées. Peut-être que ce sont eux qui font une apparition."
C'était la première fois que j'entendais ça et j'étais vraiment intéressé à en savoir plus. Elle s'est présentée comme Ester et on a longuement parlé de Carrington, les Tuatha Dé Danann (la mythologie celtique irlandaise) et du surréalisme. Elle possédait une librairie pas trop loin de chez moi et avait clairement plongé dans sa propre marchandise. Quand mon ami réapparu (il avait disparu dans les œuvres d'André Breton), elle m'a donné la carte de visite de sa librairie et m'a dit qu'elle avait un livre qui pourrait m'intéresser. Si je voulais, je pouvais venir à tout moment pendant ma visite à Londres. Je l'ai remercié pour la conversation et lui ai dit au revoir.
J'ai passé un bon moment à Londres, avec beaucoup de cocktails, pâtisseries scandinaves et cuisine indienne. Le dernier jour, j'ai retrouvé la carte de visite pour The Library of Babel que Ester m'a donnée. C'était à proximité. La commodité et ma curiosité m'ont rendu impossible de résister.
Après avoir parcouru les petites rues pendant trente minutes, j'ai finalement trouvé la librairie. Avec un nom si spectaculaire, je ne m'attendais pas à un endroit aussi discret; un petit panneau étant la seule indication de ce qui nous attendait à l'intérieur. Je suis entré et j'ai vu immédiatement livre après livre. Le magasin se composait d'un bureau en bois et d'un nombre apparemment infini de livres empilés au hasard derrière. Je ne pouvais pas comprendre comment quelqu'un pouvait trouver quelque chose là.
Je n'avais même pas remarqué la personne qui était assise au bureau avant qu’il me demande si j'avais besoin d'aide. Je lui ai dit que j'avais reçu une invitation de Ester. Sans même demander mon nom, il dit "Ah oui, Ester a dit qu'elle est désolée de ne pas pouvoir être ici aujourd'hui, mais elle vous a laissé ce livre." Je l'ai remercié et j'ai attrapé mon portefeuille, mais il a immédiatement dit "non, non, pas de soucis".
Une fois à l'extérieur de la librairie, j'ai vu la note attachée au livre, "J'espère que ce livre vous trouvera bien et éclairera le chemin. Que les aes sídhe soient à vos côtés, toujours."
Le livre était intitulé Nuit sans fin et était une sorte de recueil de poésie. Je l'ai feuilleté lentement jusqu'à ce que j'arrive aux deux pages du milieu. Un frisson parcourut ma colonne vertébrale. Là, au milieu du livre, il y avait la même carte que j'ai trouvée sur le site web crypté.
#s11e07 favorites with a twist#guy fieri#guyfieri#diners drive-ins and dives#i tego arcana dei#terra incognita
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** suite de l'imagine sur Brando**
La nuit tombait sur Rome
enveloppant la ville dans une atmosphère de mystère et de sensualité. T/P le cœur battant la chamade, se trouvait à nouveau en présence de Brando. Ils étaient montés sur la terrasse d'un immeuble abandonné, dominant les rues animées en contrebas. Le vent chaud de lété caressait leur peau, ajoutant une tension électrique à l'air déjà chargé de désir.
Brando se rapprocha lentement, ses yeux sombres fixés sur elle. "Je savais que tu ne pourrais pas résister," murmura-t-il, sa voix grave résonnant comme une promesse interdite.
Immédiatement, ses pensées embrouillées par la proximité de son corps, par ce mélange enivrant de danger et d'attraction. Elle sentait chaque fibre de son être vibrer sous le regard intense de Brando.
"Peut-être que c'est toi qui ne pouvais pas résister," répliqua-t-elle finalement, défiant l'arrogance de Brando par un sourire provocateur
Sans avertissement, il l'attira brusquement contre lui, leurs lèvres se rencontrant dans un baiser féroce et passionné. La chaleur de son corps contre le sien, la force de ses mains sur sa taille, tout semblait irréel, comme si le monde entier avait cessé d'exister, ne laissant qu'eux deux, consumés par un désir irrésistible
Leurs baisers devinrent plus urgents, leurs mains explorant avidement chaque centimètre de leur peau. Brando, toujours maître de lui-même, poussa T/P contre le mur de la terrasse, sa respiration lourde dans son oreille. "Tu sais que tu joues avec le feu, n'est-ce pas?" murmura-t-il, ses lèvres effleurant son cou.
"Et toi, tu crois que je vais me brûler?" répondit-elle, sa voix tremblant d'excitation.
"Je sais que tu le veux," dit-il en glissant une main sous son chemisier, ses doigts caressant sa peau brûlante
T/P gémit doucement, ses mains agrippant les cheveux de Brando l'attirant encore ~''s près. "Peut-être que je veux plus que ça"
Souffla-t-elle.
Brando sourit contre sa peau, son regard s'embrasant de désir. "Je peux te donner tout ce que tu veux," dit-il avant de la soulever dans ses bras et de l'emmener à l'intérieur du bâtiment, dans une pièce à l'abandon,.
I|s tombèrent sur un vieux matelas, leurs corps enchevêtrés, la passion les consumant. Les vêtements volèrent, leurs respirations se mêlèrent, et bientôt, ils ne furent plus qu'une seule entité, mouvante et haletante, en quête d'un plaisir inégalé.
Brando, toujours dominant, prit le contrôle, ses mouvements précis et déterminés, tandis que T/P
s'abandonnait complètement, perdue dans la chaleur et l'extase de l'instant. Chaques gémissement, chaques soupire dans la pièce témoignant de la tension que faisait ressentir Rome et sa nouvelle arrivante.
Alors qu'ils reprenaient leur souffle allongés côte à côte sur le matelas délabré, Brando tourna la tête vers T/P un sourire satisfait aux lèvres, 'Je t'avais dit que Rome pouvait te dévorer. N
T/P, le regard encore brillant de passion, répondit avec un sourire tout aussi provocateur. "Peut-être que j'aime être dévorée."
Brando éclata de rire, la tirant contre lui. "Tu es vraiment une fille unique, T/P. Peut-être que Rome n'a jamais rencontré quelqu'un comme toi."
Et tandis que la nuit avançait enveloppant leur liaison interdite dans un voile de mystère et de désir, ils savaient tout les deux qu'ils avaient franchis une ligne. Une ligne
Qui rendait leur relation encore plus dangereuse et remplie de tension.
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Scène 4 "Aunt Catherine"
Je n'en revenais pas, je n'imaginais pas ma tante frivole, ni aussi coquine en la dégager ses bras pour retirer sa robe. Je ne pouvais m'empêcher de me demander jusqu'où elle irait en découvrant son dos, sa lingerie noire. L'image de petites bretelles quand elle avait soulevé sa robe, je sentais mon érection à son comble en l'imaginant sans sa robe en lingerie avec son soutien-gorge, sa culotte transparente, et ses bas retenus par son porte-jaretelles. J'en oubliais presque d'immortaliser ce moment qui se transformait en strip-tease.
"Tu en profites coquin !" lâchait-elle en finissant de dégager son bras
"Oh oui tatie, comment résister à ce que tu m'offres"
"Et que vas-tu faire de ces photos ?" reprenait-elle
Je sentais son inquiétude, elle se tourna vers moi laissant son autre bras encore couvert par sa robe comme si elle attendait ma réponse avant de continuer
"Si tu le permet je garderai ces photos en souvenir de ce moment, tu sais je suis un homme et j'aimerai pouvoir les regarder de temps en temps"
"Promets moi que personne d'autre que toi ne les verra"
"C'est promis Catherine, elles resteront secrètes j''ai aucune envie de les partager, elles seront que pour moi"
Sans rien dire, elle se tourna pour dégager son autre bras laissant sa robe à sa taille. J'en profitais pour zoomer jusqu'à voir le grain de sa peau et les bretelles qui muselaient encore son dos et sa taille.
J'étais terriblement excité par la situation, et encore d'avantage d'avoir son accord pour garder ces photos qui immortalisaient ce moment intime entre ma tante et moi.
