#je devais signer un truc important
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clhook · 2 years ago
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Franchement j'ai toujours voulu garder mon nom de famille quand je serai mariée mais je songe sérieusement à prendre le nom de mon futur mari pour QUE LES GENS ARRÊTENT ENFIN DE FAIRE DES FAUTES EN ÉCRIVANT MON NOM
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houssemaouar · 7 years ago
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@umtitties @tatatitiross @theblackwook (je l’ai payé donc tout le monde en profite, lisez bien et admirez le !)
Dimanche soir, à Geoffroy-Guichard, Houssem Aouar a vécu un drôle de bizutage pour son premier derby à Saint-Étienne (5-0). À l'échauffement, son capitaine Nabil Fekir a intentionnellement envoyé un ballon proche du Kop Sud du Chaudron afin qu'il le récupère en prenant la température de ce match si particulier pour lui, le «Gone». Une scène conclue par un grand éclat de rire des deux coéquipiers qui n'a pas perturbé, sur le terrain, l'expression du jeune milieu (19 ans). Pour lui, tout s'est accéléré avec l'OL ces dernières semaines. Au point d'être appelé, pour la première fois, avec l'équipe de France Espoirs qui affronte la Bulgarie, en qualifications pour l'Euro 2019, ce soir au Mans (19h00). Lundi, juste après avoir pris ses marques au sein du bâtiment dévolu aux Bleuets à Clairefontaine, Aouar a accepté de revenir sur son éclosion.
Son portrait : Aouar, c'était tout vu
«Comment vivez-vous la période que vous traversez ? Plutôt bien. C'est une grande fierté de jouer avec mon club formateur. Quand j'étais petit, j'en rêvais. Maintenant, il va falloir travailler encore beaucoup pour pouvoir atteindre les objectifs très élevés de l'équipe mais également mes objectifs individuels. Êtes-vous conscient de la manière dont votre carrière s'est accélérée ? Je suis un peu trop dans le truc et j'ai du mal à m'en rendre compte. Même si cela ne m'empêche pas de savourer lorsque je rentre sur une pelouse et que je vois tous les supporters autour de moi. Je me dis que je suis rentré dans une nouvelle dimension. Mais je n'arrive pas vraiment à réaliser. Où s'est situé, pour vous, le déclic ? À l'entraînement. J'ai redoublé d'efforts. Je savais que pour jouer en professionnel, pour espérer prendre la place d'un de mes coéquipiers, il fallait être deux fois, voire trois fois meilleur. C'est ça qui a fait la différence. Après avoir peu joué la saison dernière (cinq matches toutes compétitions confondues) et vous êtes retrouvé en tribunes lors des deux premières journées, avez-vous douté ? Non. J'étais un peu déçu mais le coach, le staff et mes proches me répétaient leur confiance. Le coach est venu me parler plusieurs fois pour me dire que j'allais avoir ma chance. Il me disait que je devais surtout travailler et il me donnait des conseils sur les aspects à bosser. Je n'ai donc pas lâché. Je n'ai jamais pensé à partir. Pour moi, c'était l'Olympique Lyonnais. Des clubs se sont approchés pour des prêts mais avec le coach et mon entourage, on a pris la décision de rester ici pour percer dans mon club formateur. Réussir à Lyon, chez moi, c'est un rêve de gosse ! Déjà, pour commencer, être titulaire et faire une grande saison avec l'OL, c'est un objectif qui me tient à cœur. Au club, on évoque beaucoup votre remise en question pour expliquer votre éclosion. Avoir su y procéder vous a-t-il fait passer un cap ? Dans les moments difficiles, c'est là qu'il faut être fort. Je ne dirai pas que j'ai fait preuve d'un manque d'investissement avant cela, loin de là. J'avais surtout besoin de savoir ce qu'il fallait faire pour y arriver. Je devais prêter attention à des détails que je ne connaissais pas encore. Je savais que si je mettais en application tout ce qu'engage le haut niveau, ça allait le faire. Après avoir été surclassé durant toute votre formation, votre patience a été sollicitée alors que vous aviez signé votre premier contrat dès juillet 2016. Quand on s'entraîne avec le groupe professionnel et qu'on les voit se préparer pour les matches, puis jouer, ça donne envie d'y être. Et lorsqu'on n'y est pas, c'est vrai que ça peut être difficile. J'ai su ronger mon frein, patienter et travailler pour pouvoir être en leur compagnie. C'est important de patienter quand on est jeune. D'autant que cela forge le caractère pour la suite car on sait que dans le football tout n'est pas toujours tout beau, tout rose ! Du coup, vous n'avez jamais regretté de ne pas avoir répondu aux sirènes de Liverpool avant de signer pro à Lyon ? Depuis tout petit, je voulais jouer pour l'OL. Même s'il y avait des approches, mon rêve de gosse primait sur tout le reste. Je suis né à Lyon, j'ai fait mes gammes à Lyon, j'ai vu mes aînés réussir avant moi. Vraiment, je joue pour mon club de cœur donc je suis dans mon rêve.
«J'ai toujours joué dans l'axe. Donc, milieu relayeur, c'est le poste que j'affectionne le plus»
Rester au sein du cocon familial, cela était-il aussi important pour vous ? C'est même très, très important. Je vis encore avec ma maman. Ça me tient à cœur et c'est même une fierté pour moi. Elle a tout fait pour moi et je me sens tellement bien chez moi. C'est mon équilibre ! Jouer des grands matches, avoir des caméras braquées sur moi et rentrer ensuite chez ma mère, c'est important pour pouvoir garder les pieds sur terre. J'accorde beaucoup d'importance à la famille et à la ville de Lyon donc je suis très heureux d'avoir pris cette bonne décision. Maintenant que votre maman a compris que vous ne seriez pas médecin, comme elle l'espérait, quel rôle joue-t-elle dans votre carrière ? Elle l'a compris depuis un bon moment (rires) ! Dès qu'elle a vu que je voulais faire du football mon métier, elle a tout fait pour que je réussisse. Même si elle rêvait que je sois médecin, elle a toujours été derrière moi. Elle m'a poussé jusqu'au bout dans les bons mais surtout dans les mauvais moments. Je suis heureux de jouer à ce niveau et je lui en suis reconnaissant à vie ! Il y a une forme de ''hype'' qui se crée autour de vous. Comment le vivez-vous ? Comme je l'ai dit, je suis en plein dedans et je n'arrive pas à m'en rendre compte. Mais je le vois, quand même, un peu. Après, il faut que je reste concentré sur le football. Quand tu es jeune, le danger, c'est de se perdre. Après, même si cette agitation me fait parfois bizarre, le club et ma famille font les choses plutôt bien. Bruno Genesio vous a utilisé au poste d'ailier gauche et à celui de relayeur, où vous sentez-vous le plus à l'aise ? J'ai toujours joué dans l'axe. Donc, milieu relayeur, c'est le poste que j'affectionne le plus. Mais ailier gauche, j'aime bien aussi. Ça me permet de travailler et de développer d'autres palettes. Je m'adapte à tout. Peu importe où je joue, je suis conscient de ma chance et je prends tout ce qu'il y a à prendre ! »
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