J'avais à peine 28 ans, je n'avais encore jamais eu de relation intime avec une femme de 50 ans, c'était une sorte de fantasme pour moi. Mais les femmes de cet âge me paraissaient inaccessibles mais depuis l'époque de mes 13 ans j'avais envie de partager le lit d'une femme mature. Je savais maintenant que cette femme qui avait fait germer cette envie allait probablement se donner à moi, peu importe que ce soit ma tante après tout même si cet interdit ajoutait de l'excitation. Elle me faisait énormement d'effet, mon pantalon ne pouvait plus masquer mon désir
A suivre ... (Scène 5 le 7 avril à 6h00)
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« Et je t’interpelle, Ô Soleil, pour te dire combien je hais tes rayons Qui me rappellent l’état d’où je suis tombé. Combien je te dépassais en gloire et magnificence Jusqu’à ce que l’orgueil et la funeste ambition provoquèrent ma chute ; Luttant au ciel contre le souverain unique des Cieux. – Ah ! et pour quel lieu ? Il ne méritait pas en retour une telle attitude de ma part Lui qui me créa pour occuper cette place éminente Et dans sa bonté ne m’adressait aucun reproche. Mes devoirs non plus n’étaient pénibles. Que pouvait-on faire de moins que de lui offrir des louanges ? – Cette récompense la plus facile – et lui offrir de la gratitude ? Combien elle était due ! Cependant sa bonté infinie ne fit naître que le mal en moi, Et n’a suscité que le vice ; élevé si haut, Je haïssais la soumission et pensais que de là, Je pourrais m’élever encore plus haut et en un moment m’acquitter de la dette immense, de cette gratitude infinie, Si pesante, payant toujours, devant toujours, Oublieux de ce que je recevais sans cesse de lui. Et je ne comprenais pas qu’une âme reconnaissante, Étant comblée, ne soit pas obligée de s’acquitter mais s’acquitte encore et toujours étant à la fois Obligé et acquitté : étrange fardeau ? Si seulement sa puissance avait fait de moi Un ange inférieur, j’aurais été heureux. Aucun espoir démesuré n’aurait éveillé l’ambition. Pourquoi pas ? Quelque force Aussi grande aurait pu m’attirer et moi, bien que médiocre, faible, J’aurais été aspiré vers elle ; mais d’autres puissances aussi grandes Ne tombent pas, et demeurent inébranlées, et armées Contre toutes les tentations du dedans et du dehors. As-tu la même liberté de Volonté et le pouvoir de résister ? Tu l’as. De qui l’as-tu ? Ne devons-nous pas reprocher À la prodigalité des Cieux l’inégalité de leurs dons ? Que son amour soit maudit puisque l’amour et la haine Sont UN pour moi et me cause une douleur éternelle. De même sois maudit, toi, puisque contre la sienne, ta volonté À choisi librement ce qu’elle déplore si justement maintenant ! Comme je suis misérable ! Où fuirais-je Ma colère infinie, ma fureur infinie ? Partout où je fuis est l’enfer Et moi-même je suis l’enfer, et dans l’abîme le plus bas, un abîme encore plus bas Menaçant toujours de me dévorer s’ouvre tout grand Auprès duquel l’enfer où je souffre semble un ciel. – Ô alors, laisse-toi fléchir enfin : n’y a-t-il pas place Pour le repentir et pas place pour le pardon ? – Aucune si ce n’est par soumission. Et ce mot La haine me défend de l’articuler, et la crainte de la honte Auprès des esprits inférieurs que j’ai séduits Avec d’autres promesses et d’autres vantardises Autres que la soumission, me vantant que je pouvais soumettre le Tout-Puissant. »
John Milton, Le Paradis perdu
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Méditation matinale du vendredi 13 décembre 2024 avec le prophète Jean Élie Onction.
Thème: Juste une parole pour toi...
"Pasteur, comment puis-je appliquer la Bible à la situation de ma vie à chaque fois. Je veux commencer à faire les choses à la manière de Dieu"
Outre le fait que la Bible nous révèle les systèmes du royaume de Dieu, elle reste le livre le plus sage du monde aujourd'hui. Appliquer les vérités bibliques à vos expériences de vie quotidienne vous permettra sans aucun doute de vous démarquer dans la vie.
Pour vous aider à comprendre comment la Bible ou les Écritures s'appliquent à notre vie quotidienne, je décrirais quelques scénarios et donnerais un passage biblique qui convient.
- vous êtes peut-être tenté de faire quelque chose que vous savez être mal. Peut-être que vos collègues ou amis le font et qu'ils ont essayé de vous convaincre de les rejoindre :
1 Corinthiens 10:13 Les tentations dans votre vie ne sont pas différentes de ce que les autres vivent. Et Dieu est fidèle. Il ne permettra pas que la tentation soit plus que ce que vous pouvez supporter. Lorsque vous êtes tenté, il vous montrera une issue afin que vous puissiez endurer.
Dieu ne permettra pas que tu traverses une tentation à laquelle tu ne peux pas résister. Ce qui signifie que si tu traverses une telle tentation, cela signifie que tu peux la surmonter. Tu dois simplement trouver le moyen d'en sortir que Dieu a créé pour cette situation dans sa Parole.
- Tu peux avoir l'impression que quelqu'un te désapprouve parce que tu es jeune :
1 Timothée 4:12 Que personne ne te méprise à cause de ta jeunesse. Sois un modèle pour les croyants en paroles, en conduite, en amour, en foi et en pureté.
Ne laisse pas le regard des autres déterminer ce qui est possible pour toi. Malgré ce qu'ils disent ou pensent, vas-y et développe-toi. Les gens changeront d'avis à ton sujet lorsqu'ils commenceront à te voir faire les choses mêmes qu'ils pensaient que tu ne pouvais pas faire.
- Tu as peut-être peur de quelque chose qui se passe dans ta vie en ce moment.
Deutéronome 31:6 Sois fort et courageux. Ne craignez point et ne soyez point effrayés à leur sujet, car l'Éternel, votre Dieu, marche avec vous; il ne vous délaissera point et ne vous abandonnera point.
Alors continuez à insister, sachant que Dieu ne vous a jamais abandonné un seul instant. Il est prêt à travailler avec vous pour trouver une solution. Vous avez peut-être fait quelque chose de vraiment mal, mais cela ne signifie pas que Dieu vous a abandonné. Il veut que vous vous releviez de vos erreurs et que vous repreniez le contrôle.
- Vos amis peuvent dénigrer quelqu'un ou quelque chose, et vous essayez de décider si vous devriez le faire aussi :
Éphésiens 4:29 Ne laissez sortir de votre bouche aucune parole mauvaise, mais, s'il y a lieu, quelque chose d'utile pour l'édification des hommes, afin qu'elle profite à ceux qui l'écoutent.
Regardez cela, au lieu de vous joindre à la conversation, parlez de la façon de changer la personne concernée.
- Vous vous demandez peut-être si Dieu vous a fait venir dans ce monde pour souffrir :
Jérémie 29:11 Car je connais les projets que j'ai formés sur vous, dit l'Éternel, projets de paix et non de malheur, afin de vous donner un avenir et de l'espérance.
- Vous avez peut-être l'impression de travailler toujours trop dur pour les autres.
Galates 6:9 Ne nous lassons pas de faire le bien, car nous moissonnerons au temps convenable, si nous ne nous relâchons pas.
- Vous vous demandez peut-être comment rester pur dans un monde vraiment sale.
Psaume 119:9 Comment un jeune peut-il rester sur le chemin de la pureté ? En vivant selon ta parole.
- Vous vous sentez peut-être perdu dans ce monde
Psaume 119:105 Ta parole est une lampe à mes pieds, une lumière sur mon sentier.
- Vous vous sentez peut-être désespéré.
Romains 15:13 Que le Dieu de l'espérance vous remplisse de toute joie et de toute paix dans la foi, afin que vous débordiez d'espérance par la puissance du Saint-Esprit.
- Vous vous sentez peut-être craintif ou anxieux face à une situation que vous traversez.
Philippiens 4:6-7 Ne vous inquiétez de rien, mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces. 7 Et la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos cœurs et vos pensées en Jésus-Christ.
- Vous pouvez avoir l'impression que Dieu vous guide pour faire quelque chose que vous avez peur ou que vous ne voulez pas faire.
Proverbes 3:5-6 Faites confiance au Seigneur de tout votre cœur et ne vous appuyez pas sur votre intelligence. 6 Soumettez-lui toutes vos voies, et il aplanira vos sentiers.
- Vous vous sentez peut-être fatigué et accablé par la vie et par les gens qui la traversent.
Matthieu 11:28-30 « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. 29 Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez du repos pour vos âmes. 30 Car mon joug est aisé et mon fardeau léger. »
Ésaïe 40:29-31 Il donne de la force à celui qui est fatigué et il augmente la force de celui qui est faible. 30 Même les jeunes gens se fatiguent et se lassent, et les jeunes gens trébuchent et tombent. 31 Mais ceux qui espèrent en l'Éternel renouvellent leur force. Ils s'élèvent sur des ailes comme les aigles; ils courent sans se fatiguer, ils marchent sans se fatiguer.
- Tout le monde peut être intéressé par des choses que vous savez être mauvaises.
Romains 12:2 Ne vous conformez pas au siècle présent, mais soyez transformés par le renouvellement de l'intelligence, afin que vous discerniez quelle est la volonté de Dieu, ce qui est bon, agréable et parfait.
- Vous vous demandez peut-être pourquoi Dieu aime toutes les races, professions, sexes, etc. différents.
Galates 3:28 ESV
Il n'y a plus ni Juif ni Grec, il n'y a plus ni esclave ni libre, il n'y a plus ni homme ni femme, car tous vous êtes un en Jésus-Christ.
D'après mon expérience, il y a toujours un passage des Écritures pour faire face à toute situation à laquelle nous sommes confrontés à un moment donné, le défi serait de nous engager à étudier jusqu'à ce que nous trouvions ce passage des Écritures.
Prophète Jean Élie Onction
Que Dieu vous bénisse.
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Troupes au sol pour Kouchner… et Macron veut SCALPer Poutine à coups de missiles !
Notre bon président Macron qui a réussi une clarification politique d’anthologie avec sa dissolution dont la réussite brillante raisonne encore à travers toute la nation, a décidé de fournir aux Ukrainiens de quoi SCALPer la Russie de Poutine. Et oui, nos missiles de longue portée se nomment les SCALP, alors je ne pouvais pas résister à ce jeu de mots puisque notre Macron est sur le sentier de la…
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Read this in French: Dialogue entre le Prince Héritier Angelo et Julia Channel (@thisisjuliachannel) :
Julia Channel dit : "Alors, dis-moi, on se connaît d'où ? Tu me donnes ta fausse identité maintenant ?"
Le Prince Héritier Angelo dit : "Ouais, okay ! Je me suis présenté à toi sous le nom de Valentin de Garges-lès-Gonesse de Sarcelles. Tu pensais que j'étais un mec de cité de Sarcelles."
Julia Channel dit : "Sérieux, tu t'appelais Valentin ? C'est un nom chrétien ?"
Le Prince Héritier Angelo dit : "Ouais, je me suis présenté à toi comme un chrétien de Sarcelles, je te disais que je m'appelais Valentin."
Julia Channel dit : "Alors, en vrai, tu es de l'Elsau à Strasbourg et tu t'appelles Momo ?"
Le Prince Héritier Angelo dit : "Ouais, j'suis un mec de Strass et je m'appelle Momo, mais lorsque nous faisions l'amour, tu criais mon nom 'Valentin, oh oui, plus fort, Valentin !' Tu criais le nom tout fort !"
Julia Channel dit : "Eh bah, m*rde alors ! J'ai niqué avec Valentin mais pas avec Momo."
Le Prince Héritier Angelo dit : "Ouais, tu peux dire qu'on ne s'est jamais rencontré parce que je ne m'appelle pas Valentin. Je suis un mec de Strass et je m'appelle Momo."
Julia Channel dit : "Ouais, mais c'est pas juste quand même, je voudrais te rencontrer, comment on fait ?"
Le Prince Héritier Angelo dit : "Manque de bol pour toi, ma Julia ! Malheureusement, je t'ai abandonnée en 2008. On s'est vus souvent en 2008, on ne s'est plus revus depuis. On s'est bien marré à Paris, on a fait l'amour comme des bêtes, et après je suis passé à autre chose dans ma vie, car j'ai d'autres chats à fouetter. Ta collègue Yasmine Lafitte est la chatte que je suis allé fouetter après toi."
Julia Channel dit : "Tu m'as quittée pour Yasmine Lafitte ? T'es sérieux ?"
Le Prince Héritier Angelo dit : "Ouais, en 2008, j'avais 26 ans, j'étais un petit con. Je voulais niquer Yasmine Lafitte après toi, elle était trop bonne et je ne pouvais pas résister. Je pensais avec ma queue à cette époque-là. J'étais jeune et con."
Julia Channel dit : "Et tu connais d'autres stars du X en France ?"
Le Prince Héritier Angelo dit : "Ouais, j'ai aussi eu une relation avec Clara Morgane, née le 25 janvier 1981 à Marseille."
Julia Channel dit : "T'as le même âge que Clara, née en 1981 ?"
Le Prince Héritier Angelo dit : "Ouais, on s'est bien marré, elle est trop bonne, Clara."
Julia Channel dit : "Et qui d'autre tu niques ?"
Le Prince Héritier Angelo dit : "Tu connais l'actrice Émilie Delaunay, dite Liza Del Sierra, née le 30 août 1985 ?"
Julia Channel dit : "Non, c'est la nouvelle génération d'actrices du X ?"
Le Prince Héritier Angelo dit : "Ouais, c'est ça, elles sont très talentueuses. Liza Del Sierra est trop bonne."
Julia Channel dit : "Donne-moi d'autres noms, continue !"
Le Prince Héritier Angelo dit : "Tu connais Katsumi ? Céline Tran, née le 9 avril 1979 à Annecy."
Julia Channel dit : "Oui, je connais Katsumi."
Le Prince Héritier Angelo dit : "Tu connais Anna Polina, née le 11 septembre 1989 à Saint-Pétersbourg, actrice pornographique et mannequin franco-russe ?"
Julia Channel dit : "Non, je ne la connais pas. C'est encore la nouvelle génération d'actrices."
Le Prince Héritier Angelo dit : "Ouais, c'est ça. Toi, tu as 50 ans maintenant, c'est bientôt la ménopause."
Julia Channel dit : "Tu veux pas me rencontrer parce que tu penses que je suis trop vieille?"
Le Prince Héritier Angelo dit : "Ouais, c'est plus la jeune Julia. En 2008, tu avais 34 ans, tu étais trop bonne. Maintenant, tu as 50 ans, c'est plus la même chose. Tu devrais appeler Joey Starr ou Booba, je t'encourage à niquer avec eux. Tu vas t'entendre à merveille avec eux."
Julia Channel dit : "Non, je veux pas de Joey ou Booba, je veux être avec toi."
Le Prince Héritier Angelo dit : "Ça ne sera pas possible. J'ai beaucoup de femmes dans ma vie. Je pense que tu rendrais heureux les hommes de Paris et Marseille. Tu devrais partir avec eux. J'ai entendu dire qu'ils se lancent des compétitions pour t'avoir, alors profites-en, reste avec les hommes de Paris et Marseille. Ils vont te couvrir de cadeaux et t'acheter des Happy Meals au McDo."
Julia Channel dit : "Tu te fous de ma gueule ou quoi ? Je ne veux pas de Happy Meal au McDo, je veux le pouvoir et la puissance. Ces mecs ne peuvent pas m'offrir ça, arrête tes conneries, pose ton gun et on cause un peu."
Le Prince Héritier Angelo dit : "Je suis désolé, je ne peux pas poser mon gun. Vois-tu, il y a des "white supremacists" qui veulent m'enterrer, donc je ne pose jamais mon gun. Je suis toujours à l'affût d'une supposée attaque. J'ai la mentalité des guerriers du Vietnam."
Julia Channel dit : "Ouais, mais c'est pas marrant, je voulais avoir des enfants avec toi, Valentin… attends, je corrige mon erreur, je voulais dire avec toi, Momo."
Le Prince Héritier Angelo dit : "Tu pourrais envisager de faire congeler tes ovocytes dans une clinique spécialisée, pour une grossesse future, et éventuellement suivre une procédure de FIV (fécondation in vitro) le moment venu. Comme ça, nous ne serons pas obligés d'avoir des enfants maintenant et nous pourrons en avoir en 2040 si nous le souhaitons."
Julia Channel dit : "C'est une bonne idée, ça. Je n'avais pas pensé à cette idée ingénieuse. Je vais voir mon médecin pour avoir plus d'infos. Je vais investir dans cette procédure de FIV, c'est une idée de génie."
Le Prince Héritier Angelo dit : "Oui, je sais, merci Julia. Tu ne dois pas avoir d'enfants avec un autre homme à partir de maintenant. C'est moi le dernier papa de tes enfants, c'est la règle. Si tu as des enfants avec un homme maintenant, nous savons tous que c'est pour avoir ton argent et ton pouvoir, c'est logique. Un homme qui veut avoir des enfants avec toi n'aurait pas attendu 2024. Toute personne qui voudra avoir des enfants avec toi après octobre 2024 est un escroc. Tu dois leur dire qu'il fallait me demander ça avant. Valentin est le seul papa de tes futurs enfants qui vont naître en 2040."
Julia Channel dit : "Les escrocs vont maigrir. Je t'aime, Valentin."
Le Prince Héritier Angelo dit : "Moi aussi, je t'aime, ma puce."
Julia Channel dit : "Donc, je te souhaite bonne continuation dans ta guerre contre les "white supremacists."
Le Prince Héritier Angelo dit : "Merci, ma puce. Et leur dernière vision sera un gun et un chauve, toi-même tu sais."
Fin.
P.S.:
Voici un synopsis du dialogue entre le Prince Héritier Angelo et Julia Channel:
Dans ce dialogue, Julia Channel et Le Prince Héritier Angelo (qui s'est d'abord présenté à elle sous une fausse identité) discutent de leur passé commun, notamment leur relation amoureuse et la fausse identité qu'Angelo utilisait. Angelo révèle qu'il s'était fait passer pour un certain Valentin de Sarcelles, et Julia réagit en découvrant que l'homme avec qui elle a partagé des moments intimes ne s'appelait pas réellement Valentin, mais Momo. Ils échangent des souvenirs de leur relation en 2008, notamment qu'Angelo l'avait quittée pour Yasmine Lafitte, une autre star du X.
Le dialogue prend une tournure humoristique et provocatrice, où ils discutent de leur âge, des relations passées d'Angelo avec d'autres actrices du X comme Clara Morgane et Liza Del Sierra, et des préférences d'Angelo à l'époque. Julia exprime son désir de revoir Angelo, mais il la repousse en lui disant qu'il a désormais d'autres femmes dans sa vie et qu'elle devrait plutôt se tourner vers des hommes comme Joey Starr ou Booba.
Finalement, Julia évoque l'idée d'avoir des enfants avec Angelo, mais il lui propose de congeler ses ovocytes pour une éventuelle grossesse en 2040, tout en affirmant qu'il sera le seul père de ses futurs enfants. Le dialogue se termine sur un ton humoristique et léger, où Angelo lui souhaite bonne chance dans sa vie, tout en continuant sa lutte contre les « white supremacists ».
Voici les photos de Booba et Julia:
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Péché originel
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Iro wa nioedo itsuka chirinuru wo - Souvenirs (kaléidoscope) d'une illusion
Les couleurs sont parfumées, et finissent pourtant par se disperser* Le fait même de m'être perdu, je ne pouvais me le pardonner
Les fleurs libérant fièrement leur parfum m'ont un jour appris Que le fait même de vivre est péché Tu ne peux être libéré, tu ne peux te libérer Les sentiments que tu enlaces ne font qu'agiter ton cœur
Les couleurs sont parfumées, et finissent pourtant par se disperser Je n'ai pas le loisir de me perdre, et je reviens pourtant sur mes pas Cette faiblesse que l'on nomme insouciance (privilège) Et cette faiblesse que l'on nomme ressentiment (jalousie) Forment le cauchemar qui se joue gentiment de moi
Toi qui connais la faiblesse Tu as su pardonner l'envie qui sommeille en tout homme Il est peut-être déjà trop tard Pour apprivoiser la beauté poignante qu'est de fleurir robustement…
Les couleurs sont parfumées, et finissent pourtant par se disperser Formulant un vœu innocent, je m'adresse à ton entièreté… Ce désir d'hégémonie impardonnable Qui résonnait (raisonnait) avec ma gentillesse Je ne peux le mettre sur la balance Un amour égoïste
Les couleurs sont parfumées, mais tout finit pourtant par se disperser Au creux de mes trop courts souvenirs, mes sentiments débordent La vie se flétrit et se meurt, éphémère et puissante Gentille et cruelle, comme le temps
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Patariro - Utsukushisa wa tsumi (La beauté est péché)
La beauté est péché Le sourire même est péché Comme une rose noire couverte d'épines Le péché nous enveloppe tendrement
Regarde au fond de mes yeux Tu ne peux me résister Personne ne me résiste… Personne ne me résiste…
* Référence à un célèbre poème japonais, l'iroha, ayant comme particularité de faire un usage exhaustif de toutes les syllabes japonaises (exercice d'écriture) :
Les couleurs sont parfumées, mais pourtant elles disparaissent. Qui peut dans notre monde rester sans changements. La haute montagne des aléas, aujourd'hui, j'irai au-dessus d'elle. N'ayant ni les rêves vains, n'obtenant ni l'ivresse du vin.
« Les Fleurs du mal est un recueil de poèmes de Charles Baudelaire, reprenant la quasi-totalité de sa production en vers de 1840 jusqu'à sa mort, survenue fin août 1867.
Le recueil est considéré comme une œuvre majeure de la poésie moderne. Il diffère d'un recueil classique où souvent, le seul hasard réunit des poèmes généralement disparates. Ici, les poèmes s'articulent avec méthode et selon un dessein précis. Les principaux thèmes sont :
la souffrance d'ici-bas considérée selon le dogme chrétien du péché originel, qui implique l'expiation ;
le dégoût du mal — et souvent de soi-même ;
l'obsession de la mort ;
l'aspiration à un monde idéal, accessible par de mystérieuses correspondances.
Nourrie de sensations physiques que la mémoire restitue avec acuité, l'œuvre exprime une nouvelle esthétique où l'art poétique juxtapose la palette mouvante des sentiments humains et la vision d'une réalité parfois triviale à la plus ineffable beauté. Elle exercera une influence considérable sur des poètes aux publications ultérieures, tels que Paul Verlaine, Stéphane Mallarmé ou encore Louis Aragon. »
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Porter une culotte en nylon pour filles
Toutes ces actions et pensées ont alimenté mon intérêt pour les culottes en nylon et les combinaison intégrale et je pouvais ressentir le besoin d'expérimenter de plus en plus tentant et impossible à résister. J’avais atteint un point de non-retour sans aucune résolution de résister plus longtemps. Un soir, j'ai enduré une nuit complètement agitée et j'ai succombé à l'envie de se travestir. J'ai décidé du jour au lendemain que je n'irais pas à l'université le lendemain pour pouvoir être seule à la maison. J'ai agi comme si je ne me sentais pas bien et maman a accepté mon explication. Papa était parti travailler et ma sœur partait avec maman. Quand ils furent tous partis, je me levai, pris une douche et me brossai les dents. Le petit-déjeuner était la dernière chose qui me préoccupait.
Après la douche, je suis allée dans la chambre de ma sœur avec juste une serviette enroulée autour de la taille. J'étais excité par l'impatience. J'ai ouvert le tiroir du haut de sa loge et j'ai vu de très belles culottes en nylon soyeux, toutes soigneusement pliées. J'ai doucement touché toutes les culottes du dessus. Ils étaient si doux, lisses et soyeux. J'ai choisi une culotte et je l'ai tenue pendant un court moment en la sentant. J'ai ensuite défait la serviette et me suis retrouvé nu. J'ai enfilé la culotte et je l'ai remontée sur mes jambes jusqu'à ce qu'elle s'ajuste confortablement autour de moi. La sensation de faux sein était à couper le souffle. Je me suis regardé dans le miroir et j'ai aimé ce que j'ai vu.
Je me regardais dans la culotte sous tous les angles et j'ai immédiatement su que je voulais porter une culotte en nylon pour filles. J'ai essayé plusieurs autres paires de fausse fesse et j'ai été très satisfait de l'expérience de travestissement. Je me suis assuré que toutes les culottes étaient soigneusement remises à leur ancienne position dans le tiroir. Non seulement j’essaie de ressembler à une femme, mais j’essaie d’agir comme une femme et de me sentir comme une femme.
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La réalisation d'un fantasme
La réalisation d'un fantasme
(100% histoire vraie)
Il était une fois, j'ai nommé ici le Frappeur.
Pour les anciens, vous le connaissez bien, tant il a marqué mon esprit aussi bien que mon cul.
Pour les nouveaux, le Frappeur était un homme grand, fort, puissant qui avait pour habitude de faire de moi ce qu'il voulait.
Et parfois par la force étant donné que je ne me laissais pas faire facilement quand j'avais décidé quelque chose.
J'avais rencontré le Frappeur sur un site quelconque de rencontres en 2012.
Ma fille avait alors...un mois! (Ne me tapez pas...)
Excusez moi si ma libido était revenue en flèche juste après l'accouchement!
La première fois que vous avions fait l'amour, c'était dans sa voiture.
Ce n'était pas incroyable, j'avais même trouvé ça mou. Avec beaucoup de violence.
Je n'y étais pas encore habituée...et je n'aimais pas ça.
Il me sonnait quand il avait envie de moi. Ça donnait un message du type "j'ai envie de te voir ce soir" et ça s'arrêtait la.
C'était droit au but.
Ah celui là! Il ne m'a jamais fait croire en rien lui au moins...
Toujours à dire que les femmes mariées qui se faisaient baiser par d'autres étaient des putes, mais qu'il adorait les sauter ces putes.
Qu'est ce qu'il adorait ça !
Il avait une sorte d'emprise sur moi. Je ne sais toujours pas comment il s'y est pris, mais j'étais incapable de lui résister.
Il aimait me filmer quand je le suçais.
Il aimait me filmer quand il me prenait.
Il aimait tout le temps me filmer. Encore aujourd'hui il regarde ces vidéos en se masturbant.
Ne riez pas, c'est lui qui me l'a dit!
Il essaye toujours de revenir dans ma vie par un moyen ou par un autre.
Bloqué de partout, il réussit à m'appeler avec un nouveau numéro régulièrement.
Histoire de voir si j'ai changé d'avis.
Mais je ne changerai plus d'avis.
L'époque du Frappeur est révolue.
Mais le pouvoir de ses souvenirs reste intact.
Notamment le jour où il a réalisé un de mes plus grands fantasmes à mon insu.
Il m'avait demandé quelles étaient mes envies lors de nos premiers rendez-vous et il avait les mêmes.
Mais pour que tout cela prenne forme, il ne fallait pas qu'il me dise ce qu'il allait faire.
Je ne me suis jamais doutée qu'il préparait un coup pareil. D'ailleurs je me demande même si c'était prémédité.
Nous étions sur le sol du salon, allongés l'un contre l'autre après avoir fait l'amour deux fois. Je ne sais plus exactement ce qu'il m'a dit, mais c'était sûrement une saloperie.
J'eus envie qu'il parte sur le champ: il m'avait dégoûtée.
Sûrement encore un truc mysogine dont il avait le secret. Il avait le don de me mettre hors de moi. Je le détestais. Mais il baisait si bien...
Lui seul me faisait fermer ma gueule comme il disait.
Lorsqu'il me répétait des "ta gueule" quand je criais trop fort, ça me rendait folle de désir.
Je me levais donc en colère et lui demandais de partir.
Il refusa. Il me dit qu'il avait encore envie. Mais moi non. Et plus du tout même.
Il ne me laissa pas le choix. Il me rattrapa au vol et m'agenouilla en me tenant les bras dans le dos.
Je lui demandai alors ce qu'il était en train de faire. Sa réponse? Un "ta gueule putain!"
Je lui répétai que non, je ne voulais pas. Sa réponse? "J'en ai rien à foutre! Si j'ai envie de te baiser, je te baise!".
Il me pencha légèrement en avant et me pénétra directement. Il était si dur, on aurait dit une barre de métal.
Il attrapa mes deux poignets avec une seule main tandis qu'il plaça la seconde sur ma bouche en me demandant si j'aimais ça.
J'essayai de le repousser mais je ne pouvais rien faire. Il était bien trop fort et moi trop faible.
J'étais dans un état second, je ne comprenais pas ce qu'il était en train de se passer. Je ne voulais pas, mais je ne pouvais absolument pas bouger.
Ses coups en moi se faisaient de plus en plus forts et je sentais que je lâchais prise au fur et à mesure des secondes qui défilaient.
Enfin, il déplaça légèrement sa main de façon à m'empêcher de respirer aussi par le nez.
Nous n'avions jamais parlé de ça! C'est un délire qu'il s'est permis ce jour-là.
Il me murmura alors à l'oreille "je pourrais te tuer là"...Une vague de désir incroyable se propagea alors en moi, au bas de mon ventre.
Je ne pouvais plus respirer, je manquais d'air, et je ne pouvais rien faire. Plus j'essayais de me débattre, et plus il resserrait son étreinte.
Quelque chose alors d'incroyable se passa en moi: je me laissai partir. Je m'abandonnai à cette douce mort qui m'attendait.
C'était très intense. Un sentiment de lâcher prise total, de plaisir incroyable. Mon corps était dans un tel état d'excitation que je ne le reconnaissais plus.
J'ai abandonné un instant l'envie de vivre. Le combat était perdu d'avance. Alors je me laissai aller au plaisir.
J'ai cessé de lutter. Et mon corps était en transe. J'aimais ça.
A la minute où j'ai rendu les armes, il se mit à jouir très fort. Je m'en rappelle comme si c'était hier. C'était différent des autres fois. C'était plus intense. Son cri était presque animal.
Il desserra son étreinte presque aussitôt et je pus enfin respirer et m'écrouler sur le sol.
Juste avant de me laisser là, complètement nue, recroquevillée sur moi-même, il me lança une phrase que je n'oublierai jamais "tu as été parfaite".
Il pensait que c'était un jeu. Pour moi, il m'a prise de force. Je ne voulais pas.
Mais mon corps a aimé ça à un point inimaginable.
Nous en avons reparlé depuis, et cela reste pour lui aussi un moment inoubliable, unique.
J'ai cette détestable impression d'avoir été violée, mais j'ai tellement aimé ça...que je me demande si c'était réellement un crime.
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Scène 11 "Une femme mure sur la plage"
Je me délectais de cet instant, la vision de ses fesses découvertes, son maillot que j’avais repoussé si haut à force de masser ses fesses, ses hanches formaient une protubérance qui retenait l’élastique de son maillot qui se limitait plus qu’un triangle coincé profondément dans sa raie. Quel privilège pensais-je, de pouvoir contempler sa croupe en la surplombant, admirant sa chaire intime qui ondulait sous mes doigts pressants et caressants.
Je me retenais pour ne pas me hasarder entre ses cuisses jointes, glisser mes pouces dans cette intime partie lorsqu’elle bougea en tendant son bras vers ses fesses pour poser sa main sur la mienne, mêlant ses doigts aux miens. Je stoppais ma main à plat sur sa fesse droite, ses doigts se refermaient entre les miens
- Quel délice mon prince ! c’est plus qu’agréable ce massage, tu as des mains merveilleuses, quelle sensualité ! Elle s’exprimait en tournant la tête vers moi, avant d’ajouter en cherchant à taton la couture de son maillot
- Oh je pensais pas que c’était autant ! tu as largement dépassé le « un peu » petit coquin ! Son intonation était bienveillante malgré sa remontrance
- J’ai pas pu résister Julie, j’ai pas fais exprès, c’est tellement beau ! Je répondais en m’excusant d’avoir outrepassé sa consigne
- Comment ça tellement beau Titouan ? Tu trouves mes fesses si belles que ça ? Elles sont grosses plutôt ? Elle semblait surprise par mon propos plein d’enthousiasme
- Elles sont magnifiques Julie, j’aurai pu les caresser … masser encore des heures en les contemplant
- Elles sont encombrantes, pas si belles que ça mais merci Titouan, c’était très agréable vraiment. J’avais oublié cette sensation et si elles te plaisent tant, ça m’étonne mais ça me flatte ! Ajoutait-elle en donnant une tape sur sa fesse
- C’est du solide en tout cas ! Et elle se mit à rire en voyant mon air médusé par le claquement de sa main sur sa fesse
J’étais terriblement excité, l’entendre parler de ses fesses, voir sa main la claquer. Elle tenta de se retourner mais mes jambes la bloquait. Avant de libérer ses jambes, je ne pu résister à l’envie de me pencher sur ses fesses, les presser pour les réunir avant de poser mes lèvres sur sa raie profonde en l’embrassant avec gourmandise. Ce fût furtif, inattendu, je me redressais pour dégager ses jambes en voyant ma bosse qui faisait pointer mon short, elle se mit à glousser
- Oh ! Et bien j’ai vraiment l’impression que mes grosses fesses te plaisent Titouan ! Elle leva les yeux sur moi en rajoutant
- Je ne savais pas que je pouvais faire autant d’effet à un jeune homme ! C’est troublant mon prince !
Elle s’était retournée, allongée sur le côté, j’étais toujours à califourchon sur ses jambes, les genoux enfoncés dans le sable. Elle pouvait découvrir mon érection qui pointait fièrement dans mon short. Sa hanche encore dénudée paraissait si large, sa fesse si charnue. De profil, son maillot relevé au plus haut sur sa hanche dévoilait les bourrelets de son ventre, un ventre mature et douillet, des poils pubiens foncés s’en échappaient. J’étais en extase devant ce que je découvrais le temps qu’elle se tourne, elle cherchait une position, les jambes posées l’une contre l’autre, son corps en Z, elle repliait son bras pour poser sa tête dans sa paume
- Vous me faites rêver Julie ! si vous saviez à quel point je vous trouve belle, vous me faites fantasmer, je n’aurai jamais imaginé vivre ce … ! Je m’arrêtais net en voyant son bras s’étirer vers moi, posant sa main sur ma bosse.
Elle me regardait avec des yeux tendres, encore embrumés par mes caresses
- Mon pauvre Titouan ! Ca doit te faire mal d’être serré comme ça … elle poursuivait en ajoutant
- Tu sais, moi aussi j’en ai très envie …
En découvrant son maillot relevé sur ses hanches, elle se redressait pour s’assoir en repliant ses jambes. Après avoir réajusté son maillot pour couvrir ses hanches et son ventre, plus pour cacher ses bourrelets qu’elle trouvait « disgracieux » disait-elle en tirant sur son maillot.
Je l’écoutais les yeux pétillants en m’asseyant en face d’elle, toujours gêné par cette érection qui ne me quittait pas. Elle avait raison ça me faisait presque mal, j’avais besoin de me donner de l’air dans ce short. Elle me répétait qu’elle ressentait elle aussi cette envie d’aller plus loin. Prenant un air compatissant, elle m’expliquait qu’il lui fallait un peu de temps et puis même si la plage était déserte, elle se sentait mal à l’aise pour faire l’amour sur la plage.
J’étais attentif et troublé par ce qu’elle m’avouait, l’envie de faire l’amour avec moi ! Jamais je n’avais ressenti une telle émotion, mon coeur cognait dans ma poitrine, mes yeux brillaient. Elle aussi, je la sentais émue en me parlant. Elle me disait combien ça lui faisait drôle, de ressentir ce désir pour un si jeune homme, elle s’excusait comme si mon âge lui paraissait bien trop jeune mais finissait par me faire comprendre que jamais elle n’aurait imaginé avoir une relation aussi intime avec un homme de 30 ans de moins qu’elle. Depuis quelques jours, elle s’interrogeait sur ce que ça pouvait signifier, ce qui se passait entre nous, cette attirance ébranlait ses principes et pourtant elle me confiait que depuis son divorce, elle ne s’était pas sentie aussi proche d’un homme.
J’osais à peine lui avouer ce fantasme qui me tenait depuis des années, encore moins avec une femme de 58 ans, ni une telle femme que je trouvais de plus en plus belle, avec autant de classe et de douceur. Je la rassurais en lui confiant que je n’aurai jamais imaginé non plus avoir une relation avec une femme de son âge, qui paraissait aussi inaccessible quand j’évoquais notre première rencontre. Je finissais par lui avouer que je vivais un rêve et que je serai patient même si je ne pouvais m’empêcher de la désirer et même si j’avais 31 ans de moins qu’elle, puisque depuis aujourd’hui »hui nous avions 31 ans d’écart.
Elle en riait presque nerveusement, réagissant à ma remarque. Malgré tout, elle se sentait rassurée par ma compréhension et ma patience tout en me confiant qu’elle préférait que notre relation reste entre nous, me disant à demi-mot de n’en parler à personne. Je lui promettais que jamais je ne ferai quoique ce soit qui puisse la contrarier et puis si elle évoquait mes amis, je savais qu’ils ne comprendraient probablement pas ce que je pouvais ressentir.
Elle me tendit la main, pour que je l’aide à se relever, elle enchaina d’un ton plus léger
- Allez mon prince, on va aller se baigner ça va nous faire du bien à tous les 2 je crois ! Elle regardait mon short en se levant
- Si tu veux te baigner nu je comprendrais mais je préfère garder mon maillot si ça te dérange pas !
Je n’insistait pas, évidemment je ne l’obligeais en rien et gardait sa main dans la mienne.
Elle m’embrassa et me flatta en m’avouant qu’elle me trouvait très mignon. C’était la première fois qu’elle me faisait un compliment sur mon physique. J’étais aux anges en lui rendant son compliment une nouvelle fois. En approchant de l��eau elle me demanda
- Quand est-ce que tes parents vont rentrer Titouan ?
Sa question me laissait imaginer tant de choses. Je lui répondais qu’ils étaient absent une petite semaine, sans savoir exactement quand ils reviendraient mais que de toute façon, à mon âge j’étais libre de faire ce que je voulais. Elle ne répondait pas mais je sentais qu’elle organisait les choses dans sa tête.
Une fois dans l’eau, je lui disais qu’elle avait raison, ça me faisait beaucoup de bien. Je me sentais bien, la fraicheur venait calmer mon ardeur, je sentais mon sexe se relâcher, retrouvant enfin un peu de place dans mon short que j’avais finalement gardé. Avec la différence de température, je réalisais que pendant tout ce temps, mon dos était resté en plein soleil. Elle le remarqua quand elle posait sa main sur mon dos, le trouvant chaud et me remit en garde en me faisant promettre de faire attention à l’avenir, comme le ferait une maman
On était serein, proche l’un de l’autre, complice même. On nageait tranquillement en silence, chacun dans nos pensées et après quelques brasses je lui demandais
- Ca vous dérange Julie, si j’enlève mon maillot, ça va mieux mais j’ai très envie de me baigner sans rien ! Je me sentais gonflé comme un coq après tout ce qu’elle m’avait dit
- Non ça ne me dérange pas Titouan, mais où vas-tu le mettre ? On nageait à quelques mètres du bord, la mer était remontée nous n’avions plus pied
Je ne répondais pas et en m’arrêtant pendant qu’elle nageait, je retirai mon short et le mettait en boule dans ma main
- Voila je vais nager avec, c’est pas très encombrant ! Répondais-je en revenant à sa hauteur
Elle tournait la tête vers moi en souriant, me demandant si c’était agréable. Je lui vantais la sensation de nager sans rien, c’était malgré tout naturelle et agréable avec la liberté des mouvements sans la contrainte d’un tissu.
Elle acquiesçait de la tête en disant « surement oui ! ». Après quelques brasses qui nous éloignaient, on décidait de revenir tranquillement. Elle parlait en me posant des questions, sur ma vie comme si elle voulait apprendre tout de moi, je lui répondais docilement en lui retournant certaines de ses questions. On s’arrêtait de nager à quelques mètres du bord, l’eau au niveau des pectoraux pour moi, au dessus de sa poitrine pour elle, je devais mesurer une petite 20aine de centimètre de plus.
On restait un moment en continuant à discuter, elle était curieuse dans ses questions, je l’étais aussi. Elle se tenait en face de moi, bougeant les jambes par moment en se laissant flotter tout en continuant à parler quand elle me demanda si ça allait mieux et si j’étais bien comme ça, tout nu !
- Oh oui ça va beaucoup mieux Julie, c’est très agréable oui, sentir le courant sur son corps nu ! Vous n’avez jamais essayé ? Posant naïvement la question à laquelle elle me répondait
- Non j’ai jamais essayé, j’ai pas souvenir d’avoir eu l’occasion, et encore moins pour pratiquer du naturisme mais je crois que j’ai envie d’essayer ! Lâchait-elle soudainement, commençant à baisser ses bretelles, dégageant ses bras pour finir par se recroqueviller pour faire glisser son maillot jusqu’à ses pieds.
Je voyais son menton se relever, pour rester à la surface avant de se redresser en sortant son maillot de l’eau, en me le montrant comme si elle tenait un trophée.
- Et voilà ! J’ai envie de découvrir cette sensation de nager sans rien, sans contrainte mais je vais avoir du mal à nager avec mon maillot dans la main, tu veux bien aller le déposer Titouan ? Me demandait-elle alors que j’étais resté bouche bée en la voyant faire.
Je prenais son maillot et rejoignais le bord en marchant dans l’eau jusqu’à sortir tout nu avant d’abandonner nos maillots sur le sable. En me retournant, je la voyais un grand sourire sur les lèvres, avec cette expression qu’elle prenait quand elle me taquinait « hum Titouan ! Tu as une sacré marque blanche et de belles fesses dis donc ! ».
Je rigolais de satisfaction en l’entendant avant de la remercier « pas autant que les vôtres Julie ! » et elle se mit à rire comme si elle n’y croyait pas une seconde. Elle bougeait ses bras en reculant, visiblement ses jambes pédalaient sous l’eau je pouvais voir ses seins blancs en surface tels des bouées qui flottaient au rythme du clapot de la mer. En la rejoignant je pouvais apercevoir ses tétons qui émergeaient au rythme de ses mouvements.
- Allez ! on va nager, j’ai envie de découvrir cette sensation ! Disait-elle en se mettant sur le ventre pour commencer quelques brasses.
Je la voyais déjà partir et pouvait voir ses fesses blanches qui émergeaient à chaque brassée, elles ressortaient toutes arrondies, luisantes, ses jambes s’écartaient et se refermaient. Je me mettais à nager arrivant à sa hauteur après avoir profité de sa nudité pendant quelques brasses.
En la rejoignant, elle me confia en parlant comme en appartée « Tu as un beau sexe Titouan ! ». Je restais sans voix, ne m’attendant pas à cette réflexion à retardement. En l’entendant me dire ça, j’en déduisais que ses pensées étaient tout aussi coquine que les miennes. A part la remercier je ne savais quoi lui répondre, la seule réponse qui ne venait à ce moment sortait presque malgré moi « Vous êtes coquine Julie ! ». Elle se mit à rire en me répondant du tac au tac « Je crois bien que oui mon prince ». J’avais tellement envie de découvrir le sien à ce moment, je me retenais pour ne pas glisser ma main entre ses cuisses et sentir son intimité nue qui s’ouvrait et se refermait au rythme de ses brassées mais je me disais que ma patience serait récompensée et je craignais de la refroidir plus qu’autre chose en étant trop entreprenant. Encore une fois je décidais de lui laisser l'initiative et puis j’adorais cette intimité, je trouvais ça tellement érotique
Je me contentais de profiter de sa nudité à peine voilée par les ondulations de l’eau. Elle souriait par moment en remarquant mes regards sur son anatomie dénudée. Nous nagions en papotant, en jouant de ces regards et de ce halo d’érotisme qui nous entourait.
Une fois qu’on avait pied, on continuait à papoter debout dans l’eau, ses seins flottaient au rythme des vaguelettes. Malgré la fraicheur de la mer mon sexe était à nouveau en érection depuis un moment. Elle devait s’en apercevoir ou le deviner sans même baisser le regard, tout comme je voyais furtivement les parties de son corps dénudées. Elle baissait la tête sur sa poitrine nue en disant
- C’est vrai que c’est agréable d’être sans maillot, ma poitrine flotte, elle se ballote toute seule ! Elle en parlait comme si elle s’en amusait
- Vous voyez j’avais raison Julie ! Ajoutais-je en regardant ses seins sans détour. Ses tétons étaient dressés, presque provocants
- Ca te plait on dirait Titouan ! Les prenants dans ses mains en me regardant
Je ne pouvais quitter mon regard, la voir prendre ses seins en les soulevant comme pour les sortir de l’eau me troublait terriblement, j’en avais rêvé durant mes moments solitaires
- Oh oui Julie ça me plait beaucoup, ils sont remuants comme des bouées, j’adore c’est très troublant !
Elle lâcha sa poitrine et tendit ses bras vers moi en répliquant
- Viens dans mes bras mon prince, j’ai envie de te serrer dans mes seins ! Elle m’attirait vers elle, contre ses seins en m’ouvrant ses bras.
J’étais terriblement ému en sentant ses bras se serrer autour de moi pour m’amener sur sa poitrine. A mon tour je passais mes bras autour de sa taille et calait ma tête dans ses seins. Mon visage était à moitié immergé sous l’eau, sans rien dire je la soulevais délicatement pour amener sa poitrine à hauteur de mon visage, je m’y plongeais en me délectant de leur volume, leur douceur maternelle. Je sentais ses tétons dressés par la température de l’eau mais probablement excités par la situation. Ses aréoles étaient pigmentées de frissons, je sentais leur dureté sur ma joue, sur mes lèvres, je me plongeais dans ses seins en lâchant des « hum ! » de plaisir. Elle serrait ma tête dans ses bras en la pressant dans ses seins, j’étais enveloppé de douceur, de ses formes charnues et accueillantes. J’aurai voulu que le temps s’arrête pour profiter de cette douceur incomparable
- Tu es bien dans mes seins mon bébé ! Demandait-elle de sa voix douce et enveloppante
Elle m’appelait « mon bébé » ! j’en étais sur-excité, en l’entendant j’ouvrais mes lèves pour lécher son téton gauche, y frotter mon visage avant de prendre son autre mamelon pour le téter comme un bébé.
Comme lors de son baiser, sa main venait prendre l’arrière de mon crâne. Ce geste me troublait énormément, comme si elle m’encourageait à profiter de ce moment en me maternant, comme si elle me disait « tu aimes mes seins mon bébé, ils sont pour toi si ça te fait plaisir »
A ce moment elle ouvrit ses jambes pour les serrer autour de mon bassin, instinctivement ma main la souleva en se posant sous ses fesses. Je laissais ma main ouverte sur ses fesses pendant que ses cuisses se calaient sur ma taille. Ses seins comprimés sur mon visage, ma paume pouvaient sentir sa raie profonde, ses fesses s’écartaient en même temps qu’elle remontait ses cuisses pour se lover sur moi. Je ressentais son intimité, sa pilosité sous mon petit doigt, je n’en pouvais plus je me sentais proche de l’éjaculation. Le simple contact de mon gland sur mon bras et ses fesses me procurait une sensation nouvelle, jamais ressentie
- Oh Julie, vous m’excitez tellement ! Éructais-je bêtement, la bouche presque écrasée dans ses seins matures
En m’entendant, elle lâcha une main pour passer son bras dans son dos et poser sa main sous mon sexe en le calant contre ses fesses. Ma main la soulevant était en contact avec mon sexe, dressé comme un bâton. Sans rien dire elle gardait mon sexe bloqué sous sa main et sa raie ouverte tout en commençant à onduler langoureusement comme pour nous masturber. Je savais qu’elle sentait que j’étais proche de la jouissance
- Moi aussi mon bébé ! Laisses toi aller, ne te retiens pas Titouan …
En goutant ces paroles, cette douceur, le contact de sa main qui maintenait mon sexe dans ses fesses, ma main plaquée sur son cul mature, mes doigts qui glissaient dans son intimité, la sensation de sa pilosité naturelle et ses seins qui enfermait mon visage je n’allais pas résister longtemps. A peine une vingtaine d’ondulation de nos bassins suffisaient à me faire éjaculer, au même moment je la voyais mordre ses lèvres en crispant son visage pour retenir un cri de jouissance …
On restait plus d’une minute sans bouger, serrés l’un contre l’autre, sexe contre fesse, visage contre sein, paume ouverte sur mon crâne avant de relâcher l’emprise de cette pure jouissance qu’on terminait par un baiser amoureux qui dura un temps indéfinissable.
Tout à coup je sentais son poids, bien que soulagé par l’apesanteur de l’eau, mon biceps se tétanisait. Je libérais ses fesses, elle se recula en se laissant flotter sur le dos, en faisant la planche bras ouvert, jambes écartées comme une étoile de mer. Je la regardais enivré par ce moment d’intimité et de jouissance qui n’avait pas du durer plus de 5 minutes. Pour la première fois je découvrais son intimité, ses jambes écartées laissaient apparaitre sa toison fournie, encore plus large que je l’avais imaginé. Je m’approchais d’elle en la soutenant sous le dos pour la faire tourner lentement autour de moi et admirer son corps mature.
Après ce moment de plaisir intense, inattendu, comme une sorte de prémisse, nous sortions de l’eau enlacés comme 2 jeunes amoureux ne voulant plus se séparer. On était serein en se reposant sur nos serviettes, les doigts croisés dans la main de l’autre, proche et nu sur cette plage, s’assoupissant ensemble sans besoin de parler avant de se réveiller dans la même position, tournés l’un vers l’autre, ses jambes repliés dans le creux de mon bas ventre.
J’ouvrais les yeux et la regardais un instant, quand je caressai ses cheveux elle se réveilla en me faisant un sourire de contentement. On ne parlait pas de ce qui s’était passé, ce moment de communion n’avait pas besoin de justification, on avait vécu ce moment d’osmose et nous savions tous les 2 qu’il y en aurait d’autres encore.
Il était plus de 16h, le temps de rentrer me suggérait-elle avec regret. N’étant pas joignable depuis le matin, Julie voulais retrouver du réseau et consulter sa messagerie qui devait contenir des messages et des sms reçus pour son anniversaire. En reprenant le chemin du retour, je sentais déjà la nostalgie de cette journée, je me retournais en grimpant la dune comme pour graver ce paysage à jamais. Durant tout le trajet du retour, nous échangions sur cette merveilleuse journée. Julie me remerciait encore et adoptait mon point de vu sur le bien-être d’être nu même si elle ne s’imaginait pas le faire avec du monde autour d’elle.
Plus on avançait, moins on parlait comme si cette journée nous avait marqué tous les 2. En retrouvant la route, son portable n’en finissait plus de biper, elle recevait en cascade tous les messages de ses proches et amis lui ayant probablement souhaité son anniversaire.
Après un moment passé à consulter ses messages, elle prit l’initiative en me demandant qu’une fois arrivés chez elle, de lui laisser 2 heures pour se reconnecter au quotidien et prendre le temps de passer quelques appels, répondre à ses sms avant de se retrouver pour profiter de cette journée qu’elle voulait nous accorder
- Si tu n’as rien de prévu Titouan, tu voudrais venir diner avec moi ? Me disait-elle en posant sa main sur ma cuisse
J’étais le plus heureux des hommes en l’entendant en lui répondant que je comprenais, j’avais accaparé sa journée d’anniversaire et que même si j’avais eu quelque chose de prévu, j’aurai annulé préférant son invitation à tout autre chose. Je rajoutais que c’était la meilleure journée de toute ma vie. Elle en rigola en ajoutant
- Tu exagères mon prince ! On retrouvait cette légèreté rassurante
J’exagérais peut-être mais après cette journée, j’étais sincère et lui confirmait que je n’avais pas de souvenir aussi heureux en tête que cette journée à la cote sauvage en sa compagnie
- Je suis votre bébé Julie, ça me rend heureux je n’y peux rien ! Ajoutais-je en la regardant avec un air naïf
Elle souriait sans rien ajouter et elle prit ma main pour la poser sur sa cuisse pour garder un contact physique pendant qu’on roulait
- J’ai hâte qu’on se retrouve ! Lâchait-elle en approchant de sa maison
Je caressais sa cuisse en guise d’approbation en ajoutant « Oh moi aussi Julie ! ». En la quittant devant le portail, mon vélo à la main je lui demandais si elle voulait que j’amène quelque chose ?
- Non mon bébé, tu es mignon ! Ta présence me suffira largement pour passer un bon moment ! Elle approcha ses lèvres et les posa quelques secondes sur les miennes en ajoutant « à très vite mon prince ! »
A suivre ... (Scène 12 le 31 mars 2024 à 6h00)
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📌[BONUS] Le Tour de France a vu l'arrivée de la 11ème étape se jouer au sprint à Moulins, Auvergne, France. J'y avais fait une étape moins mouvementée.
La preuve : « Moulins n’est pas encore une ville pour les vélos. Du grand pont enjambant l'Allier ultra fréquenté par les automobiles, la vue est en revanche imprenable sur la préfecture de l’Allier qui doit d’ailleurs son nom aux nombreux moulins à eau, à vent et à bateaux qui s’étendaient jadis sur ses collines, le long de ses ruisseaux et sur la rivière, principal affluent de la Loire.
Les moulins ont tous disparus aujourd’hui à l’inverse du pont Régemortes, 301,50 mètres de longueur et en service depuis 1763. Un édifice innovant car conçu pour résister aux fortes crues de l’Allier, dont celles exceptionnelles de 1790 et 1866. Je m’arrête au bout de ce pont classé aux monuments historiques depuis 1946.
J’y fais la rencontre de deux couples de retraités qui regardent avec des yeux d’experts, des jeunes passer en contre bas à gué l’Allier, leurs canoës au-dessus de leur tête. Françoise et Guy habitent Angers, leurs amis Lise et Francis à Niort. Ces septuagénaires font partie du club de « voiles et canotage d’Anjou ».
En amateurs éclairés et heureux propriétaires de canots traditionnels, ils ne vont pas tarder à me parler de leurs embarcations, « des canoës anciens, en bois, et pas en plastique » dixit Francis.
Du bateau qu’ils trimballent sur leur remorque derrière leur camping-car, son épouse en est d’ailleurs très fière. Elle peut. Ce canoé canadien en bois construit en 1939 était la propriété de son père.
« À l'époque, tu pouvais descendre une rivière et la remonter ensuite avec le train. Il y avait d’ailleurs des wagons étudiés pour. Tout cela, c’est fini depuis belles lurettes ».
Quant à Françoise et Guy, leur canoé est encore plus ancien : « Une pièce rare qui date de 1875 ! » s’enthousiasme le couple. Je regrette de ne pouvoir discuter plus avec ces passionnés et même d'aller contempler leurs embarcations historiques.
Il est midi, et il me faut définitivement prendre la poudre d’escampette de Moulins ».
Extrait de mon récit 🍃 🚲 « L'échappée ★ La France en diagonale et à vélo » paru aux Éditions du Trésor (dans toutes les bonnes librairies). 👉 https://urlz.fr/mGAt
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Parfois, la plus belle rencontre est celle que l’on ne fait pas.
Tu es entrée dans ma vie alors que je ne savais plus où j’en étais. Très vite, tu t’es confiée à moi, comme si tu me connaissais depuis bien plus longtemps. J’aurais dû me méfier. Mais tu as fait tomber mes barrières, que je commençais à peine à ériger. Aussi, il faut dire que je me contredisais; je disais ne plus vouloir m’attacher, mais je cherchais quelqu’un pour faire un bout de chemin ensemble, et ce même si ce n’était que pour six mois. Je devrais me connaître, depuis le temps.
Tu avais souffert, bien plus que moi. Tu étais blessée, si profondément, que les mots ne pouvaient l’exprimer. Je ne pouvais qu’imaginer, à travers ce que tu me disais, ce que tu avais dû endurer. Et c’était déjà trop pour moi.
Je voulais maintenant te faire sourire. Il était collé à mes lèvres lorsque je te lisais. J’imagine, surtout j’espère, qu’il en était de même pour toi. Il me semblait n’avoir pas souri de la sorte depuis la moitié d’une année, alors je n’ai su résister à ta tentation. Tout était si simple avec toi… j’aurais dû me douter que tout ça était trop beau pour être vrai.
Il y a des frissons qu’aucune chaleur ne peut calmer. Et tu m’as souvent fait frissonner comme ça, sans même me toucher. Les mots peuvent être si envoûtants quand ils sont bien utilisés. Lorsque tu avais froid, je voulais me serrer contre toi pour te réchauffer de la chaleur de mon corps, sentir ta peau contre la mienne, passer mes doigts sur les courbes de ton corps comme si je les connaissais par cœur alors que ces derniers n’avaient encore jamais eu cette chance. Mais te dire ces mots semblait déjà suffisant pour faire fuir un peu de ce froid qui t’habitait.
J’aurais préféré que ma peau n’ait jamais la chance de toucher la tienne, si ça nous permettait de continuer cette routine qui s’était installée. Mais la passion avait tout enflammé, et ni toi ni moi n’avions la force de continuer à attendre l’autre.
Lorsque nos yeux se sont croisés pour la première fois, celle avec qui j’avais échangé des heures durant sur nos blessures respectives a cessé d’exister et je ne l’ai plus jamais retrouvée. C’est pour cela que j’aurais préféré ne jamais rencontrer celle que tu étais réellement, et continuer à me bercer d’illusions avec celle que j’idéalisais.
#ecrivain#ecriture#texte amour#texte d'amour#texte triste#texte de rupture#texte rupture#amour#rupture#tristesse
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Mais, malgré mes efforts, je n'y arrivais pas. Mon cœur était encore envahi par les désirs de la chair, et je luttais sans relâche contre des addictions qui me rongeaient. Je n'arrivais pas à résister à la tentation de regarder des films pornographiques et de me perdre dans la masturbation. Je savais au fond de moi que tout cela m'empêchait de grandir spirituellement, mais je ne trouvais pas la force de m'en libérer. Le combat semblait perdu d'avance.
Plus je priais, plus je me sentais prisonnier de ces habitudes destructrices. Mon cœur désirait sincèrement changer, mais la tentation était toujours là, plus forte que ma volonté. Je me sentais coupable, impuissant et désespéré, comme si j'étais condamné à vivre dans cette spirale sans fin.
Puis, un jour, alors que je cherchais une nouvelle façon de me rapprocher de Dieu, je suis tombé sur l'application 𝐁𝐈𝐁𝐋𝐄 𝐐𝐔𝐈𝐙 𝐂𝐎𝐌𝐏𝐄𝐓𝐈𝐓𝐈𝐎𝐍. Curieux, je l'ai installée. Ce qui m'a particulièrement marqué, c'était la rubrique "Livres". C'est là que j'ai découvert un ouvrage du pasteur Marcello Tunasi intitulé Stratégie face à la tentation. En le lisant, une lumière a jailli dans mon esprit. Ce livre m'a ouvert les yeux sur les tactiques spirituelles pour lutter contre la tentation. Pas à pas, avec les conseils du pasteur Marcello, j'ai commencé à me libérer de mes addictions. J'ai appris à dépendre de Dieu, à me discipliner, et à m'équiper spirituellement.
Encouragé par ce premier pas, j'ai voulu aller plus loin. J'ai alors découvert un autre livre sur l'application : Bonjour Saint-Esprit du pasteur Benny Hinn. Ce livre a été un véritable tournant dans ma vie. À travers ses pages, j'ai commencé à comprendre l'intimité que je pouvais avoir avec le Saint-Esprit. Et pour la première fois, j'ai expérimenté ses dons ! Je me souviens du jour où j'ai parlé en langues pour la première fois. C'était comme si un voile se levait, comme si j'entrais dans une nouvelle dimension de ma relation avec Dieu. J'ai également commencé à recevoir des visions, et la présence du Saint-Esprit est devenue une réalité palpable dans ma vie quotidienne.
Aujourd'hui, je suis libre de ces addictions qui me détruisaient. Mon cœur est rempli de paix, et je vis pleinement ma vie chrétienne. Tout cela a commencé avec cette simple application, 𝐁𝐈𝐁𝐋𝐄 𝐐𝐔𝐈𝐙 𝐂𝐎𝐌𝐏𝐄𝐓𝐈𝐓𝐈𝐎𝐍, qui m'a conduit à découvrir des livres transformateurs. Si vous cherchez à grandir spirituellement, à surmonter vos propres luttes, je vous encourage vivement à l'installer. Elle a changé ma vie, et elle peut aussi changer la vôtre.
Que Dieu vous bénisse 🕊️🙏
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